De très bon conseil
Il faisait bon, le printemps était là, Gabriel avait décidé de prendre l’air, se détendre, être heureux.
« Tu sais, ça fait un bien fou d’être dehors, l’hiver à été rude n’est-ce pas ? Mais tu m’as l’air en forme »
Gabriel prit son interlocuteur dans les bras.
« Je suis content, d’être ici tu ne peux pas savoir, d’ailleurs, tu sais quoi ? Je suis devenu commentateur de Quidditch , je risque de surement animer le prochain match qui opposera les Serdaigle et les Serpentard, je suis tellement excité, j’espère que je ferais une bonne impression. »
Gabriel baisse la tête, il se remémore de tristes souvenirs qui viennent contraster avec ce doux et joyeux ciel de printemps, Gabriel tapote son interlocuteur avant de reprendre.
« Tu sais, chez les moldues je ne trouvais pas ma place, je n’étais pas moi-même, j’essayais d’être quelqu’un pour les autres, aujourd’hui je veux être moi-même et je ne veux pas que mon entourage m’aime parce que je suis comme ils veulent que je sois mais qu’ils m’aiment parce que je suis ce que je suis. Ici je veux exprimer pleinement, je veux être remarqué et apprécier. Je rêverais de devenir célèbre et admiré de tous. Un joueur de Quidditch international ou un incroyable duelliste, un sorcier hors pair ! J’aimerais que les foules m’acclament, j’aimerais être un modèle pour les autres, j’aimerais que ce que je sois vaille la peine d’être apprécier »
Après un long moment de silence à apprécier le calme et la paix qui régnai sur le parc Gabriel questionna son interlocuteur.
« Tu penses que j’ai ma place ici ? Tu penses que je deviendrais célèbre ? Au fond je m’en fiche de la célébrité tu sais, tout ce que je veux c’est une preuve concrète que les gens m’aiment pour ce que je suis, j’ai tellement peur tu sais ! J’ai peur de n’être qu’une ombre, c’est ce que je suis dans le monde de ma mère, je ne veux pas être pareil dans le monde de mon père »
« Oui c’est ça ! Tu as raison, ça ne sert à rien de se morfondre, seul l’avenir nous le dira, en attendant il faut que je sois moi-même … Je dois accepter l’idée que je ne pourrais jamais plaire à tout le monde »
Avant de s’en aller Gabriel caressa l’écorce de l’arbre auquel il parle maintenant depuis des heures
« Merci tu as été de très bon conseil »
« Tu sais, ça fait un bien fou d’être dehors, l’hiver à été rude n’est-ce pas ? Mais tu m’as l’air en forme »
Gabriel prit son interlocuteur dans les bras.
« Je suis content, d’être ici tu ne peux pas savoir, d’ailleurs, tu sais quoi ? Je suis devenu commentateur de Quidditch , je risque de surement animer le prochain match qui opposera les Serdaigle et les Serpentard, je suis tellement excité, j’espère que je ferais une bonne impression. »
Gabriel baisse la tête, il se remémore de tristes souvenirs qui viennent contraster avec ce doux et joyeux ciel de printemps, Gabriel tapote son interlocuteur avant de reprendre.
« Tu sais, chez les moldues je ne trouvais pas ma place, je n’étais pas moi-même, j’essayais d’être quelqu’un pour les autres, aujourd’hui je veux être moi-même et je ne veux pas que mon entourage m’aime parce que je suis comme ils veulent que je sois mais qu’ils m’aiment parce que je suis ce que je suis. Ici je veux exprimer pleinement, je veux être remarqué et apprécier. Je rêverais de devenir célèbre et admiré de tous. Un joueur de Quidditch international ou un incroyable duelliste, un sorcier hors pair ! J’aimerais que les foules m’acclament, j’aimerais être un modèle pour les autres, j’aimerais que ce que je sois vaille la peine d’être apprécier »
Après un long moment de silence à apprécier le calme et la paix qui régnai sur le parc Gabriel questionna son interlocuteur.
« Tu penses que j’ai ma place ici ? Tu penses que je deviendrais célèbre ? Au fond je m’en fiche de la célébrité tu sais, tout ce que je veux c’est une preuve concrète que les gens m’aiment pour ce que je suis, j’ai tellement peur tu sais ! J’ai peur de n’être qu’une ombre, c’est ce que je suis dans le monde de ma mère, je ne veux pas être pareil dans le monde de mon père »
« Oui c’est ça ! Tu as raison, ça ne sert à rien de se morfondre, seul l’avenir nous le dira, en attendant il faut que je sois moi-même … Je dois accepter l’idée que je ne pourrais jamais plaire à tout le monde »
Avant de s’en aller Gabriel caressa l’écorce de l’arbre auquel il parle maintenant depuis des heures
« Merci tu as été de très bon conseil »
2 ème année RP
"J'aimerais que ce que je sois vaille la peine d'être apprécié"