Je ne sais pas pourquoi, mais depuis quelques temps j'étais sur mon petit nuage, sans l'être réellement. Je suivais les cours, faisait mes affaires normalement, mais dès que je le croisais, j'en étais un peu retourné. Cette sensation était très bizarre et je n'y étais vraisemblablement pas habitué. 

Nous suivions plusieurs cours ensemble et c'est à ces moments-là que je pouvais le croiser. Lorsque nos regards se croisaient, j'aimais détourner la tête pour ne pas qu'il voit les rougeurs presque qu'imperceptibles sur mes joues mates. 

Aujourd'hui, nous étions le 14 Février, c'était le jour des amoureux, le jour de la Saint-Valentin et j'avais une folle envie de l'inviter avec mi. Je ne sais pas pourquoi, je n'étais pas habitué à cette sensation et je ne voulais pas que cela change mais en même temps, l'envie était irréversible ! Je décidais donc de l'inviter dans un endroit pour que je lui demande si il voulait être on Valentin, pour être fixé sur mes sentiments et pour que l'on se connaisse un peu et que l'on devienne peut-être amis.

Je m'attaquais donc à l'heure du déjeuner, dans le parc à l'écriture de ma lettre d'invitation. Mais je ne voulais pas qu'elle soit trop facile à comprendre. Je voulais y mettre tout mon coeur de Serdaigle avec une petite énigme qu'il résoudrait pour arriver au rendez-vous. J'écrivis alors d'une écriture soignée et gracieuse sur un petit papier rose parfumé au citron mon mot. Je partis à la Volière et avant mon cours de métamorphose, je l'envoyais à Jérémie. À Jérémie Collart, un petit garçon brun aux yeux marrons. Il n'avait rien de particulier mais je le trouvais mignon, il appartenait au lion !

Mon cher Valentin Rouge, 
Je t'écris en ce jour, où l'on doit célébrer l'amour, 
Une lettre pour que tu viennes me retrouver, 
À l'endroit où beaucoup de relations sont nés,
Entre danses, chants et belles tenues,
À une heure de la nuit approchant l'heure du dîner,
Plus précisément, 4 heures avant les douze coups,
J'espère que tu y seras,
Pour fêter avec moi, la fête que Cupidon a préparé pour nous,
Ta Valentine bleue

Je lui avais laissé tous les indices et j'espérais qu'il serait au rendez-vous. Vers 19 heures, je passais dans les cuisines pour prendre des gâteaux et des petits pains sortis du four au elfes de maisons qui étaient si cordiaux et gentils, ainsi qu'une bouteille de jus de citrouille frais et je me dirigeais vers la salle de bal.

J'y installais une nappe aux couleurs de Serdaigle par terre, parfumant l'endroit de la pièce d'un peu de parfum au citron léger en disposant les gâteaux et les pains avec un bon jus de citrouille ainsi que des petits bonbons que j'avais trouvé dans le dortoir et j'attendis. Vers 20 h, j'entendis des pas et je me dis que mon Valentin avait résolu l'énigme, il avait pu tout trouver et j'en fus très contente.

Je rougis comme une tomate lorsque la porte s'ouvrit et que je le vis.

après la sélection du choixpeau, poudlard et devenue un peu monotone pour moi, le dortoir, les cours, les révisions, des fois un petit match de quidditch qui casse cette monotonie.

Une nouvelle journée commence à Poudlard, c'est le 14 février, les cours commence je m'y dirige sans me soucier du reste, en rentrant je vois une fille déjà assis derrière sa table, qui me regarde à plusieurs reprise, je m'en préoccupe que peu, je m'assoie en diagonale d'elle, le cours prend son temps pour arriver, il se passe tranquillement, à plusieurs reprise, cette fille me regarde du coin de l'oeil, et quand je me retourne et se remet à écouter comme si rien autour ne l'intéresser.

Après réflexion aujourd'hui c'était le jour des amoureux, la fameuse Saint-Valentin, une pensée me traverser l'esprit, "qui est cette fille assez mignonne". Je ne sais pas pourquoi celà m'a traversé l'esprit, je n'étais pas habitué à cette sensation, mais ce n'était pas désagréable. Au final je me dirige vers le parc pour prendre l'air.

Arrivée au parc, je trouve un papier aromatisé qui se ressemble plutôt à une lettre ou plus à une énigme que l'ont a déposer dans mon sac, je la tire de mon sac et je commence à la lire

Mon cher Valentin Rouge,
Je t'écris en ce jour, où l'on doit célébrer l'amour,
Une lettre pour que tu viennes me retrouver,
À l'endroit où beaucoup de relations sont nés,
Entre danses, chants et belles tenues,
À une heure de la nuit approchant l'heure du dîner,
Plus précisément, 4 heures avant les douze coups,
J'espère que tu y seras,
Pour fêter avec moi, la fête que Cupidon a préparé pour nous,
Ta Valentine bleue

Après avoir lu et relu plusieurs fois et avec attention la lettre qui sentais bon ou plutôt une énigme après réflexion. une pensée me traverse l'esprit "tient cela me fait penser au gros pendule derrière le parc" quand je me lève pour me dirigeais vers le pendule , je m'arrête a mi-chemin, "mais non reprenons les vers un par un " là le milieu du poème retient mon attention, l'illumination arrive "c'est peut-être la salle de bal" allons-y. je me dirige vers la salle de bal.

Vers 20h j'arrive devant les grande porte de la grande qui sert de salle de bal, je pousse les deux portes pour rentrer et la j'aperçoit une fille et une belle table au couleur de serdaigle avec une petite odeur de citron.

Jérémie pénétra dans la salle sans un mot. Je lançais un  "Salut !" vague et presque inaudible, j'avais envie de partir, je voulais rentrer dans un trou de souris, m'enfuir, faire n'importe quoi pour partir et quitter la salle de bal. Je me demandais quelle idée m'avait traversé en l'invitant. Surtout avec cette présentation un peu trop... romantique pour notre âge. 

Je me demandais bien pourquoi il était venu, c'est vrai que ça m'aurait déçu si il n'était pas au rendez-vous mais je me disais alors que je ne réfléchissais pas assez avant d'agir. Je savais que je ne le connaissais pas, mais cette soirée pourrait être un bon moyen de faire connaissance, de pouvoir découvrir nos passions et nos goûts communs.

Plus il se rapprochait, plus j'avais la sensation que mon coter battait un peu plus vite dans ma poitrine. Je me relevais et je souris un peu en lui disant :

"Bravo Jérémie ! Tu as réussi l'énigme que je t'ai lancé !"

Pourquoi ne pas prendre cela pour une énigme dans le cadre de la Saint-Valentin, se serait une belle façon de m'être mes idées un peu plus au clair. Puis me souvenant que je n'avais pas fait les présentations, je balbutiai cette phrase : 

"Salut ! Excuse-moi de ne pas m'être présenté, je suis Maude Bailey de Serdaigle !" 

Je lui souris un peu. Et je m'installais sur la nappe espérant qu'il s'installerais également pour ne pas rester debout et avoir une position un pue plus confortable. J'espérais me mettre, ainsi que lui, à l'aise et passer une bonne soirée.

Arrivant dans la salle de bal , je regarde cette fille qui était la toute seule et qui me lance un salut d'un ton assez peu audible et pas très sur d'elle, comme-ci tout ça avait était prémédité. Je m'approche donc en lui lançant un regard assez froid d'un premier abord, je me demandais pourquoi elle avait choisît cette méthode peu convenante mais toutefois assez amusante qui change des méthode traditionnelle utilisée pour draguer.

Arriver à sa hauteur, je la regarde d'un sourire du coin des lèvres pour lui montrer mon affection tant qu'a la méthode utilisée pour me faire venir ici, d'une voix pas très sur d'elle elle me lance un

"Bravo Jérémie ! Tu as réussi l'énigme que je t'ai lancé !"

oui en effet et je te remercie de la méthode utiliser, car ce n'est pas commun d'inviter quelqu'un de cette manière la, j'ai trouvait ça fort amusant et distrayant, j'ai donc terminée ma course ici dans la salle de bal, qui est ma foi fort bien décorée pour cette st Valentin.

Elle me répondit d'un ton plus clair que la précédente phrase, comme ci je l'avait rassuré, sont coeur c'est mis a ralentir un peu et je me suis mit un rougir un minimum, je ne sais pas pourquoi peut être est-ce a cause de c'est yeux.

"Salut ! Excuse-moi de ne pas m'être présenté, je suis Maude Bailey de Serdaigle !"

je la vois s'installer sur une nappe qui est installée par terre, elle se mit a l'aise et cela me plais bien, je me prit donc au jeu, en m'installer a mon tour en la regardant et en me perdant dans ses yeux, ce qui m'intrigue intentiné.

Jérémie avait bien aimé la façon dont je l'avais invité et j'en étais plutôt contente, ça m'enlevait un petit poids dans la poitrine. C'était la première fois que je fêtais la Saint-Valentin et je ne savais pas vraiment quoi faire. À vrai dire, je n'avais pas vraiment réfléchi à ce que je ferais.

"Oui en effet et je te remercie de la méthode utilisée, car ce n'est pas commun d'inviter quelqu'un de cette manière-là, j'ai trouvé ça fort amusant et distrayant, j'ai donc terminé ma course ici dans la salle de bal, qui est ma foi fort bien décorée pour cette st Valentin."

Je m'installais alors sur la nappe que j'avais installé. Je n'étais pas vraiment à l'aise. À vrai dire, je ne connaissais rien à Jérémie et voilà que je l'invitais à passer la Saint-Valentin avec moi. En réfléchissant bien, j'allais sûrement trouver un moyen de nous faire passer un bon moment mutuellement. 

"Je te remercie encore d'être venu, je pensais vraiment que j'allai me retrouver seule !"

Puis, un certain silence s'installa, c'était affreusement gênant. En plus, j'avais l'impression que le rouge et or fixait longuement mes yeux ambres que je tournais les yeux avec les joues qui s'empourpraient déjà de rouge. Je décidais de me pencher sur la question des occupations. Je me remémorais les bons moments que j'avais passé avec mes amis, ces moments improvisés qui avait quand même forgé des moments d'amitié. 

Puis j'eus un flash, je me levais, pris dans mon sac quelques Fizwizbiz. Ces bonbons particuliers permettant de éviter au niveau du ciel. Ça serait amusant de le faire. Je me souvenais lorsqu'une troisième année en avait ramené pour tout le monde dans les dortoirs après son passage à Honeydukes à Pré-au-Lard. J'en proposais une à Jérémie avec un regard malicieux :

"Ça te dit de manger une fizwizbiz, le bonbon qui permet de éviter dans les airs ?"

Je laissai un petit instant de pause, je venais de trouver une idée particulière se qui pouvait être très amusant ou qui pourrait nous faire apprendre à nous connaitre :

"En plus de cela, lorsque tu seras en lévitation, tu fermeras les yeux pour ensuite poser une question à laquelle je devrais répondre rapidement avant que tu en retombes, ça te dit ?"

J'espérais qu'il dirait "oui" car je n'avais pas vraiment d'autres idées pour passer le temps et le fait qu'il ne puisse pas aimer mon idée serait assez embrassant et dérangeant. Pour mettre le plus de chances de mon côté, je lui dis sincèrement :

"En plus, ça permettra de mieux se connaître... Parce que je t'ai invité à passer la Saint-Valentin avec moi... Mais je n'en sais pas vraiment plus sur toi..."

Je le regardais avec un regard un peu insistant, hésitant avec une petite pointe de supplication mêlée avec mon éclat perçant habituel.

Après mettre assis à ses coter, je la regarde me parler les yeux dans les yeux , tout en pensant pourquoi c'est elle donnait entant de mal pour préparer tout ça, et pourquoi m'avoir choisit moi plutôt qu'un autre ?.

Je vois c'est yeux tourner et ses joue devenir de plus en plus rouge, personne ne dit rien et moi je reste un minimum stoïque en pensant que ce silence me permettait de réfléchir. La le Silence fut brisée je pense quelle à trouvait une idée ou peut être qu'elle veut juste prendre un bonbon ou je ne sais quoi.

Et la elle ouvrit la bouche et un son venait percuté les murs et le silence de la Salle de Bal

"Ça te dit de manger une fizwizbiz, le bonbon qui permet de éviter dans les airs ?"

Après avoir écoutait sa proposition, je me mets à chercher tout les effets que cela peut procurer, je me souviens que j'avais lu ça dans un livre. Après avoir ruminé mais pensées pendant un instant qui a dû lui paraître une éternité, j'ouvrit la bouche et lui dit en tendant la main vers elle.

"Ba écoute pourquoi pas, merci pour le bonbon"

Elle me voit un peu perplexe, quant a ce bonbon, elle m'explique du coup les règles d'un jeu, je suppose pour que l'ont se connaissent un peu mieux.

"En plus de cela, lorsque tu seras en lévitation, tu fermeras les yeux pour ensuite poser une question à laquelle je devrais répondre rapidement avant que tu en retombes, ça te dit ?"

Quand elle m'a expliquer les règles du jeu, j'analyse ses expressions du visage, et je pense qu'elle s'attend vraiment a ce que je lui dise Oui, car elle me regardait réfléchir et doutait un minimum de savoir si j'allais le prendre ou non.

Elle me dit d'un air sincère :

"En plus, ça permettra de mieux se connaître... Parce que je t'ai invité à passer la Saint-Valentin avec moi... Mais je n'en sais pas vraiment plus sur toi..."

Je lui répondit d'un sourire en coin pour essayait de la calmer un peu :

Ne t'inquiète pas, je ne mords pas tu sais, quoi que ... . Non plus sérieusement, je suis très content d'être ici avec toi, tu me fascine et tu m'intrigue, je ne sais ce qui se passe mais tes yeux m'attire vers toi et tu à l'air d'être très intelligente. Effectivement nous ne nous connaissant pas mais c'est l'occasion d'apprendre à se connaitre.

Je fus super soulagé lorsque Jérémie répondit par l'affirmative et en me tendant la main pour que je lui donne un bonbon pour commencer le jeu. Ça aurait été extrêmement gênant qu'il refuse ou ne soit pas convaincu et ça aurait mis un énorme malaise, sentiment que je déteste au plus haut point.

Après que j'ai expliqué les règles, il me répond un sourire en coin comme pour souligner mon petit stress qui brûle comme un petit feu en moi :

"Ne t'inquiète pas, je ne mords pas tu sais, quoi que ... . Non plus sérieusement, je suis très content d'être ici avec toi, tu me fascine et tu m'intrigue, je ne sais ce qui se passe mais tes yeux m'attire vers toi et tu à l'air d'être très intelligente. Effectivement nous ne nous connaissant pas mais c'est l'occasion d'apprendre à se connaitre."

Après qu'il est dit cela, j'ai l'impression de me transformer en tomate. Ces compliments étaient vraiment très gentils et je n'y étais pas vraiment habitué. Je suis vraiment heureuse qu'il est envie de me connaître puisque cette envie est réciproque. Je lui dis alors d'un voix que j'espère claire, sans cassure. Mon souffle revient peu à peu et les battements de mon coeur se calment également :

"Merci pour tous ses compliments ! Je ne sais pas vraiment comment te les retourner... Je lui fais un petit sourire pour un peu souligner mes paroles. Si tu veux, je peux commencer ?! Je vais te poser une question à laquelle tu devras répondre avant que je ne retombe sur le sol. Ou alors c'est le contraire ! À toi de voir qui commence !"

Je le regarde gentiment. En attendant sa réponse, je commence à farfouiller ma tête pour essayer de trouver une question au cas où je commencerai à poser les questions. Puis je me souvins d'un petit détail qu'il était nécessaire de prendre en compte.

"Par contre je n'ai que 5 fiswizbiz donc on ne pourra poser que 5 questions. Il ne faudra donc pas gaspiller les questions, dis-je en faisant un dernier clin d'oeil."

Puis, j'attendis sa réponse pour savoir en quoi m'en tenir. 

Elle se calme est me dit d'un ton plus posée :

"Merci pour tous ses compliments ! Je ne sais pas vraiment comment te les retourner... Je lui fais un petit sourire pour un peu souligner mes paroles. Si tu veux, je peux commencer ?! Je vais te poser une question à laquelle tu devras répondre avant que je ne retombe sur le sol. Ou alors c'est le contraire ! À toi de voir qui commence !"

elle me regarde gentiment. Je réfléchi à savoir si je commence et quelle question posée, puis je me dit allez je vais commencer, ça peut être sympa de flotter dans l'air. Elle brisa mes pensées en me disant :

"Par contre je n'ai que 5 fiswizbiz donc on ne pourra poser que 5 questions. Il ne faudra donc pas gaspiller les questions, dis-je en faisant un dernier clin d'oeil."

pour la prendre un peu au dépourvue, je la regarde d'un air sérieux et avec un petit sourire en coin

Pas de soucis, ba écoute je vais commencer donc, donne moi un bonbon s'il te plait

Après avoir expliqué un peu toutes les règles du jeu que je venais d'inventer. J'attendis patiemment la réponse de Jérémie. J'en fus même soulagé lorsqu'il m'annonça :

"Pas de soucis, ba écoute je vais commencer donc, donne moi un bonbon s'il te plait."

J'étais même très soulagé. Je sortis d'un sachet que j'avais prise dans mon sac, une de ses grosses boules de sorbets qui avaient des effets tellement amusants et extraordinaires. Je la lui tendis en disant joyeusement :

"Je suis prête à entendre et écouter ta question ! Et également y répondre rapidement."

J'attendis patiemment la question de Jérémie, j'espérais juste une chose. Qu'elle ne soit pas trop indiscrète, ni trop personnelle. Mais pas non plus trop banal, comme ce que tu aimes faire et tout. Il fallait que j'ai a réfléchir pour mieux me connaître moi-même. 

Je me trouvais beaucoup plus détendu que tout à l'heure. J'aimais bien être ici, toute ma gène, mon embarras et ma peur avait disparu. Toutes ses émotions laissaient place à de la joie et de l'excitation. J'avais toujours aimé m'amuser et jouer, et cette soirée était vraiment parfaite pour le faire. 

Je n'avais plus aucune chose à faire, j'avais fait en sorte de passer des heures et des heures les jours précédents à la bibliothèque et dans ma salle commune pour terminer avec soin mes devoirs et ne pas avoir à y penser et à me stresser durant cette journée.

Demain, tout allait redevenir comme avant. Autant profiter aujourd'hui.

Je la regarde avec un air froid, un petit sourire en coin, elle avait l'air d'y tenir vraiment a cette soirée et cette épreuve, dans ce regard on pouvait voir toute la joie et y découvrir un petit sentiment incompréhensible que je n'arrivait a déceler. un vide viens s'ajouter à mes pensées. Elle ouvra la bouche et cela me stoppa net. Elle me dit avec intérêt :

"Je suis prête à entendre et écouter ta question ! Et également y répondre rapidement."

J'ai tendu la main, pour récupérer ce fameux bonbon qui quand je me suis mis à le regarder n'avait pas une allure très spéciale contrairement au bonbon de berticrochue, il ressembler aux bonbons de mordue qu'ils y avait dans les boulangerie près de chez moi. ce petit bonbon a l'allure plus que singulière aller me faire voler dans les air, je commence à réfléchir a la fameuse question .

Je me suis mis à la regardais droit dans les yeux en mettant le bonbon dans ma bouche.

"Je voulais te dire, que même après cette histoire de bonbon, j'ai vraiment hâte de voir ce qu'il se passeras ensuite, rien ne pourras endiguer ce moment."

un petit vide s'installe entre-nous, je me remets à parler.

D'un air vide de sens comme à mon habitude tout me passe par la tête, toutes mes pensées s'entremêle entre elle. je me mit a ouvrir la bouche " Bon ba quand il faut y aller " Je mets le bonbon dans ma bouche d'un geste qui envoya valsé dans les airs le bonbon pour qu'ils finissent sa course dans ma bouche.

je me suis mît a m'envoler d'un coup et je part sur une petite question que j'ai attraper au vol dans mes pensées, mon cerveau n'était pas comme à son habitude bien rangée et ordonnée dans ses idées, tout se bousculer et tout voulais sortir . :

dit moi pourquoi, tu m'as choisit, qu'est ce qui te plait chez moi ?

je me mis a rester en stationnaire comme si j'était assis sur une chaise avec ma jambe gauche au dessus de ma jambe droite, les bras croisée, en la regardant d'un air mystérieux en attendant une réponse que je pensais être la bonne paris tout les scénario imaginée pendant ses minutes passez a flottait dans les air.