Au revoir, sérénité
Mercredi 14 décembre 2044
Finalement, décembre s’était bien installé à Poudlard. Le premier trimestre se finissait et dans quelques jours, Britanny reprendrait le train pour les vacances de Noël. Ce n’était pas le cas, mais même si elle aurait convenu avec ses parents qu’elle ne viendrait pas pour cette période, avec tout ce qu’il s’était passé à Poudlard le mois dernier, ils seraient revenus sur cette décision illico. Bien évidemment, ce départ était prévu, et ses parents lui avait évidemment envoyé une lettre pour lui rappeler qu’elle ne restait pas à l’école pour les fêtes. Elle n’était pas mécontente de rentrer, c’est sûr, elle n’est plus aussi à l’aise qu’à la rentrée dans les couloirs, mais elle redoutait la réaction de ses parents face à ce qu’il s’était déroulé au bal d’Halloween. Elle avait eu un avant-goût avec les divers hiboux qui l’ont harcelé les semaines suivantes, et elle n’avait pas hâte de voir cela en face. Blasée par ses pensées, elle avait décidé de se replonger dans ses cours, afin de préparer les prochains examens.
Allongée sur son lit, elle avait passé en revue plusieurs matières, et elle était finalement arrivée à l’Histoire de la Magie. Au bout de vingt minutes à relire encore et encore le même paragraphe, la petite rousse dû se rendre à l’évidence : alors que le cours pouvait s’avérer vraiment intéressant grâce à son professeur, apprendre toutes ses notes n’était absolument pas attrayant. Elle était pourtant seule dans le dortoir et pouvait ainsi réviser comme elle préférait, c’est-à-dire marcher, faire des étirements, des équilibres tout en récitant ses leçons à voix haute. Mais rien n’y faisait. Son regard se perdait souvent dans le paysage extérieur.
C’est pour cette raison qu’elle se trouvait à présent à l’entrée de la salle d’étude. Peut-être qu’il lui fallait un environnement avec moins de distraction et calme. Elle s’arrêta et jeta un œil à la salle. Elle qui voulait se trouver une table seule, c’était raté. Pas mal d’élèves étaient plongés dans leur cours. Elle avait tenté la bibliothèque également mais c’était encore pire qu’ici. Sans se décourager, Britanny s’avança dans la pièce. L’ambiance studieuse devrait m’aider. Elle trouva une table au fond de la salle, occupée seulement par une élève de Serdaigle qui devait avoir son âge. Une chevelure blonde encadrait son visage, tourné vers ses parchemins. La fillette put constater qu’elle devait aimer les bagues, vu le nombre à ses doigts. Secouant la tête, Britanny alla donc dans sa direction. Arrivée à la table de travail, elle tira doucement sa chaise et posa son sac au sol. Elle sortit alors tout son matériel de cours, ainsi que ses parchemins noircis de notes. Elle s’installa confortablement sur sa chaise et entreprit ses révisions.
Elle finit enfin sa première page et la déposa sur le côté pour s’attaquer à la suite. Elle était contente, venir ici était une bonne idée, elle ne pensait à rien d’autre qu’aux fondateurs de Poudlard pour le moment. Mais sa joie retomba doucement quand elle se rendit compte que le parchemin suivant correspondait à la page trois et non deux. Elle commença alors à faire défiler les feuilles une par une, recommençant l’opération une deuxième fois. C’est pas possible, où est-ce qu’elle est ? Soufflant d’exaspération, elle prit son sac et commença à farfouiller à l’intérieur. Elle ne fit pas attention que sa tâche pouvait être légèrement bruyante pour sa camarade face à elle. Au fur et à mesure, toutes ses notes étaient éparpillées sur la table, avec son goûter, ses différents encriers et tout un tas d’autres trucs. Son espace de travail commença alors à prendre de la place sur celui de la jeune Serdaigle. Relevant le nez de son sac, Britanny réajusta ses lunettes et ouvrit grand les yeux. Elle s’empressa de rassembler aléatoirement ses notes.
- Désolée, marmonna-t-elle.
Ses mouvement brusques finirent par faire tomber sa bouteille d’eau – heureusement fermée – au sol. La rousse grimaça en jetant un œil à la petite blonde.
Allongée sur son lit, elle avait passé en revue plusieurs matières, et elle était finalement arrivée à l’Histoire de la Magie. Au bout de vingt minutes à relire encore et encore le même paragraphe, la petite rousse dû se rendre à l’évidence : alors que le cours pouvait s’avérer vraiment intéressant grâce à son professeur, apprendre toutes ses notes n’était absolument pas attrayant. Elle était pourtant seule dans le dortoir et pouvait ainsi réviser comme elle préférait, c’est-à-dire marcher, faire des étirements, des équilibres tout en récitant ses leçons à voix haute. Mais rien n’y faisait. Son regard se perdait souvent dans le paysage extérieur.
C’est pour cette raison qu’elle se trouvait à présent à l’entrée de la salle d’étude. Peut-être qu’il lui fallait un environnement avec moins de distraction et calme. Elle s’arrêta et jeta un œil à la salle. Elle qui voulait se trouver une table seule, c’était raté. Pas mal d’élèves étaient plongés dans leur cours. Elle avait tenté la bibliothèque également mais c’était encore pire qu’ici. Sans se décourager, Britanny s’avança dans la pièce. L’ambiance studieuse devrait m’aider. Elle trouva une table au fond de la salle, occupée seulement par une élève de Serdaigle qui devait avoir son âge. Une chevelure blonde encadrait son visage, tourné vers ses parchemins. La fillette put constater qu’elle devait aimer les bagues, vu le nombre à ses doigts. Secouant la tête, Britanny alla donc dans sa direction. Arrivée à la table de travail, elle tira doucement sa chaise et posa son sac au sol. Elle sortit alors tout son matériel de cours, ainsi que ses parchemins noircis de notes. Elle s’installa confortablement sur sa chaise et entreprit ses révisions.
Elle finit enfin sa première page et la déposa sur le côté pour s’attaquer à la suite. Elle était contente, venir ici était une bonne idée, elle ne pensait à rien d’autre qu’aux fondateurs de Poudlard pour le moment. Mais sa joie retomba doucement quand elle se rendit compte que le parchemin suivant correspondait à la page trois et non deux. Elle commença alors à faire défiler les feuilles une par une, recommençant l’opération une deuxième fois. C’est pas possible, où est-ce qu’elle est ? Soufflant d’exaspération, elle prit son sac et commença à farfouiller à l’intérieur. Elle ne fit pas attention que sa tâche pouvait être légèrement bruyante pour sa camarade face à elle. Au fur et à mesure, toutes ses notes étaient éparpillées sur la table, avec son goûter, ses différents encriers et tout un tas d’autres trucs. Son espace de travail commença alors à prendre de la place sur celui de la jeune Serdaigle. Relevant le nez de son sac, Britanny réajusta ses lunettes et ouvrit grand les yeux. Elle s’empressa de rassembler aléatoirement ses notes.
- Désolée, marmonna-t-elle.
Ses mouvement brusques finirent par faire tomber sa bouteille d’eau – heureusement fermée – au sol. La rousse grimaça en jetant un œil à la petite blonde.
@Tracey Lynn
5ème année RP en 2048-2049 - Luca Hollestelle comme référence physique, svp ne pas l'utiliser
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Au revoir, sérénité
Salle d'étude
Le Mercredi 14 Décembre 2044
Le Mercredi 14 Décembre 2044
La journée commence assez mal.
Ma mère m'a dit, qu'elle allait bientôt accouché. Je ne sais pas si ça peux être demain, ou dans un mois, mais ce que je sais, c'est qu'elle ne sera pas seule. Mon père sera avec elle. Je veux dire mon père biologique pas celui qui m'a élevé. D’ailleurs, je suis bien contente de ne plus me soucier de la protection de ma mère depuis qu'on la mis à la porte. Mais j'ai tout aussi peur de mon vrai père. C'est vrai, quoi. Ma mère avait à peine 18 ans quand elle est tombé enceinte de moi. Et mon père, lui, à préférer la laisser avec celui qui m'a élevé, son ex-meilleur ami, qui doit maintenant se bourrer à tout vas, je ne sais où. Ma mère m'a répéter et répéter que c'était parce qu'il était jeune, mais maintenant, voilà la super bonne nouvelle du mois. Ils vont ce marier! Super... Je serais la demoiselle d'honneur de ma mère. Et mes parents veulent que je sois la marraine de mon frère. Ils veulent se remettre ensemble, pour permettre à mon petit frère d'avoir une enfant heureuse et stable. Tout le contraire de mon enfance. C'est pour ça qu'on a emménager a Oxford. Enfin, qu'il ont, emménager. Je serais que là bas pour les vacances. Et encore! Je reste à Poudlard ces vacances ci. Bref, la prochaine fois que je vois mes parents, il m'annonce quelque chose d'important. Le pire, c'est que je n'ai toujours pas rencontrer mon père.
En tout cas, il faut que je me change les idée. Je vais alors à la salle d'étude, pour faire mes devoirs. Il y a quand même du monde. J'étais installer au fond de la salle depuis à peine cinq minutes, qu'une élève de Gryffondor, qui devait avoir mon âge, s'installa devant moi.
Son espace de travail commençais à prendre de la place et à venir sur moi. Je suis parfois désorganiser, mais la c'étais horrible. Relevant le nez de son sac, la jeune Gryffondor réajust ses lunettes et ouvrit grand les yeux. Elle s’empressa de rassembler ses notes.
- Désolée, marmonne-t-elle.
Ses mouvement brusques finirent par faire tomber une bouteille d’eau sol. Je soupire. J'étais tellement énervé contre mes parents que je m'en prend à la rousse.
-Tu peux pas faire attention, s'il te plaît, soupirais-je d'un ton sec?
L'appelle de la nourriture est trop fort.
Je n'arriverais jamais à me séparer de ma maladresse...
Je suis une malédiction
Je n'arriverais jamais à me séparer de ma maladresse...
Je suis une malédiction
Au revoir, sérénité
Alors que Britanny tentait vainement de se calmer pour ramasser sa bouteille en douceur et ne pas faire de dégâts supplémentaires, un soupir agacé se fit entendre en face d'elle. Un coup d'oeil appris à la petite rousse que la jeune Serdaigle avec qui elle partageait une table de travail semblait visiblement énervé. En même temps, tu n'est pas la discrétion incarnée… La fillette secoua la tête en baissant les yeux. Sa camarade lui demanda sèchement si cela lui était trop demander de faire attention à ce qu'elle faisait. Le ton employé par la Serdaigle lui rappelait douloureusement celui de ceux qui se moquaient d'elle à l'école. Elle détestait ça. Pire, elle en avait peur. Au moins elle a dit "s'il te plaît", tout n'est pas perdu. Après quelques secondes figée par sa remarque, elle se baissa pour ramasser son brevage au sol et en prit une gorgée pour se donner une contenance. Elle repensa aux paroles de son frère Nathan qui lui répétait qu'elle ne devait plus se laisser écrasée. Alors, elle referma la bouteille et se racla doucement la gorge pour prendre la parole.
- Excuse-moi, je ne trouve plus mes notes d'Histoire de la Magie. Je suis un peu désorganisée, je l'avoue, fit-elle en passant une main dans sa nuque, gênée.
Elle prit ses parchemin et les les fit rebondir doucement sur la table pour en faire un tas à peu près rangé. Encore une fois, la manœuvre fut légèrement bruyante mais Britanny était trop concentrée sur ne pas tout lâcher pour s'en soucier. Du coup, on a toujours pas la fiche manquante… La rousse fronça les sourcils, agacée. Elle posa ses documents et releva les yeux vers sa camarade. Bon, la politesse voudrait que tu te présentes au moins. La fillette acquiesça à ses propres pensées et se lança en murmurant :
- Au fait, je suis Britanny Huggins, première année. Et toi ?
Tout à coup, elle sembla se souvenir de l'endroit dans lequel elles se trouvait et elle se fustigea mentalement. Elle n'est peut-être pas là pour faire copain-copain mais pour travailler, tu y as pensé ? Elle rougit alors légèrement et se tut, attendant la réaction de sa camarade. Vu la précédente, elle redoutait la prochaine maintenant. Elle avait voulu s'excuser mais se demandait à présent si c'était une bonne idée. Peut-être aurait-elle due se taire ?
- Excuse-moi, je ne trouve plus mes notes d'Histoire de la Magie. Je suis un peu désorganisée, je l'avoue, fit-elle en passant une main dans sa nuque, gênée.
Elle prit ses parchemin et les les fit rebondir doucement sur la table pour en faire un tas à peu près rangé. Encore une fois, la manœuvre fut légèrement bruyante mais Britanny était trop concentrée sur ne pas tout lâcher pour s'en soucier. Du coup, on a toujours pas la fiche manquante… La rousse fronça les sourcils, agacée. Elle posa ses documents et releva les yeux vers sa camarade. Bon, la politesse voudrait que tu te présentes au moins. La fillette acquiesça à ses propres pensées et se lança en murmurant :
- Au fait, je suis Britanny Huggins, première année. Et toi ?
Tout à coup, elle sembla se souvenir de l'endroit dans lequel elles se trouvait et elle se fustigea mentalement. Elle n'est peut-être pas là pour faire copain-copain mais pour travailler, tu y as pensé ? Elle rougit alors légèrement et se tut, attendant la réaction de sa camarade. Vu la précédente, elle redoutait la prochaine maintenant. Elle avait voulu s'excuser mais se demandait à présent si c'était une bonne idée. Peut-être aurait-elle due se taire ?
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Au revoir, sérénité
Je voulais juste être au calme. J'y étais pendant cinq ou dix minutes, mais voilà une fille qui débarque à ma table. Au début ça allait. Mais quand elle à commencer à éparpiller ses notes sur toute la table, là ça m'a mit encore plus en colère...!
Ce matin, je me lève du mauvais pied, après je reçois la lettre de ma mère, donc je suis encore plus énervé, et là, une Gryffondor multiplie par dix, ma colère contre mon père.
-- Excuse-moi, je ne trouve plus mes notes d'Histoire de la Magie, me dit-elle. Je suis un peu désorganisée, je l'avoue.
1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 et 10...
Elle essaya de remettre en ordre ses notes. Il n'y eu plus de bruit jusqu'a:
- Au fait, je suis Britanny Huggins, première année. Et toi ?
La moindre des politesse voudrait que je lui répondre, mais au lieu de ça, je prend ses fiches, les met en ordre et lui tend une fiche de notes d'Histoire de la Magie, qui pourrais être celle qu'elle cherche. C'est après que je lui dit:
-Essaye de faire un peu moins de bruit, y'en a qui travail. Et apparemment tu n'est pas douée pour travailler, avec des affaires en ordre.
J'avais bien accentué le mot "douée", pour qu'elle comprenne qu'elle est totalement désorganiser, au contraire de moi, qui aime savoir ou se trouve ses affaires. Mais je regrette quand même de lui avoir parler sur ce ton. Je suis en colère, il faut bien que la colère tombe. Non?
Je fis les yeux rond, tripote les deux bagues de mon majeur gauche, puis je lui dis, plus calmement:
-Moi c'est Tracey Lynn.
Ce matin, je me lève du mauvais pied, après je reçois la lettre de ma mère, donc je suis encore plus énervé, et là, une Gryffondor multiplie par dix, ma colère contre mon père.
-- Excuse-moi, je ne trouve plus mes notes d'Histoire de la Magie, me dit-elle. Je suis un peu désorganisée, je l'avoue.
1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 et 10...
Elle essaya de remettre en ordre ses notes. Il n'y eu plus de bruit jusqu'a:
- Au fait, je suis Britanny Huggins, première année. Et toi ?
La moindre des politesse voudrait que je lui répondre, mais au lieu de ça, je prend ses fiches, les met en ordre et lui tend une fiche de notes d'Histoire de la Magie, qui pourrais être celle qu'elle cherche. C'est après que je lui dit:
-Essaye de faire un peu moins de bruit, y'en a qui travail. Et apparemment tu n'est pas douée pour travailler, avec des affaires en ordre.
J'avais bien accentué le mot "douée", pour qu'elle comprenne qu'elle est totalement désorganiser, au contraire de moi, qui aime savoir ou se trouve ses affaires. Mais je regrette quand même de lui avoir parler sur ce ton. Je suis en colère, il faut bien que la colère tombe. Non?
Je fis les yeux rond, tripote les deux bagues de mon majeur gauche, puis je lui dis, plus calmement:
-Moi c'est Tracey Lynn.
L'appelle de la nourriture est trop fort.
Je n'arriverais jamais à me séparer de ma maladresse...
Je suis une malédiction
Je n'arriverais jamais à me séparer de ma maladresse...
Je suis une malédiction
Au revoir, sérénité
Au début la jeune Serdaigle ne répondit rien. Puis, sans crier gare, elle attrapa les parchemins de Britanny et les mis elle-même en ordre. La rousse resta perplexe devant cette scène. C'est bon ou mauvais signe ça ? Elle l'a vit sortir plusieurs fiches de notes du paquet et les rendre à la fillette. Hébétée, cette dernière les saisit et constata qu'elles correspondaient à ses notes d'Histoire de la Magie avec, parmi elle, la page qu'elle cherchait plus tôt. Pendant ce temps là, la petite blonde face à elle avait reposé le reste des parchemins sur la partie de table de Britanny et finit par prendre la parole, de mauvaise grâce. Ses mots étaient durs et sa voix sèche. La rousse se revit à l'école primaire, en train de se faire insulter par une de ses camarades. Inconsciemment, elle rentra la tête dans les épaules et baissa les yeux, qui s'étaient mis à briller. La Serdaigle avait bien appuyé le mot "douée" pour lui faire comprendre qu'elle manquait cruellement d'organisation, ce qui ne semblait pas être son cas à elle. Mais, ce fut comme si Britanny avait juste entendu "T'es débile ou quoi ?", ce qu'on lui répétait souvent. Tous les conseils de son frère aîné, sur le fait de ne jamais se laissé marcher sur les pieds s'évaporèrent dans son esprit.
La fillette, trop absorbée dans ses pensées, ne vit pas que la Serdaigle essayait de se calmer face à elle. Ce sont ses paroles qui la firent sortir de son état. Elle s'était présentée. Certes, ce n'était pas sur un ton amical mais il était moins tranchant que précédemment. Doucement Britanny releva la tête et acquiesça sans prononcer un mot. Elle avait la gorge sèche et le ventre noué. Elle se rendit compte qu'elle avait peur de cette fille. Peur de ce qu'elle lui rappelait. Un peu tremblante, elle rangea ses parchemins des autres cours dans son sac pour ne garder que ceux d'Histoire de la Magie. En se relevant, son coude heurta son encrier qui se renversa. Britanny se dépêcha de le redresser mais c'était trop tard. La fillette perdit ses couleurs en voyant que l'encre venait de couler sur un carnet ne lui appartenant pas. C'était sans aucun doute celui de Tracey.
La fillette, trop absorbée dans ses pensées, ne vit pas que la Serdaigle essayait de se calmer face à elle. Ce sont ses paroles qui la firent sortir de son état. Elle s'était présentée. Certes, ce n'était pas sur un ton amical mais il était moins tranchant que précédemment. Doucement Britanny releva la tête et acquiesça sans prononcer un mot. Elle avait la gorge sèche et le ventre noué. Elle se rendit compte qu'elle avait peur de cette fille. Peur de ce qu'elle lui rappelait. Un peu tremblante, elle rangea ses parchemins des autres cours dans son sac pour ne garder que ceux d'Histoire de la Magie. En se relevant, son coude heurta son encrier qui se renversa. Britanny se dépêcha de le redresser mais c'était trop tard. La fillette perdit ses couleurs en voyant que l'encre venait de couler sur un carnet ne lui appartenant pas. C'était sans aucun doute celui de Tracey.
5ème année RP en 2048-2049 - Luca Hollestelle comme référence physique, svp ne pas l'utiliser
Membre du M.E.R.L.I.N. - Lune #800000
Au revoir, sérénité
Je n'en pouvais plus. Pourquoi il faut toujours que les malheurs n'arrivent qu'a moi. C'est horrible...! J'avais envie de crier et de pleurer, mais je ne pouvais pas. Déjà, la Gryffondor, est extrêmement désorganisée, donc, pour moi, c'est vraiment, mais alors là, vraiment énervant.
Après s'être énervé contre la rouquine, tout allais d'aller bien... Jusqu'à ce moment cruciale!
L'encrier qui était ouvert, est tomber sur MON carnet...!!!!!! Celui où toutes les choses qui me sont importantes sont écrites.
Sans crier gare, mes paroles sortent d'un coup d'un seul:
-NON!!!
-Pourquoi tu as fais ça? Pourquoi? Hein!? Pourquoi?
Je ne suis pas très contente de ce que je lui dis mais c'est sortie tout seul!
- J'en ai plus qu'assez! Pourquoi ne va tu pas travailler autre pars? La où tu ne dérangera personne.
Je regrette sincerment mes parole. Etant plus calme mais encore beaucoup en colère, je lui dis:
-Non, tu sais quoi? Ne te donne pas cette peine. Je n'ai pas envie que tu te fatigue, déjà que c'est moi qui retrouver ta fiche. Tu dois te dire, que ça m'arrive. Oui, c'est vrai. Mais toi c'est pire que moi! Je ne sais pas comment tu fais pour te mettre dans un fichu bordel!
Je rassemble mes affaires et je sans que si je parle à nouveau, ma vois craquera à coup sur.
Désolé pour le retard.
Après s'être énervé contre la rouquine, tout allais d'aller bien... Jusqu'à ce moment cruciale!
L'encrier qui était ouvert, est tomber sur MON carnet...!!!!!! Celui où toutes les choses qui me sont importantes sont écrites.
Sans crier gare, mes paroles sortent d'un coup d'un seul:
-NON!!!
-Pourquoi tu as fais ça? Pourquoi? Hein!? Pourquoi?
Je ne suis pas très contente de ce que je lui dis mais c'est sortie tout seul!
- J'en ai plus qu'assez! Pourquoi ne va tu pas travailler autre pars? La où tu ne dérangera personne.
Je regrette sincerment mes parole. Etant plus calme mais encore beaucoup en colère, je lui dis:
-Non, tu sais quoi? Ne te donne pas cette peine. Je n'ai pas envie que tu te fatigue, déjà que c'est moi qui retrouver ta fiche. Tu dois te dire, que ça m'arrive. Oui, c'est vrai. Mais toi c'est pire que moi! Je ne sais pas comment tu fais pour te mettre dans un fichu bordel!
Je rassemble mes affaires et je sans que si je parle à nouveau, ma vois craquera à coup sur.
Désolé pour le retard.
L'appelle de la nourriture est trop fort.
Je n'arriverais jamais à me séparer de ma maladresse...
Je suis une malédiction
Je n'arriverais jamais à me séparer de ma maladresse...
Je suis une malédiction
Au revoir, sérénité
La réaction de sa camarade ne se fit pas attendre. Son cri fait sursauter la fillette qui se rattatine immédiatement sur son siège. Elle vit les élèves autour se retourner pour observer la scène. La rousse avait envie de vomir. Elle détestait ces regards. Ceux qui la faisaient se sentir comme une idiote et une personne inutile. Une bête de foire. Tracey continua à déverser sa colère, lui demandant la raison de cet acte. Britanny ne savait que répondre, elle n'avait pas fait exprès. Ce cahier devait être très important pour la fillette pour la mettre dans des états pareils.
Les mots s'enchaînent. Encore quelqu'un qui lui demande pourquoi elle est là et pas ailleurs. Encore quelqu'un qui lui dit clairement qu'elle dérange le monde. La rousse est figé par la terreur et la honte. Ses yeux devinrent brillants à cause des larmes qui se formaient. A cet instant, tous ces efforts depuis le début de l'année scolaire semblent s'effondrer. Son courage et sa volonté de ne plus se faire traiter de la sorte s'évanouirent, ne laissant que la peur et le chagrin. Tout ce qu'elle voulait à présent, c'était trouver Nathan pour qu'il la berce et la rassure, comme il sait si bien le faire.
Face à elle, la Serdaigle ne décolère pas mais a arrêté de crier. Elle lui fait une nouvelle fois comprendre qu'elle est inutile. Elle ne sait même pas trier ses notes de cours. Nathan a dit que j'étais juste un peu désorganisée, c'est tout. Elle tentait de se répéter ce mantra, la tête baissée, mais ce n'était pas plus fort qu'un murmure dans son esprit. Oui, elle ne savait pas ranger correctement ses affaires, elle le savait. C'était toujours la même chose. On se moquait de son physique car trop maigre, trop musclée ou trop rousse. De son hyperactivité qui dérangeait. De son habileté à être bordélique. Encore et encore la même chose.
Elle vit Tracey commencer à rassembler ses affaires, semblant se contenir. Britanny était sincèrement désolée mais elle n'arrivait pas à ouvrir la bouche. Elle essuya une larme qui s'était échappé puis, les épaules voûtées, se releva. Elle fourra tout rapidement dans son sac, abîmant la moitié de ses parchemins, puis mis ce dernier sur son épaule. Des sanglots dans la voix, elle murmura :
- Pardon.
C'est tout ce qui avait bien voulu franchir ses lèvres. La fillette s'enfuit en courant de la salle d'études, essayant d'ignorer les regards rivés sur elle. Elle avait même honte de voir Nathan à ce moment précis, et décida qu'il vallait mieux qu'elle reste seule.
Les mots s'enchaînent. Encore quelqu'un qui lui demande pourquoi elle est là et pas ailleurs. Encore quelqu'un qui lui dit clairement qu'elle dérange le monde. La rousse est figé par la terreur et la honte. Ses yeux devinrent brillants à cause des larmes qui se formaient. A cet instant, tous ces efforts depuis le début de l'année scolaire semblent s'effondrer. Son courage et sa volonté de ne plus se faire traiter de la sorte s'évanouirent, ne laissant que la peur et le chagrin. Tout ce qu'elle voulait à présent, c'était trouver Nathan pour qu'il la berce et la rassure, comme il sait si bien le faire.
Face à elle, la Serdaigle ne décolère pas mais a arrêté de crier. Elle lui fait une nouvelle fois comprendre qu'elle est inutile. Elle ne sait même pas trier ses notes de cours. Nathan a dit que j'étais juste un peu désorganisée, c'est tout. Elle tentait de se répéter ce mantra, la tête baissée, mais ce n'était pas plus fort qu'un murmure dans son esprit. Oui, elle ne savait pas ranger correctement ses affaires, elle le savait. C'était toujours la même chose. On se moquait de son physique car trop maigre, trop musclée ou trop rousse. De son hyperactivité qui dérangeait. De son habileté à être bordélique. Encore et encore la même chose.
Elle vit Tracey commencer à rassembler ses affaires, semblant se contenir. Britanny était sincèrement désolée mais elle n'arrivait pas à ouvrir la bouche. Elle essuya une larme qui s'était échappé puis, les épaules voûtées, se releva. Elle fourra tout rapidement dans son sac, abîmant la moitié de ses parchemins, puis mis ce dernier sur son épaule. Des sanglots dans la voix, elle murmura :
- Pardon.
C'est tout ce qui avait bien voulu franchir ses lèvres. La fillette s'enfuit en courant de la salle d'études, essayant d'ignorer les regards rivés sur elle. Elle avait même honte de voir Nathan à ce moment précis, et décida qu'il vallait mieux qu'elle reste seule.
Fin du RP pour moi
Merci à toi, c'était exactement ce que je recherchais ! Au plaisir de continuer sur cette voie
Je te laisse terminer
5ème année RP en 2048-2049 - Luca Hollestelle comme référence physique, svp ne pas l'utiliser
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Au revoir, sérénité
Tout le monde nous regardait. Je n'avais pas peur de la gène, mais apparemment Britanny, elle en avait peur. A ce moment la je passe peut-être pour une vrai peste mais c'est pas de ma faute si je suis malchanceuse.
La malchance. Ce mot définit bien ma vie. J'ai toujours été malchanceuse. Par exemple, dès que mon petit frère faisait une bêtise, même une toute petite de rien du tout, c'est moi qui en payais les frais. Il est vrai que je voulais aussi le protégé de notre "père", mais j'aurais quand même voulu, avoir des parents normaux et qui m'aime malgré mon fort caractère.
Tout en rassemblent mes affaire je pensais à mon petit frère. Cela fait longtemps que je ne lui plus écrit. A vrai dire, on c'est quitter en mauvais terme, la dernière fois.
Pourquoi tu pense à lui, pensais-je, ce n'est pas le moment. Quitte cette pièce au plus vite, pour ne plus voir cette Britanny.
J'aimerais aussi que ma malchance parte avec elle, mais ce serais odieux de ma part. C'est vrai que je suis odieuse avec les gens qui m'insupporte, mais là je voulais être encore plus odieuse que d'habitude. Elle a tout de même reverser de l'encre sur mon carnet...! J'avais presque fini d'écrire mon livre. Il ne me reste plus qu'a racheter un carnet, et à tout réécrire...
Voilà que la rouquine ce met à pleuré. J'en suis désolé. Je suis désolé de l'avoir fais pleurer, mais c'est comme ça avec moi... Elle sort:
- Pardon.
Son pardon était tout petit et dès qu'elle le dit, elle s'enfuis. Je marmonne alors:
-C'est ça. Pars et comme ça tu ne pourra pas déranger grand monde avec ta désorganisation.
Elle avait laisser sa table en total désordre. Des regards étaient encore rivé sur moi.
-Qu'est que vous voulez? Ma photo. C'est pas de ma faute si je suis malchanceuse.
Je me justifie et tout le monde se remit au travail. J'allais pour partir, mais avant ça, je remit en ordre les affaires de Britanny. Je déteste le désordre.
Quand j'eu fini de ranger, je parti les joues rouges de colère.
Envoie moi un hiboux pour en faire un autres, si tu en as envie.
La malchance. Ce mot définit bien ma vie. J'ai toujours été malchanceuse. Par exemple, dès que mon petit frère faisait une bêtise, même une toute petite de rien du tout, c'est moi qui en payais les frais. Il est vrai que je voulais aussi le protégé de notre "père", mais j'aurais quand même voulu, avoir des parents normaux et qui m'aime malgré mon fort caractère.
Tout en rassemblent mes affaire je pensais à mon petit frère. Cela fait longtemps que je ne lui plus écrit. A vrai dire, on c'est quitter en mauvais terme, la dernière fois.
Pourquoi tu pense à lui, pensais-je, ce n'est pas le moment. Quitte cette pièce au plus vite, pour ne plus voir cette Britanny.
J'aimerais aussi que ma malchance parte avec elle, mais ce serais odieux de ma part. C'est vrai que je suis odieuse avec les gens qui m'insupporte, mais là je voulais être encore plus odieuse que d'habitude. Elle a tout de même reverser de l'encre sur mon carnet...! J'avais presque fini d'écrire mon livre. Il ne me reste plus qu'a racheter un carnet, et à tout réécrire...
Voilà que la rouquine ce met à pleuré. J'en suis désolé. Je suis désolé de l'avoir fais pleurer, mais c'est comme ça avec moi... Elle sort:
- Pardon.
Son pardon était tout petit et dès qu'elle le dit, elle s'enfuis. Je marmonne alors:
-C'est ça. Pars et comme ça tu ne pourra pas déranger grand monde avec ta désorganisation.
Elle avait laisser sa table en total désordre. Des regards étaient encore rivé sur moi.
-Qu'est que vous voulez? Ma photo. C'est pas de ma faute si je suis malchanceuse.
Je me justifie et tout le monde se remit au travail. J'allais pour partir, mais avant ça, je remit en ordre les affaires de Britanny. Je déteste le désordre.
Quand j'eu fini de ranger, je parti les joues rouges de colère.
J'ai été ravie de faire ce RP avec toi.Fin du RP
Envoie moi un hiboux pour en faire un autres, si tu en as envie.
L'appelle de la nourriture est trop fort.
Je n'arriverais jamais à me séparer de ma maladresse...
Je suis une malédiction
Je n'arriverais jamais à me séparer de ma maladresse...
Je suis une malédiction