Emplettes dangereuses ?
Le Nouvel An. New Year's Eve, comme ils disent au Royaume-Uni. Pour fêter le passage vers la nouvelle année, le Ministère organisait une réception, et les parents d'Alyse y étaient conviés, son père ayant un poste haut placé au ministère. Ses parents s'étant souvenus de sa présence, ils avaient également dit à leur fille de venir, en lui précisant de trouver une tenue convenable, pas les, début de citation « infâmes t-shirts moldus que tu portes sans cesse » fin de citation. Sa mère avait bien précisé une robe et pas un pantalon, Alyse étant évidemment une fille. Une robe. UNE ROBE. Déjà que la Jaune avait du mal avec l'uniforme de Poudlard, qu'elle était obligée de porter, mais en plus devoir porter une robe pendant un pince-fesse ennuyeux à mourir, c'était le pompon.
C'était donc en un matin enneigé qu'Alyse se rendit non pas à Pré-Au-Lard ou dans le Chemin de Traverse, mais à Londres, la capitale britannique. C'était également la première fois que la Jaune s'y rendait, et malheureusement, elle n'aurait pas le temps de visiter les divers monuments de la ville. Ses parents lui avaient conseillés de se rendre.. Non pardon, lui avaient ordonné de se rendre dans le quartier de Notting Hill, qui avait apparemment la réputation d'être un quartier riche, et de surcroît à la mode. Si cela n'avait tenu qu'a Alyse, elle se serait rendue dans un magasin de prêt-à-porter, dans le grand magasin que les moldus appellent « centre commercial », et elle aurait acheté la première robe qui lui serait venue sous la main.
Armée d'une bourse de 500 Gallions généreusement offerte par son père, la jeune fille poussa la porte d'un magasin de vêtements, où était écrit sur la devanture « Miss Elvira, tenues de soirée ». Une jeune femme vint l'accoster immédiatement, lui demandant ce qu'elle désirait. Après avoir expliqué ce qu'Alyse désirait, Miss Elvira lui proposa de faire un tour dans la boutique, histoire de se faire une propre idée de ce qu'elle voulait. Alyse détonnait un peu, dans ce magasin "de luxe". Elle portait un pull avec le célèbre (pour les moldus) symbole d'un groupe de rock britannique, qui était une bouche et une langue rouge vif, ainsi qu'un pantalon noir, et une paire de bottes en cuir noir, mouillées à cause de la neige. Le pull était caché sous un manteau gris clair, fermé jusqu'au cou. Après avoir passé le rayon homme, la Préfète tourna dans le grand rayon judicieusement nommé « jeune fille », et se retrouva nez-a-nez avec une autre fille. Celle-ci disait quelque chose à Alyse, mais elle ne se souvint pas où est-ce qu'elle aurait pu croiser cette blondinette. La Jaune décida donc de lui demander.
« C'est la première fois que je viens à Londres, mais... On se s'rait pas déjà vues quelque part ? »
Le souffle des Poufsouffle jamais ne s'étouffe !
Finisseuse des Frelons de Poufsouffle
Journaliste au Journal du Blaireau
Poufsouffle du mois d'août 2014 & Elève du mois d'octobre 2014 ~
C'était donc en un matin enneigé qu'Alyse se rendit non pas à Pré-Au-Lard ou dans le Chemin de Traverse, mais à Londres, la capitale britannique. C'était également la première fois que la Jaune s'y rendait, et malheureusement, elle n'aurait pas le temps de visiter les divers monuments de la ville. Ses parents lui avaient conseillés de se rendre.. Non pardon, lui avaient ordonné de se rendre dans le quartier de Notting Hill, qui avait apparemment la réputation d'être un quartier riche, et de surcroît à la mode. Si cela n'avait tenu qu'a Alyse, elle se serait rendue dans un magasin de prêt-à-porter, dans le grand magasin que les moldus appellent « centre commercial », et elle aurait acheté la première robe qui lui serait venue sous la main.
Armée d'une bourse de 500 Gallions généreusement offerte par son père, la jeune fille poussa la porte d'un magasin de vêtements, où était écrit sur la devanture « Miss Elvira, tenues de soirée ». Une jeune femme vint l'accoster immédiatement, lui demandant ce qu'elle désirait. Après avoir expliqué ce qu'Alyse désirait, Miss Elvira lui proposa de faire un tour dans la boutique, histoire de se faire une propre idée de ce qu'elle voulait. Alyse détonnait un peu, dans ce magasin "de luxe". Elle portait un pull avec le célèbre (pour les moldus) symbole d'un groupe de rock britannique, qui était une bouche et une langue rouge vif, ainsi qu'un pantalon noir, et une paire de bottes en cuir noir, mouillées à cause de la neige. Le pull était caché sous un manteau gris clair, fermé jusqu'au cou. Après avoir passé le rayon homme, la Préfète tourna dans le grand rayon judicieusement nommé « jeune fille », et se retrouva nez-a-nez avec une autre fille. Celle-ci disait quelque chose à Alyse, mais elle ne se souvint pas où est-ce qu'elle aurait pu croiser cette blondinette. La Jaune décida donc de lui demander.
« C'est la première fois que je viens à Londres, mais... On se s'rait pas déjà vues quelque part ? »
Le souffle des Poufsouffle jamais ne s'étouffe !
Finisseuse des Frelons de Poufsouffle
Journaliste au Journal du Blaireau
Poufsouffle du mois d'août 2014 & Elève du mois d'octobre 2014 ~
Ancien sorcier
Emplettes dangereuses ?
Caroline s'était rendue à Londres pour des affaires de la plus haute importance ! Elle était allée au Ministère de la Magie anglais. Bien sûr, elle avait dû passer par la cabine de téléphone rouge. Une fois ce qu'elle devait y faire accompli, elle repartit. Néanmoins, elle voulait rester dans la capitale. Londres et surtout son quartier shopping était assez réputé alors pourquoi ne pas en profiter ? Surtout que ses parents lui avaient fourni son énormissime argent de poche ce matin même ! Et gâteaux comme ils étaient, ils avaient rajouté des gallions pour féliciter ses excellentes notes. C'est donc armé d'une bourse équivalent à 100 gallions, la monnaie des sorciers que la Serpentard partit dans les rues de London à la recherche d'une tenue, d'une paire de chaussures ou de livres rares. Bien entendu, elle avait prit soin de changer ses gallions en Livre Sterling. Il ne fallait tout de même pas qu'elle se trompe de monnaie et qu'elle passe pour une folle.
Après avoir trénassée pendant une heure (les anglais avaient des goûts en matière de mode très spéciaux), elle finit par apercevoir LA boutique. Celle-ci se trouvait en plein Notting Hills, un des quartiers les plus riches de Londres, où bien sûr elle était déjà allée. Et dedans, il y avait la robe de rêve. Une robe bustier bleue à volants, une vraie petite merveille. Elle allait se diriger vers la vendeuse quand une voie retentit dans son dos. Caroline se retourna pour faire face à une jeune fille qui semblait avoir 14 ans.
« C'est la première fois que je viens à Londres, mais... On se s'rait pas déjà vues quelque part ? »
Effectivement, Caroline avait elle aussi l'impression d'avoir déjà vu la fille qui était en face d'elle. Peut-être et même sûrement à Poudlard ou bien dans son école primaire. Ses traits lui étaient familiers et elle avait une désagréable impression de déjà vu. Mais où avait-elle croisé cette fille ?! Telle était la question ! Elle devait avoir au moins 13 ans surement 14. Mais pourquoi l'avoir abordé ? C'est pas grave si on croise quelqu'un qu'on connait. Néanmoins, il fallait découvrir la vérité tout en restant sur ses gardes : si c'était une moldue et que la verte se mettait à parler de magie, ça n'allait pas le faire. Quand même si cette fille ne venait pas du bon endroit et qu'elle lui révélait toute son identité en parlant du monde magique, elle irait surement du mauvais coté du ministère : celui du tribunal pour avoir enfreint une des règles les plus élémentaires. Ne jamais révélé l'existence des sorciers aux sans pouvoirs soit les moldus. Alors elle misa plus sur la subtilité :
" Oui moi aussi j'ai l'impression de te connaître. Peut-être nous serions croisé au Chaudron Baveur ? En tout cas, je m'appelle Caroline. "
Voilà, Caroline allait savoir si l'inconnue était vraiment une inconnue. Si la jeune fille se demandait qu'est-ce qu'était le Chaudron Baveur, alors elle serait fixée.
Après avoir trénassée pendant une heure (les anglais avaient des goûts en matière de mode très spéciaux), elle finit par apercevoir LA boutique. Celle-ci se trouvait en plein Notting Hills, un des quartiers les plus riches de Londres, où bien sûr elle était déjà allée. Et dedans, il y avait la robe de rêve. Une robe bustier bleue à volants, une vraie petite merveille. Elle allait se diriger vers la vendeuse quand une voie retentit dans son dos. Caroline se retourna pour faire face à une jeune fille qui semblait avoir 14 ans.
« C'est la première fois que je viens à Londres, mais... On se s'rait pas déjà vues quelque part ? »
Effectivement, Caroline avait elle aussi l'impression d'avoir déjà vu la fille qui était en face d'elle. Peut-être et même sûrement à Poudlard ou bien dans son école primaire. Ses traits lui étaient familiers et elle avait une désagréable impression de déjà vu. Mais où avait-elle croisé cette fille ?! Telle était la question ! Elle devait avoir au moins 13 ans surement 14. Mais pourquoi l'avoir abordé ? C'est pas grave si on croise quelqu'un qu'on connait. Néanmoins, il fallait découvrir la vérité tout en restant sur ses gardes : si c'était une moldue et que la verte se mettait à parler de magie, ça n'allait pas le faire. Quand même si cette fille ne venait pas du bon endroit et qu'elle lui révélait toute son identité en parlant du monde magique, elle irait surement du mauvais coté du ministère : celui du tribunal pour avoir enfreint une des règles les plus élémentaires. Ne jamais révélé l'existence des sorciers aux sans pouvoirs soit les moldus. Alors elle misa plus sur la subtilité :
" Oui moi aussi j'ai l'impression de te connaître. Peut-être nous serions croisé au Chaudron Baveur ? En tout cas, je m'appelle Caroline. "
Voilà, Caroline allait savoir si l'inconnue était vraiment une inconnue. Si la jeune fille se demandait qu'est-ce qu'était le Chaudron Baveur, alors elle serait fixée.
Emplettes dangereuses ?
" Oui moi aussi j'ai l'impression de te connaître. Peut-être nous serions croisé au Chaudron Baveur ? En tout cas, je m'appelle Caroline. "
Au moins, Alyse n'avait pas adressé la parole à une Moldue. Se trouvant dans une boutique londonnienne, dans un quartier pas forcément sorcier, de surcroît, elle aurait pu faire une gaffe si la jeune fille en face d'elle avait parlé d'un autre endroit moldu. La fille en face d'elle s'appelait donc Caroline, et d'après ses paroles, si elle connaissait le Chaudron Baveur, elle devait être à Poudlard. Alyse ne s'étant rendue que deux fois au Chaudron, une fois pour aider Miss Pidloux à décorer son bar pour les fêtes de fin d'année, et une autre fois pour y prendre un verre, et où elle avait fait la rencontre de Célia, qui était par la suite devenue une très bonne amie.
Caroline semblait avoir 12-13 ans, et Alyse avait la très nette impression qu'elles ne s'étaient pas croisées uniquement dans un bar. Peut-être était-elle Préfète, comme la Jaune ? Cette dernière se remémora rapidement les prénoms de ses collègues. Elina, Alyce, Kaeyann, Ysalyne, Madeleine, Meilla... Impossible de remettre le nom sur la dernière. C'était forcément une dernière, puisqu'il n'y avait que des préfètes filles à Poudlard, désormais. Meilla avait été élue Préfète-En-Chef, et Alyse avait été plus que ravie du choix de l'équipe professorale. La Jaune était admirative du parcours de sa collègue, et n'avait malheureusement jamais eu l'occasion de la féliciter, ce qu'elle trouvait dommage. En rentrant à Poudlard, elle y remédirait immédiatement. Alyse eut soudain un flash : c'était Caroline, sa dernière collègue ! Elles s'étaient donc croisées dans la Salle des Préfèts, évidemment ! La jeune fille se frappa le front avec la paume de la main, puis répondit à sa camarade.
« Pas au Chaudron, mais à Poudlard ! On a du sans aucun doute se croiser dans la Salle des Préfèts ! »
La Jaune avait parlé fort, un peu trop fort même, puisque les deux clientes entrées dans le magasin la regardaient d'un œil curieux. Ne pas dévoiler l'existence des sorciers était une chose primordiale à respecter, et Alyse venait de franchir une limite. Néanmoins, elle se doutait que les deux jeunes filles qui avaient surpris leur conversation, connaissent l'existence du monde sorcier, à moins qu'elles n'en soient elles-mêmes. La jeune fille reprit la parole rapidement, réalisant qu'elle ne s'était pas présentée à Caroline. Si ça se trouve, elle ne connaissait même pas son nom, malgré le fait qu'elles soient « collègues ».
« Au fait, je suis Alyse ». Puis à voix basse : « Une des deux Préfètes de Poufsouffle ».
Avec cette histoire, Alyse avait presque oublié son but principal, qui était de trouver une robe pour ce fichu réveillon de la saint Sylvestre. Elle ne voulait pas être impolie, mais elle se tourna quand même de nouveau vers le portant des robes de soirée spécial jeunes filles, et commença à regarder les robes. Trop courtes, trop longues, trop rose... Pour le moment, ce n'était pas gagné. La jeune fille décida de demander conseil à sa camarade, puisque la vendeuse était occupée ailleurs.
« Dis, tu pourrais pas m'aider à trouver une robe ? Mes parents me forcent à aller à leur fête au Ministère, et ils me chargent de me trouver une robe de soirée, mais bon, comme j'suis pas fan des robes c'pas très facile... »
Caroline allait la prendre pour une dérangée, c'était sur et certain. Mais comme Alyse devait absolument se trouver une robe, il fallait bien qu'elle tente.
Le souffle des Poufsouffle jamais ne s'étouffe !
Finisseuse des Frelons de Poufsouffle
Journaliste au Journal du Blaireau
Poufsouffle du mois d'août 2014 & Elève du mois d'octobre 2014 ~
Au moins, Alyse n'avait pas adressé la parole à une Moldue. Se trouvant dans une boutique londonnienne, dans un quartier pas forcément sorcier, de surcroît, elle aurait pu faire une gaffe si la jeune fille en face d'elle avait parlé d'un autre endroit moldu. La fille en face d'elle s'appelait donc Caroline, et d'après ses paroles, si elle connaissait le Chaudron Baveur, elle devait être à Poudlard. Alyse ne s'étant rendue que deux fois au Chaudron, une fois pour aider Miss Pidloux à décorer son bar pour les fêtes de fin d'année, et une autre fois pour y prendre un verre, et où elle avait fait la rencontre de Célia, qui était par la suite devenue une très bonne amie.
Caroline semblait avoir 12-13 ans, et Alyse avait la très nette impression qu'elles ne s'étaient pas croisées uniquement dans un bar. Peut-être était-elle Préfète, comme la Jaune ? Cette dernière se remémora rapidement les prénoms de ses collègues. Elina, Alyce, Kaeyann, Ysalyne, Madeleine, Meilla... Impossible de remettre le nom sur la dernière. C'était forcément une dernière, puisqu'il n'y avait que des préfètes filles à Poudlard, désormais. Meilla avait été élue Préfète-En-Chef, et Alyse avait été plus que ravie du choix de l'équipe professorale. La Jaune était admirative du parcours de sa collègue, et n'avait malheureusement jamais eu l'occasion de la féliciter, ce qu'elle trouvait dommage. En rentrant à Poudlard, elle y remédirait immédiatement. Alyse eut soudain un flash : c'était Caroline, sa dernière collègue ! Elles s'étaient donc croisées dans la Salle des Préfèts, évidemment ! La jeune fille se frappa le front avec la paume de la main, puis répondit à sa camarade.
« Pas au Chaudron, mais à Poudlard ! On a du sans aucun doute se croiser dans la Salle des Préfèts ! »
La Jaune avait parlé fort, un peu trop fort même, puisque les deux clientes entrées dans le magasin la regardaient d'un œil curieux. Ne pas dévoiler l'existence des sorciers était une chose primordiale à respecter, et Alyse venait de franchir une limite. Néanmoins, elle se doutait que les deux jeunes filles qui avaient surpris leur conversation, connaissent l'existence du monde sorcier, à moins qu'elles n'en soient elles-mêmes. La jeune fille reprit la parole rapidement, réalisant qu'elle ne s'était pas présentée à Caroline. Si ça se trouve, elle ne connaissait même pas son nom, malgré le fait qu'elles soient « collègues ».
« Au fait, je suis Alyse ». Puis à voix basse : « Une des deux Préfètes de Poufsouffle ».
Avec cette histoire, Alyse avait presque oublié son but principal, qui était de trouver une robe pour ce fichu réveillon de la saint Sylvestre. Elle ne voulait pas être impolie, mais elle se tourna quand même de nouveau vers le portant des robes de soirée spécial jeunes filles, et commença à regarder les robes. Trop courtes, trop longues, trop rose... Pour le moment, ce n'était pas gagné. La jeune fille décida de demander conseil à sa camarade, puisque la vendeuse était occupée ailleurs.
« Dis, tu pourrais pas m'aider à trouver une robe ? Mes parents me forcent à aller à leur fête au Ministère, et ils me chargent de me trouver une robe de soirée, mais bon, comme j'suis pas fan des robes c'pas très facile... »
Caroline allait la prendre pour une dérangée, c'était sur et certain. Mais comme Alyse devait absolument se trouver une robe, il fallait bien qu'elle tente.
Le souffle des Poufsouffle jamais ne s'étouffe !
Finisseuse des Frelons de Poufsouffle
Journaliste au Journal du Blaireau
Poufsouffle du mois d'août 2014 & Elève du mois d'octobre 2014 ~
Ancien sorcier
Emplettes dangereuses ?
La jeune fille en face de Caroline semblait réfléchir où elle avait déjà pu voir la verte. Et elle aussi pensait sûrement à un plan pour se rappeler de qui était la petite blonde. Et finalement, elle s’exclama tandis qu'un éclair de compréhension passait dans son regard :
« Pas au Chaudron, mais à Poudlard ! On a du sans aucun doute se croiser dans la Salle des Préfèts ! »
* Première information : elle connaît l’existence du monde magique : de Poudlard, de la magie et du Ministère... Déjà ça c'est quand même plus pratique pour parler. Deuxième information : c'est une préfète... Mais de laquelle des trois maisons ? Poufsouffle, Serdaigle ou Gryffondor ? Telle était la question. Parce que y'a quand même que des filles préfètes ! Aucun garçon ! Tiens, je viens de le remarquer. Et deuxième information : elle sait que je suis une préfète parce que sinon, on aurait pas pu se croiser dans la salle des Préfets. Elle est observatrice cette peti... Cette fille. Parce qu'elle est quand même plus grande que moi. Sûrement parce qu'elle est plus âgée, suis-je bête ! Peut-être troisième ou quatrième année. Faudrait que je lui demande. *
Mais Caroline n’en eu pas le temps parce que déjà la fille continua à parler. Elle était bavarde mais en même temps, il fallait bien meubler la conversation pour ne pas qu'un lourd silence pesant s'installe :
« Au fait, je suis Alyse. Une des deux Préfètes de Poufsouffle »
Apparemment, Alyse n'avait pas l'air très heureuse d'être une préfète. Ou alors, elle se demandait pourquoi son Directeur de Maison ou plutôt sa Directrice vu que c'était Miss Almeida qui dirigeait les Poufsouffle, l'avait promu à ce poste. De toute façon, sa voix avait faibli pour une raison inconnue que seule Alyse connaissait. Puis elle parut se rappeler de quelque chose de très important et d'un coup s’exclama, l'air limite découragé :
« Dis, tu pourrais pas m'aider à trouver une robe ? Mes parents me forcent à aller à leur fête au Ministère, et ils me chargent de me trouver une robe de soirée, mais bon, comme j'suis pas fan des robes c'pas très facile... »
*De l'aide ? Pour chercher des vêtements ? Elle demande de l'aide à la meilleure personne dans ce cas-là, la mode n'a aucun secret pour moi !* Une sourire illumina le visage de Caroline à l'annonce de ces paroles plus qu'intéressantes. On pouvait très bien traiter Caroline, de fille trop fille mais dans certains cas, elle l'était vraiment. Une de ses passions était la mode. Avant, elle n'adorait pas vraiment ça, elle détestait même faire les boutiques et s'habillait selon SES goûts. Mais maintenant, en grandissant, tout avait changé. Elle aimait les vêtements couleurs pastels, les chaussures, faire les boutiques, se maquiller... Même si cela contrastait parfois avec l'envie de grimper aux arbres qui était nettement plus salissant. Cela avait aussi ravie sa mère quand elle l'avait appris. La mère et la fille, ensemble dans des après-midi shopping, ça faisait cliché et grincer des dents à Caroline quand elle en parlait mais c'était très agréable et en plus, dans ces moments-là, ça mère dépensait sans compter. La carte bleue était quand même une invention moldue fantastique.
Avec toujours son grand sourire, Caroline entreprit de répondre à son interlocutrice qui attendait une réponse bien sagement à coté d'elle :
« Je me doutais bien que c'était à Poudlard mais c'était pour vérifier que t'étais pas une moldue. » avoua la petite blonde « Je suis en deuxième année et aussi préfète mais de Serpentard. » annonça-t-elle « T'as besoin d'aide pour trouver une robe ? Génial moi aussi ! Tu fais appel à la bonne personne, j'adore faire les boutiques. On va faire des essayages et un défilé de tenue pour voir l'avis de l'autre et si la tenue est confortable. Y'a rien de mieux pour choisir une robe tu peux m'croire ! »
Caroline laissa Alyse comprendre le long monologue que venait de dire la Serpentard. Quand elle se sentait à l'aise (comme ici dans une boutique), elle pouvait se mettre à parler encore et encore. Surtout quand le sujet l’intéressait.
« Passons aux choses sérieuses, t'aimes quoi comme style de robes ? Plutôt bustier, à volants, à franges ? Et pour la couleur ? La matière ? T'as déjà quelques idées ? Parce que pour la soirée du Ministère, tous les gens sont super chics là-bas. J'y suis déjà allée et faut vraiment envoyer et en mettre pleins les yeux. » Au souvenir de cette fête, elle grimaça légèrement, les gens y étaient très snobs et c'était assez déstabilisant et pénibles.
« Pas au Chaudron, mais à Poudlard ! On a du sans aucun doute se croiser dans la Salle des Préfèts ! »
* Première information : elle connaît l’existence du monde magique : de Poudlard, de la magie et du Ministère... Déjà ça c'est quand même plus pratique pour parler. Deuxième information : c'est une préfète... Mais de laquelle des trois maisons ? Poufsouffle, Serdaigle ou Gryffondor ? Telle était la question. Parce que y'a quand même que des filles préfètes ! Aucun garçon ! Tiens, je viens de le remarquer. Et deuxième information : elle sait que je suis une préfète parce que sinon, on aurait pas pu se croiser dans la salle des Préfets. Elle est observatrice cette peti... Cette fille. Parce qu'elle est quand même plus grande que moi. Sûrement parce qu'elle est plus âgée, suis-je bête ! Peut-être troisième ou quatrième année. Faudrait que je lui demande. *
Mais Caroline n’en eu pas le temps parce que déjà la fille continua à parler. Elle était bavarde mais en même temps, il fallait bien meubler la conversation pour ne pas qu'un lourd silence pesant s'installe :
« Au fait, je suis Alyse. Une des deux Préfètes de Poufsouffle »
Apparemment, Alyse n'avait pas l'air très heureuse d'être une préfète. Ou alors, elle se demandait pourquoi son Directeur de Maison ou plutôt sa Directrice vu que c'était Miss Almeida qui dirigeait les Poufsouffle, l'avait promu à ce poste. De toute façon, sa voix avait faibli pour une raison inconnue que seule Alyse connaissait. Puis elle parut se rappeler de quelque chose de très important et d'un coup s’exclama, l'air limite découragé :
« Dis, tu pourrais pas m'aider à trouver une robe ? Mes parents me forcent à aller à leur fête au Ministère, et ils me chargent de me trouver une robe de soirée, mais bon, comme j'suis pas fan des robes c'pas très facile... »
*De l'aide ? Pour chercher des vêtements ? Elle demande de l'aide à la meilleure personne dans ce cas-là, la mode n'a aucun secret pour moi !* Une sourire illumina le visage de Caroline à l'annonce de ces paroles plus qu'intéressantes. On pouvait très bien traiter Caroline, de fille trop fille mais dans certains cas, elle l'était vraiment. Une de ses passions était la mode. Avant, elle n'adorait pas vraiment ça, elle détestait même faire les boutiques et s'habillait selon SES goûts. Mais maintenant, en grandissant, tout avait changé. Elle aimait les vêtements couleurs pastels, les chaussures, faire les boutiques, se maquiller... Même si cela contrastait parfois avec l'envie de grimper aux arbres qui était nettement plus salissant. Cela avait aussi ravie sa mère quand elle l'avait appris. La mère et la fille, ensemble dans des après-midi shopping, ça faisait cliché et grincer des dents à Caroline quand elle en parlait mais c'était très agréable et en plus, dans ces moments-là, ça mère dépensait sans compter. La carte bleue était quand même une invention moldue fantastique.
Avec toujours son grand sourire, Caroline entreprit de répondre à son interlocutrice qui attendait une réponse bien sagement à coté d'elle :
« Je me doutais bien que c'était à Poudlard mais c'était pour vérifier que t'étais pas une moldue. » avoua la petite blonde « Je suis en deuxième année et aussi préfète mais de Serpentard. » annonça-t-elle « T'as besoin d'aide pour trouver une robe ? Génial moi aussi ! Tu fais appel à la bonne personne, j'adore faire les boutiques. On va faire des essayages et un défilé de tenue pour voir l'avis de l'autre et si la tenue est confortable. Y'a rien de mieux pour choisir une robe tu peux m'croire ! »
Caroline laissa Alyse comprendre le long monologue que venait de dire la Serpentard. Quand elle se sentait à l'aise (comme ici dans une boutique), elle pouvait se mettre à parler encore et encore. Surtout quand le sujet l’intéressait.
« Passons aux choses sérieuses, t'aimes quoi comme style de robes ? Plutôt bustier, à volants, à franges ? Et pour la couleur ? La matière ? T'as déjà quelques idées ? Parce que pour la soirée du Ministère, tous les gens sont super chics là-bas. J'y suis déjà allée et faut vraiment envoyer et en mettre pleins les yeux. » Au souvenir de cette fête, elle grimaça légèrement, les gens y étaient très snobs et c'était assez déstabilisant et pénibles.
Emplettes dangereuses ?
« Je me doutais bien que c'était à Poudlard mais c'était pour vérifier que t'étais pas une moldue. Je suis en deuxième année et aussi préfète mais de Serpentard. T'as besoin d'aide pour trouver une robe ? Génial moi aussi ! Tu fais appel à la bonne personne, j'adore faire les boutiques. On va faire des essayages et un défilé de tenue pour voir l'avis de l'autre et si la tenue est confortable. Y'a rien de mieux pour choisir une robe tu peux m'croire ! »
Wow wow wow. On se calme tout de suite. Alyse ne pensait pas que l'annonce de la recherche d'une robe pouvait provoquer un tel enthousiasme. Les rares fois où la jeune fille montrait de l'enthousiasme pour des vêtements était lorsqu'elle allait s'acheter des t-shirts avec ses groupes moldus favoris. Pas de chichis avec ça, elle était à l'aise dans ses vêtements et c'était ce qui l'importait le plus. D'ailleurs, si elle avait pu vivre en pyjama jusqu'à la fin des temps, elle aurait adoré. C'est vrai quoi, ne pas se coiffer, rester en pyjama toute la journée, n'est-ce pas le rêve de toute personne normalement constituée ? Non ? Bon. Et puis, « un défilé de tenues » ? Mais, Alyse n'allait pas passer tout son après-midi à essayer des robes ? Apparemment si. La Jaune n'eut même pas le temps de protester, car Caroline reprit presque aussitôt la parole, avec un débit qui surprit Alyse. Comment pouvait-on parler avec autant d'enthousiasme de vêtements? Définitivement, la Préfète avait un peu de mal à comprendre les Anglais et leur entrain.
« Passons aux choses sérieuses, t'aimes quoi comme style de robes ? Plutôt bustier, à volants, à franges ? Et pour la couleur ? La matière ? T'as déjà quelques idées ? Parce que pour la soirée du Ministère, tous les gens sont super chics là-bas. J'y suis déjà allée et faut vraiment envoyer et en mettre pleins les yeux. »
En mettre plein les yeux, effectivement. C'était l'objectif de pas mal de gens au Ministère, dont les parents d'Alyse, qui mettaient un point d'honneur à être assortis et habillés par des vêtements relativement luxueux. Il paraîtrait que la petite robe noire était un indémodable, ce que la Jaune préférait, mais elle se ferait tuer par ses parents si elle se pointait au ministère avec « juste » une robe noire, alors Alyse se tourna vers les portants, et commença à chercher des robes de couleurs, tout en répondant à Caroline.
« Les bustiers, euh, non merci, les franges, pareil. J'voudrais bien une robe un peu au dessus du genou, pas trop noire de préférence, un truc qui claque un peu, si il y en a. Peut-être du doré ou de l'argenté ? Ou pourquoi pas du bleu, tiens ».
La Préfète finit par trouver deux robes, l'une argentée avec un col rond et arrivant en dessous du genou, et une autre bleue à volants, arrivant au dessus du genou. La jeune fille n'était pas très convaincue, elle espérait secrètement que sa camarade verte pourrait lui trouver une robe qui lui conviendrait. Sachant que la mode en général n'était vraiment pas le domaine d'Alyse, qui préférait largement acheter des livres plutôt que des vêtements, la présence de Caroline était comme un élément divin pour elle. La Jaune montra ses deux premières acquisitions à Caroline, puis lui dit :
« Je vais essayer ça, mais j'suis pas trop trop convaincue... Tu pourras me dire ce que tu en penses ? ».
Alyse se dirigea donc vers les cabines d'essayage, choisit cette qui se trouvait à gauche, et ferma le rideau. De la, elle retira son manteau, ses chaussures, son pull et son pantalon, et s'empressa d'enfiler la première robe, l'argentée. Le col rond était plutôt sympa, mais avec la robe arrivant en dessous du genou, Alyse avait l'impression de mesurer un mètre. Déjà qu'elle ne se trouvait pas très grande, elle ne voulait pas ressembler à un nain de jardin. Elle ressortit donc de la cabine, et adressa de nouveau la parole à Caroline, qui tenait également des vêtements.
« J'ai l'impression d'être naine avec cette robe, mais j'aime bien la couleur... T'en penses quoi ?"
Le souffle des Poufsouffle jamais ne s'étouffe !
Finisseuse des Frelons de Poufsouffle
Journaliste au Journal du Blaireau
Poufsouffle du mois d'août 2014 & Elève du mois d'octobre 2014 ~
Wow wow wow. On se calme tout de suite. Alyse ne pensait pas que l'annonce de la recherche d'une robe pouvait provoquer un tel enthousiasme. Les rares fois où la jeune fille montrait de l'enthousiasme pour des vêtements était lorsqu'elle allait s'acheter des t-shirts avec ses groupes moldus favoris. Pas de chichis avec ça, elle était à l'aise dans ses vêtements et c'était ce qui l'importait le plus. D'ailleurs, si elle avait pu vivre en pyjama jusqu'à la fin des temps, elle aurait adoré. C'est vrai quoi, ne pas se coiffer, rester en pyjama toute la journée, n'est-ce pas le rêve de toute personne normalement constituée ? Non ? Bon. Et puis, « un défilé de tenues » ? Mais, Alyse n'allait pas passer tout son après-midi à essayer des robes ? Apparemment si. La Jaune n'eut même pas le temps de protester, car Caroline reprit presque aussitôt la parole, avec un débit qui surprit Alyse. Comment pouvait-on parler avec autant d'enthousiasme de vêtements? Définitivement, la Préfète avait un peu de mal à comprendre les Anglais et leur entrain.
« Passons aux choses sérieuses, t'aimes quoi comme style de robes ? Plutôt bustier, à volants, à franges ? Et pour la couleur ? La matière ? T'as déjà quelques idées ? Parce que pour la soirée du Ministère, tous les gens sont super chics là-bas. J'y suis déjà allée et faut vraiment envoyer et en mettre pleins les yeux. »
En mettre plein les yeux, effectivement. C'était l'objectif de pas mal de gens au Ministère, dont les parents d'Alyse, qui mettaient un point d'honneur à être assortis et habillés par des vêtements relativement luxueux. Il paraîtrait que la petite robe noire était un indémodable, ce que la Jaune préférait, mais elle se ferait tuer par ses parents si elle se pointait au ministère avec « juste » une robe noire, alors Alyse se tourna vers les portants, et commença à chercher des robes de couleurs, tout en répondant à Caroline.
« Les bustiers, euh, non merci, les franges, pareil. J'voudrais bien une robe un peu au dessus du genou, pas trop noire de préférence, un truc qui claque un peu, si il y en a. Peut-être du doré ou de l'argenté ? Ou pourquoi pas du bleu, tiens ».
La Préfète finit par trouver deux robes, l'une argentée avec un col rond et arrivant en dessous du genou, et une autre bleue à volants, arrivant au dessus du genou. La jeune fille n'était pas très convaincue, elle espérait secrètement que sa camarade verte pourrait lui trouver une robe qui lui conviendrait. Sachant que la mode en général n'était vraiment pas le domaine d'Alyse, qui préférait largement acheter des livres plutôt que des vêtements, la présence de Caroline était comme un élément divin pour elle. La Jaune montra ses deux premières acquisitions à Caroline, puis lui dit :
« Je vais essayer ça, mais j'suis pas trop trop convaincue... Tu pourras me dire ce que tu en penses ? ».
Alyse se dirigea donc vers les cabines d'essayage, choisit cette qui se trouvait à gauche, et ferma le rideau. De la, elle retira son manteau, ses chaussures, son pull et son pantalon, et s'empressa d'enfiler la première robe, l'argentée. Le col rond était plutôt sympa, mais avec la robe arrivant en dessous du genou, Alyse avait l'impression de mesurer un mètre. Déjà qu'elle ne se trouvait pas très grande, elle ne voulait pas ressembler à un nain de jardin. Elle ressortit donc de la cabine, et adressa de nouveau la parole à Caroline, qui tenait également des vêtements.
« J'ai l'impression d'être naine avec cette robe, mais j'aime bien la couleur... T'en penses quoi ?"
Le souffle des Poufsouffle jamais ne s'étouffe !
Finisseuse des Frelons de Poufsouffle
Journaliste au Journal du Blaireau
Poufsouffle du mois d'août 2014 & Elève du mois d'octobre 2014 ~
Ancien sorcier
Emplettes dangereuses ?
Alyse semblait lésée. *Hum... J'y suis peut-être allée un peu trop là... En même temps, je peux aider quelqu'un à trouver une robe alors, j'vais pas me priver de cette super occasion ! J'suis pas folle non plus !* Elle ne devait vraiment pas avoir l'habitude de faire les boutiques. Surtout avec une personne comme Caroline qui adorait faire les boutiques ! Pas parce que les habits étaient beaux (même si ça comptait beaucoup!) mais en fait, la raison, c'était que l'apparence comptait énormément ! A cette époque, si t'es pas bien habillée mais que t'es intelligent, ben, tu pars avec beaucoup moins de chance qu'une personne méga belle et tout... Et ça, depuis, à peu près, toujours dans l’existence des hommes, c'était pareille. Donc, être classe dans un monde huppée, c'était comme portée une carapace, jouer sur les apparences... C'était comme ça qu'on pouvait survivre dans le monde actuel. Et toutes les personnes importantes du Ministère jouaient à ce jeu. Alyse, à cette soirée allait pouvoir le constater et si elle n'était pas bien habillée, ça allait jaser ! Ses parents allaient être la risée du dîner, elle allait se faire disputer... Donc bref, autant éviter cet incident peu flatteur.
« Les bustiers, euh, non merci, les franges, pareil. J'voudrais bien une robe un peu au dessus du genou, pas trop noire de préférence, un truc qui claque un peu, si il y en a. Peut-être du doré ou de l'argenté ? Ou pourquoi pas du bleu, tiens ».
Pendant qu'elle parlait, la préfète de Poufsouffle avait pris deux robes dans les mains : une bleue à volants qui arrivait au dessus du genou et une autre argentée un peu plus longue avec un petit col rond très très tendance ! Bon, revenons à l'essayage. Selon l'avis de Caroline, les deux était trop top mais assez simple. C'était plutôt des robes qu'on utilisait dans la vie de tous les jours. Donc, Alyse aimait les trucs assez simple. Donc pourquoi ne pas prendre une base simple et en mettre plein la vue grace à la coiffure, le maquillage et les accessoires ? Oui ça pouvait le faire. C'est d'ailleurs ce qui conviendrais le mieux à la Poufsouffle, elle se sentirait bien habillée mais pas trop chargée. Parfait ! Attrapant ces deux robes, elle partit vers la cabine d'essayage la plus proche tout en demandant :
« Je vais essayer ça, mais j'suis pas trop trop convaincue... Tu pourras me dire ce que tu en penses ? ».
*Lui dire ce que j'en pense ? Mais je suis là pour ça ! Et pas de quartiers ! Heu... Faut vraiment que je calmes mes envies sanguinaires moi ! * Alors que Caroline refrénait ses envies sanglantes, Alyse partit dans la cabine au rideau bleu roi. Alors qu'elle enfilait la première robe, la Serpentard décida de farfouiller un peu parmis les rayons. Les deux jeunes filles se trouvaient à Gaichiffon quand même ! Un des plus grand qui existe dans le monde, après celui de Paris malheureusement. La capitale de la mode faisait toujours de l'ombre niveau vestimentaire à la ville de la Reine. On trouvait de tout ! Par là, c'était l'espace tenue de soirée, là-bas, les vêtements de tous les jours... Et de la sorte, chaque section avait son thème ce qui rendait la fouille plus simple parce que sinon, il y aurait fallu des jours pour tout trouver !
Quand Alyse eut fini, elle sortit (non sans blague?), avec sa robe argentée. Puis, elle demanda l'avis de Caroline (qui le prit comme un compliment, ce qui flatta son ego) :
« J'ai l'impression d'être naine avec cette robe, mais j'aime bien la couleur... T'en penses quoi ?"
Sans langue de bois, parce que si Caroline lui mentait, Alyse allait être extrêmement moquée à sa soirée, la préfète lui répondit tout en lui tournant autours pour l'examiner sous toutes les coutures. D'ailleurs, la verte espérait que ce n'était pas trop troublant et que la jaune n'était pas gênée.
« Oui, effectivement, ce n'est pas ça qui te va le mieux. Ca te rapetisse énormément ! La couleur... C'est vrai qu'elle est très belle et le col est super tendance. Mais la taille, ça va pas, à part si tu veux payer pour ds retouches. » En général, cela se faisait beaucoup et c'était certain que dans cette grande enseigne, ce service était disponible. « Essaye l'autre, on verra bien. Sinon, je t'ai pris deux autres robes, bleues, comme tu le voulais, au cas où celles que t'as n'irais pas. Tiens. Allez, maintenant file retourner en cabine ! »
Caroline, quand Alyse se changeait, avait effectivement trouvé des petites robes chics. Et la Poufsouffle devait les essayer ! Ca serait, normalement super beau ! Les deux robes étaient au dessus du genou donc, pour ça, la préfète n'aurait pas à s’inquiéter. Ensuite, sa camarade repartit vers ma cabine, avec deux robes de plus dans les mains.
« Après, faudra qu'on aille voir les chaussures et les accessoires. » s'exclama la deuxième année alors que Alyse se changeait. Ah, les deux jeunes filles allaient y passer toute l'après-midi dans ce magasin. Puis, elle s'assit sur un pouf en attendant la suite du défilée.
« Les bustiers, euh, non merci, les franges, pareil. J'voudrais bien une robe un peu au dessus du genou, pas trop noire de préférence, un truc qui claque un peu, si il y en a. Peut-être du doré ou de l'argenté ? Ou pourquoi pas du bleu, tiens ».
Pendant qu'elle parlait, la préfète de Poufsouffle avait pris deux robes dans les mains : une bleue à volants qui arrivait au dessus du genou et une autre argentée un peu plus longue avec un petit col rond très très tendance ! Bon, revenons à l'essayage. Selon l'avis de Caroline, les deux était trop top mais assez simple. C'était plutôt des robes qu'on utilisait dans la vie de tous les jours. Donc, Alyse aimait les trucs assez simple. Donc pourquoi ne pas prendre une base simple et en mettre plein la vue grace à la coiffure, le maquillage et les accessoires ? Oui ça pouvait le faire. C'est d'ailleurs ce qui conviendrais le mieux à la Poufsouffle, elle se sentirait bien habillée mais pas trop chargée. Parfait ! Attrapant ces deux robes, elle partit vers la cabine d'essayage la plus proche tout en demandant :
« Je vais essayer ça, mais j'suis pas trop trop convaincue... Tu pourras me dire ce que tu en penses ? ».
*Lui dire ce que j'en pense ? Mais je suis là pour ça ! Et pas de quartiers ! Heu... Faut vraiment que je calmes mes envies sanguinaires moi ! * Alors que Caroline refrénait ses envies sanglantes, Alyse partit dans la cabine au rideau bleu roi. Alors qu'elle enfilait la première robe, la Serpentard décida de farfouiller un peu parmis les rayons. Les deux jeunes filles se trouvaient à Gaichiffon quand même ! Un des plus grand qui existe dans le monde, après celui de Paris malheureusement. La capitale de la mode faisait toujours de l'ombre niveau vestimentaire à la ville de la Reine. On trouvait de tout ! Par là, c'était l'espace tenue de soirée, là-bas, les vêtements de tous les jours... Et de la sorte, chaque section avait son thème ce qui rendait la fouille plus simple parce que sinon, il y aurait fallu des jours pour tout trouver !
Quand Alyse eut fini, elle sortit (non sans blague?), avec sa robe argentée. Puis, elle demanda l'avis de Caroline (qui le prit comme un compliment, ce qui flatta son ego) :
« J'ai l'impression d'être naine avec cette robe, mais j'aime bien la couleur... T'en penses quoi ?"
Sans langue de bois, parce que si Caroline lui mentait, Alyse allait être extrêmement moquée à sa soirée, la préfète lui répondit tout en lui tournant autours pour l'examiner sous toutes les coutures. D'ailleurs, la verte espérait que ce n'était pas trop troublant et que la jaune n'était pas gênée.
« Oui, effectivement, ce n'est pas ça qui te va le mieux. Ca te rapetisse énormément ! La couleur... C'est vrai qu'elle est très belle et le col est super tendance. Mais la taille, ça va pas, à part si tu veux payer pour ds retouches. » En général, cela se faisait beaucoup et c'était certain que dans cette grande enseigne, ce service était disponible. « Essaye l'autre, on verra bien. Sinon, je t'ai pris deux autres robes, bleues, comme tu le voulais, au cas où celles que t'as n'irais pas. Tiens. Allez, maintenant file retourner en cabine ! »
Caroline, quand Alyse se changeait, avait effectivement trouvé des petites robes chics. Et la Poufsouffle devait les essayer ! Ca serait, normalement super beau ! Les deux robes étaient au dessus du genou donc, pour ça, la préfète n'aurait pas à s’inquiéter. Ensuite, sa camarade repartit vers ma cabine, avec deux robes de plus dans les mains.
« Après, faudra qu'on aille voir les chaussures et les accessoires. » s'exclama la deuxième année alors que Alyse se changeait. Ah, les deux jeunes filles allaient y passer toute l'après-midi dans ce magasin. Puis, elle s'assit sur un pouf en attendant la suite du défilée.
Reducio
Première robe :
Deuxième robe :
Deuxième robe :