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13 août 2019, 16:55
Tout ça pour une potion...
Samedi 13 août 2044
@Jeanne Tessier


Ce samedi-là, Angela le passait avec Bryan, son père. Elle s’était réveillée de mauvaise humeur, car elle n’avait pas l’impression d’avoir dormi de la nuit. Une fois de plus, son sommeil avait été très agité. Cela faisait quelques mois qu’elle rêvait littéralement toutes les nuits. Certes, elle avait toujours été une grande rêveuse, mais de là à ne pas pouvoir dormir ne serait-ce qu’une ou deux nuits par semaine sans plonger dans un rêve étrange, ça devenait vraiment fatiguant pour elle. C’est donc en se rappelant encore parfaitement de tous les détails de l’événement qui avait occupé ses songes toute la nuit durant qu’elle avait rejoint son géniteur dans la salle à manger pour y prendre son petit-déjeuner. Elle avait ensuite passé le début de sa matinée à jouer aux échecs avec lui, le battant à plus d’une reprise.

C’est aux alentours de dix heures que Bryan offrit à Angela un jeu moldu appelé « Rubik’s Cube » : il s’agissait d’un cube qu’il fallait manipuler dans tous les sens afin que chacune de ses faces soit finalement composée de neuf carrés de la même couleur. Elle avait réussi à trouver des techniques pour achever les deux premiers étages (qu’on appelait selon son père « couronnes »), mais elle ne parvenait pas à trouver une solution pour faire la troisième et dernière couronne. Bryan dut insister à plus d’une reprise pour qu’elle cesse de s’acharner sur son Cube et qu’elle le rejoigne dans la salle à manger pour y déjeuner. Une fois son repas terminé, Angela demanda à aller faire un peu d’équitation, ce que son père ne put pas lui refuser.

Un peu avant seize heures, la rousse descendit de son cheval et regagna sa salle de bain pour y prendre un bain de mousse. Une fois propre et à nouveau habillée, elle rejoignit son père qui l’attendait dans le salon pour prendre le thé. C’est alors que tout se passa très vite : alors qu’Angela discutait tranquillement avec Bryan du dernier bouquin qu’elle avait lu, ce qu’elle prit pour une boule argentée déboula dans la pièce en se faufilant par la fenêtre entrouverte. Alors qu’elle se plaçait devant son père, la rousse remarqua que ce nuage avait en réalité la forme d’un gros Saint-Bernard. Une voix féminine s’éleva soudainement dans la pièce : elle semblait émaner de l’animal. La femme qui avait envoyé ce message semblait être affolée et parlait précipitamment :

« Bryan ! Il faut que tu viennes immédiatement ! Il y a urgence ! »

Le message, bien que concis, était clair : Bryan devait se rendre sur son lieu de travail sur-le-champ. Il n’était pas rare qu’Angela voie ses parents partir au milieu d’un repas ou de la nuit pour rejoindre l’Hôpital Ste Mangouste où leur présence était demandée, mais elle n’avait encore jamais vu un Patronus autre que celui de ses parents. Si un tel moyen avait été utilisé pour contacter Bryan, c’est que l’urgence était vraiment des plus importantes. Au vu de la réaction du Médicomage, l’hypothèse de la fillette devait être la bonne : son père sauta sur ses pieds tandis que le Saint-Bernard s’évaporait dans un nuage bleu-argenté. Abandonnant sa tasse de thé sur la table basse, il s’adressa à sa fille sur un ton autoritaire, mais de rigueur :

« Vas mettre tes chaussures et prends de quoi t’occuper. Un livre, ton Rubik’s Cube ou ce que tu veux... Fais vite ! »

Tout en parlant, il se dirigeait vers la porte de la pièce. Il disparut alors, laissant sa fille seule. Angela se leva et se précipita vers l’escalier qu’elle monta aussi vite que ses jambes le lui permettaient. Elle alla mettre ses ballerines et emporta avec elle son petit sac en bandoulière qui était soumis à un sortilège d’extension indétectable, ce qui lui permit d’y glisser un livre et le fameux cube qu’elle n’avait pas encore réussi à terminer. Elle rejoignit ensuite son père qui l’attendait dans le hall. De toute évidence, Bryan refusait de laisser Angela seule au Manoir, car il ignorait combien de temps l’urgence allait prendre. Fatima, la gouvernante, n’était pas là pour s’occuper de la fillette, tout comme Adam, l’aîné de la famille. La rousse aurait certes pu rester avec les trois Elfes de Maison, mais les Sherwood avait toujours refusé de leur donner pour tâche de s’occuper de leur fille, sachant que cette dernière avait plus d’autorité sur les Etres qu’ils n’en avaient sur elle.

Transplanant en se tenant par la main, le père de famille et sa fille arrivèrent dans le hall d’entrée de l’Hôpital. Une femme avec un calepin dans les bras se dirigea immédiatement à leur rencontre. Lorsqu’elle se mit à parler, Angela comprit que c’était elle qui avait envoyé un Patronus à son père. Elle expliqua à Bryan la situation tandis que celui-ci retirait sa cape, marchant tout en écoutant sa collègue. La rousse les suivait de près. Elle compris que la situation était grave et que la vie de plusieurs personnes était en danger. Apparemment, les personnes déjà sur place n’avaient pas réussi à venir à bout du problème et avaient finalement décidé de faire appel au père d’Angela. Ce dernier ouvrit alors la bouche pour donner ses directives. Il interpella tout d’abord un interne pour lui dire :

« Sam ! Amène ma fille au salon de thé. Ensuite, va voir si Chloé peut éventuellement prendre congé... Si elle est occupée, essaie de prendre contact avec mon fils Adam pour qu’il vienne récupérer Angela. Et toi... » dit-il en s’adressant à sa fille. « Pas de bêtises. »

Bryan se pencha alors pour coller un bisou sur le front de la rousse, puis il tourna les talons tout en annonçant à sa collègue au calepin qu’il voulait voir sur le champ l’Elfe de la brigade volante qui s’était rendu sur les lieux pour aller chercher les blessés. Le dénommé Sam invita Angela à le suivre. Ils prirent un ascenseur qui les mena directement au dernier étage où se trouvaient le salon de thé et la boutique de l'hôpital. L’ambiance y était beaucoup plus calme. La rousse prit place à une petite table entourée de deux chaises et sortit son livre de son petit sac. L’interne, un sorcier qui devait avoir vingt-cinq ans et qui était aussi musclé qu’un boxeur professionnel, expliqua à Angela :

« Si tu as faim ou soif, n’hésite pas à commander quelque chose ! Donne juste le nom de l’un de tes parents pour que tu n’aies pas besoin de payer quoi que ce soit. Je vais aller voir si j’arrive à trouver ta maman. »

Angela acquiesça puis l’interne s’en alla. Elle plongea alors dans son bouquin, tentant tant bien que mal de se concentrer sur ce qu’elle lisait. L’endroit était bondé. Le samedi, il y avait souvent beaucoup de personnes qui venaient voir leur proche hospitalisé. Même si depuis le mois de mai l’accès à Ste Mangouste ne se faisait plus que grâce à des portoloins et sur invitation d'un guérisseur-en-chef ou de la directrice, le salon de thé était plein à craquer. Alors que cela ne faisait que quelques minutes qu’elle était seule, Angela se leva avec une idée en tête. Elle rangea son livre puis emprunta l’ascenseur pour descendre d’un étage. Arrivée au quatrième niveau, elle arpenta le couloir fort heureusement désert puis s’arrêta devant une armoire aux portes vitrées et qui renfermait des médicaments de base.

*Bingo ! Il y a de la potion pour un sommeil sans rêve !*

En effet, trois petites bouteilles remplies de potion violette trônaient parmi les simples somnifères et d’autres médicaments. Comme si elle s’attendait à ce qu’elle ne soit pas close, Angela essaya d’ouvrir l’armoire... En vain. Si seulement elle avait un Botruc sous la main ! Il aurait pu venir à bout de cette serrure en un rien de temps ! La fillette fit une courte pause pour réajuster sa robe bleu clair puis se remit au travail. Alors qu’elle s’acharnait à essayer de crocheter la serrure avec une vieille épingle à cheveux qu’elle avait retrouvée au fond de son sac, elle n’entendit pas que des bruits de pas se faisaient de plus en plus proches.
Dernière modification par Angela Sherwood le 03 sept. 2019, 22:53, modifié 1 fois.

14 août 2019, 15:58
Tout ça pour une potion...
Ce matin là, Jeanne était à son cours de Piano, cet instrument moldu quelle aimait tant.
C’était sa mère Héléna qui lui avait fait découvrir le plaisir de la musique moldu. Malheureusement Jeanne le savait bien, ce n'était que un de ces cours de vacances, pendant dix mois, elle n'écouterais plus le son mélodieux de la touche qui sonne au bout de ses doigt.
10 heures moins le quart arriva vite, ce sont toujours les beaux moment qui passe les plus brièvement, lui avait un jour dit son père, et il avait raison.


Jeanne attendais son grand frère depuis maintenant un bon quart d'heure, elle consulta sa montre plusieurs fois avant que Charlie arrive le teint mélodieux portant deux sac remplie a bout de bras :

<< Salut sœurette ! j’espère que ta prévus un bouquins par ce que, je t'ai pas prévenus mais papa et maman sont aux courant, je doit allez a boulot y a une urgence et j'ai as le temps de te ramener
- heu, oui j'avais prévus un bouquins a l'avance, avec toi, enfin je veux dire quand tu me ramène on sait jamais ce qui peut se passer, la dernière fois qu'on a transplanné ensemble on c'est retrouvé en Amazonie alors....
- mais non voyons j'avais fait exprès, voyons... je....Bon quand faut y aller faut y aller ! >>

Jeanne souriait, attrapait le poignet de son frère ils tournaient dans néant pendant bonne dizaine de seconde et ils atterrissaient dans une foule immense, Jeanne arrivait a peine a se faufiler pour en trouver une issus, elle rejoint son frère qui s’était déjà attarder a enfiler sa blouse de médicomage et qui filait vers le quatrième étage. Elle pressa le pas quand elle entendu son frère marmonner qu'il était au retard. Arriver la haut il lui indiqua d'aller au salon de thé, se salon quelle connaissait si bien.
Elle commença son livre intitulé: Une Manticore affamée. Mais a peine l'avait-elle commencer quelle s’ennuyait et regretta de n'avoir pas choisi plutôt le livre : Mon vampire adoré.

Elle se leva du fauteuil où elle avait été si bien installé et décida de se promener dans les couloirs, les couloirs était vide et sombre mais ce n’était pas ça qui allait lui faire peur.
Elle se rappela alors qu'un jour son frère lui avait expliqué qu'au quatrième étage dans un couloir il y avait une armoire aux portes vitré fermé a double tour qui renfermait des médicament de base, enfin c'est ce que disait la petite pancarte sur l'armoire mais que qui conque arrivait a l'ouvrir sans une clé spécial que seul les médicomages ont a leur possession, se retrouve sous l'emprise d'un sortilège de saucisson, car, lui avait il expliquer cette armoire cache bien plus que des médicament de base.
Jeanne se demanda qu'es ce que l'armoire pourrait bien cacher de plus et décida d'aller faire un tour pour mieux observer cette mystérieuse armoire.
Elle descendit d'un étage et se dirigea vers un couloirs elle entendit des bruits de crochet en s'approchant elle aperçu une fille de son age a peu prés qui ne l'avait pas remarquer :
- A ta place, je ferais pas ça, bah, après si tu veux te retrouver sous l'emprise du sortilège de saucissonnage c'est pas mon problème, mais quand même je te préviens sa fait pas que du bien! Je sais pas si tu est au courant mais dans cette armoire il n'y a pas que des médicament de base comme c'est écrit sur la petite pancarte, si tu veut l'ouvrir sans risque il te faut une clé spécial que seul les médicomage ont en leur possession, oui je pense que tu va me demandé comment je sais tous ça, mon frère travaille ici et même si c'est censé être top secret...mon frère est un peu genre "bavard" vraiment bavard ! En faite qu'es ce qui t’intéresse là de-dans ? Moi personnellement je peut t'aidé, on pourrait essayer de "emprunter" la clé de mon frère et puis si sa te dit si on arrive a avoir la clé on pourrait trouver se qui se cache d'autre dans cette mystérieuse armoire, enfin si sa te dit hein. En faite je me suis pas présenté moi c'est Jeanne et toi ? Et désolé je suis un peu comme mon frère genre "bavarde" vraiment bavarde, on est tous comme ça dans la famille...
Jeanne se rendit compte quelle avait trop parler et se tut, muette comme une carpe, un silence s’installa dans le couloir pendant de longue seconde.

@Angela Sherwood

" L’imagination, c’est ce qui nous rend capable de comprendre des choses que nous avons jamais vécu."

J.K Rowling

04 sept. 2019, 00:08
Tout ça pour une potion...
Désoléééééée pour le retard :( Si cela t'est utile dans ton RP, tu as mon accord pour dire qu'Angela suit ton personnage jusqu'au salon de thé et qu'elle s'installe sur une chaise !

En entendant une voix se lever à ses côtés, Angela se figea. Ce n’est que lorsqu’elle comprit que ce n’était pas un adulte qui l’avait surprise qu’elle se détendit. Ramenant ses bras le long de son corps, elle laissa son épingle à cheveux désormais toute biscornue dans la serrure de l’armoire et porta son attention sur la fille qui l’avait coupée dans son élan. L’écoutant attentivement, Angela ne l’interrompit pas. La rousse n’aimait pas les gens de son âge. Elle préférait de loin la compagnie des adultes. Les rares enfants qu’elle avait côtoyés jusqu’alors ne s’étaient jamais montrés très gentils avec elle, se moquant de sa tignasse orange ou de sa tendance à avoir réponse à tout (surtout lorsqu’il s’agissait de mathématiques !). Elle avait certes fait la connaissance de plusieurs personnes scolarisées à Poudlard au cours des semaines précédentes, mais elles étaient toutes plus âgées qu’elle d’une année. Le seul sorcier de son âge qu’elle avait rencontré s’était montré très gentil et elle s’était immédiatement bien entendu avec lui. D’ailleurs, c’était peut-être grâce à ce petit blondinet qu’elle parvint à mettre de côté sa réticence à engager la discussion avec la fille aux yeux verts-gris.

La sorcière qui disait avoir un frère travaillant dans l’hôpital arriva gentiment mais sûrement à la fin de son monologue. Angela détacha son regard d’elle et fixa ses yeux clairs sur une bouteille de sommeil sans rêve. Plongeant un instant dans ses pensées, elle en oublia presque la présence de Jeanne en se remémorant l’étrange rêve qu’elle avait fait cette nuit-là. Elle s’était retrouvée face à un vampire dont elle n’avait pas réussi à se débarrasser avec le poignard qu’elle possédait... Elle n’avait à aucun moment ressenti de la peur, car le vampire en question était physiquement très attirant. Il l’avait soudainement attaquée et mordue, la transformant ainsi en vampire à son tour, ce qui avait forcé la rousse à vivre la nuit pour éviter la lumière du soleil qui faisait fondre sa peau et lui provoquait des cloques. Secouant presque imperceptiblement sa tête, elle chassa de son esprit ces images qui lui semblaient bien trop réelles. Parfois, elle se demandait si ses rêves n’étaient pas de simples souvenirs de vies antérieures, tant ceux-ci étaient nets et remplis de détails. Se souvenant qu’elle n’était pas seule, Angela s’adressa à son interlocutrice en croisant ses bras devant elle, glissant ses yeux clairs sur la fille qui lui faisait face.

« Si tu veux mon avis, ton frère a dû se moquer de toi... Je doute que les Médicomages aient pris le risque de mettre quoi que ce soit de plus que des médicaments de base dans une armoire qui se trouve au plein milieu d’un couloir ! Après, je pense qu’il ne t’a pas menti en disant que si quelqu’un essayait de l’ouvrir autrement qu’avec une clé bien spécifique, il allait se retrouver paralysé... J’imagine que de verrouiller l’armoire et de la protéger avec une malédiction leur permet d’éviter des vols. En fait, je pense que ton frère t’a dit que l’armoire contenait des choses plus intéressantes que des médicaments de base pour justement te pousser à aller y fourrer ton nez pour que tu te retrouves sous l’emprise du Maléfice du Saucisson ! Bref, en tout cas, merci de m’avoir prévenue ! Sinon, pour répondre à ta ques... »

Angela fut interrompue par une porte qui s’ouvrit non loin de là. Une femme blonde vêtue d’une longue robe verte fit son apparition. Il devait s’agir d’une guérisseuse. Elle ne porta pas la moindre attention aux deux filles et, fort heureusement, elle ne remarqua pas l’épingle à cheveux encore coincée dans la serrure de l’armoire. La sorcière aux cheveux clairs avait sans doute dû penser qu’Angela et Jeanne étaient présentes dans le couloir parce qu’elles venaient rendre visite à l’un ou l’autre des patients se trouvant à cet étage. Pour avoir déjà passé du temps à flâner dans les couloirs de l’hôpital (malgré que ses parents le lui aient interdit à maintes reprises), la rousse savait que les va-et-vient y étaient nombreux. Il était d’ailleurs étonnant qu’il n’y ait pas plus de sorciers que cela qui se trouvaient cet après-midi-là dans le couloir du quatrième étage. Ne voulant pas tenter le diable, Angela attendit que la guérisseuse soit hors de vue pour retirer son épingle à cheveux de la serrure de l’armoire aux portes vitrées. Ainsi, si quelqu’un d’autre passait, il n’y avait pas de risque qu’elle se fasse gronder pour avoir tenté de voler un médicament. Le couloir étant redevenu calme, la rousse reprit la parole pour finir sa phrase :

« Pour répondre à ta question, je voulais prendre une des potions pour un sommeil sans rêve qui se trouvent dans l’armoire, parce que je n’arrête pas de rêver ces derniers temps, et c’est vraiment fatiguant à la longue de ne pas pouvoir fermer l’oeil sans plonger dans un sommeil agité. Mais bon, ce n’est pas très grave, on ne va pas aller embêter ton frère maintenant, car il doit sans doute être occupé ! Je trouverai peut-être un moyen de m’en procurer quand je vais être à Poudlard en septembre. D’ailleurs, toi, tu y fais ta rentrée cette année, ou l’année prochaine ? » demanda Angela tout en glissant son épingle à cheveux dans son sac. « Oh, et je m’appelle Angela ! » Un bruit de porte qui s’ouvre se fit entendre au loin, ce qui poussa la rousse à proposer : « Ça te dérangerait qu’on poursuive cette discussion au Salon de Thé ? Si mon père ou ma mère m’y cherche et qu’il ou elle ne m’y trouve pas, je risque de passer un sale quart d’heure... »

07 sept. 2019, 11:34
Tout ça pour une potion...
Jeanne regarda la fille en fasse d'elle qui sembla l'oublié deux minutes qui finie par lui répondre que son frère s'était sans doute moquer d'elle pour certaine chose, mais le discoure de la jeune file se stoppa, une médicomage arriva par la porte du couloir, par chance elle ne montra aucune attention au deux filles.
Puis elle continua son monologue en disant que elle cherchait une potions de sommeil sans rêve, quelle ne voulait pas déranger le frère de Jeanne pour cela et quelle s'appelait Angela. Angela proposa à Jeanne de continuer la discutions dans le salon de thé, mais Jeanne resta planté là, l'air incomprise, il avait 2 minutes elle se croyait lancé dans une terrible et redoutable aventure en quête d'une potion. Jeanne afficha un sourire forcé et amena Angela dans le salon de thé en traînant les pied en marmonnant :

- Ouai, tu as raison, allons y....

Elle passèrent le couloir et arrivèrent dans le salon de thé qui était maintenant presque vide, il y avait juste une dame assez vielle qui sirotait du thé avec une paille en bambou, elle paraissait fatiguée, très fatiguée, elle avait des cernes immensse qui tombait comme les pans de sa robe froissée, son regard était puissant avec une touche de fantaisie, ses main était moite et craquelé par endroit, Une tache rouge attirait l'attention des deux jeunes filles, cette tache faisait son apparition sur son coup fébrile, elle avait une forme de tête déformé par le temps. Angela et Jeanne s’asseyaient tranquillement à une table, Jeanne regardait les moindres gestes de la pauvre dame, comme par pitié. Jeanne commanda deux limonades sans même demander à Angela ce quelle voulait, Jeanne décida de commencer une discutions :

- Bon, on va dire que t'aime pas l'aventure... Moi j'aurai bien aimée... Enfin, quand même, tu voie ce que je veux...Tu veux vraiment pas qu'on trouve pas le secret de l'armoire ? ..... Et on prendra tout les potions de sommeille qui te plaira... si te plaaaait...En faite quand je ta parle j'ai l'impression que je te parle comme ma p'tite sœur... oui elle parle comme moi des fois, oui je crois que c'est une histoire de famille, en plus... La dame au cerne le coupa nette.
-fiou, fiou, la dame sifflait étrangement, Jeanne regarda Angela, terrifier, z'ette des zeune zous, moi ze peux pas zire que ze zuis zielle, mais z'est plus que zoue penzer... Ho les zeune, za penze qua l'azenture, z'etait comme zous avant, mais la vie en a dizider autrement... Profiter faite vos rêve tant qu'ils zont encore pozible à accomplire, la dame toussota, z'avait une tante qui est maintenant dézédé qui me dizait souvent que chaque sorcier avait une quête à achever mais bon, moi ma quête ze l'ai zamais achever, zi zamais j'aurai zu au moins en quoi elle consistait, elle toussota une dernière fois et un médicomage arriva et l’installa dans une fauteuil roulant pour le ramener dans sa chambre :
" Désoler, en ce moment elle délire un peu cette madame Groseille, elle ne vous a pas porter trop de soucis j’espère ?
- Monzieux, zordonne que vous me laizer discuter, pour une fois que des perzonnes m'écoute ! disait la vielle dame.
-Oui, oui c'est sa aller discuter avec avec vos voisin de chambre, "
La dame protesta et finie par ce laisser conduire.

Jeanne regarda Angela :
- Alooors, tu sais on dit souvent que les vielle sorcière on raison,

@Angela Sherwood


Je t'autorise à amener Jeanne ou tu veux dans le bâtiment

" L’imagination, c’est ce qui nous rend capable de comprendre des choses que nous avons jamais vécu."

J.K Rowling