La salle de bal
Julie n'avait pas réellement fait attention au Bal prévu pour Halloween. En vérité, elle ne voulait pas y aller, mais son cousin Marius l'y avait poussé, convaincu qu'elle ne devait pas rester à s'ennuyer dans son dortoir des sous-sols de Poudlard pendant que les autres s'amuseraient au quatrième étage. Elle l'avait suivi en maugréant, persuadée que s'ennuyer dans un dortoir ou dans une salle de bal n'avaient guère de différences. Elle portait une simple robe noire, assortie d'un masque de squelette très enfantin envoyé le matin même par son oncle. L'avantage, c'était que personne ne la reconnaitrait avec cet accoutrement.
En arrivant dans la salle décorée aux couleurs d'Halloween, elle remarqua immédiatement le buffet, et en particulier les boissons qu'il contenait. Il lui semblait qu'elle n'avait pas bu depuis plusieurs jours. Le nombre d'étages, pourtant peu élevé, avait eu raison d'elle et de son genoux droit, toujours fragile suite à sa chute. Abandonnant son cousin, Julie se dirigea vers un chaudron rempli à ras bord de jus de pomme, et s'en servit un verre qu'elle vida en quelques gorgées, priant silencieusement pour qu'un quelconque évènement puisse lui permettre de rentrer le plus tôt possible dans la salle commune des verts et argent. Elle s'assit sur une chaise disposée dans un coin et sortit un livre du petit sac qu'elle avait emmené, décidée à faire passer le temps en dévorant ce bouquin consacré aux Tornades de Tutshill, son équipe de Quidditch préférée. Lorsque l'heure de l'élection de la Reine des Sorcières arriva, et que l'ennuie saisissait le jeune fille, Julie décida de se présenter, bien que croyant ses chances d'être élue minimes. Ceci fait, elle revint à sa chaise et regarda le concours de danse macabres, amusée. Finalement, ce bal n'était pas si ennuyant que ça.
3ème année RP (2044-2045) - M.E.R.L.I.N : Bruce
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins
Reducio
En arrivant dans la salle décorée aux couleurs d'Halloween, elle remarqua immédiatement le buffet, et en particulier les boissons qu'il contenait. Il lui semblait qu'elle n'avait pas bu depuis plusieurs jours. Le nombre d'étages, pourtant peu élevé, avait eu raison d'elle et de son genoux droit, toujours fragile suite à sa chute. Abandonnant son cousin, Julie se dirigea vers un chaudron rempli à ras bord de jus de pomme, et s'en servit un verre qu'elle vida en quelques gorgées, priant silencieusement pour qu'un quelconque évènement puisse lui permettre de rentrer le plus tôt possible dans la salle commune des verts et argent. Elle s'assit sur une chaise disposée dans un coin et sortit un livre du petit sac qu'elle avait emmené, décidée à faire passer le temps en dévorant ce bouquin consacré aux Tornades de Tutshill, son équipe de Quidditch préférée. Lorsque l'heure de l'élection de la Reine des Sorcières arriva, et que l'ennuie saisissait le jeune fille, Julie décida de se présenter, bien que croyant ses chances d'être élue minimes. Ceci fait, elle revint à sa chaise et regarda le concours de danse macabres, amusée. Finalement, ce bal n'était pas si ennuyant que ça.
3ème année RP (2044-2045) - M.E.R.L.I.N : Bruce
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins
La salle de bal
Précédemment I, II et III
Le Lutin de Cornouaille géant s'en allait vers le buffet incertain. Alice avait l'air tout sauf touchée par le geste. Il n'était pas sûr d'avoir eu la bonne méthode pour attirer l'attention d'Alice, le malaise avait vite été détecté et, gêné, il n'était pas sur de vouloir revenir tout de suite retrouver Alice. Il resterait sûrement au bar à attendre que la jeune fille termine sa danse et le rejoigne.
A peine arrivé au buffet il fut déjà rattrapé par la Serpentard qui semblait en colère.
"-Non mais, ça ne va pas bien ?
-Pardon?
-C’est un nouveau genre que tu te donnes, celui du garçon impoli et irrespectueux ? Eh bien permet moi de te dire que ça ne te va pas du tout, Christopher !
-Hein? Impoli? L'aiglon était choqué mais ne le montrait pas. La colère d'Alice lui avait refroidit l'envie de révolte, il ne voulait pas gâcher la soirée mais elle l'était déjà un peu. En tout cas pour lui. Danser comme Alice le faisait avec un autre devant tout le monde, comme si c'était lui son amoureux, c'était ça l'irrespect selon l'aiglon! Jalousie, fierté mal placé ou colère légitime, qu'importe. Si il n'avait pas a se reprocher son retard il serait sûrement reparti vers les dortoirs. Mais... Alice je n'ai pas voulu... J'ai pas voulu être irrespectueux, juste que... enfin te voir danser de la sorte comme ça avec un autre je..."
Sa phrase ne trouva pas de fin, il fut tiré en arrière par l'épaule. Dos à Alice il reconnu la voix de Carry qui lui demandait si ça allait. Ce n'était pas la personne qu'il falait à proximité pour calmer Alice, il était pas sans savoir l'amertume qu'éprouvait son amoureuse envers la brune. Étourdit par le démi-tour, le situation et la question il bégaya un bref oui alors que Carry lui tendait un verre de jus de citrouille, l'aiglon se demandant alors si elle savait que c'était sa boisson préférée. Elle s'inquiété à nouveau de son état, mais le blond n'eut aucune réponse, pas même un merci quand il prit le verre entre ses mains. Tremblant quelque peu, il s'attendait à entendre frapper le tonnerre dans son dos à chaque instant. Quand son interlocutrice prononça le nom de sa bien aimée, il se retourna l'air désolé. Il voulait faire comprendre à Alice qu'il ne comprenait pas pourquoi Carry venait de lui donner ce verre mais il eut l'impression que le silence serait le meilleur choix dans la situation et il restait là à la regarder, attendant sa réaction non sans crainte.
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Vive les Tallirenpher / 141265 / Christortank
-6ème année et ex-Préfet RP / Boute-en-train de l’année 2018 et 2019
Le Lutin de Cornouaille géant s'en allait vers le buffet incertain. Alice avait l'air tout sauf touchée par le geste. Il n'était pas sûr d'avoir eu la bonne méthode pour attirer l'attention d'Alice, le malaise avait vite été détecté et, gêné, il n'était pas sur de vouloir revenir tout de suite retrouver Alice. Il resterait sûrement au bar à attendre que la jeune fille termine sa danse et le rejoigne.
A peine arrivé au buffet il fut déjà rattrapé par la Serpentard qui semblait en colère.
"-Non mais, ça ne va pas bien ?
-Pardon?
-C’est un nouveau genre que tu te donnes, celui du garçon impoli et irrespectueux ? Eh bien permet moi de te dire que ça ne te va pas du tout, Christopher !
-Hein? Impoli? L'aiglon était choqué mais ne le montrait pas. La colère d'Alice lui avait refroidit l'envie de révolte, il ne voulait pas gâcher la soirée mais elle l'était déjà un peu. En tout cas pour lui. Danser comme Alice le faisait avec un autre devant tout le monde, comme si c'était lui son amoureux, c'était ça l'irrespect selon l'aiglon! Jalousie, fierté mal placé ou colère légitime, qu'importe. Si il n'avait pas a se reprocher son retard il serait sûrement reparti vers les dortoirs. Mais... Alice je n'ai pas voulu... J'ai pas voulu être irrespectueux, juste que... enfin te voir danser de la sorte comme ça avec un autre je..."
Sa phrase ne trouva pas de fin, il fut tiré en arrière par l'épaule. Dos à Alice il reconnu la voix de Carry qui lui demandait si ça allait. Ce n'était pas la personne qu'il falait à proximité pour calmer Alice, il était pas sans savoir l'amertume qu'éprouvait son amoureuse envers la brune. Étourdit par le démi-tour, le situation et la question il bégaya un bref oui alors que Carry lui tendait un verre de jus de citrouille, l'aiglon se demandant alors si elle savait que c'était sa boisson préférée. Elle s'inquiété à nouveau de son état, mais le blond n'eut aucune réponse, pas même un merci quand il prit le verre entre ses mains. Tremblant quelque peu, il s'attendait à entendre frapper le tonnerre dans son dos à chaque instant. Quand son interlocutrice prononça le nom de sa bien aimée, il se retourna l'air désolé. Il voulait faire comprendre à Alice qu'il ne comprenait pas pourquoi Carry venait de lui donner ce verre mais il eut l'impression que le silence serait le meilleur choix dans la situation et il restait là à la regarder, attendant sa réaction non sans crainte.
@Carry Harrison; @Alice Sangblanc
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Vive les Tallirenpher / 141265 / Christortank
-6ème année et ex-Préfet RP / Boute-en-train de l’année 2018 et 2019
La salle de bal
Les musiques s’enchaînaient et les deux danseurs continuaient inlassablement de bouger au rythme des mélodies, parfois un peu maladroitement, cognant leurs pieds. Mike s'excusait à chaque fois, un peu gêné, ce qui les faisait finalement rire. Après quelques temps, Alaska demanda à faire une pause, un peu essoufflée d'avoir autant chanté. Cela ne se refusait pas : bien qu'il ait tenu jusque là, Mike commençait aussi à avoir chaud. Ils quittèrent le centre de la piste en direction d'une table.
Le concert avait finalement attiré du monde. Mike n'avait, jusque là, pas remarqué les couples de danseurs qui les avaient rejoints, bien trop perdu dans les yeux de la Serpentard. Le jeune Serdaigle avait la gorge un peu sèche d'avoir autant ri et chantonné, mais il passait l'une des plus belles soirées qu'il avait vécues et la fatigue n'était pas une justification suffisante pour l'arrêter.
Il accompagna donc sa partenaire qui boitait, l'aidant en offrant son bras pour qu'elle y prît appui. Arrivés à la table, il posa son regard sur son visage. Elle s'affala en soupirant, soulageant ses pieds qui visiblement lui faisaient mal. Il parcourait la courbure gracieuse de son cou, sur lequel se reposait ses cheveux, si habillement coiffés. Des petites gouttes perlaient sur ses joues, recouvrant son maquillage blanc de petites paillettes d'argent. Elle tourna son visage et glissa ses yeux jusque dans les siens. Un frisson parcourut son dos et une vague de chaleur inexplicable se répandit dans son corps jusque dans son torse. Une vague de chaleur apaisante qui lui lâcher un petit sourire. Elle le lui rendit, avec un peu de timidité. Son regard fuyait sous la gêne, et ses joues viraient au rose, là où le maquillage commençait à s'estomper.
Alaska se leva d'un bond, et se saisit de la main de Mike pour l'entraînait dans la foule dansante. Apparemment, elle comptait profiter le plus possible de ce moment, faisant fi de ses douleurs, au plus grand bonheur du rouquin. Elle se rapprocha alors de lui pour susurrer un mot à son oreille. Elle posa sur son visage sa main, un frisson parcourut son visage.
"J'adore vraiment tes taches de rousseur."
Le compliment toucha le jeune garçon, qui lui répondit d'un sourire timide, un d'un rire de gêne. Ses yeux répondirent mieux que lui, montrant à la jeune fille comment ce qu'il pouvait ressentir à ce moment précis. La musique sembla s'accélérer tout d'un coup, et Mike prit la main de sa partenaire pour la faire danser à nouveau. Ses pieds continuaient de lui faire mal, mais elle essayait de ne pas le montrer. Il admirait la jeune fille qui prenait sur elle pour lui offrir cet instant. Il profita d'un couplet plus calme pour s'approcher d'elle à son tour. Il glissa son index sur la tempe de la jeune fille, glissant une mèche de cheveux derrière son oreille avec douceur.
"C'est pas très agréable comme chaussures n'est-ce-pas? Murmura-t-il. Tu n'as pas trop mal?"
Ils reprirent quelques pas de danses et il revint près d'elle.
"Tu veux reposer tes pieds sur les miens?"
Sa proposition le fit sourire, se demandant si la jeune fille accepterait une telle folie.
@Alaska Cross
Compte-élève de monsieur le sous-directeur.
8è Année RP (je sais, ça n'existe pas). Ex-Préfet de Serdaigle (entre janvier et août 2045).
Le concert avait finalement attiré du monde. Mike n'avait, jusque là, pas remarqué les couples de danseurs qui les avaient rejoints, bien trop perdu dans les yeux de la Serpentard. Le jeune Serdaigle avait la gorge un peu sèche d'avoir autant ri et chantonné, mais il passait l'une des plus belles soirées qu'il avait vécues et la fatigue n'était pas une justification suffisante pour l'arrêter.
Il accompagna donc sa partenaire qui boitait, l'aidant en offrant son bras pour qu'elle y prît appui. Arrivés à la table, il posa son regard sur son visage. Elle s'affala en soupirant, soulageant ses pieds qui visiblement lui faisaient mal. Il parcourait la courbure gracieuse de son cou, sur lequel se reposait ses cheveux, si habillement coiffés. Des petites gouttes perlaient sur ses joues, recouvrant son maquillage blanc de petites paillettes d'argent. Elle tourna son visage et glissa ses yeux jusque dans les siens. Un frisson parcourut son dos et une vague de chaleur inexplicable se répandit dans son corps jusque dans son torse. Une vague de chaleur apaisante qui lui lâcher un petit sourire. Elle le lui rendit, avec un peu de timidité. Son regard fuyait sous la gêne, et ses joues viraient au rose, là où le maquillage commençait à s'estomper.
Alaska se leva d'un bond, et se saisit de la main de Mike pour l'entraînait dans la foule dansante. Apparemment, elle comptait profiter le plus possible de ce moment, faisant fi de ses douleurs, au plus grand bonheur du rouquin. Elle se rapprocha alors de lui pour susurrer un mot à son oreille. Elle posa sur son visage sa main, un frisson parcourut son visage.
"J'adore vraiment tes taches de rousseur."
Le compliment toucha le jeune garçon, qui lui répondit d'un sourire timide, un d'un rire de gêne. Ses yeux répondirent mieux que lui, montrant à la jeune fille comment ce qu'il pouvait ressentir à ce moment précis. La musique sembla s'accélérer tout d'un coup, et Mike prit la main de sa partenaire pour la faire danser à nouveau. Ses pieds continuaient de lui faire mal, mais elle essayait de ne pas le montrer. Il admirait la jeune fille qui prenait sur elle pour lui offrir cet instant. Il profita d'un couplet plus calme pour s'approcher d'elle à son tour. Il glissa son index sur la tempe de la jeune fille, glissant une mèche de cheveux derrière son oreille avec douceur.
"C'est pas très agréable comme chaussures n'est-ce-pas? Murmura-t-il. Tu n'as pas trop mal?"
Ils reprirent quelques pas de danses et il revint près d'elle.
"Tu veux reposer tes pieds sur les miens?"
Sa proposition le fit sourire, se demandant si la jeune fille accepterait une telle folie.
@Alaska Cross
Compte-élève de monsieur le sous-directeur.
8è Année RP (je sais, ça n'existe pas). Ex-Préfet de Serdaigle (entre janvier et août 2045).
La salle de bal
Athéna fût étonnée quand son camarade lâcha une « promesse » de retrouvaille sans même l’avoir prémédité, du moins c’est ce qu’il lui semblait. Alors Ly ne donnait même plus de nouvelles à ses amis ? Galvane était bien son ami ? Elle ne se trompait pas ? Et quand bien même, ce n’était pas son problème, après tout ce qu’il avait fait, tout ce qu’elle avait fait aussi. La lionne se moquait bien de ce qui avait pu lui arriver ! Ou pas…
Quand les sorciers et sorcières se mirent à danser, tu les regardas quelques peu avec envie. Ils semblaient bien s’amuser, mais cette envie n’était rien comparé à celle de repartir dans son dortoir et dans son lit. Mais elle était tellement prise dans les jeux de jambes des danseurs qu’elle n’avait même pas réagit lorsque quelqu’un s’était approché d’eux. Seulement lorsque le dit quelqu’un avait prit la parole.
« Salut, j’sais pas c’que j’fous ici »
Athéna fronça les sourcils, si elle ne savait pas ? Pourquoi venait-elle ? Sûrement pou parler, mais son arrivée avait l’air de contrarier son camarade ; camarade qui d’ailleurs lui répondit bougon qu’elle l’avait dérangé. Que s’était il trouver à faire pour que cette camarade le dérange ? Ou peut-être avait-il juste dit cela pour la faire déguerpir, si telle était le cas, Athéna ne pouvait qu’espérer pour lui que ses paroles suffiraient.
Quoi que, s’il fallait être tout à fait honnête, la lionne espérait qu’elle partirait, nan pas qu’elle n’aimait pas la compagnie mais là… elle n’avait qu’une envie c’était se mêler à la foule de danseurs pour disparaître un peu.
Du coin de l’œil elle perçut le regard désolé de l’ami à Ly, pourquoi était-il désolé ? Il n’avait rien fait, ce n’est comme s’il lui avait fait mal, avait emmener l’inconnue jusqu’à eux ou avait manqué une parole, une promesse qu’il lui aurait faîte. Rien de tout ça alors pourquoi s’en désolé ?
« Vous vous connaissez ?
- Non. »
Un simple non, elle n’avait pas la foi de faire plus que répondre par non. Elle ne la connaissait pas, ni de près ni de loin. En même temps, elle ne prêtait que rarement attention aux autres élèves. Seuls comptaient certains sur qui elle veillait et à qui elle dédaignait parler mais pour le reste, elle aurait été incapable de dire qui elle avait croisé ou non dans les couloirs.
Et quand bien même tu en aurais été capable, qu'est ce que cela t'aurais apporté ? Rien.
Quand les sorciers et sorcières se mirent à danser, tu les regardas quelques peu avec envie. Ils semblaient bien s’amuser, mais cette envie n’était rien comparé à celle de repartir dans son dortoir et dans son lit. Mais elle était tellement prise dans les jeux de jambes des danseurs qu’elle n’avait même pas réagit lorsque quelqu’un s’était approché d’eux. Seulement lorsque le dit quelqu’un avait prit la parole.
« Salut, j’sais pas c’que j’fous ici »
Athéna fronça les sourcils, si elle ne savait pas ? Pourquoi venait-elle ? Sûrement pou parler, mais son arrivée avait l’air de contrarier son camarade ; camarade qui d’ailleurs lui répondit bougon qu’elle l’avait dérangé. Que s’était il trouver à faire pour que cette camarade le dérange ? Ou peut-être avait-il juste dit cela pour la faire déguerpir, si telle était le cas, Athéna ne pouvait qu’espérer pour lui que ses paroles suffiraient.
Quoi que, s’il fallait être tout à fait honnête, la lionne espérait qu’elle partirait, nan pas qu’elle n’aimait pas la compagnie mais là… elle n’avait qu’une envie c’était se mêler à la foule de danseurs pour disparaître un peu.
Du coin de l’œil elle perçut le regard désolé de l’ami à Ly, pourquoi était-il désolé ? Il n’avait rien fait, ce n’est comme s’il lui avait fait mal, avait emmener l’inconnue jusqu’à eux ou avait manqué une parole, une promesse qu’il lui aurait faîte. Rien de tout ça alors pourquoi s’en désolé ?
« Vous vous connaissez ?
- Non. »
Un simple non, elle n’avait pas la foi de faire plus que répondre par non. Elle ne la connaissait pas, ni de près ni de loin. En même temps, elle ne prêtait que rarement attention aux autres élèves. Seuls comptaient certains sur qui elle veillait et à qui elle dédaignait parler mais pour le reste, elle aurait été incapable de dire qui elle avait croisé ou non dans les couloirs.
Et quand bien même tu en aurais été capable, qu'est ce que cela t'aurais apporté ? Rien.
@Galvane Rytz @Harriet Greenwood
Να είστε δίκαιοι αν θέλετε να είναι δικό σας.
Soyez juste si vous voulez qu'on le soit envers vous.
La salle de bal
Emelyne eu l'impression un instant que le monde s'effondrait autour d'elle. Les mots, si blessants, résonnait dans sa tête : "Laisse moi Emy. J'ai rien à te dire." Elle revoyait également le geste froid, le rejet de sa main sur son bras. Et elle revoyait la colère dans ses yeux, avant qu'il se détourne et s'éloigne d'elle. Ce n'était pas l'endroit pour pleurer, mais elle en eu soudain la grande envie. Prise d'un vertige, elle s'agrippa à la table du buffet. Elle s'efforça à reprendre son calme. Elle ne devait pas se montrée faible. Elle ne devait pas pleurer devant les autres. Elle devait se redresser et sourire. Mais son esprit refusait de ne plus y penser. Qu'avait-elle donc fait pour le mettre autant en colère contre elle ? Pour qu'il se montre si froid et blessant ? Avait-elle oublier quelque chose d'important ? Pourquoi l'avait-il rejeter ainsi ? Pourquoi ? Elle ne comprenait pas et il n'avait même pas voulu lui dire. "J'ai rien à te dire." Son vertige s'intensifia. Elle avait besoin d'air. Elle voulu s'avancer vers la sorti de la salle, mais le concours était terminé et les danseurs commençait à venir sur la piste, lui bloquant toute possibilité de fuite. Fuite... Elle n'aimait pas prendre la fuite. Elle ne voulait pas être lâche. Elle voulait être forte, être digne de sa maison. Mais là, dans cette salle bondée, elle se sentait terriblement mal à l'aise tout à coup et ne voulait qu'une chose : partir d'ici. Trouver un coin sombre, silencieux et pouvoir prendre le temps de se calmer. C'est tout ce qu'elle voulait. "Laisse moi Emy" Pourquoi ? Pourquoi utiliser son surnom affectueux pour lui dire ce genre de chose si cruelle... Elle l'avait certainement mérité. Rey n'était pas quelqu'un d'injuste, de méchant. Elle était forcément la fautive. C'était de sa faute à elle seule. Son champs de vision s'assombrit, tandis qu'elle sentait les larmes menacer de couler et qu'elle avait du mal à respirer. Une crise d'angoisse ?! Non, elle ne devait pas. Pas ici, pas maintenant. Pas devant tous. Elle devait sortir d'ici et vite, retrouver son calme et sa respiration. Elle ne pouvait pas... Elle se souvient de la fois dans la volière avec Alexei Menkins. Sans lui, elle ne savait pas se qui aurait pu se passer. Elle avait besoin d'aide. Elle chercha quelqu'un d'amical autour d'elle. Où était-il ? Où était-il aller déjà ? Ah... des jus de citrouilles... Elle essaya de se concentrer sur le buffet, du côté des boissons. Elle devait le rejoindre. Sa respiration était de plus en plus rapide. Il était le seul qui pourrait l'aider. Elle tenta de l'appeler quand elle repéra enfin le loup-garou stylisé. Mais aucun son ne sorti de sa bouche. Elle n'arrivait plus à respirer comme il le fallait pour pour pouvoir parler. Elle recommença deux fois, tout en continuant d'avancer vers lui, avant qu'un simple murmure finisse par franchir ses lèvres :
- Gaby...
Elle n'était plus très loin de lui. Elle manquait d'air. Elle devait absolument se calmer mais elle n'y arrivait pas. Elle espérait que Gabryel comprendrait et l'aiderait à quitter la salle. Sa vue s'assombrissait, elle voyait le monde sombré. Elle tremblait. Elle devait vite partir d'ici, avant que quelqu'un ne remarque quoi que ce soit, avant qu'il ne soit trop tard. "Calme-toi. Inspire. Calme-toi. Expire. Calme-toi. Inspire... Gaby, aide-moi..."pensa-t-elle.
@Gabryel Fleurdelys
- Gaby...
Elle n'était plus très loin de lui. Elle manquait d'air. Elle devait absolument se calmer mais elle n'y arrivait pas. Elle espérait que Gabryel comprendrait et l'aiderait à quitter la salle. Sa vue s'assombrissait, elle voyait le monde sombré. Elle tremblait. Elle devait vite partir d'ici, avant que quelqu'un ne remarque quoi que ce soit, avant qu'il ne soit trop tard. "Calme-toi. Inspire. Calme-toi. Expire. Calme-toi. Inspire... Gaby, aide-moi..."pensa-t-elle.
@Gabryel Fleurdelys
6ème Année RP - Vive Gryffondor ! - JFF
Ma volière est ouverte 
Garde le sourire, c'est ta meilleure arme !
Garde le sourire, c'est ta meilleure arme !
La salle de bal
La réponse d’Hestia ne se fait pas attendre, et la dureté de son ton me laisse confuse. Alors ça viendrait vraiment de moi ? Je n’ai vraiment rien senti avant sa chute, pourtant. Ou alors… Ou alors, son humeur vient de notre danse, juste avant. Mais on a gagné, et il m’avait semblé que cela s’était plutôt bien passé. Je ne comprends vraiment plus rien.
Le regard perdu, je rate un pas et suis rattrapée par la prise de ma partenaire, qui me serre tellement le bras que je commence à avoir des fourmis dans les doigts. Ce n’est vraiment pas agréable, et j’ai envie de rentrer au dortoir pour me réfugier sous ma couverture. Qu’est-ce que j’ai fait pour en arriver là ?
Heureusement, la Gryffondor relâche enfin sa prise, et les sensations reviennent dans ma main. Son ton a changé, elle a l’air d’aller un peu mieux - mais je trouve que ses réactions sont vraiment bizarres. Je reste sur mes gardes : je n’ai pas envie qu’elle passe sa colère sur moi, même si j’en suis potentiellement la cause.
Alors que je m’apprête à lui demander ce qui lui a déplu dans mon comportement, et à m’excuser pour cela, Hestia m’explique la raison de son air fulminant. Incrédule, je hausse un sourcil. Si je m’attendais à ça… Donc tout va bien, je n’y suis pour rien dans la chute de ma partenaire de danse.
Visiblement soulagée, je suis le regard de la deuxième année, sans repérer ce qu’elle souhaite me montrer. Des gens pas très fréquentables ? Geneva ? Ce nom me dit quelque chose, mais j’ai très peu parlé avec cette fille de Serdaigle. Si elle fait des croche-pieds aux gens, comme ça, il faut dire que cela ne me donne pas très envie de plus la connaître. Pour quelle raison faire tomber d’autres élèves ? Remarque, l’animosité qu’Hestia a montré juste avant est du même niveau : j’en ai encore mal au poignet…
« Euh… D’accord, si tu le dis. », réponds-je simplement, avec l’impression de marcher sur des œufs.
Bien heureusement, je suis libérée du malaise croissant par Herminie, la Préfète de Poufsouffle, qui vient nous proposer une danse de groupe. Les yeux brillants, je saute sur l’opportunité - c’est une super idée !
« Oh oui ! Ça te dit ? Allez on y va ! », m’exclamé-je en me tournant de nouveau vers Hestia.
Presque en courant, j’entraîne la Gryffondor dans la ronde en train de se former et m’applique à suivre les pas. J’ai du mal, et pire, j’ai l’impression d’être à contretemps pendant tout le début de la chanson. Pourtant, ce n’est pas si compliqué, et en plus la musique est bien… Au fur et à mesure que les temps passent, je prends de l’assurance, et ma danse ressemble de plus en plus à ce qui est montré par la troisième année. Un sourire aux lèvres, je me dis que bon, c’est déjà ça.
Le regard perdu, je rate un pas et suis rattrapée par la prise de ma partenaire, qui me serre tellement le bras que je commence à avoir des fourmis dans les doigts. Ce n’est vraiment pas agréable, et j’ai envie de rentrer au dortoir pour me réfugier sous ma couverture. Qu’est-ce que j’ai fait pour en arriver là ?
Heureusement, la Gryffondor relâche enfin sa prise, et les sensations reviennent dans ma main. Son ton a changé, elle a l’air d’aller un peu mieux - mais je trouve que ses réactions sont vraiment bizarres. Je reste sur mes gardes : je n’ai pas envie qu’elle passe sa colère sur moi, même si j’en suis potentiellement la cause.
Alors que je m’apprête à lui demander ce qui lui a déplu dans mon comportement, et à m’excuser pour cela, Hestia m’explique la raison de son air fulminant. Incrédule, je hausse un sourcil. Si je m’attendais à ça… Donc tout va bien, je n’y suis pour rien dans la chute de ma partenaire de danse.
Visiblement soulagée, je suis le regard de la deuxième année, sans repérer ce qu’elle souhaite me montrer. Des gens pas très fréquentables ? Geneva ? Ce nom me dit quelque chose, mais j’ai très peu parlé avec cette fille de Serdaigle. Si elle fait des croche-pieds aux gens, comme ça, il faut dire que cela ne me donne pas très envie de plus la connaître. Pour quelle raison faire tomber d’autres élèves ? Remarque, l’animosité qu’Hestia a montré juste avant est du même niveau : j’en ai encore mal au poignet…
« Euh… D’accord, si tu le dis. », réponds-je simplement, avec l’impression de marcher sur des œufs.
Bien heureusement, je suis libérée du malaise croissant par Herminie, la Préfète de Poufsouffle, qui vient nous proposer une danse de groupe. Les yeux brillants, je saute sur l’opportunité - c’est une super idée !
« Oh oui ! Ça te dit ? Allez on y va ! », m’exclamé-je en me tournant de nouveau vers Hestia.
Presque en courant, j’entraîne la Gryffondor dans la ronde en train de se former et m’applique à suivre les pas. J’ai du mal, et pire, j’ai l’impression d’être à contretemps pendant tout le début de la chanson. Pourtant, ce n’est pas si compliqué, et en plus la musique est bien… Au fur et à mesure que les temps passent, je prends de l’assurance, et ma danse ressemble de plus en plus à ce qui est montré par la troisième année. Un sourire aux lèvres, je me dis que bon, c’est déjà ça.
Suivant
@Hestia Andrew @Herminie Peers
@Hestia Andrew @Herminie Peers
Dernière modification par Megan Arrington le 21 nov. 2019, 21:10, modifié 1 fois.
6ème année RP - 17 ans - #783F04
Préfète inRP depuis mai 2047 - MERLIN (Perly) - club de courses de balais - Hel's Angels
"Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !" #PouffyFamily
La salle de bal
Événement en cours : annonce des résultats de l'élection de la Reine des Sorcières et discours de la nouvelle Reine.
Nécromancienne - Mère du dragon - Détentrice de la Baguette de Sureau et du Retourneur de Temps
~ if i wasn’t a narcissist i wouldn’t like me either ~
@Mentionnez-moi pour activer le Tabou
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La salle de bal
Précédemment I, II et III
@Carry Harrison
@Christopher Martin
Il n’y avait pas vraiment de mot pour décrire l’état dans lequel se trouvait Alice. C’était un savant mélange, un mariage entre plusieurs émotions parfois contradictoire. La colère, la déception, l’angoisse, la tristesse, la rancune s’entrelaçaient dans le palpitant de l’enfant.
Ses sourcils froncés, la petite fille écoutait les piteuses explications de Christopher. Comment pouvait-il ne pas se rendre compte de son impolitesse ? Il avait fait fuir Saul, et Alice était persuadée qu’il en était satisfait. Ce pauvre Saul si charmant, si amusant. Et si poli.
Avant qu’Alice ne puisse dire quoi que ce soit - et elle en a avait des choses à dire - , Christopher lui fut arrachée. Une main de sourire avait attiré son amoureux en arrière. Ses yeux arrondis par la surprise et l’incompréhension, Alice entendit à peine l’invitation d’Herminie à cette ronde, cette danse, qu’importe. Elle remua la tête, articula un « non », toute son attention portée sur le rapprochement qui avait lieu entre la bête à poil et Christopher. C’était qui celle la, pour l’appeler "Chris" ? Comment osait-elle poser sa main sur lui ?
Et puis, une cascade glacée s’abattit sur les épaules d’Alice alors que l’autre prononçait son nom, juste son nom.
Carry Harrison. Bien sûr.
La mâchoire d’Alice s’était presque immédiatement serrée, comme pour retenir sa fureur derrière ses dents. Ses doigts cramponnés autour du frêle bouquet de rose tremblaient un peu. Ce poing, elle mourrait d’envie de l’enfoncer dans la gorge de Harrison pour la forcer à ne plus prononcer le moindre mot.
La voir voler au secours de Christopher n’était pas étonnant. Ce charognard n’aurait jamais manqué cette occasion de s’approprier son amoureux, comme elle l’avait déjà fait avec Brett.
La rage, comme une bourrasque enflammée, menaçait de s’abattre sur la brune.
« Quelle surprise de te retrouver là, toi. » cracha Alice en regardant Harrison avec cette haine qu’elle n’adressait qu’à sa pire ennemie. Le ton était froid, dénué du moindre soupçon de sentiment positif. Face à cet oiseau là, Alice était incapable de ressentir autre chose que de la fureur.
Une fureur qui, désormais, n’était plus pour Christopher. Bien sûr, Alice voulait lui expliquer point par point pourquoi elle était en colère contre lui. Mais ce serait du miel pour ce vautour de Harrison.
Plus loin, on annonçait les résultats de l’élection de la Reine des Sorcières. Herminie avait gagné. Alice aurait été heureuse pour elle, quoi que déçue de ne pas avoir été couronnée... mais à ce moment précis, son cœur était noirci par la haine. Et cette haine, en guise de couronne, ferait bientôt d’elle la reine de la violence si cette peste ne s’éloignait pas rapidement de son amoureux.
Sixième année RP - 741B47
Étudiante à Beauxbâtons depuis Janvier 2046
Fondatrice du MERLIN
@Carry Harrison
@Christopher Martin
Il n’y avait pas vraiment de mot pour décrire l’état dans lequel se trouvait Alice. C’était un savant mélange, un mariage entre plusieurs émotions parfois contradictoire. La colère, la déception, l’angoisse, la tristesse, la rancune s’entrelaçaient dans le palpitant de l’enfant.
Ses sourcils froncés, la petite fille écoutait les piteuses explications de Christopher. Comment pouvait-il ne pas se rendre compte de son impolitesse ? Il avait fait fuir Saul, et Alice était persuadée qu’il en était satisfait. Ce pauvre Saul si charmant, si amusant. Et si poli.
Avant qu’Alice ne puisse dire quoi que ce soit - et elle en a avait des choses à dire - , Christopher lui fut arrachée. Une main de sourire avait attiré son amoureux en arrière. Ses yeux arrondis par la surprise et l’incompréhension, Alice entendit à peine l’invitation d’Herminie à cette ronde, cette danse, qu’importe. Elle remua la tête, articula un « non », toute son attention portée sur le rapprochement qui avait lieu entre la bête à poil et Christopher. C’était qui celle la, pour l’appeler "Chris" ? Comment osait-elle poser sa main sur lui ?
Et puis, une cascade glacée s’abattit sur les épaules d’Alice alors que l’autre prononçait son nom, juste son nom.
Carry Harrison. Bien sûr.
La mâchoire d’Alice s’était presque immédiatement serrée, comme pour retenir sa fureur derrière ses dents. Ses doigts cramponnés autour du frêle bouquet de rose tremblaient un peu. Ce poing, elle mourrait d’envie de l’enfoncer dans la gorge de Harrison pour la forcer à ne plus prononcer le moindre mot.
La voir voler au secours de Christopher n’était pas étonnant. Ce charognard n’aurait jamais manqué cette occasion de s’approprier son amoureux, comme elle l’avait déjà fait avec Brett.
La rage, comme une bourrasque enflammée, menaçait de s’abattre sur la brune.
« Quelle surprise de te retrouver là, toi. » cracha Alice en regardant Harrison avec cette haine qu’elle n’adressait qu’à sa pire ennemie. Le ton était froid, dénué du moindre soupçon de sentiment positif. Face à cet oiseau là, Alice était incapable de ressentir autre chose que de la fureur.
Une fureur qui, désormais, n’était plus pour Christopher. Bien sûr, Alice voulait lui expliquer point par point pourquoi elle était en colère contre lui. Mais ce serait du miel pour ce vautour de Harrison.
Plus loin, on annonçait les résultats de l’élection de la Reine des Sorcières. Herminie avait gagné. Alice aurait été heureuse pour elle, quoi que déçue de ne pas avoir été couronnée... mais à ce moment précis, son cœur était noirci par la haine. Et cette haine, en guise de couronne, ferait bientôt d’elle la reine de la violence si cette peste ne s’éloignait pas rapidement de son amoureux.
Sixième année RP - 741B47
Étudiante à Beauxbâtons depuis Janvier 2046
Fondatrice du MERLIN
La salle de bal
Tu remercies Edwin d'avoir accepté, danser avec lui t'avait fait du bien. Vous avez pu parler un peu mais il est vrai que trois minutes, c'est assez court et tu te promets de lui reparler un de ces jours. Tu le quittes heureuse et tu t'apprêtes à rejoindre ton cavalier de la soirée, quand tu vois avec qui il a dansé.
Tess...
Tu te stoppes net. Tu sens les larmes monter. S'il y a bien une chose que tu ne souhaitais pas voir arriver, c'était bien que ta cousine se rapproche de lui. Tu te doutes qu'elle ne l'a pas fait par pur hasard.
Tu ne sais pas trop quoi faire, tu te vois mal exploser durant le bal, ce n'est vraiment pas le moment. Tu tentes de te calmer et tu n'en as pas vraiment le choix, vu que ton meilleur ami marche dans ta direction. Tu finis simplement par lui demander :
- Tout va bien ?
Question en général si banale mais si importante pour toi en ce moment : Ta cousine n'a pas l'air de lui avoir fait du mal mais tu ne sais pas si cela doit te rassurer ou t'horrifier encore plus.
Tu n'as pas le temps de te soucier de la troisième année car en face de toi, l'ambiance semble électrique : Tu reconnais facilement Alice et Carry qui n'ont pas l'air de s'entendre à merveille : Tu ne t'es jamais demandé comment ces deux-là s'entendaient et pourtant, c'est tout comme si tu t'apprêtais à le savoir dans les minutes qui suivent.
- Il se passe quoi là ?
Tu chuchotes à l'oreille d'Alexei, inutile de se faire remarquer.
La journée du 2 septembre te revient en tête : Tu te souviens encore regretter la lâcheté que tu as eue de ne pas défendre Carry, simplement car cela aurait pu te mettre en danger : Aujourd'hui, tu n'hésiteras pas : Si quelque chose arrive à Carry, tu seras prête à intervenir, simplement parce que c'est ta meilleure amie et que pour elle, tu ne te gêneras pas d'être au centre de l'attention.
Pendant ce temps, la reine du bal est annoncée : Herminie Peers. Tu l'applaudis et tu la félicites sincèrement mais ton regard ne se détache pas de ta meilleure amie et de ta camarade de chambre.
@Alexei Menkins @Carry Harrison
Tess...
Tu te stoppes net. Tu sens les larmes monter. S'il y a bien une chose que tu ne souhaitais pas voir arriver, c'était bien que ta cousine se rapproche de lui. Tu te doutes qu'elle ne l'a pas fait par pur hasard.
Tu ne sais pas trop quoi faire, tu te vois mal exploser durant le bal, ce n'est vraiment pas le moment. Tu tentes de te calmer et tu n'en as pas vraiment le choix, vu que ton meilleur ami marche dans ta direction. Tu finis simplement par lui demander :
- Tout va bien ?
Question en général si banale mais si importante pour toi en ce moment : Ta cousine n'a pas l'air de lui avoir fait du mal mais tu ne sais pas si cela doit te rassurer ou t'horrifier encore plus.
Tu n'as pas le temps de te soucier de la troisième année car en face de toi, l'ambiance semble électrique : Tu reconnais facilement Alice et Carry qui n'ont pas l'air de s'entendre à merveille : Tu ne t'es jamais demandé comment ces deux-là s'entendaient et pourtant, c'est tout comme si tu t'apprêtais à le savoir dans les minutes qui suivent.
- Il se passe quoi là ?
Tu chuchotes à l'oreille d'Alexei, inutile de se faire remarquer.
La journée du 2 septembre te revient en tête : Tu te souviens encore regretter la lâcheté que tu as eue de ne pas défendre Carry, simplement car cela aurait pu te mettre en danger : Aujourd'hui, tu n'hésiteras pas : Si quelque chose arrive à Carry, tu seras prête à intervenir, simplement parce que c'est ta meilleure amie et que pour elle, tu ne te gêneras pas d'être au centre de l'attention.
Pendant ce temps, la reine du bal est annoncée : Herminie Peers. Tu l'applaudis et tu la félicites sincèrement mais ton regard ne se détache pas de ta meilleure amie et de ta camarade de chambre.
@Alexei Menkins @Carry Harrison
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
La salle de bal
Il me prend la main. Soudainement. Et je me laisse entraîner. J'ai une forte envie de me faire enivrer par les danses qui j'espère vont s'enchaîner. Je lui souris et émet une faible pression dans sa main, pour lui signifier que je le suis.
On s'enfonce dans la foule comme dans les ténèbres. Mais des ténèbres enjoués. De nombreux couples ou même groupes de trémoussent en rythme sur la piste. J'aperçois Herminie, notre préfète d'exception qui propose de danser. Tous ensemble. Comme une famille. Son invitation, même si elle ne m'était peut être pas directement dédiée, me réchauffe. Le cœur.
Sans questionner mon partenaire je lance qu'on viendra peut être après. Plus tard dans la soirée. Pour le moment, il est temps de massacrer les pieds de mon gentil cavalier - ce qui est totalement intentionnel et grandement cliché -. Je danse. Maladroitement. Mais je lâche prise malgré tout.
Les musiques s'enchaînent et je ne me souviens pas si j'échange des mots avec Rufus. Je crois. J'espère. Puis, la reine est annoncée. Et la reine ne pouvait être mieux choisie. Herminie. Minie. Notre préfète. Camarade de dortoir. Une Poufsouffle. Je saisis Rufus par la main. Direction la reine. Ce n'est pas dans mes habitudes de m'imposer mais il est temps de la féliciter. Des "Bravo" et"Je te félicite" ainsi que des " tu es vraiment sublime dans ce déguisement, pas étonnant que tu sois là reine" ponctués par des "dès que tu peux, on ira danser tous ensemble ? Comme tu l'avais proposé !" sortent de ma bouche, mêlés à la musique qui résonne dans mes oreilles. Souriant de plus belle, j'adresse un petit signe de main à la préfète avant de repartir vers le centre de la foule. [/i]
《Tu veux qu'on continue à danser ? Qu'on mange un bout ? Ou qu'on prenne l'air pendant 5 minutes ? 》demandé-je à Rufus.
Clairement, malgré mes pieds souffrants, la danse me semble une bonne option. Mais une pause ne serait pas de refus. En fait, je ne sais pas ce que je veux faire. On verra bien ce qu'il décidera lui. Dans tous les cas, ça me plaira.
On s'enfonce dans la foule comme dans les ténèbres. Mais des ténèbres enjoués. De nombreux couples ou même groupes de trémoussent en rythme sur la piste. J'aperçois Herminie, notre préfète d'exception qui propose de danser. Tous ensemble. Comme une famille. Son invitation, même si elle ne m'était peut être pas directement dédiée, me réchauffe. Le cœur.
Sans questionner mon partenaire je lance qu'on viendra peut être après. Plus tard dans la soirée. Pour le moment, il est temps de massacrer les pieds de mon gentil cavalier - ce qui est totalement intentionnel et grandement cliché -. Je danse. Maladroitement. Mais je lâche prise malgré tout.
Les musiques s'enchaînent et je ne me souviens pas si j'échange des mots avec Rufus. Je crois. J'espère. Puis, la reine est annoncée. Et la reine ne pouvait être mieux choisie. Herminie. Minie. Notre préfète. Camarade de dortoir. Une Poufsouffle. Je saisis Rufus par la main. Direction la reine. Ce n'est pas dans mes habitudes de m'imposer mais il est temps de la féliciter. Des "Bravo" et"Je te félicite" ainsi que des " tu es vraiment sublime dans ce déguisement, pas étonnant que tu sois là reine" ponctués par des "dès que tu peux, on ira danser tous ensemble ? Comme tu l'avais proposé !" sortent de ma bouche, mêlés à la musique qui résonne dans mes oreilles. Souriant de plus belle, j'adresse un petit signe de main à la préfète avant de repartir vers le centre de la foule. [/i]
《Tu veux qu'on continue à danser ? Qu'on mange un bout ? Ou qu'on prenne l'air pendant 5 minutes ? 》demandé-je à Rufus.
Clairement, malgré mes pieds souffrants, la danse me semble une bonne option. Mais une pause ne serait pas de refus. En fait, je ne sais pas ce que je veux faire. On verra bien ce qu'il décidera lui. Dans tous les cas, ça me plaira.
@Rufus Williams @Herminie Peers
Dernière modification par Maggy Thompson le 26 avr. 2020, 11:20, modifié 1 fois.
Pourquoi passes-tu autant de temps dans ma tête ? Parce qu'il y fait toujours beau.