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10 janv. 2017, 18:43
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Elle venait tout juste de lui expliquer ses soirées de Noël quand elle était chez ses parents. Son cavalier commenta d’ailleurs ses coutumes.

« C'est trop mignon comme soirée. Tu devais bien rigoler, mais je suis sur que si tu regarde certains couples ou certains danseur, tu rigolera autant. »


C’est vrai que depuis le début de la soirée, Emilia était focalisée sur son déroulement aux cotés de Jonathan et ne s’était jamais demander comment les autres faisaient. Elle regarda autour d’elle est vit un très beau spectacle. Toutes ces personnes qui avaient voulues rester pour les fêtes pour pouvoir les passer avec une personne en particulier, d’autres qui ne savaient probablement pas à qui demander, avaient pu s’inscrire au cavalier mystère pour faire de nouvelles rencontres. Elle n’était pas familière à cet environnement. Le fait qui différait de ce dont elle avait l’habitude était ce sentiment d’une gigantesque famille, et cette famille était Poudlard. Certes, il y avait des hauts et des bas, comme dans une famille. Ceci, la jeune fille ne le savait que grâce à des livres qu’elle avait lus. Elle n’avait pas de grande famille, les seules personnes qu’elle connaissait était son père, sa mère et sa grand-mère, plus non. Elle avait déjà entendu son père parler de ses parents ou sa grand-mère lui parlait de son grand-père. Il était tous trois morts –ses deux grands-pères ainsi que sa grand-mère paternelle. Elle était en train de penser à ses grands-parents qui étaient morts, elle se demandait *Est-ce que si ils étaient encore vivants, aurais-je pu fêter Noël avec eux tous les ans, autour d’un bon festin, comme une grande, belle et heureuse famille* Ce n’était pas qu’elle ne trouvait pas sa famille heureuse, loin de là, mais dès qu’elle pensait à cet alternative, elle était un peu triste.

Cependant, Jonathan lui remit les pieds sur terre quand il annonça à son tour, ce qu’il faisait lui pour les fêtes, habituellement :

« Moi je passe Noël avec toute ma famille soit environ 20 personnes en comptant mes cousins. C'est plutôt sympa mais ça vaut pas un Bal comme celui-ci. »

Tout ce que la première année entendit était sa mention sur toute sa famille. Elle l’enviait un peu, non, elle n’était pas jalouse, loin de là, elle était contente pour lui, ça elle en était certaine. Elle aurait cependant voulu pouvoir, un jour assister à un évènement aussi grandiose, tel était le mot, comme le bal qui avait lui ce soir. Elle était d’ailleurs très reconnaissante envers Jonathan d’avoir bien voulu aller avec elle au bal. Elle avait au début bien décidée de rester en salle commune, mais il fallait dire que par la suite, elle avait changé d’avis, mais comme on dit : il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.

Elle n’eut pas le temps de parler que les assiettes qui étaient à présent vite disparurent pour être remplacé par deux nouvelles assiettes. Il y avait de la dinde rôti avec des pommes de terre et des haricots. La jeune releva sa tête de son assiette et voulu répondre à son cavalier mais celui-ci la devança :


« Je m'y ferai jamais à ses tours de magie. » Avait-il dit en rigolant « La dernière fois, pour m'entrainer j'ai essayer de lancer un Wingardium Leviosa dans le dortoir sur des chaussettes. Au début cela à marcher puis quand j'ai entendu la porte s'ouvrir,j'ai paniqué et j'ai du faire un geste avec ma baguette du coup toutes les chaussettes sont passées par la fenêtre. Depuis je fais croire à tous mes camarades qu'un petit monstre vient voler les chaussettes la nuit »

La jeune fille n’avait pu s’empêcher de rire, non seulement parce que le fait d’avoir fait voler ses chaussettes par la fenêtre mais aussi parce qu’il ne disait pas la total vérité, ou du moins c’est ce qui lui semblait. Une fois, en salle commune, Esmée était descendu des dortoirs toute affolée, elle disait s’être fait volé son doudou, les autres filles avaient d’ailleurs –si elle s’en rappelait bien- accuser Duncan de l’avoir volé, et il semble –elle était encore une fois pas sûre- que Duncan avait prétendu que c’était Jonathan probablement à cause du coup des chaussettes volantes.
La fillette explosa de nouveau de rire en essayant de parler malgré son fou rire :


« Pourtant il me semblait que tu étais le voleur de chaussettes ! » et ajouta après avoir essayé de reprendre sa respiration normale « D’ailleurs, il me semble que je ne trouve plus mes chaussettes ! »

En ayant dit sa dernière phrase, elle lui tira la langue et recommença à rire. Elle s’arrêta tout à coup et regarde son partenaire. Elle venait de se rendre compte que peut-être qu’elle l’avait blessé. Hors ce n’était pas du tout ses intentions.
Elle ferma instinctivement ses yeux, et ne répétait sans cesse dans sa tête
*Pitié qu’il ne l’a pas mal prit… Pitié qu’il ne l’a pas mal prit… Pitié qu’il ne l’a pas mal prit… Pitié qu’il ne l’a pas mal prit…*

Reducio
Précédemment, il est mentionné que la grand-mère d’Emilia lui a parlé de son grand-père, qui selon elle est morte, mais ce ne sont que des balivernes. Son grand-père paternel n’aimait pas les sorciers, il ne les aime pas du tout. C’est pourquoi, pour le bien de notre petite Emilia, celle-ci ne connait pas son existence.

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
Griffes et crocs, Griffes et cœurs, Gryff vainqueurs !
11 janv. 2017, 16:16
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Jonathan avait réussir à détendre l'atmosphère. Ca phrase venait de faire rire sa cavalière. Son rire était en train d'illuminer la salle. Personne ne pouvaient rester indifférentes au rire de la jeune fille. Depuis le début de la soirée, Jonathan essayait d'obtenir un tel résultat. Déjà parce que cela s'annonçait bien pour le reste du Bal mais également parce que femme qui rit....

« Pourtant il me semblait que tu étais le voleur de chaussettes ! »

C'est vrai que Duncan avait parlé de tous cela dans la salle commune. Avec lui il n'y avait aucune chance que ce petit détail reste secret. Jonathan avait en effet volé une paire de chaussette à Audric pour compenser la perte des chaussettes. Mais le première année avait voulu cacher son acte un petit peu "hors la loi". Mais il semblerai qu'Emilia était au courant de tout. Même si elle savait pour cela, il était impossible qu'elle sache pour le doudou de sa marraine adoré. C'était bien une blague mais au bout d'une heure, Jonathan avait totalement oublié l'endroit où il avait caché cette pelluge. Rien qu'en n'y repensant il ne put s'empêcher de rire à son tour.

« D’ailleurs, il me semble que je ne trouve plus mes chaussettes ! »

Jonathan ne compris pas vraiment cette phrase. Est ce qu'Emilia le prenait pour un psychopathe, fétichiste des chaussettes. Peut être qu'il fallait absolument changer de sujet pour pas qu'elle ne se fasse de fausses idées. Mais à priori, ce n'était pas le cas puisqu'elle lui tira la langue et continua à rire. Puis brusquement elle s'arrêta et ferma les yeux. Jonathan ne savait pas du tout comment il fallait réagir. Sa cavalière venait de changer soudainement d'attitude et maintenant elle attendait les yeux fermés. Mais malgré l'étrangeté de la situation, Jonathan ne parvint pas à répondre directement. En effet, le jeune garçon avait les yeux rivés sur la fille face à lui. Maintenant qu'elle avait les yeux fermés, il n'avait pas à avoir honte de la regarder et surtout il n'y avait aucun risque qu'elle ne s'en rende compte. Emilia était toujours aussi pétillante qu'à son arrivé au début de la soirée. Il avait quand même de la chance d'être assis aujourd'hui en face d'elle.
Il fallait maintenant répondre, on aurait dit qu'Emilia stressait un peu pour la prochaine phrase que pourrai dire Jonathan.

"Désolé mais à mon avis, voler tes chaussettes ne me serait pas très utile. Quand t'as dit cela, je me suis imaginé un type reniflant les chaussettes d'autres personnes"

Il a dit cela en rigolant. Dire cela n'était pas très malin, si elle le prenait déjà pour un psychopathe cela ne ferait qu'augmenter sa peur.
*Qu'est ce que je peut être stupide et maladroit.* Il essaya de se rattraper mais il ne fit que s'enfoncer.

"Ce n'est bien sur pas mon cas, euhh, je ne fais pas ça"

*De pire en pire*. Il fallait repartir et parler d'autre chose. Mais le garçon commençait à bégayer et rougir à cause du stresse. Il ne voulait absolument pas qu'Emilia est peur de lui. Cette fille lui plaisait et comme d'habitude il était en train de tout gâcher. Reprenant un minimum de sérieux, il enchaina.

"Je suis désolé pour ce moment gênant, j'allais dire que ça arrive pas d'habitude mais en fait si."

Ses joues devinrent de nouveaux très rouge, mais bizarrement, à ce moment là, la gêne était agréable. Jonathan avait l'impressionnant que quand il était avec Emilia, il pouvait absolument tout dire sans qu'elle ne le juge.

Reducio
Chère en tendre marraine, ce post est pour toi ;) Et désolé pour ton doudou ^^

Jo’ Family
Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.
14 janv. 2017, 09:39
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Emilia avait fermé les yeux, elle avait peur que son cavalier prenne malle fait qu’elle l’accuse d’avoir volé ses chaussettes. Pourquoi elle avait fermé ses yeux ? Elle n’en savait rien, de plus son changement radicale de comportement pouvait paraitre un peu étrange, elle avait cependant aucune envie de rouvrir ses yeux, elle ne voulait pas vraiment voir probablement le visage de Jonathan la regardant comme pour lui dire qu’elle était méchante ou encore irrespectueuse. Plus elle pensait à la réaction négative que pouvait adopter son cavalier, toutes ses pensées s’encombraient dans sa tête. Elle ne savait même plus ce qu’elle devait penser de toute cette situation.

Elle attendait que son partenaire réagisse, elle ne saurait dire depuis combien de temps le silence régnait sur leur table, elle n’entendait même plus le brouhaha dans la salle et entendit patiemment et impatiemment, à la fois, ce qui lui procurait une émotion assez étrange, qu’elle n’avait jamais ressenti. Elle eut l’impression que cela faisait depuis déjà plusieurs heures que les deux premières années ne parlaient pas, mais s’était probablement son imagination qui lui jouait des tours. Elle se demanda même si Jonathan s’était levé de table et avait préféré passer sa soirée avec quelqu’un d’autre qui lui serait de meilleure compagnie qu’elle. Rien qu’en y pensa, elle eut un petit pincement au cœur, mais il disparut dès qu’elle entendit sa voix. Elle sursauta mais fut heureuse de le savoir encore assis en face d’elle.


« Désolé mais à mon avis, voler tes chaussettes ne me serait pas très utile. Quand t'as dit cela, je me suis imaginé un type reniflant les chaussettes d'autres personnes »

Quand il avait prononcé sa première phrase, elle se rendit compte que sa réplique était débile, elle ne savait toujours pas comment elle avait pu sortir cette phrase de sa bouche, mais fut contente qu’il change un peu de sujet. Elle était un peu gênée de l’avoir traité de voleur de chaussette, alors qu’il ne l’était pas –du moins c’est ce qu’elle pensait.

La suite de ses paroles fut assez drôle et remit aussitôt la blondinette en confiance. Elle avait accompagné son partenaire dans son rire, qu’elle trouvait d’ailleurs assez agréable à entendre. Décidément, cette soirée était très riche en émotions, jamais elle n’avait vécu autant de choses en une seule soirée qui n’était d’ailleurs pas encore terminé. Elle n’eut même pas le temps de penser à ce qu’elle pouvait répondre, qu’il ajouta :


« Ce n'est bien sur pas mon cas, euhh, je ne fais pas ça »

Elle ne put s’empêcher de glousser à nouveau, le pauvre, il donnait l’impression de ne plus savoir comment réagir mais ajouta tout de même :

« Je suis désolé pour ce moment gênant, j'allais dire que ça arrive pas d'habitude mais en fait si. »

Elle croyait, si il lui disait qu’il ne faisait pas ça, mais elle gloussa de plus belle, ça n’avait rien de méchant bien au contraire, elle le trouvait trop mignon, il fallait avouer qu’elle avait un petit faible pour lui –un petit grand. Elle ne pouvait tout de même pas s’empêcher de rigoler. Elle espérait encore une fois qu’il ne le prenne pas mal.

Le fait que Jonathan parle de moments embarrassants lui rappela quelque chose d’encore plus embarrassant.


« Je me rappelle de ce jour, à la cantine, une de mes copines avait raconté une blague et j’avais pas pu m’empêcher de rire… Mais à ce moment-là, j’étais en train de boire du lait, et j’ai cru que j’allais m’étouffer. Tout le monde avait arrêté de manger et me regardait. C’était assez gênant d’être au centre de l’attention mais je pense que le pire dans tout ça, c’était le fait que j’avais le nez qui coulez, mais qui coulait de lait…. »

Elle avait pensé cela quand elle se rendit compte qu’elle avait parlé à haute voix. Elle se plaque vite la main devant la bouche, elle était roue de honte d’avoir raconté ça devant Jonathan. Elle avait une nouvelle fois très très peur que le jeune homme ne la prenne pour une folle.

Elle essaya de dire quelque chose mais aucun mot ne sortait de sa bouche, elle en était bien heureuse, elle savait déjà d’avance que ce qu’elle allait dire n’allait qu’accroitre le dégout fort probable de son cavalier.

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
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15 janv. 2017, 01:25
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Jonathan ne savait plus où se mettre. Il avait envie de se lever et partir avant d'aggraver encore plus les choses. Pourquoi fallait-il toujours qu'il se mette dans une situation gênante quand il s'adressait à une fille. Cela avait commencé avec sa meilleure amie d'enfance. Alors âgé d'à peine 4 ans ils étaient devenus amis après que Jonathan se soit retrouvé dans le bureau du directeur de son école après s'être battu. Enfin battu, plutôt s'être fait écraser par son adversaire. Prise de pitié, Valentine (le nom de la jeune bonde qui a coloré toute son enfance), l'avait attendu à la sorti du bureau et était la seul à avoir soutenu Jonathan. Il sut dès cet instant qu'elle deviendrait la personne la plus importante de sa vie.
Tout cela pour dire que Jonathan avait une sorte de malédiction concernant toute les fille importante de sa vie, il devait toujours raconter ou faire quelque chose de gênant. Mais bizarrement Emilia gloussait, elle riait presque après les paroles du Gryffondor. Cela détendit tout de suite Jonathan, il riait presque avec sa partenaire. Les voir tous les deux comme cela le fit penser aux couples qu'il apercevait à chaque fois qu'il allait au restaurant avec ses parents. Il y avait toujours un coin dans la salle où des tables de deux personnes étaient disposé de sorte que les couples puissent être à l'abris du bruit créé par le famille. Jonathan se souvenait parfaitement de cet endroit, il revoyait l'attitude des personnes qui y mangeaient, on pouvait voir le bonheur dans leurs yeux et presque l'amour dans leur attitude. Le premier année s'imaginait à la place de ces personnes, en tête à tête avec une fille. A l'époque il ne savait pas encore qu'elle fille serait en face de lui quand ce serai à son tour d'être en couple. Il ne connaissait que Valentine mais jamais il n'y aurait jamais eu entre eux plus que de l'amitié. C'était la première fois avec que Jonathan dinais avec quelqu'un comme un couple. *Un couple* Ces deux petits mots résonnaient dans la tête du jeune sorcier. Pour la première fois il se voyait avec Emilia comme un couple, et cette vision ne lui déplaisait pas. *Oulala mon esprit est un peu trop rapide la, chaque chose en son temps*.
Il fallait qu'il se concentre sur le repas et sa cavalière plutôt que de rêver au futur qui risque de ne pas se réaliser. Elle venait d'ailleurs de répondre.

« Je me rappelle de ce jour, à la cantine, une de mes copines avait raconté une blague et j’avais pas pu m’empêcher de rire… Mais à ce moment-là, j’étais en train de boire du lait, et j’ai cru que j’allais m’étouffer. Tout le monde avait arrêté de manger et me regardait. C’était assez gênant d’être au centre de l’attention mais je pense que le pire dans tout ça, c’était le fait que j’avais le nez qui coulez, mais qui coulait de lait…. »

Jonathan explosa de rire. Comparé à ce qui c'était passé quelques secondes plus tôt, Emilia battait tous les records en matière de gêne. Jonathan avait d'abord cru que sa cavalière disait cela comme une sorte de solidarité dans la ridicule. Mais lorsqu'elle mis sa main sur sa bouche pour s'empêcher d'en dire plus il comprit que ce n'était pas du tout intentionnel, ce qui rendait l'acte dotant plus drôle. Le jeune sorcier eut du mal à s'en remettre, entre deux éclats de rire il regardait sa partenaire qui était bouche bée. Toute la classe, le standing et le chic de la soirée venaient de voler en éclats. Le Gryffondor préférait largement rire, même si c'était sur des sujet un peu sale, que passer la soirée assis sur la chaise à regarder l'autre dans le blanc des yeux comme si on avait un balais et tout l'attirail de ménage dans les fesses. Il ne savait pas si Emilia était de son avis mais il était sur d'une chose, jamais il n'aurait put rêver meilleure cavalière pour le bal. Jonathan ne pensait pas passer un aussi bon moment et ne voulait surtout qu'il se termine.
C'est à cet instant que les desserts arrivèrent sur leur table. Jonathan se retrouvait alors avec un magnifique Tiramisu juste devant lui, pas le Tiramisu moldu tout petit, écrasé, où tu as l'impression que le cuisinier s'est battu avec le chocolat juste au-dessus de l'assiette et qu'il a perdu.Celui ci était à l'image de Poudlard et du monde dans lequel Jonathan était plongé depuis 4 mois: Magique et magnifique. C'est presque comme si le chocolat crier au jeune garçon: "Je suis bon, tu as envie de me manger. J'ai été fait juste pour toi et ce moment. Vas y, arrête de me faire attendre. Aller!!! Prend ta fourchette et mange moi!"
Jonathan ne pouvait pas manger tout de suite sans répondre à sa cavalière. Surtout que raconter ce moment l'avais mis mal à l'aise donc il ne pouvait pas la laisser dans un tel état. Elle était tellement plus belle quand elle rigolait.

"Ca devait être tellement drôle. Je suis déçu d'avoir raté cela. Ca m'est aussi arrivé avec de l'eau." Après un instant. " Tu sais, tu n'as pas à être gêné avec moi. Je trouve cela plus drôle que ridicule." Il regarda son dessert avec un sourire "Je sais pas toi mais mon Tiramisu m'appelle, je ne peux décemment pas le laisser dans cet état."

Jonathan commença à manger. Et à la grande surprise de son palais, le Tiramisu avait raison, il était vraiment délicieux. Il regarda Emilia de temps à autre, il avait du mal à faire deux choses à la fois, c'était un homme après tout, ce concentrer sur sa cavalière et son dessert était trop compliqué pour lui. Après avoir fini son Tiramisu, il repris la parole.

"Ce repas était super je suis vraiment heureux d'être venu au Bal avec toi." Il s'arrêta. Ca ne pouvait pas déjà être terminé, ils ne pouvaient pas partir maintenant, il restait trop de chose à faire et puis la soirée est tellement bien. Ca ne peut pas être déjà fini. Jonathan ne voulait pas quitter sa cavalière, il fallait qu'il trouve quelque chose pour qu'elle reste. "Tu ne veux pas que l'on reste un peu ici, j'ai l'impression que la plupart des autres personnes n'ont pas fini de manger. En fait.....j'aimerais beaucoup que tu restes avec moi. Je ne veux pas que la soirée s'arrête." Le jeune garçon n'en revenait pas, il n'avait jamais été aussi rouge de toute sa vie mais si elle acceptait cela en valait largement la peine.



Reducio
Désolé à certains moment ça part en cacahouète, surtout quand je fais parler un tiramisu, mais je commence à être fatigué. J'espère que c'est bien quand même. ^^

Jo’ Family
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Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.
15 janv. 2017, 23:14
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Emilia venait de dire quelque chose de très embarrassant. *Mais comment j’ai pu être aussi bête et penser à voix haute * se demandait-elle. C’était la première fois –il lui semble- qu’elle avait pensé à haute voix, et il fallait que ce soit en face de lui. Celui-ci avait d’ailleurs commencé à rigoler à son tour, ce geste détendit légèrement la jeune fille, au moins il n’était pas parti en courant. Cependant, cette réaction laissa légèrement la jeune fille perplexe. Riait-il parce qu’il trouvait cela drôle ou parce qu’il l’a prenait tout de même pour une folle, mais pas suffisant pour s’enfuir de la salle pour avoir le plus grand espace entre lui et cette jeune sorcière dont il manquait probablement une case. Elle accrochait quand même espoir sur la première alternative.

Pendant que son cavalier essayait de reprendre sa respiration avec beaucoup de peine, les plats, qui étaient à présent vides, furent remplacés par des les dessert. La mousse à la framboise qui avait été proposée dans le menu de la soirée se trouvait devant la jeune fille.

Bien qu’elle ait toujours vécu, dans sa maison, entourée de magie, ce fut la première fois qu’elle vit ce qu’elle voyait à ce moment. Une bouche et des yeux était plus ou moins creusés dans la mousse qui quelques instants auparavant paraissait tout à fait normale. Cette nouvelle version du dessert fit un peu peur, sur le moment, à la blondinette, mais ce sentiment de peur fut remplacé par un sentiment d’admiration. Être en admiration devant une mousse à la framboise devait paraitre un peu étrange, mais ce sentiment d’émerveillement s’agrandit quand sa bouche s’étira pour laissait entendre une voix que l’on pouvait bel bien imaginer pour une innocente framboise :


« Avoue que tu as l’eau à la bouche rien qu’en me regardant, rien d’étonnant d’ailleurs, j’ai une magnifique odeur, ainsi que ma couleur qui doit probablement t’éblouir. Si tu veux connaître mon gout, tu n’as cas prendre ta cuillère et tu pourras me savourer. »

Elle se concentra à peine sur les paroles de son dessert, et elle sentait aussi le regard de Jonathan sur elle, mais elle n’osait pas le regarder dans les yeux, elle avait bien trop honte pour cela. Il commença cependant à parler ce qui fit tout de suite –par réflexe- lever sa tête pour regarder son cavalier, presque dans les yeux.

« Ca devait être tellement drôle. Je suis déçu d'avoir raté cela. Ca m'est aussi arrivé avec de l'eau. » Après un instant. « Tu sais, tu n'as pas à être gêné avec moi. Je trouve cela plus drôle que ridicule. » Jonathan regarda son dessert en souriant « Je sais pas toi mais mon Tiramisu m'appelle, je ne peux décemment pas le laisser dans cet état. »

Sa première remarque fit rougir Emilia à la fois de honte et de gêne –deux sentiments bien différent. Elle fut alors convaincue que c’était sa première hypothèse qui était la bonne, et elle en était bien heureuse. La suite lui donna l’impression que le garçon pouvait lire dans ses pensées. Peut-être était-ce aussi parce qu’ils se ressemblaient tellement qu’il connaissait un peu son système de réflexion et réaction, ce qui n’était pas si étonnant que ça d’ailleurs. Les deux enfants se ressemblaient un peu trop, toutes ces ressemblances faisaient presque peur. Il avait aussi dit qu’il trouvait la situation embarrassante dont elle n’avait pas fait exprès de parler plus drôle que ridicule. Trouvait-il qu’elle ressemblait à un clown ? Elle n’en savait rien, et elle laissa cette question en suspens, vu que son cavalier se jeta littéralement sur son dessert. Elle fit d’ailleurs de même. Quand sa mousse à la framboise avait parlé, elle avait eu raison, elle était exquise.
Quand les deux enfants avaient terminés leur repas, Jonathan fut une nouvelle fois le premier à prendre la parole.


« Ce repas était super je suis vraiment heureux d'être venu au Bal avec toi. »

Il s’arrêta et Emilia devina qu’ils devaient penser la même chose, cette soirée ne pouvait pas déjà être terminée. C’était impossible. Elle cherchait une excuse pour rester plus longtemps avec son cavalier, mais celui-ci la devança une nouvelle fois.

« Tu ne veux pas que l'on reste un peu ici, j'ai l'impression que la plupart des autres personnes n'ont pas fini de manger. En fait.....j'aimerais beaucoup que tu restes avec moi. Je ne veux pas que la soirée s'arrête. »

Elle fut tellement heureuse, et encore plus quand elle vit que Jonathan avait rougit, elle rougit d’ailleurs à son tour en esquissant un petit sourire. Elle était tellement contente qu’il veuille rester encore un peu avec elle et bien entendu, la première année n’avait pas du tout envie de partir, pas encore. Si elle pouvait faire vœu qui se réaliserait à la minute, ce serait rendre cette soirée interminable. Avant de sortir du dortoir des filles, elle aurait probablement souhaité de faire de cette soirée une soirée inoubliable, mais ce point-là s’était déjà réalisé.

Le garçon devait attendre sa réponse qui d’ailleurs ne se fit pas longtemps attendre :


« Moi non plus, tu ne voudrais pas plutôt faire un tour du château ou alors du parc ? Je n’ai pas très envie non plus que la soirée s’arrête maintenant… »

Elle était un peu gênée de sa demande, et attendait son avis sur cette petite virée nocturne après le bal.

Reducio
Vu que t'es parti dans quelques délires (avec le tiramisu), j'ai fait un peu la même chose. (J'ai bien aimé ton dessert qui parle ! :D

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20 janv. 2017, 22:17
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
« Moi non plus, tu ne voudrais pas plutôt faire un tour du château ou alors du parc ? Je n’ai pas très envie non plus que la soirée s’arrête maintenant… »

C'était exactement la réponse qu'attendait Jonathan. Cela signifiait qu'Emilia pensait exactement la même chose que lui (comme souvent) et une belle fin de soirée s'annonçait, il ne restait plus qu'à choisir quoi faire. Sa cavalière proposait de faire un tour dans le château ou dans le parc. A ses mots, Jonathan s'imagina tout de suite une balade romantique comme celle qu'il voyait dans les films. Celles au bord d'un lac dans lequel se reflète la Lune, où les seuls bruits sont ceux du vent caressant les feuilles des nombreux arbres entourant le lac et les rires discret des du couples marchant pied nu dans l'herbe humide. Quand le moment vient, les deux jeunes amoureux s'asseyent l'un à côté de l'autre sur une petite couverture. Le fraîcheur du soirées faits se rapprocher pour se serrer sous une autre couverture, la tête de l'un sur l'épaule de l'autre. Nul ne sait ce qu'ils se disent, mais on peut voir le bonheur sur leur visage, ils n'ont d'ailleurs nuls besoin de parler.
Alors que Jonathan partait peu à peu dans ses pensées, son dessert se mis à voler à son tour comme le reste de ses autres assiettes jusqu'à présent. En regardant feu son tiramisu s'élever dans les airs, le regard du jeune garçon s'arrêta sur le visage de sa partenaire. Contrairement à toutes les autres fois, Jonathan ne rougissait pas. Son regard était bien différent de ce qu'il pouvait exprimer d'habitude. Le Gryffondor fut lui même surpris de son attitude, pour la première fois il regardait cette jolie fille devant lui d'un air très sérieux. Puis avec un sourire mais tout en gardant la même attitude il ajouta:

"J'adorerais finir cette soirée au parc. Je tel trouve super beau à ce moment de la journée."

Alors qu'il allait continuer il entendit une de ses musiques préféré dans la salle. Cette musique était pour lui l'air le plus romantique qu'il n'avait jamais entendu. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour se rendre compte qu'elle venait de commencer, il faut dire qu'il la connaissait un peu par coeur. A chaque fois qu'il imaginait le moment ultime où il pourrait danser avec une fille dans une fête, c'était sur cette chanson que tout son rêve prenait forme. Jonathan était un peu vieux jeux. Il pensait que, dans les fêtes étudiante ou les boites de nuits, ce genre de musiques passait et que tout le monde dansait un slow. *C'est maintenant ou jamais* se dit-il.
Il fallait absolument qu'il danse avec Emilia sur cette chanson. Après le repas qu'ils venaient de vivre, Jonathan en était sur, il voulait être avec elle. Il lui restait plus qu'à prendre son courage à deux mains pour l'inviter de nouveaux.

"J'adore vraiment cette chanson, acceptes tu de redanser avec moi? Je te promet d'être un meilleur cavalier qu'en début de soirée."

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21 janv. 2017, 22:42
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Emilia venait de lui avouer qu’elle aurait voulu que la soirée ne se termine jamais, elle savait pourtant qu’à un moment, elle serait obligée d’aller se coucher et le lendemain la routine de sa vie d’élève dans l’école de sorcellerie, Poudlard recommencerai. Elle était, pour cette soirée, devenue cendrillon et tout cela disparaitrait le lendemain. Si on prenait bien cette mise en scène que la jeune fille s’était imaginé, son prince charmant serait Jonathan. Elle savait aussi que si un jour on lui demandait si elle avait déjà fantasmé d’être une princesse de conte fée, elle n’avouerait jamais le film qui s’était joué dans sa tête et encore moins à son cavalier. Rien qu’en y pensant, elle rougissait.

Elle pensait ensuite à la proposition qu’elle avait faite à son partenaire,
*Mais quelle cruche je fais ? Lui demander de faire une ballade dans le parc avec moi !?*, elle n’en revenait toujours pas de lui avoir demandé d’aller se promener. Elle ressentait surement quelque chose de très fort pour le garçon –un sentiment qu’elle ne connait pas du tout- mais rien ne lui disait qu’il ressentait la même chose. *Quoique...* pensa-t-elle. Peut-être le fait qu’il lui avait avoué qu’il voulait rester encore un peu avec elle voulait dire tout le contraire. Elle n’en savait rien, elle était une nouvelle fois partagé entre diverses émotions, elle ne savait même plus qu’elle part d’elle-même croire.

Elle était en train de regarder son cavalier qui avait pris une mine assez sérieuse, puis avait souri tout en restant très sérieux.


« J'adorerais finir cette soirée au parc. Je tel trouve super beau à ce moment de la journée. »

Elle se sentait tout à coup moins idiote, elle était contente que Jonathan était de son avis, de plus, il n’avait pas tort. Le parc devait être magnifique à ce moment de la journée. Elle se voyait marcher main dans la main avec le garçon. Elle s’était une nouvelle fois plongée dans son imagination. La magnifique chanson qui venait de commencer et elle ne n’aidait pas du tout la blondinette à revenir dans l’instant présent, cette musique ne faisait que rendre son rêve plus réel. Heureusement que son cavalier repris la parole pour faire revenir Emilia dans la salle et non dans son imagination qui se déroulait au parc.

« J'adore vraiment cette chanson, acceptes tu de redanser avec moi? Je te promet d'être un meilleur cavalier qu'en début de soirée. »

Ils allaient devoir repousser leur petite escapade dans le jardin de Poudlard pour plus tard, elle était heureuse que son partenaire lui demande de danser une nouvelle fois. La fillette ne put s’empêcher de laisser échapper un gloussement sur sa remarque. Elle hocha discrètement la tête, et dit :

« Je te promets que je ferai moi aussi, mieux que tout à l’heure ! »

Elle prit la main de son cavalier et se rappela de ce qu’il lui avait affirmé, il lui avait dit qu’elle n’avait pas besoin d’être gênée en sa présence. En plus, elle voulait au plus profiter de cette soirée avec lui. Les deux premières années se placèrent au milieu de la Grande Salle qui se vidait peu à peu, vu que les couples sortaient au fur et à mesure de la salle où s’était déroulé le Bal de Noël.

Arrivés au sur la piste de danse, elle posa une main sur son épaule, l’autre dans la main de son partenaire. Ils commencèrent à danser, on pouvait remarquer un grand progrès dans leur danse à deux. C’était comme s’ils étaient fait pour danser ensemble. Ils dansaient en harmonie, n’écrasaient plus les pieds de l’autre –ou du moins, pas autant qu’à leur première danse. Emilia qui durant leur premier slow n’avait pas arrêté de regarder ses pieds, regardait cette fois-ci son cavalier. Elle admirait son visage et essayait d’imprimer chacun de ses traits, comme si s’était la dernière dois qu’elle le verrais, ce qui n’était heureusement pas vrai.

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
Griffes et crocs, Griffes et cœurs, Gryff vainqueurs !
22 janv. 2017, 00:04
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
« Je te promets que je ferai moi aussi, mieux que tout à l’heure ! »

Jonathan marchait de nouveau main dans la main avec sa cavalière. cette il n'était pas du tout stressé ou gêné de son niveau de danse plus que modeste. Le couple se mit au milieu de la piste sur laquelle il n'y avait pratiquement plus personne. Jonathan ne ressentait pas de trac comme lors de la première fois, il se laissait seulement porté par la musique qu'il connaissait par coeur. Il ne savait pas si c'était sa musique préféré ou sa magnifique partenaire mais le Gryffondor n'avait jamais aussi bien dansé de toute sa vie. Son regard était plongé dans le bleu des yeux de la jeune fille. Ne sachant pas quoi dire et surtout ne voulant pas gâcher un si beau moment par de si futiles paroles il esquissa un sourire. Ils n'avaient jamais été aussi proche qu'à ce moment, c'est presque si leurs front se touchaient. C'était deux aimants qui s'attiraient. Jonathan se voyait, pour la première fois, dans la peau du héros pour film d'adolescent que sa cousine aimait tant.
Il avait l'impression de planer, plus rien à part Emilia n'avait d'importance. L'instant d'une chanson, le temps suspendit son vol et les heures suspendirent leurs cours pour laisser s'exprimer le bonheur de ces deux enfants.
Jonathan se retrouvait donc là, à quelques centimètre de cette fille. Cette fille qu'il avait rencontré dès le premier jour dans le Poudlard Express. Par maladresse il l'avait réveillé, mais cette maladresse lui avait permis de passer le meilleur voyage de sa vie, oublier l'absence de ses parents, et surtout rencontrer Emilia. Dès le départ, les deux enfants avaient sympathisé grâce à leurs nombreux points communs. Cette maladresse a conduit le Gryffondor tout droit à ce moment. Il n'avait jamais été aussi heureux d'avoir deux mains gauches.
La musique poursuivait doucement sa mélodie et les pas des deux première année se fluidifiaient de plus en plus. Jonathan ne réfléchissait même plus à ce qu'il faisait, il se noyait totalement dans les yeux bleus d'Emilia. Doucement et comme si c'était naturel, il approcha sa bouche de celle de la jeune fille. Leurs lèvres se frôlèrent et ils finirent par s'embrasser. Jonathan n'entendait même plus la musique, ses jambes ne bougeaient pas. Il avait les fermés et ses bras enlaçaient la jeune fille. Le baiser dura quelques secondes, puis Jonathan rouvrit doucement les yeux pour regarder sa cavalière. Il n'avait jamais eu un aussi grand sourire dessiné sur son visage, si son sourire avait put être de lumière il aurait éclairé toute la salle. Jonathan venait de le faire, sans réfléchir et de manière assez naturel, mais il venait de le faire, il avait embrassé Emilia. Il ne put parler. Comme c'était lui qui avait "fait le premier pas", il attendit la réaction de sa cavalière.

Jo’ Family
Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.
22 janv. 2017, 18:58
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Les deux premières années étaient en train de danser sur la piste de danse, presque vide. La jeune fille était très heureuse, elle regardait son cavalier dans les yeux, et il faisait de même. En temps normal, elle aurait probablement détourné son regard de celui de son cavalier, mais là, ça lui était impossible. Elle aurait pu essayer de détacher son regard du sien –ce qu’elle ne voulait bien évidemment pas-, ce geste lui aurait été difficile.

Ils continuaient à valser au milieu de la Grande Salle. Emilia ne faisait pas attention aux autres personnes qui pouvaient les regarder. Ce détail lui importait peu, elle ne voyait plus rien, si ce n’était Jonathan.

L’espace qui séparait son visage de celui du garçon n’arrêtait, à présent, de se rétrécir. La blondinette ne se rendit même pas compte qu’ils avaient arrêté de bouger. Tandis que leurs lèvres se rapprochaient, la fillette continuait de plonger dans le regard bleu de son cavalier, jusqu’à ce qu’elle ferme instinctivement les yeux, non de peur, loin de là, elle fermait délicatement ses paupières.

Le moment était là, il était loin de celui qu’elle avait imaginé, mais elle l’appréciait beaucoup, elle sentait les lèvres de Jonathan, sur les siennes, ses bras l’enlaçaient. Elle avait gardé une de ses mains sur son épaule, l’autre qui était, quelques instants auparavant, dans la main de son cavalier, se retrouvait se trouvait sur le cou du garçon. Si elle avait pu, elle aurait essayé de rendre cet instant immortel, mais ce lui était malheureusement impossible.

Après quelques secondes, les deux enfants se détachèrent doucement, ce qui attrista légèrement, al jeune fille. Cette tristesse, s’était bien sûr fait vaincre par le bonheur de l’instant où les deux premières années était en train de s’embrasser.

Emilia regarda Jonathan qui souriait jusqu’aux oreilles. Emilia le trouvait très mignon –comme toujours d’ailleurs- mais elle ne put s’empêcher de devenir rouge comme une tomate, tout en esquissant un timide sourire. Ce devait probablement être la première fois qu’elle réagissait ainsi, mais c’était aussi la première qu’elle embrassait un garçon.


Reducio
Rpg terminé des deux côtés. Merci beaucoup pour ceette magnifique soirée de Noël ! ^^

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
Griffes et crocs, Griffes et cœurs, Gryff vainqueurs !