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07 avr. 2018, 16:06
Comme les six doigts de la main  PV   RPG+ 
Franz était à la traîne. Sorrow avait déjà du batailler pour qu'il le suive. Il avait besoin d'un complice pour son projet. Mais faute d'avoir trouvé plus vicieux c'était finalement sur son camarade, légèrement dissipé, qu'il avait porté son choix. Bien-sur il ne lui avait rien dit sur le but de cette expédition ! Il s'était contenté de lui promettre une plume d'Augurey si il se ramenait sans poser de question. Les deux jeunes garçons se trouvaient sur le pont de bois menant au parc. Gryffs avançait à grands pas. Bientôt ils débouchèrent  des arbres. A cette heure un grand nombre d'élèves étaient en train de lézarder au soleil. Sorrow réajusta le sac de toile qui semblait bien chargé sur son dos. Une petite goutte de sueur perla sur son front. Il tourna la tête vers Franz. S'il n'avançait pas plus vite il s'arrangerait pour le donner en pâtures aux créatures magiques qu'il affectionnait tant ! Il fallait dire que Gryffs était du genre à aller droit au but, là où Franz préférait s'arrêter à chaque fois qu'un papillon passait ! Malgré tout Gryffs l'appréciait beaucoup. C'était l'un des seuls garçons de son entourage et bon dieu que ça faisait du bien de ne pas être en présence d'une chouineuse de fille !

Il inspira un grand coup. L'air frais du printemps était savoureux ! Après le froid piquant de l'hiver une bonne semaine de chaleur ne faisait pas de mal. Sa petite hirondelle vint alors se jucher à sa place habituelle, soit au sommet de son crâne. Il déboutonna le bouton du haut de sa chemise brune et remonta ses manches.  "Active" lança t'il à Franz. Et il s'élança en direction du terrain . L'herbe souple sous ses pieds lui donnait le pas léger et une légère brise les rafraîchissait de temps à autres. Enfin ils finirent de dévaler la pente. De nombreux groupes d'élève avaient pris place sous les arbres du parc. Le soleil tapait fort et ils avaient choisit de s'abriter sous leurs ombres. De toute cette foule s'élevait la rumeur des conversations qui tournaient autour des devoirs , des examens qui approchaient, et de divers bavardages. Si il n'avait pas eu l'idée de scier les gradins des Serpentards, il serait volontiers allé les rejoindre ! Mais piéger ces vils vipères occupait une place importante dans son cœur. Il avait tout prévu ! Récemment il  avait repéré comment se glisser en dessous et il avait préparer divers sabotages pour le prochain match ! Il se trouvait dans son sac une petite scie, des bombabouses et un paquet de feux d'artifices pour égayer le rang quelques peu silencieux des Crochets ces derniers temps.

Docteur Renaud, Mister Renard !
Il signe de la pointe de sa baguette d'un S comme Sorrow
7ème année RP et 3ème année devoirs.
Peeves 2022
10 avr. 2018, 15:40
Comme les six doigts de la main  PV   RPG+ 
      Gryffs passa la matinée à tanner Franz pour que celui-ci l'aide à accomplir un de ces nombreux forfaits. S'il accepta de le suivre, c'était surtout pour que son ami le laisse un peu en paix. En effet, un Sorrow est prêt à tout pour fomenter un mauvais coup, et il ne lâchait jamais l'affaire. Donc, si Franz n'acceptait pas, il pouvait dire adieu à la tranquillité du dortoir Poufsouffle...  Et puis, la curiosité le poussa à l'accompagner. Généralement, ce genre d'expéditions se révélait plein de surprises ! Même si ce n'était jamais bon signe en terme de punitions...

        Mais ce qui décida complètement Franz, ce fut la promesse que lui fit Gryffs : lui donner une plume d'augurey !  Lorsqu'il entendit cela, Franz ria jaune, intérieurement. Il en avait déjà des dizaines que son oncle lui avait offert... sur un augurey empaillé. Enfin, même s'il se doutait que Gryffs n'en possédait pas, il lui laissa le bénéfice du doute. *On ne peut pas écrire avec, mais bon, il en avait peut-être un domestique.* songea-t-il. Puis, imaginant son camarade gesticulant et s'agitant partout à côté d'un augurey se lamentant, comme à leurs habitudes respectives, Franz émit un rire sonore tout en acquiesçant à la demande de son ami.

       Il suivit Gryffs jusqu'à l'extérieur du château. *Il me dépasse d'une bonne tête, voire d'une bonne jambe !* sourit Franz en le voyant partir à grands pas vers le terrain d'entraînement, déterminé à accomplir sa tâche le plus rapidement possible ! Malheureusement pour lui, le printemps était arrivé. Et qui dit printemps dit faune en tout sens ! Franz ne s'occupa plus de son ami, et prit son temps pour observer à la jumelle le moindre papillon et autre insecte croisant sa route. Après quelques secondes, minutes, ou heures, il ne savait pas vraiment, un "Active" le sortit de ses observations d'un superbe scarabée !

       "Oui, oui, j'arrive !" dit-il en trottinant vers lui. Puis, bifurquant : " Tu as vu ! Un papillon azuré ! Je croyais qu'il n'y en avait plus !" s'exclama-t-il, plus pour lui-même que pour l'autre garçon. Une "chance" pour ce-dernier, l'insecte voletait dans sa direction, ce qui permit à Franz d'arriver à son niveau, le papillon toujours visible dans ses jumelles.
         "Hé Gryffs, tu savais que certains bousiers se dirigent grâce à la Voie Lactée??? Y a même des papillons, sur une île, qui migrent de génération en génération ! Par exemple, y en a un qui meurt avant d'avoir fini d'en faire le tour, et bah son fils continue pour lui ! C'est fou non??? Et puis, leurs ailes... Aaaaiiieeeuuuhhh !!!" Marcher sans regarder devant soi, voilà le résultat : Franz s'entrava dans une racine/ronce/pied de quelqu'un/rien de particulier et s'affala sur le sol. Il se releva vite, le genou écorché, et repointa ses jumelles dans les cieux sans même jeter un œil sur la cause de sa chute. "P***** ! Il est parti !" jura-t-il d'un de ces jurons si souvent entendu dans les feuilletons de sa mère... Mais un autre bruit l'accapara, celui d'un piaillement : "Gryffs ! Tu as entendu? Tu sais quel oiseau c'est??? Vite, allons voir !" lui cria-t-il (il s'était nettement éloigné de lui lors de son monologue animalier). Il prit sans attendre la direction du bruit, car les oiseaux, eux, n'attendent pas !

Je ne t'aime pas trop.
13 avr. 2018, 16:08
Comme les six doigts de la main  PV   RPG+ 
Un virage à gauche, le vent qui virevolte et Mad qui le perce de la pointe avisée de son balai, voilà le secret d'une après midi réussie à son goût : un énième entraînement dans la semaine. Certes, nous étions en plein week end d'avril et l'équipe de Gryffondor n'avait pas prévu de vol en cette fin de semaine, donc ce n'était pas vraiment nécessaire, mais le match contre les Serdaigle commençait à se rapprocher rapidement de la Gryffonne, pressant ses épaules avec force, et sa passion ne faisait jamais de pause. Cela faisait désormais de multiples minutes si ce n'étaient heures que la Deuxième Année ne cessait d'exécuter toutes sortes de courbes dans le ciel bleuté et qu'elle jouait avec la brise fluette. Pour autant, elle ne s'en lassait pas et elle continuerait son vol probablement jusqu'au couvre feu.

De plus, elle avait avec elle un invité assez spécial qu'elle appréciait malgré le fait qu'il deviendrait bien vite son adversaire : ce cher Solal. A vrai dire, les deux jeunes ne se connaissaient pas énormément mais du peu qu'elle lui connaissait, la préfète appréciait le Première Année. Il n'était pas aussi immature que les macaques qui occupaient les bancs des cours de son année ou aussi morne que d'autres : c'était un garçon plein de vie et d'intérêt, et trouver quelqu'un comme cela à Poudlard faisait du bien. Du coup, oubliant le fait qu'il était aussi son adversaire, Mad l'avait invité à se joindre à elle en cette après midi où le temps était au beau fixe. 

Il n'avait pas été facile de le retrouver dans les couloirs encombrés de Poudlard mais c'était finalement dans le Parc bondé qu'elle avait pu y découvrir le Serdaigle. Entre l'ombre des arbres et les bourgeons colorés, elle l'avait vu au pied d'un arbre, observant distraitement la nature de son œil probablement aguerri la nature environnante. A vrai dire, si on lui avait enlevé quelque chose comme deux années, elle aurait pris plaisir à s'asseoir à côté de lui, sur l'herbe fraîche grâce à l'ombre du tronc, et à détailler la faune et le flore autour d'eux, riant de leurs particularités. Cependant, des mois de complication étaient passés par là et désormais, le verdoyant avait perdu de son intérêt, un peu trop pour elle.

Du coup, elle s'était plutôt rabattue sur l'option du vol et elle l'avait donc invité à se joindre à elle, ce qu'il semblait avoir accepté avec une joie assez manifeste. Heureuse de cette approbation, elle l'avait tiré en direction du placard à balais et elle s'était saisie du Brossdur 11 qu'elle avait fini par s'accaparer tandis qu'elle lui conseillait les meilleurs balais dans les catégories qu'il souhaitait. Finalement, il s'était déterminé sur un beau balai luisant et tous deux les avait enfourchés pour décoller en direction des cieux. Ils avaient ensuite pris plaisir à diriger leurs engins avec fougue en partageant ce moment.

Comment te dire, ou te faire comprendre, que la Vie n'était qu'un simple Songe ? Un Mensonge, que la Vérité Ronge.
Rire à m'en déchirer les abdos. Brûler nos complexes et nos vieilles pulsions d'ados.
Absente jusqu'au 18 août
13 avr. 2018, 18:13
Comme les six doigts de la main  PV   RPG+ 
La nomination de Solal en tant que remplaçant poursuiveur-attrapeur dans l'équipe des Éclairs avait été une véritable joie pour le garçon, mais aussi pour sa famille. Son père lui avait écrit tous les jours —Solal en avait mal à la main pour lui—, lui rabâchant à quel point il espérait qu'il devienne rapidement membre titulaire de l'équipe. La pression de ses demandes avaient écrasé la joie du garçon suite à sa nomination en tant que remplaçant pendant un instant, avant qu'il décide de mettre de côté les remarques de son père. Ses derniers jours, il ne prenait même plus la peine de répondre à ses hiboux, tant pis. Si le père de famille n'était pas capable de se satisfaire de l'avancée progressive de son fils, alors le fils se contenterait de fêter sa réussite seul. Il n'avait pas besoin de quelqu'un d'autre.

Pour autant, malgré ses tentatives de s'auto-persuader qu'il était bien seul, lorsque Mad l'avait invité à un petit entraînement de vol il n'avait pas hésité. Ils ne se connaissaient pas très bien, si ce n'est qu'ils savaient l'un et l'autre qu'ils partageaient la même passion pour le vol. Ils n'avaient pas eu besoin de plus pour apprécier de passer du temps ensemble, d'autant plus quand il s'agissait simplement de voler au même endroit. Ils pouvaient tous les deux prendre plaisir tout en ayant l'impression agréable de ne pas être seul. Solal se rendit compte à ce moment-là, alors qu'il volait à quelques mètres du sol et qu'il posa son regard sur Mad, qu'il était bien trop dépendant des autres, contrairement à ce qu'il pensait avant. La réalisation le mit en colère contre lui-même, lui qui avait toujours pensé être indépendant, se rendait compte qu'il avait besoin des autres. Pendant un instant, il avait pensé redescendre sans aucune explication et s'éloigner, prétendre qu'il était très bien seul et qu'il n'avait besoin de la validation de personne.

Tout ceci jusqu'à ce que son attention soit attirée par une tâche noire dans un arbre près du parc, posée sur entre deux branches. Il ne fallut pas longtemps à Solal pour se rendre compte de quoi il s'agissait, c'était un nid d'oiseau. Pour le garçon, la tentation était impossible à réprimer. Il héla Mad d'un "Mad !" avant de se pencher vers l'arbre qui bordait les grandes murailles du parc. La manœuvre était assez complexe, il fallait réussir à s'approcher du croisement des deux branches, sans se prendre une autre branche. Dans le nid, somnolaient trois œufs ; le début d'avril accompagnait le début de la saison de reproduction pour les oiseaux. Et sans qu'il ne puisse expliquer pourquoi, le garçon était inexorablement attiré par le nid. Il releva les yeux, regarda autour de lui pour voir si des oiseaux semblaient veiller sur le nid mais rien. 

« Oh, regarde Mad ! Regarde les œufs ! » s'exclamait-il bruyamment, alors qu'il tendit une jambe pour la poser sur la branche et tenter une cascade difficile.
« J'essaye de monter sur la branche, attends ! » Le bruit avait attiré quelques élèves qui observaient le clown du moment tenter de monter sur la branche, se rattrapant maladroitement au manche de son balai par moment avant de réitérer la tentative d'équilibriste.

Tapis en Chef, 2ème année RP.
15 avr. 2018, 21:55
Comme les six doigts de la main  PV   RPG+ 
Ennis profitait du beau temps avec son frère aîné encore scolarisé à Poudlard. Ils se retrouvaient au moins deux fois par mois pour discuter: de l'intégration d'Ennis à Poudlard, de leurs amis, des devoirs, de la pression que leur mère faisait jouer sur eux...

Ils s'étaient installés dans les tribunes de Serdaigle du stade de Quidditch. Elles étaient généralement désertes en dehors des horaires d'entraînement, ce qui leur permettait d'être tranquilles. Dom' car il ne voulait pas se justifier auprès de ses amis de vouloir passer du temps avec sa cadette, et Ennis pour ne pas avoir à répondre à des camarades trop curieux.

Le Serdaigle venait de questionner sa benjamine sur ses amis, la sermonnant à demi-mot de ne pas lui avoir parler de son mal-être plus tôt. La Gryffondor avait haussé les épaules en lui disant que cela allait bien mieux, qu'il ne devait plus s'inquiéter. La petite avait rapidement changé de sujet, portant leur conversation sur les vacances de printemps. Leur mère allait, à coup sûr, les forcer à un horaire imposé de travail quotidien. Si Ennis se souvenait bien, pour les BUSE de Dia', c'était cinq heures, et les années précédentes 3 à 4... Adieu grasses mâtinées s'il voulaient profiter de leurs après-midi. Il planifièrent donc d'une part, leur programme de révision, et d'autres part, ce qu'ils voulaient faire ensemble. Soit, de la course en balai, de la course en balai, et de la course en balai... C'était le sport préféré de la fratrie O'Belt et ils s'y entraînaient régulièrement dans le domaine familial. Dommage qu'on ne puisse pas en faire à Poudlard; le balai de Dom y était adapté mais la configuration du stade de Quidditch n'était pas idéale.

Ce fut le jeune homme qui vit le premier les deux élèves venus voler. Il les désigna à sa sœur et ils cherchèrent qui cela pouvait bien être. L'irlandaise reconnu assez facilement Mad, une deuxième année de sa maison quand elle s'approcha d'eux. Mais elle ne connaissait pas le garçon. Ce fut son frère qui l'aiguilla, il s'agissait d'un première année de Serdaigle assez drôle; Solal s'il se souvenait bien. L'heure tournant, le plus vieux  indiqua à la plus jeune qu'il allait rentrer, il avait rendez-vous... Ennis lui dit qu'elle restait pour regarder les deux autres voler. Elle se leva toutefois pour serrer son frère dans ses bras qui lui, lui embrassa les cheveux. Il lui souria avant de prendre le chemin du retour.

L'irlandaise contempla alors les deux élèves virevolter, prendre ses courbes serrées, accélérer... Tout cheveux au vent, sans aucune balle. Ennis trouvait ça beau. Elle fut surprise quand Solal, si son frère avait dit juste, se dirigea vers un arbre puis tenta de monter sur une branche. Etait-il fou, il voulait vraiment manquer de se tuer pour rejoindre des oiseaux? Ennis pris une décision assez étrange et dévala les marches des tribunes pour rejoindre le pied de l'arbre. Elle croisa deux Poufsouffles dont un qui cherchait des oiseaux. Elle pointa alors l'arbre de l’acrobate et lui indiqua:

- Je ne sais pas si ce sont ces oiseaux là que tu cherches, mais il y en a là haut!

7ème année RP - Préfète-en-Chef inRP de 09/47 au 05/01/48 - Préfète RP de 09/44 à 06/47 et à partir du 05/01/48- Avatar par A. Davis
21 avr. 2018, 12:28
Comme les six doigts de la main  PV   RPG+ 
Héléna avait eu une grosse mâtiné aujourd'hui, quatre heures de cours c'étaient enchainer et la jeune Gryffondor c'était retenu de pas s'endormir avec ses deux derniers professeur. Maintenant, elle pouvait sortir au grand air pour, comme à son habitude, lire un roman qu'elle avait emprunté à la bibliothèque  dans le parc. La jeune fille sorti et décida de s'installer contre un arbre pour lire son roman. 

La jeune fille s'installa donc et sorti son livre intituler "La créature". Cet ouvrage merveilleux parlait d'une créature évidement mais pas n'importe laquelle, celle-ci était un être totalement fantastique: la couleur de son plumage changeait en fonction de ses humeurs donc d'ordinaire et quand il était joyeux ses plumes restaient bleu nuit, quand il était triste, elle viraient au turquoise, en colère, au rouge.... Mais cet animal avait aussi la faculté de parlé et de ressentir les sentiment. Et enfin, elle était doté de pouvoirs, extraordinaires, la créature pouvait s'enflammer à sa guise sans se bruler elle même et pouvait vivre dans tous type d'environnement. Héléna était vraiment fasciné par cette bête et par l'homme qui arrivait à l'apprivoiser malgré le fait qu'elle soit entièrement indépendante. L'écrivait contait l'histoire avec tellement de profondeur que le livre devenait envoutant.

Héléna fini, à son grand regrets, l'ouvrage que lui avait conseiller la bibliothécaire. Elle chercha dans son sac un cahier, où d'ordinaire, elle commentait toute ces lecture pour avoir une trace écrite de ce qu'elle lisait. Seulement la cahier avait disparut, la dernière fois qu'elle l'avait utilisait, c'était sous les gradins après avoir fini un livre nommer "Magique". 

Elle se précipita vers les gradin ou elle fouilla une bonne quinzaine de minutes avant de retrouver son cahier. Mais des voies la firent sursauter. Deux garçons s'avançaient vers les gradins. À en juger par leurs cape, ils venaient de Poufsoufle. Héléna, intrigué qu'il se trouve là alors que la plupart des élèves étaient en cours les regarda attentivement: le premier avançait d'une démarche assurait, il avait des cheveux brins, mi long.... le second le cuvait en regardant autour de lui, un peu dans la lune, il avait des cheveux blonds et de beaux yeux vairons.

 Héléna hésitait à les interpeler mais fini par sortir de l'ombre et leurs demanda:

- Excusez moi mais, qu'est-ce que vous faites exactement? 

La jeune griffonne posa cette question sans même réfléchir, après tout, elle se mêlais de ce qui ne la regardait pas, à la place des garçons elle ne savais pas ce qu'elle aurait répondu, soit elle aurait dit que ça ne regardait qu'elle, soit elle aurait surement demandais la même chose. Elle attendit une réponse en espérant qu'ils lui en donneraient une franche...
Dernière modification par Héléna Méréga le 12 juin 2018, 19:58, modifié 1 fois.
22 avr. 2018, 17:44
Comme les six doigts de la main  PV   RPG+ 
Ils n'étaient maintenant qu'à une trentaine de mètres du terrain de Quiditch. Quelques gouttes de sueurs perlèrent sur son front. Il faisait vraiment très chaud en cet après midi et... ET FRANZ ÉTAIT ENCORE PARTI ! Il se tourna et retourna scrutant les alentours. Soudain il remarqua un véritable attroupement prêt d'un arbre. Dans les branches un garçon de Serdaigle s'accrochait aux branches bourgeonnante de l'arbre. Au pied de l'arbre, ses jumelles toujours collé aux yeux, Franz scrutant un point noir. Ce même point noir que semblait vouloir atteindre l'écervelé au balais. Gryffs parcouru les quelques mètres qui le séparait du tronc. Il scruta encore le petit point noir jusqu'à comprendre ce qui excitait tant les autres. Un nid d'oiseau était juché là haut. C'était fort intéressant tout ça mais il n'y a rien d'extraordinaire à voir des nids d'oiseaux au printemps, c'est un peu la période !

                       Il savait néanmoins qu'il n'arriverait plus à en faire détacher Franz tant qu'il n'aurait pas sa curiosité abreuvée. il se tourna vers celui qui était encore occupé à escalader pour s'en approché.
"Eh toi, sa voix étant très détaché, n'y touche pas sinon la mère va abandonner le nid." 
Il observa l’acrobate ne herbe, les cheveux bruns presque noir en bataille il finit par reconnaître le joueur de l'équipe de Serdaigle et sa peau blafarde. Il halait quelqu'un et Gryffs vit un autre balais approcher par la voie des airs. Encore une joueuse de Quiditch, de l'équipe de Gryffondor ce coup si. Drôle d'association. L'espace d'un instant il la confondit avec Herminie, la ressemblance était assez frappante. Néanmoins lorsqu'elle s'approcha il fit vite la distinction.

                           Sorrow reporta son intention sur l'arbre. lui vint alors une idée. Il fit glissait le sac qu'il portait sur le dos de ses épaules. Il l'ouvrit puis en sortit une grande corde. Son matériel à blague était un véritable pack de survie. Il sortit sa baguette de sa poche. Il effectua un beau cercle du bout, puis l'abaissa sèchement. d'une voix distincte et il récita "Wingardium Leviosa". L'une des extrémité de la corde s’éleva alors doucement dans les airs. elle atteignit l'une des grosses branches adjacente à celle ou reposait le nid, s'enroula autour d'elle et se noua en un épais et solide nœud. Saisissant la corde il s'aidant de ses bras et poussant de ses jambes sur le tronc, si hissa au sommet. Gryffs s'assit alors sur la branche en observant le nid, il héla Franz :
"He tête en l'air, si je te dis de petits oeufs beiges tacheté de brun tu me réponds quoi ?" Il ouvrit grand ses écoutilles, à l'écoute de la réponse.

Docteur Renaud, Mister Renard !
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Peeves 2022
28 avr. 2018, 18:00
Comme les six doigts de la main  PV   RPG+ 
        Furetant de tous côtés, Franz eut du mal à repérer d'où provenaient les piaillements. C'est alors qu'une fillette l'interpela et lui désigna un arbre. Sans trop regarder vers la direction qu'elle lui indiqua, Franz tiqua bien plus sur son accent. *Encore une irlandaise?* se questionna-t-il *Il aurait dû faire Poudlard à côté de chez moi !* . Il finit finalement par pointer ses jumelles sur l'arbre en question, vit un jeune garçon jouer l'équilibriste, et, en le pointant du doigt, plaisanta : "Drôle d'oiseau quand même!". Cependant, Franz ria jaune car il ne supportait pas qu'on se permette de déranger les animaux. Les observer oui, mais de loin !

       Puis, une autre jeune fille, bien plus grande que lui, l'interpela à son tour. *Décidément, je crois que la chasse aux oiseaux est fichue pour aujourd'hui...* désespéra Franz. Elle lui demanda ce qu'il faisait, se retrouvant un peu au dépourvu par cette intrusion soudaine, il prit tout de même le parti de lui répondre, mais sans trop faire d'efforts. "Je cherche des oiseaux." maugréa-t-il.

       Et comme son après-midi ne connaîtrait aucun repos, ce fut au tour de Gryffs  de l'apostropher. Franz n'était pas de nature à perdre patience, mais son humeur s'échauffait peu à peu. *Enfin, je vais pas me disputer avec ce semi-géant !* pensa-t-il dans une vaine tentative de se faire rire lui-même. Il fit attendre sa réponse, histoire de pouvoir la formuler avec le moins d'aigreur possible.

       "Canard? Pigeon? Hirondelle? Hibou Grand-Duc? Mésange? Tourterelle? Hérisson? Ou peut-être un serpent? Ou encore une truite? Gryffs, y en a plein des différents des œufs beiges tachetés de brun ! Tu penses vraiment que je connais tout ce qui sort des piafs?". Raté ! Son ton n'était pas aigre mais il ne transpirait pas la sympathie... Décidant de se rattraper, il prit quelques minutes pour observer autour de lui à l'aide de ses jumelles. *S'il y a un nid avec des prédateurs qui rôdent autour, même s'il est impuissant, le couple de volatile doit être dans le coin !* réfléchit Franz. Au bout de quelques minutes d'observation - où il occulta tant bien que mal les autres élèves- il finit par trouver ce qu'il cherchait : un couple de merles ! Des merles à plastrons ! Cette découverte lui redonna de l'entrain :
          "Là-bas Gryffs ! Ce sont des merles à plastrons ! Le plastron c'est un truc de chevalier ! Pour protéger là! dit-il en montrant son torse. Et eux, et bien, ils sont blancs ici! Tu les vois?"
           Continuant de les observer, Franz se rendit compte que les oiseaux s'agitaient anormalement... Il se retourna vers l'arbre en haut duquel se trouvaient les deux enfants et leur dit avec précipitation : "Ils sont paniqués ! Descend Gryffs ! Et toi aussi ! Vous leur faites peur !".

Je ne t'aime pas trop.
07 mai 2018, 15:45
Comme les six doigts de la main  PV   RPG+ 
De temps en temps, Mad jetait des petits coups d'œil furtifs à Solal, qu'elle considérait actuellement et temporairement comme son petit protégé, et elle pouvait donc l'apercevoir effectuer toutes sortes de courbettes acrobatiques ou regarder autour de lui d'un regard curieux pour probablement saisir les moindres détails du décor. C'était amusant sa façon d'être, de faire ; plaisante même. Soudain, le jeune garçon sembla attiré par une tâche noire et difforme qui se nichait au creux d'un arbre. Son regard ne lâchait plus ce qui semblait être un tas de branchage et il se retourna alors furtivement vers la Gryffonne, la hélant au passage, puis se rua sur l'entité qui retenait, captivait toute son attention.

Le Serdaigle empoigna donc fermement le manche de son balai, et manœuvra habilement pour pouvoir s'insérer entre les deux troncs qui soutenaient l'amas de branchages, suivi par la Deuxième Année. Ils observèrent tous deux le nid -puisque la préfète avait enfin pu décrypter sa nature- quelques secondes avant que le Première Année ne se jette dans ses péripéties. En effet, celui ci s'était mis dans l'idée qu'il parviendrait, facilement en plus, à se hisser sur une des branches aux alentours du nid pour pouvoir l'observer, en sautant depuis son balai. Autant dire qu'au goût de la blondinette, cela était risqué et peu enclin à la réussite d'ailleurs. 

Selon l'observation probablement plus experte de Solal qu'il exécutait pendant ce temps, il y avait des œufs dans le nid et, après que Mad y ait jeté un regard, elle pouvait en distinguer trois blanchâtres comportant quelques taches brunes. Après cela, n'ayant plus de raisons de rester, surtout en voyant le large attroupement autour de l'arbre, elle s'éloigna du tronc et atterrit délicatement non loin. Elle dissimula son balai dans l'ombre d'un creux que formaient les pierres d'un mur de Poudlard, puis revint vers son acolyte, préférant vérifier qu'il allait toujours bien. 

C'est alors qu'elle vit qu'un second garçon, un Poufsouffle vraisemblablement, l'avait rejoint. Décidément, ils avaient tous décidé de jouer les héros. La préfète trouvait cela assez ennuyant : en effet, ces pauvres volatiles n'avaient rien fait de mal, inutile de les déranger. Soudain, une voix se fit entendre, leur intimant de descendre. La tête de la jeune fille pivota pour se tourner vers son propriétaire, quand elle découvrit qu'il s'agissait de Franz. Elle s'approcha donc de lui mais, devant son air paniqué, préféra se taire. Inutile de l'agacer d'autant plus. Elle appuya juste, à destination des deux garçons :

- Les gars, Franz a raison ! Descendez de là !

Elle ne savait pas qui était le second mais elle connaissait assez le premier pour penser qu'il aurait le respect des animaux.

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Absente jusqu'au 18 août
13 mai 2018, 13:03
Comme les six doigts de la main  PV   RPG+ 
Solal n'avait pas prévu une chose, dans son escalade arboricole : qu'on vienne l'embêter. Un peu trop curieux de nature, il savait qu'il avait la fâcheuse tendance à vouloir tout voir, même si ça signifiait se mettre en danger. Il savait aussi pertinemment que certains n'aimaient pas cette curiosité maladive. Les trouble-fête étaient arrivés en masse, si bien que le Serdaigle ne savait plus qui était là pour lui dire de descendre ou qui était là par intérêt pour le nid. Il n'était sûr que d'une chose ; un Poufsouffle venait de le rejoindre sur la branche. Solal était partagé entre l'envie de lui mettre un coup de pied pour le faire descendre et l'envie de partager sa découverte. Il opta pour la seconde solution, qu'il jugea bien plus civilisée. Mais ils n'eurent pas grand chose à partager si ce n'est une observation rapide des œufs, un autre Poufsouffle bien plus embêtant se fit entendre. Solal leva les yeux au ciel avant de soupirer.
« On leur fait pas peur si ils sont là-bas, les parents. On touche même pas aux œufs, on peut bien regarder pendant cinq minutes ! J'voulais juste regarder, vous m'embêtez ! » s'agaçait-il alors qu'il lança un regard agacé au Poufsouffle râleur puis à Mad. Bien qu'il était sûr de ne déranger personne, l'idée de passer pour le genre d'enfants qui embêtent les oiseaux lui fit froncer les sourcils. C'était bien loin de son intention. 

« J'descends. » déclara-t-il en direction du Poufsouffle à côté de lui. La deuxième manœuvre consistait donc à se glisser sur son balai qui, faute de cavalier, s'était posé en équilibre sur une branche. Le Serdaigle avait alors été bien trop ambitieux puisque monter dans cet équilibre précaire n'eut pour conséquence que de déséquilibrer davantage le balai, et lui avec. Solal se sentit tomber en arrière et quand il rouvrit les yeux, son dos douloureux était écrasé contre l'herbe au sol. Le balai venait de retomber douloureusement sur ses cuisses, mais rien de grave. Il releva la main, comme pour montrer qu'il était encore en vie.

« J'vais bien ! » Il se releva aussitôt, attrapant le manche de son balai dans ses mains et tourna la tête vers les arrivants ; il y avait deux filles, les deux Poufsouffle et Mad. Toute une troupe pour un geste si anodin, les gens étaient étrangement préoccupés par des choses si petites, aux yeux de Solal, qui se frotta le nez d'un geste de l'avant bras.
« J'allais pas les toucher, il répéta à l'attention du Poufsouffle râleur et visiblement adorateur des oiseaux, vous aimez les oiseaux, ton copain et toi ? »

Tapis en Chef, 2ème année RP.