Mystères verts
Son camarade de recherche avait entendu l’adolescente et scrutait la statue avec attention, comme s’il comptait pouvoir en extraire le moindre détail possible. Les symboles étaient bien plus difficiles à relier à une quelconque signification pour lui, mais il avait l’avantage d’avoir une vision plus nette de ce qui était figuratif plutôt que textuel. Ce dernier s’arrêta sur un certain motif un instant, et la petite Swan se promit de jeter un œil à sa suite. Il questionna Phœbe pour savoir si elle avait vu une singularité qui mérite d’être relevée et donnerait un indice de taille.
Alors que l’étudiante regardait pensive ces caractères danser sous ses yeux, son interlocuteur exhuma un nouveau fragment empli d’inscriptions que l’épaisse végétation. La jeune fille s’approcha et frôla de sa main ce passage, essayant de comprendre ce qu’il apporterait. La sorcière en formation se mouva de quelques pas et laissa ses doigts courir sur la pierre pour suivre avec douceur le tracé d’un dessin qui n’avait pas vraiment sa place à première vue. Si on n’y prêtait garde, il aurait été possible d’assimiler la gravure à un huit penché, mais la magicienne finit par se dire qu’il s’agissait de l’infini : ∞, ou même d’un sablier. Une boucle du temps… Une chronologie devait lier tout ces fragments selon un schéma plus net que ce que les enfants avaient encore à l’heure actuelle.
« Tout cela a certainement un sens après tout. Sa naissance, et Thétis qui l’amène au Styx, j’imagine que c’est le commencement. »
En parlant, elle pointa une zone du doigt, puis effectua une courbe avant de mettre en suspens son mouvement.
« Son histoire est en grande partie dans l’Iliade centré autour de cette guerre fruit de la discorde, la mort de son meilleur ami Patrocle marque… un tournant, le nœud central. »
La Serpentard avait la gorge serrée en évoquant cet évènement, qu’Achille ne soit qu’un mythe ou un être ayant existé, une personne avait eu à cœur de narrer ce vécu et partager ce genre d’épreuves. Le visage de Phœbe se ferma quand elle se remémora la réaction du héros.
« Achille rejoignit par la suite son ami, sa vulnérabilité au talon lui fut fatale. Ce n’est pourtant pas la fin, car Ulysse dialogua avec lui dans les Enfers. »
Reculant de quelques pas, la petite Swan clôtura la boucle avec son bras. L’histoire de cette figure n’était pas achevée mais avait cessé d’évoluer depuis son entrée dans l’au-delà, et c’est pourquoi le symbole ne se rompait pas de façon tranchée. Les morceaux de récit étaient tout compte fait alignés selon une ligne courbe traçant le symbole de l’infini. Le point de croisement était-il la clef de l’énigme ? Le regard gris de la fille croisa celui vairon du garçon.
« Qu’en penses-tu ? Pourrait-il y avoir quelque chose dissimulé au sein de ce motif ? »
Phœbe n’osait pas toucher à la statue pour confirmer ce qu’elle croyait avoir vu et garda la tête penchée, gardant dans son champ de vision son camarade et les symboles spéciaux.
Éternelle nouvelle Lune
Sombre Ciel
Alors que l’étudiante regardait pensive ces caractères danser sous ses yeux, son interlocuteur exhuma un nouveau fragment empli d’inscriptions que l’épaisse végétation. La jeune fille s’approcha et frôla de sa main ce passage, essayant de comprendre ce qu’il apporterait. La sorcière en formation se mouva de quelques pas et laissa ses doigts courir sur la pierre pour suivre avec douceur le tracé d’un dessin qui n’avait pas vraiment sa place à première vue. Si on n’y prêtait garde, il aurait été possible d’assimiler la gravure à un huit penché, mais la magicienne finit par se dire qu’il s’agissait de l’infini : ∞, ou même d’un sablier. Une boucle du temps… Une chronologie devait lier tout ces fragments selon un schéma plus net que ce que les enfants avaient encore à l’heure actuelle.
« Tout cela a certainement un sens après tout. Sa naissance, et Thétis qui l’amène au Styx, j’imagine que c’est le commencement. »
En parlant, elle pointa une zone du doigt, puis effectua une courbe avant de mettre en suspens son mouvement.
« Son histoire est en grande partie dans l’Iliade centré autour de cette guerre fruit de la discorde, la mort de son meilleur ami Patrocle marque… un tournant, le nœud central. »
La Serpentard avait la gorge serrée en évoquant cet évènement, qu’Achille ne soit qu’un mythe ou un être ayant existé, une personne avait eu à cœur de narrer ce vécu et partager ce genre d’épreuves. Le visage de Phœbe se ferma quand elle se remémora la réaction du héros.
« Achille rejoignit par la suite son ami, sa vulnérabilité au talon lui fut fatale. Ce n’est pourtant pas la fin, car Ulysse dialogua avec lui dans les Enfers. »
Reculant de quelques pas, la petite Swan clôtura la boucle avec son bras. L’histoire de cette figure n’était pas achevée mais avait cessé d’évoluer depuis son entrée dans l’au-delà, et c’est pourquoi le symbole ne se rompait pas de façon tranchée. Les morceaux de récit étaient tout compte fait alignés selon une ligne courbe traçant le symbole de l’infini. Le point de croisement était-il la clef de l’énigme ? Le regard gris de la fille croisa celui vairon du garçon.
« Qu’en penses-tu ? Pourrait-il y avoir quelque chose dissimulé au sein de ce motif ? »
Phœbe n’osait pas toucher à la statue pour confirmer ce qu’elle croyait avoir vu et garda la tête penchée, gardant dans son champ de vision son camarade et les symboles spéciaux.
Éternelle nouvelle Lune
Sombre Ciel
Mystères verts
Audric fit doucement le tour, scrutant avec attention chaque détails, passant sa main partout où ses yeux ne pouvaient aller, la ressortant toujours poussiéreuse et bredouille. Même s'il ne regardait pas ce qu'elle faisait, le brun écouta attentivement les paroles de son aînée. Il y avait beaucoup de mots qu'il ne comprenait pas, ne connaissant pas assez profondément l'histoire de ce héros grec, voir même l'Histoire en général, mais il était impressionné de voir l'adolescente en parler si aisément. Il aurait presque pu la confondre avec le professeur Heltowni lorsqu'ils racontait à leur classe des morceaux de l'histoire vue par les moldus.
Il failli à plusieurs reprises la couper pour lui en demander d'avantage, qu'elle lui raconte en détail tout ce qu'elle pouvait bien connaître sur Achille et ses compatriotes. Il ne manquait pas grand chose pour qu'il s'assied, retrouvant son enfance pas si lointaine où il s'allongeait dans l'herbe pour écouter les adultes ou ses cousines lui lire de grandes histoire passionnantes.
Se retenant, il cessa de s'occuper de la statue et porta son attention sur la jeune fille. Elle semblait être en train de former un cercle pour illustrer ses propos, tout en énumérant des scènes de la vie du héros grec. Certains passages semblaient la toucher plus particulièrement, le garçon aux yeux vairons le nota rapidement au changement dans sa voix lorsqu'elle parla de la mort du meilleur ami d'Achille. Du moins c'est ce qu'il en comprit.
De même son expression changea pendant qu'elle achevait son récit. Il y avait trop d'éléments pour le garçon qui acquiesça sans réellement comprendre toute la portée de ce récit. Il observa son aînée terminer de tracer un signe étrange dans les airs tout en reculant. Alors qu'elle se tournait vers lui, il approcha d'un pas et observa la statue en espérant mieux comprendre où elle voulait en venir.
C'est seulement à ce moment que son regard se posa sur un symbole qui ressemblait étrangement au dessin qu'elle avait tracé dans les airs. Une espèce de huit couché qui, il l'avait apprit grâce à son père, pouvait aussi être le signe de l'infini. « Oh! Je vois! » Il lu avait fallu un moment pour comprendre tout ce qu'elle essayait de lui expliquer depuis le début, mais cette fois il pensait savoir.
« Je n'en ai aucune idée. » avoua-t-il. « Mais il n'y a qu'un seul moyen de le savoir. »
Avec un sourire malicieux, le brun tendit son doigt vers le symbole et le toucha en plein centre. Il ne se passa absolument rien, à la plus grande déception du garçon. Faisant la moue, il recula de quelques pas et croisa les bras. Doucement, il se mit à réfléchir. Après tout, même si elle était dissimulée, il y avait un risque que des doigts baladeurs mais innocents se frottent à la statue. Peut-être alors que la solution était ailleurs...
Il croyait en le raisonnement de son aînée, c'était ailleurs qu'il fallait chercher. *C'est p't'être pas fait pour les moldus. Donc...* Donc il fallait autre chose, quelque chose de lié à la magie sans en être. Après tout ils étaient toujours dans un parc fréquenté essentiellement par des personnes n'ayant rien à voir avec la magie, aussi ils ne pouvaient pas faire de grandes choses.
Mais il n'avait toujours aucune idée de la "nature" de l'adolescente à ses côtés. Aussi il tenta de lui faire comprendre aussi subtilement qu'il en était capable ce qu'il attendait d'elle. Et si elle ne comprenait pas, soit parce qu'elle ne connaissait pas la magie, soit parce que son message était incompréhensible, il pourrait toujours revenir plus tard pour tenter sa théorie tout seul.
« Il faut peut-être une formule, comme "Sésame ouvres-toi!". Mais c'est peut-être tiré par les cheveux. Sinon on pourrait tenter de le toucher ou tapoter avec un morceau de bois... »
Il était prêt à sortir sa baguette magique qui attendait au fond de son sac. Certains pouvaient penser qu'il était imprudent de la garder avec lui en ville, mais il aurait été, à son avis, bien plus dangereux de la laisser à la maison. Sa mère aimait beaucoup trop jouer avec, et il détestait par-dessus tout qu'elle y touche.
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Il failli à plusieurs reprises la couper pour lui en demander d'avantage, qu'elle lui raconte en détail tout ce qu'elle pouvait bien connaître sur Achille et ses compatriotes. Il ne manquait pas grand chose pour qu'il s'assied, retrouvant son enfance pas si lointaine où il s'allongeait dans l'herbe pour écouter les adultes ou ses cousines lui lire de grandes histoire passionnantes.
Se retenant, il cessa de s'occuper de la statue et porta son attention sur la jeune fille. Elle semblait être en train de former un cercle pour illustrer ses propos, tout en énumérant des scènes de la vie du héros grec. Certains passages semblaient la toucher plus particulièrement, le garçon aux yeux vairons le nota rapidement au changement dans sa voix lorsqu'elle parla de la mort du meilleur ami d'Achille. Du moins c'est ce qu'il en comprit.
De même son expression changea pendant qu'elle achevait son récit. Il y avait trop d'éléments pour le garçon qui acquiesça sans réellement comprendre toute la portée de ce récit. Il observa son aînée terminer de tracer un signe étrange dans les airs tout en reculant. Alors qu'elle se tournait vers lui, il approcha d'un pas et observa la statue en espérant mieux comprendre où elle voulait en venir.
C'est seulement à ce moment que son regard se posa sur un symbole qui ressemblait étrangement au dessin qu'elle avait tracé dans les airs. Une espèce de huit couché qui, il l'avait apprit grâce à son père, pouvait aussi être le signe de l'infini. « Oh! Je vois! » Il lu avait fallu un moment pour comprendre tout ce qu'elle essayait de lui expliquer depuis le début, mais cette fois il pensait savoir.
« Je n'en ai aucune idée. » avoua-t-il. « Mais il n'y a qu'un seul moyen de le savoir. »
Avec un sourire malicieux, le brun tendit son doigt vers le symbole et le toucha en plein centre. Il ne se passa absolument rien, à la plus grande déception du garçon. Faisant la moue, il recula de quelques pas et croisa les bras. Doucement, il se mit à réfléchir. Après tout, même si elle était dissimulée, il y avait un risque que des doigts baladeurs mais innocents se frottent à la statue. Peut-être alors que la solution était ailleurs...
Il croyait en le raisonnement de son aînée, c'était ailleurs qu'il fallait chercher. *C'est p't'être pas fait pour les moldus. Donc...* Donc il fallait autre chose, quelque chose de lié à la magie sans en être. Après tout ils étaient toujours dans un parc fréquenté essentiellement par des personnes n'ayant rien à voir avec la magie, aussi ils ne pouvaient pas faire de grandes choses.
Mais il n'avait toujours aucune idée de la "nature" de l'adolescente à ses côtés. Aussi il tenta de lui faire comprendre aussi subtilement qu'il en était capable ce qu'il attendait d'elle. Et si elle ne comprenait pas, soit parce qu'elle ne connaissait pas la magie, soit parce que son message était incompréhensible, il pourrait toujours revenir plus tard pour tenter sa théorie tout seul.
« Il faut peut-être une formule, comme "Sésame ouvres-toi!". Mais c'est peut-être tiré par les cheveux. Sinon on pourrait tenter de le toucher ou tapoter avec un morceau de bois... »
Il était prêt à sortir sa baguette magique qui attendait au fond de son sac. Certains pouvaient penser qu'il était imprudent de la garder avec lui en ville, mais il aurait été, à son avis, bien plus dangereux de la laisser à la maison. Sa mère aimait beaucoup trop jouer avec, et il détestait par-dessus tout qu'elle y touche.
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Mystères verts
Pendant qu’elle parlait, le garçon s’était activé tout autour de la statue pour palper le moindre recoin ou aspérité. C’était une bonne démarche et il pourrait certainement trouver des éléments de résolution. Il semblait tout de même se montrer attentif au conte que l’adolescente était en train de narrer. Quand elle se tut, la jeune fille laissa la place à son camarade, pour qu’il puisse s’exprimer à son tour et faire quelques propositions. Les yeux vairons de son camarade se fixèrent à un certain niveau, et Phœbe suivit la direction de son regard afin de voir ce qui le fascinait tant. Ses yeux gris rencontrèrent le fameux symbole, ce qui alluma en réaction une étincelle. Le symbole infini était ancré au sein de cette figure, que déjà son acolyte tentait de manipuler pour en tirer quelque chose. Il y avait certainement un mécanisme caché. Avec hâte, la petite sorcière attendait comme ce qui serait le verdict de l’action, si un élément se dissimulait vraiment derrière ces pierres.
L’étudiant appuya alors sur le symbole avec fébrilité, alors que la magicienne attendait de voir ce qu’il pourrait se produire. Elle y croyait, et patienta quelque secondes, persuadé de voir l’extraordinaire se manifester sous ses yeux. Rien ne se produisit à sa grande déception. La petite Swan fit une moue triste, avant de se laisser hypnotiser par ce symbole, qui cachait forcément un secret dans ses profondeurs.
Alors que Phœbe examinait de nombreux scenarii dans sa tête dans le but de comprendre la situation et débloquer le verrou de cette énigme, ses réflexions furent interrompues par la voix de son interlocuteur qui déclara avoir une hypothèse pour craquer l’ouverture. La sorcière le regardait d’un œil intéressé, ce qu’il racontait était pertinent. Un morceau de bois, c’était dit si subtilement. Doucement, l’élève sortit sa baguette magique, en prenant garde à ce qu’elle n’entre que dans le champ de vision de son acolyte, et que les Moldus ne la voient pas. Son instrument magique était très élégant, et il serait possible pour elle de le faire passer pour autre chose que ce qu’il était. Seul le garçon avait à comprendre, l’adolescente avait compris qu’ils étaient dans le même monde.
Avec un regard entendu, elle posa la pointe de bois sur le signe, et tapota légèrement, comme elle l’aurait fait sur la brique spéciale qui ouvrait l’arcade du Chemin de Traverse, s’attendant à ce que le garçon imite ce geste en même temps. Quelques secondes et une sorte de raclement se fit entendre, finalement il y avait bien quelque chose de dissimulé au sein de ce monument spécial, la petite Swan se retourna vers son camarade, comme pour y déceler la même lueur d’excitation, ils étaient certainement sur le point de faire une découverte sensationnelle.
Sentant une certaine appréhension s’emparer d’elle, la jeune magicienne jeta des regards circulaires autour d’elle pour vérifier que personne ne s’intéressait à leurs activités, elle avait l’intuition ce, quoique soit la chose cachée, elle était destinée à des magiciens. Cependant, il y avait certainement des protections et repousse-moldu pour les écarter dès que ce contenu se révélait, Phœbe essayait de se rassurer en pensant ainsi.
Éternelle nouvelle Lune
Sombre Ciel
L’étudiant appuya alors sur le symbole avec fébrilité, alors que la magicienne attendait de voir ce qu’il pourrait se produire. Elle y croyait, et patienta quelque secondes, persuadé de voir l’extraordinaire se manifester sous ses yeux. Rien ne se produisit à sa grande déception. La petite Swan fit une moue triste, avant de se laisser hypnotiser par ce symbole, qui cachait forcément un secret dans ses profondeurs.
Alors que Phœbe examinait de nombreux scenarii dans sa tête dans le but de comprendre la situation et débloquer le verrou de cette énigme, ses réflexions furent interrompues par la voix de son interlocuteur qui déclara avoir une hypothèse pour craquer l’ouverture. La sorcière le regardait d’un œil intéressé, ce qu’il racontait était pertinent. Un morceau de bois, c’était dit si subtilement. Doucement, l’élève sortit sa baguette magique, en prenant garde à ce qu’elle n’entre que dans le champ de vision de son acolyte, et que les Moldus ne la voient pas. Son instrument magique était très élégant, et il serait possible pour elle de le faire passer pour autre chose que ce qu’il était. Seul le garçon avait à comprendre, l’adolescente avait compris qu’ils étaient dans le même monde.
Avec un regard entendu, elle posa la pointe de bois sur le signe, et tapota légèrement, comme elle l’aurait fait sur la brique spéciale qui ouvrait l’arcade du Chemin de Traverse, s’attendant à ce que le garçon imite ce geste en même temps. Quelques secondes et une sorte de raclement se fit entendre, finalement il y avait bien quelque chose de dissimulé au sein de ce monument spécial, la petite Swan se retourna vers son camarade, comme pour y déceler la même lueur d’excitation, ils étaient certainement sur le point de faire une découverte sensationnelle.
Sentant une certaine appréhension s’emparer d’elle, la jeune magicienne jeta des regards circulaires autour d’elle pour vérifier que personne ne s’intéressait à leurs activités, elle avait l’intuition ce, quoique soit la chose cachée, elle était destinée à des magiciens. Cependant, il y avait certainement des protections et repousse-moldu pour les écarter dès que ce contenu se révélait, Phœbe essayait de se rassurer en pensant ainsi.
Éternelle nouvelle Lune
Sombre Ciel
Mystères verts
Audric tirait nerveusement sur quelques mèches de cheveux en attendant la moindre réaction de sa camarade. Elle le regardait avec un certain intérêt, mais il n'aurait su dire si c'était parce qu'elle comprenait son allusion ou bien si elle commençait à comprendre quelque chose dont elle aurait du continuer à ignorer l'existence. Il se demandait s'il y avait une autre solution pour savoir si une personne était une sorcière ou une moldue. Une autre que de simplement poser la question ou guetter des indices relatifs au monde sorcier.
Avec précaution, son aînée sorti une baguette magique, la sienne très probablement et le brun se tourna un moment guettant le moindre passant. Mais les badauds qui se trouvaient dans le secteur n'étaient pas en mesure de voir ce que tramaient les deux adolescents.
A l'apparition de l'objet, le garçon aux yeux vairons sourit en murmurant pour lui même : « Je le savais... » En réalité il avait eu des doutes jusqu'au bout, et une part de lui lui soufflait que ce morceau de bois pouvait aussi bien être un vulgaire crayon, ou toute autre chose qui n'était pas une baguette.
Mais le doute s'évanouit lorsqu'elle tapota le signe avec le bout de l'objet. Audric retint sa respiration, se demandant si cela allait fonctionner cette fois. L'excitation s'installa rapidement, faisant trembler ses mains. Ils étaient à deux doigts de découvrir quelque chose, quelques chose d'extra-ordinaire bien sûr puisque magique. Quelques secondes passèrent, et la pierre "s'ouvrit" si on pouvait dire avec un petit bruit qui fit grincer des dents le garçon. Il se refusa de vérifier une nouvelle fois si quelqu'un les observait et resta le regard fixe sur la cachette qui se dévoilait enfin. Il sentit le mouvement de tête de sa camarade et lui offrit un grand sourire satisfait. Ils avaient réussi à trouver ce que dissimulait ce parc, ne restait plus qu'à voir de quoi il s'agissait.
Vide. La cachette était tout simplement vide de tout objet. La cavité ouverte était assez grande pour contenir un petit chaudron. Le brun s'approcha et avança son bras, tâtonnant à l'intérieur en se disant que la chose cachée là était peut-être invisible, mais rien. Il émit un petit grognement de frustration et observa plus attentivement la cavité. Il y avait quelques traces brunâtres et noirâtres ici et là, et la pierre semblait avoir été grattée par quelque chose sur le bas.
Ne s'avouant pas vaincu, Audric sortit sa propre baguette magique et, après avoir expiré, tapota un peu partout dans l'espoir de voir une nouvelle ouverture se dévoiler. Voyant que rien ne fonctionnait, il recula et tapa rageusement du pied.
« Stupides règles... » Il n'avait pas vraiment une idée de sortilège à lancer, mais si au moins il avait pu tenter il l'aurait fait volontiers. Il était stupide mais pas au point de risquer de se faire virer de Poudlard pour si peu. Mais ce "si peu" l'agaçait bien plus qu'il ne voulait l'avouer. Depuis combien de temps l'emplacement était-il vide?
Il rangea rapidement sa baguette au fond de son sac avant de se tourner vers sa camarade. « Au final il y avait bien quelque chose, mais il a déjà été trouvé. » Cela ne servait pas vraiment de lui rapporter ce qu'elle devait déjà avoir constaté, mais il était tellement frustré qu'il fallait qu'il en parle. « C'est vraiment nul... »
Il n'avait à présent plus qu'une hâte : rentrer chez lui et bouder dans son coin un moment. Il reprendrait ses recherches plus tard sur d'autres lieux, après tout s'il y avait quelque chose ici pourquoi pas ailleurs? En espérant qu'il arrive le premier la prochaine fois.
« Au fait j'm'appelle Audric. » se présenta-t-il finalement. « Je pense qu'il y a d'autres cachettes de ce genre dans Londres. On pourrait aller vérifier ça un autre jour si tu veux? Je dois avouer que je n'y serais pas parvenu sans toi aujourd'hui. » C'est qu'elle en savait des choses, et le fait qu'elle soit plus âgée que lui n'en était pas la seule cause. Il n'était pas encore assez fou pour croire qu'il y arriverait seul, du moins pas après cet après-midi.
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Avec précaution, son aînée sorti une baguette magique, la sienne très probablement et le brun se tourna un moment guettant le moindre passant. Mais les badauds qui se trouvaient dans le secteur n'étaient pas en mesure de voir ce que tramaient les deux adolescents.
A l'apparition de l'objet, le garçon aux yeux vairons sourit en murmurant pour lui même : « Je le savais... » En réalité il avait eu des doutes jusqu'au bout, et une part de lui lui soufflait que ce morceau de bois pouvait aussi bien être un vulgaire crayon, ou toute autre chose qui n'était pas une baguette.
Mais le doute s'évanouit lorsqu'elle tapota le signe avec le bout de l'objet. Audric retint sa respiration, se demandant si cela allait fonctionner cette fois. L'excitation s'installa rapidement, faisant trembler ses mains. Ils étaient à deux doigts de découvrir quelque chose, quelques chose d'extra-ordinaire bien sûr puisque magique. Quelques secondes passèrent, et la pierre "s'ouvrit" si on pouvait dire avec un petit bruit qui fit grincer des dents le garçon. Il se refusa de vérifier une nouvelle fois si quelqu'un les observait et resta le regard fixe sur la cachette qui se dévoilait enfin. Il sentit le mouvement de tête de sa camarade et lui offrit un grand sourire satisfait. Ils avaient réussi à trouver ce que dissimulait ce parc, ne restait plus qu'à voir de quoi il s'agissait.
Vide. La cachette était tout simplement vide de tout objet. La cavité ouverte était assez grande pour contenir un petit chaudron. Le brun s'approcha et avança son bras, tâtonnant à l'intérieur en se disant que la chose cachée là était peut-être invisible, mais rien. Il émit un petit grognement de frustration et observa plus attentivement la cavité. Il y avait quelques traces brunâtres et noirâtres ici et là, et la pierre semblait avoir été grattée par quelque chose sur le bas.
Ne s'avouant pas vaincu, Audric sortit sa propre baguette magique et, après avoir expiré, tapota un peu partout dans l'espoir de voir une nouvelle ouverture se dévoiler. Voyant que rien ne fonctionnait, il recula et tapa rageusement du pied.
« Stupides règles... » Il n'avait pas vraiment une idée de sortilège à lancer, mais si au moins il avait pu tenter il l'aurait fait volontiers. Il était stupide mais pas au point de risquer de se faire virer de Poudlard pour si peu. Mais ce "si peu" l'agaçait bien plus qu'il ne voulait l'avouer. Depuis combien de temps l'emplacement était-il vide?
Il rangea rapidement sa baguette au fond de son sac avant de se tourner vers sa camarade. « Au final il y avait bien quelque chose, mais il a déjà été trouvé. » Cela ne servait pas vraiment de lui rapporter ce qu'elle devait déjà avoir constaté, mais il était tellement frustré qu'il fallait qu'il en parle. « C'est vraiment nul... »
Il n'avait à présent plus qu'une hâte : rentrer chez lui et bouder dans son coin un moment. Il reprendrait ses recherches plus tard sur d'autres lieux, après tout s'il y avait quelque chose ici pourquoi pas ailleurs? En espérant qu'il arrive le premier la prochaine fois.
« Au fait j'm'appelle Audric. » se présenta-t-il finalement. « Je pense qu'il y a d'autres cachettes de ce genre dans Londres. On pourrait aller vérifier ça un autre jour si tu veux? Je dois avouer que je n'y serais pas parvenu sans toi aujourd'hui. » C'est qu'elle en savait des choses, et le fait qu'elle soit plus âgée que lui n'en était pas la seule cause. Il n'était pas encore assez fou pour croire qu'il y arriverait seul, du moins pas après cet après-midi.
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Mystères verts
La pierre glissa complètement avec un raclement désagréable qui montra que ce genre de mécanisme n’était pas toujours conçu pour rester dans le temps, il aurait fallu faire des rouages tournant avec beaucoup plus de fluidité. Cependant ce n’était pas le moment de faire des reproches muets au concepteur de cette cache. Tant que l’objet mystère était bien conservé. La petite Swan avait les yeux grands ouverts, prête à exhumer une découverte extraordinaire. Ou pas. Ce fut le vide que son regard gris rencontra, une cavité terne et dépourvue du moindre contenu. Alors que, les sourcils froncés, Phœbe s’interrogeait déjà sur la nature des visiteurs qui avaient devancé les deux adolescents enquêteurs, son camarade admettait bien plus difficile de ressortir bredouille de cette enquête, de ces recherches. Elle le vit se démener et farfouiller dans la cavité, comme si quelque chose allait soudainement apparaître. L’adolescente voyait bien qu’un passage antérieur avait eu lieu, et la statue avait déjà été pillée, bien qu’elle ignore quand exactement. Qui pouvait être le premier à avoir percé le secret de cette cache, et courait-il toujours…
L’étudiante avait déjà rangé et dissimulé sa baguette magique à présent qu’elle n’en avait pas besoin, il ne fallait pas attirer l’attention. Le garçon prit un peu plus de temps, et la jeune magicienne craignit un instant qu’il ne s’emporte au point de pratiquer la magie hors de Poudlard, ce qui aurait été préjudiciable. Cependant il fourra son instrument en bois dans ses affaires et se contint. Il exprima son désarroi, ce à quoi Phœbe répondit par un hochement de tête, c’était vraiment dommage d’avoir fait chou blanc après tout ce cheminement. Elle était parvenue à rentrer dans cet état d’esprit de recherche et tout était retombé à plat si vite.
« Ouais c’est dommage qu’on ait manqué ce contenu. Surtout après… tout ce que nous avions fait. »
De façon parfaitement inattendue le jeune homme se calma un peu et se présenta alors. La petite Swan resta muette un court moment. Durant tout ce temps elle avait ignoré à qui elle avait affaire, et ne connaissait pas même son prénom, ce ne fut qu’à ce moment qu’elle l’apprit. Les consonances étaient intéressantes, Phœbe sentit qu’elle devait en retour aussi dévoiler le sien.
« Enchantée Audric. Quelle manque de courtoisie de ma part de se lancer dans cette recherche sans un mot sur… Enfin… Je m’appelle Phœbe. »
Audric lui fit alors une petite proposition qui, la petite Swan devait se l’avouer, était plutôt attirante. Elle hésita pourtant avant de répondre.
« C’est possible, Londres est une ville relativement vieille, et riche. Un autre jour peut-être… C’était un travail d’équipe ce qu’on a accompli, tu as autant apporté que moi, je n’ai pas tellement de mérite. »
La Serpentard eut un petit sourire gêné, s’il affirmait qu’il n’y serait parvenu sans elle, il en allait certainement de même dans l’autre sens. Pour ce qui concernait de genre d’enquête, ils étaient complémentaires, et elle devait reconnaître que son camarade avait eu des intuitions très intéressantes.
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L’étudiante avait déjà rangé et dissimulé sa baguette magique à présent qu’elle n’en avait pas besoin, il ne fallait pas attirer l’attention. Le garçon prit un peu plus de temps, et la jeune magicienne craignit un instant qu’il ne s’emporte au point de pratiquer la magie hors de Poudlard, ce qui aurait été préjudiciable. Cependant il fourra son instrument en bois dans ses affaires et se contint. Il exprima son désarroi, ce à quoi Phœbe répondit par un hochement de tête, c’était vraiment dommage d’avoir fait chou blanc après tout ce cheminement. Elle était parvenue à rentrer dans cet état d’esprit de recherche et tout était retombé à plat si vite.
« Ouais c’est dommage qu’on ait manqué ce contenu. Surtout après… tout ce que nous avions fait. »
De façon parfaitement inattendue le jeune homme se calma un peu et se présenta alors. La petite Swan resta muette un court moment. Durant tout ce temps elle avait ignoré à qui elle avait affaire, et ne connaissait pas même son prénom, ce ne fut qu’à ce moment qu’elle l’apprit. Les consonances étaient intéressantes, Phœbe sentit qu’elle devait en retour aussi dévoiler le sien.
« Enchantée Audric. Quelle manque de courtoisie de ma part de se lancer dans cette recherche sans un mot sur… Enfin… Je m’appelle Phœbe. »
Audric lui fit alors une petite proposition qui, la petite Swan devait se l’avouer, était plutôt attirante. Elle hésita pourtant avant de répondre.
« C’est possible, Londres est une ville relativement vieille, et riche. Un autre jour peut-être… C’était un travail d’équipe ce qu’on a accompli, tu as autant apporté que moi, je n’ai pas tellement de mérite. »
La Serpentard eut un petit sourire gêné, s’il affirmait qu’il n’y serait parvenu sans elle, il en allait certainement de même dans l’autre sens. Pour ce qui concernait de genre d’enquête, ils étaient complémentaires, et elle devait reconnaître que son camarade avait eu des intuitions très intéressantes.
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Mystères verts
La jeune fille qui l'avait aidé semblait mieux digérer la défaite que lui. Bien sûr elle n'était pas totale : ils avaient réussit à prouver que le parc dissimulait bel et bien quelque chose. Et aussi que ce quelque chose était lié de très prêt à la magie. Mais pour le brun c'était d'autant plus frustrant de découvrir une cachette vide.
Lorsqu'elle parla enfin, il comprit qu'elle pensait comme lui sur ce point, mais le dissimulait bien mieux que lui. Peut-être était-ce parce qu'il était plus jeune qu'il ne parvenait pas à contenir sa colère, s'il n'avait pas été entouré de plusieurs personnes il aurait certainement laissé sa frustration s'échapper en grognant et en frappant tout ce qui se trouvait à sa portée (arbres, pancartes, statues,...).
C'est sûrement pour cette raison qu'il sauta du coq à l'âne et se présenta, imité par sa camarade qui sembla s'excuser de ne pas lui avoir demander son nom plus tôt. Mais lui non plus ne s'était pas inquiété de l'identité de sa partenaire, trop prit dans la recherche de la cachette magique. Il leva la main comme pour signifier que ce n'était rien, et acquiesça en entendant le prénom de la jeune fille. Il le nota dans un coin de son esprit : Phœbe, camarade de recherche des mystères magiques.
Cette dernière eût un moment d'hésitation face à sa proposition, de même elle n'accepta pas réellement, sans pour autant exprimer son refus contre cette idée. Il n'était pas d'accord avec elle sur le dernier point, mais n'en dit rien. Le garçon aux yeux vairons trouvait au contraire qu'il n'avait en rien été d'une quelconque aide dans cette histoire, et que la jeune fille y serait certainement parvenue sans lui au final. Ce qui n'était pas du tout vrai à l'inverse.
A la place il lui sourit et hocha la tête. « Très bien, alors on verra la prochaine fois si nos recherches nous mènent au même endroit. Nous pourrons tout mettre en commun plus tard si tu es d'accord. » Pour sa part il avait plutôt hâte de reprendre les recherches, enfin plutôt de trouver quelque chose cette fois. Mais pas aujourd'hui, il choisit plutôt de prendre congé et de rentrer tranquillement chez lui. Il ne réfléchit pas plus que cela à la difficulté qu'il pourrait rencontrer pour la joindre plus tard, ne cherchant pas plus loin au fait qu'elle était elle aussi une sorcière et donc -logiquement pour lui- élève à Poudlard. Et il n'y avait certainement pas des centaines de Phœbe à l'école de magie.
« Et bien au revoir Phœbe, merci de m'avoir aidé dans cette recherche. C'est dommage qu'il n'y ai rien eût là dedans, mais la prochaine sera certainement la bonne. J'espère qu'on pourra se retrouver vite pour démêler tout cela. » Il la salua de la main gauche et s'éloigna, se retournant une fois pour lui adresser un sourire complice avant de continuer sa route dans les rues de la ville. Une fois chez lui il alla directement dans sa chambre, jeta son sac sur son bureau et se jeta sur son lit. Il répondit de façon très vague à sa mère qui lui demanda comment s'était passé son après-midi avant de se plonger dans la lecture d'un nouveau roman.
Le lendemain seulement, il reprendrait ses recherches sur les mystères que Londres pouvaient bien dissimuler aux moldus, avant de réfléchir s'il embêterait à nouveau Phœbe.
Fin du Rp pour moi, merci beaucoup pour le partage. Au plaisir d'en refaire un avec toi!
Je te présentes à nouveau toutes mes excuses pour tous les retard et mon oubli.
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Lorsqu'elle parla enfin, il comprit qu'elle pensait comme lui sur ce point, mais le dissimulait bien mieux que lui. Peut-être était-ce parce qu'il était plus jeune qu'il ne parvenait pas à contenir sa colère, s'il n'avait pas été entouré de plusieurs personnes il aurait certainement laissé sa frustration s'échapper en grognant et en frappant tout ce qui se trouvait à sa portée (arbres, pancartes, statues,...).
C'est sûrement pour cette raison qu'il sauta du coq à l'âne et se présenta, imité par sa camarade qui sembla s'excuser de ne pas lui avoir demander son nom plus tôt. Mais lui non plus ne s'était pas inquiété de l'identité de sa partenaire, trop prit dans la recherche de la cachette magique. Il leva la main comme pour signifier que ce n'était rien, et acquiesça en entendant le prénom de la jeune fille. Il le nota dans un coin de son esprit : Phœbe, camarade de recherche des mystères magiques.
Cette dernière eût un moment d'hésitation face à sa proposition, de même elle n'accepta pas réellement, sans pour autant exprimer son refus contre cette idée. Il n'était pas d'accord avec elle sur le dernier point, mais n'en dit rien. Le garçon aux yeux vairons trouvait au contraire qu'il n'avait en rien été d'une quelconque aide dans cette histoire, et que la jeune fille y serait certainement parvenue sans lui au final. Ce qui n'était pas du tout vrai à l'inverse.
A la place il lui sourit et hocha la tête. « Très bien, alors on verra la prochaine fois si nos recherches nous mènent au même endroit. Nous pourrons tout mettre en commun plus tard si tu es d'accord. » Pour sa part il avait plutôt hâte de reprendre les recherches, enfin plutôt de trouver quelque chose cette fois. Mais pas aujourd'hui, il choisit plutôt de prendre congé et de rentrer tranquillement chez lui. Il ne réfléchit pas plus que cela à la difficulté qu'il pourrait rencontrer pour la joindre plus tard, ne cherchant pas plus loin au fait qu'elle était elle aussi une sorcière et donc -logiquement pour lui- élève à Poudlard. Et il n'y avait certainement pas des centaines de Phœbe à l'école de magie.
« Et bien au revoir Phœbe, merci de m'avoir aidé dans cette recherche. C'est dommage qu'il n'y ai rien eût là dedans, mais la prochaine sera certainement la bonne. J'espère qu'on pourra se retrouver vite pour démêler tout cela. » Il la salua de la main gauche et s'éloigna, se retournant une fois pour lui adresser un sourire complice avant de continuer sa route dans les rues de la ville. Une fois chez lui il alla directement dans sa chambre, jeta son sac sur son bureau et se jeta sur son lit. Il répondit de façon très vague à sa mère qui lui demanda comment s'était passé son après-midi avant de se plonger dans la lecture d'un nouveau roman.
Le lendemain seulement, il reprendrait ses recherches sur les mystères que Londres pouvaient bien dissimuler aux moldus, avant de réfléchir s'il embêterait à nouveau Phœbe.
Fin du Rp pour moi, merci beaucoup pour le partage. Au plaisir d'en refaire un avec toi!
Je te présentes à nouveau toutes mes excuses pour tous les retard et mon oubli.
Je suis d'accord avec la signature d'Amaryllis.
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. Audsée un jour, Audsée toujours! Un jour Jonois resplendira."
Mystères verts
Visiblement Audric, sa nouvelle connaissance ne paraissait pas plus gênée que ça par son manque de courtoisie, et son geste détendit un peu Phœbe qui avait ce petit doute sur la façon donc cela avait été perçu. Les deux camarades s’étaient tout les deux laissés embarqués complètement dans leur enquête qu’aucun ne s’était soucié du détail de savoir à qui ils pouvaient bien avoir affaire. Dans un autre contexte il était important de ne pas s’approcher de trop près d’étrangers, du moins pas sans connaître au moins quelques informations, mais dans ce cas de figure, la petite Swan n’avait pas vu de danger ni ne s’était méfié.
Le garçon aux yeux vairons fit un signe acquiescement par rapport à la réponse de l’adolescente et se proposa en binôme de recherche si d’aventure à l’avenir ils souhaitaient s’attaquer à un même mystère et s’y retrouvaient. Cette perspective paraissait séduisante pour Phœbe, qui ne disait pas non à la résolution de mystère en compagnie de cet autre esprit qui appréciait tout autant les défis en la matière que la jeune sorcière verte et argent.
Étant donné que son camarade était aussi sorcier, la petite Swan s’imagina qu’elle risquerait de tomber à nouveau sur lui dans les couloirs de Poudlard. Au moins le rencontrer pour la première fois hors des murs du château pouvait changer leurs rapports entre élèves, peut-être de façon positive ? Si cela permettait d’écarter les sujets sur l’école, les questions de compétitions et les cours, elle était pour.
Déjà son compagnon dû prendre congé et salut, de la main gauche l’adolescente. Celle-ci se demandait si cela signifiait qu’il était gaucher, tout comme elle, où si c’était tout simplement un signe fortuit.
« Au revoir Audric ! Je t’en prie, merci à toi aussi. Nous nous retrouverons certainement autour d’un autre mystère à résoudre en duo. »
À son tour Phœbe tourna le dos et partit en direction opposée. Elle marcha à travers de nombreuses allées avant de quitter ce parc moldu de Londres. Après quoi elle déambula dans les rues de la capitale pour rejoindre la partie sorcière de la ville, autrement dit le Chemin de Traverse. La jeune sorcière n’était pas certaine de connaître le chemin par cœur et avait une petite boussole pour s’orienter, les passants ne pourraient de toute façon pas la guider si elle demandait l’emplacement du Chaudron Baveur.
Après quelques culs-de-sac, détours, et carrés effectués, la petite Swan reconnut enfin la porte du carrefour londonien, qu’elle poussa pour entrer dans l’endroit chaleureux, où des membres de sa famille l’attendaient. Quand elle arriva à eux, elle ne s’attarda pas particulièrement sur ses aventures de la journée et s’éclipsa sans trop d’explications.
Éternelle nouvelle Lune
Sombre Ciel
Le garçon aux yeux vairons fit un signe acquiescement par rapport à la réponse de l’adolescente et se proposa en binôme de recherche si d’aventure à l’avenir ils souhaitaient s’attaquer à un même mystère et s’y retrouvaient. Cette perspective paraissait séduisante pour Phœbe, qui ne disait pas non à la résolution de mystère en compagnie de cet autre esprit qui appréciait tout autant les défis en la matière que la jeune sorcière verte et argent.
Étant donné que son camarade était aussi sorcier, la petite Swan s’imagina qu’elle risquerait de tomber à nouveau sur lui dans les couloirs de Poudlard. Au moins le rencontrer pour la première fois hors des murs du château pouvait changer leurs rapports entre élèves, peut-être de façon positive ? Si cela permettait d’écarter les sujets sur l’école, les questions de compétitions et les cours, elle était pour.
Déjà son compagnon dû prendre congé et salut, de la main gauche l’adolescente. Celle-ci se demandait si cela signifiait qu’il était gaucher, tout comme elle, où si c’était tout simplement un signe fortuit.
« Au revoir Audric ! Je t’en prie, merci à toi aussi. Nous nous retrouverons certainement autour d’un autre mystère à résoudre en duo. »
À son tour Phœbe tourna le dos et partit en direction opposée. Elle marcha à travers de nombreuses allées avant de quitter ce parc moldu de Londres. Après quoi elle déambula dans les rues de la capitale pour rejoindre la partie sorcière de la ville, autrement dit le Chemin de Traverse. La jeune sorcière n’était pas certaine de connaître le chemin par cœur et avait une petite boussole pour s’orienter, les passants ne pourraient de toute façon pas la guider si elle demandait l’emplacement du Chaudron Baveur.
Après quelques culs-de-sac, détours, et carrés effectués, la petite Swan reconnut enfin la porte du carrefour londonien, qu’elle poussa pour entrer dans l’endroit chaleureux, où des membres de sa famille l’attendaient. Quand elle arriva à eux, elle ne s’attarda pas particulièrement sur ses aventures de la journée et s’éclipsa sans trop d’explications.
Reducio
De même, fin du RP, merci à toi Audric.
Au plaisir de se voir une autre fois
Au plaisir de se voir une autre fois
Éternelle nouvelle Lune
Sombre Ciel