Le Paradis
Elise allait enfin aller à Poudlard...
Ce n'était pourtant pas faute d'avoir attendu. Quoique durant des années sont seul souhait était d'être Cracmol mais cette époque est révolue, Elise veut aller à Poudlard maintenant, elle a soif d'apprendre, de découvrir la magie. Mais tout ça elle ne le voudrait pas si son frère n'avait pas été la à lui décrire en long et en large ce qui maintenant était pour Elise le Paradis, oui, le Paradis.
Ils étaient maintenant à la gare de King's Cross. Entre la voie 9, et la Voie 10. Elise le savait bien elle, qu'il fallait passer à travers le mur, son frère lui avait dit, ça aussi. Mais ça n’empêchait pas Elise d'avoir peur. Oui, Elise avait peur. En Même temps, on ne traverse pas un mur tout les quatre matins...
Elle prit donc son courage à deux mains et serra ses deux poings contre elle, lachant momentanément son chariot. Elle souffla, très fort, jusqu'à ce qu'elle n'ait plus d'air dans ses petits poumons, jusqu'à ce qu'ils la brûlent. Puis elle les remplit , pris son chariot qu'elle serra très fort et le poussa, plus fort plus vite et hop!
Que c'était beau... Toute cette fumée blanche, ce train si brillant, cette plaque si dorée... 9 3/4... "Poudlard Express"...
Elle n'avait pas bougé depuis qu'elle était passée à travers le mur et failli se prendre son frère qui fonçait en rigolant, ne prenant garde à ce qui se passait autour de lui. Ce fut son rire qui réveilla Elise, et elle pu bouger juste à temps. S'avançant lentement, elle regardait partout autour d'elle, ne sachant où donner de la tête. Elle s'arrêta bientôt rejointe par sa mère qui lui posa sa douce main sur l'épaule et lui murmura à l'oreille des paroles réconfortantes. Elle se jeta dans ses bras et sentit une petite boule se former dans sa gorge. La petite boule grossit, grossit, grossit et se transforma en sanglot qu'elle étouffa au fond de sa gorge. Elle sourit douloureusement à son frère qui, Cracmol, n'avait jamais eu la si jolie, si douce chance d'aller à Poudlard, au Paradis...
Elle leur sourit alors doucement, se détacha d'eux et, retrouvant son sourire et ses yeux pétillants pris sa valise et la tirant péniblement derrière elle s'arrêta devant les marches du si joli train rouge, ce train qui avait tout devant un symbole, et ce symbole était séparé en quatre, les quatre maisons avec au centre le P, le P de Paradis.
Ce n'était pourtant pas faute d'avoir attendu. Quoique durant des années sont seul souhait était d'être Cracmol mais cette époque est révolue, Elise veut aller à Poudlard maintenant, elle a soif d'apprendre, de découvrir la magie. Mais tout ça elle ne le voudrait pas si son frère n'avait pas été la à lui décrire en long et en large ce qui maintenant était pour Elise le Paradis, oui, le Paradis.
Ils étaient maintenant à la gare de King's Cross. Entre la voie 9, et la Voie 10. Elise le savait bien elle, qu'il fallait passer à travers le mur, son frère lui avait dit, ça aussi. Mais ça n’empêchait pas Elise d'avoir peur. Oui, Elise avait peur. En Même temps, on ne traverse pas un mur tout les quatre matins...
Elle prit donc son courage à deux mains et serra ses deux poings contre elle, lachant momentanément son chariot. Elle souffla, très fort, jusqu'à ce qu'elle n'ait plus d'air dans ses petits poumons, jusqu'à ce qu'ils la brûlent. Puis elle les remplit , pris son chariot qu'elle serra très fort et le poussa, plus fort plus vite et hop!
Que c'était beau... Toute cette fumée blanche, ce train si brillant, cette plaque si dorée... 9 3/4... "Poudlard Express"...
Elle n'avait pas bougé depuis qu'elle était passée à travers le mur et failli se prendre son frère qui fonçait en rigolant, ne prenant garde à ce qui se passait autour de lui. Ce fut son rire qui réveilla Elise, et elle pu bouger juste à temps. S'avançant lentement, elle regardait partout autour d'elle, ne sachant où donner de la tête. Elle s'arrêta bientôt rejointe par sa mère qui lui posa sa douce main sur l'épaule et lui murmura à l'oreille des paroles réconfortantes. Elle se jeta dans ses bras et sentit une petite boule se former dans sa gorge. La petite boule grossit, grossit, grossit et se transforma en sanglot qu'elle étouffa au fond de sa gorge. Elle sourit douloureusement à son frère qui, Cracmol, n'avait jamais eu la si jolie, si douce chance d'aller à Poudlard, au Paradis...
Elle leur sourit alors doucement, se détacha d'eux et, retrouvant son sourire et ses yeux pétillants pris sa valise et la tirant péniblement derrière elle s'arrêta devant les marches du si joli train rouge, ce train qui avait tout devant un symbole, et ce symbole était séparé en quatre, les quatre maisons avec au centre le P, le P de Paradis.