Ce qui est à toi est à moi.
@Geneva King
Pff.
Je m'ennuies.
Qu'est ce que je fais en salle d'étude.
Ennui.
J'ai vraiment une tête à étudier?
Je hais le travail.
C'est comme une allergie.
Flemmardise.
Pourquoi?
Je ne sais pas.
C'est comme ça.
J'ai jamais eu à travailler.
Tout m'est toujours tombé dans la bouche alors pourquoi faire quelque chose pour en obtenir une autre.
Non vraiment je ne vois pas l'intérêt.
Désintérêt.
En plus.
En plus m'ennuyer me donne des mauvaises idées.
Du type embêter les gens.
Soudain.
Soudain, je remarque qu'une fille à sorti quelques cartes chocogrenouilles.
Une deuxième année de Serdaigle je crois.
Elle a pas l'air d'avoir fort caractère.
Reflexion.
Et j'ai faim.
Je suppose que si je m’assoies à côté d'elle, que je prends une carte mais qu'en même temps j'essaie de me lier d'amitié avec elle, elle ne dira rien.
De toute façon que dirait elle.
"Anh tu m'as volé une chocogrenouille j'vais appelé les aurors ils vont te mettre à Azkaban!"
Non.
Définitivement je ne risquais pas grand chose.
Au pire si c'est vraiment une balance, je me prendrais peut être une heure de retenue, mais c'est tout.
En plus en y réfléchissant bien, mon panier de friandises quotidiennes envoyé par mes parents n'arrive que dans une semaine, je peux pas tenir jusque là.
Faim.
C'est le moment.
Je vais donc discrètement m'asseoir à côté d'elle.
Elle est concentrée sur son travail.
Pour ne pas lui faire peur j'attends qu'elle me remarque avant de faire le moindre mouvement.
En effet, tout mes faits et gestes sont calculés.
Si je fais une erreur, je le payerais.
C'est comme ça que ça marche.
Tout ou rien.
Je préférerais tout en réalité.
Elle m'a vu.
C'est bon.
D'un geste que je juge élégant j'attrape une chocogrenouille que j'ouvre avant de dire.
-C'est sympa d'avoir ramené de quoi nourrir la salle d'étude!
Sur de moi je lui souri et passe ma main dans les cheveux.
Confiance.
Je lui tend la main pour qu'elle la serre et me présente.
-J'suis Antonn Clifford, de Serpentard, et toi?
Voilà, comme ça elle a l'impression que je m’intéresse à elle.
Les gens aiment bien qu'on s’intéresse à eux.
J'ai remarqué ça lors de ces interminables dîners auxquels mes parents, moi et ma soeur étions invités.
Ca flatte leur ego je suppose.
En tout cas ça à toujours bien marché pour moi lorsque je voulais obtenir quelque chose.
Lorsque la tête des gens gonfle, on arrive aisément à leur faire dire ce qu'on veut.
C'est de la logique.
Constatation.
Quelqu'un qui pense que tu l'admires fera tout pour garder ton admiration.
-Tu fais quoi? Moi je m'ennuie, y'a rien de cool à faire ici, c'est nul. T'es pas d'accord avec moi?
Pff.
Je m'ennuies.
Qu'est ce que je fais en salle d'étude.
Ennui.
J'ai vraiment une tête à étudier?
Je hais le travail.
C'est comme une allergie.
Flemmardise.
Pourquoi?
Je ne sais pas.
C'est comme ça.
J'ai jamais eu à travailler.
Tout m'est toujours tombé dans la bouche alors pourquoi faire quelque chose pour en obtenir une autre.
Non vraiment je ne vois pas l'intérêt.
Désintérêt.
En plus.
En plus m'ennuyer me donne des mauvaises idées.
Du type embêter les gens.
Soudain.
Soudain, je remarque qu'une fille à sorti quelques cartes chocogrenouilles.
Une deuxième année de Serdaigle je crois.
Elle a pas l'air d'avoir fort caractère.
Reflexion.
Et j'ai faim.
Je suppose que si je m’assoies à côté d'elle, que je prends une carte mais qu'en même temps j'essaie de me lier d'amitié avec elle, elle ne dira rien.
De toute façon que dirait elle.
"Anh tu m'as volé une chocogrenouille j'vais appelé les aurors ils vont te mettre à Azkaban!"
Non.
Définitivement je ne risquais pas grand chose.
Au pire si c'est vraiment une balance, je me prendrais peut être une heure de retenue, mais c'est tout.
En plus en y réfléchissant bien, mon panier de friandises quotidiennes envoyé par mes parents n'arrive que dans une semaine, je peux pas tenir jusque là.
Faim.
C'est le moment.
Je vais donc discrètement m'asseoir à côté d'elle.
Elle est concentrée sur son travail.
Pour ne pas lui faire peur j'attends qu'elle me remarque avant de faire le moindre mouvement.
En effet, tout mes faits et gestes sont calculés.
Si je fais une erreur, je le payerais.
C'est comme ça que ça marche.
Tout ou rien.
Je préférerais tout en réalité.
Elle m'a vu.
C'est bon.
D'un geste que je juge élégant j'attrape une chocogrenouille que j'ouvre avant de dire.
-C'est sympa d'avoir ramené de quoi nourrir la salle d'étude!
Sur de moi je lui souri et passe ma main dans les cheveux.
Confiance.
Je lui tend la main pour qu'elle la serre et me présente.
-J'suis Antonn Clifford, de Serpentard, et toi?
Voilà, comme ça elle a l'impression que je m’intéresse à elle.
Les gens aiment bien qu'on s’intéresse à eux.
J'ai remarqué ça lors de ces interminables dîners auxquels mes parents, moi et ma soeur étions invités.
Ca flatte leur ego je suppose.
En tout cas ça à toujours bien marché pour moi lorsque je voulais obtenir quelque chose.
Lorsque la tête des gens gonfle, on arrive aisément à leur faire dire ce qu'on veut.
C'est de la logique.
Constatation.
Quelqu'un qui pense que tu l'admires fera tout pour garder ton admiration.
-Tu fais quoi? Moi je m'ennuie, y'a rien de cool à faire ici, c'est nul. T'es pas d'accord avec moi?
5ème année RP; Batteur des Crochets d'Argent depuis la rentrée 2047; Préfet inRP à compter du 1er mai 2048.
Membre du Sixtgang.
Couleur de dialogue #134f5c
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Ce qui est à toi est à moi.
La salle d'étude avait manqué à Geneva pendant les vacances, et elle n'était pas allé dans ce lieu avant ce jour-là, depuis la rentrée. Alors, quand elle eut l'occasion de s'y rendre, pour faire un travail, après sa journée de cours, elle ne se fit pas prier et se rendit dans ce lieu de travail.
Elle était venue s'installer avec un sac de bonbons. Des Chocogrenouilles et des Patacitrouilles étaient à l'appel sans un petit sachet en papier, qu'elle avait posé sur son bureau, dans la Salle d'étude. Elle aimait beaucoup manger pendant qu'elle étudiait, car cela lui permettait de se concentrer sur son travail tout en étant à l'aise et dans un calme et plaisir.
Quelques Chocogrenouilles étaient sorties du sac, et étaient posées sur le bureau à côté d'elle. Elle en avait mangé une, mais il en restait environ cinq, et elle les aurait sûrement fini à la fin de son travail.
Soudain, elle vit un garçon, un peu plus jeune qu'elle, s'asseoir à côté d'elle et prendre une Chocogrenouille. Comment se permettait-il ? S'il avait demandé, dit bonjour, eut des formules de politesse, elle lui aurait donné avec joie, mais de cette manière... C'était limite drôle à quel point cette situation était étrange.
Pourtant, Geneva ne riait pas. Elle regarda le garçon d'un oeil sans émotion, vide de tout sentiment.
Lorsqu'il prit la parole, la jeune fille se sentit gênée. Il n'avait pas compris que les sucreries étaient à usage personnel, et pensait qu'il était donc libre d'en prendre une. Elle se voyait mal lui demander de lui rendre l'objet qu'il avait prit, surtout qu'il l'avait ouvert et allait sûrement sous peu le mettre sous sa dent.
« Eh bien... Si tu le dis. »
Juste après qu'elle est finit de parler, le jeune garçon tendit la main pour que Geneva la serre, et se présenta. Antonn Clifford. Charmant. La Serdaigle attrapa la main du garçon et la serra.
« Geneva King, de deuxième année, à Serdaigle. »
Un léger sourire apparut sur le visage de la jeune fille, et plus d'humanité emplie ses yeux. Ça devait être plus agréable à son camarade... Le garçon semblait réfléchir quelques instants. La rouquine allait lui demandait à quoi il pensait lorsqu'il reprit la parole. Ses mots furent comme une douche froide à Geneva. Elle allait commencer à l'apprécier, et là, il disait que la Salle d'Études était ennuyante ?
« Je fais mes devoirs, au cas où ça ne se verrait pas, dit-elle en montrant d'un mouvement de main le parchemin devant elle. La Salle d'Études n'est pas nulle, comme tu le dis, on peut y faire des tas de choses : travailler, réviser, s'entrainer... »
Elle comprenait que des gens n'apprécient pas ce lieu, mais pourquoi venait-il là, alors ? Ou peut-être était-ce dû à une heure de retenue ? Finalement, Geneva ne voulait pas savoir. Il avait intérêt à avoir de bonnes justification pour qu'elle daigne parler encore avec Antonn, et qu'elle lui partage ses Chocogrenouilles.
Elle était venue s'installer avec un sac de bonbons. Des Chocogrenouilles et des Patacitrouilles étaient à l'appel sans un petit sachet en papier, qu'elle avait posé sur son bureau, dans la Salle d'étude. Elle aimait beaucoup manger pendant qu'elle étudiait, car cela lui permettait de se concentrer sur son travail tout en étant à l'aise et dans un calme et plaisir.
Quelques Chocogrenouilles étaient sorties du sac, et étaient posées sur le bureau à côté d'elle. Elle en avait mangé une, mais il en restait environ cinq, et elle les aurait sûrement fini à la fin de son travail.
Soudain, elle vit un garçon, un peu plus jeune qu'elle, s'asseoir à côté d'elle et prendre une Chocogrenouille. Comment se permettait-il ? S'il avait demandé, dit bonjour, eut des formules de politesse, elle lui aurait donné avec joie, mais de cette manière... C'était limite drôle à quel point cette situation était étrange.
Pourtant, Geneva ne riait pas. Elle regarda le garçon d'un oeil sans émotion, vide de tout sentiment.
Lorsqu'il prit la parole, la jeune fille se sentit gênée. Il n'avait pas compris que les sucreries étaient à usage personnel, et pensait qu'il était donc libre d'en prendre une. Elle se voyait mal lui demander de lui rendre l'objet qu'il avait prit, surtout qu'il l'avait ouvert et allait sûrement sous peu le mettre sous sa dent.
« Eh bien... Si tu le dis. »
Juste après qu'elle est finit de parler, le jeune garçon tendit la main pour que Geneva la serre, et se présenta. Antonn Clifford. Charmant. La Serdaigle attrapa la main du garçon et la serra.
« Geneva King, de deuxième année, à Serdaigle. »
Un léger sourire apparut sur le visage de la jeune fille, et plus d'humanité emplie ses yeux. Ça devait être plus agréable à son camarade... Le garçon semblait réfléchir quelques instants. La rouquine allait lui demandait à quoi il pensait lorsqu'il reprit la parole. Ses mots furent comme une douche froide à Geneva. Elle allait commencer à l'apprécier, et là, il disait que la Salle d'Études était ennuyante ?
« Je fais mes devoirs, au cas où ça ne se verrait pas, dit-elle en montrant d'un mouvement de main le parchemin devant elle. La Salle d'Études n'est pas nulle, comme tu le dis, on peut y faire des tas de choses : travailler, réviser, s'entrainer... »
Elle comprenait que des gens n'apprécient pas ce lieu, mais pourquoi venait-il là, alors ? Ou peut-être était-ce dû à une heure de retenue ? Finalement, Geneva ne voulait pas savoir. Il avait intérêt à avoir de bonnes justification pour qu'elle daigne parler encore avec Antonn, et qu'elle lui partage ses Chocogrenouilles.
Deuxième année RP
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
Ce qui est à toi est à moi.
Oulah.
On dirait que je l'ai énervé en parlant de la salle d'études.
C'est une Serdaigle en même temps.
Une grosse intello.
Faut pas leur parler de leur travail sinon ils s'énervent.
J'aurais dû m'en souvenir.
Maintenant faut que je redouble d'effort si je veux me sortir du trou dans lequel j'ai mis un de mes pieds.
Elle m'énerve un peu avec ses airs de Miss Parfaite.
Mais je ne laisse rien paraître.
Sinon adieu chocogrenouilles.
-Nan mais ce que je veux dire c'est qu'il n'y a rien pour nous aider à étudier. C'est "Débrouillez vous"! Ils pourraient installer des choses pour nous aider et faire en sorte qu'il y ai toujours un adulte disponible pour les élèves dans la salle. C'est ça que je leur reproche. Je dis pas qu'on s'ennuie dans le sens "on peut rien faire", mais bon, ils pourraient rendre le travail amusant. J'ai lu un truc la dernière fois qui disait que l'on mémorise mieux lorsqu'on a appris en lisant.
C'est faux.
Je lis jamais de livre sur "l'éducation scolaire".
Je préfère lire la botanique, et sinon, les contes.
Mais ça devrait la calmer un peu.
Et la décrisper.
-Tu veux de l'aide pour tes devoirs? J'suis assez fort en botanique et sortilèges, alors se serait un plaisir pour moi de t'aider même si tu as un an de plus que moi. En plus travailler à deux, c'est beaucoup mieux.
Encore faux.
Travailler c'est nul.
Que se soit seul ou à deux.
Pratiquer, ça c'est bien.
Apprendre, c'est beurk.
Allez engageons maintenant une conversation.
-Tu viens d'une famille sorcière? Moi oui, depuis des générations. J'ai ma soeur qui est à Poudlard, Elisabeth, en quatrième année, tu la connais peut être? Et toi? T'as de la famille à Poudlard? Ou tu es toute seule?
C'est une question normalement efficace.
Elle fait penser à la personne qu'on s’intéresse à elle et à sa petite vie banale.
Même si c'est faux.
J'en ai rien à faire.
Mais bon.
Faut lui faire croire que si, ça lui fera plaisir.
-T'a quoi comme moyenne générale?
Ca ça m’intéresse.
J'vais enfin savoir si c'est une vrai intello ou si elle fait juste semblant.
Dans un cas comme dans l'autre elle va un peu me blaser.
Mais rien de bien grave.
Quand on a faim résister à tout ça c'est rien.
Surtout quand on peut gagner des chocogrenouilles.
Une chocogrenouille c'est si bon.
Et puis en plus il y a la carte qui va avec.
J'ai presque toute la collection.
Il ne me manquait plus que deux Or puisque j'ai trouvé Salazar Serpentard dans le train avec Feli'.
Et si ça se trouve les deux Or qu'il me manque sont dans son tas.
On dirait que je l'ai énervé en parlant de la salle d'études.
C'est une Serdaigle en même temps.
Une grosse intello.
Faut pas leur parler de leur travail sinon ils s'énervent.
J'aurais dû m'en souvenir.
Maintenant faut que je redouble d'effort si je veux me sortir du trou dans lequel j'ai mis un de mes pieds.
Elle m'énerve un peu avec ses airs de Miss Parfaite.
Mais je ne laisse rien paraître.
Sinon adieu chocogrenouilles.
-Nan mais ce que je veux dire c'est qu'il n'y a rien pour nous aider à étudier. C'est "Débrouillez vous"! Ils pourraient installer des choses pour nous aider et faire en sorte qu'il y ai toujours un adulte disponible pour les élèves dans la salle. C'est ça que je leur reproche. Je dis pas qu'on s'ennuie dans le sens "on peut rien faire", mais bon, ils pourraient rendre le travail amusant. J'ai lu un truc la dernière fois qui disait que l'on mémorise mieux lorsqu'on a appris en lisant.
C'est faux.
Je lis jamais de livre sur "l'éducation scolaire".
Je préfère lire la botanique, et sinon, les contes.
Mais ça devrait la calmer un peu.
Et la décrisper.
-Tu veux de l'aide pour tes devoirs? J'suis assez fort en botanique et sortilèges, alors se serait un plaisir pour moi de t'aider même si tu as un an de plus que moi. En plus travailler à deux, c'est beaucoup mieux.
Encore faux.
Travailler c'est nul.
Que se soit seul ou à deux.
Pratiquer, ça c'est bien.
Apprendre, c'est beurk.
Allez engageons maintenant une conversation.
-Tu viens d'une famille sorcière? Moi oui, depuis des générations. J'ai ma soeur qui est à Poudlard, Elisabeth, en quatrième année, tu la connais peut être? Et toi? T'as de la famille à Poudlard? Ou tu es toute seule?
C'est une question normalement efficace.
Elle fait penser à la personne qu'on s’intéresse à elle et à sa petite vie banale.
Même si c'est faux.
J'en ai rien à faire.
Mais bon.
Faut lui faire croire que si, ça lui fera plaisir.
-T'a quoi comme moyenne générale?
Ca ça m’intéresse.
J'vais enfin savoir si c'est une vrai intello ou si elle fait juste semblant.
Dans un cas comme dans l'autre elle va un peu me blaser.
Mais rien de bien grave.
Quand on a faim résister à tout ça c'est rien.
Surtout quand on peut gagner des chocogrenouilles.
Une chocogrenouille c'est si bon.
Et puis en plus il y a la carte qui va avec.
J'ai presque toute la collection.
Il ne me manquait plus que deux Or puisque j'ai trouvé Salazar Serpentard dans le train avec Feli'.
Et si ça se trouve les deux Or qu'il me manque sont dans son tas.
5ème année RP; Batteur des Crochets d'Argent depuis la rentrée 2047; Préfet inRP à compter du 1er mai 2048.
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Ce qui est à toi est à moi.
Geneva était tendue. Il était dans une école de magie et il se plaignait d'étudier ? Et bien, il n'avait qu'à en partir ! La jeune fille était renfrognée et ça se voyait sur son visage, elle n'essayait même pas de le cacher. Néanmoins, les paroles que dit Antonn pour se rattraper, bien que peu sincères, remontèrent un peu le jeune garçon dans l'estime de la Serdaigle.
Il enchaîna ensuite, en lui proposant son aide. D'un ton sarcastique, elle répondit :
« S'il y a l'un de nous deux qui doit aider l'autre dans ses études, c'est bien moi. Je suis douée dans les deux matières que tu proposes, et puis tu ne connais pas les leçons que je dois étudier. Enfin, c'est gentil de proposer. »
Un sourire se forma sur son visage. Il était discret, mais bien présent. C'était une invitation sous-entendue à l'aider. La comprendrait-il ? À vrai dire, elle s'en fichait éperdument. Elle le voyait essayer de se rattraper, et elle aimer en jouer. Il était en position de faiblesse, bien qu'il puisse croire le contraire. Et, ça l'amusait. Puis, le garçon reprit la parole, engageant la conversation. Peut-être que finalement, il ne voulait que se lier d'amitié, et pas la manipuler... Elle n'en savait plus rien.
« Ma famille est Moldue, et je suis fille unique, donc la seule à Poudlard. Je ne connais pas ta soeur. Tu sais, je ne fréquentes pas trop les quatrièmes années... »
Expliquer sa situation complète était compliqué, et suscitait souvent chez les gens de la pitié, ce qu'elle détestait. Alors, elle réduisait sa vie, sa famille, à quelques mots, alors que plusieurs livres n'auraient pas suffit à la décrire. Tant pis. Geneva n'avait pas comme projet de discuter, elle voulait travailler, mais trouvait ça extrêmement mal poli d'écourter une conversation, alors qu'elle n'appréciait pas la faire. Son éducation eut raison sur ses envies, et elle répondit à la seconde question d'Antonn :
« Je suis descendue à Effort Exceptionnel, mais si mes deux prochaines devoirs sont assez complets, je devrais normalement être à nouveau à Optimal. E toi ? »
Elle redressa son sourire sur ses lèvres. Il était faux, hypocrite, et elle s'en voulait de devoir faire semblant. Mais, était-ce réellement sa faute si leurs deux caractères n'étaient pas compatibles ? Mais, malgré cette réflexion qu'elle venait de se faire, elle s'en voulait toujours un peu - une pointe, tapis au fond de son ventre, mais bien présente.
Une fois que le jeune garçon eut répondu, Geneva posa une question, ne voulant pas que l'initiative vienne toujours de lui.
« Tu aimes bien le Quidditch ? Je suis commentatrice depuis le début de l'année, c'est vachement sympa comme sport, une fois qu'on a capté les règles. »
Peut-être avaient-ils cette passion en commun ? Ça serait un moyen de discuter sans cette petite gène qu'elle ressentait entre eux. Peut-être même pourraient-ils se lier d'une amitié, ou au moins bien s'entendre, espéra la jeune Serdaigle.
Il enchaîna ensuite, en lui proposant son aide. D'un ton sarcastique, elle répondit :
« S'il y a l'un de nous deux qui doit aider l'autre dans ses études, c'est bien moi. Je suis douée dans les deux matières que tu proposes, et puis tu ne connais pas les leçons que je dois étudier. Enfin, c'est gentil de proposer. »
Un sourire se forma sur son visage. Il était discret, mais bien présent. C'était une invitation sous-entendue à l'aider. La comprendrait-il ? À vrai dire, elle s'en fichait éperdument. Elle le voyait essayer de se rattraper, et elle aimer en jouer. Il était en position de faiblesse, bien qu'il puisse croire le contraire. Et, ça l'amusait. Puis, le garçon reprit la parole, engageant la conversation. Peut-être que finalement, il ne voulait que se lier d'amitié, et pas la manipuler... Elle n'en savait plus rien.
« Ma famille est Moldue, et je suis fille unique, donc la seule à Poudlard. Je ne connais pas ta soeur. Tu sais, je ne fréquentes pas trop les quatrièmes années... »
Expliquer sa situation complète était compliqué, et suscitait souvent chez les gens de la pitié, ce qu'elle détestait. Alors, elle réduisait sa vie, sa famille, à quelques mots, alors que plusieurs livres n'auraient pas suffit à la décrire. Tant pis. Geneva n'avait pas comme projet de discuter, elle voulait travailler, mais trouvait ça extrêmement mal poli d'écourter une conversation, alors qu'elle n'appréciait pas la faire. Son éducation eut raison sur ses envies, et elle répondit à la seconde question d'Antonn :
« Je suis descendue à Effort Exceptionnel, mais si mes deux prochaines devoirs sont assez complets, je devrais normalement être à nouveau à Optimal. E toi ? »
Elle redressa son sourire sur ses lèvres. Il était faux, hypocrite, et elle s'en voulait de devoir faire semblant. Mais, était-ce réellement sa faute si leurs deux caractères n'étaient pas compatibles ? Mais, malgré cette réflexion qu'elle venait de se faire, elle s'en voulait toujours un peu - une pointe, tapis au fond de son ventre, mais bien présente.
Une fois que le jeune garçon eut répondu, Geneva posa une question, ne voulant pas que l'initiative vienne toujours de lui.
« Tu aimes bien le Quidditch ? Je suis commentatrice depuis le début de l'année, c'est vachement sympa comme sport, une fois qu'on a capté les règles. »
Peut-être avaient-ils cette passion en commun ? Ça serait un moyen de discuter sans cette petite gène qu'elle ressentait entre eux. Peut-être même pourraient-ils se lier d'une amitié, ou au moins bien s'entendre, espéra la jeune Serdaigle.
Deuxième année RP
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
Ce qui est à toi est à moi.
Huuum.
Elle se prend pour qui pour me proposer son aide de façon cachée.
De une, c'était très mal caché et en plus le ton employé n'était pas vraiment des plus amical.
-Je n'ai pas besoin d'aide car sache que même si travailler n'est pas quelque chose qui me passionne, ça ne veut pas dire que je suis nul à l'école. En plus, en botanique, je me suis avancé jusqu'au programme de cinquième année alors si tu avais eu besoin d'aide dans cette matière j'aurais très bien pu te l'apporter.
Je ne ment pas pour une fois.
La botanique est l'une des seules matière que j'aime plus que tout.
Et le fait qu'elle se croit plus forte que moi dans ce domaine m'avait passablement énervé.
Elle ne descendait que de simples moldus et osait prétendre être une sorcière parfaite, savait elle seulement que ce n'était pas possible? Qui vient d'une famille moldu reste moldu à l'intérieur.
Il y a quelques exceptions bien sur.
Mais je ne pense pas qu'elle en fasse partie, loin de là.
Lorsqu'elle me demande ma moyenne, je souri.
Enfin un moyen de lui montrer que je suis plus intelligent que ce qu'elle pense.
Bon d'accord je ne travaille pas en classe.
Mais lorsque j'ai un devoir à rendre, Eli' me force à le faire.
Alors elle m'aide ce qui fait que je ne rend que des devoirs de qualité.
Et j'ai donc une excellente moyenne.
-Optimal, ma moyenne c'est optimal. Mais je pense qu'elle va baisser dans le futur parce que pour le moment la première année c'est super facile.
Oui, on dirait pas en me voyant et en m'entendant.
Mais j'ai vraiment optimal.
Bon si ma soeur me surveillait pas j'aurais D.
Mais c'est pas si important ça.
Puisque de toute façon elle arrêtera jamais de me surveiller.
Des fois j'ai l'impression que c'est ma mère tellement elle est toujours sur mon dos.
Fin ma mère s'occupe pas vraiment de moi mais bon, dans le principe quoi.
Soudain elle parle de Quidditch.
Mon cerveau qui s'était un peu éteint depuis tout à l'heure se rallume aussitôt par réflexe.
-C'est vrai? T'es commentatrice? Moi je fais parti de la première génération de Cheerleadeur de Poudlard, tu sais que Serpentard est la première maison à avoir une équipe de Cheer? Et j'en fait parti! C'est trop trop génial je trouve. Genre je dis pas ça pour me vanter, j'en suis vraiment fier. A la base je voulais devenir joueur de Quidditch mais je préfère d'abord apprendre à bien gérer mon balai avant de candidater. Du coup le cheerleading vu que j'avais déjà fait de la gym c'était parfait! Au final je me demande même si je vais pas le rester cheerleadeur!
Peut être qu'on a des point commun finalement.
Elle se prend pour qui pour me proposer son aide de façon cachée.
De une, c'était très mal caché et en plus le ton employé n'était pas vraiment des plus amical.
-Je n'ai pas besoin d'aide car sache que même si travailler n'est pas quelque chose qui me passionne, ça ne veut pas dire que je suis nul à l'école. En plus, en botanique, je me suis avancé jusqu'au programme de cinquième année alors si tu avais eu besoin d'aide dans cette matière j'aurais très bien pu te l'apporter.
Je ne ment pas pour une fois.
La botanique est l'une des seules matière que j'aime plus que tout.
Et le fait qu'elle se croit plus forte que moi dans ce domaine m'avait passablement énervé.
Elle ne descendait que de simples moldus et osait prétendre être une sorcière parfaite, savait elle seulement que ce n'était pas possible? Qui vient d'une famille moldu reste moldu à l'intérieur.
Il y a quelques exceptions bien sur.
Mais je ne pense pas qu'elle en fasse partie, loin de là.
Lorsqu'elle me demande ma moyenne, je souri.
Enfin un moyen de lui montrer que je suis plus intelligent que ce qu'elle pense.
Bon d'accord je ne travaille pas en classe.
Mais lorsque j'ai un devoir à rendre, Eli' me force à le faire.
Alors elle m'aide ce qui fait que je ne rend que des devoirs de qualité.
Et j'ai donc une excellente moyenne.
-Optimal, ma moyenne c'est optimal. Mais je pense qu'elle va baisser dans le futur parce que pour le moment la première année c'est super facile.
Oui, on dirait pas en me voyant et en m'entendant.
Mais j'ai vraiment optimal.
Bon si ma soeur me surveillait pas j'aurais D.
Mais c'est pas si important ça.
Puisque de toute façon elle arrêtera jamais de me surveiller.
Des fois j'ai l'impression que c'est ma mère tellement elle est toujours sur mon dos.
Fin ma mère s'occupe pas vraiment de moi mais bon, dans le principe quoi.
Soudain elle parle de Quidditch.
Mon cerveau qui s'était un peu éteint depuis tout à l'heure se rallume aussitôt par réflexe.
-C'est vrai? T'es commentatrice? Moi je fais parti de la première génération de Cheerleadeur de Poudlard, tu sais que Serpentard est la première maison à avoir une équipe de Cheer? Et j'en fait parti! C'est trop trop génial je trouve. Genre je dis pas ça pour me vanter, j'en suis vraiment fier. A la base je voulais devenir joueur de Quidditch mais je préfère d'abord apprendre à bien gérer mon balai avant de candidater. Du coup le cheerleading vu que j'avais déjà fait de la gym c'était parfait! Au final je me demande même si je vais pas le rester cheerleadeur!
Peut être qu'on a des point commun finalement.
5ème année RP; Batteur des Crochets d'Argent depuis la rentrée 2047; Préfet inRP à compter du 1er mai 2048.
Membre du Sixtgang.
Couleur de dialogue #134f5c
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Ce qui est à toi est à moi.
Geneva commençait à être énervée par Antonn. Quand comprendrait-il qu'elle ne lui voulait pas de mal, mais qu'elle souhaitait simplement l'aider, et, même s'il refusait, il n'avait pas à se brusquer, ce n'était pas une solution. Faire une petite guerre, se comparer et montrer qui est le plus fort, c'était inutile et complètement immature aux yeux de la Serdaigle.
Il se vantait, à présent, de sa moyenne élevée, plus que la jeune fille. Il avait une année de moins, du sans sorcier, et croyait pouvoir prétendre à une intelligence supérieure à celle de la rouquine ? Pas qu'elle veuille particulièrement être au dessus de lui, mais le comportement du brun l'énervait au plus haut point.
Puis, il parla Quidditch. Elle pensait qu'ils avaient enfin un point commun, mais le voilà qui continuait à raconter des choses dont il était fier. Elle était commentatrice, c'était un fait. Rien de bien fantastique, juste un fait. Mais, pourquoi donc le jeune Antonn se vantait-il ainsi d'avoir un post égal, quoi que non officiel, sur une passion commune ? Elle commençait à en avoir vraiment marre du jeune garçon, mais lui donna une dernière chance pour qu'ils soient amis :
« Écoute. Je commence à en avoir marre de toi, alors c'est simple : soit on parle de notre passion à priori commune, le Quidditch, soit on ne se parle plus du tout. Ça ne sert à rien de te vanter de ta moyenne, de ton niveau en botanique ou de ton rôle dans l'école, tu n'en seras pas quelqu'un de plus important ou impressionnant à mes yeux. Arrête de te cacher derrière une image, et sois toi-même. Ça fait du bien, je t'assure. »
Passablement énervée, la jeune fille reprit son souffle après le long monologue qu'elle venait de tirer à son jeune camarade. Elle avait définitivement la poisse avec les premières années... Mais elle ne voulait pas mal partir avec le garçon, elle voulait que ça aille mieux. Mais, cela ne tenait qu'au Serpentard... C'était à lui de décider s'il se faisait une connaissance, une amie s'il faisait des efforts, ou s'il se mettait quelqu'un à dos (et elle ne serait sûrement pas la première depuis son arrivée dans l'école, elle en était certaine). Le garçon était compliqué à comprendre. Si on y arrivait pas du premier coup, on avait peu de chance d'être son ami, ou de mériter son intérêt.
Et, à vrai dire, Antonn intriguait Geneva. Elle voulait comprendre son mécanisme, comme elle aurait compris comment lancer un sort. Intérieurement, elle se lança ce défi : déjouer le mystère-Antonn. Elle allait avoir du mal, certes, mais elle voulait absolument y arriver. Elle n'arrêterait pas avant d'avoir percé ce secret.
@Antonn Clifford Je pense que c'est le dernier post que je ferais, à voir comment réagit ton personnage
Il se vantait, à présent, de sa moyenne élevée, plus que la jeune fille. Il avait une année de moins, du sans sorcier, et croyait pouvoir prétendre à une intelligence supérieure à celle de la rouquine ? Pas qu'elle veuille particulièrement être au dessus de lui, mais le comportement du brun l'énervait au plus haut point.
Puis, il parla Quidditch. Elle pensait qu'ils avaient enfin un point commun, mais le voilà qui continuait à raconter des choses dont il était fier. Elle était commentatrice, c'était un fait. Rien de bien fantastique, juste un fait. Mais, pourquoi donc le jeune Antonn se vantait-il ainsi d'avoir un post égal, quoi que non officiel, sur une passion commune ? Elle commençait à en avoir vraiment marre du jeune garçon, mais lui donna une dernière chance pour qu'ils soient amis :
« Écoute. Je commence à en avoir marre de toi, alors c'est simple : soit on parle de notre passion à priori commune, le Quidditch, soit on ne se parle plus du tout. Ça ne sert à rien de te vanter de ta moyenne, de ton niveau en botanique ou de ton rôle dans l'école, tu n'en seras pas quelqu'un de plus important ou impressionnant à mes yeux. Arrête de te cacher derrière une image, et sois toi-même. Ça fait du bien, je t'assure. »
Passablement énervée, la jeune fille reprit son souffle après le long monologue qu'elle venait de tirer à son jeune camarade. Elle avait définitivement la poisse avec les premières années... Mais elle ne voulait pas mal partir avec le garçon, elle voulait que ça aille mieux. Mais, cela ne tenait qu'au Serpentard... C'était à lui de décider s'il se faisait une connaissance, une amie s'il faisait des efforts, ou s'il se mettait quelqu'un à dos (et elle ne serait sûrement pas la première depuis son arrivée dans l'école, elle en était certaine). Le garçon était compliqué à comprendre. Si on y arrivait pas du premier coup, on avait peu de chance d'être son ami, ou de mériter son intérêt.
Et, à vrai dire, Antonn intriguait Geneva. Elle voulait comprendre son mécanisme, comme elle aurait compris comment lancer un sort. Intérieurement, elle se lança ce défi : déjouer le mystère-Antonn. Elle allait avoir du mal, certes, mais elle voulait absolument y arriver. Elle n'arrêterait pas avant d'avoir percé ce secret.
@Antonn Clifford Je pense que c'est le dernier post que je ferais, à voir comment réagit ton personnage
Deuxième année RP
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
Ce qui est à toi est à moi.
Huuum.
Mais attends elle se prend pour qui?
Elle ose me dire que je me vante depuis tout à l'heure alors que au contraire, j'essaie d'établir le dialogue.
C'est qui qui était en mode "J'suis la meilleure élève de Poudlard donc tu peux pas m'aider alors ta bouche" tout à l'heure.
Pas moi en tout cas.
J'suis vraiment tombé sur la pire peste de la salle en fait.
J'ai un don pour toujours aller voir les mêmes personnes qui ne sont pas ouvertes à ma compagnie.
Je la regarde d'un air sceptique avant de me mettre à parler d'un air sarcastique.
-Attends, tu rigoles là? C'est toi qui ramène tout à toi depuis tout à l'heure, "Je suis la seule qui ai le pouvoir de te donner de l'aide", "je suis la seule qui a une bonne moyenne", "Je suis la seule qui a un méga bon rôle au Quidditch" alors steuplait, renverse pas la situation, depuis tout à l'heure j'essaie de faire la conversation alors que tu n'es pas très aimable, on va pas se mytho. J'en ai rien à faire de tes morales de petite fille modèle moi. Ton problème c'est que tu juges sans connaître alors tu n'as pas digéré de voir que je ne te suis pas inférieur comme tu le pensais et tu refuses de te dire que tu t'es peut être trompée. En tout cas, ce qui est sur, c'est que grâce à toi je comprends que mes parents avaient bien raison sur les gens de ton espèce. "Pas une goutte de sang sorcier mais donnez leur une lettre d'admission à Poudlard et une baguette et ça se prend pour Dumbledore". Tu ferais mieux de rester à ta place de Sang de bourbe et d'arrêter de te prendre pour je ne sais qui, peut être qu'ainsi les gens commenceront à t'apprécier, parce que tu m'excuseras, mais dans tout les gens que j'ai croisé à Poudlard, y'en a pas un qui m'a dit du bien de toi.
J'ai dit ce que j'avais sur le coeur.
Au moins maintenant je sais que cette fille est une vrai peste à ne pas approcher.
J'aurais du partir dès que j'ai su qu'elle était né-moldu.
Ces personnes là sont du genre infréquentable.
J'étais prévenu pourtant.
Ca m'apprendra à n'écouter que d'une oreille les avertissements de papa et maman sur cette espèce.
Je me prépare a partir.
Sauf que, la tentation est bien trop forte.
J'attrape mon sac et prend deux chocogrenouilles dans son tas.
Avant de partir pour de vrai, je me retourne et lui adresse ces quelques mots.
-Merci pour la dégustation, j'espère qu'on ne se reverra jamais mais au cas ou, à plus!
Je lui envoie un baiser de l'autre bout de la pièce avant de partir.
Je suis peut être allé un peu trop loin.
Je sens que le karma va me revenir dans la figure.
J'ai pas l'habitude d'être si méchant mais elle l'avait mérité.
Tant pis pour elle.
Fin du RP pour moi, merci d'avoir supporté mon insupportable Totonn jusqu'à la fin
Mais attends elle se prend pour qui?
Elle ose me dire que je me vante depuis tout à l'heure alors que au contraire, j'essaie d'établir le dialogue.
C'est qui qui était en mode "J'suis la meilleure élève de Poudlard donc tu peux pas m'aider alors ta bouche" tout à l'heure.
Pas moi en tout cas.
J'suis vraiment tombé sur la pire peste de la salle en fait.
J'ai un don pour toujours aller voir les mêmes personnes qui ne sont pas ouvertes à ma compagnie.
Je la regarde d'un air sceptique avant de me mettre à parler d'un air sarcastique.
-Attends, tu rigoles là? C'est toi qui ramène tout à toi depuis tout à l'heure, "Je suis la seule qui ai le pouvoir de te donner de l'aide", "je suis la seule qui a une bonne moyenne", "Je suis la seule qui a un méga bon rôle au Quidditch" alors steuplait, renverse pas la situation, depuis tout à l'heure j'essaie de faire la conversation alors que tu n'es pas très aimable, on va pas se mytho. J'en ai rien à faire de tes morales de petite fille modèle moi. Ton problème c'est que tu juges sans connaître alors tu n'as pas digéré de voir que je ne te suis pas inférieur comme tu le pensais et tu refuses de te dire que tu t'es peut être trompée. En tout cas, ce qui est sur, c'est que grâce à toi je comprends que mes parents avaient bien raison sur les gens de ton espèce. "Pas une goutte de sang sorcier mais donnez leur une lettre d'admission à Poudlard et une baguette et ça se prend pour Dumbledore". Tu ferais mieux de rester à ta place de Sang de bourbe et d'arrêter de te prendre pour je ne sais qui, peut être qu'ainsi les gens commenceront à t'apprécier, parce que tu m'excuseras, mais dans tout les gens que j'ai croisé à Poudlard, y'en a pas un qui m'a dit du bien de toi.
J'ai dit ce que j'avais sur le coeur.
Au moins maintenant je sais que cette fille est une vrai peste à ne pas approcher.
J'aurais du partir dès que j'ai su qu'elle était né-moldu.
Ces personnes là sont du genre infréquentable.
J'étais prévenu pourtant.
Ca m'apprendra à n'écouter que d'une oreille les avertissements de papa et maman sur cette espèce.
Je me prépare a partir.
Sauf que, la tentation est bien trop forte.
J'attrape mon sac et prend deux chocogrenouilles dans son tas.
Avant de partir pour de vrai, je me retourne et lui adresse ces quelques mots.
-Merci pour la dégustation, j'espère qu'on ne se reverra jamais mais au cas ou, à plus!
Je lui envoie un baiser de l'autre bout de la pièce avant de partir.
Je suis peut être allé un peu trop loin.
Je sens que le karma va me revenir dans la figure.
J'ai pas l'habitude d'être si méchant mais elle l'avait mérité.
Tant pis pour elle.
Fin du RP pour moi, merci d'avoir supporté mon insupportable Totonn jusqu'à la fin
5ème année RP; Batteur des Crochets d'Argent depuis la rentrée 2047; Préfet inRP à compter du 1er mai 2048.
Membre du Sixtgang.
Couleur de dialogue #134f5c
Membre du Sixtgang.
Couleur de dialogue #134f5c
Ce qui est à toi est à moi.
Geneva pensait qu'Antonn avait été jusqu'à présent plus insupportable et méchant qu'il ne pourrait jamais l'être, mais elle s'était trompée. Son ton était à présent dur, froid et qui se voulait effrayant (mais, après s'être frotter à Edwin, elle n'avait plus trop peur des gens, à part peut-être Hestia quand elle avait un sac et que son contenu était inconnu). Il l'insultait, il disait ses quatre vérités à la jeune fille, lui crachant presque dessus.
Alors comme ça, elle était une Sang-de-Bourbe ? Elle ramenait tout à elle ? Elle était égocentrique ? C'était le plus grand quiproquo auquel Geneva n'avait jamais participé... Ils ne s'étaient définitivement pas compris ! Lui ne pensait absolument pas à mal en parlant de sa moyenne, ou de son rôle dans l'équipe de Cheerleaders, alors que Geneva avait compris une vantardise dégoulinante, tandis que le garçon avait mal pris les réponses qu'elle avait donné à ses questions.
Elle voulait s'expliquer, mais ses paroles ne lui donnaient vraiment pas envie de lui répondre. Se faire traiter de Sang-de-Bourbe, parce qu'elle avait dit qu'elle avait une bonne moyenne ? Certes, ce n'était pas que ça, mais c'était en parti. Surtout qu'elle n'était pas Née-Moldue, mais Sang-mêlée. Elle s'en foutait, ce n'était pas important pour elle. Mais, quand même... Se faire insulter n'était pas le problème, mais personne n'avait à insulter son sang sans la connaître, elle et sa famille.
Parce qu'elle était bien, sa famille. Elle était joyeuse, sans problème visible. Elle pouvait tout à fait passer pour une famille Moldue (Geneva y avait cru pendant onze ans, ils savaient donc bien le faire) comme être une famille sorcière très bien dans son genre.
Même si la jeune fille avait voulu parler, elle n'aurait pas vraiment pu, tout compte fait. Il ne laissa qu'un instant de pause, et ce qu'il fit pendant laissa la rouquine sans voix : il lui prit une Chocogrenouille. Comment osait-il ? C'était son sachet, déjà qu'elle ne lui avait pas donné l'autorisation au premier chocolat qu'il s'était permis de prendre, mais là il continuait. C'était de la pure provocation, et Geneva essaya de se calmer en se disant que ce n'était rien d'autre qu'un acte immature et sans conséquence. Mais, quand il partit, son geste final fit monter le sang de la rouquine à la tête.
Elle continua de travailler pendant une quinzaine de minutes, remplissant un peu au hasard son brouillon. En même temps, elle réfléchissait à sa conversation avec Antonn, réfléchissant à qui avait fait un faux pas en premier. Elle ne s'en souvenait pas vraiment... Voyant qu'elle n'arrivait à rien de productif, la fillette rangea ses affaires, prenant soin de prendre son sac de Chocogrenouilles avec elle. Heureusement pour elle, Geneva avait déjà fait son travail pour le lendemain, et était venu en Salle d'Études pour s'avancer pour son travail des jours à venir. Elle le ferait un autre jour...
Fin du RP pour moi aussi, merci d'avoir volé mes Chocogrenouilles
Alors comme ça, elle était une Sang-de-Bourbe ? Elle ramenait tout à elle ? Elle était égocentrique ? C'était le plus grand quiproquo auquel Geneva n'avait jamais participé... Ils ne s'étaient définitivement pas compris ! Lui ne pensait absolument pas à mal en parlant de sa moyenne, ou de son rôle dans l'équipe de Cheerleaders, alors que Geneva avait compris une vantardise dégoulinante, tandis que le garçon avait mal pris les réponses qu'elle avait donné à ses questions.
Elle voulait s'expliquer, mais ses paroles ne lui donnaient vraiment pas envie de lui répondre. Se faire traiter de Sang-de-Bourbe, parce qu'elle avait dit qu'elle avait une bonne moyenne ? Certes, ce n'était pas que ça, mais c'était en parti. Surtout qu'elle n'était pas Née-Moldue, mais Sang-mêlée. Elle s'en foutait, ce n'était pas important pour elle. Mais, quand même... Se faire insulter n'était pas le problème, mais personne n'avait à insulter son sang sans la connaître, elle et sa famille.
Parce qu'elle était bien, sa famille. Elle était joyeuse, sans problème visible. Elle pouvait tout à fait passer pour une famille Moldue (Geneva y avait cru pendant onze ans, ils savaient donc bien le faire) comme être une famille sorcière très bien dans son genre.
Même si la jeune fille avait voulu parler, elle n'aurait pas vraiment pu, tout compte fait. Il ne laissa qu'un instant de pause, et ce qu'il fit pendant laissa la rouquine sans voix : il lui prit une Chocogrenouille. Comment osait-il ? C'était son sachet, déjà qu'elle ne lui avait pas donné l'autorisation au premier chocolat qu'il s'était permis de prendre, mais là il continuait. C'était de la pure provocation, et Geneva essaya de se calmer en se disant que ce n'était rien d'autre qu'un acte immature et sans conséquence. Mais, quand il partit, son geste final fit monter le sang de la rouquine à la tête.
Elle continua de travailler pendant une quinzaine de minutes, remplissant un peu au hasard son brouillon. En même temps, elle réfléchissait à sa conversation avec Antonn, réfléchissant à qui avait fait un faux pas en premier. Elle ne s'en souvenait pas vraiment... Voyant qu'elle n'arrivait à rien de productif, la fillette rangea ses affaires, prenant soin de prendre son sac de Chocogrenouilles avec elle. Heureusement pour elle, Geneva avait déjà fait son travail pour le lendemain, et était venu en Salle d'Études pour s'avancer pour son travail des jours à venir. Elle le ferait un autre jour...
Fin du RP pour moi aussi, merci d'avoir volé mes Chocogrenouilles
Deuxième année RP
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal