Inscription
Connexion
02 nov. 2015, 17:32
Il n'en restera qu'un
Parait qu'à Halloween on fait mille et une farces, que les gamins souvent manquent pas de panache, que leur blagues vaseuses sont parfois pas si sottes, et que même Peeves est forcé d'avouer qu'ils en ont dans la caboche. Je voudrais bien voir tout ça moi, mais du fond de là où je suis, je risque pas de voir grand-chose, d'autre que Miss Loewy. Je pousse ma beuglante aujourd'hui, parce que de temps en temps j'aimerais bien être sorti. Jouer la relique en histoire de la Magie, une fois l'an me poser sur des têtes excitées qui me disent jamais merci, je suis bon que pour ça, mais ça suffit. L'exploitation est abolie.

Je vais vous dire moi ce que je ferais à Kristen Loewy, qui me garde enfermée toute la sainte journée. Je vous l'assomme d'un coup de balai, au pire d'épée de Gryffondor, puis je la laisse endormie sur ses livres de philosophie, et puis je sort. Je pourrait enfin m'imposer, mettre mon grain de sel dans les couloirs que jamais, je n'ai vraiment pu observer. ( 6 ) -2

Pour commencer je reste dans ce que je connais, je monte un étage, je prends les escaliers, je m'entends bien avec eux, ils me baladeront où je veux. Je ferrais ça la nuit, évidemment, vers minuit, parce que c'est tellement évident que personne ne se méfiera, et ceux qui auront eut la même idée que moi, je les coifferais au chapeau, toute manière je suis le plus beau. Bref je file voir Alexus Wilkerson, qui a cru pouvoir abuser de ma personne, je prends les livres, que j'ai aperçu chez lui, rose bonbon, et je les remplace par ceux de ma collection, qui feraient frémir le plus vieux des démons. (11)

Une fois sorti du bureau je continue dans le couloir, j'évite les portes de placard et je trouve celle qu'a protégé Rowena Serdaigle. Y'aura le petit Louis Slyfield qu'est peureux comme pas deux, en train de dormir et de rêver à celle qu'il ne peut regarder sans rougir. Je lui sauterais dessus en hurlant avant de filer, ombre démoniaque dans la nuit, et je laisserais ses camarades de dortoirs s'occuper, de son angoisse et de ses cris. (10)

Ensuite je file un peu plus haut, dans les salles communes des autres loupiots, ceux qui se disent plus courageux, que le plus grand des plus preux. Je grimperais sur les lits, celui de Gabriella Woods disons, qu'est censée aimer les bestioles et puis la nuit, et je déverserais ma cargaison, tout ces insectes que j'amasse, en prévision de cette farce, sur la tête de la dormeuse, avant de de m'enfuir en la traitant de gueuse. ( 8 )

A ce moment là je me gondolerait, fier de mes douces plaisanterie, digne du couvre chef millénaire que je suis. Je filerais dans le dortoir des garçons qu'est apparemment d'un bazar sans nom, et je rangerais tout comme il faut, ça brillera tellement ça sera beau. Puis je laisserais sur le lit de Dylan Swanson, un mot signé de Miss Loewy, le menaçant de retenues à vie, dans le cas où il ne rangerait pas désormais ainsi. Je mettrais un peu de peinture rouge sur son visage bientôt furibond, pour que le message s’imprègne, et que ça le réveille, avant de sortir de chez les Gryffons. ( 10 )

Je filerais dans les sous-sols, où nombreux seront pas dans leur lit, mais en train de déambuler en cherchant les ennuis. J'en profiterais pour piquer le trésor de Tessa Bonsorm, et pour bien faire j'avalerais tout ce qui dans le dortoir ressemblerait à une friandise, pour éviter qu'elle n'aille voler, dans la malle des autres leurs gourmandises. J'aurais aimé voir son désespoir, mais j'aurai d'autre choses à perturber en ce beau soir. (10)

Comme je suis omniscient je saurais où se cachent tout ces enfants. J'irais du côté des couloirs sombres pour retrouver Gwen Mirena, qui malgré ses airs de douce enfant, a le sadisme dans le sang. Pour le voir suffira de regarder le sourire qu'elle aura, avant de se jeter sur sa proie. Mais c'est pas à moi qu'on la fait, l'arroseur arrosé je connais, et avant qu'elle n'agresse la Serdaigle qui passait, je la ferrait trébucher, réduisant ses plans à un joli néant. (7)

Ça sera le tour de la bleue, qui pensait être sauvée, mais pas de ça avec moi, je réalise pas les vœux, je suis la terreur de la nuit, le grand chapeau maudit ! Pire que les épouvantards, je fais apparaître vos pires cauchemars. C'est ainsi que sur la jeune Melpomène Minos surgiront, des bourdonnants et terrifiants frelons. (8 )

Manquera plus que les Poufsouffles, et même si j'ai une faiblesse pour eux, j'ai promis sur Merlin, que je m'occuperais de tout ceux, que je croiserais sur mon chemin. Alors dans la salle des Poufsouffle je mettrais les bonbons récupérés, et j'écrirais sur la table de chevet d'Elina Montmort, « cadeau des Serpentards, y'en a p'têtre un sur dix qu'est pas empoisonné ». J'espère qu'elle sera bien effrayée, en voyant qu'ils auront déjà été mangés, par ses camarades de chambrée. ( 11 ) +1

Ensuite je filerais voir la gamine, au doux nom de Rose Moane, qu'est revenue par chez nous, après une belle absence qui ne va pas du tout. Et comme je l'aime bien (faut pas croire je suis sentimental pour quelques uns) j'aurais pas l'inspiration pour lui flanquer la frousse. Mais il faut bien lui donner une leçon à cette petite frimousse, qui s'en va s'en prévenir, et laisse ses amis dépérir. Aussi je me contenterais d'un « bouh ! » et d'un rire de chapeau qui fait froid dans le dos. ( 9 )

Pour le reste je ne vous raconterais pas, je vous laisse deviner et trembler jusqu'au doigts

Gryffondor du mois d'octobre 2015
02 nov. 2015, 19:21
Il n'en restera qu'un
Parait qu'à Halloween on fait mille et une farces, que les gamins souvent manquent pas de panache, que leur blagues vaseuses sont parfois pas si sottes, et que même Peeves est forcé d'avouer qu'ils en ont dans la caboche. Je voudrais bien voir tout ça moi, mais du fond de là où je suis, je risque pas de voir grand-chose, d'autre que Miss Loewy. Je pousse ma beuglante aujourd'hui, parce que de temps en temps j'aimerais bien être sorti. Jouer la relique en histoire de la Magie, une fois l'an me poser sur des têtes excitées qui me disent jamais merci, je suis bon que pour ça, mais ça suffit. L'exploitation est abolie.

Je vais vous dire moi ce que je ferais à Kristen Loewy, qui me garde enfermée toute la sainte journée. Je vous l'assomme d'un coup de balai, au pire d'épée de Gryffondor, puis je la laisse endormie sur ses livres de philosophie, et puis je sort. Je pourrait enfin m'imposer, mettre mon grain de sel dans les couloirs que jamais, je n'ai vraiment pu observer. ( 4 ) -2

Pour commencer je reste dans ce que je connais, je monte un étage, je prends les escaliers, je m'entends bien avec eux, ils me baladeront où je veux. Je ferrais ça la nuit, évidemment, vers minuit, parce que c'est tellement évident que personne ne se méfiera, et ceux qui auront eut la même idée que moi, je les coifferais au chapeau, toute manière je suis le plus beau. Bref je file voir Alexus Wilkerson, qui a cru pouvoir abuser de ma personne, je prends les livres, que j'ai aperçu chez lui, rose bonbon, et je les remplace par ceux de ma collection, qui feraient frémir le plus vieux des démons. (11)

Une fois sorti du bureau je continue dans le couloir, j'évite les portes de placard et je trouve celle qu'a protégé Rowena Serdaigle. Y'aura le petit Louis Slyfield qu'est peureux comme pas deux, en train de dormir et de rêver à celle qu'il ne peut regarder sans rougir. Je lui sauterais dessus en hurlant avant de filer, ombre démoniaque dans la nuit, et je laisserais ses camarades de dortoirs s'occuper, de son angoisse et de ses cris. (10)

Ensuite je file un peu plus haut, dans les salles communes des autres loupiots, ceux qui se disent plus courageux, que le plus grand des plus preux. Je grimperais sur les lits, celui de Gabriella Woods disons, qu'est censée aimer les bestioles et puis la nuit, et je déverserais ma cargaison, tout ces insectes que j'amasse, en prévision de cette farce, sur la tête de la dormeuse, avant de de m'enfuir en la traitant de gueuse. ( 9 ) +1

A ce moment là je me gondolerait, fier de mes douces plaisanterie, digne du couvre chef millénaire que je suis. Je filerais dans le dortoir des garçons qu'est apparemment d'un bazar sans nom, et je rangerais tout comme il faut, ça brillera tellement ça sera beau. Puis je laisserais sur le lit de Dylan Swanson, un mot signé de Miss Loewy, le menaçant de retenues à vie, dans le cas où il ne rangerait pas désormais ainsi. Je mettrais un peu de peinture rouge sur son visage bientôt furibond, pour que le message s’imprègne, et que ça le réveille, avant de sortir de chez les Gryffons. ( 10 )

Je filerais dans les sous-sols, où nombreux seront pas dans leur lit, mais en train de déambuler en cherchant les ennuis. J'en profiterais pour piquer le trésor de Tessa Bonsorm, et pour bien faire j'avalerais tout ce qui dans le dortoir ressemblerait à une friandise, pour éviter qu'elle n'aille voler, dans la malle des autres leurs gourmandises. J'aurais aimé voir son désespoir, mais j'aurai d'autre choses à perturber en ce beau soir. (10)

Comme je suis omniscient je saurais où se cachent tout ces enfants. J'irais du côté des couloirs sombres pour retrouver Gwen Mirena, qui malgré ses airs de douce enfant, a le sadisme dans le sang. Pour le voir suffira de regarder le sourire qu'elle aura, avant de se jeter sur sa proie. Mais c'est pas à moi qu'on la fait, l'arroseur arrosé je connais, et avant qu'elle n'agresse la Serdaigle qui passait, je la ferrait trébucher, réduisant ses plans à un joli néant. (7)

Ça sera le tour de la bleue, qui pensait être sauvée, mais pas de ça avec moi, je réalise pas les vœux, je suis la terreur de la nuit, le grand chapeau maudit ! Pire que les épouvantards, je fais apparaître vos pires cauchemars. C'est ainsi que sur la jeune Melpomène Minos surgiront, des bourdonnants et terrifiants frelons. (8 )

Manquera plus que les Poufsouffles, et même si j'ai une faiblesse pour eux, j'ai promis sur Merlin, que je m'occuperais de tout ceux, que je croiserais sur mon chemin. Alors dans la salle des Poufsouffle je mettrais les bonbons récupérés, et j'écrirais sur la table de chevet d'Elina Montmort, « cadeau des Serpentards, y'en a p'têtre un sur dix qu'est pas empoisonné ». J'espère qu'elle sera bien effrayée, en voyant qu'ils auront déjà été mangés, par ses camarades de chambrée. ( 11 )

Ensuite je filerais voir la gamine, au doux nom de Rose Moane, qu'est revenue par chez nous, après une belle absence qui ne va pas du tout. Et comme je l'aime bien (faut pas croire je suis sentimental pour quelques uns) j'aurais pas l'inspiration pour lui flanquer la frousse. Mais il faut bien lui donner une leçon à cette petite frimousse, qui s'en va s'en prévenir, et laisse ses amis dépérir. Aussi je me contenterais d'un « bouh ! » et d'un rire de chapeau qui fait froid dans le dos. ( 9 )

Pour le reste je ne vous raconterais pas, je vous laisse deviner et trembler jusqu'au doigts

32 ans et déjà à la retraite !
« La vie se présente à nous comme une certaine évolution dans le temps et une certaine complication dans l'espace. »
05 nov. 2015, 09:25
Il n'en restera qu'un
Parait qu'à Halloween on fait mille et une farces, que les gamins souvent manquent pas de panache, que leur blagues vaseuses sont parfois pas si sottes, et que même Peeves est forcé d'avouer qu'ils en ont dans la caboche. Je voudrais bien voir tout ça moi, mais du fond de là où je suis, je risque pas de voir grand-chose, d'autre que Miss Loewy. Je pousse ma beuglante aujourd'hui, parce que de temps en temps j'aimerais bien être sorti. Jouer la relique en histoire de la Magie, une fois l'an me poser sur des têtes excitées qui me disent jamais merci, je suis bon que pour ça, mais ça suffit. L'exploitation est abolie.

Je vais vous dire moi ce que je ferais à Kristen Loewy, qui me garde enfermée toute la sainte journée. Je vous l'assomme d'un coup de balai, au pire d'épée de Gryffondor, puis je la laisse endormie sur ses livres de philosophie, et puis je sort. Je pourrait enfin m'imposer, mettre mon grain de sel dans les couloirs que jamais, je n'ai vraiment pu observer. ( 4 )

Pour commencer je reste dans ce que je connais, je monte un étage, je prends les escaliers, je m'entends bien avec eux, ils me baladeront où je veux. Je ferrais ça la nuit, évidemment, vers minuit, parce que c'est tellement évident que personne ne se méfiera, et ceux qui auront eut la même idée que moi, je les coifferais au chapeau, toute manière je suis le plus beau. Bref je file voir Alexus Wilkerson, qui a cru pouvoir abuser de ma personne, je prends les livres, que j'ai aperçu chez lui, rose bonbon, et je les remplace par ceux de ma collection, qui feraient frémir le plus vieux des démons. (11)

Une fois sorti du bureau je continue dans le couloir, j'évite les portes de placard et je trouve celle qu'a protégé Rowena Serdaigle. Y'aura le petit Louis Slyfield qu'est peureux comme pas deux, en train de dormir et de rêver à celle qu'il ne peut regarder sans rougir. Je lui sauterais dessus en hurlant avant de filer, ombre démoniaque dans la nuit, et je laisserais ses camarades de dortoirs s'occuper, de son angoisse et de ses cris. (10)

Ensuite je file un peu plus haut, dans les salles communes des autres loupiots, ceux qui se disent plus courageux, que le plus grand des plus preux. Je grimperais sur les lits, celui de Gabriella Woods disons, qu'est censée aimer les bestioles et puis la nuit, et je déverserais ma cargaison, tout ces insectes que j'amasse, en prévision de cette farce, sur la tête de la dormeuse, avant de de m'enfuir en la traitant de gueuse. ( 7 ) -2

A ce moment là je me gondolerait, fier de mes douces plaisanterie, digne du couvre chef millénaire que je suis. Je filerais dans le dortoir des garçons qu'est apparemment d'un bazar sans nom, et je rangerais tout comme il faut, ça brillera tellement ça sera beau. Puis je laisserais sur le lit de Dylan Swanson, un mot signé de Miss Loewy, le menaçant de retenues à vie, dans le cas où il ne rangerait pas désormais ainsi. Je mettrais un peu de peinture rouge sur son visage bientôt furibond, pour que le message s’imprègne, et que ça le réveille, avant de sortir de chez les Gryffons. ( 11 ) +1

Je filerais dans les sous-sols, où nombreux seront pas dans leur lit, mais en train de déambuler en cherchant les ennuis. J'en profiterais pour piquer le trésor de Tessa Bonsorm, et pour bien faire j'avalerais tout ce qui dans le dortoir ressemblerait à une friandise, pour éviter qu'elle n'aille voler, dans la malle des autres leurs gourmandises. J'aurais aimé voir son désespoir, mais j'aurai d'autre choses à perturber en ce beau soir. (10)

Comme je suis omniscient je saurais où se cachent tout ces enfants. J'irais du côté des couloirs sombres pour retrouver Gwen Mirena, qui malgré ses airs de douce enfant, a le sadisme dans le sang. Pour le voir suffira de regarder le sourire qu'elle aura, avant de se jeter sur sa proie. Mais c'est pas à moi qu'on la fait, l'arroseur arrosé je connais, et avant qu'elle n'agresse la Serdaigle qui passait, je la ferrait trébucher, réduisant ses plans à un joli néant. (7)

Ça sera le tour de la bleue, qui pensait être sauvée, mais pas de ça avec moi, je réalise pas les vœux, je suis la terreur de la nuit, le grand chapeau maudit ! Pire que les épouvantards, je fais apparaître vos pires cauchemars. C'est ainsi que sur la jeune Melpomène Minos surgiront, des bourdonnants et terrifiants frelons. (8 )

Manquera plus que les Poufsouffles, et même si j'ai une faiblesse pour eux, j'ai promis sur Merlin, que je m'occuperais de tout ceux, que je croiserais sur mon chemin. Alors dans la salle des Poufsouffle je mettrais les bonbons récupérés, et j'écrirais sur la table de chevet d'Elina Montmort, « cadeau des Serpentards, y'en a p'têtre un sur dix qu'est pas empoisonné ». J'espère qu'elle sera bien effrayée, en voyant qu'ils auront déjà été mangés, par ses camarades de chambrée. ( 11 )

Ensuite je filerais voir la gamine, au doux nom de Rose Moane, qu'est revenue par chez nous, après une belle absence qui ne va pas du tout. Et comme je l'aime bien (faut pas croire je suis sentimental pour quelques uns) j'aurais pas l'inspiration pour lui flanquer la frousse. Mais il faut bien lui donner une leçon à cette petite frimousse, qui s'en va s'en prévenir, et laisse ses amis dépérir. Aussi je me contenterais d'un « bouh ! » et d'un rire de chapeau qui fait froid dans le dos. ( 9 )

Pour le reste je ne vous raconterais pas, je vous laisse deviner et trembler jusqu'au doigts

Gryffondor du mois d'octobre 2015
05 nov. 2015, 10:30
Il n'en restera qu'un

Parait qu'à Halloween on fait mille et une farces, que les gamins souvent manquent pas de panache, que leur blagues vaseuses sont parfois pas si sottes, et que même Peeves est forcé d'avouer qu'ils en ont dans la caboche. Je voudrais bien voir tout ça moi, mais du fond de là où je suis, je risque pas de voir grand-chose, d'autre que Miss Loewy. Je pousse ma beuglante aujourd'hui, parce que de temps en temps j'aimerais bien être sorti. Jouer la relique en histoire de la Magie, une fois l'an me poser sur des têtes excitées qui me disent jamais merci, je suis bon que pour ça, mais ça suffit. L'exploitation est abolie.


Je vais vous dire moi ce que je ferais à Kristen Loewy, qui me garde enfermée toute la sainte journée. Je vous l'assomme d'un coup de balai, au pire d'épée de Gryffondor, puis je la laisse endormie sur ses livres de philosophie, et puis je sort. Je pourrait enfin m'imposer, mettre mon grain de sel dans les couloirs que jamais, je n'ai vraiment pu observer. (4)

Pour commencer je reste dans ce que je connais, je monte un étage, je prends les escaliers, je m'entends bien avec eux, ils me baladeront où je veux. Je ferrais ça la nuit, évidemment, vers minuit, parce que c'est tellement évident que personne ne se méfiera, et ceux qui auront eut la même idée que moi, je les coifferais au chapeau, toute manière je suis le plus beau. Bref je file voir Alexus Wilkerson, qui a cru pouvoir abuser de ma personne, je prends les livres, que j'ai aperçu chez lui, rose bonbon, et je les remplace par ceux de ma collection, qui feraient frémir le plus vieux des démons. (11)

Une fois sorti du bureau je continue dans le couloir, j'évite les portes de placard et je trouve celle qu'a protégé Rowena Serdaigle. Y'aura le petit Louis Slyfield qu'est peureux comme pas deux, en train de dormir et de rêver à celle qu'il ne peut regarder sans rougir. Je lui sauterais dessus en hurlant avant de filer, ombre démoniaque dans la nuit, et je laisserais ses camarades de dortoirs s'occuper, de son angoisse et de ses cris. (10)

Ensuite je file un peu plus haut, dans les salles communes des autres loupiots, ceux qui se disent plus courageux, que le plus grand des plus preux. Je grimperais sur les lits, celui de Gabriella Woods disons, qu'est censée aimer les bestioles et puis la nuit, et je déverserais ma cargaison, tout ces insectes que j'amasse, en prévision de cette farce, sur la tête de la dormeuse, avant de de m'enfuir en la traitant de gueuse. ( 8 ) [+1]

A ce moment là je me gondolerait, fier de mes douces plaisanterie, digne du couvre chef millénaire que je suis. Je filerais dans le dortoir des garçons qu'est apparemment d'un bazar sans nom, et je rangerais tout comme il faut, ça brillera tellement ça sera beau. Puis je laisserais sur le lit de Dylan Swanson, un mot signé de Miss Loewy, le menaçant de retenues à vie, dans le cas où il ne rangerait pas désormais ainsi. Je mettrais un peu de peinture rouge sur son visage bientôt furibond, pour que le message s’imprègne, et que ça le réveille, avant de sortir de chez les Gryffons. (11)

Je filerais dans les sous-sols, où nombreux seront pas dans leur lit, mais en train de déambuler en cherchant les ennuis. J'en profiterais pour piquer le trésor de Tessa Bonsorm, et pour bien faire j'avalerais tout ce qui dans le dortoir ressemblerait à une friandise, pour éviter qu'elle n'aille voler, dans la malle des autres leurs gourmandises. J'aurais aimé voir son désespoir, mais j'aurai d'autre choses à perturber en ce beau soir. (10)

Comme je suis omniscient je saurais où se cachent tout ces enfants. J'irais du côté des couloirs sombres pour retrouver Gwen Mirena, qui malgré ses airs de douce enfant, a le sadisme dans le sang. Pour le voir suffira de regarder le sourire qu'elle aura, avant de se jeter sur sa proie. Mais c'est pas à moi qu'on la fait, l'arroseur arrosé je connais, et avant qu'elle n'agresse la Serdaigle qui passait, je la ferrait trébucher, réduisant ses plans à un joli néant. (6) [-1]

Ça sera le tour de la bleue, qui pensait être sauvée, mais pas de ça avec moi, je réalise pas les vœux, je suis la terreur de la nuit, le grand chapeau maudit ! Pire que les épouvantards, je fais apparaître vos pires cauchemars. C'est ainsi que sur la jeune Melpomène Minos surgiront, des bourdonnants et terrifiants frelons. ( 8 )

Manquera plus que les Poufsouffles, et même si j'ai une faiblesse pour eux, j'ai promis sur Merlin, que je m'occuperais de tout ceux, que je croiserais sur mon chemin. Alors dans la salle des Poufsouffle je mettrais les bonbons récupérés, et j'écrirais sur la table de chevet d'Elina Montmort, « cadeau des Serpentards, y'en a p'têtre un sur dix qu'est pas empoisonné ». J'espère qu'elle sera bien effrayée, en voyant qu'ils auront déjà été mangés, par ses camarades de chambrée. (11)

Ensuite je filerais voir la gamine, au doux nom de Rose Moane, qu'est revenue par chez nous, après une belle absence qui ne va pas du tout. Et comme je l'aime bien (faut pas croire je suis sentimental pour quelques uns) j'aurais pas l'inspiration pour lui flanquer la frousse. Mais il faut bien lui donner une leçon à cette petite frimousse, qui s'en va s'en prévenir, et laisse ses amis dépérir. Aussi je me contenterais d'un « bouh ! » et d'un rire de chapeau qui fait froid dans le dos. ( 8 ) [-1]

Pour le reste je ne vous raconterais pas, je vous laisse deviner et trembler jusqu'au doigts.
05 nov. 2015, 12:03
Il n'en restera qu'un
Parait qu'à Halloween on fait mille et une farces, que les gamins souvent manquent pas de panache, que leur blagues vaseuses sont parfois pas si sottes, et que même Peeves est forcé d'avouer qu'ils en ont dans la caboche. Je voudrais bien voir tout ça moi, mais du fond de là où je suis, je risque pas de voir grand-chose, d'autre que Miss Loewy. Je pousse ma beuglante aujourd'hui, parce que de temps en temps j'aimerais bien être sorti. Jouer la relique en histoire de la Magie, une fois l'an me poser sur des têtes excitées qui me disent jamais merci, je suis bon que pour ça, mais ça suffit. L'exploitation est abolie.

Je vais vous dire moi ce que je ferais à Kristen Loewy, qui me garde enfermée toute la sainte journée. Je vous l'assomme d'un coup de balai, au pire d'épée de Gryffondor, puis je la laisse endormie sur ses livres de philosophie, et puis je sort. Je pourrait enfin m'imposer, mettre mon grain de sel dans les couloirs que jamais, je n'ai vraiment pu observer. (4)

Pour commencer je reste dans ce que je connais, je monte un étage, je prends les escaliers, je m'entends bien avec eux, ils me baladeront où je veux. Je ferrais ça la nuit, évidemment, vers minuit, parce que c'est tellement évident que personne ne se méfiera, et ceux qui auront eut la même idée que moi, je les coifferais au chapeau, toute manière je suis le plus beau. Bref je file voir Alexus Wilkerson, qui a cru pouvoir abuser de ma personne, je prends les livres, que j'ai aperçu chez lui, rose bonbon, et je les remplace par ceux de ma collection, qui feraient frémir le plus vieux des démons. (11)

Une fois sorti du bureau je continue dans le couloir, j'évite les portes de placard et je trouve celle qu'a protégé Rowena Serdaigle. Y'aura le petit Louis Slyfield qu'est peureux comme pas deux, en train de dormir et de rêver à celle qu'il ne peut regarder sans rougir. Je lui sauterais dessus en hurlant avant de filer, ombre démoniaque dans la nuit, et je laisserais ses camarades de dortoirs s'occuper, de son angoisse et de ses cris. (9) [-1]

Ensuite je file un peu plus haut, dans les salles communes des autres loupiots, ceux qui se disent plus courageux, que le plus grand des plus preux. Je grimperais sur les lits, celui de Gabriella Woods disons, qu'est censée aimer les bestioles et puis la nuit, et je déverserais ma cargaison, tout ces insectes que j'amasse, en prévision de cette farce, sur la tête de la dormeuse, avant de de m'enfuir en la traitant de gueuse. ( 8 )

A ce moment là je me gondolerait, fier de mes douces plaisanterie, digne du couvre chef millénaire que je suis. Je filerais dans le dortoir des garçons qu'est apparemment d'un bazar sans nom, et je rangerais tout comme il faut, ça brillera tellement ça sera beau. Puis je laisserais sur le lit de Dylan Swanson, un mot signé de Miss Loewy, le menaçant de retenues à vie, dans le cas où il ne rangerait pas désormais ainsi. Je mettrais un peu de peinture rouge sur son visage bientôt furibond, pour que le message s’imprègne, et que ça le réveille, avant de sortir de chez les Gryffons. (10) [-1]

Je filerais dans les sous-sols, où nombreux seront pas dans leur lit, mais en train de déambuler en cherchant les ennuis. J'en profiterais pour piquer le trésor de Tessa Bonsorm, et pour bien faire j'avalerais tout ce qui dans le dortoir ressemblerait à une friandise, pour éviter qu'elle n'aille voler, dans la malle des autres leurs gourmandises. J'aurais aimé voir son désespoir, mais j'aurai d'autre choses à perturber en ce beau soir. (10)

Comme je suis omniscient je saurais où se cachent tout ces enfants. J'irais du côté des couloirs sombres pour retrouver Gwen Mirena, qui malgré ses airs de douce enfant, a le sadisme dans le sang. Pour le voir suffira de regarder le sourire qu'elle aura, avant de se jeter sur sa proie. Mais c'est pas à moi qu'on la fait, l'arroseur arrosé je connais, et avant qu'elle n'agresse la Serdaigle qui passait, je la ferrait trébucher, réduisant ses plans à un joli néant. (6)

Ça sera le tour de la bleue, qui pensait être sauvée, mais pas de ça avec moi, je réalise pas les vœux, je suis la terreur de la nuit, le grand chapeau maudit ! Pire que les épouvantards, je fais apparaître vos pires cauchemars. C'est ainsi que sur la jeune Melpomène Minos surgiront, des bourdonnants et terrifiants frelons. ( 8 )

Manquera plus que les Poufsouffles, et même si j'ai une faiblesse pour eux, j'ai promis sur Merlin, que je m'occuperais de tout ceux, que je croiserais sur mon chemin. Alors dans la salle des Poufsouffle je mettrais les bonbons récupérés, et j'écrirais sur la table de chevet d'Elina Montmort, « cadeau des Serpentards, y'en a p'têtre un sur dix qu'est pas empoisonné ». J'espère qu'elle sera bien effrayée, en voyant qu'ils auront déjà été mangés, par ses camarades de chambrée. (11)

Ensuite je filerais voir la gamine, au doux nom de Rose Moane, qu'est revenue par chez nous, après une belle absence qui ne va pas du tout. Et comme je l'aime bien (faut pas croire je suis sentimental pour quelques uns) j'aurais pas l'inspiration pour lui flanquer la frousse. Mais il faut bien lui donner une leçon à cette petite frimousse, qui s'en va s'en prévenir, et laisse ses amis dépérir. Aussi je me contenterais d'un « bouh ! » et d'un rire de chapeau qui fait froid dans le dos. ( 9 ) [+1]

Pour le reste je ne vous raconterais pas, je vous laisse deviner et trembler jusqu'au doigts.

Les gens du pays pensent que la vie est belle ici. La vie est belle, oui, mais quand on la rêve.
05 nov. 2015, 18:00
Il n'en restera qu'un
Parait qu'à Halloween on fait mille et une farces, que les gamins souvent manquent pas de panache, que leur blagues vaseuses sont parfois pas si sottes, et que même Peeves est forcé d'avouer qu'ils en ont dans la caboche. Je voudrais bien voir tout ça moi, mais du fond de là où je suis, je risque pas de voir grand-chose, d'autre que Miss Loewy. Je pousse ma beuglante aujourd'hui, parce que de temps en temps j'aimerais bien être sorti. Jouer la relique en histoire de la Magie, une fois l'an me poser sur des têtes excitées qui me disent jamais merci, je suis bon que pour ça, mais ça suffit. L'exploitation est abolie.

Je vais vous dire moi ce que je ferais à Kristen Loewy, qui me garde enfermée toute la sainte journée. Je vous l'assomme d'un coup de balai, au pire d'épée de Gryffondor, puis je la laisse endormie sur ses livres de philosophie, et puis je sort. Je pourrait enfin m'imposer, mettre mon grain de sel dans les couloirs que jamais, je n'ai vraiment pu observer. (4)

Pour commencer je reste dans ce que je connais, je monte un étage, je prends les escaliers, je m'entends bien avec eux, ils me baladeront où je veux. Je ferrais ça la nuit, évidemment, vers minuit, parce que c'est tellement évident que personne ne se méfiera, et ceux qui auront eut la même idée que moi, je les coifferais au chapeau, toute manière je suis le plus beau. Bref je file voir Alexus Wilkerson, qui a cru pouvoir abuser de ma personne, je prends les livres, que j'ai aperçu chez lui, rose bonbon, et je les remplace par ceux de ma collection, qui feraient frémir le plus vieux des démons. (11)

Une fois sorti du bureau je continue dans le couloir, j'évite les portes de placard et je trouve celle qu'a protégé Rowena Serdaigle. Y'aura le petit Louis Slyfield qu'est peureux comme pas deux, en train de dormir et de rêver à celle qu'il ne peut regarder sans rougir. Je lui sauterais dessus en hurlant avant de filer, ombre démoniaque dans la nuit, et je laisserais ses camarades de dortoirs s'occuper, de son angoisse et de ses cris. (7) [-2]

Ensuite je file un peu plus haut, dans les salles communes des autres loupiots, ceux qui se disent plus courageux, que le plus grand des plus preux. Je grimperais sur les lits, celui de Gabriella Woods disons, qu'est censée aimer les bestioles et puis la nuit, et je déverserais ma cargaison, tout ces insectes que j'amasse, en prévision de cette farce, sur la tête de la dormeuse, avant de de m'enfuir en la traitant de gueuse. ( 8 )

A ce moment là je me gondolerait, fier de mes douces plaisanterie, digne du couvre chef millénaire que je suis. Je filerais dans le dortoir des garçons qu'est apparemment d'un bazar sans nom, et je rangerais tout comme il faut, ça brillera tellement ça sera beau. Puis je laisserais sur le lit de Dylan Swanson, un mot signé de Miss Loewy, le menaçant de retenues à vie, dans le cas où il ne rangerait pas désormais ainsi. Je mettrais un peu de peinture rouge sur son visage bientôt furibond, pour que le message s’imprègne, et que ça le réveille, avant de sortir de chez les Gryffons. (11) [+1]

Je filerais dans les sous-sols, où nombreux seront pas dans leur lit, mais en train de déambuler en cherchant les ennuis. J'en profiterais pour piquer le trésor de Tessa Bonsorm, et pour bien faire j'avalerais tout ce qui dans le dortoir ressemblerait à une friandise, pour éviter qu'elle n'aille voler, dans la malle des autres leurs gourmandises. J'aurais aimé voir son désespoir, mais j'aurai d'autre choses à perturber en ce beau soir. (10)

Comme je suis omniscient je saurais où se cachent tout ces enfants. J'irais du côté des couloirs sombres pour retrouver Gwen Mirena, qui malgré ses airs de douce enfant, a le sadisme dans le sang. Pour le voir suffira de regarder le sourire qu'elle aura, avant de se jeter sur sa proie. Mais c'est pas à moi qu'on la fait, l'arroseur arrosé je connais, et avant qu'elle n'agresse la Serdaigle qui passait, je la ferrait trébucher, réduisant ses plans à un joli néant. (6)

Ça sera le tour de la bleue, qui pensait être sauvée, mais pas de ça avec moi, je réalise pas les vœux, je suis la terreur de la nuit, le grand chapeau maudit ! Pire que les épouvantards, je fais apparaître vos pires cauchemars. C'est ainsi que sur la jeune Melpomène Minos surgiront, des bourdonnants et terrifiants frelons. ( 8 )

Manquera plus que les Poufsouffles, et même si j'ai une faiblesse pour eux, j'ai promis sur Merlin, que je m'occuperais de tout ceux, que je croiserais sur mon chemin. Alors dans la salle des Poufsouffle je mettrais les bonbons récupérés, et j'écrirais sur la table de chevet d'Elina Montmort, « cadeau des Serpentards, y'en a p'têtre un sur dix qu'est pas empoisonné ». J'espère qu'elle sera bien effrayée, en voyant qu'ils auront déjà été mangés, par ses camarades de chambrée. (11)

Ensuite je filerais voir la gamine, au doux nom de Rose Moane, qu'est revenue par chez nous, après une belle absence qui ne va pas du tout. Et comme je l'aime bien (faut pas croire je suis sentimental pour quelques uns) j'aurais pas l'inspiration pour lui flanquer la frousse. Mais il faut bien lui donner une leçon à cette petite frimousse, qui s'en va s'en prévenir, et laisse ses amis dépérir. Aussi je me contenterais d'un « bouh ! » et d'un rire de chapeau qui fait froid dans le dos. ( 9 )

Pour le reste je ne vous raconterais pas, je vous laisse deviner et trembler jusqu'au doigts.

32 ans et déjà à la retraite !
« La vie se présente à nous comme une certaine évolution dans le temps et une certaine complication dans l'espace. »
06 nov. 2015, 12:46
Il n'en restera qu'un
Parait qu'à Halloween on fait mille et une farces, que les gamins souvent manquent pas de panache, que leur blagues vaseuses sont parfois pas si sottes, et que même Peeves est forcé d'avouer qu'ils en ont dans la caboche. Je voudrais bien voir tout ça moi, mais du fond de là où je suis, je risque pas de voir grand-chose, d'autre que Miss Loewy. Je pousse ma beuglante aujourd'hui, parce que de temps en temps j'aimerais bien être sorti. Jouer la relique en histoire de la Magie, une fois l'an me poser sur des têtes excitées qui me disent jamais merci, je suis bon que pour ça, mais ça suffit. L'exploitation est abolie.

Je vais vous dire moi ce que je ferais à Kristen Loewy, qui me garde enfermée toute la sainte journée. Je vous l'assomme d'un coup de balai, au pire d'épée de Gryffondor, puis je la laisse endormie sur ses livres de philosophie, et puis je sort. Je pourrait enfin m'imposer, mettre mon grain de sel dans les couloirs que jamais, je n'ai vraiment pu observer. (4)

Pour commencer je reste dans ce que je connais, je monte un étage, je prends les escaliers, je m'entends bien avec eux, ils me baladeront où je veux. Je ferrais ça la nuit, évidemment, vers minuit, parce que c'est tellement évident que personne ne se méfiera, et ceux qui auront eut la même idée que moi, je les coifferais au chapeau, toute manière je suis le plus beau. Bref je file voir Alexus Wilkerson, qui a cru pouvoir abuser de ma personne, je prends les livres, que j'ai aperçu chez lui, rose bonbon, et je les remplace par ceux de ma collection, qui feraient frémir le plus vieux des démons. (11)

Une fois sorti du bureau je continue dans le couloir, j'évite les portes de placard et je trouve celle qu'a protégé Rowena Serdaigle. Y'aura le petit Louis Slyfield qu'est peureux comme pas deux, en train de dormir et de rêver à celle qu'il ne peut regarder sans rougir. Je lui sauterais dessus en hurlant avant de filer, ombre démoniaque dans la nuit, et je laisserais ses camarades de dortoirs s'occuper, de son angoisse et de ses cris. (5) [-2]

Ensuite je file un peu plus haut, dans les salles communes des autres loupiots, ceux qui se disent plus courageux, que le plus grand des plus preux. Je grimperais sur les lits, celui de Gabriella Woods disons, qu'est censée aimer les bestioles et puis la nuit, et je déverserais ma cargaison, tout ces insectes que j'amasse, en prévision de cette farce, sur la tête de la dormeuse, avant de de m'enfuir en la traitant de gueuse. ( 9 ) [+1]

A ce moment là je me gondolerait, fier de mes douces plaisanterie, digne du couvre chef millénaire que je suis. Je filerais dans le dortoir des garçons qu'est apparemment d'un bazar sans nom, et je rangerais tout comme il faut, ça brillera tellement ça sera beau. Puis je laisserais sur le lit de Dylan Swanson, un mot signé de Miss Loewy, le menaçant de retenues à vie, dans le cas où il ne rangerait pas désormais ainsi. Je mettrais un peu de peinture rouge sur son visage bientôt furibond, pour que le message s’imprègne, et que ça le réveille, avant de sortir de chez les Gryffons. (11)

Je filerais dans les sous-sols, où nombreux seront pas dans leur lit, mais en train de déambuler en cherchant les ennuis. J'en profiterais pour piquer le trésor de Tessa Bonsorm, et pour bien faire j'avalerais tout ce qui dans le dortoir ressemblerait à une friandise, pour éviter qu'elle n'aille voler, dans la malle des autres leurs gourmandises. J'aurais aimé voir son désespoir, mais j'aurai d'autre choses à perturber en ce beau soir. (10)

Comme je suis omniscient je saurais où se cachent tout ces enfants. J'irais du côté des couloirs sombres pour retrouver Gwen Mirena, qui malgré ses airs de douce enfant, a le sadisme dans le sang. Pour le voir suffira de regarder le sourire qu'elle aura, avant de se jeter sur sa proie. Mais c'est pas à moi qu'on la fait, l'arroseur arrosé je connais, et avant qu'elle n'agresse la Serdaigle qui passait, je la ferrait trébucher, réduisant ses plans à un joli néant. (6)

Ça sera le tour de la bleue, qui pensait être sauvée, mais pas de ça avec moi, je réalise pas les vœux, je suis la terreur de la nuit, le grand chapeau maudit ! Pire que les épouvantards, je fais apparaître vos pires cauchemars. C'est ainsi que sur la jeune Melpomène Minos surgiront, des bourdonnants et terrifiants frelons. ( 8 )

Manquera plus que les Poufsouffles, et même si j'ai une faiblesse pour eux, j'ai promis sur Merlin, que je m'occuperais de tout ceux, que je croiserais sur mon chemin. Alors dans la salle des Poufsouffle je mettrais les bonbons récupérés, et j'écrirais sur la table de chevet d'Elina Montmort, « cadeau des Serpentards, y'en a p'têtre un sur dix qu'est pas empoisonné ». J'espère qu'elle sera bien effrayée, en voyant qu'ils auront déjà été mangés, par ses camarades de chambrée. (11)

Ensuite je filerais voir la gamine, au doux nom de Rose Moane, qu'est revenue par chez nous, après une belle absence qui ne va pas du tout. Et comme je l'aime bien (faut pas croire je suis sentimental pour quelques uns) j'aurais pas l'inspiration pour lui flanquer la frousse. Mais il faut bien lui donner une leçon à cette petite frimousse, qui s'en va s'en prévenir, et laisse ses amis dépérir. Aussi je me contenterais d'un « bouh ! » et d'un rire de chapeau qui fait froid dans le dos. ( 9 )

Pour le reste je ne vous raconterais pas, je vous laisse deviner et trembler jusqu'au doigts.
[/quote]

~ Le souffle des Poufsouffle jamais ne s'étouffe ! ~
« On n’a pas le droit de tout avoir : c’est défendu. Un bonheur est tout le bonheur ; deux, c’est comme s’ils n’existaient plus. » C.F. Ramuz
06 nov. 2015, 19:33
Il n'en restera qu'un
Parait qu'à Halloween on fait mille et une farces, que les gamins souvent manquent pas de panache, que leur blagues vaseuses sont parfois pas si sottes, et que même Peeves est forcé d'avouer qu'ils en ont dans la caboche. Je voudrais bien voir tout ça moi, mais du fond de là où je suis, je risque pas de voir grand-chose, d'autre que Miss Loewy. Je pousse ma beuglante aujourd'hui, parce que de temps en temps j'aimerais bien être sorti. Jouer la relique en histoire de la Magie, une fois l'an me poser sur des têtes excitées qui me disent jamais merci, je suis bon que pour ça, mais ça suffit. L'exploitation est abolie.

Je vais vous dire moi ce que je ferais à Kristen Loewy, qui me garde enfermée toute la sainte journée. Je vous l'assomme d'un coup de balai, au pire d'épée de Gryffondor, puis je la laisse endormie sur ses livres de philosophie, et puis je sort. Je pourrait enfin m'imposer, mettre mon grain de sel dans les couloirs que jamais, je n'ai vraiment pu observer. (4)

Pour commencer je reste dans ce que je connais, je monte un étage, je prends les escaliers, je m'entends bien avec eux, ils me baladeront où je veux. Je ferrais ça la nuit, évidemment, vers minuit, parce que c'est tellement évident que personne ne se méfiera, et ceux qui auront eut la même idée que moi, je les coifferais au chapeau, toute manière je suis le plus beau. Bref je file voir Alexus Wilkerson, qui a cru pouvoir abuser de ma personne, je prends les livres, que j'ai aperçu chez lui, rose bonbon, et je les remplace par ceux de ma collection, qui feraient frémir le plus vieux des démons. (11)

Une fois sorti du bureau je continue dans le couloir, j'évite les portes de placard et je trouve celle qu'a protégé Rowena Serdaigle. Y'aura le petit Louis Slyfield qu'est peureux comme pas deux, en train de dormir et de rêver à celle qu'il ne peut regarder sans rougir. Je lui sauterais dessus en hurlant avant de filer, ombre démoniaque dans la nuit, et je laisserais ses camarades de dortoirs s'occuper, de son angoisse et de ses cris. (3) [-2]

Ensuite je file un peu plus haut, dans les salles communes des autres loupiots, ceux qui se disent plus courageux, que le plus grand des plus preux. Je grimperais sur les lits, celui de Gabriella Woods disons, qu'est censée aimer les bestioles et puis la nuit, et je déverserais ma cargaison, tout ces insectes que j'amasse, en prévision de cette farce, sur la tête de la dormeuse, avant de de m'enfuir en la traitant de gueuse. ( 10 ) [+1]

A ce moment là je me gondolerait, fier de mes douces plaisanterie, digne du couvre chef millénaire que je suis. Je filerais dans le dortoir des garçons qu'est apparemment d'un bazar sans nom, et je rangerais tout comme il faut, ça brillera tellement ça sera beau. Puis je laisserais sur le lit de Dylan Swanson, un mot signé de Miss Loewy, le menaçant de retenues à vie, dans le cas où il ne rangerait pas désormais ainsi. Je mettrais un peu de peinture rouge sur son visage bientôt furibond, pour que le message s’imprègne, et que ça le réveille, avant de sortir de chez les Gryffons. (11)

Je filerais dans les sous-sols, où nombreux seront pas dans leur lit, mais en train de déambuler en cherchant les ennuis. J'en profiterais pour piquer le trésor de Tessa Bonsorm, et pour bien faire j'avalerais tout ce qui dans le dortoir ressemblerait à une friandise, pour éviter qu'elle n'aille voler, dans la malle des autres leurs gourmandises. J'aurais aimé voir son désespoir, mais j'aurai d'autre choses à perturber en ce beau soir. (10)

Comme je suis omniscient je saurais où se cachent tout ces enfants. J'irais du côté des couloirs sombres pour retrouver Gwen Mirena, qui malgré ses airs de douce enfant, a le sadisme dans le sang. Pour le voir suffira de regarder le sourire qu'elle aura, avant de se jeter sur sa proie. Mais c'est pas à moi qu'on la fait, l'arroseur arrosé je connais, et avant qu'elle n'agresse la Serdaigle qui passait, je la ferrait trébucher, réduisant ses plans à un joli néant. (6)

Ça sera le tour de la bleue, qui pensait être sauvée, mais pas de ça avec moi, je réalise pas les vœux, je suis la terreur de la nuit, le grand chapeau maudit ! Pire que les épouvantards, je fais apparaître vos pires cauchemars. C'est ainsi que sur la jeune Melpomène Minos surgiront, des bourdonnants et terrifiants frelons. ( 8 )

Manquera plus que les Poufsouffles, et même si j'ai une faiblesse pour eux, j'ai promis sur Merlin, que je m'occuperais de tout ceux, que je croiserais sur mon chemin. Alors dans la salle des Poufsouffle je mettrais les bonbons récupérés, et j'écrirais sur la table de chevet d'Elina Montmort, « cadeau des Serpentards, y'en a p'têtre un sur dix qu'est pas empoisonné ». J'espère qu'elle sera bien effrayée, en voyant qu'ils auront déjà été mangés, par ses camarades de chambrée. (11)

Ensuite je filerais voir la gamine, au doux nom de Rose Moane, qu'est revenue par chez nous, après une belle absence qui ne va pas du tout. Et comme je l'aime bien (faut pas croire je suis sentimental pour quelques uns) j'aurais pas l'inspiration pour lui flanquer la frousse. Mais il faut bien lui donner une leçon à cette petite frimousse, qui s'en va s'en prévenir, et laisse ses amis dépérir. Aussi je me contenterais d'un « bouh ! » et d'un rire de chapeau qui fait froid dans le dos. ( 9 )

Pour le reste je ne vous raconterais pas, je vous laisse deviner et trembler jusqu'au doigts.

32 ans et déjà à la retraite !
« La vie se présente à nous comme une certaine évolution dans le temps et une certaine complication dans l'espace. »
06 nov. 2015, 19:51
Il n'en restera qu'un
Parait qu'à Halloween on fait mille et une farces, que les gamins souvent manquent pas de panache, que leur blagues vaseuses sont parfois pas si sottes, et que même Peeves est forcé d'avouer qu'ils en ont dans la caboche. Je voudrais bien voir tout ça moi, mais du fond de là où je suis, je risque pas de voir grand-chose, d'autre que Miss Loewy. Je pousse ma beuglante aujourd'hui, parce que de temps en temps j'aimerais bien être sorti. Jouer la relique en histoire de la Magie, une fois l'an me poser sur des têtes excitées qui me disent jamais merci, je suis bon que pour ça, mais ça suffit. L'exploitation est abolie.

Je vais vous dire moi ce que je ferais à Kristen Loewy, qui me garde enfermée toute la sainte journée. Je vous l'assomme d'un coup de balai, au pire d'épée de Gryffondor, puis je la laisse endormie sur ses livres de philosophie, et puis je sort. Je pourrait enfin m'imposer, mettre mon grain de sel dans les couloirs que jamais, je n'ai vraiment pu observer. (4)

Pour commencer je reste dans ce que je connais, je monte un étage, je prends les escaliers, je m'entends bien avec eux, ils me baladeront où je veux. Je ferrais ça la nuit, évidemment, vers minuit, parce que c'est tellement évident que personne ne se méfiera, et ceux qui auront eut la même idée que moi, je les coifferais au chapeau, toute manière je suis le plus beau. Bref je file voir Alexus Wilkerson, qui a cru pouvoir abuser de ma personne, je prends les livres, que j'ai aperçu chez lui, rose bonbon, et je les remplace par ceux de ma collection, qui feraient frémir le plus vieux des démons. (11)

Une fois sorti du bureau je continue dans le couloir, j'évite les portes de placard et je trouve celle qu'a protégé Rowena Serdaigle. Y'aura le petit Louis Slyfield qu'est peureux comme pas deux, en train de dormir et de rêver à celle qu'il ne peut regarder sans rougir. Je lui sauterais dessus en hurlant avant de filer, ombre démoniaque dans la nuit, et je laisserais ses camarades de dortoirs s'occuper, de son angoisse et de ses cris. (1) [-2]

Ensuite je file un peu plus haut, dans les salles communes des autres loupiots, ceux qui se disent plus courageux, que le plus grand des plus preux. Je grimperais sur les lits, celui de Gabriella Woods disons, qu'est censée aimer les bestioles et puis la nuit, et je déverserais ma cargaison, tout ces insectes que j'amasse, en prévision de cette farce, sur la tête de la dormeuse, avant de de m'enfuir en la traitant de gueuse. (10)

A ce moment là je me gondolerait, fier de mes douces plaisanterie, digne du couvre chef millénaire que je suis. Je filerais dans le dortoir des garçons qu'est apparemment d'un bazar sans nom, et je rangerais tout comme il faut, ça brillera tellement ça sera beau. Puis je laisserais sur le lit de Dylan Swanson, un mot signé de Miss Loewy, le menaçant de retenues à vie, dans le cas où il ne rangerait pas désormais ainsi. Je mettrais un peu de peinture rouge sur son visage bientôt furibond, pour que le message s’imprègne, et que ça le réveille, avant de sortir de chez les Gryffons. (12) [+1]

Je filerais dans les sous-sols, où nombreux seront pas dans leur lit, mais en train de déambuler en cherchant les ennuis. J'en profiterais pour piquer le trésor de Tessa Bonsorm, et pour bien faire j'avalerais tout ce qui dans le dortoir ressemblerait à une friandise, pour éviter qu'elle n'aille voler, dans la malle des autres leurs gourmandises. J'aurais aimé voir son désespoir, mais j'aurai d'autre choses à perturber en ce beau soir. (10)

Comme je suis omniscient je saurais où se cachent tout ces enfants. J'irais du côté des couloirs sombres pour retrouver Gwen Mirena, qui malgré ses airs de douce enfant, a le sadisme dans le sang. Pour le voir suffira de regarder le sourire qu'elle aura, avant de se jeter sur sa proie. Mais c'est pas à moi qu'on la fait, l'arroseur arrosé je connais, et avant qu'elle n'agresse la Serdaigle qui passait, je la ferrait trébucher, réduisant ses plans à un joli néant. (6)

Ça sera le tour de la bleue, qui pensait être sauvée, mais pas de ça avec moi, je réalise pas les vœux, je suis la terreur de la nuit, le grand chapeau maudit ! Pire que les épouvantards, je fais apparaître vos pires cauchemars. C'est ainsi que sur la jeune Melpomène Minos surgiront, des bourdonnants et terrifiants frelons. ( 8 )

Manquera plus que les Poufsouffles, et même si j'ai une faiblesse pour eux, j'ai promis sur Merlin, que je m'occuperais de tout ceux, que je croiserais sur mon chemin. Alors dans la salle des Poufsouffle je mettrais les bonbons récupérés, et j'écrirais sur la table de chevet d'Elina Montmort, « cadeau des Serpentards, y'en a p'têtre un sur dix qu'est pas empoisonné ». J'espère qu'elle sera bien effrayée, en voyant qu'ils auront déjà été mangés, par ses camarades de chambrée. (11)

Ensuite je filerais voir la gamine, au doux nom de Rose Moane, qu'est revenue par chez nous, après une belle absence qui ne va pas du tout. Et comme je l'aime bien (faut pas croire je suis sentimental pour quelques uns) j'aurais pas l'inspiration pour lui flanquer la frousse. Mais il faut bien lui donner une leçon à cette petite frimousse, qui s'en va s'en prévenir, et laisse ses amis dépérir. Aussi je me contenterais d'un « bouh ! » et d'un rire de chapeau qui fait froid dans le dos. ( 9 )

Pour le reste je ne vous raconterais pas, je vous laisse deviner et trembler jusqu'au doigts.
06 nov. 2015, 21:32
Il n'en restera qu'un
Parait qu'à Halloween on fait mille et une farces, que les gamins souvent manquent pas de panache, que leur blagues vaseuses sont parfois pas si sottes, et que même Peeves est forcé d'avouer qu'ils en ont dans la caboche. Je voudrais bien voir tout ça moi, mais du fond de là où je suis, je risque pas de voir grand-chose, d'autre que Miss Loewy. Je pousse ma beuglante aujourd'hui, parce que de temps en temps j'aimerais bien être sorti. Jouer la relique en histoire de la Magie, une fois l'an me poser sur des têtes excitées qui me disent jamais merci, je suis bon que pour ça, mais ça suffit. L'exploitation est abolie.

Je vais vous dire moi ce que je ferais à Kristen Loewy, qui me garde enfermée toute la sainte journée. Je vous l'assomme d'un coup de balai, au pire d'épée de Gryffondor, puis je la laisse endormie sur ses livres de philosophie, et puis je sort. Je pourrait enfin m'imposer, mettre mon grain de sel dans les couloirs que jamais, je n'ai vraiment pu observer. (4)

Pour commencer je reste dans ce que je connais, je monte un étage, je prends les escaliers, je m'entends bien avec eux, ils me baladeront où je veux. Je ferrais ça la nuit, évidemment, vers minuit, parce que c'est tellement évident que personne ne se méfiera, et ceux qui auront eut la même idée que moi, je les coifferais au chapeau, toute manière je suis le plus beau. Bref je file voir Alexus Wilkerson, qui a cru pouvoir abuser de ma personne, je prends les livres, que j'ai aperçu chez lui, rose bonbon, et je les remplace par ceux de ma collection, qui feraient frémir le plus vieux des démons. (11)

Une fois sorti du bureau je continue dans le couloir, j'évite les portes de placard et je trouve celle qu'a protégé Rowena Serdaigle. Y'aura le petit Louis Slyfield qu'est peureux comme pas deux, en train de dormir et de rêver à celle qu'il ne peut regarder sans rougir. Je lui sauterais dessus en hurlant avant de filer, ombre démoniaque dans la nuit, et je laisserais ses camarades de dortoirs s'occuper, de son angoisse et de ses cris. (0) -1

Ensuite je file un peu plus haut, dans les salles communes des autres loupiots, ceux qui se disent plus courageux, que le plus grand des plus preux. Je grimperais sur les lits, celui de Gabriella Woods disons, qu'est censée aimer les bestioles et puis la nuit, et je déverserais ma cargaison, tout ces insectes que j'amasse, en prévision de cette farce, sur la tête de la dormeuse, avant de de m'enfuir en la traitant de gueuse. (10)

A ce moment là je me gondolerait, fier de mes douces plaisanterie, digne du couvre chef millénaire que je suis. Je filerais dans le dortoir des garçons qu'est apparemment d'un bazar sans nom, et je rangerais tout comme il faut, ça brillera tellement ça sera beau. Puis je laisserais sur le lit de Dylan Swanson, un mot signé de Miss Loewy, le menaçant de retenues à vie, dans le cas où il ne rangerait pas désormais ainsi. Je mettrais un peu de peinture rouge sur son visage bientôt furibond, pour que le message s’imprègne, et que ça le réveille, avant de sortir de chez les Gryffons. (12)

Je filerais dans les sous-sols, où nombreux seront pas dans leur lit, mais en train de déambuler en cherchant les ennuis. J'en profiterais pour piquer le trésor de Tessa Bonsorm, et pour bien faire j'avalerais tout ce qui dans le dortoir ressemblerait à une friandise, pour éviter qu'elle n'aille voler, dans la malle des autres leurs gourmandises. J'aurais aimé voir son désespoir, mais j'aurai d'autre choses à perturber en ce beau soir. (10)

Comme je suis omniscient je saurais où se cachent tout ces enfants. J'irais du côté des couloirs sombres pour retrouver Gwen Mirena, qui malgré ses airs de douce enfant, a le sadisme dans le sang. Pour le voir suffira de regarder le sourire qu'elle aura, avant de se jeter sur sa proie. Mais c'est pas à moi qu'on la fait, l'arroseur arrosé je connais, et avant qu'elle n'agresse la Serdaigle qui passait, je la ferrait trébucher, réduisant ses plans à un joli néant. (6)

Ça sera le tour de la bleue, qui pensait être sauvée, mais pas de ça avec moi, je réalise pas les vœux, je suis la terreur de la nuit, le grand chapeau maudit ! Pire que les épouvantards, je fais apparaître vos pires cauchemars. C'est ainsi que sur la jeune Melpomène Minos surgiront, des bourdonnants et terrifiants frelons. (7) -1

Manquera plus que les Poufsouffles, et même si j'ai une faiblesse pour eux, j'ai promis sur Merlin, que je m'occuperais de tout ceux, que je croiserais sur mon chemin. Alors dans la salle des Poufsouffle je mettrais les bonbons récupérés, et j'écrirais sur la table de chevet d'Elina Montmort, « cadeau des Serpentards, y'en a p'têtre un sur dix qu'est pas empoisonné ». J'espère qu'elle sera bien effrayée, en voyant qu'ils auront déjà été mangés, par ses camarades de chambrée. (11)

Ensuite je filerais voir la gamine, au doux nom de Rose Moane, qu'est revenue par chez nous, après une belle absence qui ne va pas du tout. Et comme je l'aime bien (faut pas croire je suis sentimental pour quelques uns) j'aurais pas l'inspiration pour lui flanquer la frousse. Mais il faut bien lui donner une leçon à cette petite frimousse, qui s'en va s'en prévenir, et laisse ses amis dépérir. Aussi je me contenterais d'un « bouh ! » et d'un rire de chapeau qui fait froid dans le dos. (10) +1

Pour le reste je ne vous raconterais pas, je vous laisse deviner et trembler jusqu'au doigts.