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13 nov. 2017, 16:33
Il n'en restera qu'un
• Bien à l’abri du temps pas vraiment clément en cette saison, Anja Van Drecken observait d’un œil maussade son manuel de potions. Elle était en train de se demander comment faire préparer un poison très puissant à ses étudiants de cinquième année sans qu’ils ne lui posent de questions trop intrusives. Ils n’avaient pas la docilité des nouveaux en première année mais eux seuls étaient dotés de la dextérité minimum pour se charger de breuvages aussi délicats à manipuler. En attendant de trouver un moyen subtil de proposer son projet, la potioniste se retira en salle commune. [10]

• La vue sur le lac offre un très joli spectacle, dans lequel beaucoup de Serpentard se plaisent à s’y perdre. Il est bien plus important de voir les profondeurs que la surface de l’étendue d’eau. Les êtres de l’eau tiennent conseil sous une arche et semblent nourrir un débat plus qu’animé, ce qui arrache un sourire à la spectatrice. Elle serait prête à parier que la personne au centre de leur conversation est Duncan Jackson, un jeune Gryffon recherchant de l’amusement partout, ce qui passait par des bêtises ou blagues de mauvais goût pour certains. Elle était curieuse de savoir une cargaison de quoi l’élève avait bien pu lâcher dans le lac. [4]

• Les sirènes passent ponctuellement devant la fenêtre sur l’eau, certainement occupées à fomenter des plans diaboliques envers les plus naïfs, à défaut d’avoir des pauvres marins à disposition. L’on pourrait retrouver un peu d’elles en Amy Holloway, sa collègue professeur de la Défense contre les Forces du Mal, qui tristement n’a pas la délicatesse d’apprécier les manifestations du mal et ne pense qu’à enseigner comment les neutraliser plutôt que d’apprendre à les apprivoiser. Dans ce monde l’agressivité est devenue la première réponse, ce qui nuit certainement depuis des siècles aux bonnes relations avec des créatures inoffensives mais attaqués systématiquement par erreur de jugement. [10]

• Des Strangulots se rentrent dedans avec énergie en exploitant leur poigne particulière. Leur comportement n’est pas sans rappeler la personnalité de feu de Yuzu Ame qui peut nous prendre à la gorge de manière très spontanée et imprévisible. La fille rouge et or est bien connue pour des débordements d’humeur ponctuels partout dans le château, mais relativement maîtrisés pour ne pas encore s’être fait reprendre de façon conséquente et sérieuse par les instances de haute autorité. Peu aimeraient se trouver aux prises avec elle, voilà une chose quasiment certaine. [6][/color]

• Les animaux marins, emplis de majesté à l’âge adulte et d’aspect adorable et mignon sont les Hippocampes, très discrets mais qui méritent l’attention entière quand ils se manifestent. Étonnamment ils incarnent sous un certain angle la jeune Eawen Keith, devenue récemment enseignante de sortilèges, à la fois attendrissante pour des collègues bien plus mûrs mais possédant de belles qualités. La sorcière présente un côté mystérieux par ses voyages lui ayant permis d’avoir des connaissances sur le monde que tout un chacun ne peut prétendre avoir. [10]

• Le Serpent cornu n’est pas un reptile beaucoup aperçu en Grande-Bretagne, peut-être bien plus présent dans le continent américain. Mais le lac de Poudlard est bien censé avoir une magie interne lui garantissait une belle richesse. C’est pourquoi il devrait être possible de croire voir son ombre ou sa silhouette floue. Le symbole de l’érudition, incarné par un serpent … Ce mélange subtil n’était pas sans rappeler nombre de ses protégés à Serpentard, et s’il n’avait s’agit que du premier terme Katy Smith aurait été citée, mais elle ne représentait pas la personnalité fine digne des reptiles. [9]

• Les fonds troubles du vaste espace aquatique, notamment en Écosse sont connus pour être le refuge des Kelpys, ces équidés fascinants. Par chance, on ne répertoriât pas de victimes de ces chevaux spéciaux parmi les élèves de l’école, ou du moins ces histoires ont su rester secrètes. L’on pourrait dire que c’est bien le genre de créatures qu’Isabel Almeida en personne n’oserait présenter à ses étudiants. Et pourtant, malgré leur penchant à perdre les humains trop imprudents, ils sont si intéressants et permettent de découvrir les richesses du lac dans une sécurité relative. Un projet secret de la sous-directrice serait en train d'être mis en place afin les domestiquer. [9]-2


• Peu nombreux doivent être les canards réussissant à survivre à ce monde hostile et pourtant. Êtres admirables que ceux-ci, capables de préserver en eux un souffle de vie assez puissant pour survivre. Ils doivent être trop banals pour être considérés comme une menace ou une potentielle proie. Quoiqu’il en soit, c’est l’image de James Silvershade qui s’impose quand il s’agit d’appeler ces créatures à l’esprit. Qu’est-ce qui rattache ce Poufsouffle à cet animal ? Difficile à dire, mais ça semble si naturel dans la tête de chacun. [11]

• Suite à un long moment passé devant le spectacle marin, l’apparition du calmar géant semble inespérée mais est pourtant réelle. Il est important de profiter de ces instants fugaces durant lesquels il daigne bien rappeler que sa présence n’est pas un mythe, sinon tout le monde finirait pas l’oublier. Son côté inaccessible ne va pas sans évoquer la figure de Kristen Lœwy qui dirige l’école depuis bien longtemps et a fabriqué l’image d’une directrice discrète, choisissant les hauteurs pour s’installer, à l’instar du monstre du lac qui ne s’accoutume pas aux abysses, supposées pourtant constituer le lieu de vie de ses congénères. [10]

• Plongée qu’elle était dans sa contemplation, miss Van Drecken ne put voir que l’adolescent Antony Vendrale entrait dans la salle commune, à une heure plus que tardive au regard des restrictions imposées par le couvre-feu. Pour un peu elle aurait pu le voir cacher des effets sous des pierres dans l’eau à cette heure nocturne, mais en expert du règlement, il savait parfaitement comment opérer dans la discrétion la plus totale, et réussit à passer derrière elle pour se faufiler en direction du dortoir des garçons. [13]+1

Comment te dire, ou te faire comprendre, que la Vie n'était qu'un simple Songe ? Un Mensonge, que la Vérité Ronge.
Rire à m'en déchirer les abdos. Brûler nos complexes et nos vieilles pulsions d'ados.
Absente jusqu'au 18 août
13 nov. 2017, 17:31
Il n'en restera qu'un
[quote="Mad Mal"]• Bien à l’abri du temps pas vraiment clément en cette saison, Anja Van Drecken observait d’un œil maussade son manuel de potions. Elle était en train de se demander comment faire préparer un poison très puissant à ses étudiants de cinquième année sans qu’ils ne lui posent de questions trop intrusives. Ils n’avaient pas la docilité des nouveaux en première année mais eux seuls étaient dotés de la dextérité minimum pour se charger de breuvages aussi délicats à manipuler. En attendant de trouver un moyen subtil de proposer son projet, la potioniste se retira en salle commune. [10]

• La vue sur le lac offre un très joli spectacle, dans lequel beaucoup de Serpentard se plaisent à s’y perdre. Il est bien plus important de voir les profondeurs que la surface de l’étendue d’eau. Les êtres de l’eau tiennent conseil sous une arche et semblent nourrir un débat plus qu’animé, ce qui arrache un sourire à la spectatrice. Elle serait prête à parier que la personne au centre de leur conversation est Duncan Jackson, un jeune Gryffon recherchant de l’amusement partout, ce qui passait par des bêtises ou blagues de mauvais goût pour certains. Elle était curieuse de savoir une cargaison de quoi l’élève avait bien pu lâcher dans le lac. [4]

• Les sirènes passent ponctuellement devant la fenêtre sur l’eau, certainement occupées à fomenter des plans diaboliques envers les plus naïfs, à défaut d’avoir des pauvres marins à disposition. L’on pourrait retrouver un peu d’elles en Amy Holloway, sa collègue professeur de la Défense contre les Forces du Mal, qui tristement n’a pas la délicatesse d’apprécier les manifestations du mal et ne pense qu’à enseigner comment les neutraliser plutôt que d’apprendre à les apprivoiser. Dans ce monde l’agressivité est devenue la première réponse, ce qui nuit certainement depuis des siècles aux bonnes relations avec des créatures inoffensives mais attaqués systématiquement par erreur de jugement. [10]

• Des Strangulots se rentrent dedans avec énergie en exploitant leur poigne particulière. Leur comportement n’est pas sans rappeler la personnalité de feu de Yuzu Ame qui peut nous prendre à la gorge de manière très spontanée et imprévisible. La fille rouge et or est bien connue pour des débordements d’humeur ponctuels partout dans le château, mais relativement maîtrisés pour ne pas encore s’être fait reprendre de façon conséquente et sérieuse par les instances de haute autorité. Peu aimeraient se trouver aux prises avec elle, voilà une chose quasiment certaine. [6]

• Les animaux marins, emplis de majesté à l’âge adulte et d’aspect adorable et mignon sont les Hippocampes, très discrets mais qui méritent l’attention entière quand ils se manifestent. Étonnamment ils incarnent sous un certain angle la jeune Eawen Keith, devenue récemment enseignante de sortilèges, à la fois attendrissante pour des collègues bien plus mûrs mais possédant de belles qualités. La sorcière présente un côté mystérieux par ses voyages lui ayant permis d’avoir des connaissances sur le monde que tout un chacun ne peut prétendre avoir. [10]

• Le Serpent cornu n’est pas un reptile beaucoup aperçu en Grande-Bretagne, peut-être bien plus présent dans le continent américain. Mais le lac de Poudlard est bien censé avoir une magie interne lui garantissait une belle richesse. C’est pourquoi il devrait être possible de croire voir son ombre ou sa silhouette floue. Le symbole de l’érudition, incarné par un serpent … Ce mélange subtil n’était pas sans rappeler nombre de ses protégés à Serpentard, et s’il n’avait s’agit que du premier terme Katy Smith aurait été citée, mais elle ne représentait pas la personnalité fine digne des reptiles. [9]

• Les fonds troubles du vaste espace aquatique, notamment en Écosse sont connus pour être le refuge des Kelpys, ces équidés fascinants. Par chance, on ne répertoriât pas de victimes de ces chevaux spéciaux parmi les élèves de l’école, ou du moins ces histoires ont su rester secrètes. L’on pourrait dire que c’est bien le genre de créatures qu’Isabel Almeida en personne n’oserait présenter à ses étudiants. Et pourtant, malgré leur penchant à perdre les humains trop imprudents, ils sont si intéressants et permettent de découvrir les richesses du lac dans une sécurité relative. Un projet secret de la sous-directrice serait en train d'être mis en place afin les domestiquer. [10]+1

• Peu nombreux doivent être les canards réussissant à survivre à ce monde hostile et pourtant. Êtres admirables que ceux-ci, capables de préserver en eux un souffle de vie assez puissant pour survivre. Ils doivent être trop banals pour être considérés comme une menace ou une potentielle proie. Quoiqu’il en soit, c’est l’image de James Silvershade qui s’impose quand il s’agit d’appeler ces créatures à l’esprit. Qu’est-ce qui rattache ce Poufsouffle à cet animal ? Difficile à dire, mais ça semble si naturel dans la tête de chacun. [11]

• Suite à un long moment passé devant le spectacle marin, l’apparition du calmar géant semble inespérée mais est pourtant réelle. Il est important de profiter de ces instants fugaces durant lesquels il daigne bien rappeler que sa présence n’est pas un mythe, sinon tout le monde finirait pas l’oublier. Son côté inaccessible ne va pas sans évoquer la figure de Kristen Lœwy qui dirige l’école depuis bien longtemps et a fabriqué l’image d’une directrice discrète, choisissant les hauteurs pour s’installer, à l’instar du monstre du lac qui ne s’accoutume pas aux abysses, supposées pourtant constituer le lieu de vie de ses congénères. [10]

• Plongée qu’elle était dans sa contemplation, miss Van Drecken ne put voir que l’adolescent Antony Vendrale entrait dans la salle commune, à une heure plus que tardive au regard des restrictions imposées par le couvre-feu. Pour un peu elle aurait pu le voir cacher des effets sous des pierres dans l’eau à cette heure nocturne, mais en expert du règlement, il savait parfaitement comment opérer dans la discrétion la plus totale, et réussit à passer derrière elle pour se faufiler en direction du dortoir des garçons. [11] -2
13 nov. 2017, 17:56
Il n'en restera qu'un
• Bien à l’abri du temps pas vraiment clément en cette saison, Anja Van Drecken observait d’un œil maussade son manuel de potions. Elle était en train de se demander comment faire préparer un poison très puissant à ses étudiants de cinquième année sans qu’ils ne lui posent de questions trop intrusives. Ils n’avaient pas la docilité des nouveaux en première année mais eux seuls étaient dotés de la dextérité minimum pour se charger de breuvages aussi délicats à manipuler. En attendant de trouver un moyen subtil de proposer son projet, la potioniste se retira en salle commune. [10]

• La vue sur le lac offre un très joli spectacle, dans lequel beaucoup de Serpentard se plaisent à s’y perdre. Il est bien plus important de voir les profondeurs que la surface de l’étendue d’eau. Les êtres de l’eau tiennent conseil sous une arche et semblent nourrir un débat plus qu’animé, ce qui arrache un sourire à la spectatrice. Elle serait prête à parier que la personne au centre de leur conversation est Duncan Jackson, un jeune Gryffon recherchant de l’amusement partout, ce qui passait par des bêtises ou blagues de mauvais goût pour certains. Elle était curieuse de savoir une cargaison de quoi l’élève avait bien pu lâcher dans le lac. [4]

• Les sirènes passent ponctuellement devant la fenêtre sur l’eau, certainement occupées à fomenter des plans diaboliques envers les plus naïfs, à défaut d’avoir des pauvres marins à disposition. L’on pourrait retrouver un peu d’elles en Amy Holloway, sa collègue professeur de la Défense contre les Forces du Mal, qui tristement n’a pas la délicatesse d’apprécier les manifestations du mal et ne pense qu’à enseigner comment les neutraliser plutôt que d’apprendre à les apprivoiser. Dans ce monde l’agressivité est devenue la première réponse, ce qui nuit certainement depuis des siècles aux bonnes relations avec des créatures inoffensives mais attaqués systématiquement par erreur de jugement. [10]

• Des Strangulots se rentrent dedans avec énergie en exploitant leur poigne particulière. Leur comportement n’est pas sans rappeler la personnalité de feu de Yuzu Ame qui peut nous prendre à la gorge de manière très spontanée et imprévisible. La fille rouge et or est bien connue pour des débordements d’humeur ponctuels partout dans le château, mais relativement maîtrisés pour ne pas encore s’être fait reprendre de façon conséquente et sérieuse par les instances de haute autorité. Peu aimeraient se trouver aux prises avec elle, voilà une chose quasiment certaine. [4] -2

• Les animaux marins, emplis de majesté à l’âge adulte et d’aspect adorable et mignon sont les Hippocampes, très discrets mais qui méritent l’attention entière quand ils se manifestent. Étonnamment ils incarnent sous un certain angle la jeune Eawen Keith, devenue récemment enseignante de sortilèges, à la fois attendrissante pour des collègues bien plus mûrs mais possédant de belles qualités. La sorcière présente un côté mystérieux par ses voyages lui ayant permis d’avoir des connaissances sur le monde que tout un chacun ne peut prétendre avoir. [10]

• Le Serpent cornu n’est pas un reptile beaucoup aperçu en Grande-Bretagne, peut-être bien plus présent dans le continent américain. Mais le lac de Poudlard est bien censé avoir une magie interne lui garantissait une belle richesse. C’est pourquoi il devrait être possible de croire voir son ombre ou sa silhouette floue. Le symbole de l’érudition, incarné par un serpent … Ce mélange subtil n’était pas sans rappeler nombre de ses protégés à Serpentard, et s’il n’avait s’agit que du premier terme Katy Smith aurait été citée, mais elle ne représentait pas la personnalité fine digne des reptiles. [9]

• Les fonds troubles du vaste espace aquatique, notamment en Écosse sont connus pour être le refuge des Kelpys, ces équidés fascinants. Par chance, on ne répertoriât pas de victimes de ces chevaux spéciaux parmi les élèves de l’école, ou du moins ces histoires ont su rester secrètes. L’on pourrait dire que c’est bien le genre de créatures qu’Isabel Almeida en personne n’oserait présenter à ses étudiants. Et pourtant, malgré leur penchant à perdre les humains trop imprudents, ils sont si intéressants et permettent de découvrir les richesses du lac dans une sécurité relative. Un projet secret de la sous-directrice serait en train d'être mis en place afin les domestiquer. [10]

• Peu nombreux doivent être les canards réussissant à survivre à ce monde hostile et pourtant. Êtres admirables que ceux-ci, capables de préserver en eux un souffle de vie assez puissant pour survivre. Ils doivent être trop banals pour être considérés comme une menace ou une potentielle proie. Quoiqu’il en soit, c’est l’image de James Silvershade qui s’impose quand il s’agit d’appeler ces créatures à l’esprit. Qu’est-ce qui rattache ce Poufsouffle à cet animal ? Difficile à dire, mais ça semble si naturel dans la tête de chacun. [12] +1

• Suite à un long moment passé devant le spectacle marin, l’apparition du calmar géant semble inespérée mais est pourtant réelle. Il est important de profiter de ces instants fugaces durant lesquels il daigne bien rappeler que sa présence n’est pas un mythe, sinon tout le monde finirait pas l’oublier. Son côté inaccessible ne va pas sans évoquer la figure de Kristen Lœwy qui dirige l’école depuis bien longtemps et a fabriqué l’image d’une directrice discrète, choisissant les hauteurs pour s’installer, à l’instar du monstre du lac qui ne s’accoutume pas aux abysses, supposées pourtant constituer le lieu de vie de ses congénères. [10]

• Plongée qu’elle était dans sa contemplation, miss Van Drecken ne put voir que l’adolescent Antony Vendrale entrait dans la salle commune, à une heure plus que tardive au regard des restrictions imposées par le couvre-feu. Pour un peu elle aurait pu le voir cacher des effets sous des pierres dans l’eau à cette heure nocturne, mais en expert du règlement, il savait parfaitement comment opérer dans la discrétion la plus totale, et réussit à passer derrière elle pour se faufiler en direction du dortoir des garçons. [11]

°3ème année Devoir-Auror°
#Pouffyfamily #mamanmalfa #melesmelesPower
13 nov. 2017, 20:25
Il n'en restera qu'un
• Bien à l’abri du temps pas vraiment clément en cette saison, Anja Van Drecken observait d’un œil maussade son manuel de potions. Elle était en train de se demander comment faire préparer un poison très puissant à ses étudiants de cinquième année sans qu’ils ne lui posent de questions trop intrusives. Ils n’avaient pas la docilité des nouveaux en première année mais eux seuls étaient dotés de la dextérité minimum pour se charger de breuvages aussi délicats à manipuler. En attendant de trouver un moyen subtil de proposer son projet, la potioniste se retira en salle commune. [10]

• La vue sur le lac offre un très joli spectacle, dans lequel beaucoup de Serpentard se plaisent à s’y perdre. Il est bien plus important de voir les profondeurs que la surface de l’étendue d’eau. Les êtres de l’eau tiennent conseil sous une arche et semblent nourrir un débat plus qu’animé, ce qui arrache un sourire à la spectatrice. Elle serait prête à parier que la personne au centre de leur conversation est Duncan Jackson, un jeune Gryffon recherchant de l’amusement partout, ce qui passait par des bêtises ou blagues de mauvais goût pour certains. Elle était curieuse de savoir une cargaison de quoi l’élève avait bien pu lâcher dans le lac. [4]

• Les sirènes passent ponctuellement devant la fenêtre sur l’eau, certainement occupées à fomenter des plans diaboliques envers les plus naïfs, à défaut d’avoir des pauvres marins à disposition. L’on pourrait retrouver un peu d’elles en Amy Holloway, sa collègue professeur de la Défense contre les Forces du Mal, qui tristement n’a pas la délicatesse d’apprécier les manifestations du mal et ne pense qu’à enseigner comment les neutraliser plutôt que d’apprendre à les apprivoiser. Dans ce monde l’agressivité est devenue la première réponse, ce qui nuit certainement depuis des siècles aux bonnes relations avec des créatures inoffensives mais attaqués systématiquement par erreur de jugement. [10]

• Des Strangulots se rentrent dedans avec énergie en exploitant leur poigne particulière. Leur comportement n’est pas sans rappeler la personnalité de feu de Yuzu Ame qui peut nous prendre à la gorge de manière très spontanée et imprévisible. La fille rouge et or est bien connue pour des débordements d’humeur ponctuels partout dans le château, mais relativement maîtrisés pour ne pas encore s’être fait reprendre de façon conséquente et sérieuse par les instances de haute autorité. Peu aimeraient se trouver aux prises avec elle, voilà une chose quasiment certaine. [2] -2

• Les animaux marins, emplis de majesté à l’âge adulte et d’aspect adorable et mignon sont les Hippocampes, très discrets mais qui méritent l’attention entière quand ils se manifestent. Étonnamment ils incarnent sous un certain angle la jeune Eawen Keith, devenue récemment enseignante de sortilèges, à la fois attendrissante pour des collègues bien plus mûrs mais possédant de belles qualités. La sorcière présente un côté mystérieux par ses voyages lui ayant permis d’avoir des connaissances sur le monde que tout un chacun ne peut prétendre avoir. [10]

• Le Serpent cornu n’est pas un reptile beaucoup aperçu en Grande-Bretagne, peut-être bien plus présent dans le continent américain. Mais le lac de Poudlard est bien censé avoir une magie interne lui garantissait une belle richesse. C’est pourquoi il devrait être possible de croire voir son ombre ou sa silhouette floue. Le symbole de l’érudition, incarné par un serpent … Ce mélange subtil n’était pas sans rappeler nombre de ses protégés à Serpentard, et s’il n’avait s’agit que du premier terme Katy Smith aurait été citée, mais elle ne représentait pas la personnalité fine digne des reptiles. [9]

• Les fonds troubles du vaste espace aquatique, notamment en Écosse sont connus pour être le refuge des Kelpys, ces équidés fascinants. Par chance, on ne répertoriât pas de victimes de ces chevaux spéciaux parmi les élèves de l’école, ou du moins ces histoires ont su rester secrètes. L’on pourrait dire que c’est bien le genre de créatures qu’Isabel Almeida en personne n’oserait présenter à ses étudiants. Et pourtant, malgré leur penchant à perdre les humains trop imprudents, ils sont si intéressants et permettent de découvrir les richesses du lac dans une sécurité relative. Un projet secret de la sous-directrice serait en train d'être mis en place afin les domestiquer. [10]

• Peu nombreux doivent être les canards réussissant à survivre à ce monde hostile et pourtant. Êtres admirables que ceux-ci, capables de préserver en eux un souffle de vie assez puissant pour survivre. Ils doivent être trop banals pour être considérés comme une menace ou une potentielle proie. Quoiqu’il en soit, c’est l’image de James Silvershade qui s’impose quand il s’agit d’appeler ces créatures à l’esprit. Qu’est-ce qui rattache ce Poufsouffle à cet animal ? Difficile à dire, mais ça semble si naturel dans la tête de chacun. [13] +1

• Suite à un long moment passé devant le spectacle marin, l’apparition du calmar géant semble inespérée mais est pourtant réelle. Il est important de profiter de ces instants fugaces durant lesquels il daigne bien rappeler que sa présence n’est pas un mythe, sinon tout le monde finirait pas l’oublier. Son côté inaccessible ne va pas sans évoquer la figure de Kristen Lœwy qui dirige l’école depuis bien longtemps et a fabriqué l’image d’une directrice discrète, choisissant les hauteurs pour s’installer, à l’instar du monstre du lac qui ne s’accoutume pas aux abysses, supposées pourtant constituer le lieu de vie de ses congénères. [10]

• Plongée qu’elle était dans sa contemplation, miss Van Drecken ne put voir que l’adolescent Antony Vendrale entrait dans la salle commune, à une heure plus que tardive au regard des restrictions imposées par le couvre-feu. Pour un peu elle aurait pu le voir cacher des effets sous des pierres dans l’eau à cette heure nocturne, mais en expert du règlement, il savait parfaitement comment opérer dans la discrétion la plus totale, et réussit à passer derrière elle pour se faufiler en direction du dortoir des garçons. [11]
13 nov. 2017, 20:30
Il n'en restera qu'un
• Bien à l’abri du temps pas vraiment clément en cette saison, Anja Van Drecken observait d’un œil maussade son manuel de potions. Elle était en train de se demander comment faire préparer un poison très puissant à ses étudiants de cinquième année sans qu’ils ne lui posent de questions trop intrusives. Ils n’avaient pas la docilité des nouveaux en première année mais eux seuls étaient dotés de la dextérité minimum pour se charger de breuvages aussi délicats à manipuler. En attendant de trouver un moyen subtil de proposer son projet, la potioniste se retira en salle commune. [8] -2

• La vue sur le lac offre un très joli spectacle, dans lequel beaucoup de Serpentard se plaisent à s’y perdre. Il est bien plus important de voir les profondeurs que la surface de l’étendue d’eau. Les êtres de l’eau tiennent conseil sous une arche et semblent nourrir un débat plus qu’animé, ce qui arrache un sourire à la spectatrice. Elle serait prête à parier que la personne au centre de leur conversation est Duncan Jackson, un jeune Gryffon recherchant de l’amusement partout, ce qui passait par des bêtises ou blagues de mauvais goût pour certains. Elle était curieuse de savoir une cargaison de quoi l’élève avait bien pu lâcher dans le lac. [4]

• Les sirènes passent ponctuellement devant la fenêtre sur l’eau, certainement occupées à fomenter des plans diaboliques envers les plus naïfs, à défaut d’avoir des pauvres marins à disposition. L’on pourrait retrouver un peu d’elles en Amy Holloway, sa collègue professeur de la Défense contre les Forces du Mal, qui tristement n’a pas la délicatesse d’apprécier les manifestations du mal et ne pense qu’à enseigner comment les neutraliser plutôt que d’apprendre à les apprivoiser. Dans ce monde l’agressivité est devenue la première réponse, ce qui nuit certainement depuis des siècles aux bonnes relations avec des créatures inoffensives mais attaqués systématiquement par erreur de jugement. [10]

• Des Strangulots se rentrent dedans avec énergie en exploitant leur poigne particulière. Leur comportement n’est pas sans rappeler la personnalité de feu de Yuzu Ame qui peut nous prendre à la gorge de manière très spontanée et imprévisible. La fille rouge et or est bien connue pour des débordements d’humeur ponctuels partout dans le château, mais relativement maîtrisés pour ne pas encore s’être fait reprendre de façon conséquente et sérieuse par les instances de haute autorité. Peu aimeraient se trouver aux prises avec elle, voilà une chose quasiment certaine. [2]

• Les animaux marins, emplis de majesté à l’âge adulte et d’aspect adorable et mignon sont les Hippocampes, très discrets mais qui méritent l’attention entière quand ils se manifestent. Étonnamment ils incarnent sous un certain angle la jeune Eawen Keith, devenue récemment enseignante de sortilèges, à la fois attendrissante pour des collègues bien plus mûrs mais possédant de belles qualités. La sorcière présente un côté mystérieux par ses voyages lui ayant permis d’avoir des connaissances sur le monde que tout un chacun ne peut prétendre avoir. [10]

• Le Serpent cornu n’est pas un reptile beaucoup aperçu en Grande-Bretagne, peut-être bien plus présent dans le continent américain. Mais le lac de Poudlard est bien censé avoir une magie interne lui garantissait une belle richesse. C’est pourquoi il devrait être possible de croire voir son ombre ou sa silhouette floue. Le symbole de l’érudition, incarné par un serpent … Ce mélange subtil n’était pas sans rappeler nombre de ses protégés à Serpentard, et s’il n’avait s’agit que du premier terme Katy Smith aurait été citée, mais elle ne représentait pas la personnalité fine digne des reptiles. [10]+1

• Les fonds troubles du vaste espace aquatique, notamment en Écosse sont connus pour être le refuge des Kelpys, ces équidés fascinants. Par chance, on ne répertoriât pas de victimes de ces chevaux spéciaux parmi les élèves de l’école, ou du moins ces histoires ont su rester secrètes. L’on pourrait dire que c’est bien le genre de créatures qu’Isabel Almeida en personne n’oserait présenter à ses étudiants. Et pourtant, malgré leur penchant à perdre les humains trop imprudents, ils sont si intéressants et permettent de découvrir les richesses du lac dans une sécurité relative. Un projet secret de la sous-directrice serait en train d'être mis en place afin les domestiquer. [10]

• Peu nombreux doivent être les canards réussissant à survivre à ce monde hostile et pourtant. Êtres admirables que ceux-ci, capables de préserver en eux un souffle de vie assez puissant pour survivre. Ils doivent être trop banals pour être considérés comme une menace ou une potentielle proie. Quoiqu’il en soit, c’est l’image de James Silvershade qui s’impose quand il s’agit d’appeler ces créatures à l’esprit. Qu’est-ce qui rattache ce Poufsouffle à cet animal ? Difficile à dire, mais ça semble si naturel dans la tête de chacun. [13]

• Suite à un long moment passé devant le spectacle marin, l’apparition du calmar géant semble inespérée mais est pourtant réelle. Il est important de profiter de ces instants fugaces durant lesquels il daigne bien rappeler que sa présence n’est pas un mythe, sinon tout le monde finirait pas l’oublier. Son côté inaccessible ne va pas sans évoquer la figure de Kristen Lœwy qui dirige l’école depuis bien longtemps et a fabriqué l’image d’une directrice discrète, choisissant les hauteurs pour s’installer, à l’instar du monstre du lac qui ne s’accoutume pas aux abysses, supposées pourtant constituer le lieu de vie de ses congénères. [10]

• Plongée qu’elle était dans sa contemplation, miss Van Drecken ne put voir que l’adolescent Antony Vendrale entrait dans la salle commune, à une heure plus que tardive au regard des restrictions imposées par le couvre-feu. Pour un peu elle aurait pu le voir cacher des effets sous des pierres dans l’eau à cette heure nocturne, mais en expert du règlement, il savait parfaitement comment opérer dans la discrétion la plus totale, et réussit à passer derrière elle pour se faufiler en direction du dortoir des garçons. [11]

"If your absence doesn't bother them, then your presence never mattered to them in the first place"
"C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.” Le Petit Prince
13 nov. 2017, 20:44
Il n'en restera qu'un
• Bien à l’abri du temps pas vraiment clément en cette saison, Anja Van Drecken observait d’un œil maussade son manuel de potions. Elle était en train de se demander comment faire préparer un poison très puissant à ses étudiants de cinquième année sans qu’ils ne lui posent de questions trop intrusives. Ils n’avaient pas la docilité des nouveaux en première année mais eux seuls étaient dotés de la dextérité minimum pour se charger de breuvages aussi délicats à manipuler. En attendant de trouver un moyen subtil de proposer son projet, la potioniste se retira en salle commune. [8]

• La vue sur le lac offre un très joli spectacle, dans lequel beaucoup de Serpentard se plaisent à s’y perdre. Il est bien plus important de voir les profondeurs que la surface de l’étendue d’eau. Les êtres de l’eau tiennent conseil sous une arche et semblent nourrir un débat plus qu’animé, ce qui arrache un sourire à la spectatrice. Elle serait prête à parier que la personne au centre de leur conversation est Duncan Jackson, un jeune Gryffon recherchant de l’amusement partout, ce qui passait par des bêtises ou blagues de mauvais goût pour certains. Elle était curieuse de savoir une cargaison de quoi l’élève avait bien pu lâcher dans le lac. [4]

• Les sirènes passent ponctuellement devant la fenêtre sur l’eau, certainement occupées à fomenter des plans diaboliques envers les plus naïfs, à défaut d’avoir des pauvres marins à disposition. L’on pourrait retrouver un peu d’elles en Amy Holloway, sa collègue professeur de la Défense contre les Forces du Mal, qui tristement n’a pas la délicatesse d’apprécier les manifestations du mal et ne pense qu’à enseigner comment les neutraliser plutôt que d’apprendre à les apprivoiser. Dans ce monde l’agressivité est devenue la première réponse, ce qui nuit certainement depuis des siècles aux bonnes relations avec des créatures inoffensives mais attaqués systématiquement par erreur de jugement. [10]

• Des Strangulots se rentrent dedans avec énergie en exploitant leur poigne particulière. Leur comportement n’est pas sans rappeler la personnalité de feu de Yuzu Ame qui peut nous prendre à la gorge de manière très spontanée et imprévisible. La fille rouge et or est bien connue pour des débordements d’humeur ponctuels partout dans le château, mais relativement maîtrisés pour ne pas encore s’être fait reprendre de façon conséquente et sérieuse par les instances de haute autorité. Peu aimeraient se trouver aux prises avec elle, voilà une chose quasiment certaine. [0] -2 (c'est juste pour diminuer la liste :P)

• Les animaux marins, emplis de majesté à l’âge adulte et d’aspect adorable et mignon sont les Hippocampes, très discrets mais qui méritent l’attention entière quand ils se manifestent. Étonnamment ils incarnent sous un certain angle la jeune Eawen Keith, devenue récemment enseignante de sortilèges, à la fois attendrissante pour des collègues bien plus mûrs mais possédant de belles qualités. La sorcière présente un côté mystérieux par ses voyages lui ayant permis d’avoir des connaissances sur le monde que tout un chacun ne peut prétendre avoir. [10]

• Le Serpent cornu n’est pas un reptile beaucoup aperçu en Grande-Bretagne, peut-être bien plus présent dans le continent américain. Mais le lac de Poudlard est bien censé avoir une magie interne lui garantissait une belle richesse. C’est pourquoi il devrait être possible de croire voir son ombre ou sa silhouette floue. Le symbole de l’érudition, incarné par un serpent … Ce mélange subtil n’était pas sans rappeler nombre de ses protégés à Serpentard, et s’il n’avait s’agit que du premier terme Katy Smith aurait été citée, mais elle ne représentait pas la personnalité fine digne des reptiles. [10]

• Les fonds troubles du vaste espace aquatique, notamment en Écosse sont connus pour être le refuge des Kelpys, ces équidés fascinants. Par chance, on ne répertoriât pas de victimes de ces chevaux spéciaux parmi les élèves de l’école, ou du moins ces histoires ont su rester secrètes. L’on pourrait dire que c’est bien le genre de créatures qu’Isabel Almeida en personne n’oserait présenter à ses étudiants. Et pourtant, malgré leur penchant à perdre les humains trop imprudents, ils sont si intéressants et permettent de découvrir les richesses du lac dans une sécurité relative. Un projet secret de la sous-directrice serait en train d'être mis en place afin les domestiquer. [10]

• Peu nombreux doivent être les canards réussissant à survivre à ce monde hostile et pourtant. Êtres admirables que ceux-ci, capables de préserver en eux un souffle de vie assez puissant pour survivre. Ils doivent être trop banals pour être considérés comme une menace ou une potentielle proie. Quoiqu’il en soit, c’est l’image de James Silvershade qui s’impose quand il s’agit d’appeler ces créatures à l’esprit. Qu’est-ce qui rattache ce Poufsouffle à cet animal ? Difficile à dire, mais ça semble si naturel dans la tête de chacun. [13]

• Suite à un long moment passé devant le spectacle marin, l’apparition du calmar géant semble inespérée mais est pourtant réelle. Il est important de profiter de ces instants fugaces durant lesquels il daigne bien rappeler que sa présence n’est pas un mythe, sinon tout le monde finirait pas l’oublier. Son côté inaccessible ne va pas sans évoquer la figure de Kristen Lœwy qui dirige l’école depuis bien longtemps et a fabriqué l’image d’une directrice discrète, choisissant les hauteurs pour s’installer, à l’instar du monstre du lac qui ne s’accoutume pas aux abysses, supposées pourtant constituer le lieu de vie de ses congénères. [10]

• Plongée qu’elle était dans sa contemplation, miss Van Drecken ne put voir que l’adolescent Antony Vendrale entrait dans la salle commune, à une heure plus que tardive au regard des restrictions imposées par le couvre-feu. Pour un peu elle aurait pu le voir cacher des effets sous des pierres dans l’eau à cette heure nocturne, mais en expert du règlement, il savait parfaitement comment opérer dans la discrétion la plus totale, et réussit à passer derrière elle pour se faufiler en direction du dortoir des garçons. [12] +1
13 nov. 2017, 20:54
Il n'en restera qu'un
• Bien à l’abri du temps pas vraiment clément en cette saison, Anja Van Drecken observait d’un œil maussade son manuel de potions. Elle était en train de se demander comment faire préparer un poison très puissant à ses étudiants de cinquième année sans qu’ils ne lui posent de questions trop intrusives. Ils n’avaient pas la docilité des nouveaux en première année mais eux seuls étaient dotés de la dextérité minimum pour se charger de breuvages aussi délicats à manipuler. En attendant de trouver un moyen subtil de proposer son projet, la potioniste se retira en salle commune. [8]

• La vue sur le lac offre un très joli spectacle, dans lequel beaucoup de Serpentard se plaisent à s’y perdre. Il est bien plus important de voir les profondeurs que la surface de l’étendue d’eau. Les êtres de l’eau tiennent conseil sous une arche et semblent nourrir un débat plus qu’animé, ce qui arrache un sourire à la spectatrice. Elle serait prête à parier que la personne au centre de leur conversation est Duncan Jackson, un jeune Gryffon recherchant de l’amusement partout, ce qui passait par des bêtises ou blagues de mauvais goût pour certains. Elle était curieuse de savoir une cargaison de quoi l’élève avait bien pu lâcher dans le lac. [4]

• Les sirènes passent ponctuellement devant la fenêtre sur l’eau, certainement occupées à fomenter des plans diaboliques envers les plus naïfs, à défaut d’avoir des pauvres marins à disposition. L’on pourrait retrouver un peu d’elles en Amy Holloway, sa collègue professeur de la Défense contre les Forces du Mal, qui tristement n’a pas la délicatesse d’apprécier les manifestations du mal et ne pense qu’à enseigner comment les neutraliser plutôt que d’apprendre à les apprivoiser. Dans ce monde l’agressivité est devenue la première réponse, ce qui nuit certainement depuis des siècles aux bonnes relations avec des créatures inoffensives mais attaqués systématiquement par erreur de jugement. [10] -2

• Les animaux marins, emplis de majesté à l’âge adulte et d’aspect adorable et mignon sont les Hippocampes, très discrets mais qui méritent l’attention entière quand ils se manifestent. Étonnamment ils incarnent sous un certain angle la jeune Eawen Keith, devenue récemment enseignante de sortilèges, à la fois attendrissante pour des collègues bien plus mûrs mais possédant de belles qualités. La sorcière présente un côté mystérieux par ses voyages lui ayant permis d’avoir des connaissances sur le monde que tout un chacun ne peut prétendre avoir. [10]

• Le Serpent cornu n’est pas un reptile beaucoup aperçu en Grande-Bretagne, peut-être bien plus présent dans le continent américain. Mais le lac de Poudlard est bien censé avoir une magie interne lui garantissait une belle richesse. C’est pourquoi il devrait être possible de croire voir son ombre ou sa silhouette floue. Le symbole de l’érudition, incarné par un serpent … Ce mélange subtil n’était pas sans rappeler nombre de ses protégés à Serpentard, et s’il n’avait s’agit que du premier terme Katy Smith aurait été citée, mais elle ne représentait pas la personnalité fine digne des reptiles. [10]

• Les fonds troubles du vaste espace aquatique, notamment en Écosse sont connus pour être le refuge des Kelpys, ces équidés fascinants. Par chance, on ne répertoriât pas de victimes de ces chevaux spéciaux parmi les élèves de l’école, ou du moins ces histoires ont su rester secrètes. L’on pourrait dire que c’est bien le genre de créatures qu’Isabel Almeida en personne n’oserait présenter à ses étudiants. Et pourtant, malgré leur penchant à perdre les humains trop imprudents, ils sont si intéressants et permettent de découvrir les richesses du lac dans une sécurité relative. Un projet secret de la sous-directrice serait en train d'être mis en place afin les domestiquer. [10]

• Peu nombreux doivent être les canards réussissant à survivre à ce monde hostile et pourtant. Êtres admirables que ceux-ci, capables de préserver en eux un souffle de vie assez puissant pour survivre. Ils doivent être trop banals pour être considérés comme une menace ou une potentielle proie. Quoiqu’il en soit, c’est l’image de James Silvershade qui s’impose quand il s’agit d’appeler ces créatures à l’esprit. Qu’est-ce qui rattache ce Poufsouffle à cet animal ? Difficile à dire, mais ça semble si naturel dans la tête de chacun. [13] +1

• Suite à un long moment passé devant le spectacle marin, l’apparition du calmar géant semble inespérée mais est pourtant réelle. Il est important de profiter de ces instants fugaces durant lesquels il daigne bien rappeler que sa présence n’est pas un mythe, sinon tout le monde finirait pas l’oublier. Son côté inaccessible ne va pas sans évoquer la figure de Kristen Lœwy qui dirige l’école depuis bien longtemps et a fabriqué l’image d’une directrice discrète, choisissant les hauteurs pour s’installer, à l’instar du monstre du lac qui ne s’accoutume pas aux abysses, supposées pourtant constituer le lieu de vie de ses congénères. [10]

• Plongée qu’elle était dans sa contemplation, miss Van Drecken ne put voir que l’adolescent Antony Vendrale entrait dans la salle commune, à une heure plus que tardive au regard des restrictions imposées par le couvre-feu. Pour un peu elle aurait pu le voir cacher des effets sous des pierres dans l’eau à cette heure nocturne, mais en expert du règlement, il savait parfaitement comment opérer dans la discrétion la plus totale, et réussit à passer derrière elle pour se faufiler en direction du dortoir des garçons. [13]

*Le souffle des Poufsouffle jamais ne s'étouffe !*
13 nov. 2017, 21:11
Il n'en restera qu'un
• Bien à l’abri du temps pas vraiment clément en cette saison, Anja Van Drecken observait d’un œil maussade son manuel de potions. Elle était en train de se demander comment faire préparer un poison très puissant à ses étudiants de cinquième année sans qu’ils ne lui posent de questions trop intrusives. Ils n’avaient pas la docilité des nouveaux en première année mais eux seuls étaient dotés de la dextérité minimum pour se charger de breuvages aussi délicats à manipuler. En attendant de trouver un moyen subtil de proposer son projet, la potioniste se retira en salle commune. [8]

• La vue sur le lac offre un très joli spectacle, dans lequel beaucoup de Serpentard se plaisent à s’y perdre. Il est bien plus important de voir les profondeurs que la surface de l’étendue d’eau. Les êtres de l’eau tiennent conseil sous une arche et semblent nourrir un débat plus qu’animé, ce qui arrache un sourire à la spectatrice. Elle serait prête à parier que la personne au centre de leur conversation est Duncan Jackson, un jeune Gryffon recherchant de l’amusement partout, ce qui passait par des bêtises ou blagues de mauvais goût pour certains. Elle était curieuse de savoir une cargaison de quoi l’élève avait bien pu lâcher dans le lac. [2]-2

• Les sirènes passent ponctuellement devant la fenêtre sur l’eau, certainement occupées à fomenter des plans diaboliques envers les plus naïfs, à défaut d’avoir des pauvres marins à disposition. L’on pourrait retrouver un peu d’elles en Amy Holloway, sa collègue professeur de la Défense contre les Forces du Mal, qui tristement n’a pas la délicatesse d’apprécier les manifestations du mal et ne pense qu’à enseigner comment les neutraliser plutôt que d’apprendre à les apprivoiser. Dans ce monde l’agressivité est devenue la première réponse, ce qui nuit certainement depuis des siècles aux bonnes relations avec des créatures inoffensives mais attaqués systématiquement par erreur de jugement. [11] +1

• Les animaux marins, emplis de majesté à l’âge adulte et d’aspect adorable et mignon sont les Hippocampes, très discrets mais qui méritent l’attention entière quand ils se manifestent. Étonnamment ils incarnent sous un certain angle la jeune Eawen Keith, devenue récemment enseignante de sortilèges, à la fois attendrissante pour des collègues bien plus mûrs mais possédant de belles qualités. La sorcière présente un côté mystérieux par ses voyages lui ayant permis d’avoir des connaissances sur le monde que tout un chacun ne peut prétendre avoir. [10]

• Le Serpent cornu n’est pas un reptile beaucoup aperçu en Grande-Bretagne, peut-être bien plus présent dans le continent américain. Mais le lac de Poudlard est bien censé avoir une magie interne lui garantissait une belle richesse. C’est pourquoi il devrait être possible de croire voir son ombre ou sa silhouette floue. Le symbole de l’érudition, incarné par un serpent … Ce mélange subtil n’était pas sans rappeler nombre de ses protégés à Serpentard, et s’il n’avait s’agit que du premier terme Katy Smith aurait été citée, mais elle ne représentait pas la personnalité fine digne des reptiles. [10]

• Les fonds troubles du vaste espace aquatique, notamment en Écosse sont connus pour être le refuge des Kelpys, ces équidés fascinants. Par chance, on ne répertoriât pas de victimes de ces chevaux spéciaux parmi les élèves de l’école, ou du moins ces histoires ont su rester secrètes. L’on pourrait dire que c’est bien le genre de créatures qu’Isabel Almeida en personne n’oserait présenter à ses étudiants. Et pourtant, malgré leur penchant à perdre les humains trop imprudents, ils sont si intéressants et permettent de découvrir les richesses du lac dans une sécurité relative. Un projet secret de la sous-directrice serait en train d'être mis en place afin les domestiquer. [10]

• Peu nombreux doivent être les canards réussissant à survivre à ce monde hostile et pourtant. Êtres admirables que ceux-ci, capables de préserver en eux un souffle de vie assez puissant pour survivre. Ils doivent être trop banals pour être considérés comme une menace ou une potentielle proie. Quoiqu’il en soit, c’est l’image de James Silvershade qui s’impose quand il s’agit d’appeler ces créatures à l’esprit. Qu’est-ce qui rattache ce Poufsouffle à cet animal ? Difficile à dire, mais ça semble si naturel dans la tête de chacun. [13]

• Suite à un long moment passé devant le spectacle marin, l’apparition du calmar géant semble inespérée mais est pourtant réelle. Il est important de profiter de ces instants fugaces durant lesquels il daigne bien rappeler que sa présence n’est pas un mythe, sinon tout le monde finirait pas l’oublier. Son côté inaccessible ne va pas sans évoquer la figure de Kristen Lœwy qui dirige l’école depuis bien longtemps et a fabriqué l’image d’une directrice discrète, choisissant les hauteurs pour s’installer, à l’instar du monstre du lac qui ne s’accoutume pas aux abysses, supposées pourtant constituer le lieu de vie de ses congénères. [10]

• Plongée qu’elle était dans sa contemplation, miss Van Drecken ne put voir que l’adolescent Antony Vendrale entrait dans la salle commune, à une heure plus que tardive au regard des restrictions imposées par le couvre-feu. Pour un peu elle aurait pu le voir cacher des effets sous des pierres dans l’eau à cette heure nocturne, mais en expert du règlement, il savait parfaitement comment opérer dans la discrétion la plus totale, et réussit à passer derrière elle pour se faufiler en direction du dortoir des garçons. [13]

Code couleur : #002E9A
Love story turns easily into a tragedy - James et Rosalys
Adieu mes amis <3
13 nov. 2017, 22:32
Il n'en restera qu'un
• Bien à l’abri du temps pas vraiment clément en cette saison, Anja Van Drecken observait d’un œil maussade son manuel de potions. Elle était en train de se demander comment faire préparer un poison très puissant à ses étudiants de cinquième année sans qu’ils ne lui posent de questions trop intrusives. Ils n’avaient pas la docilité des nouveaux en première année mais eux seuls étaient dotés de la dextérité minimum pour se charger de breuvages aussi délicats à manipuler. En attendant de trouver un moyen subtil de proposer son projet, la potioniste se retira en salle commune. [8]

• La vue sur le lac offre un très joli spectacle, dans lequel beaucoup de Serpentard se plaisent à s’y perdre. Il est bien plus important de voir les profondeurs que la surface de l’étendue d’eau. Les êtres de l’eau tiennent conseil sous une arche et semblent nourrir un débat plus qu’animé, ce qui arrache un sourire à la spectatrice. Elle serait prête à parier que la personne au centre de leur conversation est Duncan Jackson, un jeune Gryffon recherchant de l’amusement partout, ce qui passait par des bêtises ou blagues de mauvais goût pour certains. Elle était curieuse de savoir une cargaison de quoi l’élève avait bien pu lâcher dans le lac. [0]-2

• Les sirènes passent ponctuellement devant la fenêtre sur l’eau, certainement occupées à fomenter des plans diaboliques envers les plus naïfs, à défaut d’avoir des pauvres marins à disposition. L’on pourrait retrouver un peu d’elles en Amy Holloway, sa collègue professeur de la Défense contre les Forces du Mal, qui tristement n’a pas la délicatesse d’apprécier les manifestations du mal et ne pense qu’à enseigner comment les neutraliser plutôt que d’apprendre à les apprivoiser. Dans ce monde l’agressivité est devenue la première réponse, ce qui nuit certainement depuis des siècles aux bonnes relations avec des créatures inoffensives mais attaqués systématiquement par erreur de jugement. [11]

• Les animaux marins, emplis de majesté à l’âge adulte et d’aspect adorable et mignon sont les Hippocampes, très discrets mais qui méritent l’attention entière quand ils se manifestent. Étonnamment ils incarnent sous un certain angle la jeune Eawen Keith, devenue récemment enseignante de sortilèges, à la fois attendrissante pour des collègues bien plus mûrs mais possédant de belles qualités. La sorcière présente un côté mystérieux par ses voyages lui ayant permis d’avoir des connaissances sur le monde que tout un chacun ne peut prétendre avoir. [10]

• Le Serpent cornu n’est pas un reptile beaucoup aperçu en Grande-Bretagne, peut-être bien plus présent dans le continent américain. Mais le lac de Poudlard est bien censé avoir une magie interne lui garantissait une belle richesse. C’est pourquoi il devrait être possible de croire voir son ombre ou sa silhouette floue. Le symbole de l’érudition, incarné par un serpent … Ce mélange subtil n’était pas sans rappeler nombre de ses protégés à Serpentard, et s’il n’avait s’agit que du premier terme Katy Smith aurait été citée, mais elle ne représentait pas la personnalité fine digne des reptiles. [10]

• Les fonds troubles du vaste espace aquatique, notamment en Écosse sont connus pour être le refuge des Kelpys, ces équidés fascinants. Par chance, on ne répertoriât pas de victimes de ces chevaux spéciaux parmi les élèves de l’école, ou du moins ces histoires ont su rester secrètes. L’on pourrait dire que c’est bien le genre de créatures qu’Isabel Almeida en personne n’oserait présenter à ses étudiants. Et pourtant, malgré leur penchant à perdre les humains trop imprudents, ils sont si intéressants et permettent de découvrir les richesses du lac dans une sécurité relative. Un projet secret de la sous-directrice serait en train d'être mis en place afin les domestiquer. [10]

• Peu nombreux doivent être les canards réussissant à survivre à ce monde hostile et pourtant. Êtres admirables que ceux-ci, capables de préserver en eux un souffle de vie assez puissant pour survivre. Ils doivent être trop banals pour être considérés comme une menace ou une potentielle proie. Quoiqu’il en soit, c’est l’image de James Silvershade qui s’impose quand il s’agit d’appeler ces créatures à l’esprit. Qu’est-ce qui rattache ce Poufsouffle à cet animal ? Difficile à dire, mais ça semble si naturel dans la tête de chacun. [13]

• Suite à un long moment passé devant le spectacle marin, l’apparition du calmar géant semble inespérée mais est pourtant réelle. Il est important de profiter de ces instants fugaces durant lesquels il daigne bien rappeler que sa présence n’est pas un mythe, sinon tout le monde finirait pas l’oublier. Son côté inaccessible ne va pas sans évoquer la figure de Kristen Lœwy qui dirige l’école depuis bien longtemps et a fabriqué l’image d’une directrice discrète, choisissant les hauteurs pour s’installer, à l’instar du monstre du lac qui ne s’accoutume pas aux abysses, supposées pourtant constituer le lieu de vie de ses congénères. [10]

• Plongée qu’elle était dans sa contemplation, miss Van Drecken ne put voir que l’adolescent Antony Vendrale entrait dans la salle commune, à une heure plus que tardive au regard des restrictions imposées par le couvre-feu. Pour un peu elle aurait pu le voir cacher des effets sous des pierres dans l’eau à cette heure nocturne, mais en expert du règlement, il savait parfaitement comment opérer dans la discrétion la plus totale, et réussit à passer derrière elle pour se faufiler en direction du dortoir des garçons. [14] +1
13 nov. 2017, 22:40
Il n'en restera qu'un
• Bien à l’abri du temps pas vraiment clément en cette saison, Anja Van Drecken observait d’un œil maussade son manuel de potions. Elle était en train de se demander comment faire préparer un poison très puissant à ses étudiants de cinquième année sans qu’ils ne lui posent de questions trop intrusives. Ils n’avaient pas la docilité des nouveaux en première année mais eux seuls étaient dotés de la dextérité minimum pour se charger de breuvages aussi délicats à manipuler. En attendant de trouver un moyen subtil de proposer son projet, la potioniste se retira en salle commune. [8]

• Les sirènes passent ponctuellement devant la fenêtre sur l’eau, certainement occupées à fomenter des plans diaboliques envers les plus naïfs, à défaut d’avoir des pauvres marins à disposition. L’on pourrait retrouver un peu d’elles en Amy Holloway, sa collègue professeur de la Défense contre les Forces du Mal, qui tristement n’a pas la délicatesse d’apprécier les manifestations du mal et ne pense qu’à enseigner comment les neutraliser plutôt que d’apprendre à les apprivoiser. Dans ce monde l’agressivité est devenue la première réponse, ce qui nuit certainement depuis des siècles aux bonnes relations avec des créatures inoffensives mais attaqués systématiquement par erreur de jugement. [11]

• Les animaux marins, emplis de majesté à l’âge adulte et d’aspect adorable et mignon sont les Hippocampes, très discrets mais qui méritent l’attention entière quand ils se manifestent. Étonnamment ils incarnent sous un certain angle la jeune Eawen Keith, devenue récemment enseignante de sortilèges, à la fois attendrissante pour des collègues bien plus mûrs mais possédant de belles qualités. La sorcière présente un côté mystérieux par ses voyages lui ayant permis d’avoir des connaissances sur le monde que tout un chacun ne peut prétendre avoir. [10]

• Le Serpent cornu n’est pas un reptile beaucoup aperçu en Grande-Bretagne, peut-être bien plus présent dans le continent américain. Mais le lac de Poudlard est bien censé avoir une magie interne lui garantissait une belle richesse. C’est pourquoi il devrait être possible de croire voir son ombre ou sa silhouette floue. Le symbole de l’érudition, incarné par un serpent … Ce mélange subtil n’était pas sans rappeler nombre de ses protégés à Serpentard, et s’il n’avait s’agit que du premier terme Katy Smith aurait été citée, mais elle ne représentait pas la personnalité fine digne des reptiles. [10]

• Les fonds troubles du vaste espace aquatique, notamment en Écosse sont connus pour être le refuge des Kelpys, ces équidés fascinants. Par chance, on ne répertoriât pas de victimes de ces chevaux spéciaux parmi les élèves de l’école, ou du moins ces histoires ont su rester secrètes. L’on pourrait dire que c’est bien le genre de créatures qu’Isabel Almeida en personne n’oserait présenter à ses étudiants. Et pourtant, malgré leur penchant à perdre les humains trop imprudents, ils sont si intéressants et permettent de découvrir les richesses du lac dans une sécurité relative. Un projet secret de la sous-directrice serait en train d'être mis en place afin les domestiquer. [10]

• Peu nombreux doivent être les canards réussissant à survivre à ce monde hostile et pourtant. Êtres admirables que ceux-ci, capables de préserver en eux un souffle de vie assez puissant pour survivre. Ils doivent être trop banals pour être considérés comme une menace ou une potentielle proie. Quoiqu’il en soit, c’est l’image de James Silvershade qui s’impose quand il s’agit d’appeler ces créatures à l’esprit. Qu’est-ce qui rattache ce Poufsouffle à cet animal ? Difficile à dire, mais ça semble si naturel dans la tête de chacun. [11] -2

• Suite à un long moment passé devant le spectacle marin, l’apparition du calmar géant semble inespérée mais est pourtant réelle. Il est important de profiter de ces instants fugaces durant lesquels il daigne bien rappeler que sa présence n’est pas un mythe, sinon tout le monde finirait pas l’oublier. Son côté inaccessible ne va pas sans évoquer la figure de Kristen Lœwy qui dirige l’école depuis bien longtemps et a fabriqué l’image d’une directrice discrète, choisissant les hauteurs pour s’installer, à l’instar du monstre du lac qui ne s’accoutume pas aux abysses, supposées pourtant constituer le lieu de vie de ses congénères. [11] +1

• Plongée qu’elle était dans sa contemplation, miss Van Drecken ne put voir que l’adolescent Antony Vendrale entrait dans la salle commune, à une heure plus que tardive au regard des restrictions imposées par le couvre-feu. Pour un peu elle aurait pu le voir cacher des effets sous des pierres dans l’eau à cette heure nocturne, mais en expert du règlement, il savait parfaitement comment opérer dans la discrétion la plus totale, et réussit à passer derrière elle pour se faufiler en direction du dortoir des garçons. [14]

Love story turns easily into a tragedy - James et Rosalys