Découverte un soir étoilé
Glasgow, Écosse.
Vacance de Noël, 2040.
Hiver 2040. L'Écosse a revétu depuis quelques jours maintenant, un épais manteau blanc. Les toits des différentes maisons sont recouverts de neige, de la fumée s'élève des hautes cheminées, permettant ainsi aux différents habitants de réchauffer leurs demeures. La ville est parsemée de lumière rouge et verte, mais aussi d'épais sapins aux aiguilles vertes, les maisons sont toutes décorées aux couleurs de Noël. La famille Fraw et leur habitation n'échappent pas à cette règle, de nombreuses lumières vertes et rouges sont accrochées aux quatre façades de la maison, deux gros sapins se trouvent de part et d'autres de la porte d'entrée, ceux-ci sont décorés avec des boules de Noël, donnant un côté festif et chaleureux à la maison.
Les Fraw sont tous occupés à une tâche différentes; la mère de famille, Enid, préparait dans la cuisine un repas pour les invités du soir elle chantait des chants de Noël à tue tête, le père, Alec, était lui dans son atelier de l'argile sur les mains et chantait à voix basse les mêmes chanson que sa femme, leurs fille, Antares, lisait dans sa chambre un livre sur la découverte des célèbres statues de l'île de Pâque. La maison ainsi que ses habitants n'attendaient que les invités. Antares ne savait pas qui ils recevraient ce soir, ses parents avaient préféré garder le secret espérant lui faire une surprise, pourtant la fillette de son mètre vingt avait essayé de faire craquer ses parents à de nombreuses reprises. Elle avait cherché des informations pendant de longues journées, farfouillant dans les armoires, dans l'atelier de son père, où elle s'était faite grandement gronder lors de ses fouilles elle marcha sur une sculpture, ses parents lui avaient bien fait comprendre qu'elles ne pouvaient pas fouiller partout comme bon lui semblait. Résultat à cela ? La fillette avait boudé et avait refusé de parler pendant un jour, ce qui permit à ses parents de rigoler de longues minutes à la vue de leur petite étoile être si fâchée.
La grande horloge dans le salon sonna dix-huit heures, automatiquement la fillette leva le regard de son livre, pourtant si passionnant, elle savait que les invités arriveront bientôt, son excitation était au plus haut point. Dès qu'elle entendrait la sonnette d'entrée sonnée, elle dévalerait les marches en vitesse. Elle se remit à lire, en essayant de garder son calme, pourtant sa jambe droite bougeait frénétiquement dans le lit.
Antares ressentit au fond de son ventre une sorte de pressentiment avant même qu'elle ait pu quitter son livre des yeux, la sonnette retentit dans un bruit clair et distinct. Automatiquement, la jeune fille se leva en vitesse, referma soigneusement son livre et le déposa sur sa table de nuit, ensuite des petits pas pressés se firent entendre de la maison, faisant sourire les invités et les parents. La fillette fut dans l'entrée en moins de trois minutes, dès qu'elle y entra un sourire vif illumina son visage ainsi que ses grands yeux bleu. Elle savait maintenant qui était les invités.
Deuxième année rp | Membre des Crocheers | #666666 | Maman Chat
Vacance de Noël, 2040.
Hiver 2040. L'Écosse a revétu depuis quelques jours maintenant, un épais manteau blanc. Les toits des différentes maisons sont recouverts de neige, de la fumée s'élève des hautes cheminées, permettant ainsi aux différents habitants de réchauffer leurs demeures. La ville est parsemée de lumière rouge et verte, mais aussi d'épais sapins aux aiguilles vertes, les maisons sont toutes décorées aux couleurs de Noël. La famille Fraw et leur habitation n'échappent pas à cette règle, de nombreuses lumières vertes et rouges sont accrochées aux quatre façades de la maison, deux gros sapins se trouvent de part et d'autres de la porte d'entrée, ceux-ci sont décorés avec des boules de Noël, donnant un côté festif et chaleureux à la maison.
Les Fraw sont tous occupés à une tâche différentes; la mère de famille, Enid, préparait dans la cuisine un repas pour les invités du soir elle chantait des chants de Noël à tue tête, le père, Alec, était lui dans son atelier de l'argile sur les mains et chantait à voix basse les mêmes chanson que sa femme, leurs fille, Antares, lisait dans sa chambre un livre sur la découverte des célèbres statues de l'île de Pâque. La maison ainsi que ses habitants n'attendaient que les invités. Antares ne savait pas qui ils recevraient ce soir, ses parents avaient préféré garder le secret espérant lui faire une surprise, pourtant la fillette de son mètre vingt avait essayé de faire craquer ses parents à de nombreuses reprises. Elle avait cherché des informations pendant de longues journées, farfouillant dans les armoires, dans l'atelier de son père, où elle s'était faite grandement gronder lors de ses fouilles elle marcha sur une sculpture, ses parents lui avaient bien fait comprendre qu'elles ne pouvaient pas fouiller partout comme bon lui semblait. Résultat à cela ? La fillette avait boudé et avait refusé de parler pendant un jour, ce qui permit à ses parents de rigoler de longues minutes à la vue de leur petite étoile être si fâchée.
La grande horloge dans le salon sonna dix-huit heures, automatiquement la fillette leva le regard de son livre, pourtant si passionnant, elle savait que les invités arriveront bientôt, son excitation était au plus haut point. Dès qu'elle entendrait la sonnette d'entrée sonnée, elle dévalerait les marches en vitesse. Elle se remit à lire, en essayant de garder son calme, pourtant sa jambe droite bougeait frénétiquement dans le lit.
Antares ressentit au fond de son ventre une sorte de pressentiment avant même qu'elle ait pu quitter son livre des yeux, la sonnette retentit dans un bruit clair et distinct. Automatiquement, la jeune fille se leva en vitesse, referma soigneusement son livre et le déposa sur sa table de nuit, ensuite des petits pas pressés se firent entendre de la maison, faisant sourire les invités et les parents. La fillette fut dans l'entrée en moins de trois minutes, dès qu'elle y entra un sourire vif illumina son visage ainsi que ses grands yeux bleu. Elle savait maintenant qui était les invités.
Dernière modification par Antares Fraw le 09 mars 2020, 23:14, modifié 2 fois.
Deuxième année rp | Membre des Crocheers | #666666 | Maman Chat
« I am the srtom. And I am coming for you. »
Découverte un soir étoilé
Six heures quarante-trois de voiture exactement depuis Londres. Cela aurait pu être moins mais l’épais manteau blanc qui avait pris possession du Royaume-Uni à ce moment là avait pousser McKenna Taylor à conduire plus prudemment. Et si le couple Taylor s’était d’abord inquiété de la longueur de route qu’ils imposaient à leur fille, cette dernière n’avait, au final, pas poser de souci.
Non la petite Athéna n’avait ouvert les yeux qu’à mi-trajet, demandant à sa mère de mettre leur playlist de Noël et lui donner son livre qui la tint occuper le reste du voyage.
Glascow était à la fois si différente et si semblable à Londres, pour la petite qui n’avait pas voyager tant que ça dans le Royaume-Uni, c’était une véritable découverte. Elle était attirée comme le serait un papillon par le ballet de lumières des différents éclairages. du rouge, du vert, de l'or et de l'argent. Des flocons, des motifs complexes, des arabesques, les milles et unes guirlandes des vitrines alors que la nuit tombé rapidement en cette nouvelle journée d'hiver.
Pour dire la stricte vérité, Athéna en avait tellement été attirer qu’elle n’eût pas vu le reste du trajet dans Glascow et n’avait repris réellement conscience que lorsque la voiture s’était arrêtée dans l’allée.
Le temps que son père ouvre le coffre où se trouvait leurs valises -car six heures de routes étaient bien trop longues pour songer à repartir le soir même-, Athéna prit le temps d’admirer les décorations de Noël. Même si, en réalité, c’était une excuse pour ne pas avancer tellement elle appréhender cette rencontre avec des inconnus.
Mais quand il faut y aller, il faut y aller, les cloches de l’église de Glascow sonnait dix-huit heures quand Mrs. Taylor, la main dans celle de sa fille avançaient vers la porte d’entrée.
Est-ce qu’Athéna était morte de peur alors que sa mère appuyait sur la sonnette ? A n’en nul doutait, c’était pour cela qu’elle s’était cachée derrière le dos de celle-ci malgré qu’elles se tiennent toujours la main. Cette position resta quand bien même leurs hôtes les fit rentrer dans la maison, et même quand il y eut une mélodie de pas pressés. Ce n’est qu’en voyant la petite fille qui se tenait un sourire vif sur le visage qu’elle consentit à légèrement décalée sa tête du dos de sa mère pour jeter un rapide coup d’œil sur la petite inconnue.
Non la petite Athéna n’avait ouvert les yeux qu’à mi-trajet, demandant à sa mère de mettre leur playlist de Noël et lui donner son livre qui la tint occuper le reste du voyage.
Glascow était à la fois si différente et si semblable à Londres, pour la petite qui n’avait pas voyager tant que ça dans le Royaume-Uni, c’était une véritable découverte. Elle était attirée comme le serait un papillon par le ballet de lumières des différents éclairages. du rouge, du vert, de l'or et de l'argent. Des flocons, des motifs complexes, des arabesques, les milles et unes guirlandes des vitrines alors que la nuit tombé rapidement en cette nouvelle journée d'hiver.
Pour dire la stricte vérité, Athéna en avait tellement été attirer qu’elle n’eût pas vu le reste du trajet dans Glascow et n’avait repris réellement conscience que lorsque la voiture s’était arrêtée dans l’allée.
Le temps que son père ouvre le coffre où se trouvait leurs valises -car six heures de routes étaient bien trop longues pour songer à repartir le soir même-, Athéna prit le temps d’admirer les décorations de Noël. Même si, en réalité, c’était une excuse pour ne pas avancer tellement elle appréhender cette rencontre avec des inconnus.
Mais quand il faut y aller, il faut y aller, les cloches de l’église de Glascow sonnait dix-huit heures quand Mrs. Taylor, la main dans celle de sa fille avançaient vers la porte d’entrée.
Est-ce qu’Athéna était morte de peur alors que sa mère appuyait sur la sonnette ? A n’en nul doutait, c’était pour cela qu’elle s’était cachée derrière le dos de celle-ci malgré qu’elles se tiennent toujours la main. Cette position resta quand bien même leurs hôtes les fit rentrer dans la maison, et même quand il y eut une mélodie de pas pressés. Ce n’est qu’en voyant la petite fille qui se tenait un sourire vif sur le visage qu’elle consentit à légèrement décalée sa tête du dos de sa mère pour jeter un rapide coup d’œil sur la petite inconnue.
Να είστε δίκαιοι αν θέλετε να είναι δικό σας.
Soyez juste si vous voulez qu'on le soit envers vous.
Découverte un soir étoilé
@Athéna Taylor
La fillette était arrivée rapidement dans l'entrée et se plaça à côté de ses parents, un sourire illuminait son visage rond, un petit rire sortit de ses lèvres lorsqu'elle comprit qui étaient les personnes invitées, un homme et une femme. Enfin, elle avait un peu compris, car elle ne se souvenait que du nom de famille de l'homme, Taylor, et pour cause, la tortue de sa grand-mère maternelle s'appelait comme cela. Elle n'avait eu aucun mal à retenir ce nom, pourtant il lui était difficile de comprendre qui il était vraiment, qui ils étaient.
Le visage d'Antares commençait à montrer des signes de questionnement, ses sourcils se fronçaient, sa bouche possédait maintenant une moue bizarre. Ses parents avaient commencé une discussion avec les autres adultes, toujours dans l'entrée, bien que la situation soit marrante, ses lèvres restèrent avec cette drôle de moue. Alec, papotait joyeusement avec les invités, ils les avaient débarrassé de leurs manteaux quelques minutes plus tôt. Quant à la mère de famille, Enid, remarqua facilement le changement de comportement qu'avait eu sa fille, alors elle lui prit la main et s'abaissa à sa hauteur tout en lui demandant ce qu'il se passait. Antares un peu honteuse n'osa pas vraiment se confier à sa mère, pourtant celle-ci lui fit comprendre avec un sourire qu'elle ne devait pas avoir peur, alors elle prit son courage à deux mains et parla « Je me souviens du grand monsieur, il s'appelle Taylor ! Comme la tortue de Nana ! Il travaille avec toi maman ! » Elle avait dit cela avec un petit rire et avec beaucoup de fierté, visiblement les souvenir de la tortue était encore fort présent. Puis elle reprit d'une toute petite voix « En plus cette après-midi, nous avons mis la table pour six personnes pourtant là si je compte bien nous ne sommes que cinq ... » Sa voix s'était encore plus éteinte lors de la fin de sa phrase, cela arrivait souvent lorsqu'elle n'était pas sure d'elle, surtout concernant les mathématiques.
C'est au moment où elle tourna la tête vers les invités qu'elle remarqua la petite fille cachée derrière les autres adultes. Antares la trouva jolie, très jolie, et lorsqu'elle remarquait quelque chose de joli, elle le disait « Tu es jolie » aussi simple que cela, cela fit rire ses parents visiblement ils n'étaient pas encore habitués à la franchise de leur fille. Antares elle n'avait pas vraiment fait attention aux rires, elle s'observait, se demandant si elle était elle aussi jolie dans sa robe jaune à longues manches qui lui arrivait au-dessus des genoux, et avec ses chaussettes avec des petits oiseaux qui semblaient voler, pourtant si on regardait vraiment, on pouvait voir que les oiseaux volaient vraiment, c'était des chaussettes magiques.
Alec, proposa d'une voix claire qu'ils passent tous à table, comme cela les nouveaux venus pouvaient se reposer de leurs voyages et le repas pourrait commencer. Alors que les adultes se dirigeaient vers la grande table, Antares resta en retrait, souhaitant rencontrer cette petite fille. D'après elle, elles avaient toutes les deux le même âge alors peut-être pourraient-elles devenir amies ? Alors d'une voix un peu plus claire que précédemment et avec un petit sourire sur le visage la fillette se présenta « Je suis Antares, mais on m'appelle Tares c'est plus court et toi tu t'appelles comment ? » Antares espérait secrètement que la fillette en face d'elle ne la rejetterait pas, et qu'elle n'avait pas trop peur.
Je suis si désolé pour cet immense retard. J'espère cependant que l'attente valait le coup.
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« I am the srtom. And I am coming for you. »
Découverte un soir étoilé
C’était facile de se cacher derrière sa mère quand il y avait des adultes, Athéna n’était pourtant pas d’un naturel timide. Mais des inconnus, à sept heures de route ou presque de la maison. Il y avait de quoi se poser quelques questions tout de même. Pourtant, les parents semblaient heureux de voir ces personnes. Peut-être devrait-elle être heureuse aussi ? Et puis, au bout d’un moment, Enid (parce que sa mère lui avait parlé des personnes qu’elles allaient voir et la petite brune s’était évertuée à retenir leurs prénoms) prit la main de la petite fille avant de s’abaisser à la hauteur de sa fille. Lorsqu’elle parla de la tortue, Athéna fronça les sourcils, quelle drôle d’idée d’appeler une tortue Taylor. Franklin à la limite, mais Taylor ? C’était étrange. En tout cas, ce drôle de nom avait eu le mérite de faire rire les adultes. Et puis finalement, elle se fait remarquer, dès que la petite avait tourné la tête. « Tu es jolie » Il n’en avait pas fallu plus pour que la petite devienne rouge pivoine, ce n’était tout de même pas sa faute si elle n’aimait pas les compliments. La plus jolie de toute façon c’était sa maman ! Pas elle.
Pourtant, la petite n’était pas vilaine dans sa robe sans manche blanche, parsemé de petites paillettes qui rappelait la neige au soleil, ses chaussures à boucle vernis, blanche elles-aussi par-dessus des collants transparents.
Néanmoins, d’une petite voix, elle remercia la petite, lui retournant le compliment d’un « Merci, tu es très jolie aussi ».
Et puis soudain, les adultes s’avancent, et voilà la jeune fille démunis de toute protection. Qu’est-ce qu’elle doit dire ? Qu’est-ce qu’elle doit faire ? Elle ne traine pas avec des filles normalement ! Juste les garçons ! Parce que oui, à 7/8 ans, Athéna préférait 1000 fois être avec les garçons qu’avec les filles qui parlaient équitation et autre ! Ah ça nan, les filles clichés, très peu pour elle !
« Je suis Antares, mais on m’appelle Tares c’est plus court et toi tu t’appelles comment ? »
La petite tourna la tête vers la jeune fille, et face à son sourire, elle ne put que lui répondre. Si elle lui parlait de trucs trop filles, elle n’aurait qu’à faire semblant d’être intéressée, comme le faisait grand-père quand ses « amis » venaient à la maison. Après, elle n’avait pas l’air d’être une fille à clichée donc… armée d’un petit sourire, Athéna eut finalement le courage de lui répondre.
« Je m’appelle Athéna Mazikeen. Mais généralement c’est juste Athéna, personne n’utilise mon deuxième prénom. Enfin sauf ma famille si j’ai fait une grosse bêtise. »
Pourtant, la petite n’était pas vilaine dans sa robe sans manche blanche, parsemé de petites paillettes qui rappelait la neige au soleil, ses chaussures à boucle vernis, blanche elles-aussi par-dessus des collants transparents.
Néanmoins, d’une petite voix, elle remercia la petite, lui retournant le compliment d’un « Merci, tu es très jolie aussi ».
Et puis soudain, les adultes s’avancent, et voilà la jeune fille démunis de toute protection. Qu’est-ce qu’elle doit dire ? Qu’est-ce qu’elle doit faire ? Elle ne traine pas avec des filles normalement ! Juste les garçons ! Parce que oui, à 7/8 ans, Athéna préférait 1000 fois être avec les garçons qu’avec les filles qui parlaient équitation et autre ! Ah ça nan, les filles clichés, très peu pour elle !
« Je suis Antares, mais on m’appelle Tares c’est plus court et toi tu t’appelles comment ? »
La petite tourna la tête vers la jeune fille, et face à son sourire, elle ne put que lui répondre. Si elle lui parlait de trucs trop filles, elle n’aurait qu’à faire semblant d’être intéressée, comme le faisait grand-père quand ses « amis » venaient à la maison. Après, elle n’avait pas l’air d’être une fille à clichée donc… armée d’un petit sourire, Athéna eut finalement le courage de lui répondre.
« Je m’appelle Athéna Mazikeen. Mais généralement c’est juste Athéna, personne n’utilise mon deuxième prénom. Enfin sauf ma famille si j’ai fait une grosse bêtise. »
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Découverte un soir étoilé
Antares avait eu peur que sa présentation reste sans réponse, mais fut agréablement surprise de connaître le nom de la fillette, Athéna, c'était un très joli nom. Celle-ci semblait être inquiète depuis que les adultes avaient quitté la pièce pour rejoindre la table à manger, la jeune fille espérait secrètement que cela n'était pas de sa faute, elle se doutait très bien que si ses parents avaient invités les Taylor ainsi que leurs filles c'était pour qu'Antares se lie d'amitié avec quelqu'un, chose encore difficile pour elle. Mais peut-être que la fille des Taylor, pourrait devenir son amie ? Elle n'en savait rien mais l'espérait de tout son coeur.
Voyant la fillette essayée d'être courageuse et de ne plus avoir peur, Antares s'approcha doucement, comme lorsqu'elle approchait les biquettes de Nana, et arriva aux côtés de la nouvelle venue. Voulant se montrer rassurante, Antares lui prit la main toujours avec douceurs, pour la guider vers la salle à manger, elle espérait que ce geste ne la mettrait pas mal à l'aise. Alors que leurs deux mains étaient accrochées l'une à l'autre, la fillette ne put s'empêcher d'avoir un grand sourire. Elle était heureuse, en temps normal elle aurait été gênée par le contact d'une autre personne, pourtant cette fois-ci c'est elle-même qui avait chercher ce contact, et elle l'appréciait. Athéna était pour Antares assez rassurante, c'était une présence douce, tellement douce que la fillette restait apeurée à l'idée de lui faire du mal, en aucun cas elle ne souhaitait éloigner la jeune fille d'elle.
N'appréciant que très peu le silence, Antares réfléchit à toute allure, depuis que l'autre fillette s'était présentée, et avait annoncé son prénom, celui-ci était resté gravé dans la mémoire de la fillette. Et pour cause, Antares était une fervente admiratrice de la mythologie Gréco-Romaine, de presque toutes les mythologies à vrai dire. La fillette ne pouvait pas se retenir de lui dire ce qu'elle pensait. « Je pense que tu portes très bien ton prénom. Je ne pense pas d'ailleurs que tu puisses faire beaucoup de bêtises comparées à moi » elle s'arrêta en rigolant doucement se rappelant le nombre incalculable de fois où ses parents avaient inquiet vu le nombre de bêtises qu'elle fait « Tu sais la déesse Athéna dans la mythologie Grecque est la déesse de la guerre, mais pas que, elle est aussi la déesse de la sagesse de la stratégie des inventions, des arts et surtout protectrices des héros » Antares s'arrêta subitement, elle avait surement dû encore trop parler, pourtant elle souhaitait lui dire une dernière chose avant de se mettre à table pour manger » Et je pense chère Athéna que tu portes merveilleusement bien ton prénom" elle lui fit un sourire discret, gênée de ses paroles « Je suis désolé j'ai parlé beaucoup, je suis juste totalement fan de la mythologie j'ai lu des centaines de livres à ce sujet ! Excuse moi. Si tu veux tu peux t'asseoir en face de moi pour dîner ? »
Les deux fillettes étaient arrivées, juste devant leurs parents, ceux avaient donc pu entendre la dernière phrase d'Antares, Enid, avait d'ailleurs acquiescée lorsqu'elle parla de la mythologie et du nombre de livres qu'elle avait lu. La fillette espérait ne pas avoir terrifié encore plus son invitée, quelque peu inquiètes, elle lui lâcha la main et tourna un regard inquiet vers son père, Alec.
Deuxième année rp | Membre des Crocheers | #666666 | Maman Chat
Voyant la fillette essayée d'être courageuse et de ne plus avoir peur, Antares s'approcha doucement, comme lorsqu'elle approchait les biquettes de Nana, et arriva aux côtés de la nouvelle venue. Voulant se montrer rassurante, Antares lui prit la main toujours avec douceurs, pour la guider vers la salle à manger, elle espérait que ce geste ne la mettrait pas mal à l'aise. Alors que leurs deux mains étaient accrochées l'une à l'autre, la fillette ne put s'empêcher d'avoir un grand sourire. Elle était heureuse, en temps normal elle aurait été gênée par le contact d'une autre personne, pourtant cette fois-ci c'est elle-même qui avait chercher ce contact, et elle l'appréciait. Athéna était pour Antares assez rassurante, c'était une présence douce, tellement douce que la fillette restait apeurée à l'idée de lui faire du mal, en aucun cas elle ne souhaitait éloigner la jeune fille d'elle.
N'appréciant que très peu le silence, Antares réfléchit à toute allure, depuis que l'autre fillette s'était présentée, et avait annoncé son prénom, celui-ci était resté gravé dans la mémoire de la fillette. Et pour cause, Antares était une fervente admiratrice de la mythologie Gréco-Romaine, de presque toutes les mythologies à vrai dire. La fillette ne pouvait pas se retenir de lui dire ce qu'elle pensait. « Je pense que tu portes très bien ton prénom. Je ne pense pas d'ailleurs que tu puisses faire beaucoup de bêtises comparées à moi » elle s'arrêta en rigolant doucement se rappelant le nombre incalculable de fois où ses parents avaient inquiet vu le nombre de bêtises qu'elle fait « Tu sais la déesse Athéna dans la mythologie Grecque est la déesse de la guerre, mais pas que, elle est aussi la déesse de la sagesse de la stratégie des inventions, des arts et surtout protectrices des héros » Antares s'arrêta subitement, elle avait surement dû encore trop parler, pourtant elle souhaitait lui dire une dernière chose avant de se mettre à table pour manger » Et je pense chère Athéna que tu portes merveilleusement bien ton prénom" elle lui fit un sourire discret, gênée de ses paroles « Je suis désolé j'ai parlé beaucoup, je suis juste totalement fan de la mythologie j'ai lu des centaines de livres à ce sujet ! Excuse moi. Si tu veux tu peux t'asseoir en face de moi pour dîner ? »
Les deux fillettes étaient arrivées, juste devant leurs parents, ceux avaient donc pu entendre la dernière phrase d'Antares, Enid, avait d'ailleurs acquiescée lorsqu'elle parla de la mythologie et du nombre de livres qu'elle avait lu. La fillette espérait ne pas avoir terrifié encore plus son invitée, quelque peu inquiètes, elle lui lâcha la main et tourna un regard inquiet vers son père, Alec.
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