Toutes ces histoire de MERLIN, cette ambiance, chiffonnait beaucoup Herminie. Elle avait énormément de cours de Sortilèges et de Défense contre les Forces du Mal grâce à sa filière, mais elle se considérait toujours comme fragile en magie pratique, et réticente à se battre. Alors elle s'était dit que le Club de Duel pouvait être une solution intermédiaire : se battre, mais de manière encadrée. Mais aujourd'hui, elle n'était là que pour observer. 

Quand elle arrive dans la salle ce jour là, deux sorciers de son âge se mettent en place. Deux joueurs de Quidditch qu'elle n'a pas de mal à reconnaître : Christopher Martin, et oh, Mike Conwell. Le duel commença vite, et le choix du Serdaigle était un des sort les plus dégouttant qui soit : Limacius Eructo. La fillette fait une grimace de sympathie en allant s'asseoir sur un des siège le long de la longue estrade où évoluait les deux garçons. Le temps qu'elle s'installe, Conwell avait évité les limaces, et il avait l'air d'être prêt à cracher ses poumons sous un sort auto-infligé. Elle lève un sourcil. 

@Herminie Peers

Les duels, c’était une bonne idée. Une façon amusante et pédagogique pour apprendre à se défendre et à se battre. Alice avait été ravie d’apprendre que Christopher allait se tenter à faire un duel. Restait à voir qui serait l’élève en face de lui. Un membre du Merlin, ce serait parfait.

Alice était arrivé en retard, le duel avait déjà commencé. La bibliothèque fut, encore une fois, bien trop prenante. Christopher était déjà en plein combat, avec pour adversaire ... non, Mike ? Tout cela promettait d’être intéressant !

La fillette prit place non loin de la chevelure blonde de celle qu’elle connaissait aujourd’hui sous le nom de Herminie, préfète de Poufsouffle et potentielle alliée du Merlin.

« Bonjour, Herminie. » dit-elle en inclinant légèrement la tête, avant de reporter toute son attention sur le duel. Alice supporterait bien sûr son amoureux, mais Mike méritait également du soutien.
Et à l’heure actuelle, les deux avaient besoin d’encouragement ...

Duel. Un bien beau mot pour désigner un combat. Pouvait-il dire que ce mot pourrait désigner un affrontement contre un assaillant. Non. Un duel avait des règles. Stupides pour certaines. Un combat n'avait pas de règle. Rufus  pour sa part combattait. 

Arrivé dans la salle du club, les spectateurs n'étaient pas des plus nombreux. Une petite dizaine, sans plus. Il repéra deux membres du MERLIN mais n'eut pas de réaction. Sans un bruit, il alla s'assoir dans un coin légèrement à l'écart des autres. Il assistait à un duel, il n'avait pas envie de discuter avec des personnes énervantes. 

Des caches-limace. Rufus eut un sourire, voilà un sort qu'il appréciait. Il croqua dans sa  grosse pomme verte tout en fixant les duelistes de ses yeux bleus nacre.

8 octobre 2044
Salle de duel — Poudlard
4ème année


Je n'aurais jamais cru être intéressée par la magie des Autres. Mais l'annonce de l'ouverture du club de duel m'a rappelé des souvenirs qui ne m'ont pas plu ; des souvenirs de duel. Je n'en ai disputé que deux dans ma vie et j'ai échoué aux deux. Lors du premier, j'ai perdu contre une élève de mon âge — j'ai eu beaucoup de mal à l'accepter. Le second, c'était contre Erza Nyakane. Je n'aurais jamais pu gagner, j'en ai conscience, et la défaite n'en était pas tellement une. Mais ce duel persiste dans ma tête. Je me demande si je serais capable d'aller plus loin, aujourd'hui. 

Au fond de moi, je sais que si je viens voir ce duel aujourd'hui, c'est pour me rassurer quant aux capacités des Autres. Pour venir observer de quoi ils sont capables afin de voir si je suis plus douée qu'eux. C'est une observation, en somme. Une étude. Rien qui ne diffère bien de ce que je fais à la bibliothèque. J'étudie les duels afin de m'améliorer. 

J'entre discrètement dans la salle de duel, Zikomo sur l'épaule. Deux garçons sont en train de se battre ; les sorts fusent, mais il ne se passe rien de bien palpitant. Mon carnet sous le bras, une plume et un flacon d'encre dans les mains, je m'approche des sièges dispersés le long de l'estrade. Il y a quelques personnes, mais pas grand monde ; j'en suis rassurée. J'observe les visages des spectateurs jusqu'à ce que... *Peers !*. Mon coeur sursaute, mais je l'ignore. Je n'hésite qu'une fraction de seconde avant de m'approcher d'elle, passant rapidement devant les Autres pour ne pas déranger l'observation du duel. Il y a une fille non loin d'elle ; ses cheveux sont si blancs que mon regard s'y fige quelques secondes. Je m'assoie de l'autre côté de ma préfète. Là où il n'y a personne d'autre, mais sur le siège qui côtoie le sien. Zikomo saute sur la chaise voisine, déjà concentré sur le duel. Sans un regard pour Peers, mais secrètement heureuse d'être là où je suis, j'ouvre mon flacon d'encre, y trempe ma plume et rédige ce qui se déroule devant moi. 

Mes pieds frappaient le sol avec une violence impressionnante ; chaque impact se répercutait dans mon corps entier, et je ressentais le choc de mes semelles contre la pierre depuis mes orteils jusqu’à mes épaules. Même mon cuir chevelu grimaçait de douleur sous la brutalité de ma course. *Han...*. Quelque part, j’appréciais cette vitesse, ces impacts sans douceur qui faisaient vibrer mes cellules. Cela me rappelait, presque, l’adrénaline que j’avais parfois côtoyé. Si rarement. Je m’en souvenais bien, de cette sensation de puissance épuisée, qui me ravissait. Mais, je n’avais pas le temps d’y songer. Est-ce que l’adrénaline pouvait se trouver dans la magie qui bouillonnait, au moment précis où le pouvoir n’est plus vraiment contenu en nous, mais où il n’est pas encore lâché vers le monde ? Pas le temps. C’était une question intéressante. Je devrais la noter. Intérieurement, je le fis. Penser à en parler à Emily. Même si c’était mille fois moins intéressant que sa Théorie des Aimants, qu’on était toujours en train de creuser depuis plus d’un an. *J’vais être en r’tard*. Les couloirs défilaient autour de moi à une lenteur infinie.

Quelle horreur que ce devoir de divination qui m’avait retenu un peu trop longtemps. Cette matière, elle ne voulait rien dire de toute manière ; la grande Serdaigle était d’accord avec moi. Trop d’interférences, trop d’imprévus, trop de hasard, trop d’humanité, pour pouvoir Prévoir avec exactitude. La grande part d’instabilité était le facteur humain, et dans l’avenir, il était beaucoup trop présent. Et ces pensées m’avaient empêchée de finir assez rapidement la dernière question de ce devoir stupide. *’tain*. Mes pensées se perdaient dans mon souffle haché et rapide, se noyaient dans mon objectif : aller plus vite. Je gravis le dernier escalier à toute vitesse, laissait mon buste tomber en avant pour poser mes bras sur mes genoux. Essoufflée. Bien faible mot. Morte de ma course. Mes poumons, je les avais abandonné quelques étages plus bas.

La salle de duel était là, juste devant moi. Ça devait avoir commencé, et même si je me fichais un peu de la politesse, j’avais peur d’avoir loupé quelque chose d’intéressant. J’y allais pour étudier, après tout. Étudier le comportement en duel, l’instinct, et la puissance magique moyenne des Autres. Pour m’améliorer. Poussant la porte, j’entrais rapidement.
Williams était dans un coin, je l’ignorais. Alors, mon regard se posa sur Aelle. *Et Zik !*. Et... Peers. *Merlin !*. Cette Autre n’était pas trop désagréable, mais elle ne se comportait pas du tout comme une Autre en présence d’Aelle, et c’était beaucoup trop bizarre. La jalousie frémit une seconde, au creux de mon ventre, et je l’étouffais en me dirigeant vers elles.

Un signe de tête à Sangblanc, puis un autre à Peers, un petit sourire poli sur mes lèvres pour ces Autres qui ne m’étaient pas trop détestables. Un grand sourire à Zikomo, un autre plus doux à Aelle. Je m’assis à côté de cette dernière, me laissant tomber sur la chaise. Mes yeux se portèrent sur les deux combattants. Rien de très excitant. Et, emportée par ma précipitation, j’avais oublié mon sac et mes affaires pour noter dans le dortoir.

"Oh, bonjour Alice !" lui répond avec plus d'entrain Herminie. Elle avait enfin mis un nom sur la mystérieuse victime de son grain de folie aux commentaire, et la jeune fille plus jeune c'était avérée être quelqu'un de sensée et d'engagée. En somme, Herminie l'appréciait. 

Elle regarde un petit moment les deux garçons - Conwell prenait un bon départ, mais ça ne voulait rien dire - avant de remarquer une silhouette qui s'approchait d'eux. Deux silhouettes, même. Herminie a un sourire de ravissement étonné quand Aelle s'assoit juste à côté d'elle. Même si son aînée fait mine de s'occuper immédiatement, Herminie sent que c'est spécial, et ses lèvres s'étirent d'elle même. La petite blonde tourne la tête et la salue avec autant d'entrain, mais bien moins fort, presque un chuchotement. "Bonjour Bristyle ! Bonjour Zikomo !". Le petit renard bleu a sauté sur la chaise en miroir de la sienne. Herminie le salue tous les matins, et l'observe souvent avec des yeux émerveillés : il est un concentré de sagesse - elle l'entend parfois à travers les rideaux et cloisons des alcôves - et de grâce, et puis il est vraiment très mignon. 

Mais voilà une autre de ses camarades de chambrée. Elle rend son salut à Gil'Sayan, accompagné d'un sourire aimable - une fossette de chaque côté creuse ses joues. Thompson et Rosenthal allaient t-elle arriver par hasard, elles aussi ? Un rire mental pétille dans sa tête à cette pensée.

Elle avait envie de discuter avec Alice, aujourd'hui. Alors, elle se penche un peu vers la fille aux cheveux blancs et prononce son nom dans un chuchotement, et poursuit quand elle a son attention. "Tu encourages quelqu'un en particulier ou tu es juste venu faire la petite souris ?", questionne t-elle, toujours à voix basse. C'est un code, mais un qui n'a pas besoin d'être spécialement compris, il n'y a aucun enjeu. L'idée est juste apparue dans son esprit - elle aime les jeux de mots. Puis elle écarquille les yeux, se rendant compte qu'elle peut avoir l'air indiscrète. "Oh, pardon je m'emporte... Pour ma part je suis venue par curiosité"

Remarque : les deux duellistes nous ont dit estimer le moment du duel à "Une semaine après le match " qui a opposé leurs deux maisons le samedi 01 octobre

@Alice Sangblanc, @Aelle Bristyle, @Thalia Gil'Sayan

C’est en entendant la voix de Peers que je me rends compte que je l’attendais ; mon coeur s’éveille dans mon corps et moi je me tourne vers la jeune fille pour croiser son regard. Son sourire me réchauffe le coeur. Je ne saurais en donner la raison. Il le fait sursauter et tout à coup s’en vont mon malaise et ma peur qu’elle ne veuille pas de moi. Ce sourire, il doit sûrement dire que je suis là où je dois être. Et s’il ne veut pas dire cela, je m’en fous ; l’important, c’est ce qu’il signifie pour moi. Dans un coin de ma tête, je me dis que cette chaleur dans mon coeur, c’est la même que je ressens lorsque je vois Fleurdelys. C’est quelque chose de chaud et de réconfortant ; un peu comme ce que je ressens avec Thalia, sans être tout à fait pareil. Un sourire s’étire sur mes lèvres. Ce n’est pas une réaction, mais une réponse. Je salue Peers par ce sourire, je le lui offre ; j’espère qu’elle le comprendra.

Près de moi, de l’autre côté, Zikomo salue également la jeune fille : « Bonjour, Herminie ! ». Sa voix est basse, mais il faudrait être fou pour ne pas entendre la note joyeuse qui la caractérise. Zik n’est pas exubérant, il lui suffit d’une voix et d’un regard pour faire comprendre ce qu’il veut faire comprendre.

Je m’en retourne vers le duel, étrangement apaisée. Il me faut quelques secondes pour saisir ce qu’il se passe devant moi, puis je reprends mes notes. Je décris tout ce qu’il se passe, les sorts que lancent les garçons, les effets de ceux-ci, les réussites et les échecs ; je ne sais pas de quoi j’ai besoin exactement je préfère être prudente.
Mon esprit me ramène à un souvenir ancien de deux ans. Dans cette salle je me trouvais, face à une Serpentard roublarde dont le nom m’échappe. Et dans cette même salle, je me souviens avoir aperçu Loewy. Elle était debout, près de la porte et écrivait consciencieusement dans un carnet semblable au mien. *Vous me rapp’lez quelqu’un, qu’elle a dit* ; ces mots, elle me les a offert la dernière fois que nous nous sommes parlées. Il m’a fallu quelques temps pour comprendre que l’enfant dont elle m’a conté l’histoire était elle-même. Et, comme alors, je me sens toute étrange à l’idée de ressembler à cette femme.

Du mouvement me force à lever la tête du côté des tribunes et à abandonner mes pensées. Ces dernières disparaissent totalement lorsque je vois qui arrive avec, sur les lèvres, un sourire poli qui se transforme en sourire sincère quand son regard croise le mien. *Thalia !*. Mon dos se redresse et mes lèvres s’étirent naturellement. Je hoche la tête pour la saluer silencieusement, comme souvent. Zikomo saute sur mes cuisses avant qu’elle n’arrive, lui laissant ainsi la place juste à côté de moi. Je la regarde s'asseoir, le coeur plus apaisé encore — si cela est possible.

Je ne savais pas qu’elle viendrait, mais je ne devrais pas être étonnée. Thalia étudie avec une force semblable à la mienne et nous nous trouvons au premier duel organisé depuis qu’elle est à l’école. Il est évident qu’elle souhaite voir cela de ses propres yeux. Ce qui est plus étrange, c’est qu’elle ne sorte pas ses affaires ; un coup d’oeil me suffit pour comprendre qu’elle n’a ni sac, ni rien d’autre sur elle. *Bizarre*. A côté de moi, Peers discute avec sa voisine, la fille aux cheveux trop blancs. Je les regarde quelques instants, avant de me retourner sur Thalia. Surveillant le duel du coin de l’oeil, je tourne les pages de mon carnet jusqu’à atteindre la dernière que j’arrache d’un mouvement sec du poignet. Je la pose sur les genoux de Thalia, puis m’en retourne à mes notes. 

Un expelliarmus brillamment lancé attire mon attention et j’écris quelques mots à son propos avant qu’une pensée ne détruise ma concentration ; *elle a p’t-être pas d’plume !*. Et merde. Je grimace et me penche vers Thalia :

« Si t’as pas d’plume ou de crayon, j’peux rien pour toi…, » lui chuchoté-je en secouant la tête.

C’est idiot d’oublier ses affaires. Mais comme c’est Thalia, je ne cherche pas plus loin.
Bien décidé à me concentrer sur le duel, j’affirme ma prise sur ma propre plume. Ma manche remonte sur mon bras et le pelage de Zik, royalement assis sur mes cuisses, caresse ma peau nue. Je me penche pour lui chuchoter, taquine : « Dans quelques années, ce genre de sort pourra rien du tout cont’ mes golems, tu paries ? ». Zikomo lève la tête et me grimace un sourire : « Tu pourrais t’inscrire et essayer maintenant. Ce serait un bon entraînement. » Je lève les yeux au ciel avant de me concentrer sur le duel. Zikomo n’a peut-être pas tort, mais il est hors de question que je me dévoile aux Autres.

Mes sourcils se froncent lorsque j’entends la question que Peers pose à Sangblanc. Petite souris. La préfète est imprudente, mais je me contente de secouer à peine la tête en me mordillant la lèvre. Ce n’est pas très dur, en cherchant un peu, de savoir que le Merlin existe et que sa cheffe se nomme Souris. Si les Autres se mettent à appeler l’enfant aux cheveux blancs ainsi, même pour des sujets n’ayant rien à voir, ce n’est plus du tout discret. *Fais plus attention, Viviane*, songé-je en jetant un coup d’œil à Peers. Il est plutôt joli, son pseudo. Pas comme d’autres.

Alors, Aelle me regarde puis arrache une page de son carnet, avant de la déposer sur mes genoux, me faisant sursauter. Je n’ai pas de plume. Quelle idiote. Je sais qu’elle pense la même chose, lorsqu’elle se retourne vers moi pour me jeter quelques mots après avoir pris des notes. « J’ai pas eu l’temps d’prendre mes affaires. J’noterai en revenant, mais merci, » me contenté-je de dire en haussant les épaules. Comme quand Emily m’entrainait en disant aux parents qu’on allait se promener, et qu’on partait faire des expériences de magie dans la forêt. Prends pas d’carnet, faut développer ta mémoire, assénait-elle. Ça marche. Je plisse les yeux devant un Expelliarmus plutôt joli, les fronce en voyant que les garçons sont des garçons, et que leurs sorts ne sont pas vraiment ragoûtants. Il n’y a pas de fierté à couvrir un adversaire de pustules. Mais, après tout, l’un d’eux a raté un Incendio précédemment, alors ils ne doivent pas être très doués.

Zikomo et Aelle échangent quelques mots, et mon attention dévie du duel. *Golems...*. Un être d’argile. Ses golems. Une petite ride apparait sur mon front tandis que je tente de comprendre ce qu’elle dit. Les golems, ce n’est pas du tout à notre portée, ce n’est même pas de la magie occidentale, il faut s’en douter. Avec une baguette, on ne peut même pas faire apparaitre une esquisse de golem, je pense. Puisque c’est de la magie élémentaire, la Terre. C’est fort dommage, d’ailleurs. J’ai beaucoup plus d’affinités avec les éléments qu’avec les autres types de sortilèges.
La notion d’entrainement ne fait que me rappeler les heures passées seule, quand Aelle et le petit Mngwi sont tous deux introuvables. Et la première qui revient essoufflée, épuisée, comme après une dépense de magie importante. Mais, golem, je ne comprends pas. Peut-être que c’est un code, un bouquin, quelque chose que je ne connais pas.

« Tes golems ? » soufflé-je, un sourcil haussé. *Mh*. Mes pensées tournent autour de ce mystère, mais je me force à reposer mes yeux sur le duel en cours, une partie de mon attention tournée vers la conversation de Peers et de l’enfant aux cheveux d’ange, l’autre entièrement dédiée vers le lieu de mes pensées : Aelle, et Zik. Et le duel, en arrière-plan, est un peu comme certains cours ; je l’entends, je le vois, mais j’attends qu’il devienne intéressant pour y porter réellement mon attention.
Un Flamavo s’esquisse, et je laisse échapper un petit sourire. S’il réussit, ce sera déjà plus joli. J’aime bien les flammes. Je m’entends bien avec elles.