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AVATAR
 
Kiara Tatsuya
Statut :
Sang-Mélé
Nationalité :
Anglaise
Résidence :
Snowville, Irlande
Fonction :
Première année, Gryffondor
Baguette :
32,0 cm en bois de châtaignier et moustache de troll
Kiara Tatsuya
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FICHE DE PRÉSENTATION
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IDENTITÉ DU PERSONNAGE

PRÉNOM(s) & NOM : Kiara Tatsuya
DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 14 ans
ANNÉE : 1er année
ORIGINE * : sang mêlé
ANIMAL DE COMPAGNIE: Un hibou nommé Iris SES ATOUTS: Généreuse,courageuse.
SES FAIBLESSES :parfois rebelle a peur de déranger. Image

HORS JEU
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ÂGE IRL : 29

TEXTE PERSONNEL:
« Vous êtes enceinte ! »
Ma mère ne savait pas qu’elle était enceinte. Elle venait tout juste de terminer ses études et voulait devenir botaniste ou infirmière, mais elle ne s’était pas préparée à devoir continuer ses études et de s’occuper de moi. Mon père, un peu plus âgé lors de ma venue, vendait des horloges qui projetait des histoires sur le mur, il les appelait « des lumières drôles ».

Dans mon placenta, j’évolue petit à petit, mon petit cœur commence à battre et désormais je suis considérée comme un être vivant, les semaines passent et j’évolue. Ma maman chante de belles chansons quand elle est à la maison et mon papa caresse souvent le ventre de maman en me parlant, tous les matins pour que je puisse grandir avec tout leurs amours. Mes parents apprenaient mon sexe : j’étais une petite fille. Ma maman était tellement heureuse d’avoir une petite fille, mon papa aussi ! j’exprimais déjà ma joie en donnant des coups, même si mes coups fatiguaient ma maman, elle les aimait.
Chaque mois, ma maman se rendait chez l’infirmière pour vérifier si tout allait bien parce qu’elle était super anxieuse, d’ailleurs l’infirmière lui a dit que je risquais de le devenir si elle continuait à paniquer, ce qui a d’ailleurs, fait paniquer encore plus ma mère. Quand je suis née, ma maman a eu des complications car je sortais les pieds en avant, mais elle a réussi comme une grande. Accompagnée par mes grands-parents et mon père, j’ai hurlé pour la première fois et c’était tellement strident que mon père a saigné de l’oreille gauche et est désormais sourd de cette oreille. Je grandissais dans l’amour et la joie, mon père me ramenait des « lumières drôles » quand la dernière était cassée ou qu’il en avait fabriquée une nouvelle, je les aime toujours autant, ce que mon père apprécie toujours mon sourire quand il en ramène une nouvelle, car pour lui : ma joie se lit entre mes dents, et est toujours heureux que ça me plaise autant. Ma maman, Rose, a finalement décidé de rester à la maison pour me voir grandir de jour en jour, je lui ressemblais de plus en plus physiquement comme Mamie disait quand elle me berçait dans le fauteuil à bascule, les mêmes longueurs cheveux de couleur blanche avec des reflets violets, la même peau clair et aux joues roses. Mes yeux viennent de mon père, violet. Je ne vais pas à l’école, ma maman est très intelligente et n’as pas envie de gâcher de l’argent pour des gens qui veulent nous apprendre à lire ou à écrire, mes livres préférés reste et resteront toujours Les Contes de jean de la fontaine.
Ce que j’adore le plus, c’est quand ma maman danse et chante dans le salon devant moi, je rigole beaucoup parce que ma mère est vraiment drôle, parfois, quand on a du temps libre après mes cours, on s’amuse à cueillir des fleurs différentes avec des odeurs différentes pour ensuite décorer la maison, ou se faire des couronnes de fleurs.
Un matin de juillet, mes cheveux étaient bizarres : très emmêlés, non brillant, ils n’ont jamais été comme ça de toute ma vie ! J’hurle, ma mère déboule dans la salle de bain, autant paniquée que moi, et mes cheveux se dressent au-dessus de ma tête et sont redevenus comme avant : bouclés, brillants. Ma maman me prit dans les bras et embrassa mon front, je n’avais pas compris pourquoi jusqu’au jour où, dans l’allée de ma maison, pleins de lettres pour : « Kiara tatsuya ». Cela ne pouvait pas être mamie, elle ne savait pas écrire. L’odeur des coquelicots, de l’herbe fraîchement coupé venait des alentours ou de cette lettre. Ma maman attendait sur le porche de la maison, bras croisé, sourire aux lèvres, je ne comprenais pas pourquoi elle était si heureuse de me voir prendre une lettre, un bout de papier aux écritures étranges.
La lettre était sur la table du salon, ma mère était assise à mes côtés et je me tâtais d’ouvrir cette lettre : Était-ce une mauvaise blague ? Personne ne m’avait écrit, mes grands-parents vivaient à quelques mètres de chez nous, je n’ai pas d’amies, De doute, je me pinçais les lèvres et pris une grande respiration, mes doigts fins et rouge d’angoisse tremblaient quand ils s’approchaient de la lettre :
« Collège Poudlard, École de sorcellerie
Cher M.Tatsuya
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficier d’une inscription au collège Poudlard, école de sorcellerie. Ci-joint, la liste des ouvrages et équipements nécessaires au déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant pour le 1er septembre, nous attendons votre hibou pour le 29 aout. Rendez-vous quai 9 ¾ de la gare de Londres, située à Victoria St, Victoria, London SW1E 5ND, Royaume-Uni.
Veuillez croire, Chère Kiara en l’expression de votre future réussite. »
Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, ma mère ne m’avait inscrite nulle part, du moins, je le croyais car c’était vraiment une lettre d’un collège de sorcellerie, ma mère se tourna vers moi et m’expliqua qui j’étais et qu’est-ce qu’était cette école. Je ne savais pas comment réagir, ma mère avait tout empêché pour que je me fasse des amies car j’aurais pu révéler qui j’étais, qui ma mère était, ce que nous étions : de Sorcières. Ma maman me fit un résumé de ce qu’était Poudlard : Un collège, avec quatre maisons : Poufsouffle, Serpentard, Serdaigle et Gryffondor, des cours différents de ce qu’elle a pu me donner plus jeune.
Quand j’ai enfin compris que j’étais différente, un énorme sourire s’étala sur mon visage : Je suis différente et UNIQUE ! Quand tout à coup, j’entendais mon père qui franchissait le pas de la porte, le dos cassé par sa journée, que je couru lui annoncer la bonne nouvelle et où j’allais en secouant ma lettre partout : mon excitation est vite redescendue quand mon père ne me prit pas dans les bras comme à son habitude mais me repoussa d’un geste brusque venant de lui. Je regardais ma mère toujours assise dans le canapé, mon père était encore debout dans l’entrée entrain de regarder ma mère sans un mot.
La nuit tomba, mes parents pensaient que je dormais alors que par excitation ou tristesse, j’étais encore réveillée, assise sur mon lit en regardant les étoiles par ma fenêtre, la lune était pleine de lumière, alors que j’étais pleine de tristesse pour penser à autre chose qu’à la réaction de mon père. « C’est hors de question qu’elle aille là-bas ! » La voix rauque de mon père faisait trembler les murs « Tu sais pas tout ce que j’entends sur cette école, ils torturent les élèves, surtout les premières années ! » Et un claquement de porte, des bruits de pleurs étouffés, ma mère avait la tête entre ses mains, ses pleurs étaient de plus en plus bruyants et elle craqua dans mes bras et s’excusa une dizaine de fois, qu’elle était désolée, qu’elle était si heureuse pour moi, que papa avait entendu des mensonges au travail, que Poudlard était un endroit amusant et heureux. Nos larmes coulaient en même temps, et s’intensifiaient à chaque respiration, mon papa était parti je ne sais où, je ne sais pour combien de temps. Finalement, on s’endormies de fatigue dans le canapé, collées, tel un bébé qui se repose sur le cœur de sa maman.
Deux jours de larmes, de tristesse plus tard, on alla faire mes achats au chemin de traverse et vit ma mère qui changea son expression, des hommes avec des drôles de masques sur le visage marchait en cadence. La rue était froide, humide, bien que ce fût l’été, quelque chose semblait mal mais heureusement que la lumière des magasins nous réchauffait ma baguette fait 32,0 cm en bois de châtaignier et moustache de troll. Mes livres sont prêts : j’étais en partie prête, il manquait mon père pour m’accompagner jusqu’au train, nous n’avions jamais été séparé plus d’une semaine tous les trois, c’était comme s’il manquait une partie de moi.
L’heure de départ du train : 10h03. Ma mère me saisit par la main et a ma valise de l’autre et, fonce dans le mur, aucune blessure, aucun bleu, pas de coups : j’avais traversé le mur, en un demi second, une foule autour de moi, mon cœur qui se serre.
Le monde autour de nous était impressionnant, je n’avais jamais vu autant de monde rire, pleurer, être en joie, j’entendais les crapauds et les chats, les « Bisou maman, bisou papa, je vous aime ! », on était derrière tout le monde, se câlinant, ne voulant plus se lâcher l’une de l’autre, jusqu’à ce qu’une voix familière me soufflât : « Je n’allais pas te laisser partir sans te dire au revoir quand même… » Mon père, tenant dans sa main un sac avec quelque chose de dur à l’intérieur, et des gâteaux de l’autre main.
Nos bras s’enlacèrent et le sifflet du départ retentit, je saute dans le train qui sentait le caramel, et trouva une cabine avec personne à l’intérieur donnant comme vue, celle de mes parents qui me fit signe de la main. Je rangeai ma valise dans la cabine au-dessus de moi, posa les gâteaux à coté de moi et le sac, sur la petite table en face. Un jeune homme, un peu plus âgé que moi, portant une cape de couleur bleu, une écharpe bleue, avec un livre à la main, demanda si c’était possible de s’asseoir ici, je soufflai « oui », avant d’ouvrir un des sacs que ma mère m’avait préparés : Une photo de nous trois, un livre de jean de la fontaine, une lettre avec son odeur, mon doudou avec l’odeur de mon père. Le train démarra, j’envoie un bisou à ma famille, mon hibou a mes coté.
Quelques heures plus tard, la nuit tomba, le garçon s’était endormi et était allongé sur la banquette complète, sa couverture était seulement sur ses pieds, alors je me levai et mis la couverture entièrement sur lui. Une fois assise, intriguée du contenu du sac que mon père m’a donné avant mon départ, j’ouvre : une « lumière drôle », gravé de bleu et d’or, et écrit « On t’aime plus que tout, ton papa qui t’aimera pour toujours. », l’horloge s’ouvre et éclaire toute la cabine d’une lumière dorée, qui retraça toute notre vie : de ma naissance à aujourd’hui, et les souhaits de mes parents pour le futur : réussir mes études, être prodigieuse.
Je ne vous décevrai pas, je vous le promets.
« Tu ne dors toujours pas ? et merci pour la couette… » le garçon s’exclama avec la voix rauque, « non, j’ai du mal mais je commence à fatiguée, j’ai des gâteaux pour tout à l’heure. » Il me fit un sourire, que je rendis, et me coucha sur ma banquette et le même garçon me réveilla pour me prévenir que nous étions arrivés. Après quelques minutes de marches, on nous fit signe de marcher en silence et frénétiquement : comme la marche des hommes masqués au chemin de traverse. Pas un bruit, une fois arrivés dans le hall principal, une des dames petites et au visage qui ressemblait à un rat nous dicte les règles avec un air totalement antipathique. De longues tables avec des élèves de capes colorés en vert, rouge, jaune ou bleu.
Soudainement, une autre dame avec un air plus agréable nous appelle pour nous répartir dans nos maisons respectives : Kiara tatsuya. Mes mains deviennent moites, je m’approche sous les regards de mes futurs camarades, elle tendit le chapeau au-dessus de ma tête et le chapeau ne tarda pas à choisir ma maison…
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