07 oct. 2018, 19:26
Visite guidée
Aliosus était presque soulagé que l'animation soit terminée. Il n'avait rien contre le fait d'apprendre des choses comme la déontologie (c'était un mot compliqué pour dire qu'il fallait être sérieux et honnête, Aliosus l'aimait bien, ça faisait sérieux et ça renvoyait à des valeurs dont il se sentait proche) ou la façon de travailler dans un journal, mais le fait de... fouiller, il trouvait ça très gênant, même en ayant la permission de la journaliste.
Il essaya de faire son possible pour trouver les objets sans toucher quoi que ce soit dans les étagères ou sur le bureau (qu'il trouva un peu en désordre d'ailleurs). Il remarquait que plusieurs des filles autour de lui regardaient du coin de l'oeil la seule zone qui avait été interdite d'accès par leur guide. C'est vrai que ça l'avait rendu curieux aussi, mais il se dit qu'il aurait fait la même chose avec des inconnus qui allaient fouiller chez lui. Il se remit à la recherche des informations mais il se trouva trop absorbé à lire des bouts de phrases qu'il apercevait sur des notes éparses qu'il ne fut guère utile à sa petite équipe.
Il réagit à la question de la fille aux épaisses boucles rousses.
"Mais... ça veut dire que tous les métiers n'ont pas de déontologie ? C'est normal ?"
A ses yeux en tout cas, ça n'était pas normal du tout.
6ème année
Il essaya de faire son possible pour trouver les objets sans toucher quoi que ce soit dans les étagères ou sur le bureau (qu'il trouva un peu en désordre d'ailleurs). Il remarquait que plusieurs des filles autour de lui regardaient du coin de l'oeil la seule zone qui avait été interdite d'accès par leur guide. C'est vrai que ça l'avait rendu curieux aussi, mais il se dit qu'il aurait fait la même chose avec des inconnus qui allaient fouiller chez lui. Il se remit à la recherche des informations mais il se trouva trop absorbé à lire des bouts de phrases qu'il apercevait sur des notes éparses qu'il ne fut guère utile à sa petite équipe.
Il réagit à la question de la fille aux épaisses boucles rousses.
"Mais... ça veut dire que tous les métiers n'ont pas de déontologie ? C'est normal ?"
A ses yeux en tout cas, ça n'était pas normal du tout.
6ème année
09 oct. 2018, 09:03
Visite guidée
Commentaires de vos posts
J’éditerais ce message si Dawn et Althea répondent
Dans l’ensemble ce sont encore de très bons posts que vous venez de faire !
Les dernières remarques (comme celles concernant la dénomination de vos personnages) ont été bien prises en compte.
Personnellement je ne rentrerai pas nécessairement dans la syntaxe et les possibles fautes d’orthographes mais pensez, comme pour tout, à vous relireÇa ne prend que quelques minutes et c’est plus agréable à la lecture une fois les corrections faites.
Une petite remarque malgré tout, car elle permet la cohérence de votre personnage. Lors de toutes les phases descriptives vous pouvez employer un vocabulaire soutenu ainsi que des tournures de phrases particulières. Neanmoins, lorsqu’il s’agit des dialogues, n’oubliez pas que c’est un enfant de 11 ans qui parle. Par exemple, Irisia, le « cependant » aurait pu être remplacé par un simple « mais » de même que ton « quels sont les risques d'une rupture des règles ? » qui ne fait pas très langage parlé. Généralement l’orque l’on s’exprime à l’oral, les négations partent, les tournures de phrases sont bancales, des petits détails qui vont accentuer le réalisme de la situation.
Dans cette même idée : est-ce que tous les enfants de 11 ans savent ce que veut dire le mot « déontologie » ?
Par ailleurs, n’hésitez pas à interagir davantage entre vous surtout
Dernier petit point également : vous pouvez tenter de continuer un petit peu la fin de votre rp pour fournir du contenu à Mx Aswayen. Choses que vous faites déjà en posant des questions mais ne vous empêchez pas d’agir, d’accord ?
Bonne continuation en tout cas !
Là où les Ninker passent, la défaite trépasse. HeyDe(a)r
7ème année Rp, Frigidaires, DuoDeGéniaux, #1c5e35
Marraine du prodigieux et merveilleux Rey S. !
09 oct. 2018, 22:53
Visite guidée
J'apercevais une jeune rousse qui se dirigeait tout droit vers l'armoire du fond. Je ne souhaitais pas qu'elle y fouille. Heureusement, elle se retourna rapidement pour répondre à ma question et m'en poser une autre, très intéressante. La première question sur mon métier depuis le début de la visite !
- Si on ne respecte pas la déontologie, des sanctions sont prises envers le ou la responsable. La plupart du temps, il s'agit d'une suspension, voire d'une interdiction d'exercer notre métier. Chose qui n'arrive qu'en cas de faute très grave. En cas de non-respect de la loi, des poursuites pénales peuvent être engagées, notamment s'il y a diffamation. Et là, en plus de l'amende et de potentielle prison, le plus souvent, une interdiction d'exercer tombe.
Et là, une question fusa, indignée. L'indignation des enfants… J'aimais les entendre parler ainsi, cela signifiait qu'iels avaient des valeurs importantes à leurs yeux, et c'était l'essentiel.
- Tout les métiers ont une déontologie, mais toutes n'ont pas ce nom, et certaines sont plus… Plus "importantes" que d'autres, comme le secret médical, par exemple.
Tout en continuant à marcher vers l'imprimerie, je répondais aux questions des enfants, de plus en plus fréquentes. Cela me faisait sourire : enfin ! J'attendais avec impatience toutes ces questions. Je m'arrêtai tout d'abord quelques instants pour parler avec la fille blonde qui m'avait interpellé-e.
- Alors… C'est compliqué, répondis-je en souriant, pensant à la complexité de la réponse, et à comment je pouvais l'adapter. Tous les journaux sont sensés l'appliquer. Cependant, certains manquent à leur devoir, et ne respectent pas cette charte. Le plus souvent, ça passe inaperçu, ou alors, les avocats s'arrangent avec la loi…
C'était très compliqué. Trop compliqué pour une enfant de cet âge-là, à mes yeux. Cependant, je savais que la soif de connaissance pouvait mener à bien des questions, et l'encourageai donc à m'en poser d'autres si elles lui venaient, ce qu'elle fit en me demandant comment je trouvais l'inspiration pour mes articles.
- Je lis beaucoup de faits divers moldus, les bulletins du Ministère de la Magie, des journaux étranger et je m'appuie un peu sur les rumeurs, bien que je n'aime pas ça.
Nous arrivions vers l'imprimerie. Avant que nous entrions, une autre jeune fille demanda si l'imprimerie serait comme celle d'un journal Moldu.
- Tu verras ! répondis-je d'un air malicieux.
Puis j'ouvris la porte de l'imprimerie, où volaient toutes sortes de feuilles, stoppai le tout avec un sortilège simple, et les emmenai au centre. Puis je remis tout en circulation.
- Voici l'imprimerie. Ca ressemble beaucoup à une moldue, je suis d'accord, sauf qu'ici, pas de machine automatisée. Soit on utilise la magie, soit de vieilles machines, qui n'utilisent pas d'ordinateurs ni de robots !
Je me rendis compte en parlant que j'avais oublié de répondre à une question de la rousse présente à mes côtés. Je le ferais dès que j'aurai eu fini de parler du livre que je tenais toujours en main.
- Ici, dans mes mains, les Codes Magiques pour la Protection des Moldus ! C'est un livre un peu long, mais très intéressant, et très important, surtout pour ma section. Ainsi, je sais ce que je peux révéler aux Moldus que je suis amené-e à rencontrer, de temps à autre. Dans mon pays d'origine, les relations entre Moldus et sorciers ne sont pas les mêmes. Ce livre m'a donc été très utile !
Je les laissai alors se balader dans l'imprimerie, en arrêtant de faire balader les feuilles pour éviter qu'iels se les prennent, mais iels ne devaient rien toucher, j'avais été clair-e. Le moindre toucher entraînerait une exclusion de la visite.
- C'est un lieu dangereux ! Donc si vous voulez, vous pouvez aller voir par là-bas, dis-je en montrant la gauche. Mais pas ailleurs !
Et pendant ce temps, je m'approchai de la petite rousse, et l'abordai pour répondre à sa question.
- Pour ta question de tout à l'heure… Je ne suis pas journaliste depuis très longtemps, mais j'adorerais faire ça. Et oui, je lis des journaux étrangers, très régulièrement, et sélectionne des articles que je pourrais partager ici. Quelquefois, j'en traduis !
J'attendis quelques minutes que les enfants puissent voir toute l'imprimerie, tout en les surveillant pour éviter les bêtises, qui pouvaient être très graves ici. Puis, lorsque je sentis l'excitation descendre, je leur proposai de redescendre pour arriver à nouveau dans le hall, où je proposai d'effectuer un bilan, invitant chacun et chacune à partager ses impressions, même si ce n'était qu'une seule phrase, en attendant leurs parents - nous n'avions pas le temps de monter dans la salle de réunion…
Avant-dernier post, si vous avez des questions, posez-les maintenant, sinon Talasi ne pourra pas vous répondre ! Excusez-moi pour le retard, j'ai eu des problèmes de connexion au forum…
Responsable des sections Faits divers et Justice à la Gazette du Sorcier
- Si on ne respecte pas la déontologie, des sanctions sont prises envers le ou la responsable. La plupart du temps, il s'agit d'une suspension, voire d'une interdiction d'exercer notre métier. Chose qui n'arrive qu'en cas de faute très grave. En cas de non-respect de la loi, des poursuites pénales peuvent être engagées, notamment s'il y a diffamation. Et là, en plus de l'amende et de potentielle prison, le plus souvent, une interdiction d'exercer tombe.
Et là, une question fusa, indignée. L'indignation des enfants… J'aimais les entendre parler ainsi, cela signifiait qu'iels avaient des valeurs importantes à leurs yeux, et c'était l'essentiel.
- Tout les métiers ont une déontologie, mais toutes n'ont pas ce nom, et certaines sont plus… Plus "importantes" que d'autres, comme le secret médical, par exemple.
Tout en continuant à marcher vers l'imprimerie, je répondais aux questions des enfants, de plus en plus fréquentes. Cela me faisait sourire : enfin ! J'attendais avec impatience toutes ces questions. Je m'arrêtai tout d'abord quelques instants pour parler avec la fille blonde qui m'avait interpellé-e.
- Alors… C'est compliqué, répondis-je en souriant, pensant à la complexité de la réponse, et à comment je pouvais l'adapter. Tous les journaux sont sensés l'appliquer. Cependant, certains manquent à leur devoir, et ne respectent pas cette charte. Le plus souvent, ça passe inaperçu, ou alors, les avocats s'arrangent avec la loi…
C'était très compliqué. Trop compliqué pour une enfant de cet âge-là, à mes yeux. Cependant, je savais que la soif de connaissance pouvait mener à bien des questions, et l'encourageai donc à m'en poser d'autres si elles lui venaient, ce qu'elle fit en me demandant comment je trouvais l'inspiration pour mes articles.
- Je lis beaucoup de faits divers moldus, les bulletins du Ministère de la Magie, des journaux étranger et je m'appuie un peu sur les rumeurs, bien que je n'aime pas ça.
Nous arrivions vers l'imprimerie. Avant que nous entrions, une autre jeune fille demanda si l'imprimerie serait comme celle d'un journal Moldu.
- Tu verras ! répondis-je d'un air malicieux.
Puis j'ouvris la porte de l'imprimerie, où volaient toutes sortes de feuilles, stoppai le tout avec un sortilège simple, et les emmenai au centre. Puis je remis tout en circulation.
- Voici l'imprimerie. Ca ressemble beaucoup à une moldue, je suis d'accord, sauf qu'ici, pas de machine automatisée. Soit on utilise la magie, soit de vieilles machines, qui n'utilisent pas d'ordinateurs ni de robots !
Je me rendis compte en parlant que j'avais oublié de répondre à une question de la rousse présente à mes côtés. Je le ferais dès que j'aurai eu fini de parler du livre que je tenais toujours en main.
- Ici, dans mes mains, les Codes Magiques pour la Protection des Moldus ! C'est un livre un peu long, mais très intéressant, et très important, surtout pour ma section. Ainsi, je sais ce que je peux révéler aux Moldus que je suis amené-e à rencontrer, de temps à autre. Dans mon pays d'origine, les relations entre Moldus et sorciers ne sont pas les mêmes. Ce livre m'a donc été très utile !
Je les laissai alors se balader dans l'imprimerie, en arrêtant de faire balader les feuilles pour éviter qu'iels se les prennent, mais iels ne devaient rien toucher, j'avais été clair-e. Le moindre toucher entraînerait une exclusion de la visite.
- C'est un lieu dangereux ! Donc si vous voulez, vous pouvez aller voir par là-bas, dis-je en montrant la gauche. Mais pas ailleurs !
Et pendant ce temps, je m'approchai de la petite rousse, et l'abordai pour répondre à sa question.
- Pour ta question de tout à l'heure… Je ne suis pas journaliste depuis très longtemps, mais j'adorerais faire ça. Et oui, je lis des journaux étrangers, très régulièrement, et sélectionne des articles que je pourrais partager ici. Quelquefois, j'en traduis !
J'attendis quelques minutes que les enfants puissent voir toute l'imprimerie, tout en les surveillant pour éviter les bêtises, qui pouvaient être très graves ici. Puis, lorsque je sentis l'excitation descendre, je leur proposai de redescendre pour arriver à nouveau dans le hall, où je proposai d'effectuer un bilan, invitant chacun et chacune à partager ses impressions, même si ce n'était qu'une seule phrase, en attendant leurs parents - nous n'avions pas le temps de monter dans la salle de réunion…
Avant-dernier post, si vous avez des questions, posez-les maintenant, sinon Talasi ne pourra pas vous répondre ! Excusez-moi pour le retard, j'ai eu des problèmes de connexion au forum…
Prochaine et dernière réponse : Mardi 18 Octobre
Responsable des sections Faits divers et Justice à la Gazette du Sorcier
11 oct. 2018, 00:22
Visite guidée
Lorsque la journaliste ouvrit la porte de l'imprimerie Malia ne put retenir un hoquet de surprise. Elle s'avança un peu et d'un coup les feuilles qu'elle voyait voler de toute part s'immobilisèrent dans un froissement bruyant.
La guide leur expliqua comment fonctionnait l'imprimerie et leur intima de ne surtout pas toucher les feuilles. Cette directive tombait à point nommé alors que Malia tendait le bras pour en attraper une. Elle se ravisa aussitôt et mit ses mains dans ses poches pour ne plus être tentée. Elle resserra également ses lacets afin de ne pas s'entraver évitant ainsi toute catastrophe.
Lorsqu'elle se releva les feuilles reprirent leur mouvement ce qui fit voleter sa frange. La gamine ouvrait de grands yeux, émerveillée par ce qu'elle voyait. Ça sentait bon le papier et l'encre fraîche. Elle qui adorait lire, elle reconnaissait bien cette odeur qui lui était familière et qui lui mettait toujours du baume au coeur. Elle s'amusa un moment à danser avec les feuilles et ses éclats de rire firent quelques échos.
Finalement elle reprit son sérieux et la jeune fille arpenta la pièce d'un coin à un autre. Tout était extrêmement organisé, elle pouvait voir un petit tas de journaux sur un bureau au fond de l'imprimerie. Sûrement ceux prêts à la vente.
La visite arrivait à sa fin et le petit groupe se dirigea tranquillement dans le hall. La journaliste leur demanda ce qu'ils avaient pensé de la visite.
Malia regardait sa guide quand lui vint une question:
- Pourquoi vous avez voulu devenir journaliste? Et dans cette spécialité en particulier?
Elle marqua une pause puis ajouta :
- J'ai bien aimé la visite et ce que j'ai préféré c'était l'imprimerie. J'ai pas vraiment tout compris le truc de la démontologie mais ça a l'air important ça c'est sûr. Il faudrait faire des jeux dans la gazette, pour les enfants. Moi ça me donnerait envie de lire le journal. Un peu comme les jeux sur les paquets de céréales des moldus.
Elle regarda les autres enfants comme pour appuyer sa remarque mais elle n'était pas sûre qu'ils sachent de quoi elle parlait. Elle souria timidement et baissa la tête pour signifier qu'elle avait terminé de parler mais surtout parce qu'elle s'était aperçue qu'elle avait dit démontologie au lieu de déontologie...
Trois choses ne peuvent se cacher éternellement. Le soleil, la lune, la vérité.
La guide leur expliqua comment fonctionnait l'imprimerie et leur intima de ne surtout pas toucher les feuilles. Cette directive tombait à point nommé alors que Malia tendait le bras pour en attraper une. Elle se ravisa aussitôt et mit ses mains dans ses poches pour ne plus être tentée. Elle resserra également ses lacets afin de ne pas s'entraver évitant ainsi toute catastrophe.
Lorsqu'elle se releva les feuilles reprirent leur mouvement ce qui fit voleter sa frange. La gamine ouvrait de grands yeux, émerveillée par ce qu'elle voyait. Ça sentait bon le papier et l'encre fraîche. Elle qui adorait lire, elle reconnaissait bien cette odeur qui lui était familière et qui lui mettait toujours du baume au coeur. Elle s'amusa un moment à danser avec les feuilles et ses éclats de rire firent quelques échos.
Finalement elle reprit son sérieux et la jeune fille arpenta la pièce d'un coin à un autre. Tout était extrêmement organisé, elle pouvait voir un petit tas de journaux sur un bureau au fond de l'imprimerie. Sûrement ceux prêts à la vente.
La visite arrivait à sa fin et le petit groupe se dirigea tranquillement dans le hall. La journaliste leur demanda ce qu'ils avaient pensé de la visite.
Malia regardait sa guide quand lui vint une question:
- Pourquoi vous avez voulu devenir journaliste? Et dans cette spécialité en particulier?
Elle marqua une pause puis ajouta :
- J'ai bien aimé la visite et ce que j'ai préféré c'était l'imprimerie. J'ai pas vraiment tout compris le truc de la démontologie mais ça a l'air important ça c'est sûr. Il faudrait faire des jeux dans la gazette, pour les enfants. Moi ça me donnerait envie de lire le journal. Un peu comme les jeux sur les paquets de céréales des moldus.
Elle regarda les autres enfants comme pour appuyer sa remarque mais elle n'était pas sûre qu'ils sachent de quoi elle parlait. Elle souria timidement et baissa la tête pour signifier qu'elle avait terminé de parler mais surtout parce qu'elle s'était aperçue qu'elle avait dit démontologie au lieu de déontologie...
Trois choses ne peuvent se cacher éternellement. Le soleil, la lune, la vérité.
19 oct. 2018, 15:18
Visite guidée
Bien qu'un peu rapide, c'était un jeu assez amusant. Et puis Irisia adorait fouiner partout pour découvrir toutes sortes de choses, en particulier les secrets... Restant à côté des membres de son groupe, la rousse écouta avec soin les explications, hochant doucement la tête avant de poser des questions. Encore une fois, la partie « internationale » était quelque chose qui l'attirait tout particulièrement... Elle se demandait d'ailleurs bien à quoi pouvait donc ressembler le pays de la journaliste qui s'occupait d'eux. Etait-il aussi beau qu'elle était belle ? Bien qu'un peu timide, l'irlandaise la trouvait magnifique...
La visite se poursuivit dans la zone des impressions, faisant écarquiller les yeux de la rousse devant les machines. Elles étaient tellement énormes, ressemblant aux machines moldues mais aidée par la magie. C'était fascinant... Les yeux brillant de milles feux par la curiosité, Irisia s'approcha en faisant attention aux règles de sécurité, se dressant sur la pointe des pieds pour être sûr de ne louper aucune miette du spectacle. C'était sacrément impressionnant quand même... Elle se balada entre les machines et les piles de journaux imprimés, les mains férocement engoncées dans ses poches : la dame avait été clair, on ne touche à rien. Ce qui n'empêchait pas la rousse de laisser ses yeux toucher à la place...
Sa voix à ses côtés la fit sortir de ses pensées et Irisia se tourna vers elle, souriant gentiment.
« Ça a l'air super ! Bon c'est pas vraiment un métier que j'aimerais faire, je préfère les potions vous savez... Mais faire des échanges dans d'autres pays j'aimerais tellement alors vous pouvez être sûr que je vous lirais tout le temps si jamais vous réussissez à faire cela ! Promesse de dragon ! »
Un rire aux lèvres, l'irlandaise lui offrit un sourire éblouissant, le regard impressionné par cette femme aux envies ressemblants aux siennes. Levant deux trois doigts de sa main droite, le pouce et l'auriculaire plié contre la paume, la main gauche sur son cœur, Irisia en fit une promesse sincère à la jeune journaliste.
Malheureusement, l'après-midi et la visite touchait à sa fin et ils leur fallait se rendre dans le hall pour que leur famille vienne les rechercher. C'était en soi une belle découverte quand même et l'irlandaise en avait apprécié chaque instant, elle ne regrettait pas de s'être laissée pousser dans cette aventure. Se dandinant sur ses pieds, croisant ses mains dans son dos, la rousse regarda autour d'elle pour essayer de repérer ses parents avant de se tourner vers leur guide afin de réaliser un petit bilan sur ce qu'ils avaient vu et ressenti.
« J'ai trouvé ça très intéressant ! L'imprimerie était vraiment impressionnante ! J'aurais juste aimé pouvoir découvrir d'autres bureaux et leurs missions, faire une plus grande chasse aux trésors... Mais c'était déjà très bien et vous avez été très gentil. »
Irisia lui sourit avant de saluer ses parents qui venaient d'arriver et attendaient sagement la fin de l'entretien pour récupérer leur fille, les jumeaux regardaient avec curiosité le groupe et le hall.
La visite se poursuivit dans la zone des impressions, faisant écarquiller les yeux de la rousse devant les machines. Elles étaient tellement énormes, ressemblant aux machines moldues mais aidée par la magie. C'était fascinant... Les yeux brillant de milles feux par la curiosité, Irisia s'approcha en faisant attention aux règles de sécurité, se dressant sur la pointe des pieds pour être sûr de ne louper aucune miette du spectacle. C'était sacrément impressionnant quand même... Elle se balada entre les machines et les piles de journaux imprimés, les mains férocement engoncées dans ses poches : la dame avait été clair, on ne touche à rien. Ce qui n'empêchait pas la rousse de laisser ses yeux toucher à la place...
Sa voix à ses côtés la fit sortir de ses pensées et Irisia se tourna vers elle, souriant gentiment.
« Ça a l'air super ! Bon c'est pas vraiment un métier que j'aimerais faire, je préfère les potions vous savez... Mais faire des échanges dans d'autres pays j'aimerais tellement alors vous pouvez être sûr que je vous lirais tout le temps si jamais vous réussissez à faire cela ! Promesse de dragon ! »
Un rire aux lèvres, l'irlandaise lui offrit un sourire éblouissant, le regard impressionné par cette femme aux envies ressemblants aux siennes. Levant deux trois doigts de sa main droite, le pouce et l'auriculaire plié contre la paume, la main gauche sur son cœur, Irisia en fit une promesse sincère à la jeune journaliste.
Malheureusement, l'après-midi et la visite touchait à sa fin et ils leur fallait se rendre dans le hall pour que leur famille vienne les rechercher. C'était en soi une belle découverte quand même et l'irlandaise en avait apprécié chaque instant, elle ne regrettait pas de s'être laissée pousser dans cette aventure. Se dandinant sur ses pieds, croisant ses mains dans son dos, la rousse regarda autour d'elle pour essayer de repérer ses parents avant de se tourner vers leur guide afin de réaliser un petit bilan sur ce qu'ils avaient vu et ressenti.
« J'ai trouvé ça très intéressant ! L'imprimerie était vraiment impressionnante ! J'aurais juste aimé pouvoir découvrir d'autres bureaux et leurs missions, faire une plus grande chasse aux trésors... Mais c'était déjà très bien et vous avez été très gentil. »
Irisia lui sourit avant de saluer ses parents qui venaient d'arriver et attendaient sagement la fin de l'entretien pour récupérer leur fille, les jumeaux regardaient avec curiosité le groupe et le hall.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
21 oct. 2018, 18:12
Visite guidée
J'ai attendu quelques jours que d'autres se manifestent, mais là, je n'attends plus, ça bloque tout le monde.
Suite à ma réponse à la jeune rousse, elle acquiesça, sourit, et me répondit à son tour. Elle préférait les potions au journalisme ; dommage, avec sa curiosité et la timidité peu présente, elle aurait fait une excellente journaliste, d'investigation, surtout. Mais les potions étaient un art tout aussi fascinant que le journalisme, créer la magie sans baguette…
- Ah, les potions ! C'est la spécialité de Jadugara, l'école de magie en Inde ! Je te souhaite de réussir dedans !
Je trouvai cette enfant tellement mignonne, l'expression "Promesse de dragon" me fit sourire, et j'espérai qu'elle tiendrait sa promesse de me lire, car j'écrivais pour être lu·e, et j'aimais que les enfants soient informé·es sur le monde dans lequel iels vivaient.
- J'espère pouvoir concrétiser ce projet !
Nous étions à présent dans le hall, et je demandai s'iels avaient des questions. Visiblement, certains avaient peur de parler, car je ne reçus que quelques interventions. Je commençai par répondre à la jeune brune qui m'avait posé une question sur ma vocation, question que j'attendais depuis longtemps.
- J'ai choisi d'être journaliste, parce que j'aime écrire, et surtout être lu·e. Le choix de ma section est dû à ma volonté que tout le monde puisse avoir une justice juste et efficace, ce qui n'est pas le cas dans tous les pays, malheureusement…
Notamment en Inde, avais-je envie d'ajouter, mais je me retins. Je ne voulais pas faire peur aux enfants et les dissuader de visiter mon si beau pays.
La petite brune lui proposa quelques idées d'améliorations, et lui indiqua ce qu'elle avait aimé dans la visite. Elle fut suivie par la rousse, qui avait déjà parlé de nombreuses fois, qui lui dit avoir aimé la visite, mais regretté de n'avoir pas pu tout voir, ce qui était également mon cas.
Pendant cette visite, je m'étais attaché·e aux enfants, surtout à la jeune rousse, et je lui aurais volontiers proposé de revenir si j'en avais eu la possibilité. Malheureusement, les bureaux de la Gazette du Sorcier restaient très fermés…
- Merci à tous et à toutes pour votre attention et vos commentaires ! J'espère vous avoir donné envie de lire la Gazette ! Pour les jeux, c'est en cours de discussion pour un projet que vous devriez bientôt voir apparaître…
Puis je regardai les parents venir chercher leurs enfants, et le hall d'entrée se vider. Il était temps de retourner à mon travail.
Responsable des sections Faits divers et Justice à la Gazette du Sorcier
Suite à ma réponse à la jeune rousse, elle acquiesça, sourit, et me répondit à son tour. Elle préférait les potions au journalisme ; dommage, avec sa curiosité et la timidité peu présente, elle aurait fait une excellente journaliste, d'investigation, surtout. Mais les potions étaient un art tout aussi fascinant que le journalisme, créer la magie sans baguette…
- Ah, les potions ! C'est la spécialité de Jadugara, l'école de magie en Inde ! Je te souhaite de réussir dedans !
Je trouvai cette enfant tellement mignonne, l'expression "Promesse de dragon" me fit sourire, et j'espérai qu'elle tiendrait sa promesse de me lire, car j'écrivais pour être lu·e, et j'aimais que les enfants soient informé·es sur le monde dans lequel iels vivaient.
- J'espère pouvoir concrétiser ce projet !
Nous étions à présent dans le hall, et je demandai s'iels avaient des questions. Visiblement, certains avaient peur de parler, car je ne reçus que quelques interventions. Je commençai par répondre à la jeune brune qui m'avait posé une question sur ma vocation, question que j'attendais depuis longtemps.
- J'ai choisi d'être journaliste, parce que j'aime écrire, et surtout être lu·e. Le choix de ma section est dû à ma volonté que tout le monde puisse avoir une justice juste et efficace, ce qui n'est pas le cas dans tous les pays, malheureusement…
Notamment en Inde, avais-je envie d'ajouter, mais je me retins. Je ne voulais pas faire peur aux enfants et les dissuader de visiter mon si beau pays.
La petite brune lui proposa quelques idées d'améliorations, et lui indiqua ce qu'elle avait aimé dans la visite. Elle fut suivie par la rousse, qui avait déjà parlé de nombreuses fois, qui lui dit avoir aimé la visite, mais regretté de n'avoir pas pu tout voir, ce qui était également mon cas.
Pendant cette visite, je m'étais attaché·e aux enfants, surtout à la jeune rousse, et je lui aurais volontiers proposé de revenir si j'en avais eu la possibilité. Malheureusement, les bureaux de la Gazette du Sorcier restaient très fermés…
- Merci à tous et à toutes pour votre attention et vos commentaires ! J'espère vous avoir donné envie de lire la Gazette ! Pour les jeux, c'est en cours de discussion pour un projet que vous devriez bientôt voir apparaître…
Puis je regardai les parents venir chercher leurs enfants, et le hall d'entrée se vider. Il était temps de retourner à mon travail.
RPG terminé, merci à toutes et à tous !
Responsable des sections Faits divers et Justice à la Gazette du Sorcier