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24 nov. 2019, 22:16
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Tout alla très vite. Si bien que je ne parvins qu'à observer la scène, bouche ouverte. Très élégant. Lexie semblait avoir perdu la tête et autour d'elle, tout le monde s'activait. Les sorts fusaient, les tartes volaient, les menaces se faisaient entendre et surtout, les cris étaient de plus en plus forts. Je restais impuissante devant les évènements. Je ne savais plus comment je devais agir. Et pour dire quoi ? Lui répéter une énième fois qu'elle était folle ? Lui jeter à mon tour quelque chose au visage ? Inutile. Cette situation m'attristait autant qu'elle me mettait en colère. Le comportement de ma cousine était inadmissible, nous aurions tous dû profiter de notre soirée, le bal s'annonçait génial, nous aurions tous dû rejoindre la ronde de Minie, dans la joie et la bonne humeur. Mais il n'en était rien. Et puis Chems n'était toujours pas revenu. La dernière fois que je l'avais aperçu, il discutait avec une jeune fille. Qui n'était pas Ali, pour qui il m'avait quittée. Tant pis, je n'étais plus à une déception près pour ce soir. Tout tournait mal, je ne m'étais pas préparée à ça. Je ne savais plus où me mettre, je n'avais qu'une envie, quitter le bal. J'étais éteinte, tant émotionnellement que physiquement. J'avais passé la majeure partie de mon bal sans cavalier, et voilà que j'étais déchirée entre ma famille de sang et ma famille de cœur. J'aurais mieux fait de rester au lit, ce matin. Soudain, tandis que j'étais perdue dans mes pensées, quelque chose me réveilla. Rey pointait sa baguette vers une Gryffondor, l'amie de Lexie. Et Alienor, sortie de nulle part s'élançait dans sa direction.

- Ali, atten...Trop tard, le sort, et pas n'importe lequel, l'avait touchée...tion

Des limaces. Elle allait le tuer. Tandis qu'elle quittait la salle en courant, Minie tenta de reprendre les choses en main, en assignant à chaque Poufsouffle une mission. La mienne semblait être de rejoindre la pauvre Alienor, qui était probablement en train de vomir de repoussantes créatures. Le simple fait d'imaginer la scène me donna la nausée. Opinant du chef, je m'apprêtais à quitter la salle, Herminie avait raison, quelqu'un devait aller voir Ali, lorsqu'une voix me fit m'arrêter net. Rey, qui semblait furieux, m'ordonna de rester ici. Je me tournais vers lui, le fusillant du regard. Je n'aimais sa façon de me parler. Cependant, il était objectivement plus judicieux qu'il parte à ma place, c'est pourquoi je revins sur mes pas, et lui fis signe d'y aller. Et là, la goutte d'eau. M. Penwyn. Il lista tous les élèves qui avaient été un peu trop loin dans l'histoire de la couronne et leur ordonna de les suivre. Une moue se dessina sur mon visage lorsqu'un son presque inaudible s'échappa de mes lèvres.

- Mais...Chems...

Je sentis mes yeux s'embuer de larmes, c'en était trop. Je n'avais plus de cavalier. Plutôt drôle non ? Un bal sans danse ni cavalier. La plupart de mes camarades de Poufsouffle avaient également suivi le professeur, et je restais là, seule. Lexie risquait de m'en vouloir, et le reste de la soirée s'annonçait catastrophique. Me mordant les lèvres pour empêcher mes larmes de couler, je me dirigeais vers la porte, afin de quitter le bal. Alors que je n'en étais plus qu'à quelques mètres, une voix retentit dans la salle, et me glaça le sang. Que...quoi ? Je me sentis toute petite, misérable. Qui étaient ces gens ? Jetant des regards furtifs aux quatre coins de la salle, mes yeux se portèrent sur le plafond. La marque des ténèbres. Si c'était une blague, elle était de très mauvais goût. Et si ce n'en était pas une...la guerre était déclarée. Je me sentais faible, si faible. Tout mon courage s'était évaporé, et j'étais en même temps furieuse d'avoir entendu de tels propos. J'avais envie de hurler de rage. Mais je n'en fis rien. Je me contentais de reculer, heurtant quelques élèves au passage, jusqu'à m'enfoncer totalement dans la foule. Un professeur allait agir, c'était évident. Nous n'avions rien à craindre. Une mauvaise blague, rien de plus.

@Chems Daley

5ème année RP | Code couleur : #408080
En pause. Désolée.

24 nov. 2019, 23:02
 Bal des Sorcières  La salle de bal
La consternation d'Aliosus était allée crescendo. Tout d'abord, il y avait eu cette aberration de couleur bleue, avec des ailes, qui s'était avéré être Christopher. Quel embarras pour sa pauvre cousine. A côté de lui, Anathema semblait mortifié tout autant que lui, en témoignait son sourcil arqué de manière désapprobatrice. La scène était navrante, la déconfiture sur le visage d'Alice, son cavalier provisoire devant battre en retraite... rien n'allait.

Puis le défilé des candidates à l'élection de la Reine du bal avait eu lieu et Irisia avait enflammé la scène de son allure draconique, mais le garçon fronçait les sourcils, il était presque certains de l'avoir vue remettre en lace une petite fiole qui lui rappelait son amour des potions excentriques, ce celles qui provoquent des effets... spectaculaires, sur ceux et celles qui les ingéraient. "Irisia, qu'est ce que tu as encore fait" pensa-t-il.

Malheureusement pour elle, c'était la préfète Poufsouffle, une certaine Herminie Peers qu'il ne connaissait que de loin qui avait été élue et qui se voyait remettre une couronne. Ce dernier point avait été le déclencheur d'une cascades de comportements si mesquins qu'Aliosus avait eu du mal à en détacher le regard. Cris, insultes, verres renversés, vol, sortilèges qui fusent, encore des cris, des ripostes, c'était pour lui comme observer des animaux sauvages s'écharpant entre eux. Peu de différence entre ce genre de comportement et deux niffleurs qui se chamaillent pour un galion. Heureusement, les Serpentard se montraient dignes, restant à l'écart de ce conglomérats de passions excessives, débordantes et envahissantes.

S'arrachant à ce spectacle, il était reparti vers Irisia pour lui changer les idées.
"T'en fais pas, tu méritais de gagner de toute façon, et puis... enfin... t'étais la meilleure de toute manière." Il tenta de lui changer les idées. "Viens, dansons encore un peu, loin de tous ces idiots" l'invita-t-il en souriant. Il voulait s'éloigner un peu de toute cette agitation. Du coin de l’œil, il vit une grande silhouette et entendu une voix d'adulte qu'il ne connaissait pas ramener l'ordre dans ce bazar de Poufsouffle, de Gryffondor et de Serdaigle.

Il se serra contre elle et se laissa guider par le morceau joué, il n'était pas spécialement à son goût mais l'important était le moment passé contre Irisia. Il restait lucide, il apercevait bien au loin qu'il se passait quelque chose avec Alice et Carry, qu'une douzaine d'élèves semblaient être punis, que de ci, de là, une série de mini drames adolescents avaient lieux, mais il ne voulait pas s'ne faire, pas maintenant, pas encore. Ils restèrent quelques minutes ainsi, à n'être que tous les deux, jusqu'à ce fameux feu d'artifices.

Ça n'allait plus. Plus du tout. Peu importe si le dangers était réel ou si c'était une farce stupide. Il plongea la main dans sa veste pour prendre sa baguette. Irisia avait-elle la sienne ? "Tu as ta baguette ?" Il n'attendit pas la réponse et la pris par la main. Il l'éloigna et tenta de trouver un endroit à l'abri. Où était Alice ? Où était sa cousine ? Il entendit la voix de Carry crier des noms. Puis d'autres font entendre leurs voix. Toujours pas de Dame Blanche en vue. L'estomac d'Aliosus était noué. Il fallait qu'il la trouve et qu'il s'assure qu'elle aille bien.

@Irisia MacLynn

6ème année

24 nov. 2019, 23:22
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Précédemment

Hannah avait l’air surprise lorsque Britanny se présenta comme une Gryffondor. Oui, c’est vrai que le costume peut porter à confusion… Alors qu’elle était sur la défensive en entendant cela, elle jeta un regard à sa tenue et se détendit automatiquement. Ceci intrigua la rousse. Est-ce qu’elle ne m’appréciait pas parce que je porte les couleurs de Gryffondor ? Étrangement, cela l’attrista. Pendant toute sa scolarité on l’avait jugé sur son apparence et jamais sur qui elle était au fond. Mais l’idée que leur relation évolue grâce à se déguisement lui arracha un sourire. Charlie a peut-être eu une bonne idée de me déguiser en Serpentard. C’était comme si une barrière avait été retirée entre les deux fillettes. Hannah ne l’avait pas envoyé balader et avait même poursuivit la conversation avec entrain. Quand elle repensa au chamboule-tout, la fillette senti le rouge lui colorer les joues. Elle revoyait encore la tête de ce spectre qui était outrée d’avoir reçu la tomate sur son pied… Enfin, à travers son pied. Mais bon, elle n’avait pas imaginé qu’elle l’enverrait au plafond aussi. Ce n’est pas comme si je l’avais fait exprès. Cependant, elle était d’accord sur le fait que cela avait bien animé la soirée. Elle eut un petit rire à l’expression de dégoût de sa camarade lorsqu’elle mentionna la nourriture et le choix musical.

- M’en parle pas, je me suis approchée du gramophone pour engager la conversation avec un des spectre et j’ai eu l’impression que mes oreilles allaient se mettre à saigner ! Je ne sais pas ce qui était le plus horrible entre ça et le buffet…

Rien que d’y penser, la fillette en eut des frissons.

- Au fait, tu t’y attendais toi, le fait que cela soit Rusard qui ait proposé d’inviter des élèves pour la fête ?

Et c’est comme cela que la conversation s’engagea entre les deux Première année. Evidemment, elles se rapprochèrent rapidement du buffet pour – enfin – se restaurer. Le ventre de la rousse commençait sérieusement à crier famine. Elle se jeta, comme Hannah, sur tous les petits fours disposés sur les tables en se servant du jus de citrouille. Elles continuèrent à discuter ensemble, à évoquer la soirée d’anniversaire de mort de Sir Nicholas. Britanny était vraiment contente d’en parler avec elle, après tout, elles étaient les deux seules premières années à y avoir été convié. Elle ne se voyait pas aller discuter tranquillement de tout ça avec Nora qui, bien que faisant partie de sa Maison, l’impressionnait beaucoup. Et, en plus, Hannah se révélait être plutôt gentille finalement. Bon, on n’est pas meilleures amies encore mais c’est déjà une bonne avancée !

Alors que la rousse se questionnait sur le départ de Rusard et sur celui que Nick ne souhaitait pas voir à sa soirée d’anniversaire, on annonça le défilé des candidates pour le titre de Reine du Bal. Britanny suivit sa camarade qui avait proposé de se déplacer pour mieux les apercevoir. Elle les trouva assez courageuses de se présenter devant tout le monde. La peur du ridicule était trop présente chez la fillette pour oser se présenter à un tel concours. En gymnastique, elle était certes seule sur son agrès mais il y avait plusieurs agrès donc plusieurs filles qui passaient en même temps qu’elle. Elle observa les concurrentes chacune leur tour. Elle n’en connaissait pas les trois quarts, ou seulement de vue. Elle reconnue quelques Gryffondor et aussi Alice qui avait fondé le MERLIN. Une autre élève lui disait quelque chose mais elle n’arrivait pas encore à remettre un nom sur son visage. Hannah la tira de ses pensées en lui indiquant qu’elle allait voter pour une des filles. Britanny acquiesça doucement et profita de son absence pour observer ses camarades. Son regard tomba sur Charlie qui, une fois n’est pas coutume, faisait le pitre devant ses amis. Elle rit dans son coin en l’observant faire des grimaces et se tortiller dans tous les sens pour faire semblant de danser. Elle fut interrompue par une voix qu’elle reconnaissait trop bien.


- Il me fatigue.

Elle se tourna vers son frère Nathan, qui avait revêtu un costume de squelette comme Hannah, mais en bien moins sophistiqué et sans maquillage. Elle lui sourit en secouant la tête.

- J’essaie encore de deviner ce qu’il essaie de faire.
- J’ai arrêté de me poser des questions à ce sujets depuis longtemps, soupira-t-il faussement. Très réussi le costume d’ailleurs, petite sœur, je ne te demande même pas qui a eu l’idée, sourit-il en levant les yeux au ciel.
- Charlie est passé par là, acquiesça-t-elle. Je l’ai rejoint après la fête de Sir Nicholas.
- Il faudra que tu me raconte comment s’est passé ta soirée avec les fantômes ! Bon, moi j’y vais, bonne soirée, te couche pas trop tard.

Elle l’embrassa sur la joue avant qu’il ne quitte la salle avec son meilleur ami. Hannah choisit ce moment pour revenir. On annonça alors le nom de la gagnante : Herminie Peers. C’était la jeune fille dont Britanny n’arrivait pas à se souvenir du nom quelques minutes plus tôt. Et elle savait désormais d’où elle la connaissait : c’est elle qui avait commenté le premier match de Quidditch au début du mois. La jeune Poufsouffle grimpa alors sur l’estrade et fit son discours de remerciement. La rousse l’écoutait d’une oreille distraite, plus concentrée sur Hannah qui semblait ne pas vraiment aimé la Reine d’un soir. Mais son attention se reporta bien vite sur cette dernière lorsqu’une de ses camarades de Gryffondor lui arracha la couronne de la tête. C’est effarée que Britanny regarda le règlement de compte qui était en train de prendre place. Hannah la questionna sur cette fille qui souhaitait de toute évidence être la Reine.

- Je crois qu’elle s’appelle Lexie, mais je ne lui ai jamais parlé, murmura-t-elle, complètement choquée de ce qu’il se passait.

En tout cas, cela amusait grandement sa camarade de Serpentard. La petite bataille se poursuivit jusqu’à ce qu’un des professeures mettent finalement fin à ce capharnaüm. Comme si rien ne s’était passé, la rousse vit Hannah se servir un jus de citrouille et lui en proposer. Elle accepta avec joie et le savoura sous les illuminations d’Halloween. Puis, tout d’un coup, Britanny se retrouva mal à l’aise. Ce n’était plus du tout joyeux. Elle se demanda si c’était normale et Hananh formula sa question à voix haute. Elle n’eut pas le temps de lui répondre que la musique s’arrêta brutalement. Et elle les vit. Ces élèves – il lui semblait – déguisés en Mangemorts. La fillette recula d’un pas et son regard se porta instinctivement vers l’endroit où se tenait Charlie quelques minutes plus tôt. Mais il n’y avait plus aucune trace de sa tignasse rousse. Elle le chercha sans bouger jusqu’à ce que l’un d’eux prenne la parole. A ce moment-là, elle prit peur. Pas pour elle, mais pour Charlie qui était une tête brûlée. Elle espérait qu’il ne tenterait rien de stupide.

Les paroles murmurées par Hannah la sortie de sa léthargie. Elle reporta son attention sur sa camarade avant d’essayer de trouver, non pas des professeurs, mais Alice. C’était elle la chef du MERLIN et peut-être qu’elle souhaitait de l’aide. Oui enfin, je ne suis pas sûre que je lui sois d’une grande aide en tant que Première Année. Elle tentait de l’apercevoir sans se faire remarquer lorsqu’une autre voix retentit. Britanny crut qu’elle allait vomir en entendant cette fille donner trois noms à ces gens. Elle vit d’autres élèves s’en prendre à elle mais elle était incapable de bouger ou d’ouvrir la bouche. Elle entendit certains camarades demander que la plaisanterie se termine, mais elle ne pensait pas que cela en était une. Ou alors une très mauvaise. Elle vit Hannah bouger sa main droite et réalisa qu’elle devait certainement se saisir doucement de sa baguette magique, et la rousse en fit de même.


- Je ne suis pas sûre que cela soit une blague… tu as reconnu la Marque pendant les illuminations ? Chuchota-t-elle à Hannah.

De nouveau, ses yeux fouillèrent la salle, à la recherche de Charlie ou Alice.


@Hannah Lyse Sparks , encore désolée pour le retard :blush:
@Alice Sangblanc , juste pour que tu saches que Brianny te cherches du regard mais tu n'es évidemment pas obligé d'en tenir compte ^^

5ème année RP en 2048-2049 - Luca Hollestelle comme référence physique, svp ne pas l'utiliser
Membre du M.E.R.L.I.N. - Lune #800000

25 nov. 2019, 06:08
 Bal des Sorcières  La salle de bal
@Carry Harrison, interpelés par votre dénonciation, certains élèves du groupe se mettent à rire à gorge déployée derrière leurs masques. Avant qu'ils aient eu le temps de répondre, @Edwin Wellhister intervient en vous accusant de trahison... Passablement agacé, un garçon (vous le devinez à sa voix) répond : "Si vous n'arrivez pas à vous mettre d'accord, mes p'tits chats, peut-être bien qu'on peut vous torturer jusqu'à ce que le menteur s'dénonce ? Mais dommage pour toi, gamin, j'fais bien plus confiance à celle-ci. Harrison, j'connais c'nom-là. Bonne famille." Puis, il vous lance un sortilège qui vous repousse violemment à terre. Une voix féminine ajoute : "Vous feriez mieux de la fermer. Je pourrais vous tailler les veines pour voir de quoi votre sang est fait."

Les élèves masqués repoussent systématiquement ceux qui s'approchent un peu trop, mais quand vous parlez, @Athéna Taylor, le temps semble s'arrêter. Tous les regards, derrière ces masques noirs, sont rivés vers vous. Après votre discours, un fou rire traverse la foule de pseudo-Mangemorts. "Elle est trop mignonne ! Descends-la !" s'écrie une voix féminine entre deux rires. Quelques secondes plus tard, un éclair rouge traverse à toute vitesse la salle et atteint la pauvre Athéna, qui tombe inconsciente sur le sol. "Pas terrible." dit une voix masculine, très calme, derrière un autre masque.

@Rufus Williams, pas de chance, en raison de la distance entre la plupart des élèves et le groupe déguisé, votre leurre explosif traverse un no man’s land et se fait vite remarquer. Après un Reducto bien placé, il n’en reste rien. Une personne du groupe vous dit : « T’as une sacrée mémoire, toi. Faudrait être vraiment fort pour se souvenir d’un discours aussi long. Ou bien faudrait l’improviser. »

Nécromancienne - Mère du dragon - Détentrice de la Baguette de Sureau et du Retourneur de Temps
~ if i wasn’t a narcissist i wouldn’t like me either ~

@Mentionnez-moi pour activer le Tabou

25 nov. 2019, 08:03
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Après avoir quitté Miss Taylor et Mr Briggs


Je m'arrête net en entendant que les résultats du concours vont être prononcés. Une moue déçue traverse mon visage un instant, mais je me ressaisis vite. Herminie est très belle, et de ce que j'en sais, très gentille.
Je me hâte de chercher Geneva, j'aimerais pourvoir la consoler. Cependant, un attroupement me pousse a m'arrêter et a regarder ce qu'il se passe. Et cela ne me plait pas du tout. Lexie s'est amusée à voler la couronne d'Herminie, ce qui a créé une dispute assez violente et puérile.
Quelle idiote, cette Lexie ! Quel manque de dignité !

Je serre les poings, passablement enervée, puis je me force a me détendre pour que l'on ne détecte pas mon agacement.
Je marque un autre arrêt devant les illuminations qui sont magifiques et qui me détendent un peu plus. Je ne remarque que tardivement la marque des ténèbres et les néo-mangemorts qui me glacent le sang.
Quels idiots. Ils vont se prendre une de ces punitions. Bien fait pour eux.

Je remarque du coin de l'oeil quelqu'un se cacher sous la table, probablement pour qu'on ne la remarque pas. Pauvre enfant. Vivre sous le gouvernement de Parkinson doit être plus que stressant pour elle. Et c'est pour ces personnes là que je veux me battre sans le MERLIN.
Je me remets à chercher Geneva, mais un autre évènement me stoppe net. Harrison, cette... Je n'ai même pas les mots pour la qualifier, cette fille, a denoncé des nés-moldus. De sa maison. Dont deux que je connais plutôt bien. Qu'elle traitre ! Elle a dénoncé des gens de SA maison ?! Absolument ignoble. Absolument indigne de quelqu'un de son rang.
Une indignation et une colère sourde gronde dans mes entrailles. Ca gronde tellement fort que j'en ai la nausée, et que je ne peux cacher le rictus méprisant qui déforme mon visage une fraction de seconde.
Je hais ces familles qui n'apprennent pas à leurs descendants les règles élémentaires de la vonduite que nous devons avoir vis-à-vis des plus faibles. Et ce hais ces enfants de riche ou d'aristocrates (pas de nobles, il y a une différence énorme) qui ne profitent que de leur statut et qui en abusent, et qui ne réfléchissent pas.
Un éclair rouge fend la foule et rouche Athéna, une gryfonne, si je me souviens bien. Je décide de ne pas me précipiter vers elle, histoire de ne pas recevoir un sort, moi aussi. J'espère sincèrement qu'elle va bien. Au moins l'éclair n'a pas été vert, et elle ne se tord pas de douleur. C'est déjà ça.
Baguette en main, je me ditige vers Geneva que je viens de repérer et je lui prends la main.
«Reculons un peu. Il ne faudrait pas que tu sois blessée toi aussi. »
Sans attendre son avis, je rire sur son bras et l'entraîne loin de la cohue. Je n'ai pas engie d'etre piétinée par la foule.
Ces mots que j'ai rapidement murmurés à ma cavalière avant de la tirer en arrière ont dû trahir le faite que je sois en colère. A moins ce que ne soit l'absence de la délicatesse que mes mouvements ont d'habitude ? En tout cas, Geneva a probablement dû le remarquer, malgré mon visage impassible.
Sans lâcher sa main, je promène mon regard dans la salle, attentive a tout mouvement suspect, et cherchant du regard la hafu dont le frère est rebelle. Si elle est là, elle risquerait bien de me signaler comme traitre à mon sang.
«As-tu vu Pansy Konowa ?»


@Geneva King
Dernière modification par Celia-Awena Fournier le 25 nov. 2019, 21:59, modifié 1 fois.

pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg

Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

25 nov. 2019, 09:28
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Dortoirs.

Je suis assis sur mon lit, les coudes sur mes genoux, la tête dans mes mains. Paradoxalement, le fait que les dortoirs soient complètement vide ne m'aide pas à dormir, c'est plutôt le contraire. Normalement je suis bercé par tous les bruits blanc que produisent mes camarades.
Mais est-ce vraiment cela qui m'empêche de dormir ou est-ce le fait que je me retrouve seul alors que tous les autres sont au bal en ce moment même ? La solitude ne m'a jamais dérangé ou du moins je n'ai jamais voulu m'avouer qu'elle me dérange.

La compagnie provoque chez moi la jalousie de tous ces gens entourés et sociaux. Les autres et moi, nous m'avons posé l'étiquette de celui qui est seul et qui ne veut parler à personne et quand on a une étiquette posée sur le front, alors inconsciemment on se comporte comme tel, parce que c'est comme ça que les autres nous voient et on a peur qu'ils nous voient autrement.

C'est donc avec ma grosse étiquette bien apparente que je râle quand j'entends du bruit qui indique que quelqu'un arrive. La porte s'ouvre et alors que je m'apprête à lever les yeux au ciel, je reconnais Michael, mon grand-frère.


-" J'étais sûr de te trouver là, viens avec moi au bal, Marcus* m'a dit qu'il allait se passer quelque chose, il a pas voulu m'en dire plus, mais je suis sûr que ça peut être drôle.

J'aurais normalement refusé en disant que je m'en fiche éperdument, mais je vois dans ses yeux que c'est intéressant. Je hoche donc machinalement la tête et le suis dehors.
En sortant de la salle commune, on tombe sur Peter Speculus ** qui accompagne probablement Michael. Il me sourit et je lui rends son sourire.

--

Nous montons les quelques escaliers qui nous sépare de la salle de balle, et lorsque nous arrivons là-bas, un spectacle peu commun s'offre à nous, des silhouettes encapuchonnées s'avancent dans la salle de bal, bloquant l'entrée. Il y a d'ailleurs d'autres encapuchonnés qui gardent la porte.
Le silence dans la salle de bal se fait ressentir jusque dans les couloirs.
Nous restons en retrait tous les trois et n'avons pas beaucoup de mal à entendre ce que crient les « néo-mangemorts ». Ils cherchent des Sang-de-Bourbe. Un sourire se dessine lentement sur ma face.

Tout cela me décide à me rapprocher. Michael tente de me retenir par l'épaule mais je me dégage en l'écoutant soupirer derrière moi. Alors que je me rapproche des « gardes », j'entends Harrison, la Sang-Pur protectrice des nés-moldus balancer des noms. Je serre les dents, cette traître à son sang retourne sa veste.

Alors que j'arrive au niveau de la porte, je vois quelques éclairs, signe que des sortilèges ont été jetés. Je commence un peu à être intimidé par ces silhouettes bien plus grande que moi, mais mon arrogance me pousse à continuer. Il ne peut rien arriver, je suis dans le même camp qu'eux.

Devant un "garde" je déglutis mais tente de me montrer assurer.

-Marcus est avec vous ? C'est un septième année, Sang-Pur comme moi, d'ailleurs ma mère est garde noire, elle travaille avec Parkinson et je peux vous donner des noms de nés-mo... de Sang-de-Bourbe. -Je repense à Carry- et de Traîtres à leurs Sang."

C'est plus pour rentrer que pour aider que je lui dis tout ça, mais c'est aussi un moyen de mettre en pratique les valeurs que Maman m'a appris. Conscient qu'il va sûrement pas me prendre au sérieux en raison de mon âge, 13 ans, je m'apprête à me faire dégager. Même si je l'aurais un peu en travers de la gorge, ça me sera un peu égal, car l'étiquette que l'on m'a collé sur le front contredit ce que je suis en train de faire.


*Marcus: Cousin de Michael et William
**Peter: PNJ validé

L'immortalité c'est tous les autres qui tombent.
Cinquième année RP

25 nov. 2019, 09:33
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Une révérence rapide devant une élève de Serdaigle « Le petit arbre monde » le vague souvenir de son père qui revenait en mémoire de l’enseignante de runes. Il y avait toujours une sorte de recul sur ses anciens camarades de promo. C’était difficile à vivre, d’être enfermée sur elle-même. L’effort de venir au bal était quelque peu surhumain. Surtout que, comme elle s’en doutait un peu, il n’y avait pas de boisson destinée aux adultes – ce que venait de lui révéler son collègue de Gryffondor. Une moue malheureuse sur le visage, elle ne fit aucun commentaire, se contentant simplement de regarder l’assistance d’élèves trop déguisés, trop amusés. Cela lui donnait la nausée.

Alors qu’elle se baladait – pavoisait même – au bras d’Oliver, son attention fut accaparée par les illuminations. Belles au possible, faisant ressortir l’ambiance joyeuse d’Halloween : des explosions colorés de citrouilles et de nombreuses sombres créatures. « Très joli », commenta pour soi-même Joanne. Pourtant, le sourire de l’héritière Taylor se fana bien vite à la vision des autres feux d’artifices. Une vieille marque – qu’elle croyait abolie depuis bien longtemps – et des insultes à destination des sang-mêlés. Elle frissonne. Si c’était une blague, elle était de bien mauvais goût. Joanne n’entendit pas la première phrase. Tout ce qu’elle voyait, c’était l’expression sur le visage de son collègue. « Je n’aime pas ça ». Elle non plus n’aimait pas ça. La fête s’annonçait belle, ou tout du moins distrayante. Et voilà qu’on venait gâcher l’amusement du plus grand nombre.

La mâchoire serrée, le regard plus fermé qu’à l’habitude, la jeune femme se rapprocha. Accompagné par le directeur de Gryffondor. La baguette, par instinct, se retrouvait rapidement dans sa main. Quittant ainsi la poche secrète de la jolie robe noire. Certains élèves s’en donnaient à cœur joie. Des élèves de sa maison. Les mâchoires de la jeune femme se serraient davantage, c’est presque qu’elle sentait ses dents grinçaient. Ce qui l’interloquait, c’était la capacité des élèves à ne pas se sentir en danger. Cela ressemblait à une vaste blague un peu trop potache.

Et pourtant. Les mots que le groupe de Mangemorts distillent ne laissaient pas de place au doute. Pas plus que le sortilège qu’ils lançaient sans vergogne à une jeune étudiante qui tentait de ramener à la raison ses camarades. « Ça n’augure rien de bon » qu’elle murmura à l’oreille d’Oliver. La jeune femme avait le regard vissé sur l’étudiante qui gisait au sol. Elle ne pouvait pas rester là, sans rien faire, sans bouger. « Peut-on savoir ce qui nous vaut pareille visite ? ». Pas un murmure non, une voix suffisamment forte pour être entendue. Rien qui ne tremble. Aucune sympathie n'était lisible dans les traits de Joanne, parce qu’elle n’en ressentait absolument aucune. Était-elle seulement capable de ressentir ce genre de chose ? Aucune idée et l’instant n’était pas à une quelconque réflexion du genre.

25 nov. 2019, 10:25
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Précédemment I, II, III, IV, V, VI, VII, VIII, IX, X et XI


Ses doigts entremêlés à ceux d’Erwann, ses yeux dans les siens, Alice puisait dans les émotions qu’il lui faisait ressentir pour ne pas flancher. Tout était toujours très confus, avec Erwann, elle ne savait jamais ce qu’il éprouvait. Et ce qu’elle même éprouvait. Leurs émotions, à chaque instant, étaient bruyants, et silencieux à la fois.

A ses mots, à son aveu, Alice répondit à son fébrile sourire du sien. Ses doigts se firent plus présents autour des siens, elle voulait l’animer du peu de courage qui la tenait encore debout. Lui ne devait pas s’effondrer, jamais.

Mais lorsqu’une voix s’éleva dans la salle, c’est Alice qui manqua de s’écrouler. Submergée par une vague de haine, de fureur et de peur, la fillette entendait l’immonde trahison de Carry Harrison. Elle avait osé. Elle avait osé dénoncer ses camarades ! La baguette d’Alice tremblait entre ses doigts, et sans la main d’Erwann emprisonnant la sienne, peut-être aurait-elle rejoint Harrison pour lui casser le nez. Cette maudite peste venait de dénoncer le statut de sang de trois camarades, dont deux membres du Merlin. Jamais Alice ne laissera passer cela. Jamais. Elle était celle qui les avait rassembler, elle devait être là pour eux. Pour les venger, si ils étaient incapable de le faire.

C’est avec désapprobation que certains accueillirent la trahison de Harrison, même Alexis et Lili avaient réagit avec virulence. Au moins ne la protégeaient-ils pas.

Erwann vient à se déplacer devant Alice, animé par une inquiétude que l’enfant ne lui connaissait pas. Et cette inquiétude était communicative. Ses doigts resserrés autour des siens, Alice écoutait. « Plaisanterie ou non, sans intervention de nos professeurs cette situation va dégénérer. Si cela arrive, jusqu’où es-tu prête à aller ? »

Elle déglutit. Jusqu’où Alice était-elle prête à aller ? Triste chose que de constater que jamais elle ne s’était posé cette question, même pas après avoir été agressée. Pourrai-elle tuer si il le fallait ? Blesser gravement ? Jeter ne serait-ce qu’un sort ? Ou bien serait-elle ensevelie sous la peur et la panique, et ne parviendrait pas même à bredouiller son prénom ?
Alice ne savait pas.

Mais Alice n’eut à répondre. Les sorts fusaient, Edwin venait d’être touché par l’un d’eux. Cette fois, Alice bondit littéralement en avant pour aller l’aider. Mais que pouvait-elle faire, si ce n’est se mettre en danger ? Elle percuta seulement le buste d’Erwann, seule rempart face à cette fureur qui venait de l’étreindre.
Une autre fille est envoyée au sol par un sortilège, et s’écroule dans un fracas sinistre. Comme prédit, la situation dégénérait. Il fallait se mettre en sécurité.
Et mettre en sécurité les siens.

Alice jeta alors un regard autour d’elle. Le Merlin, où était-il ? Où étaient-ils, tous ? Au loin, elle aperçu le regard de Britanny. Elle la fixa un instant, essayant de deviner si elle aussi la cherchait. Qu’importe.

«  On reste ensemble » dit Alice à l’attention de Erwann. «  On reste ensemble, et on va agir. »

Ce regain de courage, elle le devait au regard de Britanny. Elle le devait au Merlin.
Tenant fermement la main de Erwann, Alice baissa un peu la tête pour ne pas que ses mouvements soient aperçu par les fauteurs de troubles, et fendit la foule. La peur qui sillonnait les rangs ne la gagnait pas, pas cette fois. Alice n’était plus Alice. Alice était Souris. Et Souris avait des responsabilités, Souris était une meneuse et ce, meme du haut de ses douze petites années.

Enfin, Alice atteint Britanny. Qu’importe qui était à ses côtés, elle n’avait d’yeux que pour Lune.

« Rejoins Lili et Alexei, et allez chercher la fille qui est tombée, que monsieur Briggs et miss Taylor puissent intervenir sans l’avoir dans les pattes. Ensuite, rassemble les Autres, tout ceux que vous croiserez. Trouvez Wilson. »

Sa petite main d’albâtre vint épouser l’épaule de la fillette.

«  C’est le moment de me prouver que j’ai bien fait de te faire confiance. »

Alice attendit la réponse de Britanny. Prendrait-elle des risques pour aider les autres, comme le Merlin l’avait promis ?


@Erwann O'Wynedd
@Britanny Huggins
A titre informatif : @Lili Cooper @Alexei Menkins
Dernière modification par Alice Sangblanc le 28 nov. 2019, 13:40, modifié 1 fois.

Sixième année RP - 741B47
Étudiante à Beauxbâtons depuis Janvier 2046
Fondatrice du MERLIN

25 nov. 2019, 13:41
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Tout ce passa très vite, beaucoup trop vite d'ailleurs pour qu'il puisse bien traiter toutes les informations. Il n’enregistra même pas le sort avant qu'il ne se retrouve largué par terre sur son coccyx douloureux. Il gronda sourdement de colère. Mais n'importe quoi, c'est sorciers étaient tous des...

-MALADES ! ESPÈCES DE GROS TARÉS. Gneu gneu gneu les sang-de bourbe et les traites, vous êtes de gros débiles ! Plus que la moustache carrée sous le nez et la représentation sera parfaite, bordel ! hurla-t-il presque hystériquement en se relevant, rouge comme une tomate. Vous étonnez pas qu'on vous ai fait brûler comme des saucisses ! 

Il ferma la bouche avec un claquement sec, regrettant instantanément ses paroles. Il allait mourir. Ou s'ils ne le tuaient pas, il était certain qu'ils s'amuseraient quand même un peu. C'était pas ses soucis à lui, il avait jamais voulu faire partie de ce groupe de tarés qui en plus jouaient au mini-Hitler. C'était quoi la prochaine étape, des déportations de nés-moldus comme durant la guerre ? Ils étaient fous et plus qu'être fous, totalement débiles. C'était bien beau de dégager tout ceux qui n'étaient pas sang-purs mais après, qui resterait-il ? Déjà que les sorciers semblaient pas très nombreux alors si en plus ils se la jouaient difficile, ils finiraient tous par avoir des enfants entre eux et en quelques années ils deviendraient des légumes, ni plus, ni moins. Et si leur but n'était pas de dégager les né-moldu mais de les mettre dans des postes à une hiérarchie plus faible que les autres, ils s'y prenaient vraiment mal. Pour des gens qui se sentaient tellement supérieur, il se demandait bien comment feront les secrétariat ou autres métiers à plus mauvaise réputation.

Qu'on lui foute la paix avec ses histoires de sorciers, c'était pas ses emmerdes et il n'avait rien à faire ici. Ils se mettaient dans la merde tout seul et s'en sortaient tout seul aussi, de préférence sans l'entraîner dans leur gouffre mental de la dégénérescence. Complètement arriérés ces sorciers, arriérés et tarés, ça faisait un beau tableau. Il tapa du pied par terre, furibond.

Il remarqua William et fronça des sourcils. Mais que faisait-il ? 

"T'a Smaug sur son tas d'or et t'as Edwin sur son tas de rédacteurs" - Isaac Powell
Edwin Wellhister (16 ans, quatrième année)

25 nov. 2019, 14:32
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Précédemment

La dispute qui avait troublé Mael s'arrêta bien vite lorsqu'un professeur - Mr Penwyn - se précipita pour régler le conflit. Il arrêta bien vite les ferveurs des élèves et Mael recommença à danser sans se soucier le moins du monde des autres, à part Rebecca qu'il regardait dans les yeux. Puis, les illuminations commencèrent. Il applaudit les premières et les regarda avec joie et attention. Mais lorsque la marque des ténèbres apparut parmis les illuminations, sont visage se figea en une expression d'horreur, qui fut renforcée lorsque les messages pro-sangs purs apparurent sur le mur. Il ne savait pas quoi faire, la panique l'empêchait de faire quoi que ce soit, bien qu'il savait que quelque chose de plus gros que de simples messages feraient leur apparition dans la soirée. En effet quelques instants après, des élèves masqués entrèrent dans la salle. Un mouvement de panique saisit alors la salle entière et quelques-un allèrent se cacher. D'autres criaient, criaient sur les élèves masqués et dans la foule. Certains disaient que c'était complètement dingue, d'autres criaient aux élèves mangemort que "ça allait pas la tête !?" et d'autres les approuvaient et donnaient des noms d'élèves qu'ils savaient né-moldus. Les professeurs commençaient tout juste à réagir.

Mael cria dans la foule: 

-Non mais ça va pas non ? Qu'est ce qui vous prend de vous déguiser en mangemorts pour aller faire les rabat-joie lors du bal de Halloween hein ? Vous êtes un pas un peu fous non ?? 

Il se tut ne sachant pas quoi rajouter d'autre et prit Rebecca par le bras, et l'emmena sa cacher derrière une très grosse citrouille.  

-Sors ta baguette ! Il va nous falloir se défendre au cas où !

Il sortit sa branchette de bois de sa robe de bal et prit un angle de vue d'où il pourrait voir ce qui se passerait, lui laissant la possibilité de réagir et de riposter au cas où un duel s'engagerai. Il s'assura que Rebecca faisait de même et il regarda par dessus la citrouille. Des élèves se faisaient stupéfixer, il tenta des sorts qu'il connaissait et qui pourraient arrêter les élèves. 

-Lashlabask !  Hurla-T-il en direction des mangemorts-élèves.

Dernière modification par Mael Chassin le 26 nov. 2019, 19:49, modifié 2 fois.


5ème joueur d'Irlande aux échecs sorciers, rédacteur au Merlin et représentant des rédacteurs du Merlin au conseil du Merlin