Lorsque le Poudlard Express fit retentir sa cloche de départ et qu'il commença à rouler, tous les enfants se précipitèrent vers les fenêtres du côté gauche du train pour dire un dernier au-revoir à leurs proches. Ces derniers s'étaient mis à suivre le train depuis les quais jusqu'à ce que son allure s'éleva de trop pour qu'ils puissent le rattraper. Acculé par ses futurs camarades, Blaise était resté derrière la vitre et ne put dire au-revoir à sa gouvernante, Rebecca Smith, que très brièvement. Mademoiselle Smith, était très chère aux yeux du jeune Raventon, plus encore que ses parents à qui il vouait une haine terrible depuis que ceux-ci l'avaient abandonné. Selon Blaise, pendant que ses parents prenaient plus de plaisir à travailler qu'à élever leur unique fils, Mademoiselle Smith avait été la seule à s'occuper de lui mais surtout elle était la seule à avoir prit le temps de le connaître pour pouvoir le comprendre. A mesure que le train s'éloignait des quais, Mademoiselle Smith ne devint plus qu'un point dans l'horizon, Blaise tourna alors la tête pour enfin regarder en face de lui. Pendant un long moment, il contempla les grandes plaines du paysage britannique tout en pensant à ce qui l'attendrait une fois qu'il arriverait à Poudlard. Il se posait de nombreuses questions dont l'une était de savoir dans quelle maison il allait être envoyer par la choixpeau. Les Poufsouffle ? Non ils sont trop fleur bleue, Les Serdaigle ? Non plus, ils sont trop barbants, Les Gryffondor peut-être ? Sûrement pas, beaucoup trop surcoté et pourquoi pas les Serpentard ? Humm, la plupart des élèves ayant appartenu à cette maison on mal tourné... mais en même temps quel honneur se doit être d'être un serpent dans un monde impitoyable, pensa Blaise. Quoi qu'il en soit, après avoir réfléchi de longues minutes, il en vainc à la conclusion que, peu importait la maison dans laquelle il serait envoyé, ce qui comptait avant tout pour lui, c'était de devenir le meilleur sorcier du monde magique, meilleur que la cape d'invisibilité qui lui sert de père. Une grande ambition pour un si petit corps me dirait vous ! Enfin tout est possible quand on est un sorcier songea Blaise en affichant un sourire ampli d'espièglerie. Justement, alors qu'il était plongé dans ses pensées, un chariot passa devant sa cabine et une grosse dame vêtue d'une robe et d'un tablier blanc l’interrogea, c'était la serveuse du train :

Serveuse : Un petit creux ? Ou une p'tite soif peut-être ? Je fais un prix spécial aux premiers années !

Blaise avait bien quelques gallions en poche mais il préféra les conserver, non pas qu'il soit radin, de ce côté-là il n'avait pas de soucis à se faire car le salaire de ses parents pouvaient largement couvrir n'importe laquelle de ses dépenses. Mais alors pourquoi diable un enfant se restreindrait à la vue de friandises ? Disons que Blaise avait envie de s'amuser un peu, d'ailleurs il avait déjà trouvé un moyen d'obtenir de quoi grignoter et cela gratuitement alors il se contenta de refuser l'offre de la serveuse poliment :

- Non merci, j'ai déjà tout ce qu'il faut dans ma valise. Il avait bien un sandwich, soigneusement préparer par sa gouvernante, mais il l'avait déjà engloutit au tout début du voyage.

Au moment où la serveuse se retourna et partit avec son chariot, le visage de Blaise arbora des yeux de vipère... Aussitôt, avant qu'elle ne ferme la porte de sa cabine et qu'elle n'atteigne les prochains voyageurs, il empoigna sa baguette et visa la pauvre femme en chuchotant :

- Obscuro...

Soudain la serveuse paniqua, elle ne voyait plus rien ! Elle ne savait pas ce qui était en train de lui arrivé, elle se mit à tâter tout ce à quoi elle pouvait se raccrocher autour d'elle, en vain... Rapide comme l'éclair, Blaise se faufila jusqu'au chariot pour dérober quelques bonbons explosifs et dragées surprises de Bertie Crochue et à peine eut-il le temps de rejoindre son siège, que le sort d'aveuglement se dissipa. La pauvre serveuse reprit ses esprits :

Serveuse : Oh mon dieu ! Dit-elle en s'écroulant par terre.

- Tout va bien madame ? Rétorqua Blaise, l'air à nouveau innocent.

Serveuse : Oui...oui..., j'ai eu une petite absence rien de bien grave.

- Vous êtes sûr ? Je peux appeler quelqu'un si vous voulez ?

Serveuse : Oh merci, tu es un brave garçon mais ce n'est pas la peine, je crois que ça ira.

Blaise observa la serveuse se relever et en partant elle grommela tout bas :

Serveuse : Je travaille trop moi, je devrais demander une augmentation directement au ministère des transports...

Blaise avait réussi son coup, il attendit de ne plus voir le chariot pour commencer à déballer son glorieux butin, sans se douter une seconde que des yeux le scruter dans l'ombre...

C'est émerveiller et d'un sourire radieux que Naïda fit son entrée sur le quais 9/3. Plus que le quais, c'est le mur qu'elle venait de traverser qui la laissa sans voix. Elle tendit sa main vers ce dernier afin de voir si la magie opérerait à nouveau, ce qui échoua la troublant encore plus. C'est toute étourdie qu'elle sentie contre sa peau les pierres dure et froide. Elle du rester un bon moment ainsi, car c'est seulement en sentant les mains de sa petite sœur tirer sur le tissu de sa robe qu'elle sortie de sa légère somnolence.

La rouquine rouspétât et repoussa sa cadette à l'en faire valser. Elle fut encore plus agacer lorsqu'elle vit les gouttelettes ruisseler sur les joues de celle-ci. Elle détestait plus que tout la voir pleurer, ses airs de chat poté, l'énervais de plus que la jeune sorcière finissait toujours par ce faire réprimander par ses parents. Aujourd'hui lui appartenait et personne n'avait le droit de lui gâcher son bonheur. Hors ce droit Lalouna ce l'était offert en sortant Naïda de sa bulle, bulle d'oxygène car ce voyage était un départ vers une nouvelle air.

Air qu'elle sentait parcourir le long de son corps, jusqu'au cheveux. Mais quel est donc ce bruit qui l'accompagne? La jeune fille arborât un grand sourire quand elle vit l'énorme transport sans fin. Du moins il était si grand que Naïda n'en vit pas le bout. Ses mèches devant ses yeux lui fit voir le train par images coupé, jusqu'à que d'une main forte sa vu s'en détourna. Sa mère venait de lui en mettre une, Lalouna serrer contre elle, ce tenant à son genou.

Elle porta sa main ou le coup s'était porter et ne savait ce qu'elle ressentait vraiment. Partager entre tristesse, colère et soulagement Naïda tourna le dos à sa famille et s’apprêtât à embarquer quand sa mère la retenu et la pris dans ses bas. La jeune fille ce sentis mal à l'aise, et son cœur battre à tout rompre cette étreinte l'avait tant surprise qu'elle ne su que répondre. Elle pensait bien s'en dégager, mais elle en us pas la force et ses petite tentatives d'échapper au bras de sa mère était aussi doux qu'un simple touché. C'est toute tremblotante et les larmes aux yeux que l'étreinte ce fini bien trop rapidement. Lalouna elle s'était coller à Naïda.

C'est ému et bouleverser qu'elle monta dans l'un des wagons. Très vite elle repris un air plus gaie, les porte du train ce refermant derrière elle.

En ce dirigeant vers un compartiment, la jeune sorcière aperçus une dame, vendre des friandises à des enfants, certains de son age,d'autre plus grands. étonnamment l'un d'eux refusa,ou bien n'avait t'il pas de quoi les acheter s'était dit la jeune fille, du moins jusqu'à que celui-ci de sa baguette jeta un sort qui obstrua la vu de celle ci et l'enferma par la suite. Naïda l'avait regarder tout le long amuser et le surpris quand elle arriva derrière lui et lui piqua une friandise.

C'est dans la satisfaction d'avoir commis le crime parfait que Blaise goba un chocogrenouille puis un deuxième quand soudain une main fine et délicate vint lui piquer la moitié de ses friandises. Il se leva presque immédiatement, pour savoir qui avait osé faire une telle chose. C'était une jeune fille, elle avait la chevelure rousse, une peau très pâle et les yeux bleus comme l'azurite mais ce qui retint l'attention de Blaise et qui l'énerva quelque peu c'est son sourire moqueur qui le narguait dans sa propre cabine. Il interrogea alors la mystérieuse jeune fille sans prendre le temps d'avaler ce qu'il avait dans la bouche :

- Héeu ! Rond moi fça efpefe de fale voleuse.

La jeune fille ne put retenir son rire face à la requête à peine compréhensible de Blaise alors elle s'assit en face de lui et mangea les friandises qu'elle venait de lui emprunter. Blaise resta debout et l'observa faire l'air contrarié pendant qu'il avalait d'un coup tout ce que contenait sa bouche. Il allait à nouveau tenter de déverser sa colère sur elle mais comme la bouillie de chocolat pré-mâchée était trop grosse pour traverser son œsophage sans encombre, il dut se frapper le torse pour forcer la descente jusqu'à son estomac. Après ce spectacle, la jeune fille se moqua encore plus de Blaise mais comme elle aussi avait la bouche pleine, elle manqua de s'étouffer et recracha une patte de chocogrenouille sur le plancher du train. Ce fut au tour de Blaise de se moquer, toutefois dans l'absurdité de la situation, les deux âmes finirent par rire ensemble.

- Hé t'aurais pu me demander avant de me piquer mes bonbons ! Repris Blaise sur un ton plus détendu. Et puis c'est quoi ton nom d'abord ?

Le jeune sorcier ce releva surpris et scandaliser que l'on puisse ainsi le lui piquer ce qu'il avait lui même chaparder quelque minutes avant. Cependant Naïda compris bien que pour lui les bonbons lui appartenais. Il s’esclaffa alors la bouche pleine :

- Héeu ! Rond moi fça efpefe de fale voleuse.

La rouquine ne peut retenir son fou rire d'une parce que le garçon était mal placé pour la traiter de voleuse et ensuite parce que le faite de prononcer sa phrase la bouche pleine lui enlevais toute crédibilité. Nul doute qu'il devait être énerver cependant face à la jeune fille il ne trompait personne. Naïda ne ce dégonfla pas sur de son coup elle savait que le sorcier ne pouvait rien contre elle. Que pouvait t'il bien faire ? Ce plaindre ? Sans hésitation elle dirait que non. Et est la tout le vice de l'enfant d'à peine onze année, haute comme trois pomme. Les interdits elle les franchissaient mais toujours de tel qu'elle ne pouvait ce faire prendre.

Son interlocuteur s’étouffa après ces quelques mots et bien qu'elle ne voulait ce moquer, elle riais toujours sans pouvoir y mettre fin. Elle réalisait bien contrarier son camarade alors elle tenta de ce calmer ce qui ce fini par un échec car à force de rire elle finit par avaler elle même ses friandises de travers. Elle ne pu donc en vouloir au garçon quant à son tour il ce mis à rire décidant même de le rejoindre.

S'étant assis en face du jeune homme durant son fou rire, Naïda ce releva pour s'installer sur le siège à coté et en profita pour le lui prendre à nouveaux deux trois sucrerie.

- Hé t'aurais pu me demander avant de me piquer mes bonbons ! Repris Blaise sur un ton plus détendu. Et puis c'est quoi ton nom d'abord ?


- Tes bonbons?? sourit la sorcière narquoise. Mon nom à moi est Maous, mais tu peut m'appeler par mon prénom qui est Naïda!
dit t'elle en tendant sa main vers ce dernier.
Et toi?


Le garçon ce présenta en tans que Blaise, et les deux enfant continuèrent à discuter de tout et de rien. La rouquine expliqua qu'elle était d'origine moldu, et qu'elle avait donc mille et une idée pour bouleverser le châteaux cette année et les six prochaines qui suivront ensuite. Ce duo promet d'être assez commique dans son genre.