Marion Mielloneux
Rencontre entre sorciers
Marion se promenait depuis bien deux heures maintenant dans Hyde Park. La jeune fille était d'humeur joyeuse. Demain, elle retournerai à Poudlard pour la nouvelle année qui allait se dérouler. La brunette s'arrêta sur un banc pour regarder le paysage. Les feuilles des arbres commençaient à tomber. Mais le parc était toujours fidèle à lui même. Elle adorait venir ici l'hiver. C'était un autre monde qu'au printemps et qu'en été. La neige qui recouvrait la pelouse, c'était comme une touche de magie qui préparait cet endroit à la Noël. La troisième année aurait bien aimé revenir à Poudlard un peu plus tôt mais cette semaine à Londres n'avait pas été désagréable. Elle avait revue sa meilleure amie moldue, était allée faire des achats au Chemin de Traverse, et avait passé la plus grande partie de son temps à aller au studio ou elle pratiquait la danse classique. Une passion chez elle. Soudain, en regardant à sa gauche, la sorcière vit un garçon brun qui devait bien avoir entre quatorze et quinze ans. À son épaule, une boule de poils rose et violet qui ressemblait beaucoup à un Boursouflet. Marion avait déjà vu se garçon quelque part. Mais où? Était ce un sorcier ? Après tout, le monde des moldus à inventé des chose inimaginable. Une de leur invention aurait bien put être quelque chose qui ressemble à un Boursouflet. Selon la direction qu'avait pris l'adolescent, il passerait sûrement devant elle. Mais comment lui poser la question ? Excusez moi, êtes vous sorcier ? Si il s'avérait être un moldu, elle serait dans de beaux draps. La un d'une fille continua de réfléchir encore de longues secondes.
Rencontre entre sorciers
Arthur Grimms était en vacances depuis un moment maintenant, depuis bientôt deux mois pour être exact. En effet, la fin des vacances était là, sous le nez d'Arthur, tellement proche qu'il pouvait la sentir. Le lendemain, il repartirait à Poudlard avec le train. Et cela pouvait expliquer sa mine boudeuse. Il adorait son école bien sûr, et il y avait plusieurs personnes qu'il avait très envie de revoir ! Mais Arthur savait que cette année ne serait pas de tout repos. La cinquième année... Il n'osait pas encore imaginer tout le boulot qui l'attendait ! Ça allait être énorme avec les examens en fin d'année ! Sans oublier l'autre chose qui faisait qu'Arthur boudait : les jumeaux. Son petit frère et sa petite sœur entraient en première année à Poudlard demain et il n'avait pas hâte. Il les aimait du fond du cœur mais ils étaient tellement...irritants parfois ! Trop bruyants, trop collants... Bref, des enfants survoltés quoi !
Donc, Arthur faisait la tête. Voilà pourquoi, alors que sa famille était partie à Londres dire bonjour à ses grands-parents, il s'était éclipsé pendant le goûter et était allé à Hyde Park (qui était juste à côté de l'appartement de ses grands-parents) pour prendre un peu l'air. Il avait pris son boursouflet avec lui. Il n'avait pas demandé à ses parents bien sûr, ils auraient refusé à cause des Moldus ! Mais il était certain, en mettant son petit animal offert par miss Holloway, sur son épaule, que ces derniers n'y verraient qu'une sorte de peluche étrange, rien de plus !
Alors il marchait ainsi depuis un moment dans le parc, inspirant l'air naturel qui s'offrait à lui, quand soudain son boursouflet sauta de son épaule ! La petite créature sautilla joyeusement jusqu'à une jeune fille qui se trouvait là, pour aller s'installer confortablement sur sa chaussure. Arthur voulait maudire cet animal qui le mettait toujours dans des situations gênantes ! Mais en relevant la tête pour voir sur le pied de qui le boursouflet avait fait son nid, il vit que c'était une jeune fille. Il ne la reconnut pas tout de suite, mais il savait bien qu'il l'avait déjà vue quelque part. Alors il se rapprocha d'elle.
« Salut ! Désolé pour mon boursouflet... Il est pas possible. Si ça continue, j'vais le donner à des Moldus, il va rien comprendre ! » Léger silence, puis : « T'es à Poudlard, toi, non ? Je suis sûr de t'y avoir vue ! Moi, c'est Arthur Grimms, de Serpentard. »
Arthur espérait maintenant que la jeune fille était bien élève à Poudlard, sinon ça faisait beaucoup d'informations confidentielles révélées à une moldue potentielle !
Donc, Arthur faisait la tête. Voilà pourquoi, alors que sa famille était partie à Londres dire bonjour à ses grands-parents, il s'était éclipsé pendant le goûter et était allé à Hyde Park (qui était juste à côté de l'appartement de ses grands-parents) pour prendre un peu l'air. Il avait pris son boursouflet avec lui. Il n'avait pas demandé à ses parents bien sûr, ils auraient refusé à cause des Moldus ! Mais il était certain, en mettant son petit animal offert par miss Holloway, sur son épaule, que ces derniers n'y verraient qu'une sorte de peluche étrange, rien de plus !
Alors il marchait ainsi depuis un moment dans le parc, inspirant l'air naturel qui s'offrait à lui, quand soudain son boursouflet sauta de son épaule ! La petite créature sautilla joyeusement jusqu'à une jeune fille qui se trouvait là, pour aller s'installer confortablement sur sa chaussure. Arthur voulait maudire cet animal qui le mettait toujours dans des situations gênantes ! Mais en relevant la tête pour voir sur le pied de qui le boursouflet avait fait son nid, il vit que c'était une jeune fille. Il ne la reconnut pas tout de suite, mais il savait bien qu'il l'avait déjà vue quelque part. Alors il se rapprocha d'elle.
« Salut ! Désolé pour mon boursouflet... Il est pas possible. Si ça continue, j'vais le donner à des Moldus, il va rien comprendre ! » Léger silence, puis : « T'es à Poudlard, toi, non ? Je suis sûr de t'y avoir vue ! Moi, c'est Arthur Grimms, de Serpentard. »
Arthur espérait maintenant que la jeune fille était bien élève à Poudlard, sinon ça faisait beaucoup d'informations confidentielles révélées à une moldue potentielle !
Marion Mielloneux
Rencontre entre sorciers
Encore absorbée dans ses pensées dont le sujet était de savoir si le garçon qui était à proximité d'elle était sorcier ou non et si elle l'avait déjà vu à Poudlard. Tout à coup, l'espèce de boule de poils violet - rose qui était peu de temps avant sur l'épaule de l'adolescent arriva sur la chaussure gauche de Marion. Celle ci se pencha sur la petite créature et soudain, avant de dire le mot " citrouille ", entendit une voix masculine devant elle.
« Salut ! Désolé pour mon boursouflet... Il est pas possible. Si ça continue, j'vais le donner à des Moldus, il va rien comprendre ! » Léger silence, puis : « T'es à Poudlard, toi, non ? Je suis sûr de t'y avoir vue ! Moi, c'est Arthur Grimms, de Serpentard. »
Avait dit Arthur avec une pointe de gêne dans la voix. Marion prit le boursouflet dans ses mains puis se releva, de manière à être face à face au préfet de Serpentard. La jeune fille lui sourit, contente de rencontrer un sorcier avec lequel, elle pourrait parler librement, enfin, si leur rencontre se passait bien évidemment.
" Oh bonjour ! Ce n'est pas grave, j'aime beaucoup ces petites créatures, j'ai un jeune hibou, mais mes parents me tuerait si je l'avais amené à Hyde Parc. Au... au fait, je suis Marion, Marion Mielloneux, troisième année à Gryffondor. Nous nous sommes déjà croisés dans les escaliers au château... "
Dit La brunette à Arthur, déplaçant son regard du sorcier au boursouflet. Ensuite, elle jeta un léger coup d’œil autour d'elle. Des enfants couraient sur la pelouse verte, quelques familles piqueniquaient sur des nappes verte, jaune, quadrillées, rayées, de toutes sortes pour être plus précise. La troisième année replaça son regard sur la petite créature qui s'était à présent blottie dans les paumes chaudes de ses mains. Elle donnait l'impression d'être si fragile et l'on voulait absolument la serrer dans ses bras, si l'on n'avait pas peur de lui briser les os tellement elle paraissait frêle, mais si mignonne... Marion aurait voulu adopter un boursouflet chez elle, mais ses parents ne trouvaient aucun intérêt à ces bêtes. Pour eux, " ils ne servent à rien et ne sont pas sérieuses. Ils n'ont aucune dignité " Une des nombreuses raisons de disputes avec sa famille, enfin, une partie.
" Il est trop chou " dit elle en regardant la boule de poils " Tu, tu aimes les créatures magiques? "
Demanda la Gryffondor à Arthur. Elle parlait d'une voix douce en caressant doucement le boursouflet. Les créatures magiques étaient une passion pour la jeune fille. Elle trouvait cela extraordinaire de posséder de tels pouvoirs ou de telles capacités dans un corps. Les cours de soins aux créatures magiques étaient très intéressants et passionnants pour elle. Lors de son dernier cours, le sujet était les goblins et les niffleurs. Un coup de vent vint faire virevolter les cheveux châtains clairs de l'étudiante, ce qui les mit dans tous les sens, donnant au final, un résultat ridicule au plus grand désarroi de Marion. Puis, trouvant le temps long, un sentiment de malaise envahi la jeune fille et elle commença à ne plus savoir ce qu'elle devait faire et fit la seule chose qu'il semblait qu'elle pensait devoir faire. Regarder le Serpentard, attendant un signe, quelque chose.
« Salut ! Désolé pour mon boursouflet... Il est pas possible. Si ça continue, j'vais le donner à des Moldus, il va rien comprendre ! » Léger silence, puis : « T'es à Poudlard, toi, non ? Je suis sûr de t'y avoir vue ! Moi, c'est Arthur Grimms, de Serpentard. »
Avait dit Arthur avec une pointe de gêne dans la voix. Marion prit le boursouflet dans ses mains puis se releva, de manière à être face à face au préfet de Serpentard. La jeune fille lui sourit, contente de rencontrer un sorcier avec lequel, elle pourrait parler librement, enfin, si leur rencontre se passait bien évidemment.
" Oh bonjour ! Ce n'est pas grave, j'aime beaucoup ces petites créatures, j'ai un jeune hibou, mais mes parents me tuerait si je l'avais amené à Hyde Parc. Au... au fait, je suis Marion, Marion Mielloneux, troisième année à Gryffondor. Nous nous sommes déjà croisés dans les escaliers au château... "
Dit La brunette à Arthur, déplaçant son regard du sorcier au boursouflet. Ensuite, elle jeta un léger coup d’œil autour d'elle. Des enfants couraient sur la pelouse verte, quelques familles piqueniquaient sur des nappes verte, jaune, quadrillées, rayées, de toutes sortes pour être plus précise. La troisième année replaça son regard sur la petite créature qui s'était à présent blottie dans les paumes chaudes de ses mains. Elle donnait l'impression d'être si fragile et l'on voulait absolument la serrer dans ses bras, si l'on n'avait pas peur de lui briser les os tellement elle paraissait frêle, mais si mignonne... Marion aurait voulu adopter un boursouflet chez elle, mais ses parents ne trouvaient aucun intérêt à ces bêtes. Pour eux, " ils ne servent à rien et ne sont pas sérieuses. Ils n'ont aucune dignité " Une des nombreuses raisons de disputes avec sa famille, enfin, une partie.
" Il est trop chou " dit elle en regardant la boule de poils " Tu, tu aimes les créatures magiques? "
Demanda la Gryffondor à Arthur. Elle parlait d'une voix douce en caressant doucement le boursouflet. Les créatures magiques étaient une passion pour la jeune fille. Elle trouvait cela extraordinaire de posséder de tels pouvoirs ou de telles capacités dans un corps. Les cours de soins aux créatures magiques étaient très intéressants et passionnants pour elle. Lors de son dernier cours, le sujet était les goblins et les niffleurs. Un coup de vent vint faire virevolter les cheveux châtains clairs de l'étudiante, ce qui les mit dans tous les sens, donnant au final, un résultat ridicule au plus grand désarroi de Marion. Puis, trouvant le temps long, un sentiment de malaise envahi la jeune fille et elle commença à ne plus savoir ce qu'elle devait faire et fit la seule chose qu'il semblait qu'elle pensait devoir faire. Regarder le Serpentard, attendant un signe, quelque chose.
Rencontre entre sorciers
Van Gogh était décidément une sacrée boule de poils... Qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir faire avec cet animal qui n'écoutait rien ?! Enfin bon, heureusement, la jeune fille sur qui il était allé se nicher ne s'en offusqua pas. Elle prit le boursouflet dans ses mains et regarda Arthur en souriant.
« Oh bonjour ! Ce n'est pas grave, j'aime beaucoup ces petites créatures, j'ai un jeune hibou, mais mes parents me tuerait si je l'avais amené à Hyde Parc. Au... au fait, je suis Marion, Marion Mielloneux, troisième année à Gryffondor. Nous nous sommes déjà croisés dans les escaliers au château... »
Oui, si ses propres parents savaient qu'Arthur avait emmené Van Gogh, ils ne seraient pas ravis non plus. D'ailleurs, il ne put s'empêcher de jeter un œil pour voir s'ils n'étaient pas en train de débarquer pour le ramener chez ses grands-parents par la peau des fesses. Mais rien à signaler, tout aller bien.
Puis il observa de nouveau la prénommée Marion. Une gryffonne donc, qu'il avait déjà croisé en effet. Oh, n'allait pas croire qu'Arthur avait des préjugés et qu'il se basait sur les Maisons des élèves qu'il rencontrait ! Quand on savait de qui il était amoureux, on comprenait que ça ne signifiait rien pour lui. Alors de Gryffondor ou de Serdaigle, aucune importance ! Elle était à Poudlard, c'était ça qui importait, parce que c'était la meilleure des écoles magiques bien sûr !
Elle prenait soin de son animal, elle le pouponnait avec précaution. Elle avait l'air de savoir comment prendre les boursouflets. En avait-elle un elle-même ?
« Il est trop chou. Tu, tu aimes les créatures magiques ? »
À croire que Marion avait cerné Arthur tout de suite ! Avant de répondre, il se contenta de hocher la tête en reportant son attention sur son animal qui semblait être au paradis à être bichonné ainsi ! Il fit un sourire attendri et ouvrit la bouche.
« Oui, je les adore ! En plus de mon boursouflet, j'ai trois chiens chez moi. 'Fin, ils sont pas magiques mais c'est des animaux quand même quoi. Les Soins aux Créatures Magiques, c'est ma matière préférée ! En fait, j'ai même envie de travailler avec les animaux plus tard. J'préfèrerais des créatures magiques parce que je veux garder un pied dans notrre monde mais bon, si c'est des animaux comme mes chiens, ça me va aussi ! Toi aussi, tu les aimes bien ? »
Quand on commençait à parler d'animaux, Arthur était inarrêtable. Ses chiens, c'était toute sa vie, comme son boursouflet. Et chaque fois qu'il se rendait en cours de SaCM, il n'avait pas l'impression de travailler. Il aimait apprendre tout ce qu'il pouvait sur eux et comment en prendre soin, les élever ou les apprivoiser. Contrairement à tous les autres cours qu'il suivait à l'école, il s'éclatait vraiment là.
« Au fait, il s'appelle Van Gogh, mon boursouflet. C'est un peu bizarre comme nom, mais c'est parce que c'est le peintre préféré de ma grande sœur en fait. »
Petite précision qui avait son importance.
« Oh bonjour ! Ce n'est pas grave, j'aime beaucoup ces petites créatures, j'ai un jeune hibou, mais mes parents me tuerait si je l'avais amené à Hyde Parc. Au... au fait, je suis Marion, Marion Mielloneux, troisième année à Gryffondor. Nous nous sommes déjà croisés dans les escaliers au château... »
Oui, si ses propres parents savaient qu'Arthur avait emmené Van Gogh, ils ne seraient pas ravis non plus. D'ailleurs, il ne put s'empêcher de jeter un œil pour voir s'ils n'étaient pas en train de débarquer pour le ramener chez ses grands-parents par la peau des fesses. Mais rien à signaler, tout aller bien.
Puis il observa de nouveau la prénommée Marion. Une gryffonne donc, qu'il avait déjà croisé en effet. Oh, n'allait pas croire qu'Arthur avait des préjugés et qu'il se basait sur les Maisons des élèves qu'il rencontrait ! Quand on savait de qui il était amoureux, on comprenait que ça ne signifiait rien pour lui. Alors de Gryffondor ou de Serdaigle, aucune importance ! Elle était à Poudlard, c'était ça qui importait, parce que c'était la meilleure des écoles magiques bien sûr !
Elle prenait soin de son animal, elle le pouponnait avec précaution. Elle avait l'air de savoir comment prendre les boursouflets. En avait-elle un elle-même ?
« Il est trop chou. Tu, tu aimes les créatures magiques ? »
À croire que Marion avait cerné Arthur tout de suite ! Avant de répondre, il se contenta de hocher la tête en reportant son attention sur son animal qui semblait être au paradis à être bichonné ainsi ! Il fit un sourire attendri et ouvrit la bouche.
« Oui, je les adore ! En plus de mon boursouflet, j'ai trois chiens chez moi. 'Fin, ils sont pas magiques mais c'est des animaux quand même quoi. Les Soins aux Créatures Magiques, c'est ma matière préférée ! En fait, j'ai même envie de travailler avec les animaux plus tard. J'préfèrerais des créatures magiques parce que je veux garder un pied dans notrre monde mais bon, si c'est des animaux comme mes chiens, ça me va aussi ! Toi aussi, tu les aimes bien ? »
Quand on commençait à parler d'animaux, Arthur était inarrêtable. Ses chiens, c'était toute sa vie, comme son boursouflet. Et chaque fois qu'il se rendait en cours de SaCM, il n'avait pas l'impression de travailler. Il aimait apprendre tout ce qu'il pouvait sur eux et comment en prendre soin, les élever ou les apprivoiser. Contrairement à tous les autres cours qu'il suivait à l'école, il s'éclatait vraiment là.
« Au fait, il s'appelle Van Gogh, mon boursouflet. C'est un peu bizarre comme nom, mais c'est parce que c'est le peintre préféré de ma grande sœur en fait. »
Petite précision qui avait son importance.
Marion Mielloneux
Rencontre entre sorciers
Arthur sourit à la question de Marion puis, avant que la jeune fille ne puisse décortiquer ses émotions plus longtemps, il ouvrit la bouche pour lui répondre.
« Oui, je les adore ! En plus de mon boursouflet, j'ai trois chiens chez moi. 'Fin, ils sont pas magiques mais c'est des animaux quand même quoi. Les Soins aux Créatures Magiques, c'est ma matière préférée ! En fait, j'ai même envie de travailler avec les animaux plus tard. J'préfèrerais des créatures magiques parce que je veux garder un pied dans notrre monde mais bon, si c'est des animaux comme mes chiens, ça me va aussi ! Toi aussi, tu les aimes bien ? »
La Gryffondor fut contente des révélations du préfet. Elle aussi aimait beaucoup les animaux, qu'ils soient magiques ou pas. Marion trouvait par exemple, qu'un lapin était aussi intéressant qu'un Botruc. Elle possédait elle même un petit hibou que ses parents lui avait offert pour son anniversaire l'année précédente. Cette petite bestiole était très affectueuse et très maladroite, ce qui de temps en temps, épuisait la patience de sa maitresse comme un jour ou il avait atterri dans son jus de citrouille, mouillant du liquide orangé, l’enveloppe à sa patte. Depuis ce jour là, elle faisait très attention à la réception du volatil pour qu'il ne commette plus de bêtises comme celles ci. En repensant à ce souvenir, l'étudiante eut un petit sourire timide et écouta la suite des paroles du Serpentard.
« Au fait, il s'appelle Van Gogh, mon boursouflet. C'est un peu bizarre comme nom, mais c'est parce que c'est le peintre préféré de ma grande sœur en fait. »
" J'aime bien les animaux moi aussi. Magiques ou pas, je les trouves tous fascinants. Mon hibou, il s'appelle Atwu. Ne me demande pas pourquoi ce nom, c'est celui qu'il avait à la Ménagerie Magique. Puis Marion laissa un petit silence avant de reprendre. Van Gogh tu dis? Je ne vois pas en quoi ça peut être étrange, ma cousine a un chat qu'elle appelle Stan lee car c'est sa personnalité préférée. "
La jeune fille rougit légèrement car elle n'avait pas l'habitude ou simplement que c'était parce qu'elle était timide, d'avoir prit la parole aussi longtemps. Bien sur, ce n'était pas un discourt mais bon. On peut dire que l'américaine n'était pas très bavarde et avait du mal a créer des liens bien que maintenant, elle connaisse pleins d'étudiants de Poudlard, mais pas forcément personnellement. La brunette sentit soudain de petits mouvement sur son corps et se pencha pour voir de quoi il retournait. Une petite boule de poil - qui se trouvait être le Boursouflet d'Arthur mais dont elle avait complètement oublié la présence, remuait son sa chaussure. Les Boursouflets, bien qu'à présent, la Gryffondor commençait a s'y habituer, étaient quand même de drôles de personnages aux yeux de l'adolescente. Puis, voir la créature fit naitre en elle une interrogation. Son camarade n'avait il pas peur de montrer aux yeux de tout le monde cet animal magique? Elle s'imagina dans les yeux d'une moldu même si cela lui était étranger. Peut être penseraient ils que ce serait un de ces espèces de petits robots pleins de poils ou quelque chose du genre. Néanmoins, elle questionna Arthur.
" N'as tu pas peur de montrer ton boursouflet à tout le monde? Je veux dire, les moldus, ils ne trouvent pas ça bizarre?"
« Oui, je les adore ! En plus de mon boursouflet, j'ai trois chiens chez moi. 'Fin, ils sont pas magiques mais c'est des animaux quand même quoi. Les Soins aux Créatures Magiques, c'est ma matière préférée ! En fait, j'ai même envie de travailler avec les animaux plus tard. J'préfèrerais des créatures magiques parce que je veux garder un pied dans notrre monde mais bon, si c'est des animaux comme mes chiens, ça me va aussi ! Toi aussi, tu les aimes bien ? »
La Gryffondor fut contente des révélations du préfet. Elle aussi aimait beaucoup les animaux, qu'ils soient magiques ou pas. Marion trouvait par exemple, qu'un lapin était aussi intéressant qu'un Botruc. Elle possédait elle même un petit hibou que ses parents lui avait offert pour son anniversaire l'année précédente. Cette petite bestiole était très affectueuse et très maladroite, ce qui de temps en temps, épuisait la patience de sa maitresse comme un jour ou il avait atterri dans son jus de citrouille, mouillant du liquide orangé, l’enveloppe à sa patte. Depuis ce jour là, elle faisait très attention à la réception du volatil pour qu'il ne commette plus de bêtises comme celles ci. En repensant à ce souvenir, l'étudiante eut un petit sourire timide et écouta la suite des paroles du Serpentard.
« Au fait, il s'appelle Van Gogh, mon boursouflet. C'est un peu bizarre comme nom, mais c'est parce que c'est le peintre préféré de ma grande sœur en fait. »
" J'aime bien les animaux moi aussi. Magiques ou pas, je les trouves tous fascinants. Mon hibou, il s'appelle Atwu. Ne me demande pas pourquoi ce nom, c'est celui qu'il avait à la Ménagerie Magique. Puis Marion laissa un petit silence avant de reprendre. Van Gogh tu dis? Je ne vois pas en quoi ça peut être étrange, ma cousine a un chat qu'elle appelle Stan lee car c'est sa personnalité préférée. "
La jeune fille rougit légèrement car elle n'avait pas l'habitude ou simplement que c'était parce qu'elle était timide, d'avoir prit la parole aussi longtemps. Bien sur, ce n'était pas un discourt mais bon. On peut dire que l'américaine n'était pas très bavarde et avait du mal a créer des liens bien que maintenant, elle connaisse pleins d'étudiants de Poudlard, mais pas forcément personnellement. La brunette sentit soudain de petits mouvement sur son corps et se pencha pour voir de quoi il retournait. Une petite boule de poil - qui se trouvait être le Boursouflet d'Arthur mais dont elle avait complètement oublié la présence, remuait son sa chaussure. Les Boursouflets, bien qu'à présent, la Gryffondor commençait a s'y habituer, étaient quand même de drôles de personnages aux yeux de l'adolescente. Puis, voir la créature fit naitre en elle une interrogation. Son camarade n'avait il pas peur de montrer aux yeux de tout le monde cet animal magique? Elle s'imagina dans les yeux d'une moldu même si cela lui était étranger. Peut être penseraient ils que ce serait un de ces espèces de petits robots pleins de poils ou quelque chose du genre. Néanmoins, elle questionna Arthur.
" N'as tu pas peur de montrer ton boursouflet à tout le monde? Je veux dire, les moldus, ils ne trouvent pas ça bizarre?"
Rencontre entre sorciers
Arthur le Serpentard semblait avoir des points communs avec Marion la Gryffondor. Ils aimaient tous les deux les animaux et ils en avaient à eux ! D'après ce qu'elle venait de lui dire, elle avait un hibou au nom original déjà et sa cousine avait un chat qui avait le prénom d'une célébrité aussi. Que de points communs ! Si elle était en troisième année, alors elle avait dû déjà commencer les cours de miss Almeida. Et si elle était vraiment comme Arthur, elle avait dû s'éclater ! Après on entrait dans une routine de leçons et de devoirs mais les tous premiers cours étaient géniaux, pleins de promesses et d'excitation !
Et alors qu'ils parlaient tranquillement, Marion dit quelque chose de très sensé, auquel Arthur n'avait pas pensé.
« N'as tu pas peur de montrer ton boursouflet à tout le monde ? Je veux dire, les moldus, ils ne trouvent pas ça bizarre ? »
Instinctivement, il jeta un coup d’œil à son petit animal qui semblait sur le point de grimper sur la jambe de la jeune fille. Arthur regarda autour de lui. Il y avait pas mal de Moldus dans le coin !
« Ah t'as raison ! Mince ! J'y pense jamais, moi, aux Moldus ! Pfff...Ce serait plus cool s'il y en avait pas ! »
Alors il se baissa pour ramasser le boursouflet qu'il garda bien au chaud dans ses mains. Il y avait plusieurs avantages pour la petite bestiole, à être pelotonnée ainsi. Déjà, elle était installée tout confortablement, et ensuite, elle ressemblait à une petite peluche toute mignonne !
En se relevant, Arthur prit conscience que les paroles qu'il venait de prononcer pouvaient être très mal perçues. Alors il se reprit en priant intérieurement pour que Marion ne pense pas qu'il rêve en secret d'un génocide anti-moldus !
« Enfin... Je veux dire, ce serait bien s'ils étaient plus loin, quoi ! J'aime bien Londres, mais on peut pas être complètement nous-mêmes. Il faut toujours faire attention... C'est frustrant des fois, j'trouve. Pas toi ? »
Puis Arthur regarda au loin. Il allait devoir rentrer maintenant. Il ne voulait pas prendre le risque de voir débouler ses parents qui l’appelleraient en le cherchant partout. Imaginez la honte ! Donc il reprit, avant que Marion ne réponde à sa question.
« J'vais bientôt rentrer je crois parce que sinon, ça va chauffer. Je repars par là. Dit-il en pointant sa direction du doigt. Et toi, c'est par où ? »
Avec un peu de chance, Marion prenait le même chemin que lui. Ainsi, il pourrait continuer de bavarder un peu tous les deux avant que chacun ne reparte de son côté. Arthur aimait bien faire ce genre de rencontre. Et il était toujours ravi de connaître plus de gens à Poudlard !
Et alors qu'ils parlaient tranquillement, Marion dit quelque chose de très sensé, auquel Arthur n'avait pas pensé.
« N'as tu pas peur de montrer ton boursouflet à tout le monde ? Je veux dire, les moldus, ils ne trouvent pas ça bizarre ? »
Instinctivement, il jeta un coup d’œil à son petit animal qui semblait sur le point de grimper sur la jambe de la jeune fille. Arthur regarda autour de lui. Il y avait pas mal de Moldus dans le coin !
« Ah t'as raison ! Mince ! J'y pense jamais, moi, aux Moldus ! Pfff...Ce serait plus cool s'il y en avait pas ! »
Alors il se baissa pour ramasser le boursouflet qu'il garda bien au chaud dans ses mains. Il y avait plusieurs avantages pour la petite bestiole, à être pelotonnée ainsi. Déjà, elle était installée tout confortablement, et ensuite, elle ressemblait à une petite peluche toute mignonne !
En se relevant, Arthur prit conscience que les paroles qu'il venait de prononcer pouvaient être très mal perçues. Alors il se reprit en priant intérieurement pour que Marion ne pense pas qu'il rêve en secret d'un génocide anti-moldus !
« Enfin... Je veux dire, ce serait bien s'ils étaient plus loin, quoi ! J'aime bien Londres, mais on peut pas être complètement nous-mêmes. Il faut toujours faire attention... C'est frustrant des fois, j'trouve. Pas toi ? »
Puis Arthur regarda au loin. Il allait devoir rentrer maintenant. Il ne voulait pas prendre le risque de voir débouler ses parents qui l’appelleraient en le cherchant partout. Imaginez la honte ! Donc il reprit, avant que Marion ne réponde à sa question.
« J'vais bientôt rentrer je crois parce que sinon, ça va chauffer. Je repars par là. Dit-il en pointant sa direction du doigt. Et toi, c'est par où ? »
Avec un peu de chance, Marion prenait le même chemin que lui. Ainsi, il pourrait continuer de bavarder un peu tous les deux avant que chacun ne reparte de son côté. Arthur aimait bien faire ce genre de rencontre. Et il était toujours ravi de connaître plus de gens à Poudlard !
Marion Mielloneux
Rencontre entre sorciers
L'intervention que venait de faire Marion sembla ramener Arthur dans le monde des moldus, dans lequel il n'était pas commun d'avoir une boule de poils violet et rose accrochée à sa jambe.
« Ah t'as raison ! Mince ! J'y pense jamais, moi, aux Moldus ! Pfff...Ce serait plus cool s'il y en avait pas ! »
Le garçon se baissa pour ramasser Van Gogh à la suite de sa réponse. Ce n'est qu'une demie seconde après que la jeune fille compris ce qu'il avait dit. Comme à chaque qu'elle était en pleine réflexion, l'américaine fronça légèrement les sourcils. " Ce serait plus cool qu'il n'y ai pas de moldus " reprit une petite voix dans sa tête. Cette phrase était étrange. Elle ne savait pas comment l’interpréter. Un adolescent qui choisissait mal ses mots avait autant de chances qu'un sorcier qui voulait éradiquer les non- mages. Marion regarda Arthur, attendant une explication. On ne pouvait pas balancer ce genre de paroles sans avoir de suites.
« Enfin... Je veux dire, ce serait bien s'ils étaient plus loin, quoi ! J'aime bien Londres, mais on peut pas être complètement nous-mêmes. Il faut toujours faire attention... C'est frustrant des fois, j'trouve. Pas toi ? »
Le préfet semblait gêné. Néanmoins, elle continua sa réflexion, ajoutant les nouvelles phrases prononcées aux premières pour ce faire une idée du personnage. Ses dires avaient un sens. Même si elle avait du mal à s'y faire, la Troisième Année aimait beaucoup Londres. Bien sûr, ce n'était pas comme aux États- Unis, mais elle s'y était fait et à présent, appréciait la capitale. Mais c'est normal qu'il fasse faire quelques sacrifices pour le bien de la cohésion des mondes sorciers et moldus. Au début, c'était frustrant, puis, on s'y habitue. Sortant enfin de son silence, Marion expliqua son point de vue au Serpentard.
" Oui, je te comprends. Des fois c'est frustrant. Enfin, surtout au début. Mais maintenant, j'y suis habituée. Il faut des fois établir des règles pour pouvoir faire cohabiter deux mondes différents. Les non - mages nous craindraient s'il savait que nous avons plus de... quelque chose qui leur est inconnu. N'as tu jamais éprouvé de la peur pour quelque chose que tu ne comprends pas, que tu ne maitrise pas, ou qui t'es inconnu? "
Demanda Marion à Arthur. Il y eut un petit silence puis son ainé pris la parole.
« J'vais bientôt rentrer je crois parce que sinon, ça va chauffer. Je repars par là. Dit-il en pointant sa direction du doigt. Et toi, c'est par où ? »
L'américaine n'avait pas vue le temps passé. Néanmoins, il commençait à faire tard. Elle ramena son sac de danse sur son épaule et répondit au garçon qu'elle allait dans la même direction encore un peu puis il faudrait qu'elle tourne à droite pour rentrer chez elle.
« Ah t'as raison ! Mince ! J'y pense jamais, moi, aux Moldus ! Pfff...Ce serait plus cool s'il y en avait pas ! »
Le garçon se baissa pour ramasser Van Gogh à la suite de sa réponse. Ce n'est qu'une demie seconde après que la jeune fille compris ce qu'il avait dit. Comme à chaque qu'elle était en pleine réflexion, l'américaine fronça légèrement les sourcils. " Ce serait plus cool qu'il n'y ai pas de moldus " reprit une petite voix dans sa tête. Cette phrase était étrange. Elle ne savait pas comment l’interpréter. Un adolescent qui choisissait mal ses mots avait autant de chances qu'un sorcier qui voulait éradiquer les non- mages. Marion regarda Arthur, attendant une explication. On ne pouvait pas balancer ce genre de paroles sans avoir de suites.
« Enfin... Je veux dire, ce serait bien s'ils étaient plus loin, quoi ! J'aime bien Londres, mais on peut pas être complètement nous-mêmes. Il faut toujours faire attention... C'est frustrant des fois, j'trouve. Pas toi ? »
Le préfet semblait gêné. Néanmoins, elle continua sa réflexion, ajoutant les nouvelles phrases prononcées aux premières pour ce faire une idée du personnage. Ses dires avaient un sens. Même si elle avait du mal à s'y faire, la Troisième Année aimait beaucoup Londres. Bien sûr, ce n'était pas comme aux États- Unis, mais elle s'y était fait et à présent, appréciait la capitale. Mais c'est normal qu'il fasse faire quelques sacrifices pour le bien de la cohésion des mondes sorciers et moldus. Au début, c'était frustrant, puis, on s'y habitue. Sortant enfin de son silence, Marion expliqua son point de vue au Serpentard.
" Oui, je te comprends. Des fois c'est frustrant. Enfin, surtout au début. Mais maintenant, j'y suis habituée. Il faut des fois établir des règles pour pouvoir faire cohabiter deux mondes différents. Les non - mages nous craindraient s'il savait que nous avons plus de... quelque chose qui leur est inconnu. N'as tu jamais éprouvé de la peur pour quelque chose que tu ne comprends pas, que tu ne maitrise pas, ou qui t'es inconnu? "
Demanda Marion à Arthur. Il y eut un petit silence puis son ainé pris la parole.
« J'vais bientôt rentrer je crois parce que sinon, ça va chauffer. Je repars par là. Dit-il en pointant sa direction du doigt. Et toi, c'est par où ? »
L'américaine n'avait pas vue le temps passé. Néanmoins, il commençait à faire tard. Elle ramena son sac de danse sur son épaule et répondit au garçon qu'elle allait dans la même direction encore un peu puis il faudrait qu'elle tourne à droite pour rentrer chez elle.
Rencontre entre sorciers
Marion et Arthur prenaient donc la route du retour, pour rentrer chez eux. Arthur portait maintenant son boursouflet dans ses mains, de façon à le cacher un minimum du regard des Moldus. Il était temps qu'il fasse un peu attention à eux.
En marchant, il se dit que c'était quand même drôle d'être tombé ainsi sur quelqu'un de Poudlard ! Le monde était parfois petit ! Puis, il se rappela de ce que Marion lui avait demandé, suite à sa stupide réflexion sur les Moldus.
"- Oui, je te comprends. Des fois c'est frustrant. Enfin, surtout au début. Mais maintenant, j'y suis habituée. Il faut des fois établir des règles pour pouvoir faire cohabiter deux mondes différents. Les non-mages nous craindraient s'ils savaient que nous avons plus de... quelque chose qui leur est inconnu. N'as tu jamais éprouvé de la peur pour quelque chose que tu ne comprends pas, que tu ne maîtrise pas, ou qui t'es inconnu ?
- Oui, t'as raison. On leur ferait certainement plus peur que l'inverse. J'sais pas pourquoi j'ai dit ça tout à l'heure. Tu sais, je parle souvent trop vite. Surtout que je ne voudrais jamais qu'il n'y ait plus de Moldus ! Mon meilleur ami en est un. Il s'appelle Samaël Parks et il manque trop quand je suis à Poudlard ! Je déteste devoir lui mentir à propos de Poudlard et tout. J'aimerais tellement partager tout ça avec lui... ça ne te fait pas ça avec les Moldus que tu connais, toi ?"
Après tout, peut-être qu'elle n'en connaissait pas Marion, des Moldus ! En tout cas, tout ce qu'il venait de lui dire était vrai. Son ami Samaël s'attristait toujours de voir Arthur repartir à chaque mois de septembre pour ne revenir que des mois plus tard. Heureusement, par l'intermédiaire d'Ava, sa grande sœur, ils s'échangeaient des lettres, mais ça ne remplaçait jamais un vrai échange, en face-à-face. À chaque fois qu'il lui arrivait quelque chose d'un peu génial à Poudlard, il se disait toujours qu'il allait le dire tout de suite à Samaël avant de se rappeler qu'il n'en avait pas le droit. Pareil, les friandises d'Honeydukes ! Il en achetait souvent pour lui avant de se dire qu'il poserait trop de questions en voyant, par exemple, des grenouilles en chocolat sautiller ! Il y avait bien cette fracture entre les deux mondes, mais seul l'un des deux en avait conscience, et en souffrait.
Et après toutes ses réflexions un petit peu tristes, il se rappela de quelque chose que Marion avait dit. S'il avait tiqué sur le coup, il n'y avait pas repensé par la suite. Et voilà qu'il s'en rappelait maintenant, et que ça l'intriguait trop pour qu'il ne pose pas la question !
"Au fait, pour les Moldus, tu as dit : les non-mages. Donc, tu es américaine à la base, c'est ça ?"
Grâce à sa sœur Ava, Arthur savait qu'on parlait comme ça, de l'autre côté de l'Atlantique. Il espérait ne pas s'être trompé ! Et surtout, ne pas embêter Marion avec une question qu'elle trouverait peut-être indiscrète.
En marchant, il se dit que c'était quand même drôle d'être tombé ainsi sur quelqu'un de Poudlard ! Le monde était parfois petit ! Puis, il se rappela de ce que Marion lui avait demandé, suite à sa stupide réflexion sur les Moldus.
"- Oui, je te comprends. Des fois c'est frustrant. Enfin, surtout au début. Mais maintenant, j'y suis habituée. Il faut des fois établir des règles pour pouvoir faire cohabiter deux mondes différents. Les non-mages nous craindraient s'ils savaient que nous avons plus de... quelque chose qui leur est inconnu. N'as tu jamais éprouvé de la peur pour quelque chose que tu ne comprends pas, que tu ne maîtrise pas, ou qui t'es inconnu ?
- Oui, t'as raison. On leur ferait certainement plus peur que l'inverse. J'sais pas pourquoi j'ai dit ça tout à l'heure. Tu sais, je parle souvent trop vite. Surtout que je ne voudrais jamais qu'il n'y ait plus de Moldus ! Mon meilleur ami en est un. Il s'appelle Samaël Parks et il manque trop quand je suis à Poudlard ! Je déteste devoir lui mentir à propos de Poudlard et tout. J'aimerais tellement partager tout ça avec lui... ça ne te fait pas ça avec les Moldus que tu connais, toi ?"
Après tout, peut-être qu'elle n'en connaissait pas Marion, des Moldus ! En tout cas, tout ce qu'il venait de lui dire était vrai. Son ami Samaël s'attristait toujours de voir Arthur repartir à chaque mois de septembre pour ne revenir que des mois plus tard. Heureusement, par l'intermédiaire d'Ava, sa grande sœur, ils s'échangeaient des lettres, mais ça ne remplaçait jamais un vrai échange, en face-à-face. À chaque fois qu'il lui arrivait quelque chose d'un peu génial à Poudlard, il se disait toujours qu'il allait le dire tout de suite à Samaël avant de se rappeler qu'il n'en avait pas le droit. Pareil, les friandises d'Honeydukes ! Il en achetait souvent pour lui avant de se dire qu'il poserait trop de questions en voyant, par exemple, des grenouilles en chocolat sautiller ! Il y avait bien cette fracture entre les deux mondes, mais seul l'un des deux en avait conscience, et en souffrait.
Et après toutes ses réflexions un petit peu tristes, il se rappela de quelque chose que Marion avait dit. S'il avait tiqué sur le coup, il n'y avait pas repensé par la suite. Et voilà qu'il s'en rappelait maintenant, et que ça l'intriguait trop pour qu'il ne pose pas la question !
"Au fait, pour les Moldus, tu as dit : les non-mages. Donc, tu es américaine à la base, c'est ça ?"
Grâce à sa sœur Ava, Arthur savait qu'on parlait comme ça, de l'autre côté de l'Atlantique. Il espérait ne pas s'être trompé ! Et surtout, ne pas embêter Marion avec une question qu'elle trouverait peut-être indiscrète.
Marion Mielloneux
Rencontre entre sorciers
- Oui, t'as raison. On leur ferait certainement plus peur que l'inverse. J'sais pas pourquoi j'ai dit ça tout à l'heure. Tu sais, je parle souvent trop vite. Surtout que je ne voudrais jamais qu'il n'y ait plus de Moldus ! Mon meilleur ami en est un. Il s'appelle Samaël Parks et il manque trop quand je suis à Poudlard ! Je déteste devoir lui mentir à propos de Poudlard et tout. J'aimerais tellement partager tout ça avec lui... ça ne te fait pas ça avec les Moldus que tu connais, toi ?
Les deux sorciers continuaient à marcher tranquillement sur le chemin de leur maisons respectives. Marion écoutait les paroles d'Arthur avec beaucoup d'attention. Apparemment, il parlait souvent trop vite... Ce genre de choses arrivent à tout le monde et il fallait avouer que si l'américaine n'avait pas réfléchit aux différentes interprétation , elle l'aurait pris pour un anti-non-mages comme sa tante désignait les sorciers qui ne veulent pas de moldus dans le monde. Mais d'après ce que disait l'adolescent, il appréciait les non-mages et son meilleur ami du nom de Samaël Parks en était un. Sous la surprise, la jeune fille leva les sourcils. Pas parce qu'elle ne trouvait pas cela normal d'être ami avec un Moldu comme disent les britanniques, mais parce que l'une des personnes qui lui était des plus chères en était elle aussi. Depuis leurs trois printemps que les deux filles se connaissaient, grâce à leur même passion : la danse classique. Elles avaient toujours leur liens mais ne rentrant à San Francisco que pour les vacances, et ne pouvant correspondre aussi souvent que la Gryffondor le voudrait, car, que dirait Shoko si un hibou arrivait un matin chez elle avec une lettre à la patte? Néanmoins, la dernière partie de la tirade d'Arthur lui parût étrange. Ne pas connaître de moldus? Cette pensée lui parût des plus saugrenues. Mais bon, peut être que certains sorciers ne sociabilisaient avec les non-mages. Après un court silence, Marion prit la parole :
- Oui, j'ai quelques connaissances et une bonne amie qui se nomme Shoko Itaya. Malheureusement, tu as raison, je n'aime vraiment pas lui mentir comme. Je ne là vois donc que rarement... Je ne peux pas lui envoyer des hiboux. Imagines si par exemple, tu ne connais pas l'existence des sorciers et tout à coup, un hiboux arrive chez toi avec une enveloppe accrochée à sa patte ?
La Troisième Année s'imagina cette scène et ne pût se retenir d'avoir un petit sourire.
La rue était calme à cette heure-ci. Les appartements avait l'architecture typique du pays. Quelques mètres plus loin, sur le trottoirs d'à côté, un petit garçon qui ne devait pas dépasser des sept jouait avec un ballon de football. A sa droite, une femme aux cheveux gris-argenté le regardait, le visage serein. Un groupe de lycéens surement se promenaient quelques bâtiments plus loin. Regarder une scène comme celle-ci était une habitude de Marion. Elle avait un bon sens de l'observation. Puis, le préfet de Serpentard reprit la parole.
"Au fait, pour les Moldus, tu as dit : les non-mages. Donc, tu es américaine à la base, c'est ça ?"
Un nouveau sourire, peut être plus franche que le précédent illumina son visage pâle. Trahie par son vocabulaire. Après un peu plus de deux années au Royaume Unis, son accent ou certaines expressions américaines parvenaient toujours à la petite bouche de la sorcière. Son accent, aussi, indiquait souvent aux personnes à qui elle parlait sa partie d'origine. Peut être était- ce aussi pour cela que le thé n'était pas son breuvage favori?
- Oui, en effet. Je suis en Troisième Année donc un peu plus de deux ans à Londres et pourtant, des fois, tac, mon jargon d'américaine revient à la charge !
Au tac, Marion avait levé son bras un peu brusquement. Elle en rigolait aujourd'hui. Mais pas avec tout le monde. Parler d'elle était quelque chose que la jeune fille ne partageait qu'avec un nombre de personnes restreintes. Arthur était un garçon sympathique alors elle avait accepté de ne pas ruser pour changer de sujet.
Les deux sorciers continuaient à marcher tranquillement sur le chemin de leur maisons respectives. Marion écoutait les paroles d'Arthur avec beaucoup d'attention. Apparemment, il parlait souvent trop vite... Ce genre de choses arrivent à tout le monde et il fallait avouer que si l'américaine n'avait pas réfléchit aux différentes interprétation , elle l'aurait pris pour un anti-non-mages comme sa tante désignait les sorciers qui ne veulent pas de moldus dans le monde. Mais d'après ce que disait l'adolescent, il appréciait les non-mages et son meilleur ami du nom de Samaël Parks en était un. Sous la surprise, la jeune fille leva les sourcils. Pas parce qu'elle ne trouvait pas cela normal d'être ami avec un Moldu comme disent les britanniques, mais parce que l'une des personnes qui lui était des plus chères en était elle aussi. Depuis leurs trois printemps que les deux filles se connaissaient, grâce à leur même passion : la danse classique. Elles avaient toujours leur liens mais ne rentrant à San Francisco que pour les vacances, et ne pouvant correspondre aussi souvent que la Gryffondor le voudrait, car, que dirait Shoko si un hibou arrivait un matin chez elle avec une lettre à la patte? Néanmoins, la dernière partie de la tirade d'Arthur lui parût étrange. Ne pas connaître de moldus? Cette pensée lui parût des plus saugrenues. Mais bon, peut être que certains sorciers ne sociabilisaient avec les non-mages. Après un court silence, Marion prit la parole :
- Oui, j'ai quelques connaissances et une bonne amie qui se nomme Shoko Itaya. Malheureusement, tu as raison, je n'aime vraiment pas lui mentir comme. Je ne là vois donc que rarement... Je ne peux pas lui envoyer des hiboux. Imagines si par exemple, tu ne connais pas l'existence des sorciers et tout à coup, un hiboux arrive chez toi avec une enveloppe accrochée à sa patte ?
La Troisième Année s'imagina cette scène et ne pût se retenir d'avoir un petit sourire.
La rue était calme à cette heure-ci. Les appartements avait l'architecture typique du pays. Quelques mètres plus loin, sur le trottoirs d'à côté, un petit garçon qui ne devait pas dépasser des sept jouait avec un ballon de football. A sa droite, une femme aux cheveux gris-argenté le regardait, le visage serein. Un groupe de lycéens surement se promenaient quelques bâtiments plus loin. Regarder une scène comme celle-ci était une habitude de Marion. Elle avait un bon sens de l'observation. Puis, le préfet de Serpentard reprit la parole.
"Au fait, pour les Moldus, tu as dit : les non-mages. Donc, tu es américaine à la base, c'est ça ?"
Un nouveau sourire, peut être plus franche que le précédent illumina son visage pâle. Trahie par son vocabulaire. Après un peu plus de deux années au Royaume Unis, son accent ou certaines expressions américaines parvenaient toujours à la petite bouche de la sorcière. Son accent, aussi, indiquait souvent aux personnes à qui elle parlait sa partie d'origine. Peut être était- ce aussi pour cela que le thé n'était pas son breuvage favori?
- Oui, en effet. Je suis en Troisième Année donc un peu plus de deux ans à Londres et pourtant, des fois, tac, mon jargon d'américaine revient à la charge !
Au tac, Marion avait levé son bras un peu brusquement. Elle en rigolait aujourd'hui. Mais pas avec tout le monde. Parler d'elle était quelque chose que la jeune fille ne partageait qu'avec un nombre de personnes restreintes. Arthur était un garçon sympathique alors elle avait accepté de ne pas ruser pour changer de sujet.
Rencontre entre sorciers
Arthur avait toujours en tête cette petite remarque maladroite qu'il avait faite à propos des Moldus. Cependant, il fut soulagé de voir que Marion ne semblait pas s'être fermée. Peut-être avait-elle compris qu'il avait une certaine tendance à parler trop vite, trop souvent. Il l'espérait en tout cas !
Alors, la conversation tournait maintenant autour des Moldus qu'ils connaissaient tous les deux. Si Arthur avait parlé de son meilleur ami Samaël, il n'était pas certain que la Gryffondor connaisse personnellement des Moldus. Il savait qu'il existait certaines familles de sorcières qui restaient entre elles. Et même si Marion ne semblait pas faire partie d'une de celles-ci, il ne la connaissait pas vraiment encore, et on ne pouvait jamais vraiment savoir. Mais elle dissipa rapidement ses doutes.
« Oui, j'ai quelques connaissances et une bonne amie qui se nomme Shoko Itaya. Malheureusement, tu as raison, je n'aime vraiment pas lui mentir comme. Je ne là vois donc que rarement... Je ne peux pas lui envoyer des hiboux. Imagines si par exemple, tu ne connais pas l'existence des sorciers et tout à coup, un hiboux arrive chez toi avec une enveloppe accrochée à sa patte ? »
Suite à cette remarque, Arthur ria doucement. C'était vrai ça ! Il s'imagina un instant la tête que ferait Samaël s'il recevait un jour une telle missive de sa part ! Puis, Marion répondit à sa petite question curieuse à propos de ses origines américaines.
« Oui, en effet. Je suis en Troisième Année donc un peu plus de deux ans à Londres et pourtant, des fois, tac, mon jargon d'américaine revient à la charge ! »
C'était une révélation qui intéressa beaucoup Arthur. En vérité, il était admiratif ! Si, jusque là, il n'avait jamais trop eu envie de quitter l'Angleterre, cette dernière année semblait avoir ouvert son esprit. Il se sentait de plus en plus curieux, avec l'envie de découvrir plein d'endroits, et de voyager dès qu'il en avait le temps ! Il ne pouvait pas encore se déplacer par ses propres moyens et ses voyages avec ses parents se limitaient à aller dans une ville un peu plus au sud du pays pour aller visiter la famille... Mais il comptait se rattraper une fois qu'il serait indépendant. Et il avait vraiment hâte !
« C'est génial ! Répondit-il. Tu dois avoir plein d'histoires à raconter ! Tu sais, moi, je ne suis jamais parti loin de chez moi, même pour des vacances... »
Il termina ses paroles avec un sourire, ne voulant pas donner à Marion l'impression de trop se plaindre ! Après tout, si son seul problème était de ne pas assez voyager, alors cela voulait dire qu'il avait une belle vie !
Assez vite, ils arrivèrent à un croisement, celui qui devait les séparer maintenant. Câlinant tendrement son boursouflet, le serpentard stoppa sa marche, observa la gryffondor puis bredouilla :
« Bon, l'appartement de mes grands-parents est juste là alors, bah, salut ! On se revoit à Poudlard, du coup ? »
Dernier post pour ma part ! Je te laisse terminer ce rpg ! Merci pour l'avoir fait avec moi !
Alors, la conversation tournait maintenant autour des Moldus qu'ils connaissaient tous les deux. Si Arthur avait parlé de son meilleur ami Samaël, il n'était pas certain que la Gryffondor connaisse personnellement des Moldus. Il savait qu'il existait certaines familles de sorcières qui restaient entre elles. Et même si Marion ne semblait pas faire partie d'une de celles-ci, il ne la connaissait pas vraiment encore, et on ne pouvait jamais vraiment savoir. Mais elle dissipa rapidement ses doutes.
« Oui, j'ai quelques connaissances et une bonne amie qui se nomme Shoko Itaya. Malheureusement, tu as raison, je n'aime vraiment pas lui mentir comme. Je ne là vois donc que rarement... Je ne peux pas lui envoyer des hiboux. Imagines si par exemple, tu ne connais pas l'existence des sorciers et tout à coup, un hiboux arrive chez toi avec une enveloppe accrochée à sa patte ? »
Suite à cette remarque, Arthur ria doucement. C'était vrai ça ! Il s'imagina un instant la tête que ferait Samaël s'il recevait un jour une telle missive de sa part ! Puis, Marion répondit à sa petite question curieuse à propos de ses origines américaines.
« Oui, en effet. Je suis en Troisième Année donc un peu plus de deux ans à Londres et pourtant, des fois, tac, mon jargon d'américaine revient à la charge ! »
C'était une révélation qui intéressa beaucoup Arthur. En vérité, il était admiratif ! Si, jusque là, il n'avait jamais trop eu envie de quitter l'Angleterre, cette dernière année semblait avoir ouvert son esprit. Il se sentait de plus en plus curieux, avec l'envie de découvrir plein d'endroits, et de voyager dès qu'il en avait le temps ! Il ne pouvait pas encore se déplacer par ses propres moyens et ses voyages avec ses parents se limitaient à aller dans une ville un peu plus au sud du pays pour aller visiter la famille... Mais il comptait se rattraper une fois qu'il serait indépendant. Et il avait vraiment hâte !
« C'est génial ! Répondit-il. Tu dois avoir plein d'histoires à raconter ! Tu sais, moi, je ne suis jamais parti loin de chez moi, même pour des vacances... »
Il termina ses paroles avec un sourire, ne voulant pas donner à Marion l'impression de trop se plaindre ! Après tout, si son seul problème était de ne pas assez voyager, alors cela voulait dire qu'il avait une belle vie !
Assez vite, ils arrivèrent à un croisement, celui qui devait les séparer maintenant. Câlinant tendrement son boursouflet, le serpentard stoppa sa marche, observa la gryffondor puis bredouilla :
« Bon, l'appartement de mes grands-parents est juste là alors, bah, salut ! On se revoit à Poudlard, du coup ? »
Dernier post pour ma part ! Je te laisse terminer ce rpg ! Merci pour l'avoir fait avec moi !