ft. Hugo Rolanbri

Bella leva la tête en l’air. Le ciel commençait à s’assombrir. Une chaleur oppressante regnait, faisant suffoquer la fillette. Bella avait décidé de sortir dans le parc et prendre un peu l’air, mais ces premiers signes d’orage venaient perturber ses plans. * Tant pis*, songea-t-elle. *Tant qu’il ne pleut pas, je reste.* La Gryffonne marchait, sourire au lèvres, profitant de ce moment de solitude agréable. Arrivée près d’un grand saule, elle s’allongea dans l’herbe verte. Et ferma les yeux. Ses cheveux blonds formaient un large éventail autour de sa tête. Bella aurait pût rester ainsi des heures, simplement suivre le cours de ses pensées et ne rien faire. L’orage grognait au loin, mais toujours pas une goutte ici. La jeune fille perdit la notion du temps et finit par s’endormir...
Bella se réveilla en sursaut, son sommeil perturbé par un rire. Elle se leva pour voir qui l’avait empêché de se reposer, mais tomba aussitôt sur les genoux: la personne avait fait un noeud avec les lacets de sa chaussure gauche et ceux de sa chaussure droite. Rageusement, Bella essaya dès les défaire. Cependant, ses doigts tremblaient et elle n’y parvint pas. L’Islandaise sortit alors sa baguette de sa manche et marmonna le premier sort qui lui vint à l’esprit: « Diffindo»! Les lacets se coupèrent net. * super*, pensa-t-elle. * Je ne vais plus pouvoir les utiliser.* Au moins, Bella allait à présent pouvoir se lever sans retomber directement. Au passage elle  nota que ses chaussettes blanches qui lui montaient au dessus des genoux étaient tachées de vert. La Gryffonne décida alors d’enlever complètement ses chaussures, après tout, ses chaussettes étaient déjà sales. La fillette se redressa, balançant à la figure de son perturbateur de sommeil, les premiers mots qui lui passaient par la tête:
« Non mais ça vas pas! Tu t’prends pour qui pour nouer mes lacets pendant que j’dors. Tu t’crois drôle? Ou tu veux juste faire ton intéressant? Et ben, j’peux t’dire que non. Pour moi t’es juste un idiot de première classe. T’es fier maintenant ? »Aveuglée par la colère, Bella n’avait d’abord pas vu qui se tenait en face d’elle. A présent qu’elle reprenait son souffle elle vit qu’il s’agissait d’un petit Serpentard...

et voilà !

Pour tout vous dire, Hugo ne s’était pas du tout attendu à ça, sa blague partait sur un principe simple : il nouait les lacets de la Gryffondor, et s’en allait pour observer d’un peu plus loin le réveil de la jeune fille et il voulait voir de la surprise sur son visage. Hugo n’était pas mauvais élève, ni trop embêtant avec les autres, mais cette fois-ci, il avait voulu faire une petite blague anodine, grand mal lui en pris.
Apparemment, tout ne s’était pas passé comme prévu : il n’avait eu que le temps de se lever après son méfait accompli . Il se retrouvait avec une Gryffondor, certes belle mais armée de sa baguette, en furie.

« Non mais ça vas pas! Tu t’prends pour qui pour nouer mes lacets pendant que j’dors. Tu t’crois drôle? Ou tu veux juste faire ton intéressant? Et ben, j’peux t’dire que non. Pour moi t’es juste un idiot de première classe. T’es fier maintenant ? »

Hugo n’en menait pas large, mais pas large du tout. La mer s’annonçait orageuse, trop orageuse.

« Eh bien, je ..., je ne voulais pas être méchant, c’est une blague que j’aime bien faire a des amis et ça finis toujours par de la rigolade » Embarrassé, ça, Hugo l’était, bien plus qu’il ne l’aurait cru.

« Au fait, je ne suis pas idiot et je n’ai pas l’once d’une fierté ! » déclara-t-il avec aplomb

Il détestait quand on le traitait d’idiot. Il n’était pas le meilleur de la classe, mais il était loin d’en être le plus mauvais, ni le plus idiot. Il tenait quand même un peu à sa réputation de bon élève.
Ils se demanda quelle aurait été sa réaction si un autre élève lui avait fait cette même bêtise, il aurait sûrement perdu son sang froid, certes, mais au moins, il n’aurait pas essayé d’intimider son opposant par des phrases incongrues pleines de colère, mais bon, on ne lui avait pas encore fait cette blague, tout était possible.

D’un coup, il se rendit compte qu’il avait affaire avec Bella Jackson, une Gryffondor bien tempétueuse dont la réputation n’était pas à refaire. Comme il sentait la jeune fille bouillonner face à lui, il décida d’opter une autre option, car cette fille lui plaisait vraiment bien, même si elle n’était pas a Serpentard et qu’elle était tempétueuse. Il tenta le tout pour le tout et dit avec une douceur bien dosée :

« Tu veux faire un tour dans le parc avec moi ? »

Ah un Serpent à lunettes, que Bella connaissait sous le nom de Hugo. Il semblait bien embarassé. Peut-être bien que la fillette  avait réagi un peu fort. Le garçon annonça:
« Eh bien, je..., je ne voulais pas être méchant, c’est juste une blague que j’aime bien faire à des amis été ça finit toujours par la rigolade. »
Bella leva les sourcils: Ah, ils étaient amis maintenants? La Gryffonne soupira. Elle avait la mauvaise Ha bitume devant s’enerver contre tout le monde. Il fallait que ça cesse, si elle voulait se faire des amis. En fait, la vraie raison c’est qu’on a prévu deux autres RP ensemble, et ce serait bête de ne pas s’en s’entendre! La blondinette afficha donc un sourire et ne pu s’empêcher de penser que les porteurs de lunettes avaient bel et bien  plûtot une réputation d’intello, lors qu'Hugo s’indigna   devant la qualification d’idiot que la Gryffonne lui avait donné tout à l’heure.
Il reprit avec un ton plus doux:
    « Tu veux faire un tour dans le parc avec moi? »
Le regard de Bella se posa sur ses chaussures sans lacets qu’elle tenait toujours dans ses mains. Puis, il descendis sur ses chaussettes. Elle réfléchit un instant, haussa les épaules et accepta avec un sourire. Elle allait marcher en chaussette, après tout, elles étaient déjà sales. La fillette rangea ses chaussures et sa baguette( qu’elle tenait toujours en main). Elle était à présent sure d’avoir surréagi. Après tout, c’était une blague, et Bella aimait bien les gens dotés d’humour. Et Hugo semblait vraiment être gentil. 

Désolée, je parle pas beaucoup... J’espèrais que tu as un sujet plus intéressant à proposer que la blabla habituel de « t’aimes bien poudlard » qui est le seul qui me vient à l’esprit.

Hugo était ravi, Bella avait finalement accepté d’aller faire un tour dans le parc avec lui. Quand il vis Bella, en chaussette, tenant ses chaussures à la main, il faillit pouffer de rire. Pas pour se moquer, juste parce que la situation était drôle. Et il trouva une solution.

« J’a i une paire de chaussure dans mon sac, tu en veux une ? »

Devant le regard incrédule de Bella, Hugo entrepris de lui expliquer comment ce fait absurde était-il possible.

« Des rigolos de Serpy ont trouvé le malin plaisir de créer des “bottedenfer”, comme ils les appellent. Fais-y garde toi aussi. Ce sont des mottes de terre à l’apparence anodine qui, dès que tu marche dessus, englobe ton pied et font disparaître ta chaussure en un rien de temps. C’est pour ça qu’il faut toujours avoir une paire en plus dans son sac. »

Et il remis sa deuxième paire de chaussure à Bella, dans le même temps, Hugo sorti son carnet de sorts ( voir une rencontre impromptue avec Nathan Brior poulard express) et il relu un des sorts de sa mère. Et il jeta dans l’air un sort qui qui faisait de la neige, et il neigea.

Hugo exécuta un « accio » pour apporter un manteau à Bella , il lui donna et fis de même pour lui. Le paysage était magnifique, il neigeait sous un soleil jaune et sur les jardins du parc verdoyants. La chaleur du soleil assurait la chaleur, et les flocons, magiques, ne fondaient que lorsqu’ils touchaient le sol.

« Tu aimes les glaces? »

Hugo semblait enfin remarquer que Bella était en chaussettes. Il sourit. Et à la grande surprise de Bella, il proposa:
« J’ai une paire de chaussures dans mon sac, tu en veux une? »
Bella fit des yeux touts ronds, mais accepta, tandis qu’Hugo lui expliquait la raison pour laquelle il trimballait des chaussures avec lui. Apparement, être farceur faisait partie de l’an nature des Serpentard. La fillette enfila les baskets. Elles étaient un peu grandes pour elle, mais ça n’en la dérangeait pas plus que ça. Puis, sous le regard de plus en plus incrédule de Bella, Hugo exécuta une série de sorts. Et il neiga! Pour ne pas qu’elle attrape froid, le garçon lui tendit un manteau, un vrai gentleman celui là! La Gryffonne accepta avec grâce, mais elle n’en revenait toujours pas. Il neigeait! De la neige, paf, comme ça, grâce à un coup de baguette. Et en plus, l’orage semblait avoir disparu. Il avait laissé place à un soleil éblouissant. 
Bella offrit un large sourire admiratif à Hugo. Il s’élargit encore, lorsque celui-ci lui proposa une glace. Pour des sucreries, elle était toujours partante. 
« Volontiers! Melon et framboise, si possible. 
Et dis moi Hugo, où as tu appris tout ça? Tu m’apprends? Tu es carrément plus qu’un sorcier normal; je suis sure que t’es un déscendant de Merlin en personne! »
Les deux enfants marchaient dans le parc enneigé. Des flocons s’étaient perdus dans les cheveux blonds de la fille. Bella se sentait comme dans un conte de fées. Cependant, de temps en temps, la blondinette regarda par terre. Elle ne voulait surtout pas marcher dans une bottedenfer et gâcher la deuxième paire de rechange du vert-argent.

Bella avait tout l’air d’être impressionnée, la neige formait ce que l’on peut appeler la cerise sur le gâteau. Ah, encore des sucreries ! pensa-t-il. Hugo avait comme une sorte de don, il était très doué en sortilèges. Sa mère ne l’était pas du tout, et cela la faisait gentiment enragé. De leur côté, les profs étaient enchantés lorsque le jeune garçon exécutait un nouveau sort et qu’il le réussissait à la perfection.

Enfin, il expliqua à Bella ce qu’elle tenait tant à savoir, c’est à dire, ses origines.

« Je pourrait te dire que je suis un descendant de Merlin, d’un des fondateurs de Poudlard ou encore des frères Peverell. Mais il n’en est rien du tout, je suis et je resterai un fier descendant des Rolanbri, famille Moldue par excellence. » affirmât-il avec un grand sourire. « Bien sûr, du côté de mon père il y a déjà eu des sorciers, mais lui est Moldu. Ma mère est une Malefoy, certes c’est très vieux, mais elle ne pense pas être descendante directe de Drago. Cela dit, ça ne me pose aucun problème, Drago était au final quelqu’un de bien dont l’enfance a été un brin trop tourmentée »

Hugo savait que très peu de gens aimaient la famille Malefoy, mais il se forçait à dévoiler aux gens la bonne partie de la famille Malefoy. On sait que Drago a quitté Voldemort, et que sa mère, Narcissa, avait trahi le seigneur des ténèbres.

Soudainement, il se souvint de la requête de Bella. Elle lui avait dit son parfum de glace. Espérant que les elfes de Poudlard avaient bien fait leur travail. Il fit apparaître une glace melon-framboise dont les couleurs chatoyantes verte-rose allaient parfaitement avec l’environnement dans lequel Bella et Hugo se promenaient. Il tendit la glace à Bella pour que celle-ci puisse enfin la déguster.

« Je sais que le dortoir des garçons de Serpentard est un total bazar, il y a des vêtements éparpillés partout, les lits ne sont même pas fait. Mais bon, ce qui compte, c’est qu’il y fait bon d’y vivre, on rigole, on blague. Il n’y a que moi qui suis organisé un minimum ! »[/i] dit Hugo en rigolant.

Il réfléchit un instant à sa question, et se dit qu’il voulait voir la tête surprise de la jeune fille.

« Et vous, dans votre dortoir, je suppose que ça serait « l’enfer d’Ombrage »? Non? Elle qui est toujours bien rangée, organisée. »

Et il la laissa répondre

Hugo se lança dans une explication de ses origines dont elle née comprenait que la moitié. Elle retient juste qu’il n’était pas déscendant de Merlin, mais des Malefoy. Elle se rappelle ce que le professeur d’histoire de la magie avait dit; les Malefoys, des Serpentards, pas très clair de quel côté, bla bla, et elle avait rapidement décroché. En vrai, j’adooore Drago!
Puis, il fit apparaître la glace pour Bella. Miam, framboise et melon, exactement comme elle l’avait commandé. La bouche pleine, elle dit:
« Merchi beaucoup. Ch’est délichieux. Tu veux goûter? » Et elle lui tendit la glâce.

Hugo avait aussi parlé du bazar qui régnait dans le dortoir des garçons. Bella pouvait facilement s’imaginer la chose, et elle était certaine, que chez les garçons d’en gryffondor c’était pareil.  Déjà que chez les filles....
« L’enfer d’Ombrage? Ha ha, certainement pas . »  Bella sourit lorsqu’elle s’imagina la pièce à la manière Ombrage: toute rose et pleine de chatons. « Hum, honnêtement, je trouve que c’est assez bien rangé. Mais il y a touuus les parpiers de chocolat, et d’autres sucreries qui traînent partout.  Et on a un affreux portrait qui garde notre dortoir. On est obligées de la décrocher du mur  et de l’enfouir sous un tat de couvertures pour étouffer ses braillements. »
Bella était quasi sûre, que Gryffondor était la maison la plus gourmande. Dans la salle commune, il y avait toujours quelque chose à grignoter. 

Hugo pris la glace de Bella et entreprit de goûter les deux goûts. Et comme Bella lui avait dit, elle était délicieuse. Il fallait qu’il pense à aller aux cuisine pour remercier les elfes pour ce travail impeccable.

« Tu as raison, cette glace est parfaite. Tu as parfaitement choisis les goûts ! »

Ensuite, Bella lui parla de son dortoir. Visiblement c’était partout pareil, il fallait qu’il demande à un Poufsouffle ou un Serdaigle si chez eux c’était le cas, et Hugo en mettrait sa main au feu. Quand ce fut le tour du tableau, ... Un tableau un peu trop envahisseur ? Hugo connaissait ça ! Il se rappela les visites du château et bien sûr, il ne pouvait pas oublier le Chevalier du Catogan. Celui-ci le haranguait chaque qu’Hugo passait devant lui. Mais, en reconnaissant le passage, Hugo avait pris l’habitude de prendre une autre direction, une déviation ou un autre truc du genre.

Dehors, Hugo sentit que le vent commençait à souffler un peu plus que tout à l’heure, et en plus l’horizon devenait gris. Soit il allait pleuvoir, soit ils auraient un peu de chance et ils ne seraient pas touchés par l’averse. Mais Hugo ne comptait plus sur sa chance, il n’en avait pas ou peu.

« Il risque de pleuvoir, tu veux profiter du temps qu’il nous reste pour rentrer tranquillement au château ? »

Il fit une estimation dans sa tête et affirma :

« On pourrait rentrer en marchant normalement, si le ciel ne s’aggrave pas immédiatement. »

« Ah ! Au fait, si t’y pense, tu pourra me ramener une chocogrenouille ou une dragée de chez Bertie Crochue de ton dortoir ? Mon stock s’est un peu trop rapidement vidé. Merci les copains ! »

Hugo entreprit de goûter la glace de Bella. Un sourire apparut sur les lèvres de cette dernière, quand le garçon approuva son choix.

Il semblait perdu dans ses pensées, aussi, la blondinette n’osa pas le déranger. Elle continua donc la dégustation de la glace, pour suivre, elle aussi le cours de ses pensées. Bella était heureuse d’être ici avec Hugo. Non seulement il avait du talent, mais en plus il était drôle et gentil. 

La fillette fit tirée de ses rêveries, lorsque le Serpentard leva les yeux au ciel, puis déclara l’arrivée d’un orage. Il ajouta que si ils entreprenaient le retour au château maintenant, ils allaient arriver au sec avant le début de l’averse. Bella hocha la tête. 

Les deux enfants prirent donc le chemin du retour, discutant de banalités. Bientôt, les grandes portes d’entrée du château apparurent devant eux. 
« Ah! Au fait, si t’y penses, tu pourras me ramener une chocogrenouille ou une dragée de chez Bertie Crochue de ton dortoir? Mon stock s’est un peu trop rapidement vidé. Merci les copains! »

Cette question prit Bella complètement au dépourvu, mais lui valut un sourire. Tandis qu’elle  fouillait dans sa poche à la recherche d’une chocogrenouille, car elle en avait tout le temps sur elle, la blondinette répondit:
« Oui bien sûr. Mais j’ai uniquement des chocogrenouilles, les  dragées me font un peu peur. Enfin, leurs goûts, je veux dire! »
Ah, elle venait de trouver le chocolat dans sa poche. Le paquet était un peu écrasé, mais le contenu était intacte. C’était ce qui comptait. Bella tendit le chocolat au vert et argent.
« Tiens. Tu sais quoi? On va ouvrir un trafic de chocogrenouilles dans le château! »

Pardon pour le retard

Ah ! Une chocogrenouille ! Hugo allait devoir la stocker secrètement pour que ses amis ne la trouve pas.

« Merci ! » dit-il en récupérant le cadeau de la gryffondor.

Il savait qu’ils allaient bientôt se quitter et sourit dans sa barbe, qui n’existait pas encore. Hugo était d’un naturel joyeux et avec beaucoup d’humour, Bella l’avait appris à ses dépends. Ainsi, il décida de lui faire une blague.

Pour ne pas éveiller l’attention il parla de tout et de rien à son amie tandis que son cerveau réfléchissait à la meilleure manière d’exécuter cette blague.

« Ça ne vas peut-être rien te dire du tout mais, sais-tu que des trolls s’amusent à jouer aux dames avec des ouistitis volant dans la contrée perdue du mirage de Lancelot ? »

C’est ainsi qu’il lança de hardes aussi étrange que ce qu’elles voulaient dire, donc c’était plus que bizarre.

« Et il paraît que Cerbère s’est fait virer car il passait son temps à courtiser des papillons femelles, je précise que celle-ci n’en avaient rien à faire du tout. En plus, son remplaçant et un grand inconnu du public ! C’est Anstropus, une sorte d’hippopotame mélangé avec un corbeau et une fourmi, le résultat est rare, d’ailleurs je ne sais pas si cette espèce existe réellement ! Mais bon, il parait qu’Anstropus fait du bon boulot, il terrorise tous ceux qui veulent sortir des enfers ! »

Elle du le prendre pour un fou vu son air ébahi. Mais peu importe !

Hugo adressa un regard à Bella.

« A plus ! »

Il se retourna et repartit en direction du château.

Ce ne fut que lorsqu’il fut loin d’elle qu’il pu enfin éclater de rire. Son monologue était drôle, mais sa blague l’était encore plus ! Il imaginait bien Bella toute étonnée, sûrement énervée du mauvais tour qui lui avait été joué, mais surtout, elle devait avoir un sourire. C’est ce qu’imagina Hugo, la réalité pouvait être tou autre.

« Ah, Bella, j’espère que cette fois-ci tu vas prendre ton temps pour dénouer tes lacets car je n’ai pas de rechange ! »

Et Hugo repartit en rigolant en direction de sa salle commune.