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AVATAR
 
Adèle Felicia
Statut :
Sang-Mélé
Nationalité :
Anglaise
Résidence :
Dorking, Angleterre
Fonction :
Première année, Serdaigle
Baguette :
18,3 cm en bois de chêne et crin de licorne
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Adèle est une jolie jeune fille très charismatique, ses yeux verts profonds et hypnotiques y sont sûrement pour quelque chose. Sa longue chevelure blonde furète dans tous les coins, très observatrice, elle préférera garder le silence dans de nombreuses situations mais si elle vient à se mettre en colère vous l'entendrez ! Sa sagesse et sa patience ont des limites, une fois poussée à bout, elle devient une vraie lionne. Malgré tout elle a un bon fond, généreuse de nature elle apportera son aide aux autres. Bien qu'elle soit sage, cela ne l'empêche pas de montrer du courage dans les situations difficiles et notamment si ses proches sont en danger, elle fera alors tout pour les sauver. Vous l'aurez compris c'est une amie fidèle bien qu'elle s'intègre difficilement. En effet, il est difficile de devenir son ami à cause de sa méfiance envers les autres. Par le passé son corps, ses jolies lèvres pulpeuses, ses hanches, ses longues jambes fines et plus tard sa poitrine en ont intéressé plus d'un et rendues jalouses certaines. Elle accorde donc difficilement sa confiance aux autres.

Si elle est courageuse, elle n'est pas stupide, loin de là. Adèle a toujours aimé lire, très cultivée elle est posée, calme et réfléchie et grâce à sa connaissance, même si elle n'excelle que dans quelques domaines, elle maîtrise facilement les bases d'une discipline. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, elle n'est pas l'intellectuel qui aime se faire remarquer et est nul en sport. Non, Adèle reste dans l'ombre et ne se vante pas car sa timidité prend le dessus, elle n'aime pas que le regard des autres puisse la juger. Et bien sur, un ventre plat ne s'obtient pas sans faire de sport ! La jeune fille déteste tous les sports moldu qui touchent à une balle ou une raquette mais apprécie fortement la course à pied, la natation, les arts martiaux...



Adèle n'est pas une de ces héroïnes abandonnée de ses parents ou maltraitée. Petite ses parents étaient toujours là pour elle, répondaient au moindre de ses besoins et surtout lui donnaient tout l'amour du monde. C\'était une petite fille chérie et aimée à ne pas confondre avec une enfant pourrie gâtée ! Ses parents gagnaient les salaires normaux d'un vétérinaire et d'une psychologue moldu et vivaient heureux dans une maison de située dans une petite ville du sud de la France. Ni trop excentrée, ni trop urbaine. Adèle menait une vie heureuse et tranquille jusqu'à ses sept ans. Ce jour là, Adèle s'en souvient bien, ses parents et elle étaient dans leur voiture sur la petite route de campagne qui menait dans le village voisin quand un lapin blanc à traversé la route, son père qui était au volant et qui adorait tous les animaux avait freiné, fort, les pneus avaient crissé sur le sol réveillant la petite fille à l'arrière qui somnolait. La ceinture de la petite l'avait retenue et lui avait laissé une marque de légère brûlure sur le cou à cause du choc. Voyant que cela ne suffirai pas, son père avait tourné sur la droite mais il n'avait pas eu le temps de redresser le volant pour ramener la petite famille sur la route et ils avaient chuté dans le fossé qui bordait la route à 90 km/h. Adèle se souvenait des derniers paroles de ses parents : son père avait crié un "NON!" et sa mère avait poussé un cri strident. C'est là que tout devenait flou dans la tète de la petite, la voiture tombait et se renversait à 90°, les vitres explosaient, le verre lui entaillait son petit corps frêle de jeune fille, la ceinture se bloquai et la retenait désormais suspendue dans le vide, l'enfant sentait alors une vague de chaleur la réchauffer, elle se détachait, tombait sur la portière droite en se tordant le poignet, elle s'approchai de son père qui gisait toujours accroché à son siège de conducteur, les joues entaillées, les paupières closes, le cou tordu dans un angle impossible (du moins en étant vivant). Puis elle se tournait vers sa mère qui respirait avec difficulté cette dernière trouva encore la force de lui sourire et lui tendit sa main ensanglantée l'enfant la prit et la serra fort sentant les larmes lui monter aux yeux, doucement, sa mère prononça son prénom et une larme coula sur la joue de la petite "Maman" lui répondit-elle. Sa mère caressa sa main une dernière fois avant de rassembler ses forces et de lui dire "Ne pleure pas ma chérie, Maman sera toujours avec toi" puis elle poussa son dernier souffle. "Ne pars pas. Reviens Maman !" La petite enserra sa mère de ses petits bras meurtris et ferma les yeux. Sans s'en rendre compte, elle perdit connaissance.

A son réveil, elle se trouvait dans un grand bâtiment blanc des monsieur étaient autour d'elle et la regardaient perplexes. La première chose qu'elle fit fut de demander comment allaient ses parents et, à la tête que prirent les médecins, elle compris toute seule. Une vague se souvenirs l'assaillirent et elle se mit à pleurer toute les larmes de son corps, hurlant de désespoir.


La jeune fille avait donc vécu chez sa grand-mère maternel. Elle n'avait manqué de rien, ni d'amour, ni d'objets. Si elle avait survécu, c'était grâce à la magie, mais cela elle l'ignorait. Sa grand-mère, une magicienne, avait décidé de la tenir éloignée de tout ce qui touchait à la magie. Bien sûr, elle savait qu'un jour elle serait prise dans une école de sorcellerie et elle ne l'empêcherait pas d'y aller mais elle redoutait ce moment, craignant que ses sentiments ne prennent le dessus et qu'elle bascule du côté obscur comme autrefois, un grand nombre de ses amis l'avaient fait pour tenter de ramener leurs proches à la vie.

Depuis son accident, Adèle ne prenait plus cette route et évitait les trajets en voiture. Et se sentant coupable de ne pas avoir fait de soins à sa mère, ce qui aurait peut-être pu la sauver, elle souhaitait devenir médecin. (en découvrant l'hôpital de St Mangouste elle voulait entreprendre une carrière après ses études là bas).