Bataille de regard, puis d’herbe !
C’était le week end. Juliette avait prévu de faire la grasse matinée, mais elle avait été réveillé par des cris dans le dortoir.
Se réveillant en hâte, on lui expliqua qu’une jeune fille - une seconde année tout au plus - avait embêté une nouvelle.
Juliette s’habilla rapidement et descendit. Elle détestait l’injus ! Elle se dit, comme pour avoir plus de courage :
« Bon, la grasse matinée, c’est demain ! Et mon petit déjeuner attendra... Non, mais ! quel culot ! Insulter de la sorte plus faible que soit. On verra bien qui sera le dernier à rire des autre, tiens ! ».
Juliette, en colère, descendit les escaliers et se dirigea - comme par instinct - vers le parc. Une fois là-bas, elle regarda partout : Gryffondor, assez grande mais pas trop, et surtout, énervée, colérique et avec un air supérieur.
La petite Gryffondor la personne qu’elle imaginait : c’était une première année qui partait souvent - et facilement ! - au quart de tour : Héléna.
Juliette s’approcha d’elle et lui dit :
« Dis donc, c’est toi l’alarme incendie ? Tu as réveillé tout le dortoir ! Et, juste en passant, c’est mal et lâche de s’en prendre à plus petit que soit. Mal et lâche, tu connais ? ».
En voyant l’air étonnée de sa camarade, elle vit qu’elle avait fait son effet. Tourant les talons, la tête haute, elle retourna au château : cette fois, son ventre trouverait son bonheur en passant devant la Grande Salle !
2ème année RP * fiche dans mon profil
Je suis une Renaudette, parce que je suis Morgane de toi, et qu’You are belle and I are beau !
Jo’family
Se réveillant en hâte, on lui expliqua qu’une jeune fille - une seconde année tout au plus - avait embêté une nouvelle.
Juliette s’habilla rapidement et descendit. Elle détestait l’injus ! Elle se dit, comme pour avoir plus de courage :
« Bon, la grasse matinée, c’est demain ! Et mon petit déjeuner attendra... Non, mais ! quel culot ! Insulter de la sorte plus faible que soit. On verra bien qui sera le dernier à rire des autre, tiens ! ».
Juliette, en colère, descendit les escaliers et se dirigea - comme par instinct - vers le parc. Une fois là-bas, elle regarda partout : Gryffondor, assez grande mais pas trop, et surtout, énervée, colérique et avec un air supérieur.
La petite Gryffondor la personne qu’elle imaginait : c’était une première année qui partait souvent - et facilement ! - au quart de tour : Héléna.
Juliette s’approcha d’elle et lui dit :
« Dis donc, c’est toi l’alarme incendie ? Tu as réveillé tout le dortoir ! Et, juste en passant, c’est mal et lâche de s’en prendre à plus petit que soit. Mal et lâche, tu connais ? ».
En voyant l’air étonnée de sa camarade, elle vit qu’elle avait fait son effet. Tourant les talons, la tête haute, elle retourna au château : cette fois, son ventre trouverait son bonheur en passant devant la Grande Salle !
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Héléna Méréga
Bataille de regard, puis d’herbe !
Héléna se tournait et se retournait dans son lit cette nuit là mais il lui était impossible de trouver le sommeil, elle choisit donc de se lever. Il devait être environ sept heures du matin quand la jeune fille descendit document dans la salle commune pour ne pas réveiller ses camarades. Elle décida d'aller se promener dans le parc pour se changer les idées et se rafraîchir après ce sommeil turbulent. Elle arriva donc dans le parc où la rosé du matin commencé à paraître et où le soleil commençait à lancer ses premiers rayon vers l'Angleterre. Héléna s'assit contre le tronc d'un arbre, il n'y avait personne dans le parc, toute monde dormaient ou étaient descendu dans la Grande Salle pour le petit déjeuné de se samedi matin.
Cela faisait à peu près une heure qu'Hélène se blottissait contre cet arbre en attendants une heure plus apte à aller manger. Mais une jeune fille avec qui Héléna avait déjà discuté s'avança vers elle et commença à lui parler sur un ton agressif :
- Dis donc, c’est toi l’alarme incendie ? Tu as réveillé tout le dortoir ! Et, juste en passant, c’est mal et lâche de s’en prendre à plus petit que soit. Mal et lâche, tu connais ?
Héléna fut très surprise par cette intervention : elle n'avait absolument rien fait, serte, c'était dans son genre de taquiner les nouveau mais là elle n'avait rien fait! Seulement, Héléna n'était pas du genre à s'expliquer, non, elle était plutôt "rentre dedans". Juliette, t'elle était le nom de la fillette qui lui avait adressé la parole, commençait à s'en aller. Héléna lui répondit avec autant de colère que sa camarade :
- Non mais pour qui tu te prends, venir m'accuser comme ça sans preuve. Alors tu t'excuse s'il te plait parce que moi je suis pas très matinal et je m'énerve très vite cocote!!!
C'était dit, là Héléna était énerver elle c'était levée pour faire face à Juliette et attendait la réponse de c'elle ci...
Cela faisait à peu près une heure qu'Hélène se blottissait contre cet arbre en attendants une heure plus apte à aller manger. Mais une jeune fille avec qui Héléna avait déjà discuté s'avança vers elle et commença à lui parler sur un ton agressif :
- Dis donc, c’est toi l’alarme incendie ? Tu as réveillé tout le dortoir ! Et, juste en passant, c’est mal et lâche de s’en prendre à plus petit que soit. Mal et lâche, tu connais ?
Héléna fut très surprise par cette intervention : elle n'avait absolument rien fait, serte, c'était dans son genre de taquiner les nouveau mais là elle n'avait rien fait! Seulement, Héléna n'était pas du genre à s'expliquer, non, elle était plutôt "rentre dedans". Juliette, t'elle était le nom de la fillette qui lui avait adressé la parole, commençait à s'en aller. Héléna lui répondit avec autant de colère que sa camarade :
- Non mais pour qui tu te prends, venir m'accuser comme ça sans preuve. Alors tu t'excuse s'il te plait parce que moi je suis pas très matinal et je m'énerve très vite cocote!!!
C'était dit, là Héléna était énerver elle c'était levée pour faire face à Juliette et attendait la réponse de c'elle ci...
Bataille de regard, puis d’herbe !
Juliette fit quelques pas et fut interpellé par Héléna. Elle lui disait :
« Non mais pour qui tu te prends, venir m’accuser, comme ça, sans preuves. Alors tu t’excuses s’il te plaît, parce que moi, je suis pas très matinal et je m’énerve très vite, cocotte ! ».
Au fil des mots que disait la Gryffondor, elle s’énervait de plus en plus. Juliette se retourna, regarda la fille - Héléna ? Elle ne savait pas - et baissa les yeux : elle ne savait pas intimider, mais elle, Juliette, se faisait souvent intimider.
Mais la jeune brunette se reprit : elle se souvenait de son but, et ne devait pas s’en détourner :
« Tu vas te calmer, choupine ! Je ne suis pas une cocotte, ni n’importe quel autre animal ! Et arrête de nier, je sais que c’est toi... Je t’ai déjà vu être méchante et cruelle, ou en tout cas, tu t’énerve trop. Calme toi, choupine ! ».
Et la jeune Gryffondor partit bien vite, plus pour ne pas avoir de représailles que par dignité... Jamais elle n’aurait fait ça, avant ! Gryffondor était peut-être plus pour elle qu’une autre maison, finalement...
Mais Juliette n’eut pas plus le temps de se demander si sa maison était la bonne qu’elle tomba la tête la première. La raison ? Une motte de terre un peu sortante du sol !
Gênée, la jeune fille se releva, essuya sa robe de sorcière d’un revers de main, et partit, aussi rouge aue son insigne et des larmes de tristesse montant jusqu’à ses yeux.
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« Non mais pour qui tu te prends, venir m’accuser, comme ça, sans preuves. Alors tu t’excuses s’il te plaît, parce que moi, je suis pas très matinal et je m’énerve très vite, cocotte ! ».
Au fil des mots que disait la Gryffondor, elle s’énervait de plus en plus. Juliette se retourna, regarda la fille - Héléna ? Elle ne savait pas - et baissa les yeux : elle ne savait pas intimider, mais elle, Juliette, se faisait souvent intimider.
Mais la jeune brunette se reprit : elle se souvenait de son but, et ne devait pas s’en détourner :
« Tu vas te calmer, choupine ! Je ne suis pas une cocotte, ni n’importe quel autre animal ! Et arrête de nier, je sais que c’est toi... Je t’ai déjà vu être méchante et cruelle, ou en tout cas, tu t’énerve trop. Calme toi, choupine ! ».
Et la jeune Gryffondor partit bien vite, plus pour ne pas avoir de représailles que par dignité... Jamais elle n’aurait fait ça, avant ! Gryffondor était peut-être plus pour elle qu’une autre maison, finalement...
Mais Juliette n’eut pas plus le temps de se demander si sa maison était la bonne qu’elle tomba la tête la première. La raison ? Une motte de terre un peu sortante du sol !
Gênée, la jeune fille se releva, essuya sa robe de sorcière d’un revers de main, et partit, aussi rouge aue son insigne et des larmes de tristesse montant jusqu’à ses yeux.
Dernière modification par Juliette Johnson le 05 mai 2018, 16:18, modifié 1 fois.
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Héléna Méréga
Bataille de regard, puis d’herbe !
Héléna était très énervé par le comportement de Juliette qui continuait de la regarder avec méprit et qui semblait ne pas comprendre ce qui se passait... Elle baissa les yeux intimidé par l'énergie d'Hélène mais elle reprit très rapidement avec plus d'audace et un air vexé :
- Tu vas te calmer, choupine ! Je ne suis pas une cocotte, ni n’importe quel autre animal ! Et arrête de nier, je sais que c’est toi...
Héléna était scier sur place comment pouvait-elle penser que Héléna avait fait ça alors qu'elle était elle même nouvelle. Sur ce, la petite Juliette se retourna mais au lieu de partir, ce qui aurait arrangé Héléna, elle s'affalât par terre dans la boue et se releva en pleurant avent d'essayer de sens n'aller. Héléna avait un peu pitié et regardait la petite brune avec un regard plaintif. Elle se rappela alors de ce qui c'était passait juste avant, et son regard plaintif disparut, puis elle explosa de rire et dit :
- Ah, ah, ah... Tu vois, même ton inconscient est entrain de te dire que tu te trompe alors arrête. Sauf si tu veux manger la terre à tes pied. Au et ne m'appelle plus jamais choupine ou tu risque de le regretter amèrement...
Elle accompagna ses parole en poussant violemment Juliette qui tomba une nouvelle fois à la renverse...
- Tu vas te calmer, choupine ! Je ne suis pas une cocotte, ni n’importe quel autre animal ! Et arrête de nier, je sais que c’est toi...
Héléna était scier sur place comment pouvait-elle penser que Héléna avait fait ça alors qu'elle était elle même nouvelle. Sur ce, la petite Juliette se retourna mais au lieu de partir, ce qui aurait arrangé Héléna, elle s'affalât par terre dans la boue et se releva en pleurant avent d'essayer de sens n'aller. Héléna avait un peu pitié et regardait la petite brune avec un regard plaintif. Elle se rappela alors de ce qui c'était passait juste avant, et son regard plaintif disparut, puis elle explosa de rire et dit :
- Ah, ah, ah... Tu vois, même ton inconscient est entrain de te dire que tu te trompe alors arrête. Sauf si tu veux manger la terre à tes pied. Au et ne m'appelle plus jamais choupine ou tu risque de le regretter amèrement...
Elle accompagna ses parole en poussant violemment Juliette qui tomba une nouvelle fois à la renverse...
Bataille de regard, puis d’herbe !
Juliette fit quelques pas - d’un pas qui était plus courant que marchant - et fut interpellé par Héléna. Elle lui disait, avec sarcasme une phrase qui blessa beaucoup Juliette.
De nouveau à terre, Juliette ne peut plus lutter. Cette rage qui grossit en elle depuis toujours, qu’elle retient - lorsqu’elle est énervée - depuis les bacs à sable, allait sortir.
« Parce qu’en plus, tu te crois supérieure ? Non, tu n’es qu’une vermine. Non, tu n’es rien. Pousser quelqu’un dans la boue, c’est patétique. Faire pleurer plus faible que soit, ça l’est aussi. », dit la jeune Gryffondor avec autant - voire même plus ! - de sarcasme que son interlocutrice.
Elle decida que c’était assez, et s’en alla, la tête plus haute que jamais et les chevilles gonflées.
« Mais pourquoi ai-je dit ça ? Dans l’histoire, c’est moi qui passe pour la méchante alors que c’est faux ! », se dit Juliette, apeurée.
Et, alors qu’elle était des plus énervée, la jeune Gryffondor sentit un regard sur ses épaules. Même plusieurs. Se retournant, elle vit qu’un cercle d’élèves c’était formé autour d’elles, et qu’ils observaient la bataille.
Le sang de la brunette ne fit qu’un tour dans ses veines et elle dit, avec colère :
« Arrête. Stop. Arrêtez de nous regarder. C’est pas vos affaires. ».
Mais les élèves n’arrêtèrent pas, et le cercle grossissait à vue d’œil, s’emplifiant d’élèves curieux et de sifflements.
La tristesse s’était transformée en rage, puis s’était changé en fierté, et maintenant c’était du désarrois qui prenait le dessus, dans le ventre de Juliette.
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De nouveau à terre, Juliette ne peut plus lutter. Cette rage qui grossit en elle depuis toujours, qu’elle retient - lorsqu’elle est énervée - depuis les bacs à sable, allait sortir.
« Parce qu’en plus, tu te crois supérieure ? Non, tu n’es qu’une vermine. Non, tu n’es rien. Pousser quelqu’un dans la boue, c’est patétique. Faire pleurer plus faible que soit, ça l’est aussi. », dit la jeune Gryffondor avec autant - voire même plus ! - de sarcasme que son interlocutrice.
Elle decida que c’était assez, et s’en alla, la tête plus haute que jamais et les chevilles gonflées.
« Mais pourquoi ai-je dit ça ? Dans l’histoire, c’est moi qui passe pour la méchante alors que c’est faux ! », se dit Juliette, apeurée.
Et, alors qu’elle était des plus énervée, la jeune Gryffondor sentit un regard sur ses épaules. Même plusieurs. Se retournant, elle vit qu’un cercle d’élèves c’était formé autour d’elles, et qu’ils observaient la bataille.
Le sang de la brunette ne fit qu’un tour dans ses veines et elle dit, avec colère :
« Arrête. Stop. Arrêtez de nous regarder. C’est pas vos affaires. ».
Mais les élèves n’arrêtèrent pas, et le cercle grossissait à vue d’œil, s’emplifiant d’élèves curieux et de sifflements.
La tristesse s’était transformée en rage, puis s’était changé en fierté, et maintenant c’était du désarrois qui prenait le dessus, dans le ventre de Juliette.
Dernière modification par Juliette Johnson le 05 juin 2018, 21:54, modifié 2 fois.
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Je suis une Renaudette, parce que je suis Morgane de toi, et qu’You are belle and I are beau !
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Héléna Méréga
Bataille de regard, puis d’herbe !
Juliette se releva, apparemment en colère ce qui fit rire Héléna. Un cercle de petits élèves curieux commençaient à se former autour d'elles. Juliette allait partir mais avant de le faire elle dit à Héléna:
- Parce qu’en plus, tu te crois supérieure ? Non, tu n’es qu’une vermine. Non, tu n’es rien. Pousser quelqu’un dans la boue, c’est patétique. Faire pleurer plus faible que soit, ça l’est aussi.
Elle commença à s'éloigner, mais les élèves des quatre maisons commençaient à former une masse autour des deux Gryffondor. Juliette sentait qu'on la scrutait et elle leur dit:
- Arrête. Stop. Arrêtez de nous regarder. C’est pas vos affaires.
En temps normale, Héléna l'aurait défendu mais dans le cas présent, elle voulait juste l'humilier, alors elle lui dit:
- Pourquoi arrêteraient t'il? Tu te ridiculise tellement bien... Oh, attends je vais t'aider...
Sur ces mots elle s'avança vers Juliette et lui mit une grande et puisante gifle, et la jeune fille tomba par terre! Avant d'ajouter:
- Le rouge que ma main t'as apporté représente tellement mieux les Gryffondor, tu devrais être fière... dit-elle en rigolent, avant d'ajouter avec mépris: La prochaine fois évite de m'accuser sans aucune raison valable ou je te jure que tu le regrettera: tu vois la boue par terre, je te la ferai manger!
Des rirent s'élevèrent de la foule...
- Parce qu’en plus, tu te crois supérieure ? Non, tu n’es qu’une vermine. Non, tu n’es rien. Pousser quelqu’un dans la boue, c’est patétique. Faire pleurer plus faible que soit, ça l’est aussi.
Elle commença à s'éloigner, mais les élèves des quatre maisons commençaient à former une masse autour des deux Gryffondor. Juliette sentait qu'on la scrutait et elle leur dit:
- Arrête. Stop. Arrêtez de nous regarder. C’est pas vos affaires.
En temps normale, Héléna l'aurait défendu mais dans le cas présent, elle voulait juste l'humilier, alors elle lui dit:
- Pourquoi arrêteraient t'il? Tu te ridiculise tellement bien... Oh, attends je vais t'aider...
Sur ces mots elle s'avança vers Juliette et lui mit une grande et puisante gifle, et la jeune fille tomba par terre! Avant d'ajouter:
- Le rouge que ma main t'as apporté représente tellement mieux les Gryffondor, tu devrais être fière... dit-elle en rigolent, avant d'ajouter avec mépris: La prochaine fois évite de m'accuser sans aucune raison valable ou je te jure que tu le regrettera: tu vois la boue par terre, je te la ferai manger!
Des rirent s'élevèrent de la foule...
Reducio
Désolé pour cet immense retard... 
, j'y suis allé un peut fort mais au moins, droit au but! 
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