La groupie du guitariste
Vacances d'octobre 2043
Tout est mélangé…Les mains plongées dans le bac à vis d’une quincaillerie Londonienne, Chems s’occupait comme il pouvait pour ne pas sombrer dans l’ennuie. Un coup d’œil par-dessus son épaule l’informa que son père n’avait décidément toujours pas décidé si oui ou non, ils pourraient enfin sortir de la boutique de bricolage du quartier de Kentish Town.
De temps en temps, Fehin Daley décidait de descendre sur Londres. Désireux de prospecter la ville et surtout le matériel que l’on pouvait dénicher, rythmé par ses emplois irréguliers et ses passions impétueuses, il venait souvent accompagné et presque jamais seul. Et aujourd’hui, en ce troisième jour de vacance scolaire, c’était Chems qui avait profité de l’occasion pour accompagner son père dans son escapade.
Malheureusement, en sortie pour faire des emplettes, Fehin avait pour fâcheuse habitude de ne pas savoir se décider, et cela résultait en de très longues minutes de contemplation en face de chaque potentiel achat, au grand déplaisir de son impatient de fils, qui finissait par tourné en rond et finalement, déranger le matériel sous le regard prudent des employés du magasin.
Après avoir fait quarante fois le tour complet de la boutique et toucher à à peu près toutes ses marchandises, Chems commençait sérieusement à se lasser. Alors il s'approcha, en trainant des pieds, de la vitre du magasin, et posa grossièrement son front dessus puis resta là, à regarder le mouvement dans la rue.
Scrutant les alentours, ses yeux tombèrent sur la devanture rustique de la boutique d’en face. D’un bleu roi sali par la poussière, il capta après quelques secondes son intéressante marchandise et se redressa instantanément, piqué dans sa curiosité. Un magasin de musique ! L’envie soudaine de traversé la rue pour entrer immédiatement dans la boutique assurément plus fascinante que celle ou il était bloqué maintenant, le saisit, mais malgré ça, il ne s’appliqua pas à sa résolution de suite. À la place, il se dirigea vers son père, toujours aussi immobile, au même endroit où il l’avait laissé.
« Pa’… » Fehin ne broncha pas, mais un bruit de fond de gorge lui indiqua qu’il avait entendu l’interpellation de son fils. Chems enchaîna donc d’une voix affirmée : « Je vais dans le magasin de l’autre côté de la rue. »
Pour la première fois en une demi-heure, Fehin lâcha presque immédiatement l’objet de toute son attention pendant la dernière demi-heure, le visage confus. « Quoi ?»
« Je vai-» voulu répété le garçon, mais il se fit aussitôt stopper par la main de son père, lui indiquant indirectement d’arrêter. « Oui j’ai entendu Chems, souffla Fehin en levant ses lunettes sur sa tête. Pourquoi tu veux aller là-bas ?»
Sérieusement…Fixant son père droit dans les yeux et essayant de communiquer son ennuie monstrueux, Chems haussa les épaules. Il ne cherchait pas une autorisation, il voulait juste prévenir. Il ne s’était pas attendu à ce que son père prenne la déclaration aussi attentivement. « Je veux voir les guitares »
À ça, Fehin expira longuement et ses épaules se tassèrent comme s’il était en proie à une soudaine fatigue terrassante. « Mon garçon…» Chems fronça les sourcils face à cette réaction étrange et ce ton plaignant. Bizarre ça…le Poufsouffle ne pensait pas qu’il refuserait quelque chose comme ça. « On en a parlé sur le chemin, j’ai pris tout juste assez pour quelques charnières, tu le sais » Ouais et ? Chems se creusa la cervelle pour comprendre ou son père voulait en venir. Tout juste assez de...Ah! Ses yeux s’arrondirent de compréhension. Son père pensait que-« Papa je veux juste regarder! » précisa-t-il précipitamment en voyant cette posture à la limite dépité. « Promis » Il s’arrêta avant de dire qu’il s’ennuyait. Assurément, Fehin devait avoir vu que le magasin n’était pas une source d’intérêt pour son fils, mais pour Chems, aller jusqu’à le dire de vive voix devant lui était assez difficile.
Au moins, cela eut le don de détendre considérablement la posture de son père. Mais la discussion n’alla quand même pas dans le sens que Chems avait prévu. «Tu veux pas entendre un petit peu qu’on y aille ensemble ? » Attendre ? Encore ? « Non »
Pas déstabilisé pour un sous par la réponse de son fils, Fehin ricana, replaçant ses lunettes sur son nez alors qu’il se retournait encore une fois vers l’étalage qui l’intéressait tant : « Ça va j’ai compris. Tu peux y aller, fais attention quand tu traverses »
Chems fit volte-face mais un petit détail l’interpella, l’arrêtant dans son élan. « Au faite papa, les charnières sont pas là, elles sont un peu plus loin au cinquième rayons à gauche.»
Le visage de Fehin vira subitement au rouge.
« File voir tes guitares, petit démon. Je peux m’occuper de mes affaires tout seul! »
Chems ne se le fit pas dire de fois. Le sourire large et un minimum reconnaissant, il remercia son père à la volée et se précipita rapidement à l’extérieur de la boutique, ne s’arrêtant que pour vérifier qu’il n’y ait pas de voitures avant de s’avancer vers celle qui lui faisait face, enthousiaste de voir la variété d'instruments à l'intérieur.
«Hob-…hobgoblin ?» C’était un nom chelou. Surtout pour une boutique de musique moldu. Chems poussa quand même la porte, faisant sonné la cloche d’entrée.
In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On
Tout est mélangé…Les mains plongées dans le bac à vis d’une quincaillerie Londonienne, Chems s’occupait comme il pouvait pour ne pas sombrer dans l’ennuie. Un coup d’œil par-dessus son épaule l’informa que son père n’avait décidément toujours pas décidé si oui ou non, ils pourraient enfin sortir de la boutique de bricolage du quartier de Kentish Town.
De temps en temps, Fehin Daley décidait de descendre sur Londres. Désireux de prospecter la ville et surtout le matériel que l’on pouvait dénicher, rythmé par ses emplois irréguliers et ses passions impétueuses, il venait souvent accompagné et presque jamais seul. Et aujourd’hui, en ce troisième jour de vacance scolaire, c’était Chems qui avait profité de l’occasion pour accompagner son père dans son escapade.
Malheureusement, en sortie pour faire des emplettes, Fehin avait pour fâcheuse habitude de ne pas savoir se décider, et cela résultait en de très longues minutes de contemplation en face de chaque potentiel achat, au grand déplaisir de son impatient de fils, qui finissait par tourné en rond et finalement, déranger le matériel sous le regard prudent des employés du magasin.
Après avoir fait quarante fois le tour complet de la boutique et toucher à à peu près toutes ses marchandises, Chems commençait sérieusement à se lasser. Alors il s'approcha, en trainant des pieds, de la vitre du magasin, et posa grossièrement son front dessus puis resta là, à regarder le mouvement dans la rue.
Scrutant les alentours, ses yeux tombèrent sur la devanture rustique de la boutique d’en face. D’un bleu roi sali par la poussière, il capta après quelques secondes son intéressante marchandise et se redressa instantanément, piqué dans sa curiosité. Un magasin de musique ! L’envie soudaine de traversé la rue pour entrer immédiatement dans la boutique assurément plus fascinante que celle ou il était bloqué maintenant, le saisit, mais malgré ça, il ne s’appliqua pas à sa résolution de suite. À la place, il se dirigea vers son père, toujours aussi immobile, au même endroit où il l’avait laissé.
« Pa’… » Fehin ne broncha pas, mais un bruit de fond de gorge lui indiqua qu’il avait entendu l’interpellation de son fils. Chems enchaîna donc d’une voix affirmée : « Je vais dans le magasin de l’autre côté de la rue. »
Pour la première fois en une demi-heure, Fehin lâcha presque immédiatement l’objet de toute son attention pendant la dernière demi-heure, le visage confus. « Quoi ?»
« Je vai-» voulu répété le garçon, mais il se fit aussitôt stopper par la main de son père, lui indiquant indirectement d’arrêter. « Oui j’ai entendu Chems, souffla Fehin en levant ses lunettes sur sa tête. Pourquoi tu veux aller là-bas ?»
Sérieusement…Fixant son père droit dans les yeux et essayant de communiquer son ennuie monstrueux, Chems haussa les épaules. Il ne cherchait pas une autorisation, il voulait juste prévenir. Il ne s’était pas attendu à ce que son père prenne la déclaration aussi attentivement. « Je veux voir les guitares »
À ça, Fehin expira longuement et ses épaules se tassèrent comme s’il était en proie à une soudaine fatigue terrassante. « Mon garçon…» Chems fronça les sourcils face à cette réaction étrange et ce ton plaignant. Bizarre ça…le Poufsouffle ne pensait pas qu’il refuserait quelque chose comme ça. « On en a parlé sur le chemin, j’ai pris tout juste assez pour quelques charnières, tu le sais » Ouais et ? Chems se creusa la cervelle pour comprendre ou son père voulait en venir. Tout juste assez de...Ah! Ses yeux s’arrondirent de compréhension. Son père pensait que-« Papa je veux juste regarder! » précisa-t-il précipitamment en voyant cette posture à la limite dépité. « Promis » Il s’arrêta avant de dire qu’il s’ennuyait. Assurément, Fehin devait avoir vu que le magasin n’était pas une source d’intérêt pour son fils, mais pour Chems, aller jusqu’à le dire de vive voix devant lui était assez difficile.
Au moins, cela eut le don de détendre considérablement la posture de son père. Mais la discussion n’alla quand même pas dans le sens que Chems avait prévu. «Tu veux pas entendre un petit peu qu’on y aille ensemble ? » Attendre ? Encore ? « Non »
Pas déstabilisé pour un sous par la réponse de son fils, Fehin ricana, replaçant ses lunettes sur son nez alors qu’il se retournait encore une fois vers l’étalage qui l’intéressait tant : « Ça va j’ai compris. Tu peux y aller, fais attention quand tu traverses »
Chems fit volte-face mais un petit détail l’interpella, l’arrêtant dans son élan. « Au faite papa, les charnières sont pas là, elles sont un peu plus loin au cinquième rayons à gauche.»
Le visage de Fehin vira subitement au rouge.
« File voir tes guitares, petit démon. Je peux m’occuper de mes affaires tout seul! »
Chems ne se le fit pas dire de fois. Le sourire large et un minimum reconnaissant, il remercia son père à la volée et se précipita rapidement à l’extérieur de la boutique, ne s’arrêtant que pour vérifier qu’il n’y ait pas de voitures avant de s’avancer vers celle qui lui faisait face, enthousiaste de voir la variété d'instruments à l'intérieur.
«Hob-…hobgoblin ?» C’était un nom chelou. Surtout pour une boutique de musique moldu. Chems poussa quand même la porte, faisant sonné la cloche d’entrée.
In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On
La groupie du guitariste
Gray tournait en rond dans le hall du château de ses parents, le bruit de ses pas résonnait dans tout le château, il regardait l’horloge tournée et accélérait de plus en plus :
« Mais qu’est-ce qu’il fait bon sang ! il devrait être là depuis 10 minutes au moins !»
Soudain il entendit des pas, se rapprochant de plus en plus et à allure de plus en plus rapide. Il vit surgir des escaliers son majordome Damian :
« Toute mes excuses monsieur pour mon retard, votre mère m’avait demandé… » avant de pouvoir s’expliquer, le pauvre majordome tout paniqué et haletant ce fit interrompre.
« Damian je m’en fiche allons y maintenant, vous avez intérêt à mis emmener avant la fermeture du magasin » répliqua Gray d’un ton ferme.
« Bien monsieur, suivez-moi »
Gray suivit Damian, qui l’emmena dans la cheminé. Il lança de la poussière en criant « Londres Ouest chemin des Batteurs » La cheminée s’enflamma de flammes vertes et ils arrivèrent dans un coin de rue. Gray secoua sa veste enlevant la poussière, et regarda Damian.
« Bon la prochaine fois on passera par cabine téléphonique, j’en ais assez d’avoir mon costume couvert de poussière »
« Bien monsieur, par ici monsieur » dit Damian en commençant à quitter le petit coin de rue.
Gray le suivi, en mettant les mains dans ses poches, il regarda à droite, à gauche, plein de magasin fort intéressant, allant d’un magasin pour vêtements au magasin de bricolage et autres choses que les moldus aimes bien. Damian vit les yeux balayeurs de Gray et dit en souriant :
« Monsieur voudrait-il acheter autres choses ? »
Gray dévisagea Damian et répondit « Non, ou oui mais pas ici nous retournerons voir ce bon vieux Henks, il faut que je trouve des petites friandises pour Will »
Damian ne put s’empêcher de sourire « Comment va-t-il ? a-t-il grandit ? »
Gray le regarda avec des yeux noirs « Damian les questions ce sera pour plus tard, nous avons un instrument à acheter ».
« Bien monsieur » penseur il regarda de nouveau Gray :
« Quel genre d’instrument voulez-vous acheter monsieur ? vous avez déjà un peu de tout il me semble ? »
« Bon j’ai compris aujourd’hui c’est l’interrogatoire ! et bien j’aimerais me reprendre une guitare électrique, j’ai vue qu’il y avait de nouveaux modèles que j’aimerais bien essayer. » Il regarda Damian « D’autres questions ? »
Damian hésita un instant, était ce une vraie question ou bien devait-il juste se taire, malgré tout il voulait se rapprocher du jeune garçon alors il continua :
« Eh bien comment ce passe votre année à Poudlard ? j’ai entendu dire que vous seriez un Poufsouffle, tout comme mon frère » dit-il en souriant
« Oui en effet, m’enfin si vous aviez des yeux vous l’auriez vue depuis longtemps mon chère Damian » dit-il en montrant son écharpe de couleur jaune et noir.
Damian regarda l’écharpe incrédule, il ne l’avait pas du tout aperçu :
« Oh excusez-moi monsieur »
A force de discuter, les deux hommes arrivèrent enfin devant la boutique, pour le plus grand soulagement de Gray.
« Ah enfin ! nous y sommes. » Damian prit les devants et ouvrit la porte à Gray
« Monsieur » mais Gray était occupé à regarder la devanture
« A ce que je vois Holmes n’a toujours pas refait la devanture, c’est dommage sa rend le magasin moins attractif… » Gray posa ses yeux sur Damian et marcha en sa direction.
« Merci Damian »
Ils entrèrent tous les deux dans le magasin, faisant sonner la petite clochette.
"Nothing ever comes without a consequence or cost"
2ème année RP
« Mais qu’est-ce qu’il fait bon sang ! il devrait être là depuis 10 minutes au moins !»
Soudain il entendit des pas, se rapprochant de plus en plus et à allure de plus en plus rapide. Il vit surgir des escaliers son majordome Damian :
« Toute mes excuses monsieur pour mon retard, votre mère m’avait demandé… » avant de pouvoir s’expliquer, le pauvre majordome tout paniqué et haletant ce fit interrompre.
« Damian je m’en fiche allons y maintenant, vous avez intérêt à mis emmener avant la fermeture du magasin » répliqua Gray d’un ton ferme.
« Bien monsieur, suivez-moi »
Gray suivit Damian, qui l’emmena dans la cheminé. Il lança de la poussière en criant « Londres Ouest chemin des Batteurs » La cheminée s’enflamma de flammes vertes et ils arrivèrent dans un coin de rue. Gray secoua sa veste enlevant la poussière, et regarda Damian.
« Bon la prochaine fois on passera par cabine téléphonique, j’en ais assez d’avoir mon costume couvert de poussière »
« Bien monsieur, par ici monsieur » dit Damian en commençant à quitter le petit coin de rue.
Gray le suivi, en mettant les mains dans ses poches, il regarda à droite, à gauche, plein de magasin fort intéressant, allant d’un magasin pour vêtements au magasin de bricolage et autres choses que les moldus aimes bien. Damian vit les yeux balayeurs de Gray et dit en souriant :
« Monsieur voudrait-il acheter autres choses ? »
Gray dévisagea Damian et répondit « Non, ou oui mais pas ici nous retournerons voir ce bon vieux Henks, il faut que je trouve des petites friandises pour Will »
Damian ne put s’empêcher de sourire « Comment va-t-il ? a-t-il grandit ? »
Gray le regarda avec des yeux noirs « Damian les questions ce sera pour plus tard, nous avons un instrument à acheter ».
« Bien monsieur » penseur il regarda de nouveau Gray :
« Quel genre d’instrument voulez-vous acheter monsieur ? vous avez déjà un peu de tout il me semble ? »
« Bon j’ai compris aujourd’hui c’est l’interrogatoire ! et bien j’aimerais me reprendre une guitare électrique, j’ai vue qu’il y avait de nouveaux modèles que j’aimerais bien essayer. » Il regarda Damian « D’autres questions ? »
Damian hésita un instant, était ce une vraie question ou bien devait-il juste se taire, malgré tout il voulait se rapprocher du jeune garçon alors il continua :
« Eh bien comment ce passe votre année à Poudlard ? j’ai entendu dire que vous seriez un Poufsouffle, tout comme mon frère » dit-il en souriant
« Oui en effet, m’enfin si vous aviez des yeux vous l’auriez vue depuis longtemps mon chère Damian » dit-il en montrant son écharpe de couleur jaune et noir.
Damian regarda l’écharpe incrédule, il ne l’avait pas du tout aperçu :
« Oh excusez-moi monsieur »
A force de discuter, les deux hommes arrivèrent enfin devant la boutique, pour le plus grand soulagement de Gray.
« Ah enfin ! nous y sommes. » Damian prit les devants et ouvrit la porte à Gray
« Monsieur » mais Gray était occupé à regarder la devanture
« A ce que je vois Holmes n’a toujours pas refait la devanture, c’est dommage sa rend le magasin moins attractif… » Gray posa ses yeux sur Damian et marcha en sa direction.
« Merci Damian »
Ils entrèrent tous les deux dans le magasin, faisant sonner la petite clochette.
"Nothing ever comes without a consequence or cost"
2ème année RP
La groupie du guitariste
À peine deux pas dans la boutique Hobgoblin que Chems se prit une mauvaise odeur de renfermé et de poussière dans la figure. Comme une veille cave.
L’intérieur était assez sombre... peut être trop pour distinguer correctement les articles du magasin. À moins d´avoir des yeux de hiboux pour voir dans le noir, Chems ne pouvait pas voir plus loin que ce que la lumière parvenait a éclairé. Dans le cas présent, un vieux bureau de bois que le garçon soupçonna être l’accueil. Il s’en approcha donc à pas de loup. Il était surprit par le calme et l'absence de lumière de la boutique. Peut être que le magasin était fermé... Chems secoua la tête. Quel genre d'ignorant laisserait la porte de son magasin ouvert ? «Bonjour?» s'aventura le garçon en s'engouffrant un peu plus dans le local désert. Forçant la voix, il continua en plissant les yeux vers les espaces d'ombre de la boutique en espérant y voir du mouvement. «Y'a quelqu'un ?»
Encore une fois, seul un silence glaciale lui répondit. Déçu, il dû se rendre à l'évidence: Le magasin devait être abandonnée. Génial, il avait plus qu'à retourner au milieu des boulons et des tournevis...Déjà presque une main sur la poignée de la porte d'entrée qu'une voix flûté sortit subitement de nul part, le faisant faire volte-face, alerte.
«Garçon, qu’est-ce que cela t’évoques quand je te parle d’un bo-truc*» Le coeur au bord des lèvres, Chems détailla avec des yeux effarés l'homme soudainement apparut derrière le bureau, ravalant son cri. Il devait être un peu plus âgé que son père, et il lisait nonchalamment un livre comme si il avait toujours été là alors que cinq secondes plus tôt, la seule chose présente à sa place était du vent. Le temps de calmer le tambour qui lui faisait office de coeur, Chems s'embrouilla, perturbé par la question, et surtout par la situation. Botruc ? Comme l'animal? «Huh-uh...une ..branche ?»
Aussitôt les mots eurent-ils passé ses lèvres que Chems eut envie de se frapper le front ou de se coudre la bouche, au choix. Imbécile! Les botruc existe pas dan-«Parfait !» tonna l'homme en claquant son livre, frappant promptement de ses deux mains.
Sans délais, une douce lumière chaleureuse se diffusa partout dans le local et le Poufsouffle se sentit perdre sa mâchoire. C'était... immense ! Le magasin qu'il avait cru abandonné était maintenant remplit d'instruments (et d'objets ?) de partout. Guitares, pianos, tambours...Certains même qu'il n'avait jamais vu. Un gigantesque lustre à bougies pendait lourdement au plafond, éclairant des objets si étincelants qu'ils en auraient fait baver un niffleur. Des objets dont Chems n'était même pas sûr d'être des instruments tant ils avaient des allures de bijoux. Le garçon s'arrêta un moment sur la hauteur des murs et réalisa consterné que la boutique ne s'étendait pas seulement sur un seul étage. Montant sur la pointe des pieds et étirant son cou comme un suricate, le garçon essaya de voir jusqu’ou le fond du magasin allait. Mais à perte de vu, il ne voyait que des instruments. Abasourdi, il se laissa retomber sur les talons. Cette boutique d’apparence si petite à l’extérieur était presque aussi vaste que le terrain de Quidditch de l'école! Les couleurs chaudes des étoffes qui semblait fermé l'accès à certain endroit donnaient littéralement à l'endroit des allures de caverne d'Ali-baba.
«J'ai appris à prendre certaine précaution. J'ai une fois reçu en réponse "ma femme" de la part d'un moldu» se manifesta, de nouveau à l'improviste, l'homme. «C'est scandaleux, comment peut-on attribué à sa compagne la qualité d'objet? Je trouve cela révoltant!» se scandalisa t-il devant un Chems dépaysé. Le garçon se contenta d'hausser les épaules, trop déboussolé et de loin impliqué par ces mots étranges sans queue ni tête. La seule certitude qu'il avait, c'est qu'il n'était pas le seul sorcier dans cette boutique, et il avait peut être encore un peu de mal à réaliser l'ampleur de cette observation. S'avançant prudemment dans le dédale de matériel de musique, sans répondre d'avantage à l'homme excentrique, il se laissa surprendre par la variété d'instrument à chaque nouvelles minutes de sa visite. Perdant progressivement la prudence inhabituelle qui l'avait retenu depuis son arrivé dans la boutique, Chems se sentit se détendre, de plus en plus émerveillé. Guidé par les mots de l'homme de l'accueil, il apprit que Hobgoblin était probablement un des magasins de musique les plus prisés de Londres (surtout pour les sorciers), que le local avait initialement et involontairement était agrandit par la présence d'un Occamy avec d'être un magasin de matériel musical, que l'homme se prénommait Holmes (et qu'il avait apparemment un lien de parenté avec le célèbre enquêteur anglais qu'il pensait jusque là 100% moldu) et qu'il possédait chez lui un vivet doré. «J'ai sauvé ce petit gars d'un trafic, Modesty Rabnott m'a laissé le garder comme remerciement.»
Chems fit semblant d'être épaté alors qu'il se visualisait à peine la tête de l'animal et ce que Modesty Rabnott pouvait être. Mais il s'amusait bien. La visite de cette boutique qui, comme par hasard, était de source magiques, était bien plus intéressante que la boutique de bricolage d'en face. Définitivement plus intéressante !
«Tu vois cet instrument? se précipita le vendeur en fondant sur une espèce de flute sombre, lisse et brillante, qui semblait assez lourde au porter. Seul ceux qui ont vu la mort en face peuvent la faire chanter.» Chems plissa le nez. Il est fabriqué à partir d'un os de sombral, sans doute en as-tu entendu parlé?» Là maintenant, il ne voulait pas du tout en entendre parlé. Ça n'avait pas l'air d'être un truc particulièrement exaltant, et Chems avait pas envie d'avoir affaire avec une chose pareil. Il secoua la tête sans posé de question. Malheureusement pour lui, le propriétaire ne s'arrêta pas là. «Tu es sûr d’être un sorcier? J’ai connu des réactions plus enthousiastes face à un tel instrument.»
«J’ai pas vu la mort et je veux pas la voir d’accord! s’offusqua le garçon en prenant futilement la mouche face au regard surprit d'Holmes. Et je. Trouve. Pas. Ça. Cool!» Le poufsouffle ne posa même pas un deuxième regard sur la flute et passa à coté, préférant se rapprocher d’un curieux piano, gravé de lézard et de salamandre des pieds au couvercle, que de perdre son temps devant une flûte obscure. C'était effrayant, pas fascinant ! Holmes et sa flûte feraient bien de rester loin de lui. Heureusement, le sujet n'alla pas plus loin. Il n'en eut pas l'occasion d'ailleurs. Écartant d’un geste de bras un des grands rideaux de séparation de couleur taupe, le regard de Chems fut attiré par une forme familière. Une forme qu'il avait souvent eut l'occasion de voir à la télé....
«Une flûte de pan!» s'extasia le garçon devant l'objet qu'il n'avait pu toucher juste avec ses yeux jusqu'à présent. L'instrument lui évoquait beaucoup de chose, principalement des bons souvenirs, qu'il ne pouvait pas s'empêché de sourire. S’approchant presque en courant vers l'étalage remplit de petit instrument à vent, le garçon attrapa précautionneusement l'objet entre ses mains. «Parait-il que plus le bambou est savoureux pour les pandas, plus le son en sortie de l’instrument est harmonieux» informa le propriétaire, décidément jamais très loin lorsqu'il s'agissait de livré des informations sur ses produits.
Chems lança un regard dubitatif vers lui, ponctué d'un léger rictus «C'est un peu douteux votre truc pour me faire acheter» Holmes en redressa sa veste d'un geste contrôlé en reniflant, mais Chems pouvait voir la petite ridules entre les deux sourcils du propriétaire, trahissant le léger dérangement que sa remarque avait provoqué. Le garçon ne s'attarda pas plus dessus et reporta son attention sur l'instrument entre ses mains.
Un son harmonieux hein? On va voir ça ...
Le garçon souffla dans l'instrument.
Note additionnelle : Holmes utilise un jeu de mot pour voir ce qu'évoque phonétiquement bo-truc à chaque fois qu'une personne rentre dans son magasin. Un moldu comprendra "beau truc" quand un sorcier fera automatiquement le lien avec l'animal. Leur réponse sera donc automatiquement différente et cela permet à Holmes de faire une distinction entre moldu et sorcier pour permettre (ou non) l'accès à son magasin.
In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On
L’intérieur était assez sombre... peut être trop pour distinguer correctement les articles du magasin. À moins d´avoir des yeux de hiboux pour voir dans le noir, Chems ne pouvait pas voir plus loin que ce que la lumière parvenait a éclairé. Dans le cas présent, un vieux bureau de bois que le garçon soupçonna être l’accueil. Il s’en approcha donc à pas de loup. Il était surprit par le calme et l'absence de lumière de la boutique. Peut être que le magasin était fermé... Chems secoua la tête. Quel genre d'ignorant laisserait la porte de son magasin ouvert ? «Bonjour?» s'aventura le garçon en s'engouffrant un peu plus dans le local désert. Forçant la voix, il continua en plissant les yeux vers les espaces d'ombre de la boutique en espérant y voir du mouvement. «Y'a quelqu'un ?»
Encore une fois, seul un silence glaciale lui répondit. Déçu, il dû se rendre à l'évidence: Le magasin devait être abandonnée. Génial, il avait plus qu'à retourner au milieu des boulons et des tournevis...Déjà presque une main sur la poignée de la porte d'entrée qu'une voix flûté sortit subitement de nul part, le faisant faire volte-face, alerte.
«Garçon, qu’est-ce que cela t’évoques quand je te parle d’un bo-truc*» Le coeur au bord des lèvres, Chems détailla avec des yeux effarés l'homme soudainement apparut derrière le bureau, ravalant son cri. Il devait être un peu plus âgé que son père, et il lisait nonchalamment un livre comme si il avait toujours été là alors que cinq secondes plus tôt, la seule chose présente à sa place était du vent. Le temps de calmer le tambour qui lui faisait office de coeur, Chems s'embrouilla, perturbé par la question, et surtout par la situation. Botruc ? Comme l'animal? «Huh-uh...une ..branche ?»
Aussitôt les mots eurent-ils passé ses lèvres que Chems eut envie de se frapper le front ou de se coudre la bouche, au choix. Imbécile! Les botruc existe pas dan-«Parfait !» tonna l'homme en claquant son livre, frappant promptement de ses deux mains.
Sans délais, une douce lumière chaleureuse se diffusa partout dans le local et le Poufsouffle se sentit perdre sa mâchoire. C'était... immense ! Le magasin qu'il avait cru abandonné était maintenant remplit d'instruments (et d'objets ?) de partout. Guitares, pianos, tambours...Certains même qu'il n'avait jamais vu. Un gigantesque lustre à bougies pendait lourdement au plafond, éclairant des objets si étincelants qu'ils en auraient fait baver un niffleur. Des objets dont Chems n'était même pas sûr d'être des instruments tant ils avaient des allures de bijoux. Le garçon s'arrêta un moment sur la hauteur des murs et réalisa consterné que la boutique ne s'étendait pas seulement sur un seul étage. Montant sur la pointe des pieds et étirant son cou comme un suricate, le garçon essaya de voir jusqu’ou le fond du magasin allait. Mais à perte de vu, il ne voyait que des instruments. Abasourdi, il se laissa retomber sur les talons. Cette boutique d’apparence si petite à l’extérieur était presque aussi vaste que le terrain de Quidditch de l'école! Les couleurs chaudes des étoffes qui semblait fermé l'accès à certain endroit donnaient littéralement à l'endroit des allures de caverne d'Ali-baba.
«J'ai appris à prendre certaine précaution. J'ai une fois reçu en réponse "ma femme" de la part d'un moldu» se manifesta, de nouveau à l'improviste, l'homme. «C'est scandaleux, comment peut-on attribué à sa compagne la qualité d'objet? Je trouve cela révoltant!» se scandalisa t-il devant un Chems dépaysé. Le garçon se contenta d'hausser les épaules, trop déboussolé et de loin impliqué par ces mots étranges sans queue ni tête. La seule certitude qu'il avait, c'est qu'il n'était pas le seul sorcier dans cette boutique, et il avait peut être encore un peu de mal à réaliser l'ampleur de cette observation. S'avançant prudemment dans le dédale de matériel de musique, sans répondre d'avantage à l'homme excentrique, il se laissa surprendre par la variété d'instrument à chaque nouvelles minutes de sa visite. Perdant progressivement la prudence inhabituelle qui l'avait retenu depuis son arrivé dans la boutique, Chems se sentit se détendre, de plus en plus émerveillé. Guidé par les mots de l'homme de l'accueil, il apprit que Hobgoblin était probablement un des magasins de musique les plus prisés de Londres (surtout pour les sorciers), que le local avait initialement et involontairement était agrandit par la présence d'un Occamy avec d'être un magasin de matériel musical, que l'homme se prénommait Holmes (et qu'il avait apparemment un lien de parenté avec le célèbre enquêteur anglais qu'il pensait jusque là 100% moldu) et qu'il possédait chez lui un vivet doré. «J'ai sauvé ce petit gars d'un trafic, Modesty Rabnott m'a laissé le garder comme remerciement.»
Chems fit semblant d'être épaté alors qu'il se visualisait à peine la tête de l'animal et ce que Modesty Rabnott pouvait être. Mais il s'amusait bien. La visite de cette boutique qui, comme par hasard, était de source magiques, était bien plus intéressante que la boutique de bricolage d'en face. Définitivement plus intéressante !
«Tu vois cet instrument? se précipita le vendeur en fondant sur une espèce de flute sombre, lisse et brillante, qui semblait assez lourde au porter. Seul ceux qui ont vu la mort en face peuvent la faire chanter.» Chems plissa le nez. Il est fabriqué à partir d'un os de sombral, sans doute en as-tu entendu parlé?» Là maintenant, il ne voulait pas du tout en entendre parlé. Ça n'avait pas l'air d'être un truc particulièrement exaltant, et Chems avait pas envie d'avoir affaire avec une chose pareil. Il secoua la tête sans posé de question. Malheureusement pour lui, le propriétaire ne s'arrêta pas là. «Tu es sûr d’être un sorcier? J’ai connu des réactions plus enthousiastes face à un tel instrument.»
«J’ai pas vu la mort et je veux pas la voir d’accord! s’offusqua le garçon en prenant futilement la mouche face au regard surprit d'Holmes. Et je. Trouve. Pas. Ça. Cool!» Le poufsouffle ne posa même pas un deuxième regard sur la flute et passa à coté, préférant se rapprocher d’un curieux piano, gravé de lézard et de salamandre des pieds au couvercle, que de perdre son temps devant une flûte obscure. C'était effrayant, pas fascinant ! Holmes et sa flûte feraient bien de rester loin de lui. Heureusement, le sujet n'alla pas plus loin. Il n'en eut pas l'occasion d'ailleurs. Écartant d’un geste de bras un des grands rideaux de séparation de couleur taupe, le regard de Chems fut attiré par une forme familière. Une forme qu'il avait souvent eut l'occasion de voir à la télé....
«Une flûte de pan!» s'extasia le garçon devant l'objet qu'il n'avait pu toucher juste avec ses yeux jusqu'à présent. L'instrument lui évoquait beaucoup de chose, principalement des bons souvenirs, qu'il ne pouvait pas s'empêché de sourire. S’approchant presque en courant vers l'étalage remplit de petit instrument à vent, le garçon attrapa précautionneusement l'objet entre ses mains. «Parait-il que plus le bambou est savoureux pour les pandas, plus le son en sortie de l’instrument est harmonieux» informa le propriétaire, décidément jamais très loin lorsqu'il s'agissait de livré des informations sur ses produits.
Chems lança un regard dubitatif vers lui, ponctué d'un léger rictus «C'est un peu douteux votre truc pour me faire acheter» Holmes en redressa sa veste d'un geste contrôlé en reniflant, mais Chems pouvait voir la petite ridules entre les deux sourcils du propriétaire, trahissant le léger dérangement que sa remarque avait provoqué. Le garçon ne s'attarda pas plus dessus et reporta son attention sur l'instrument entre ses mains.
Un son harmonieux hein? On va voir ça ...
Le garçon souffla dans l'instrument.
Note additionnelle : Holmes utilise un jeu de mot pour voir ce qu'évoque phonétiquement bo-truc à chaque fois qu'une personne rentre dans son magasin. Un moldu comprendra "beau truc" quand un sorcier fera automatiquement le lien avec l'animal. Leur réponse sera donc automatiquement différente et cela permet à Holmes de faire une distinction entre moldu et sorcier pour permettre (ou non) l'accès à son magasin.
In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On
La groupie du guitariste
« Damian s’il vous plait »
« Oui monsieur »
Damian sortit sa baguette, et fit un petit cercle avec avant de dire « Lumos ! », et la lumière fut. Le magasin semblait vide, abandonnée. Il y avait une odeur de renfermé mélangé à une forte odeur de bois pourri. Mais Gray connaissant bien les lieux, et se dirigea vers le bureau d’accueil, en secouant la petite clochette qui était pausé sur le bureau.
« C’est bizarre, d’habitude il est toujours la… »
« Il y a peut-être un autre client monsieur. » répliqua Damian.
A peine eut-il finit sa phrase qu’un homme apparut au bureau. Gray le reconnut immédiatement, il s’agissait de Holmes le propriétaire de la boutique.
« Garçon, qu’est-ce que cela t’évoques quand je te parle d’un bo-truc» dit-il sur le ton de la devinette.
Gray agacé que celui si ne le reconnaisse pas, répliqua d’un ton froid « Etes-vous sérieux monsieur Holmes ? de ne pas reconnaître l’un de vos plus gros clients ? »
L’homme était un peu perdu, il se rapprocha de Gray, et se mit à reculer d’un coup.
« Oh ! pardon mon chère je ne vous ai point reconnu ! comprenez il fait si sombre dans cette boutique »
Gray se racla la gorge, ce n’est pas comme si Damian avait éclairé toute la boutique avec son sort, il n’avait aucune excuse. M’enfin le garçon passa à autre chose.
« Entrez, je vous prie ! » Il frappa ses deux mains, et la boutique était devenu celle que Gray connaissait si bien. Une boutique immense et chaleureuse, qui s'étendait sur plusieurs étages avec toutes sorte d'instrument, aussi bien classique que fantastique. Mais Gray s’avait très bien à quel étage se rendre, et ne se fit pas attendre pour prendre le petit ascenseur accompagné de Damian et de Holmes.
« J’imagine que vous êtes venu pour la nouvelle collection ? » questionna Holmes.
« C’est exact, apparemment leur son serait encore plus clair qu’avant, et leur design encore plus poussé »
« C’est exact monsieur ! je vous montrerais la plus belle de toutes vous ne serez pas déçue ! » Dit Holmes en souriant, et en se raclant les mains. Il reprit en regardant Gray :
« Est-ce qu’une flûte faites à partir d’un os de sombral vous intéresserait ? je viens tout juste d’en rentrer une ! elle produit un son merveilleux et tout le monde se l’arrache. Mais bien sûr, je vous ferais un prix d’or »
Gray ne répondit même pas, il regarda juste d’un air vide Holmes, ce qui lui fit bien comprendre qu’il s’en fichait un peu.
Pendant le trajet menant jusqu’au rayon guitare électrique, Gray crue entendre le son d’un instrument. Il s’arrêta un instant, Tiens, il y a bien quelqu’un d’autre ici, serait- ce le son d’une flûte de pan ? pensa-t-il.
« Venez monsieur c’est par la ! » Lui dit Damian.
« Oui, oui j’arrive » Lui répliqua Gray.
Gray reprit le pas, et entra dans l’immense rayon de guitare, il y en avait vraiment de toute sorte et de tout style. Des guitares plus pour les sorciers gothique, d’autre pour ceux qui veulent montrez leur fortune, et d’autres encore pour les dames coquettes.
Ils s’arrêtèrent devant le stand ou il y avait écrit « NEW », Gray regarda les guitares présentent. Holmes lui, disparu pendant quelques secondes avant de revenir avec une guitare de toute beauté.
« Voici, l’une d’entre elle, avec une couleur que vous aimez particulièrement monsieur » Holmes présenta la guitare à Gray. Elle était de couleur jaune et noir, comme la couleur des Poufsouffles, elle avait un look très western avec ses deux gravures sur le cotés.
Gray la prit dans ses mains, et se pose sur un tabouret en cuir, en plaçant correctement la guitare sur ses genoux.
« Je peux ? » demanda-t-il.
« Bien sur monsieur » Holmes brancha la guitare à un ampli, et fit signe à Gray qu’il pouvait jouer.
Gray qui entendait toujours les légères notes de l’autre client, joua sur le même rythme avec la guitare. Qui en effet, produisait un son bien plus intense, et plus clair, que celle qu’il avait eu auparavant.
"Nothing ever comes without a consequence or cost"
2ème année RP
« Oui monsieur »
Damian sortit sa baguette, et fit un petit cercle avec avant de dire « Lumos ! », et la lumière fut. Le magasin semblait vide, abandonnée. Il y avait une odeur de renfermé mélangé à une forte odeur de bois pourri. Mais Gray connaissant bien les lieux, et se dirigea vers le bureau d’accueil, en secouant la petite clochette qui était pausé sur le bureau.
« C’est bizarre, d’habitude il est toujours la… »
« Il y a peut-être un autre client monsieur. » répliqua Damian.
A peine eut-il finit sa phrase qu’un homme apparut au bureau. Gray le reconnut immédiatement, il s’agissait de Holmes le propriétaire de la boutique.
« Garçon, qu’est-ce que cela t’évoques quand je te parle d’un bo-truc» dit-il sur le ton de la devinette.
Gray agacé que celui si ne le reconnaisse pas, répliqua d’un ton froid « Etes-vous sérieux monsieur Holmes ? de ne pas reconnaître l’un de vos plus gros clients ? »
L’homme était un peu perdu, il se rapprocha de Gray, et se mit à reculer d’un coup.
« Oh ! pardon mon chère je ne vous ai point reconnu ! comprenez il fait si sombre dans cette boutique »
Gray se racla la gorge, ce n’est pas comme si Damian avait éclairé toute la boutique avec son sort, il n’avait aucune excuse. M’enfin le garçon passa à autre chose.
« Entrez, je vous prie ! » Il frappa ses deux mains, et la boutique était devenu celle que Gray connaissait si bien. Une boutique immense et chaleureuse, qui s'étendait sur plusieurs étages avec toutes sorte d'instrument, aussi bien classique que fantastique. Mais Gray s’avait très bien à quel étage se rendre, et ne se fit pas attendre pour prendre le petit ascenseur accompagné de Damian et de Holmes.
« J’imagine que vous êtes venu pour la nouvelle collection ? » questionna Holmes.
« C’est exact, apparemment leur son serait encore plus clair qu’avant, et leur design encore plus poussé »
« C’est exact monsieur ! je vous montrerais la plus belle de toutes vous ne serez pas déçue ! » Dit Holmes en souriant, et en se raclant les mains. Il reprit en regardant Gray :
« Est-ce qu’une flûte faites à partir d’un os de sombral vous intéresserait ? je viens tout juste d’en rentrer une ! elle produit un son merveilleux et tout le monde se l’arrache. Mais bien sûr, je vous ferais un prix d’or »
Gray ne répondit même pas, il regarda juste d’un air vide Holmes, ce qui lui fit bien comprendre qu’il s’en fichait un peu.
Pendant le trajet menant jusqu’au rayon guitare électrique, Gray crue entendre le son d’un instrument. Il s’arrêta un instant, Tiens, il y a bien quelqu’un d’autre ici, serait- ce le son d’une flûte de pan ? pensa-t-il.
« Venez monsieur c’est par la ! » Lui dit Damian.
« Oui, oui j’arrive » Lui répliqua Gray.
Gray reprit le pas, et entra dans l’immense rayon de guitare, il y en avait vraiment de toute sorte et de tout style. Des guitares plus pour les sorciers gothique, d’autre pour ceux qui veulent montrez leur fortune, et d’autres encore pour les dames coquettes.
Ils s’arrêtèrent devant le stand ou il y avait écrit « NEW », Gray regarda les guitares présentent. Holmes lui, disparu pendant quelques secondes avant de revenir avec une guitare de toute beauté.
« Voici, l’une d’entre elle, avec une couleur que vous aimez particulièrement monsieur » Holmes présenta la guitare à Gray. Elle était de couleur jaune et noir, comme la couleur des Poufsouffles, elle avait un look très western avec ses deux gravures sur le cotés.
Reducio
Gray la prit dans ses mains, et se pose sur un tabouret en cuir, en plaçant correctement la guitare sur ses genoux.
« Je peux ? » demanda-t-il.
« Bien sur monsieur » Holmes brancha la guitare à un ampli, et fit signe à Gray qu’il pouvait jouer.
Gray qui entendait toujours les légères notes de l’autre client, joua sur le même rythme avec la guitare. Qui en effet, produisait un son bien plus intense, et plus clair, que celle qu’il avait eu auparavant.
"Nothing ever comes without a consequence or cost"
2ème année RP
La groupie du guitariste
Concentré à se familiariser avec le nouvel instrument qu’il avait entre les mains, Chems n’avait pas remarquer le départ du vendeur Holmes. Cependant, il ne parvint pas à ignorer la deuxième sonorité qui semblait faire écho à la sienne. Une guitare ?
Curieux, il écarta d’un bras le lourd rideau qui séparait le hall principal de la boutique à l’immense étalage d’instrument à vent, sans arrêter de souffler dans sa flûte, et leva les yeux vers les étages d’où semblaient provenir le son. Chems était un extraordinaire touche-à-tout et un effroyable effronté, s’il devait faire un duo avec un parfait inconnu et manifestement guitariste averti, à l'aide d'une flûte qu'il maîtrisait à peine, qu’à cela ne tienne. Ce n’était pas plus culotté que de jouer de l’harmonica dans les tribunes de Quidditch un match de final. Tiré par les notes de cette guitare qui avait si facilement empli tout l’espace de la boutique, Chems se laissa distraire par la prospection des étages du magasin, souhaitant au moins apercevoir cet inconnu. Fatalement, à force de faire attention à tout sauf à sa propre mélodie, il brisa subitement l’élan créer par l’association de leur deux instrument en soufflant dans le mauvais tuyau de bambou, faisant résonné une mauvaise note.
Tellement surprit par sa propre bourde, le garçon s’arrêta brusquement dans sa recherche du guitariste en baissant précipitamment les yeux sur son instrument temporaire comme si ce pas de travers était de la faute de la flûte. Grimaçant, il retourna distraitement l’instrument à vent taillé en biseau entre ses doigts. Même s’il parvenait à se débrouiller avec la plupart des instruments qu’il avait déjà croisé en jouant purement sur l’improvisation, il n’y en avait vraiment qu’un seul avec lequel Chems prenait du plaisir à jouer…
Celui de sa mère.
Leyla n’aurait jamais pris de son temps pour apprendre à son fils à jouer d’un instrument. Et certainement pas d’un dont il n’aurait jamais dû apprendre l’existence en premier lieu. Mais par un heureux hasard, Chems avait découvert, au-dessus de l’armoire de ses parents, bien collé au coin du mur, un vieux hang décoloré après avoir surpris sa mère glissée discrètement l’instrument dans l’espace sombre de l'entrebâillure de sa chambre. La première fois qu’il avait osé en parlé, sa mère lui avait formellement interdit d’y toucher, jouant de plusieurs menaces de punition qui n’avait fait qu’alimenté un peu plus la détermination du garçon. Après cet évènement, il avait pris l’habitude de s’emparer discrètement de l’étrange instrument juste pour le plaisir d’agacer sa mère, une des activités qu’il affectionnait tout particulièrement. C’est donc caché dans un coin de forêt pour ne pas que celle-ci le surprenne que Chems avait appris à jouer de cet instrument. Et à sa grande surprise, il avait progressivement commencé à apprécier ces moments. Réquisitionner l’objet dès que sa mère avait le dos tourné était devenu une manie. Se cacher dans la forêt avec son butin, une habitude. Et apprendre à faire vibrer l’étrange plateau de métal, un passe-temps.
Curieusement, même si sa mère avait semblé absolument révulsé par l’idée qu’il ait pu mettre ses doigts sur son instrument bizarre, elle ne l’avait jamais changé de place, sans doute conforté dans l’idée qu’il ne pourrait jamais l’attraper sur son immense armoire du haut de son mètre quarante-neuf. Encore une fois, elle prouvait qu’elle ne connaissait rien de lui en pensant que cette contrainte l’aurait arrêté.
Cependant, ses préférences mit à part, ça avait été super amusant de souffler dans cette flûte de pan accompagné par cette guitare. Pour avoir toujours jouer seul, ce n’était pas une sensation désagréable de savoir qu'une autre personne suivait la même mélodie, il avait même apprécié ce bref moment. Un petit sourire au coin des lèvres, il releva les yeux sur les étages. Il ne voyait toujours rien, il ne savait même pas à quoi ressemblait ce guitariste. Loin de se décourager, Chems misa sur la seule chose qu’il connaissait de l’inconnu, espérant que le ou la concerné se reconnaisse et sorte au moins sa tête par dessus une des rambardes pour qu'il puisse voir à quel étage il se trouvait et lui adressé correctement la parole au lieu d'engager une conversation du rez-de-chaussée et se faire un torticolis.
« Hey la guitare ! Sors de ta cachette ! »
In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On
Curieux, il écarta d’un bras le lourd rideau qui séparait le hall principal de la boutique à l’immense étalage d’instrument à vent, sans arrêter de souffler dans sa flûte, et leva les yeux vers les étages d’où semblaient provenir le son. Chems était un extraordinaire touche-à-tout et un effroyable effronté, s’il devait faire un duo avec un parfait inconnu et manifestement guitariste averti, à l'aide d'une flûte qu'il maîtrisait à peine, qu’à cela ne tienne. Ce n’était pas plus culotté que de jouer de l’harmonica dans les tribunes de Quidditch un match de final. Tiré par les notes de cette guitare qui avait si facilement empli tout l’espace de la boutique, Chems se laissa distraire par la prospection des étages du magasin, souhaitant au moins apercevoir cet inconnu. Fatalement, à force de faire attention à tout sauf à sa propre mélodie, il brisa subitement l’élan créer par l’association de leur deux instrument en soufflant dans le mauvais tuyau de bambou, faisant résonné une mauvaise note.
Tellement surprit par sa propre bourde, le garçon s’arrêta brusquement dans sa recherche du guitariste en baissant précipitamment les yeux sur son instrument temporaire comme si ce pas de travers était de la faute de la flûte. Grimaçant, il retourna distraitement l’instrument à vent taillé en biseau entre ses doigts. Même s’il parvenait à se débrouiller avec la plupart des instruments qu’il avait déjà croisé en jouant purement sur l’improvisation, il n’y en avait vraiment qu’un seul avec lequel Chems prenait du plaisir à jouer…
Celui de sa mère.
Leyla n’aurait jamais pris de son temps pour apprendre à son fils à jouer d’un instrument. Et certainement pas d’un dont il n’aurait jamais dû apprendre l’existence en premier lieu. Mais par un heureux hasard, Chems avait découvert, au-dessus de l’armoire de ses parents, bien collé au coin du mur, un vieux hang décoloré après avoir surpris sa mère glissée discrètement l’instrument dans l’espace sombre de l'entrebâillure de sa chambre. La première fois qu’il avait osé en parlé, sa mère lui avait formellement interdit d’y toucher, jouant de plusieurs menaces de punition qui n’avait fait qu’alimenté un peu plus la détermination du garçon. Après cet évènement, il avait pris l’habitude de s’emparer discrètement de l’étrange instrument juste pour le plaisir d’agacer sa mère, une des activités qu’il affectionnait tout particulièrement. C’est donc caché dans un coin de forêt pour ne pas que celle-ci le surprenne que Chems avait appris à jouer de cet instrument. Et à sa grande surprise, il avait progressivement commencé à apprécier ces moments. Réquisitionner l’objet dès que sa mère avait le dos tourné était devenu une manie. Se cacher dans la forêt avec son butin, une habitude. Et apprendre à faire vibrer l’étrange plateau de métal, un passe-temps.
Curieusement, même si sa mère avait semblé absolument révulsé par l’idée qu’il ait pu mettre ses doigts sur son instrument bizarre, elle ne l’avait jamais changé de place, sans doute conforté dans l’idée qu’il ne pourrait jamais l’attraper sur son immense armoire du haut de son mètre quarante-neuf. Encore une fois, elle prouvait qu’elle ne connaissait rien de lui en pensant que cette contrainte l’aurait arrêté.
Cependant, ses préférences mit à part, ça avait été super amusant de souffler dans cette flûte de pan accompagné par cette guitare. Pour avoir toujours jouer seul, ce n’était pas une sensation désagréable de savoir qu'une autre personne suivait la même mélodie, il avait même apprécié ce bref moment. Un petit sourire au coin des lèvres, il releva les yeux sur les étages. Il ne voyait toujours rien, il ne savait même pas à quoi ressemblait ce guitariste. Loin de se décourager, Chems misa sur la seule chose qu’il connaissait de l’inconnu, espérant que le ou la concerné se reconnaisse et sorte au moins sa tête par dessus une des rambardes pour qu'il puisse voir à quel étage il se trouvait et lui adressé correctement la parole au lieu d'engager une conversation du rez-de-chaussée et se faire un torticolis.
« Hey la guitare ! Sors de ta cachette ! »
In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On
La groupie du guitariste
Pendant que Gray continuait de jouer, Holmes et Damian se dandinaient sur place, ils avaient l’air d’apprécier. Mais Gray se focalisait plus sur le son de la flûte ,qu’il commençait d'ailleurs à entendre bouger légèrement. Est-ce que le flûtiste le cherchait ? certainement après tout, il semblait n’être que deux dans la boutique.
-Vous n’avez pas perdu la main monsieur Haros, si je puis me permettre voudriez vous que je vous l’emballe dans un magnifique étui en or pure ?
Gray soupira décidément il en faisant toujours trop ce Holmes. Damian voyant son visage répondit à la place de Gray en ce mettant coller à Holmes et en chuchotant :
-Vous voyez bien qu’il est concentré ? il l’achètera votre guitare ne vous en faites pas mais laisser le profiter bon sang !
Holmes le regarda de travers et lança en chuchotant :
-Du moment qu’il me la paye je pourrais entendre tout un concert, mais ses mioches alors…
Damian entendit ce qu’il disait et le regarda droit dans les yeux, en essayant de lui transmettre par le regard :
Ne joue pas au plus malin toi
Holmes finit par s’assoir sur un tabouret tout en faisant semblant d’apprécier la musique.
Puis tout d’un coup, tout le monde c’était tût, et cette fois si, tout le monde avait entendu la mauvaise note jouée par le flûtiste, ce qui fit réagir Holmes :
-Oh là ! vaut mieux que j’aille le voir celui-là, ou il va m’esquinter ma flûte dit donc.
Il commença à partir, mais Damian le rattrapa par la manche et lui dit de rester ici le temps que Gray se décide, il soupira mais s’exécuta.
Gray n’entendant plus le flûtiste, il parla alors à Holmes :
-Bon elle coûte combien ? il réfléchit un instant, oh puis non Damian ! donne lui l’argent, il se leva et prit la guitare avec lui, nous on s’en va.
Damian discuta brièvement avec Holmes et lui donna l’argent, avant d’aller vite porter la guitare de Gray et de rebroussé chemin avec lui :
-Il est toujours dans l’exagération celui-là ! je ne comprends pas pourquoi vous venez encore ici acheter des instruments monsieur.
-Hum peut être parce que malgré tout, il possède le meilleur du meilleur ?
Damian regarda Gray avant de répliquer :
-Oui ça se tient monsieur.
Puis en ce retrouvant proche de l’ascenseur les deux hommes entendirent :
« Hey la guitare ! Sors de ta cachette ! »
La guitare ? il parle de moi la ? OH mais oui bien sûr, ça doit être le flûtiste ! hum attend, il arrêta nette la marche Damian ne comprenant pas s’arrêta aussi en regardant Gray d’un air dubitatif.
Est-ce que tu as vraiment envie de savoir de qui il s’agit ? après tout il a quand même fait une fausse note ! une autre petite voix intervint dans sa tête beaucoup plus aigüe que l’autre, oui mais c’est peut-être un débutant en musique tu pourrais lui apprendre ?
-Euh monsieur ? il agita la main devant le regard pensif de Gray
Mais celui-ci était trop dans ses pensées pour le remarquer, il continuait à peser le pour et le contre de dévoiler son identité.
-C’est par rapport à la voix que l’on vient d’entendre c’est ça ?
Il avait l’habitude de parler à un mur, mais la Damian était bouche bée. Gray était tellement concentré à réfléchir sur comment faire, qu’il décida de prendre les devants. Il pencha sa tête par-dessus les petites barrières et pu apercevoir un jeune homme.
-Hey ! c’est vous qui avez joué de la flûte ? si vous cherchez le guitariste il est par ici ! dit-il en faisant des signes.
Gray se mit à sortir de ses pensées au moment ou Damian avait prononcé le mot « le guitariste », il tira de toute ses forces Damian en arrière des barrières pour éviter d’être vue. Mais avec ses faibles muscles, le jeune garçon ne réussit à le faire bouger que de deux centimètres et demie. Damian en sentant qu’on le tirait en arrière regarda Gray :
-Ben qu’est ce qui vous arrives monsieur ? vous ne voulez pas savoir qui jouait ?
Gray se mit à devenir rouge de colère :
-Justement espèce d’imbécile ! j’étais en train de réfléchir si ça valait vraiment la peine ! mais bon monsieur le majordome en a décidé autrement…
Damian était tellement désolé il ne pensait pas avoir fait quelque chose de mal, il s’excusa mille fois, mais Gray ne le regardait même pas. Il décida de se pencher à son tour pour voire le jeune homme et lui fit signe de monter :
-Tu peu prendre l’ascenseur ça ira plus vite. Dit-il sur un ton monotone.
"Nothing ever comes without a consequence or cost"
2ème année RP
-Vous n’avez pas perdu la main monsieur Haros, si je puis me permettre voudriez vous que je vous l’emballe dans un magnifique étui en or pure ?
Gray soupira décidément il en faisant toujours trop ce Holmes. Damian voyant son visage répondit à la place de Gray en ce mettant coller à Holmes et en chuchotant :
-Vous voyez bien qu’il est concentré ? il l’achètera votre guitare ne vous en faites pas mais laisser le profiter bon sang !
Holmes le regarda de travers et lança en chuchotant :
-Du moment qu’il me la paye je pourrais entendre tout un concert, mais ses mioches alors…
Damian entendit ce qu’il disait et le regarda droit dans les yeux, en essayant de lui transmettre par le regard :
Ne joue pas au plus malin toi
Holmes finit par s’assoir sur un tabouret tout en faisant semblant d’apprécier la musique.
Puis tout d’un coup, tout le monde c’était tût, et cette fois si, tout le monde avait entendu la mauvaise note jouée par le flûtiste, ce qui fit réagir Holmes :
-Oh là ! vaut mieux que j’aille le voir celui-là, ou il va m’esquinter ma flûte dit donc.
Il commença à partir, mais Damian le rattrapa par la manche et lui dit de rester ici le temps que Gray se décide, il soupira mais s’exécuta.
Gray n’entendant plus le flûtiste, il parla alors à Holmes :
-Bon elle coûte combien ? il réfléchit un instant, oh puis non Damian ! donne lui l’argent, il se leva et prit la guitare avec lui, nous on s’en va.
Damian discuta brièvement avec Holmes et lui donna l’argent, avant d’aller vite porter la guitare de Gray et de rebroussé chemin avec lui :
-Il est toujours dans l’exagération celui-là ! je ne comprends pas pourquoi vous venez encore ici acheter des instruments monsieur.
-Hum peut être parce que malgré tout, il possède le meilleur du meilleur ?
Damian regarda Gray avant de répliquer :
-Oui ça se tient monsieur.
Puis en ce retrouvant proche de l’ascenseur les deux hommes entendirent :
« Hey la guitare ! Sors de ta cachette ! »
La guitare ? il parle de moi la ? OH mais oui bien sûr, ça doit être le flûtiste ! hum attend, il arrêta nette la marche Damian ne comprenant pas s’arrêta aussi en regardant Gray d’un air dubitatif.
Est-ce que tu as vraiment envie de savoir de qui il s’agit ? après tout il a quand même fait une fausse note ! une autre petite voix intervint dans sa tête beaucoup plus aigüe que l’autre, oui mais c’est peut-être un débutant en musique tu pourrais lui apprendre ?
-Euh monsieur ? il agita la main devant le regard pensif de Gray
Mais celui-ci était trop dans ses pensées pour le remarquer, il continuait à peser le pour et le contre de dévoiler son identité.
-C’est par rapport à la voix que l’on vient d’entendre c’est ça ?
Il avait l’habitude de parler à un mur, mais la Damian était bouche bée. Gray était tellement concentré à réfléchir sur comment faire, qu’il décida de prendre les devants. Il pencha sa tête par-dessus les petites barrières et pu apercevoir un jeune homme.
-Hey ! c’est vous qui avez joué de la flûte ? si vous cherchez le guitariste il est par ici ! dit-il en faisant des signes.
Gray se mit à sortir de ses pensées au moment ou Damian avait prononcé le mot « le guitariste », il tira de toute ses forces Damian en arrière des barrières pour éviter d’être vue. Mais avec ses faibles muscles, le jeune garçon ne réussit à le faire bouger que de deux centimètres et demie. Damian en sentant qu’on le tirait en arrière regarda Gray :
-Ben qu’est ce qui vous arrives monsieur ? vous ne voulez pas savoir qui jouait ?
Gray se mit à devenir rouge de colère :
-Justement espèce d’imbécile ! j’étais en train de réfléchir si ça valait vraiment la peine ! mais bon monsieur le majordome en a décidé autrement…
Damian était tellement désolé il ne pensait pas avoir fait quelque chose de mal, il s’excusa mille fois, mais Gray ne le regardait même pas. Il décida de se pencher à son tour pour voire le jeune homme et lui fit signe de monter :
-Tu peu prendre l’ascenseur ça ira plus vite. Dit-il sur un ton monotone.
"Nothing ever comes without a consequence or cost"
2ème année RP
La groupie du guitariste
« Hey ! C’est vous qui avez joué de la flûte ? Si vous cherchez le guitariste il est par ici ! »
« Oh … Okay » Mais le guitariste ne pouvait pas parler pour lui-même ? Déstabilisé que ce ne soit pas le musicien qui lui ait répondu, Chems compta quatre étages d’où il avait vu la tête de cet homme sortir et s’approcha en trottinant de l’immense escalier en marbre de la boutique.
La voix d’un jeune garçon le surprit alors qu’il était déjà au milieu de son ascension vers le premier étage.
Écarquillant les yeux, Chems passa précipitamment sa tête par-dessus la rambarde de l’escalier pour apercevoir ce nouvel interlocuteur. Cette voix …. Elle lui rappelait vaguement quelque chose. Fronçant les sourcils, il se pencha un peu plus dans le vide, le regard tourné vers le haut. Malheureusement, il ne vit pas plus loin que le parapet des étages supérieur. Plus qu’intrigué, il reprit sa montée au pas de course, faisant fi de l’indication du guitariste pour se focaliser sur ses souvenirs, un pli de concentration se creusant de plus en plus entre ses sourcils. Où il avait pu entendre cette voix bon sang…ça en devenait abominablement frustrant. Quatre longs étages plus tard, Chems pouvait enfin voir les individus avec qui il avait plus ou moins échangés quelques mots. En voyant la chevelure ébène, lisse, coupé droite, surmonté de ces deux mèches rebelles sur le haut du crâne, il en trébucha de reconnaissance sur la dernière marche et se rattrapa de justesse sur la balustrade.
« Toi ! » ne put-il s’empêcher de crier, consterné, en pointant du doigt celui qu’il reconnaissait comme étant un première année de sa propre maison à Poudlard. « T’es le gars qui se dessape tout le temps dans les dortoirs ! »
Chems se redressa sans se préoccuper de sa petite perte d’équilibre, un sourire au coin des lèvres. Ce garçon s’était vite fait remarqué dans l’espace réservé au garçon de Poufsouffle, malgré le fait qu’il soit aussi discret qu’un botruc dans un troupeau de grapcorne dans la salle commune. Il ne parlait pas beaucoup, se mêlait rarement aux groupes, mais ce drôle de phénomène avait des habitudes particulières. Chems avait d’abord pensé que le première année était simplement aussi timide qu’Adrien, mais il s’était avéré que rien ne pouvait être aussi éloigné de la vérité. Le brun, à défaut de parler, faisait chanté sa guitare à chaque occasion, ou du moins, lorsque les autres garçons avaient l’occasion de le voir dans les dortoirs. Il ne se préoccupait ni des regards, ni des critiques, grattant sur les cordes de l’instrument sans se soucier de son entourage (même lorsque celui-ci était clairement concentré sur ses devoirs). Mais le plus surprenant était sans doute de voir le garçon jeter systématique sa robe de sorcier, son pull et son pantalon dès la porte du dortoir fermé comme s’il se débarrassait d’une couche répugnante de peau d’ours alors que la température avoisinait celle du "pôle nord", du très humble avis de Chems -qui pestait à chaque occasion de ce constat désolant-
Chems avait de nombreuse fois eut l’occasion d’observer le comportement bougrement insolent du garçon et s’était retrouvé à ricaner à chaque fois, s’amusant de voir ce regard impassible sur le visage du brun lorsque ses camarades se plaignaient du son de sa guitare ou de sa manière à jeter ses vêtements n’importe où. L’irlandais réalisa que ce n’était pas le son la voix du garçon qui avait autant tiré sur ses souvenirs, mais l’impassibilité dégoulinante de ce ton.
Lâchant pour la première fois le première année du regard, il jeta un coup d’œil à l’autre homme qu’il se souvenait avoir vu et qui avait répondu à la place de son camarade. Il était grand… costumé et… Chems pencha la tête sur le côté. Avait quelque chose de ressemblant avec son collègue impassible. Les mêmes yeux gris tombants le fixaient avec une sorte d’intérêt restreint. Mais par rapport à ceux de son camarade, il était beaucoup plus expressif. Ce qui était surprenant quand on avait côtoyé celui presque tout le temps ennuyé du brun pendant un mois et demi. C’était même assez troublant. Chems ne serait même pas aller jusqu’à penser que les deux aient pu être apparenté si cette ressemblance physique perturbante ne bloquait pas son jugement.
Peut-être était-il un oncle très éloigné ?
De l’autre côté du première année, le vendeur fixait sa main tenant toujours la flûte de pan avec des yeux suspicieux, et Chems s’empressa de remettre l’instrument dans ses mains pour se débarrasser de ce regard inquisiteur puis se retourna vers le garçon à peine plus jeune que lui, les yeux redevenu rieurs à peine eut il croisé ceux imperturbables du brun. Voir un élève de Poudlard en dehors des alentours de l’école (sans compter le chemin de traverse) avait quelque chose d’étonnement exaltant.
« Alors tu viens acheter une nouvelle guitare pour embêter les copains ? » maronna Chems.
In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On
« Oh … Okay » Mais le guitariste ne pouvait pas parler pour lui-même ? Déstabilisé que ce ne soit pas le musicien qui lui ait répondu, Chems compta quatre étages d’où il avait vu la tête de cet homme sortir et s’approcha en trottinant de l’immense escalier en marbre de la boutique.
La voix d’un jeune garçon le surprit alors qu’il était déjà au milieu de son ascension vers le premier étage.
Écarquillant les yeux, Chems passa précipitamment sa tête par-dessus la rambarde de l’escalier pour apercevoir ce nouvel interlocuteur. Cette voix …. Elle lui rappelait vaguement quelque chose. Fronçant les sourcils, il se pencha un peu plus dans le vide, le regard tourné vers le haut. Malheureusement, il ne vit pas plus loin que le parapet des étages supérieur. Plus qu’intrigué, il reprit sa montée au pas de course, faisant fi de l’indication du guitariste pour se focaliser sur ses souvenirs, un pli de concentration se creusant de plus en plus entre ses sourcils. Où il avait pu entendre cette voix bon sang…ça en devenait abominablement frustrant. Quatre longs étages plus tard, Chems pouvait enfin voir les individus avec qui il avait plus ou moins échangés quelques mots. En voyant la chevelure ébène, lisse, coupé droite, surmonté de ces deux mèches rebelles sur le haut du crâne, il en trébucha de reconnaissance sur la dernière marche et se rattrapa de justesse sur la balustrade.
« Toi ! » ne put-il s’empêcher de crier, consterné, en pointant du doigt celui qu’il reconnaissait comme étant un première année de sa propre maison à Poudlard. « T’es le gars qui se dessape tout le temps dans les dortoirs ! »
Chems se redressa sans se préoccuper de sa petite perte d’équilibre, un sourire au coin des lèvres. Ce garçon s’était vite fait remarqué dans l’espace réservé au garçon de Poufsouffle, malgré le fait qu’il soit aussi discret qu’un botruc dans un troupeau de grapcorne dans la salle commune. Il ne parlait pas beaucoup, se mêlait rarement aux groupes, mais ce drôle de phénomène avait des habitudes particulières. Chems avait d’abord pensé que le première année était simplement aussi timide qu’Adrien, mais il s’était avéré que rien ne pouvait être aussi éloigné de la vérité. Le brun, à défaut de parler, faisait chanté sa guitare à chaque occasion, ou du moins, lorsque les autres garçons avaient l’occasion de le voir dans les dortoirs. Il ne se préoccupait ni des regards, ni des critiques, grattant sur les cordes de l’instrument sans se soucier de son entourage (même lorsque celui-ci était clairement concentré sur ses devoirs). Mais le plus surprenant était sans doute de voir le garçon jeter systématique sa robe de sorcier, son pull et son pantalon dès la porte du dortoir fermé comme s’il se débarrassait d’une couche répugnante de peau d’ours alors que la température avoisinait celle du "pôle nord", du très humble avis de Chems -qui pestait à chaque occasion de ce constat désolant-
Chems avait de nombreuse fois eut l’occasion d’observer le comportement bougrement insolent du garçon et s’était retrouvé à ricaner à chaque fois, s’amusant de voir ce regard impassible sur le visage du brun lorsque ses camarades se plaignaient du son de sa guitare ou de sa manière à jeter ses vêtements n’importe où. L’irlandais réalisa que ce n’était pas le son la voix du garçon qui avait autant tiré sur ses souvenirs, mais l’impassibilité dégoulinante de ce ton.
Lâchant pour la première fois le première année du regard, il jeta un coup d’œil à l’autre homme qu’il se souvenait avoir vu et qui avait répondu à la place de son camarade. Il était grand… costumé et… Chems pencha la tête sur le côté. Avait quelque chose de ressemblant avec son collègue impassible. Les mêmes yeux gris tombants le fixaient avec une sorte d’intérêt restreint. Mais par rapport à ceux de son camarade, il était beaucoup plus expressif. Ce qui était surprenant quand on avait côtoyé celui presque tout le temps ennuyé du brun pendant un mois et demi. C’était même assez troublant. Chems ne serait même pas aller jusqu’à penser que les deux aient pu être apparenté si cette ressemblance physique perturbante ne bloquait pas son jugement.
Peut-être était-il un oncle très éloigné ?
De l’autre côté du première année, le vendeur fixait sa main tenant toujours la flûte de pan avec des yeux suspicieux, et Chems s’empressa de remettre l’instrument dans ses mains pour se débarrasser de ce regard inquisiteur puis se retourna vers le garçon à peine plus jeune que lui, les yeux redevenu rieurs à peine eut il croisé ceux imperturbables du brun. Voir un élève de Poudlard en dehors des alentours de l’école (sans compter le chemin de traverse) avait quelque chose d’étonnement exaltant.
« Alors tu viens acheter une nouvelle guitare pour embêter les copains ? » maronna Chems.
In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On
La groupie du guitariste
Gray continuant de bouder à Damian vit apparaître le jeune joueur de flûte, il se retint de pouffer de rire en voyant le garçon se rattraper de justesse dans l’escalier et eu une pensé meurtrière, ça aurait été marrant s’il été vraiment tombé haha… non c’est peut-être un peu trop, pensa-t-il.
"Toi ! T’es le gars qui se dessape tout le temps dans les dortoirs ! "
Gray fit des yeux ronds, il n’en revenait pas que le jeune homme dise ça comme ça en plein milieu d’un magasin, vide certes mais tout de même. Il venait très certainement de salir sa réputation !
Il senti le regard plein de jugement de Mr Holmes et de son majordome, mais il haussa les épaules, Allons bon ils auraient été bien au courant un jour, se disait-il.
Mais il se demandait bien qui était le jeune garçon, il l’avait déjà vue certes, et il en déduit qu’il était à Poufsouffle lui aussi, mais comment s’appelle-t-il ?
Il réfléchit un instant, il avait des petits souvenir notamment à la soirée d’Halloween, il avait crue le voir dans un déguisement de citrouille… qui au passage ne sentait pas vraiment la rose, on pouvait se demander combien de temps il était resté là-dedans… Puis il se souvint de nombreuse fois ou il avait vue ce visage forment une sorte de bouche de chat, et … il avait beau réfléchir rien d’autre ne lui venait à l’esprit, il faut dire qu’il ne faisait pas trop attention à ce qu’il se passait dans les dortoirs, c’est déjà bien qu’il se souvienne avoir déjà vue ce garçon, pour le nom on passera.
Pendant sa réflexion peu intensive, Gray remarqua que le jeune sorcier regardait étrangement Damian, qu’est-ce qu’il a à le regarder comme ça ? se disait-il, il se mit alors à alterner son regard entre lui et Damian. Puis le jeune homme passa la flûte de pan au vendeur Holmes qui devait très certainement, le fixer avec insistance pour qu’il lui rende sa marchandise. Gray trouvait cela étrange qu’un des élèves de Poudlard, qui n’avait l’air pas très fortuné et qui n’avait pas l’air d’un musicien hors pair connaisse cet endroit.
Puis le jeune homme se retourna les yeux vifs et lança à Gray :
"Alors tu viens acheter une nouvelle guitare pour embêter les copains ? "
Gray fit une drôle de tête en entendant le mot « les copains », il sentait dans la voix du jeune homme le ton rieur et enfantin, mais cela ne lui plaisait pas trop :
-Euh… excuse-moi, mais tu es qui au juste ? j’imagine que tu es un Pouffys vue la gentille remarque que tu viens de faire, mais je ne me souviens point de ton nom, pourrais-tu te présenter ? car la seule chose don je me souvienne c’est ton déguisement de citrouille pour la soirée d’Halloween.
Damian regardait la scène, il était à la fois heureux et triste de ce qu’il se passait, heureux que des personnes connaisse Gray, mais triste de voir le comportement de celui-ci envers son camarade, mais il laissa faire, il n’avait pas son mot à dire en tant que majordome. Mais il décida tout de même de se mettre à coté de Gray et de lui chuchoter :
"Monsieur vous ne pensez pas que vous en faites un peu trop ?"
Celui-ci le regarda avec un regard noir, et comme réponse s’écarta de lui en continuant de le regarder fixement, avant de détourner son regard vers le jeune sorcier.
Damian décida alors de s’appuyer contre le mur, pour suivre la conversation de loin, et disparu pour réapparaître quelques minutes plus tard, avec quelque chose dans sa poche de veste qui n’arrêtait pas de gigoter. Gray n’avait absolument pas fait attention à lui.
"Nothing ever comes without a consequence or cost"
2ème année RP
"Toi ! T’es le gars qui se dessape tout le temps dans les dortoirs ! "
Gray fit des yeux ronds, il n’en revenait pas que le jeune homme dise ça comme ça en plein milieu d’un magasin, vide certes mais tout de même. Il venait très certainement de salir sa réputation !
Il senti le regard plein de jugement de Mr Holmes et de son majordome, mais il haussa les épaules, Allons bon ils auraient été bien au courant un jour, se disait-il.
Mais il se demandait bien qui était le jeune garçon, il l’avait déjà vue certes, et il en déduit qu’il était à Poufsouffle lui aussi, mais comment s’appelle-t-il ?
Il réfléchit un instant, il avait des petits souvenir notamment à la soirée d’Halloween, il avait crue le voir dans un déguisement de citrouille… qui au passage ne sentait pas vraiment la rose, on pouvait se demander combien de temps il était resté là-dedans… Puis il se souvint de nombreuse fois ou il avait vue ce visage forment une sorte de bouche de chat, et … il avait beau réfléchir rien d’autre ne lui venait à l’esprit, il faut dire qu’il ne faisait pas trop attention à ce qu’il se passait dans les dortoirs, c’est déjà bien qu’il se souvienne avoir déjà vue ce garçon, pour le nom on passera.
Pendant sa réflexion peu intensive, Gray remarqua que le jeune sorcier regardait étrangement Damian, qu’est-ce qu’il a à le regarder comme ça ? se disait-il, il se mit alors à alterner son regard entre lui et Damian. Puis le jeune homme passa la flûte de pan au vendeur Holmes qui devait très certainement, le fixer avec insistance pour qu’il lui rende sa marchandise. Gray trouvait cela étrange qu’un des élèves de Poudlard, qui n’avait l’air pas très fortuné et qui n’avait pas l’air d’un musicien hors pair connaisse cet endroit.
Puis le jeune homme se retourna les yeux vifs et lança à Gray :
"Alors tu viens acheter une nouvelle guitare pour embêter les copains ? "
Gray fit une drôle de tête en entendant le mot « les copains », il sentait dans la voix du jeune homme le ton rieur et enfantin, mais cela ne lui plaisait pas trop :
-Euh… excuse-moi, mais tu es qui au juste ? j’imagine que tu es un Pouffys vue la gentille remarque que tu viens de faire, mais je ne me souviens point de ton nom, pourrais-tu te présenter ? car la seule chose don je me souvienne c’est ton déguisement de citrouille pour la soirée d’Halloween.
Damian regardait la scène, il était à la fois heureux et triste de ce qu’il se passait, heureux que des personnes connaisse Gray, mais triste de voir le comportement de celui-ci envers son camarade, mais il laissa faire, il n’avait pas son mot à dire en tant que majordome. Mais il décida tout de même de se mettre à coté de Gray et de lui chuchoter :
"Monsieur vous ne pensez pas que vous en faites un peu trop ?"
Celui-ci le regarda avec un regard noir, et comme réponse s’écarta de lui en continuant de le regarder fixement, avant de détourner son regard vers le jeune sorcier.
Damian décida alors de s’appuyer contre le mur, pour suivre la conversation de loin, et disparu pour réapparaître quelques minutes plus tard, avec quelque chose dans sa poche de veste qui n’arrêtait pas de gigoter. Gray n’avait absolument pas fait attention à lui.
"Nothing ever comes without a consequence or cost"
2ème année RP
La groupie du guitariste
Il a une drôle manière de parler, pensa Chems, ne s’arrêtant pas sur la sévérité du ton. Le garçon arrivait à mélanger un langage plus ou moins soutenu avec le jargon propre aux élèves de l’école. Mais le plus surprenant était encore que les seuls souvenirs que le brun ait conservés de lui soient ceux d’une soirée où il avait eu son visage dissimulé sous un masque les trois quarts du temps. La légère pique glissée dans la réponse du brun lui signala que son camarade avait mal réagit à sa petite remarque au-dessous farceur. Le première année pouvait être susceptible ou alors juste manquer d’humour, mais dans tout les cas, Chems ne pouvait pas se permettre de cataloguer aussi rapidement une personne à qui il n’avait quasiment jamais adressé la parole. Ne perdant pas son sourire, prêt à mettre son impertinence de côté le temps d’apprendre à connaître au minimum son camarade, l’intervention de l’homme distingué l’arrêta à mi-parcours, et l’échange entre le jeune sorcier et lui le laissa un peu plus confus.
Quand les pupilles onyx revinrent sur lui, Chems redressa inconsciemment son dos. La relation entre l’homme costumé et le première année était assez intrigante qu’il s’était encore laissé aller à essayer de la comprendre. Il avait l’air de se faire mener à la baguette pour un adulte. Chems tira sur la manche de son propre t-shirt, légèrement inconfortable fasse à la scène inhabituelle. Il était bien le dernier sur qui les notions élémentaires de respect avaient un impact. Mais qu’un homme au regard si bienveillant se fasse, en quelque sorte, dédaigner par le type de regard que le première année lui avait lancé, lui laissait un goût amer. Il ferait tout au mieux de ne pas laisser déborder sa curiosité au risque de s’aventurer sur un terrain glissant. Il ne connaissait rien, ni de ce garçon, ni de son histoire. Il n'était pas en position de pouvoir juger quoi que ce soit.
« Chems Daley … » murmura t-il, distrait, en essayant de ne pas laisser ses yeux dérivés sur l’homme derrière le garçon. Il arracha de force son attention de l’adulte étrangement ressemblant à son camarade de maison et précisa sa réponse en souriant faiblement. « Je suis en deuxième année. Je ne crois pas qu’on se soit déjà parler. »
Une idée loufoque chatouilla soudain l’esprit du garçon.
Chems avait une seule certitude à propos du brun. Une seule et unique chose qui pourrait possiblement casser la coque rigide d’indifférence du garçon. Maintenant, au milieu d’une boutique d’instrument si gigantesque, il lui restait peut-être encore une carte à jouer. Toucher le première année dans sa zone de confort… Ou l’art et la manière de provoquer quelqu’un
« Tu joues bien … » commença- t-il en plantant son regard dans celui d’un an son cadet, en essayant de faire abstraction de ses réflexions précédentes. Jusqu’à présent, Chems n’avait pu être qu’un spectateur passif devant le talent de ce première année. Aujourd’hui, il pourrait peut-être faire quelque chose de ce savoir … [size=100En admettant que le vendeur ne lui mette pas des bâtons dans les roues.
« … Mais j’aurais carrément pu suivre ton rythme si j’avais eu un hang entre les mains » acheva-t-il les yeux brillants de défi.
In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On
Quand les pupilles onyx revinrent sur lui, Chems redressa inconsciemment son dos. La relation entre l’homme costumé et le première année était assez intrigante qu’il s’était encore laissé aller à essayer de la comprendre. Il avait l’air de se faire mener à la baguette pour un adulte. Chems tira sur la manche de son propre t-shirt, légèrement inconfortable fasse à la scène inhabituelle. Il était bien le dernier sur qui les notions élémentaires de respect avaient un impact. Mais qu’un homme au regard si bienveillant se fasse, en quelque sorte, dédaigner par le type de regard que le première année lui avait lancé, lui laissait un goût amer. Il ferait tout au mieux de ne pas laisser déborder sa curiosité au risque de s’aventurer sur un terrain glissant. Il ne connaissait rien, ni de ce garçon, ni de son histoire. Il n'était pas en position de pouvoir juger quoi que ce soit.
« Chems Daley … » murmura t-il, distrait, en essayant de ne pas laisser ses yeux dérivés sur l’homme derrière le garçon. Il arracha de force son attention de l’adulte étrangement ressemblant à son camarade de maison et précisa sa réponse en souriant faiblement. « Je suis en deuxième année. Je ne crois pas qu’on se soit déjà parler. »
Une idée loufoque chatouilla soudain l’esprit du garçon.
Chems avait une seule certitude à propos du brun. Une seule et unique chose qui pourrait possiblement casser la coque rigide d’indifférence du garçon. Maintenant, au milieu d’une boutique d’instrument si gigantesque, il lui restait peut-être encore une carte à jouer. Toucher le première année dans sa zone de confort… Ou l’art et la manière de provoquer quelqu’un
« Tu joues bien … » commença- t-il en plantant son regard dans celui d’un an son cadet, en essayant de faire abstraction de ses réflexions précédentes. Jusqu’à présent, Chems n’avait pu être qu’un spectateur passif devant le talent de ce première année. Aujourd’hui, il pourrait peut-être faire quelque chose de ce savoir … [size=100En admettant que le vendeur ne lui mette pas des bâtons dans les roues.
« … Mais j’aurais carrément pu suivre ton rythme si j’avais eu un hang entre les mains » acheva-t-il les yeux brillants de défi.
In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On
La groupie du guitariste
Chems Daley hein, pensa Gray, ce nom, il l’avait bel et bien déjà entendu, le garçon devait sûrement faire de petites farces ou autre, pour qu’il ait pu entendre le nom d’un deuxième année alors qu’il ne parle quasiment à personne. Le peu de personne avec qui Gray avait discuté n’était pas de Poufsouffle et encore il en côtoyait deux mais, il ne les recroise plus dans le château depuis un petit moment, j’ai dû peut-être leur faire peur, pensa-t-il.
« Tu joues bien… » Gray s’attendait un peu à ce compliment, on lui avait fait tellement de fois pour commencer une conversation, à chaque fois qu’il essayait de s’isoler à Poudlard il y avait toujours quelqu’un qui l’interrompait pour lui lancer ce fameux « tu joues bien » et Gray essayant d’être un minimum social devait répondre et s’en suivait une conversation. Puis Chems reprit :
« …Mais j’aurais carrément pu suivre ton rythme si j’avais eu un hang entre les mains »
Il regarda Gray avec un air de défi, comme pour lui dire « je te défi qu’on remette sa »
« Eh bien, dans ce cas… » Il se retourna et regarda Holmes, celui-ci hocha la tête et s’éclipsa.
« … puisque tu m’as l’air déterminé on va essayer… » Gray interrompit sa phrase, il regarda Damian en penchant sa tête sur le côté.
« Dit moi Damian tu as quoi dans ta poche la » dit-il en la pointant du doigt.
Damian regarda sa poche qui s’agitait de plus en plus, il mit sa main dedans et en sorti un petit pot, Gray interrogateur reprit :
« Hum un pot qui bouge autant que ça ? y a quoi là-dedans ? » il décida de s’approcher pour aller ouvrir le pot mais Damian le fit à sa place.
« Surtout monsieur ne le faite pas sortir » dit -il en souriant.
Gray se pencha pour voir ce qu’il y avait dans le fameux pot et vit un Occamy minuscule « Oh je vois... » dit-il « mais pourquoi l’avoir amené ? »
« Oh et bien c’est parce qu’il s’ennuyait je voulais le sortir un peu »
« D’accord » reprit Gray sur un ton de je m'en foutisme.
Pendant qu’il avait discuté, Holmes était réapparu avec deux hangs dans les mains, évidemment il avait sorti le grand jeu, il y avait un avec tout un tas de petite dorure qui recouvrait tout un tas de petite gravure qui représentant des symboles égyptiens. Tandis que l’autre brillait comme le soleil.
Il les tendit à Chems pour qu’il choisisse celui avec lequel il désirait jouer.
Je me demande lequel il va prendre, moi j’aurais plutôt pris hum aucun des deux… beaucoup trop extravagant m’enfin ce n’est que pour jouer une fois.
Sur ses mots le pot de Damian qu’il avait refermé précautionneusement, n’arrêtait pas de bouger dans tout les sens, il décida de le ranger de nouveau dans sa poche, mais en faisant ça il rata cette dernière le pot se retrouva à se diriger dangereusement vers le sol.
Gray voyant le désastre arrivé, prit un des cousins se trouvant sur les canapés à coté d’eux et se jeta par terre pour rattraper le pot, il réussi de justesse, et ce releva le pot en main le mettant lui-même dans la poche de son majordome.
« Bon tu pourrais faire un peu plus attention ! tu as failli nous faire tous écraser avec ton oiseau ! »
Damian avait l’air confus et triste, il hocha la tête à Gray et fit un sourire à Chems, comme si rien ne c’était passé.
"Nothing ever comes without a consequence or cost"
2ème année RP
« Tu joues bien… » Gray s’attendait un peu à ce compliment, on lui avait fait tellement de fois pour commencer une conversation, à chaque fois qu’il essayait de s’isoler à Poudlard il y avait toujours quelqu’un qui l’interrompait pour lui lancer ce fameux « tu joues bien » et Gray essayant d’être un minimum social devait répondre et s’en suivait une conversation. Puis Chems reprit :
« …Mais j’aurais carrément pu suivre ton rythme si j’avais eu un hang entre les mains »
Il regarda Gray avec un air de défi, comme pour lui dire « je te défi qu’on remette sa »
« Eh bien, dans ce cas… » Il se retourna et regarda Holmes, celui-ci hocha la tête et s’éclipsa.
« … puisque tu m’as l’air déterminé on va essayer… » Gray interrompit sa phrase, il regarda Damian en penchant sa tête sur le côté.
« Dit moi Damian tu as quoi dans ta poche la » dit-il en la pointant du doigt.
Damian regarda sa poche qui s’agitait de plus en plus, il mit sa main dedans et en sorti un petit pot, Gray interrogateur reprit :
« Hum un pot qui bouge autant que ça ? y a quoi là-dedans ? » il décida de s’approcher pour aller ouvrir le pot mais Damian le fit à sa place.
« Surtout monsieur ne le faite pas sortir » dit -il en souriant.
Gray se pencha pour voir ce qu’il y avait dans le fameux pot et vit un Occamy minuscule « Oh je vois... » dit-il « mais pourquoi l’avoir amené ? »
« Oh et bien c’est parce qu’il s’ennuyait je voulais le sortir un peu »
« D’accord » reprit Gray sur un ton de je m'en foutisme.
Pendant qu’il avait discuté, Holmes était réapparu avec deux hangs dans les mains, évidemment il avait sorti le grand jeu, il y avait un avec tout un tas de petite dorure qui recouvrait tout un tas de petite gravure qui représentant des symboles égyptiens. Tandis que l’autre brillait comme le soleil.
Reducio
Il les tendit à Chems pour qu’il choisisse celui avec lequel il désirait jouer.
Je me demande lequel il va prendre, moi j’aurais plutôt pris hum aucun des deux… beaucoup trop extravagant m’enfin ce n’est que pour jouer une fois.
Sur ses mots le pot de Damian qu’il avait refermé précautionneusement, n’arrêtait pas de bouger dans tout les sens, il décida de le ranger de nouveau dans sa poche, mais en faisant ça il rata cette dernière le pot se retrouva à se diriger dangereusement vers le sol.
Gray voyant le désastre arrivé, prit un des cousins se trouvant sur les canapés à coté d’eux et se jeta par terre pour rattraper le pot, il réussi de justesse, et ce releva le pot en main le mettant lui-même dans la poche de son majordome.
« Bon tu pourrais faire un peu plus attention ! tu as failli nous faire tous écraser avec ton oiseau ! »
Damian avait l’air confus et triste, il hocha la tête à Gray et fit un sourire à Chems, comme si rien ne c’était passé.
"Nothing ever comes without a consequence or cost"
2ème année RP