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02 mai 2018, 20:51
Confession fugueuse  Pv 
Ce RP fait suite à celui-ci et après celui-là.

Juliette marchait dans la rue, avec son sac posé sur son dos. Elle était fatiguée et son pas se faisait traînant, et elle trouvait son sac trop lourd. 

Heuresement qu’Emma avait été là pour la prévenir qu’une fugue était horrible, comme ça elle ne pouvait s’en vouloir qu’à elle-même. 

Pourtant, il était hors de questions de retourner chez elle, ça serait déclarer forfait, et donner raison à son père, ce qu’elle ne voulait pas. 

Ses jambes se fatiguaient, et son moral baissait. Une seule raison à tout cela : la faim. Elle était affamée, et ne savait pas où elle était. 

En passant devant une boulangerie, elle resta quelques secondes devant la vitrine avant de craquer. Elle ressortit avec un croissant bien doré. 

Une fois le ventre plein, elle regarda autour d’elle : il y avait beaucoup trop de monde autour d’elle, quelqu’un la reconnaîtrait.

Mais elle fut étonnée de voir que personne ne se jetais sur elle en ciant : « c’est elle, c’est la fille Johnson ! ». Son père n’avait donc sûrement pas encore alerté la police Moldue. 

Par contre, les sorciers, eux, doivent être au courant : son père a dû penser qu’elle irait directement au Chaudron Baveur. 

Du coup, dormir au Chaudron paraissait d’un coup plus compliqué, d’autant plus qu’il devait y avoir des camarades à elle et des professeurs qui la reconnaîtraient, et qui se demanderaient pourquoi elle est seule. 

Une seule solution : rester dans le monde Moldu. Oui, mais où ?
Dernière modification par Juliette Johnson le 03 mai 2018, 14:46, modifié 1 fois.

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Je suis une Renaudette, parce que je suis Morgane de toi, et qu’You are belle and I are beau !
Jo’family :cute:

03 mai 2018, 10:53
Confession fugueuse  Pv 

Rias Hearz, 15 ans, Cracmole. Née d'une mère sorcière et d'un père Moldu.


Le soucis avec l'ennui, c'est qu'il était très difficile de s'en défaire. Même un bon livre n'y arrivait pas. Rias avait opté pour une balade dans Londres, à cette heure-ci les rues étaient presque vides, si on peut dire ça des rues de Londres, et le temps était plutôt clément après quelques jours de pluie. Elle marchait depuis une quinzaine de minutes sans but précis, appréciant seulement le doux souffle du vent qui lui balayait le visage. Finalement, parce que marcher ça creuse, elle passa en coup de vent dans une boulangerie, manquant de renverser quelqu'un qui en sortait. C'était une petite fille. Brune aux grands yeux bleu. Seule. Oubliant totalement la faim qui lui tiraillait l'estomac, elle se précipita à ses trousses. Elle semblait terrorisée par ce qui l'entourait et le grand sac qu'elle avait sur le dos laissait peu de place à l'imagination. Une fugue. Était-elle idiote ? Il n'était pas bon pour une enfant de rester seule dans les rues de Londres. Surtout quand on était si mignonne. Comme chaque grandes villes, Londres était remplie de personnes malhonnêtes qui feraient tout pour quelques dollars, y compris faire du mal à un enfant. Un être pur.

En quelques enjambées seulement, elle fut au niveau de la brune et lui agrippa le bras violemment pour l'emporter dans un endroit moins fréquenté. Le but de cette action était clairement de lui faire peur. C'était le seul moyen de lui prouver combien la ville pouvait être dangereuse. Sans la libérer, elle l'assit de force sur un banc qui grinça sous son poids. Rias, le regard dur, ce mit à genoux pour bien voir l'autre.


« Es-tu folle ? Qu'est-ce qui te prends de faire ça, et à Londres encore plus ! »

Elle souffla. Et s'il lui était arrivé quelque chose ? A-t-elle au moins un téléphone pour prévenir la police ou les pompiers ? Quelle idée de se montrer comme ça devant tout le monde. On voyait clairement dans son regard qu'elle était perdue, il lui aurait suffit de tomber sur un policier pour que sa fugue tombe à l'eau. Elle ne voulait pas l'encourager, mais lui expliquer comment passer inaperçue serait peut-être une bonne chose. En attendant, elle avait l'air affamée et ce n'est pas le pauvre croissant que Rias l'avait vu acheter qui allait la satisfaire. Elle s’écarta de quelques centimètres avant de se lever et de commencer à s'éloigner. Elle sortit de son sac son porte-feuilles avant de se retourner.


« Tu ne bouges pas, je vais nous chercher quelque chose à manger. »

Elle continua son chemin jusqu'à la boulangerie où les deux s'étaient croisées et acheta en quatrième vitesse deux sandwich et des boissons avant de revenir, pratiquement en courant, jusqu'au banc où l'autre était censée se tenir. Elle espérait de tout cœur qu'elle l'avait écouté et qu'elle n'avait pas bougé. Elle bouscula quelques personnes et ne prit que quelques secondes de son temps pour s'excuser. Elle avait mieux à faire. Chance ou malchance, la petite fille était encore assise sur le banc et elle lui déposa doucement le paquet sur les genoux. Qu'est-ce qui l'avait poussé à partir de chez elle ? Orpheline, peut-être ? Elle ne devait même pas avoir 13 ans alors toutes les options étaient possibles et donc, à vérifier.

« Manges, c'est pas empoisonné. Ton nom ? »

" Celui qui écoute comprend, ce que ne saisit pas toujours celui qui entend ... "

03 mai 2018, 15:19
Confession fugueuse  Pv 
Alors que Juliette sortait de la boulangerie, et qu’elle s’apprêtait à croquer dans son croissant, une main lui agrippa l’épaule et la tira vers une rue presque vide. 

Elle avait eu peur. Et si ça avait été une personne mal intentionnée ? Mais après avoir vu la personne, elle parut rassurée : c’était une fille d’une quinzaine d’années, au cheveux coupés aux épaules et aux yeux gris.

La Gryffonne se massa l’épaule, car la jeune fille l’avait attrapé à l’épaule très fort. Elle demanda, presque en criant avec réprimande, comme une mère à son enfant :

« Es-tu folle ? Qu'est-ce qui te prends de faire ça, et à Londres encore plus ! ».

Elle poussa un soupir. Était-elle essoufflée ? Essayait-elle de se calmer ? La brunette regarda l’étrange fille devant elle. Elle avait l’air si gentille, pourquoi avait-elle fait ça ?

Quelques secondes pous tard, le regard de la jeune fille descendit sur le croissant de Juliette, elle avait l’air d’avoir faim. 

Avant que la brunette n’est eu le temps d’expliquer que c’était une fugue, ni de lui proposer un bout de croissant, la fille façe à elle partit, disant vouloir acheter de la nourriture, et la priant de rester sur place. 

Bien qu’elle voyait que la fille ne lui voulait pas de mal, elle hésita à partir, mais finalement resta sur place : elle allait être gentille, en lui achetant à manger, elle n’allait pas partir ainsi !

Lorsqu’elle revint, la jeune femme lui tendit un sandwich et lui donna une boisson. 

« Mange, c’est pas empoisonné. Ton nom ? », demanda-t-elle d’une voix sèche et douce à la fois.

 Juliette se désaltéra et dit un simple « Merci ». Ensuite, elle se sentit observée : le brune assise à côté de la Gryffonne la scrutait. 

« J’ai... J’ai fugué. Et je m’appelle Juliette. N’appelle pas la police, s’il te plaît ! J’ai assez souffert chez lui... », dit d’elle d’une voix qui se faisait implorante au début et dure à la fin.

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04 mai 2018, 11:07
Confession fugueuse  Pv 
Souffrance. Avait elle été battue ? Qui sait, le monde était rempli de gens qui ne se gêneraient pas pour faire du mal à un enfant si ça pouvait les défouler. Elle espérait vraiment qu'elle comprenait mal les paroles de la petite fille à ses côtés qui buvait goulûment l'eau qu'elle lui avait offert. Sa main bougea d'elle même et se posa distraitement sur l'épaule de l'autre. Sa première impression était bien la bonne, elle avait fugué, il ne restait plus qu'à comprendre pourquoi. Orpheline ou fille battue ? Peut-être les deux. Elle fit doucement remarquer à l'autre qu'elle avait comprit qu'elle avait fugué dès qu'elle l'avait vu sortir de la boulangerie. Avait-elle un endroit où dormir ? Et depuis combien de temps était elle dehors ? Elle ne semblait pas encore recherchée par la police alors soit elle était une sorcière, comme ça mère, soit elle n'était pas partie depuis longtemps.

« Depuis combien de temps es-tu dehors ? »

Le souvenir du début de la phrase de la fillette lui revint en pleine face. Elle avait souffert durant son passé mais, à vu d’œil, elle ne semblait pas blessée. À moins que les bleus de soient cachés sous ses vêtements et là, ce serait beaucoup plus difficile de voir l'étendue des dégâts. Elle ne lui faisait pas encore assez confiance pour l’emmener chez elle, de plus, si elle était moldue, elle trouverait étrange les affaires de sa mère qui peuplaient la maison. Elle ne connaissait que deux sorts car sa mère lui avait apprit que si elle les entendait un jour, elle devrait courir le plus loin possible sans s'arrêter. Elle ne se souvenait que d'un. Le ''Doloris''. Aucune idée de son effet mais il ferait tiquer l'autre à coup sûr. Elle devrait le placer dans une phrase pour savoir si l'autre était une sorcière ou non.

« Est-ce que ce ''lui'' t'a fait du mal ? »

En manque d'idée, elle traça le mot dans la poussière qui peuplait le sol. Si l'autre lui demandait quelque chose concernant le mot, elle pourrait deviner si elle était magique ou non. Il y avait aussi le problème de sa fugue qu'elle ne semblait pas vouloir expliquer. Si ça se trouve, c'est un guet-apens et elle n'a pas vraiment fugué. Les enfants font des blagues tellement douteuses de nos jours qu'il est devenu dur de différencier la vérité d'un mensonge. Surtout qu'elle semble tellement innocente que tout ce qui sort de sa bouche doit être cru alors il doit être facile pour elle de plaisanter sans être remarquée par son entourage.

" Celui qui écoute comprend, ce que ne saisit pas toujours celui qui entend ... "

04 mai 2018, 11:56
Confession fugueuse  Pv 
Juliette sentit une main sur son épaule. L’autre essayait de la réconforter. Elle, elle était gênée : se faire payer des choses sans rien donner en retour, ce n’était pas un habitude qu’elle avait. 

La fille se posait sûrement des questions sur l’état de sa fugue. Si Juliette devait lui expliquer, elle savait déjà quoi dire. Mais elle ne le dirait seulement si sa « kidnappeuse » lui posait cette question. 

Depuis combien de temps elle était dehors ? Elle n’en savait rien, peut-être une heure ou deux. Le temps passait si lentement depuis... la mort. 

Le soleil était grand dans le ciel. Il faisait chaud. Il faisait bon. Mais alors, pourquoi Juliette avait-elle froid ? 

« Parce que je suis une pleurnicheuse. Une horrible petite égocentrique et méchante. Je te fais dépenser ton argent, je t’occupe, je te... je te gâche ton après-midi. Je ne vaut rien. », dit Juliette. 

Mais bien sûr, elle se dit ça à elle-même. Elle se trouvait incapable et nulle. Elle ne servait à rien. Elle commençait presque à comprendre les motivations de Cassiopée de s’infligeait ça. 

En attendant, la fille attendait une réponse, une réponse que la Gryffonne était incapable de donner. Elle ne savait pas quand elle était partie. Elle était perdue. 

« Est-ce que ce lui t’a fait mal ? », demanda encore la fille.

Le temps que Juliette réfléchit à une réponse la plus vraie possible, la fille écrit quelque chose devant elle. Mais quoi ? La brunette n’arrivait pas à lire. 

« Non. Mon père ne m’aurait jamais fait du mal. Du moins, pas volontairement. C’est pas lui le problème. C’est sa famille. Enfin, ma belle-famille. Ma demi-sœur, je l’ai rencontrée il y a quelques heures. Mon père s’est marié un jour où j’étais à l’école, sans même me prévenir. Il ne m’a pas non plus prévenu quand ma mère était mourante. C’est moi qui me fait mal. », dit Juliette. 

Ça y était ! La jeune fille avait déchiffré l’écriture au sol : « Doloris ». Elle était donc sorcière. Mais elle n’avait pas l’air d’avoir plus de dix-sept ans, et la Gryffonne ne l’avait jamais vu à Poudlard...

Et puis, se n’était pas quelque chose qu’on disait ou écrivait en voulant le bien d’une personne... Juliette se décala un peu sur le banc, de façon à voir ou était sa baguette. 

« Tu... T’es qui ? Tu me veux du mal ? Tu sais ce que t’écris, au moins ? », demanda Juliette, pas rassurée.

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04 mai 2018, 14:31
Confession fugueuse  Pv 
Le mot l'avait fait tiquer. Une sorcière, donc. De plus, elle semblait avoir un complexe d'infériorité plutôt développé envers quelqu'un ou quelque chose, sinon, pourquoi avouerait-elle à une inconnue qu'elle se faisait du mal ?Peut-être était-ce là une vaine tentative d'attirer l'attention pour être aidée, ou autre. Sa belle famille, peut-être ? Juliette, elle se souvenait de son nom, semblait totalement paniquée à cause du mot écrit par terre. Elle passa son pied dessus et l'écriture s’effaça comme de la craie sous la pluie. Elle se rapprocha de l'autre encore une fois et, même si Juliette semblait avoir envie de s'enfuir en courant, posa à nouveau sa main sur l'épaule de la brunette. Elle lui fit un petit sourire dans l'espoir que cela enlèverait la peur qu'elle lisait dans son regard.

« Non. Je n'en ai aucune idée. Je suis carcmole. Mais au moins maintenant je sais que tu es une sorcière. Rias, c'est mon nom. Enchantée. »

C'était un peu étrange de se présenter dans cette situation mais, perdu pour perdu, autant tenter quelque chose. Réalisant la bombe qu'elle avait lâché, elle regarda compulsivement autour d'elle. Heureusement, personne ne semblait avoir entendu. Sans un mot, elle se releva pour s’accroupir une fois de plus devant l'autre. Ses mains serraient gentiment ses genoux avant d'aller se perdre sur ses bras. Elle remonta calmement les manches de la sorcière pour voir ses bras, priant tout les dieux qu'elle connaissait de ne rien y trouver. Et c'est ce qu'elle fit. Avec un soupire de soulagement elle remarqua les bras fins de l’autre totalement vierges de toutes marques quelles qu'elles soient. Elle rabaissa les manches silencieusement avant de s'affaler sur le banc, tout énergie l'ayant quitté.

« Je ne comprend pas vraiment pourquoi tu as décidé de fuguer. N'es-tu pas heureuse d'avoir une autre famille ? »


Elle n'avait aucune idée de ce que l'autre pouvait ressentir. Sa famille n'avait pas de problèmes et ils étaient heureux tout les trois, son père, sa mère et elle. Pourquoi serait-ce différent pour l'autre ? Elle avait certes, perdue sa mère -probablement- mais pourquoi voudrait-elle perdre son père également ? N'étaient-ils pas censés se soutenir moralement dans ces moments là ? Et pourquoi n'était-elle pas heureuse que son père ai retrouvé le bonheur ? Même si c'est avec une autre femme, elle devrait le soutenir dans ce choix, pas s’échapper comme une voleuse.

« Tu sais, fuguer n'est pas la meilleure solution pour dire à ton père que tu vas mal. »

Il y avait tellement d'autres options. Lui parler seul à seul était la plus difficile mais aussi la plus efficace, pourquoi n'avait-elle pas fait ça ? Elle aurait pu au moins écrire une lettre ou un message si c'était trop compliqué de parler mais fuguer était une solution affreuse. Et ce, pour les deux côtés. Elle se faisait encore plus de mal en s’éloignant de sa famille et en plus elle faisait du mal à son père qui ne devait déjà pas supporter la mort de son ancien amour. Décidément, malgré toutes ses tentatives de compréhensions, toute cette histoire restait un mystère complet pour elle. Quand elle y pensait, l'autre faisait sûrement une dépression. Sauf tout le respect qu'elle devait à l'Humain, elle n'était vraiment pas douée pour réconforter quelqu'un ou lui redonner goût à la vie. Elle était plus du genre à offrir une solution qu'un soutient émotionnel et elle doutait franchement que c'était ce dont l'autre avait besoin.

" Celui qui écoute comprend, ce que ne saisit pas toujours celui qui entend ... "

04 mai 2018, 19:49
Confession fugueuse  Pv 
Juliette, toujours apeurée, scrutait la jeune fille. Elle ressemblait à quelqu’un... Quelqu’un quel connaissait. Mais la jeune fille se présenta. Une cracmole. Elle ne pouvait donc pas lancer de sorts. 

« Tu... Ce sort... C’est le sort de douleur. Il est interdit. », dit la brunette, se rapprochant un peu. 

La fille ne prit pas en compte les paroles de la brunette, ou elle ne les entendit pas, ou elle était très - trop, beaucoup trop - neutre.

Rias semblait préoccupée. Elle s’approcha de Juliette, s’agenouilla, et remonta doucement les manches de la Gryffonne - comme pour ne pas la brusquer -, et inspecta. 

Lorsqu’elle eut fini, elle eut l’air soulagée. Comme si son sort l’importait. Comme si quelqu’un s’interessait à elle. 

Voilà la question piège. Pourquoi avait-elle fugué ? 

C’est tout simple : parce que, parfois, la vie n’est pas toute bisounours et câlins. Voilà pourquoi. Et, non, ma nouvelle famille n’est pas aussi belle qu’une famille modèle. », dit la brunette, avec un ton trop dur. 

À présent, Juliette voulait partir. Elle n’avait plus rien à faire avec cette Rias. Sa vie lui appartenait, à elle et à elle seule. Qu’elle fugue ou pas, ce n’était pas son problème. 

Mais comment sortir ça à une personne qui semblait si gentille, si fragile, si prévenante ? Et surtout, une personne qui s’intéressait à elle ?

« Mon père se fiche de moi. Il a une femme, et une nouvelle fille, alors il n’a pas besoin de moi. Il ne m’a jamais fait de mal physiquement, certe, mais mentalement et oralement, il m’en a fait,  même sans le vouloir. C’est pas sa faute, c’est la mienne. Maintenant, laisse-moi. S’il te plaît. ».

Voilà. C’était annoncé, et lâche. Pour ne pas à avoir à affronter la fille assise près d’elle, Juliette baissa les yeux. 

Encore et toujours, le mal prenait le dessus.

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