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Min Smith
Statut :
Sang-Mélé
Nationalité :
Anglaise
Résidence :
Stantonbury, Angleterre
Fonction :
Première année, Serpentard
Baguette :
22,8 cm en bois de saule et plume de phénix
Quand on vit dans une famille de professeurs, c’est signe d’avoir ses parents sur le dos pendant les vacances et des remarques sur ses notes presque tout le temps. Pendant ses premières années à l’école, Min faisait de son mieux, voulant rendre fier ses parents. A l’époque, il était un enfant souriant mais seul. Il cachait à ses parents que les autres enfants le fuyait, le rejetais. Juste parce que, un jour, on l’avait surpris en train de parler tous seul. Le jeune Min comprenait pas, il n’avait que lui qui pouvais voir son ami imaginaire ?

Le jeune sang-mêlé ne pouvait pas en parler, ses parents étaient trop pris par leurs métiers, sa mère venait que pendant les vacances. A l’époque, elle lui avait dit qu’elle donnait cours à l’étranger et son père, avais beaucoup de travail, bossant dans un lycée avec plusieurs classes à sa charge. Et il n’avait pas d’ami à part son ami.

Mais il eut une idée. Min, neuf ans, avais demandé à son anniversaire une caméra, prétextant une nouvelle passion pour les photos et les vidéos. Bien que ce fût cher à l’époque, il put en avoir une. Ce posant sur son lit, assis en tailleur et caméra devant lui, il ce confiait à elle, chaque semaines, soulageant son cœur qui ne pouvais s’exprimer.

Ainsi, jusqu’à ses onze ans, il faisait une vidéo par semaine, cachant les petites cassettes sous son lit, dans un carton. Au beau milieu d’une vidéo, sa mère toqua à la porte. Sur le coup, il avait éteint la caméra et cachais le gros carton sous son lit. Sa mère avait un visage sérieux, une lettre à la main. Pendant toute une après-midi, sa mère lui avait expliqué pourquoi il pouvait parler aux serpents et surtout, la magie. Trop d’information en un jour, il devait en faire une vidéo. C’était son reflexe. Une nouvelle information était égale à une vidéo. Il avait été pas si surpris que ça, ayant trouvé des choses en rapport avec la magie chez lui. L’idée de partir ne l’enchantait pas vraiment, mais en même temps, ça le libérais de toute les moqueries qu’il recevait.