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AVATAR
 
Elizabeth Rosenbach
Statut :
Né-Moldu
Nationalité :
Anglaise
Résidence :
King's Lynn, Angleterre
Fonction :
Première année, Poufsouffle
Baguette :
26,5 cm en bois de hêtre et ventricule de dragon
Elizabeth Amelia Mary ROSENBACH est née le 30 janvier 2027 à l’hôpital pour sorciers de Cardiff, de Ludovica Alessandra WESSER et Georges Thomas Mark ROSENBACH.
Dès les premiers instants de sa vie, elle devint le centre du monde pour ses parents. Choyée et aimée, Elizabeth a donc grandis entourée par sa famille.

De sa mère, infirmière à l’Hôpital pour sorciers de Cardiff, elle tient ses yeux bleus. De son père, botaniste, ses boucles blondes.

Petite, Elizabeth était une enfant curieuse, toujours en demande d’apprendre quelque chose. Ses parents, bibliophiles de renom, détenaient une immense bibliothèque, bien trop grande pour leur maison d’ailleurs. Ainsi, dès son plus jeune âge, Lizzie appris à lire et à apprécier la lecture. Ses parents la poussaient toujours à apprendre d’avantage, à continuer de s’émerveiller devant la plus infime des choses.
Et malgré leur condition de sorciers, ils ne voulaient jamais utiliser la magie pour se simplifier la tâche. « Sauf quand la vaisselle s’empile », plaisantait toujours Georges. Elizabeth a donc appris à se débrouiller sans aucune magie, sans accio, sans portoloin, mais avec la vaisselle rapide !
Lorsqu’elle eut atteint 8 ans, alors que ses parents l’avaient envoyés en école moldue, afin qu’elle s’y sociabilise avec l’autre monde, la petite fille décida qu’il était grand temps qu’elle aussi comprenne la magie qu’utilisait parfois ses parents, et pas que pour la vaisselle. Alors, le soir, lorsqu’elle rentrait de l’école, après que devoirs et leçons soient parfaits, elle se faufilait dans la bibliothèque, en tentant de ne pas attirer l’attention de ses parents, et lisait tout ce qu’elle pouvait sur le monde de la magie. Bien sûr, elle connaissait les plantes magiques que son père faisait pousser dans la serre de son travail, elle connaissait les potions que sa mère utilisait pour soigner ses blessures, mais elle voulait connaître l’histoire de cette magie, qui était ce Voldetruc dont ses parents parlaient des fois… Entêtée, elle passa des heures assise au milieu des livres, sous le regard amusé de ses parents derrière la porte, qu’elle n’avait vraiment pas dupée (si elle était studieuse et maline, elle n’était néanmoins vraiment pas discrète, voire même assez maladroite).

Le jour où la lettre arriva, c’était un mardi d’été, Lizzie poussa le plus grand cri qu’elle n’avait poussé jusque-là. ENFIN, elle pourrait faire ce qu’elle voulait… Sous le contrôle du règlement de l’école, bien sûr !