RP avec @Olympe Watson

> Décembre 2043

Ce soir là, Léo était sortit du train. Le Poudlard-Express repartit, et le jeune garçon s'était retrouvé seul sur le quai. Il avait attendu. Était-ce son père qui viendrait le chercher ? Ou bien sa mère ?. Hésitant, alors que les autres passagers passés un à un le portail vers King-Cross, Léo attendait. Un vigile finit par venir le voir.

<< - Ça va p'tit ? >>

Il détestait que l'on l'appelle "petit". Serrant les poings, il ne dit rien, et le garde partit. Les minutes passèrent, tandis que les derniers parents arrivaient. Pour finir, il était seul sur le quai. Il soupira.

C'était bien sa mère qui venait le chercher, sinon quelqu'un aurait déjà franchis le portail, qu'il traversa en quelque secondes, sa carriole avec la cage -vide- de Gehbia, sa grosse valise et autres. Sur le quai côté Moldue, sa mère piétinait. Elle tapait des pieds nerveusement et quand le jeune homme s'approcha, elle courut, aussi vite quelle put, vers lui et le serra fort.

Il se dégagea de son étreinte. Pour simple "bonjour", un "Maman t'est relou y'a du monde arrête !". La femme se dégagea à son tour. Dans ses yeux on voyait l'inquiétude d'une mère, la mini colère, d'une autre mère qui essaye de surmonter la crise d'adolescence, ainsi que la tristesse. Après tout, selon elle, c'était sa faute si Léo était comme ça. Elle l'avait sans doute mal élevé. En tout cas, le petit Frédérique qui continuait de grandir et faisait des crises était le centre d'attention de ces mères parfaites, à la garderie.

"Vous avez vu sa mère ? Elle semble faible"
"Oh oui... il parait que son père l'a quitté à la naissance...!"
"Non, moi j'ai entendus quelle faisais le trottoir !".

Elle les ignorait, en même temps, ces mères poules pondeuses qui ramenaient avec elle un gros sac de nourriture pour le 4 heures de leur enfant avec une belle petite poussette n'étaient pas parfaites. Elle sortir de la gare avec son fils, dénué du monde habituel. Les journaux ne parlaient que de ça depuis un mois:
"La fin du pétrole officiellement annoncée".
Même le journal de sa voisine, quelle avait découvert sorcière  -décidément cela allait devenir habituel d''emménager près d'autres sorciers- parlait de ça. Elle monta la valise de Léo dans la voiture -où elle avait gardé quelques fond d'essence pour les "grandes occasion" - et celui ci monta à l'avant en claquant sa portière.

Elle pianotait sur son volant tout en conduisant dans les rues vidée de voitures de Londres, envahit par les piétions et vélo. Elle était encore une fois -même Léo-, Ils étaient différents, parmi la foule. Certains les regarder avec envie, d'autres s'offusquaient. Mais ils les ignorèrent.

Le 117 Vauxhall Walk se dressait devant la mère et son fils. La maisonnée collée au 119, avait un jardin, qui se répandait jusque à la façade de la maison, laissant un trou avec deux fenêtre entre le 117 et le 116 -la maison de sa nouvelle amie-.

Elles s'étaient tout de suite appréciées, quand Elizabeth était venue offrir des gâteaux à ses voisins. Elle avait une fille, du même âge que Léo, dans la même école, et toute deux s'était rapproché à cause de leur mari respectif.

La neige recouvrait la pelouse et les grandes fenêtres du salon était recouverte par un grand rideau -nouveau visiblement- bleu cyan/foncé. La porte et son heurtoir fit sourire Léo qui n'eut pas de mal à se rappeler de celui de la salle commune et ces blagues de mauvais gout. Le numéro 117 était inscrit en chiffre Romain et la fente à courrier de couleur doré était à moitié entrouverte. Sa mère attrapa le journal, le glissa dans son sac à main tout en cherchant les clés. Elle finit par trouver les deux petit moyens d'entrée en double de son sac, dans un soupir, puis les tourna dans la serrure. Elle ouvrit la porte difficilement à cause du froid et finit tout de même à y arriver. Léo rentra sa valise à l'intérieur, il fit un sourire crispé à sa sœur qui avait retrouvé de son teint habituel, et prit dans ses bras Frédérique. Après quelque minutes à le câlinait, heureux de le revoir et à l'observer ce mettre debout comme un grand, les yeux pleins d'étoiles, il monta les escalier pour découvrir sa nouvelle chambre. D'en bat, sa mère lui cria quelle allait s'arranger pour passez Noël avec les voisins "pour que Léo fasse la connaissance de leur fille". Il soupira, il n'en avait rien à faire du gamine qui devait avoir un ou deux ans de moins que lui.

Si seulement il se doutait...

Il poussa la porte de sa chambre. Des tas de cartons étaient empillés partout. "Chambre Léo". "Livre Léo", etc
Il commença à sortir un peu ses affaires, tout en poussant sa valise de poudlard dans un coin, qu'il ouvrit en sortant ses affaires une par une. Il fit un tas de linge sale et releva la tête. Il renifla l'odeur et prit la décision d'ouvrir la fenêtre, la chambre sentant le renfermé. Il prit la poignée, la tourna, et l'ouvrit donc. Dehors, la façade du 116. Un fenêtre donné sur une chambre de la même taille que la sienne, et il se prit à se demander si c'était celle de la jeune fille...

Il secoua la tête et continua ses tâches ménagères, quand il aperçut du coin de l’œil une chevelure rousse. Il tourna la tête, personne. La fille était surement juste passer devant. Mais pourquoi s’intéressait-il à elle ?. Il secoua à nouveau la tête.

Les minutes passèrent, et il finit en une heure de nettoyer et ranger sa chambre. Essoufflé et fatigué, il se posa sur le rebords de la fenêtre, le vide en dessous de ses pieds. Après quelque minutes à observé le jardin et alentours, il finit par se re-concentrer sur la fenêtre de la voisine. Une chevelure rousse passa une nouvelle fois dans son champ de vision. Il essaya de l'observer sans se faire prendre.

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Après des adieux un peu déchirant dans la cabine du train, Olympe quitta ses amis pour deux longues semaines d'exil. Elle sortit traînant les pieds, et sa valise derrière. Un dernier coup d’œil en arrière lui permit de voir le signe encourageant de ses compagnons. Elle prit une grande inspiration et descendit sur le quai. Sa mère était là, non loin. Elle était un peu impatiente, et se tordait les mains. La rouquine resta relativement neutre en la voyant pour lui faire comprendre que trois mois d'absence ne l'avait pas aidé à pardonner. Elle remarqua quand même l'état d’amaigrissement et de fatigue de sa mère. Ne voulant pas non-plus lui causer trop de tort, ou déclencher une crise de larme en publique, elle consentit à lui faire la bise.

Ses pensées étaient partagées entre la colère sourde qui grondait en elle, et l'envie de rassurer Arwen pour que son état s'améliore. L'Aiglonne décida de rester neutre en attendant qu'un incident éclate. Elle regarda partout, autour d'elle, s'attendant à voir deux petites filles lui sauter dessus, mais il ne se passa rien.
Avec un ton formel, elle demanda :
-Où sont Diane et Lune ?
- Chez ta grand-mère ma chérie.
- Donc je ne vais pas les voir ?
- Non, pas cette fois-ci. Mais il paraît que tu entretiens une correspondance avec elles ! Ça me fait vraiment très plaisir que votre complicité perdure malgré...

C'était en effet l'une des sources de joie de la jeune femme : savoir que ses filles restaient soudées. Olympe quant-à-elle serra les poings lorsque sa génitrice se mit à lui témoigner trop d'affection à son goût. Sans échanger plus de mots, elles traversèrent la frontière avec le monde moldu, prirent un taxi, et rentrèrent à l'appartement. La petite rédactrice voulue rejoindre sa chambre sans demander son reste, mais Arwen la retint quelques instants :
- Dit Olympe ? Tu ne voudrais pas un hibou pour noël ? Comme ça, tu pourras me l'envoyer avec des lettres lorsque tu seras à Poudlard, si les autres sont de nouveau tous pris ...

La jeune femme avait réussi à se convaincre que l'absence totale de nouvelle de sa fille aînée devait être dû à un nombre de hiboux trop petit. La petite rédactrice partit sans relever l’affront. *Pour tomber aussi bas ma mère doit être assez désespérée. Niveau finesse, on y était pas. On la voit venir à trente kilomètres.* Elle largua ses affaires dans un coin, et faute de mieux, se laissa choir sur son lit. Elle repensa à Jo' qui allait bien lui manquer pendant ces deux semaines, et à tous les autres. Même cette insupportable Harriet créait un vide dans sa personne. La jeune fille était beaucoup trop soumise à ses émotions, elle en avait conscience, mais ne pouvait rien y faire. Elle, qui était de nature si positive, avait du mal à trouver un quelconque plaisir ou avantage à sa situation. Elle se leva et passa deux ou trois fois devant la fenêtre de sa chambre, histoire de ranger quelques trucs. Des gens rentrèrent dans la maison d'en face. Elle les regarda du coin de l’œil. Leur tête lui était inconnue. Peut-être "les Solem" ? Famille heureuse et parfaite qu'elle avait eue le plaisir de voir vanter en long en large et en travers dans la dernière missive de sa douce et tendre mère ?

Léo, après avoir en vain essayé plusieurs fois de capturer le regard de la jeune fille, descendit dans la cuisine. Sa mère venait de raccrocher le téléphone, après un "Au'revoir Arwen, à demain". Elle jeta un regard à Léo, le téléphone entre l'oreille et l'épaule et la poêle dans une autre. Elle posa le tout tandis qu'il s’avançait, rattrapant Frédérique qui essaya de se mettre debout.

- Mam's ?

- Oui Léo ?

- C'est qui les voisins ?

Son regard passa une nouvelle fois sur moi, un sourire étale ses lèvres. Elle venait de comprendre que je venais de voir la fille mais elle ne dit rien.

- Watson. Arwen Watson, elle a une fille Olympe. Et aussi des autres filles je crois.

Il hocha la tête, impassible. Pourquoi est-ce que "Olympe Watson" lui disait quelque chose ?. Il remonta en soupirant, venant  nouveau s'asseoir sur le rebords de sa fenêtre. Il regarda à nouveau devant lui. Cette fois ci c'était sur, elle l'avait vue. Il esquissa un sourire, mais étrangement il détourna le regard. La jeune fille avait à vu de nez à peu près son âge, donc dans la même promotion de Poudlard. Il y avait des chances qu'ils se connaissent... Il la regarda à nouveau. Olympe Watson... Une chute dans l'eau, un craquement de lit ? Oh non pas elle quand même... !

Il fallut encore cinq minutes à Olympe pour qu'elle range ses affaires indispensable à la survie dans ce milieu hostile. Puis elle referma sa valise pleine aux trois-quarts, pour ne pas perdre de temps le jour de son départ. Elle s'assit sur une chaise, face à son bureau. Elle se demanda s'il elle pouvait déjà écrire à ses amis, mais elle passerait surtout pour une hystérique. Et puis qu'est ce qu'elle allait leur raconter ? Il ne s'était pas passé grand chose d'exceptionnel depuis son arrivée. Renonçant à cette idée, elle saisit quand même une plume et un parchemin et écrivit, en gros "de toute façon, je préfère les chats". Vengeance futile et puérile, mais vengeance quand même.

Elle se glissa hors de sa chambre à pas de loup et placarda le mot sur sa porte. Au moment de rentrer, elle entendit des voix :
- Entendu à demain, bonne journée !

Il y avait des gens à la maison ? Après mûr réflexions, l'Aiglonne se dit que c'était tout à fait impossible. Un clac sonore et très reconnaissable retentit dans l'appartement. Olympe cria :
- Depuis quand est ce qu'il y a le félétonne à la maison ???
- Depuis que j'ai rencontré mon amie Elize !
- Mais elle n'habite pas en face celle-là ?
Arwen détourna la question :
- Au fait, ils viennent fêter noël chez nous.
- Ah... Mais depuis quand tu invites des moldus à l'appart !!! T'es complètement cinglée.
- Mais non ma chérie, Elizabeth est une moldu, c'est vrai, mais elle connaît l'existence de la magie, car son fils est un sorcier. Il est à Poudlard en même année que toi.

La rouquine pensa *Quoi !*, mais elle dit :
- Ah, ok.

De retour dans sa chambre, elle fixa avec beaucoup plus d'attention la fenêtre juste en face de la sienne. Peut-être est-ce celle de la chambre du garçon ? Elle n'avait pas du tout réagi au nom Solem. Après tout, il doit y en avoir plein des "familles Solem", mais avec un fils sorcier à Poudlard en 2e année, le doute devenait quasi inexistant. *Si Léo vient à la maison, noël risque d'être un peu plus intéressant que prévu*.

Le dit Léo apparut justement à la fenêtre. Il lui fit un sourire, et elle répondit par un signe de la main.

Elle l'avait reconnue. Et étrangement, Léo avait rougit. Après ce bref échange de regard; et ce signe de la main; Léo se détacha de la fenêtre pour venir s'asseoir sur son lit. Il regarda la pièce qui il y avait quelque heures était vide, et là toute décorée. Mais quelque chose lui manquait... 

Sa salle commune. Les Serdaigle. Bon c'est vrai qu'il n'était presque jamais descendus lors des veillés, contrairement à l'année précédente, que pendant 4 mois il avait été détaché de toutes ses anciennes connaissances mais... là... là il ne se sentait pas "chez lui". La maison qu'il s'était juré de détestait lui manquait... quel paradoxe. 

Dans sa valise il dénicha sa robe de sorcier avec son blason... il hésite mais finit par le déchirer, pas grave... sa mère irait réparer sa robe pour Noël ! Il prit également un poster de l'équipe de sa maison, des petits éléments de Poudlard. Au bout de 10 minutes sa simple chambre de Moldue fut décorée de Magie. Il posa sa baguette sur sa table de chevet, à côté de sa pile de livre, il enleva ses vêtements de sa valise et en fit un tas à côté de lui. Comme ça sa chambre ressemblait à son dortoirs au moins...

L'atmosphère dans laquelle je vivais habituellement était revenue, et je me sentais étrangement mieux. Je commençais à m'ennuyer et je revint à la fenêtre.

Que faire, que faire ? Olympe s'empara à nouveau de mon esprit et j'eu une idée.

Je pris quelque cailloux et un bout de papier. J'attachais le bout de papier au plus gros cailloux où j'inscrivis simplement "Salut." Je le lançais vers le fenêtre devant moi, et dépité qu'il ne la touche pas et n'attire donc pas l'attention d'Olympe. Je pris d'autres cailloux prudemment et le lancés sur la fenêtre. Cette fois ci ils la touchèrent et j'attendis donc, postés derrière ma fenêtre que je refermais.

C'était drôle de savoir que son voisin était un Serdaigle. Comme si elle retrouvait un morceau de Poudlard, paumé au centre de Londres. C'était bête, mais elle ne pouvait s'empêcher de penser à cette histoire d'animal. Oui, pourquoi pas après tout, elle aimerait bien en avoir un, c'est vrai. Mais pas dans ces conditions ! Ennuyée par la masse de chose qui lui restait à faire, elle s'affala sur son lit.

Une image commençait à se forer dans ses pensées. Un portrait, un visage, celui d'un garçon, brun. Un garçon un tout petit peu plus âgé qu'elle avec des cheveux en bataille, et un vif d'or dans la main. Un gryffon. Non, ce n'était pas Harry Potter, la jeune rédactrice n'avait pas de tendances nécrophiles. À ce moment là, elle pensait à Jonathan, le sauveur de baguette. Plongée dans ses rêveries niaise, elle ni vit pas passer le caillou porteur de message. Elle sursauta par contre, lorsque le suivant heurta doucement sa fenêtre.

Elle se leva, ouvrit un battant, et prit le caillou. Un petit message y était accroché. Elle regarda pour voir d'où il venait, mais la réponse était évidente, de la maison d’en face évidemment. Elle déplia soigneusement le papier accroché, et lu le seul mot qu'il y était inscrit :

Salut.

Elle fouilla sa chambre du regard pour trouver un autre support à sa réponse qu'un caillou. Car s'ils continuaient comme ça, cela allait forcément, mal se finir. Deux scénarios possibles :
- Un moldu passe devant l'une des maisons, et se prend "une balle perdue".
- La vitre de l'un des deux enfants se briserait sous le choc.
Ou, scénario catastrophe :
- La vitre de l'un des deux enfants se brise au moment ou un moldu passe en dessous, et il se prend des bouts de verres.

La jeune fille trouve enfin ce qu'elle cherchait. Dépassant à moitié de sa valise, un avion en papier magique bat doucement des ailes. L'Aiglonne s'en saisit, le déplia, et écrivit :

Salut, comment tu vas ?
Un moyen de communication plus sûr. Pour que le texte s'efface, et que tu puisses écrire à nouveau, passe trois fois la tranche de ta main dessus. Ah oui, il faut que tu lui souffles le nom du destinataire avant qu'il parte !

Elle leva sa plume, et comme par enchantement, l'avion reprit forme. Il était maintenant prêt à s'envoler. Olympe le lança en chuchotant :
- Léo Solem.

Cette petite merveille avait plusieurs qualités. Tout d'abord, on peu l'utiliser sans baguette, donc pas de trace, pas d'avertissement du ministère. Il ne se perd jamais en route, et atteindra toujours sa cible, quelque soit la météo. Il est réutilisable de très nombreuses fois.

La jeune fille ouvrit la fenêtre pendant que je la regardais. Elle sembla ne pas apprécier la caillou, mais je ne m'arrêtais pas à ce détail, toujours observant ses gestes. Elle prit sa baguette, et pendant quelque secondes -c'était bête je vous l'accord- je crus quelle allai brûler ce papier, quelle n'avais pas envie de parler. Mais au contraire elle la reposa. 

Elle inscrivit sur un bout de papier son message et l'envoya contre mon carreau en volant. Hein ? Et la Trace ? Ouvrant le battant et récupérant le papier j'essayais de lui faire signe pour lui demandez le pourquoi du comment. Mais elle ne me remarqua pas, alors, résigné, je pris le papier et déchiffra son écriture.

Salut, comment tu vas ?

Un moyen de communication plus sûr. Pour que le texte s'efface, et que tu puisses écrire à nouveau, passe trois fois la tranche de ta main dessus. Ah oui, il faut que tu lui souffles le nom du destinataire avant qu'il parte !

Je comprenais mieux... où avait-elle appris se sort en revanche ? Surement pas dans les cours de Poudlard dans tout les cas !.

Inscrivant mon propre message, je suivit ses indications et je vis, émerveille, le bout de papier s'envolai et s'avançai vers la fenêtre d'Olympe quand j'eu prononcé son nom.

Petit repère personnel: Pour les prochaines lettres, cette écriture de font meme