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AVATAR
 
Like Jayson
Statut :
Né-sorcier
Nationalité :
Écossaise
Résidence :
Coatbridge, Écosse
Fonction :
Première année, Serpentard
Baguette :
21,6 cm en bois de noyer et crin de licorne
O R I G I N E S.

Prénom & nom : « Oh ! Ces parents doivent être vingt-quatre heures sur vingt-quatre sur fesse-de-bouc. » Mais fermez là, j’aime mon prénom il est pour le moins… original ! Like, on n’en trouve pas souvent des Like dans le monde ! Sauf sur internet. Ah ah, riez. C'même pas drôle. Moi je vais vous appeler crotte de nez et vous allez moins rire ! Quoi qu’il en soit retenez bien mon magnifique nom car je serais la gamine qui vous tiendra tête jusqu’à ce que vous vous repentiez pour vous êtres moqués ! Je suis la grande et unique Like Jayson !
Âge : Je vous préviens, je ne suis pas une gamine. Je suis une adolescente d’âge mûr et ce n’est pas parce que je n’ai pas beaucoup de poitrine que je suis – bon d’accord, je suis plate. Mais à l’âge de onze ans on n’est pas censé avoir une grosse poitrine non plus ! Je suis sûre qu’elle apparaîtra plus tard. C’est Like qui le dit et tout le monde le sait ; Like a toujours raison !
Nationalité : Vous avez vu ma belle peau bronzée. C’est parce que je viens des pays chauds, là où la plage fait rage accompagnée des beaux garçons bien musclés et torse nu toute la journée, avec une peau bronzée ainsi qu'un sourire éclatant. Ah ! Mais ne vous inquiétez pas je ne suis pas intéressé par les garçons… Bon je l’avoue, je suis anglaise. Ma peau n’a rien à voir avec tout ça et je suis bien née sur le sol britannique.
Origine : Ma mère est une moldu et mon père est un sorcier, ce qui fait que je suis une sang-mêlé.


H I S T O I R E.

Au début de sa pauvre et misérable vie, cette gamine passait tout son temps devant un petit ordinateur portable qu’elle avait reçu en guise de cadeau d’anniversaire, pour ses cinq ans. Elle partageait ce dernier avec son grand frère, deux ans d’écart entre eux deux, mais ça ne les empêchaient pas de regarder tranquillement leur série préféré intitulé Pokémon. Au bout d’un certain temps elle avait même demandée à recevoir le magnifique pyjama Pikachu qu’elle voyait en vente sur divers sites, qu’elle obtenue bien évidemment grâce à sa grande sagesse remplie d’innocence... La bonne blague. Rien ne s’est passé comme décrit plus haut, ce pyjama elle l’a obtenue avec l’aide de son frère qui menaçait ses parents de dévoilés des photos de leurs ébats s’ils n’achetaient pas ce fameux vêtement. Et je ne vous explique pas la suite, cette horrible petite peste et son demeuré de frère n’ont cessé de sortir en douce de la maison, de faire diverses conneries plus grosses qu’eux et de détruire tous les objets qui tombaient entre leurs mains. Les merveilleux CD auquel leur père tenait tant ? Ils faisaient du surf avec, sur le carrelage de la cuisine si vous voulez savoir. Ils déposaient leurs petits petons sur le disque aux aspects multicolores et ils glissaient sur le carrelage, comme dans une patinoire, avec les mêmes mouvements. Puis quand leur père rentrait du travail : il découvrait ses CD rayés, inutilisable et bon pour la corbeille. Concernant leur mère ? Elle aussi, elle en voyait de toutes les couleurs. Je me souviens qu’ils prenaient des gilets appartenant à cette dernière et qu’ils allaient dans le jardin, montaient sur le plongeoir de la piscine et sautaient en se servant du gilet comme parachute. Bien sûr ils étaient trop lourds, alors ils tombaient dans l’eau et leur mère gueulait. Et il y avait aussi les merveilleuses idées de leur père, car il fallait l’avouer que lui aussi était un grand gamin dans l’âme. Alors avec Like, ils allaient dans le jardin à l’aube et déterraient des vers de terres qu’ils déposaient dans les chaussons de maman d’amour. Je ne vous explique pas quand elle se réveillait et qu’elle glissait ses pieds nus dans ses chaussons… Le cri qu’elle poussait et l’humeur abominable qu’elle avait le reste de la journée. Et le voisin aussi s’en prenait plein les pastilles ! Avec les bouts de bois qu’ils enfonçaient dans la serrure pour qu’il ne puisse plus rentrer la clé. C’était des sales gosses dans leur jeunesse, mais tout commença à changer lorsque son frère parti pour Poudlard laissant Like livrée à elle-même...

« T’es sûr que le soleil t’as pas trop tapé sur les neurones ? » Like.

Âgé de neuf ans lors du départ de son frère pour Poudlard, Like ne pouvait s’empêcher de lui en vouloir de l’abandonnée à la maison. Petit à petit, l’absence de son frère créant un grand vide dans sa vie, elle abandonna l’idée de faire des bêtises et s’enferma dans le monde virtuel ou dans les bouquins que lui ramenait son père concernant la magie. Après tout, Like savait. Ô oui qu’elle savait. Et mieux que quiconque. Elle aussi elle passerait par-là, elle aussi elle rentrerait à Poudlard pour contrôler sa magie et en apprendre plus sur ce monde aux aspects étonnants. Mais pour l’instant elle détestait la magie pour lui avoir volée son frère ainsi que le temps précieux qu’ils auraient pu passer ensembles. Pour combler l’ennui de sa fille, sa mère eut la brillante idée de l’inscrire dans un club de sport, mais sous quelques conditions durement imposées ; elle ne devait, bien sûr, ne pas révéler le fait qu’elle n’allait pas en cours, elle ne devait pas, évidemment, ne pas révéler le fait qu’elle était une sorcière et elle devait participer aux activités seulement pendant les vacances scolaires moldues. Comprenant la gravité de la situation si elle ne respectait pas les clauses du contrat, Like accepta de ce comporter telle une moldue et de ne rien faire qui pourrait compromettre l’existence des sorciers. C’est ainsi qu’elle rencontra d’autres moldues différent de sa mère et qu’elle commença une activité sportive : le foot. C’était rare de voir des filles s’intéresser à un sport destiné aux hommes, mais Like su ce faire accepter dans l’équipe et découvrit la joie d’avoir des camarades. Ce qui la préparait à Poudlard ou elle devra avoir à faire à la sociabilisassions. C’est à partir de là qu’elle devint populaire dans sa petite ville natale. Et c’est précisément à l’âge de dix ans, lors d’une discussion avec sa mère sur la vie elle-même, que Like commença à se rendre compte qu’elle n’était pas comme toutes les filles qu’elle avait côtoyée. Elle acquit de la maturité concernant elle-même et le futur qui lui est destinée, mais aussi sur sa sexualité. Comparé aux propos de sa mère, Like n’était pas spécialement intéresser par les hommes alors qu’elle les fréquentait depuis petite. Au contraire elle se sentait plutôt attirée par les femmes, avec qui elle découvrait des choses chaque jour. Peut-être était-ce dût au fait qu’elle était un garçon-manqué ? En tout cas elle s’inquiétait, elle avait peur. Peur d’être rejetée, peur de ne pas être normale aux yeux des autres… Ce qui est étonnant est qu’elle était bien plus inquiète pour sa sexualité que pour le fait qu’elle soit une sorcière, à vrai dire elle ne s’en rendait pas vraiment compte à l’époque. Ce n’est que lorsqu’elle est rentrée en première année à Poudlard que ses inquiétudes sur la magie ont vu le jour et que toute la pression lui est retombée d’un coup sur la faible personne qu’elle était. Puis ses craintes ont commencé à se confirmé doucement…

Ce fût pendant les vacances de Noel qu’elle décida d’avouer sa bisexualité - à tendance homosexuelle - à ses parents. Particulièrement à sa mère dans l’espoir d’en discuter avec elle. Et là, ce fût le drame. Malheureusement, sa mère n’était pas encore prête pour entendre ce genre de chose et surtout pour accepter – déjà qu'elle n'acceptait guère de la voir partir pour Poudlard. Suite à l’entente de ses propos agressifs, Like perdit ses repères pendant quelques temps. Ce fut son frère qui lui redonna espoir avec l’aide de son propre point de vue sur sa personne. Et c’est à partir de là que son caractère pris une tournure complètement différente sur certains points, déterminée à changer les choses et surtout à vivre sa vie telle qu’elle l’entend. Concernant sa relation avec son frère, ils ne sont plus aussi proches qu’avant. Mais ils restent frère et sœur avant tout.

« Mon frère était bien différent de moi, je dois prendre mon propre chemin désormais. » Like.