Nom : Bedelia Jones
Date de Naissance : 30 janvier 2037
Lieu de Naissance : Càrlabhagh Croft sur l'île de Lewis et Harris
Nationalité : Ecossaise
Statut : Sang-Mêlé

Description physique
Bedelia est une petite fille grande et plutôt élancée pour son âge. Elle a de grandes mains, de grands pieds et un long coup. Elle possède une belle chevelure mordorée dont elle ne prend malheureusement pas assez soin et des sourcils bien fournis. Bedelia a des yeux très bleus, le tain pêche et des tâches de rousseurs apparaissent sur son nez et ses épaules chaque été. Son visage commence à perdre les traces de l’enfance mais reste encore légèrement rond, on peut tout de même voir s’esquisser une mâchoire volontaire. Elle se tient toujours très droite mais sa démarche est assez souple.

Contenu de sa malle
Baguette magique de 33,1 cm en bois de noyer et ventricule de snallygaster
Journal intime en cuir marron
Collection de plumes
Morceau de Gneiss ramassée sur la plage
Médaille en argent représentant une fleur de Moly.

Avant Poudlard
Bedelia grandi sur l’île sauvage de Lewis et Harris dans les Hébrides extérieures. Elle passe son enfance à crapahuter dans les montagnes vertes et les champs de moutons, à courir après les cormorans sur les plages infinis et à s’élever au-dessus de la mer sur le dos des hippogriphes qu’élève son père.
Sur l’île, la famille de Bedelia vit recluse. Son père, Henry Jones est un sorcier. Il a rencontré Viviane, sa mère, lorsque celle-ci était venue sur l’île un printemps pour prendre en photo des fulmars. Elle s’était perdue dans les tourbières à la tombé du jour et était tombé sous le charme étrange du jeune homme un peu rustre venu à son secours.
Viviane n’était jamais vraiment repartie de l’île et avait accepté avec indulgence les étrangetés de son époux. Ils ont eux ensemble trois enfants, Bedelia bien-sûr, mais aussi ses deux frères ainés, Cecil et Aubrey, bien plus âgés qu’elle. Aujourd’hui ils vivent dans leur cottage de Càrlabhagh Croft où ils s’occupent d’un élevage d’hippogriphes connu pour produire des individus farouches mais tenaces.

An athair, Henry Jones

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Bedelia ressens beaucoup d’admiration à l’égard de son père malgré la distance qui les sépare. C’est un homme solitaire et taciturne qui semble mieux s’accommoder de la compagnie des animaux que de celle des hommes. Il passe le plus clair de son temps auprès de ses hippogriphes ou à travailler à la cartographie précise de son coin de l’île. Henry Jones descend d’une longue dynastie de sorciers implantés sur Lewis et Harris qui n’ont jamais mis les pieds ailleurs de leur plein gré. Il est le premier parmi eux à accepter de venir à Londres pour négocier ses ventes et, comble de l’insolite, il a fait sa vie avec une moldue. Henry est profondément amoureux de sa femme Vivianne, qui, comme leurs enfants, réussi à faire ressortir un aspect plus doux de sa personnalité. Il emmène souvent Bedelia et ses frères en longues randonnées à pied, en bateau ou à dos d’Hippogriphes. Pas bavard et très soupe au lait, il leur apprends toujours des choses aux aspects très pratiques : l’art de monter les hippogriphes bien sûr mais aussi nager, pécher, poser des pièges, se repérer dans le brouillard, siffler comme les oiseaux marins ou grimper aux arbres. Bedelia est sa seule petite fille et elle est bien plus jeune que ses deux grands garçons, il éprouve pour elle une tendresse d’homme fatiguée. S’il a moins l’énergie nécessaire pour l’emmener à l’aventure, il lui a cependant raconté bien plus d’histoire qu’à Cecil et Aubrey.

A' mhàthair, Viviane Jones née Campbell

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Viviane a apprit à vivre sur l’île, au fil des saisons. Elle cueille et fait sécher des fleurs sauvages au printemps, elle ramasse le fruit du labeur de son jardin potager l’été, elle le met en conserve à l’automne et elle coud, tricote et brode tout l’hiver. Elle photographie la faune et la flore de l’île tout au long de l’année. Viviane a également appris à vivre dans le monde magique, à travers son mari et ses enfants : elle distribue la pimentine concoctée par sa belle-mère en cas de gros rhume, elle peut voir les hippogriphes à la fenêtre quand elle essuie la vaisselle et elle nettoie leurs excréments sur les bottes de Henry et Aubrey quotidiennement. C’est elle qui a fait l’école aux enfants avant leur départ pour Poudlard, qui leur apprend à tracer de belles boucles à la plume, à poser leur division et à faire du pain. Elle leur à fait lire les grands classiques moldus et ils connaissent bien mieux les contes d’Anderson que ceux de Beedle le Barde. Bedelia est très proche de sa mère, elle passe ses journées avec elle lorsqu’elle ne peut pas explorer l’extérieur. Elle est alors contrainte de plier le linge, de cirer le parquet ou de récurer la baignoire sous sa supervision. C’est une femme aimante et tout aussi exigeante que son père qui lui à inculpé un goût prononcé du travail bien fait.

Bràithrean, Cecil et Aubrey Jones

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Les deux grands frères de Bedelia ont huit et neuf ans de plus qu’elle. Ils sont assez indissociables dans son esprit mais ce ne sont pas des frères jumeaux : Cecil, l’ainé, est né en février 2028 et Aubrey en mai 2029, ils ont un peu moins d’un an et demi d’écart. Les deux garçons sont toujours fourrés ensembles, parfaitement inséparables, et Bedelia se rappelle assez bien l’année que Cecil a passé, misérable, à bouder à la maison en attendant que son cadet finisse Poudlard. Ils ont pour projet de reprendre l’élevage de leur père ensemble et ils sont entrain de construire un nouveau cottage à six kilomètres de la maison familiale. Bedelia aime ses frères de loin, bien qu’elle soit parfois dans leurs pattes, et ils lui rendent pareillement.

Première Année

Septembre
1er Septembre An turas trèana - Le voyage en train, An sgaoileadh - La répartition
19 Septembre Litir don dachaigh - Lettre pour la maison
28 Septembre Samhradh Innseanach – L’été indien