Lors d’une belle matinée de novembre, les élèves et quelques professeurs de Poudlard avaient décidés de se réunir dans le parc pour s’adonner à diverses activités.

Sigmund Charleston, ce très cher professeur d’étude des moldus, contemplait avec bienveillance des élèves de deuxième année qui s’adonnaient à une partie de Bavboules. Il ne put retenir un rire quand une élève de Gryffondor perdit la partie, et fut asperger par le liquide odorant. La journée commençait bien ! [14]

Un autre Gryffondor, Elijah Wilson, dévorait quelques gommes de limace, confortablement assis sous un arbre. Il levait parfois ses yeux sur ses camarades quand ceux ci passaient trop près de lui à son goût. Il était hors de question qu’il partage la moindre friandise. [5] -2

Dans ce groupe d’élève, il y avait Irene Gates, une Serdaigle de deuxième année. C’était elle, la plus joyeuse. Elle ria aux éclats lorsque le calamar frappe sa tentacule près d’eux, les éclaboussant aux passages. [22] +1

Du côté de Beatrix Blackburden, l’ambiance était bien plus calme et détendue. La Gryffondor rédigeait un poème, inspirée par le chant du vent dans les arbres, par la teinte orangée des feuilles. [6]

Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber sur le parc de Poudlard puis, bien vite, des cordes. Les élèves les plus rapides rentrèrent sans trop de dommage. Les plus lents finirent trempés jusqu’aux os ! Le calmar agitait ses tentacules, comme pour saluer les élèves qui le quittaient pour le château.

Lors d’une belle matinée de novembre, les élèves et quelques professeurs de Poudlard avaient décidés de se réunir dans le parc pour s’adonner à diverses activités.

Sigmund Charleston, ce très cher professeur d’étude des moldus, contemplait avec bienveillance des élèves de deuxième année qui s’adonnaient à une partie de Bavboules. Il ne put retenir un rire quand une élève de Gryffondor perdit la partie, et fut asperger par le liquide odorant. La journée commençait bien ! [15]+1

Un autre Gryffondor, Elijah Wilson, dévorait quelques gommes de limace, confortablement assis sous un arbre. Il levait parfois ses yeux sur ses camarades quand ceux ci passaient trop près de lui à son goût. Il était hors de question qu’il partage la moindre friandise. [3] -2

Dans ce groupe d’élève, il y avait Irene Gates, une Serdaigle de deuxième année. C’était elle, la plus joyeuse. Elle ria aux éclats lorsque le calamar frappe sa tentacule près d’eux, les éclaboussant aux passages. [22]

Du côté de Beatrix Blackburden, l’ambiance était bien plus calme et détendue. La Gryffondor rédigeait un poème, inspirée par le chant du vent dans les arbres, par la teinte orangée des feuilles. [6]

Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber sur le parc de Poudlard puis, bien vite, des cordes. Les élèves les plus rapides rentrèrent sans trop de dommage. Les plus lents finirent trempés jusqu’aux os ! Le calmar agitait ses tentacules, comme pour saluer les élèves qui le quittaient pour le château.

Lors d’une belle matinée de novembre, les élèves et quelques professeurs de Poudlard avaient décidés de se réunir dans le parc pour s’adonner à diverses activités.

Sigmund Charleston, ce très cher professeur d’étude des moldus, contemplait avec bienveillance des élèves de deuxième année qui s’adonnaient à une partie de Bavboules. Il ne put retenir un rire quand une élève de Gryffondor perdit la partie, et fut asperger par le liquide odorant. La journée commençait bien ! [13] -2

Un autre Gryffondor, Elijah Wilson, dévorait quelques gommes de limace, confortablement assis sous un arbre. Il levait parfois ses yeux sur ses camarades quand ceux ci passaient trop près de lui à son goût. Il était hors de question qu’il partage la moindre friandise. [3] 

Dans ce groupe d’élève, il y avait Irene Gates, une Serdaigle de deuxième année. C’était elle, la plus joyeuse. Elle ria aux éclats lorsque le calamar frappe sa tentacule près d’eux, les éclaboussant aux passages. [23] +1

Du côté de Beatrix Blackburden, l’ambiance était bien plus calme et détendue. La Gryffondor rédigeait un poème, inspirée par le chant du vent dans les arbres, par la teinte orangée des feuilles. [6] 

Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber sur le parc de Poudlard puis, bien vite, des cordes. Les élèves les plus rapides rentrèrent sans trop de dommage. Les plus lents finirent trempés jusqu’aux os ! Le calmar agitait ses tentacules, comme pour saluer les élèves qui le quittaient pour le château.

Lors d’une belle matinée de novembre, les élèves et quelques professeurs de Poudlard avaient décidés de se réunir dans le parc pour s’adonner à diverses activités.

Sigmund Charleston, ce très cher professeur d’étude des moldus, contemplait avec bienveillance des élèves de deuxième année qui s’adonnaient à une partie de Bavboules. Il ne put retenir un rire quand une élève de Gryffondor perdit la partie, et fut asperger par le liquide odorant. La journée commençait bien ! [13]

Un autre Gryffondor, Elijah Wilson, dévorait quelques gommes de limace, confortablement assis sous un arbre. Il levait parfois ses yeux sur ses camarades quand ceux ci passaient trop près de lui à son goût. Il était hors de question qu’il partage la moindre friandise. [4] +1

Dans ce groupe d’élève, il y avait Irene Gates, une Serdaigle de deuxième année. C’était elle, la plus joyeuse. Elle ria aux éclats lorsque le calamar frappe sa tentacule près d’eux, les éclaboussant aux passages. [21] -2

Du côté de Beatrix Blackburden, l’ambiance était bien plus calme et détendue. La Gryffondor rédigeait un poème, inspirée par le chant du vent dans les arbres, par la teinte orangée des feuilles. [6] 

Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber sur le parc de Poudlard puis, bien vite, des cordes. Les élèves les plus rapides rentrèrent sans trop de dommage. Les plus lents finirent trempés jusqu’aux os ! Le calmar agitait ses tentacules, comme pour saluer les élèves qui le quittaient pour le château.

Lors d’une belle matinée de novembre, les élèves et quelques professeurs de Poudlard avaient décidés de se réunir dans le parc pour s’adonner à diverses activités.

Sigmund Charleston, ce très cher professeur d’étude des moldus, contemplait avec bienveillance des élèves de deuxième année qui s’adonnaient à une partie de Bavboules. Il ne put retenir un rire quand une élève de Gryffondor perdit la partie, et fut asperger par le liquide odorant. La journée commençait bien ! [13]

Un autre Gryffondor, Elijah Wilson, dévorait quelques gommes de limace, confortablement assis sous un arbre. Il levait parfois ses yeux sur ses camarades quand ceux ci passaient trop près de lui à son goût. Il était hors de question qu’il partage la moindre friandise. [2]-2

Dans ce groupe d’élève, il y avait Irene Gates, une Serdaigle de deuxième année. C’était elle, la plus joyeuse. Elle ria aux éclats lorsque le calamar frappe sa tentacule près d’eux, les éclaboussant aux passages. [21]

Du côté de Beatrix Blackburden, l’ambiance était bien plus calme et détendue. La Gryffondor rédigeait un poème, inspirée par le chant du vent dans les arbres, par la teinte orangée des feuilles. [6] 

Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber sur le parc de Poudlard puis, bien vite, des cordes. Les élèves les plus rapides rentrèrent sans trop de dommage. Les plus lents finirent trempés jusqu’aux os ! Le calmar agitait ses tentacules, comme pour saluer les élèves qui le quittaient pour le château.

Lors d’une belle matinée de novembre, les élèves et quelques professeurs de Poudlard avaient décidés de se réunir dans le parc pour s’adonner à diverses activités.

Sigmund Charleston, ce très cher professeur d’étude des moldus, contemplait avec bienveillance des élèves de deuxième année qui s’adonnaient à une partie de Bavboules. Il ne put retenir un rire quand une élève de Gryffondor perdit la partie, et fut asperger par le liquide odorant. La journée commençait bien ! [14] +1

Un autre Gryffondor, Elijah Wilson, dévorait quelques gommes de limace, confortablement assis sous un arbre. Il levait parfois ses yeux sur ses camarades quand ceux ci passaient trop près de lui à son goût. Il était hors de question qu’il partage la moindre friandise. [2]

Dans ce groupe d’élève, il y avait Irene Gates, une Serdaigle de deuxième année. C’était elle, la plus joyeuse. Elle ria aux éclats lorsque le calamar frappe sa tentacule près d’eux, les éclaboussant aux passages. [19] -2

Du côté de Beatrix Blackburden, l’ambiance était bien plus calme et détendue. La Gryffondor rédigeait un poème, inspirée par le chant du vent dans les arbres, par la teinte orangée des feuilles. [6] 

Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber sur le parc de Poudlard puis, bien vite, des cordes. Les élèves les plus rapides rentrèrent sans trop de dommage. Les plus lents finirent trempés jusqu’aux os ! Le calmar agitait ses tentacules, comme pour saluer les élèves qui le quittaient pour le château.

Lors d’une belle matinée de novembre, les élèves et quelques professeurs de Poudlard avaient décidés de se réunir dans le parc pour s’adonner à diverses activités.

Sigmund Charleston, ce très cher professeur d’étude des moldus, contemplait avec bienveillance des élèves de deuxième année qui s’adonnaient à une partie de Bavboules. Il ne put retenir un rire quand une élève de Gryffondor perdit la partie, et fut asperger par le liquide odorant. La journée commençait bien ! [14]

Un autre Gryffondor, Elijah Wilson, dévorait quelques gommes de limace, confortablement assis sous un arbre. Il levait parfois ses yeux sur ses camarades quand ceux ci passaient trop près de lui à son goût. Il était hors de question qu’il partage la moindre friandise. [3] +1

Dans ce groupe d’élève, il y avait Irene Gates, une Serdaigle de deuxième année. C’était elle, la plus joyeuse. Elle ria aux éclats lorsque le calamar frappe sa tentacule près d’eux, les éclaboussant aux passages. [17] -2

Du côté de Beatrix Blackburden, l’ambiance était bien plus calme et détendue. La Gryffondor rédigeait un poème, inspirée par le chant du vent dans les arbres, par la teinte orangée des feuilles. [6] 

Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber sur le parc de Poudlard puis, bien vite, des cordes. Les élèves les plus rapides rentrèrent sans trop de dommage. Les plus lents finirent trempés jusqu’aux os ! Le calmar agitait ses tentacules, comme pour saluer les élèves qui le quittaient pour le château.

Lors d’une belle matinée de novembre, les élèves et quelques professeurs de Poudlard avaient décidés de se réunir dans le parc pour s’adonner à diverses activités.

Sigmund Charleston, ce très cher professeur d’étude des moldus, contemplait avec bienveillance des élèves de deuxième année qui s’adonnaient à une partie de Bavboules. Il ne put retenir un rire quand une élève de Gryffondor perdit la partie, et fut asperger par le liquide odorant. La journée commençait bien ! [12] -2

Un autre Gryffondor, Elijah Wilson, dévorait quelques gommes de limace, confortablement assis sous un arbre. Il levait parfois ses yeux sur ses camarades quand ceux ci passaient trop près de lui à son goût. Il était hors de question qu’il partage la moindre friandise. [3] 

Dans ce groupe d’élève, il y avait Irene Gates, une Serdaigle de deuxième année. C’était elle, la plus joyeuse. Elle ria aux éclats lorsque le calamar frappe sa tentacule près d’eux, les éclaboussant aux passages. [18] +1 

Du côté de Beatrix Blackburden, l’ambiance était bien plus calme et détendue. La Gryffondor rédigeait un poème, inspirée par le chant du vent dans les arbres, par la teinte orangée des feuilles. [6] 

Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber sur le parc de Poudlard puis, bien vite, des cordes. Les élèves les plus rapides rentrèrent sans trop de dommage. Les plus lents finirent trempés jusqu’aux os ! Le calmar agitait ses tentacules, comme pour saluer les élèves qui le quittaient pour le château.

Lors d’une belle matinée de novembre, les élèves et quelques professeurs de Poudlard avaient décidés de se réunir dans le parc pour s’adonner à diverses activités.

Sigmund Charleston, ce très cher professeur d’étude des moldus, contemplait avec bienveillance des élèves de deuxième année qui s’adonnaient à une partie de Bavboules. Il ne put retenir un rire quand une élève de Gryffondor perdit la partie, et fut asperger par le liquide odorant. La journée commençait bien ! [12]

Un autre Gryffondor, Elijah Wilson, dévorait quelques gommes de limace, confortablement assis sous un arbre. Il levait parfois ses yeux sur ses camarades quand ceux ci passaient trop près de lui à son goût. Il était hors de question qu’il partage la moindre friandise. [1] -2

Dans ce groupe d’élève, il y avait Irene Gates, une Serdaigle de deuxième année. C’était elle, la plus joyeuse. Elle ria aux éclats lorsque le calamar frappe sa tentacule près d’eux, les éclaboussant aux passages. [19] +1 

Du côté de Beatrix Blackburden, l’ambiance était bien plus calme et détendue. La Gryffondor rédigeait un poème, inspirée par le chant du vent dans les arbres, par la teinte orangée des feuilles. [6] 

Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber sur le parc de Poudlard puis, bien vite, des cordes. Les élèves les plus rapides rentrèrent sans trop de dommage. Les plus lents finirent trempés jusqu’aux os ! Le calmar agitait ses tentacules, comme pour saluer les élèves qui le quittaient pour le château.

Lors d’une belle matinée de novembre, les élèves et quelques professeurs de Poudlard avaient décidés de se réunir dans le parc pour s’adonner à diverses activités.

Sigmund Charleston, ce très cher professeur d’étude des moldus, contemplait avec bienveillance des élèves de deuxième année qui s’adonnaient à une partie de Bavboules. Il ne put retenir un rire quand une élève de Gryffondor perdit la partie, et fut asperger par le liquide odorant. La journée commençait bien ! [12]

Un autre Gryffondor, Elijah Wilson, dévorait quelques gommes de limace, confortablement assis sous un arbre. Il levait parfois ses yeux sur ses camarades quand ceux ci passaient trop près de lui à son goût. Il était hors de question qu’il partage la moindre friandise. [2] +1

Dans ce groupe d’élève, il y avait Irene Gates, une Serdaigle de deuxième année. C’était elle, la plus joyeuse. Elle ria aux éclats lorsque le calamar frappe sa tentacule près d’eux, les éclaboussant aux passages. [17] -2 

Du côté de Beatrix Blackburden, l’ambiance était bien plus calme et détendue. La Gryffondor rédigeait un poème, inspirée par le chant du vent dans les arbres, par la teinte orangée des feuilles. [6] 

Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber sur le parc de Poudlard puis, bien vite, des cordes. Les élèves les plus rapides rentrèrent sans trop de dommage. Les plus lents finirent trempés jusqu’aux os ! Le calmar agitait ses tentacules, comme pour saluer les élèves qui le quittaient pour le château.