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22 juin 2018, 11:44
Flashback  SOLO 
Dans ce RP, je vais raconter tout ce qui se passe avant ma naissance (rencontre de mes parents, leur vie avant...)

CHAPITRE 1 : GEORGE PANGLEWOOD, AVANT POUDLARD.


Reducio
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George Panglewood était un jeune homme brun, chétif, avec des lunettes posées sur son nez moucheté de tâche de rousseur. Ses yeux était bleus vifs, et sa peau pâle. Avant d'avoir fait sa poussée de croissance, il était tout petit, maigre comme un clou et même les vêtements sensés être a sa taille flottaient autour de lui, trop grands. Il mangeait pourtant beaucoup, il ne grossissait pas. Ses parents avait dût l'emmené deux fois dans un hôpital moldu, car ils croyaient qu'a force d'être maigre, il pourrait tomber gravement malade.
En étant né dans une famille moldue, George Panglewood vit dans un environnement qui ne connaissait aucune magie. Son père, Abey Panglewood, est un scientifique qui ai anti-sorcellerie, et qui s'opposera a ce que son fils aille a Poudlard. Sa mère, Betty Rosart-Panglewood, est influençable et laisse son mari décider de tout.
C'est comme ça que grandit le jeune George. Sa mère a beau s'occuper de lui, il adore faire des bêtises. Son père le déteste et le gronde tout le temps, et, pendant une année, l'envoie dans une pension a Londres. Il veut obtenir toujours plus de son fils, et le force a travailler. Il a déjà écrit son avenir : il irait faire ses études a Paris, puis reviendrait reprendre le métier de son père, scientifique. Il faudrait que George fasse des découvertes, qu'il gagne de l'argent... En ayant la pression, le garçon vit mal. Il veut se révolter. Il ne veut pas suivre a la lettre le régime tyrannique de son père. Il voit sa mère se laisser faire, ne rien dire quand son fils se fait gronder par son mari.
Une fois, a 7 ans, quand George eut l'âge de comprendre le monde qui l'entourait, il cria a sa mère :
- Tu n'as pas de vie ! Papa ne te laisse rien faire ! Tu ne me protège pas quand il me gronde ! Tu t'en fiche ?
Sa mère l'avait regarder avec tristesse et était retourner a son occupation : faire un pot-au-feu, une spécialité française.
Mais des choses étranges se passaient autour du jeune Panglewood. Parfois, au milieu de la nuit, quand il partait chercher un verre d'eau, une lumière s'allumait, et le guidait. Une fois que son père l'avait puni et qu'il avait faim, lors de ses 9 ans, la porte de sa chambre où il était enfermé avait littéralement explosée. Son père, furieux, l'avait baricadé dans un placard, mais là encore, rien ne c'était passé comme prévu. Georges, énervé, avait effleuré la poignée en chuchotant :"Ouvre-toi", et la porte c'était ouverte toute seule ! Le dernier acte magique qu'il avait effectué avant son entrée a Poudlard, était tout simplement pour faire une bêtise. Il voulait voir comment son père réagissait si il trouvait un piège devant sa porte de bureau. Alors, Georges installa un piège a sa façon, qui pendait les gens par les pieds. Il testa son appareil sur un chat de gouttière, et cela marcha très bien.
Son père arriva devant la porte d bureau, ouvrit la poignée, la tourna... alors, une corde se déroula, entoura ses pieds et le pendit. Abey Panglewood hurla, en agitant les bras. Mais la corde n'était pas assez résistante et l'homme trop lourd. On entendit un craquement et Abey commença a tomber.
Affolé, Georges, qui était caché et qui avait assisté a la scène, voulut arrêter son père dans sa chute. Alors un miracle se produisit. Son père se mit a léviter. Georges apprit bien plus tard qu'il avait utilisé "Wingardium Leviosa"
Après cet incident, Georges fut envoyé dans une pension a Londres, et ne recommença plus ce genre de bêtises.

Georges Panglewood était un petit garçon qui adorait les bêtises et l'aventure. Dès son plus jeune âge - et comme sa fille bien plus tard - il faisait très souvent des mini-fugue. Il s'évadait pour une journée, pas plus. Il faisait aussi beaucoup de blagues. Mais la plupart de ses fuites ou bêtises étaient liées a sa solitude et a son manque d'attention. Jamais personne ne lui avait fait un câlin, ni un bisou, ni lui avait dit qu'il pouvait faire ce qu'il voulait, du moment que ça lui plaisait. Son père trop possessif et sa mère influençable ne s'aperçurent jamais qu'il avait besoin d'aide et que chacune de leurs reproches ou de leur indifférence l'enfonçait un peu plus dans la tristesse, et l'encourageaient a faire n'importe quoi. Cette éducation rude enfanta son penchant pour la méchanceté et les choses interdites.
Une seule personne, bien plus tard, s'en rendrait compte...
Dernière modification par Kirsty Panglewood le 24 sept. 2018, 16:50, modifié 2 fois.

Troisième année RP (2044-2045) | Remplaçante Attrapeuse/Poursuiveuse des Griffes Ardentes.
“Il est grand temps de rallumer les étoiles.”

26 juin 2018, 18:46
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CHAPITRE 2 : MYRTLE COLD, AVANT POUDLARD


Reducio
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Myrtle Cold était blonde, et très intelligente. Ses cheveux dorés sont très longs et brillent au soleil, comme de l'or pur. Ses yeux sont bleus et vifs, comme ceux de sa fille bien plus tard, mais dès ses cinq ans, elle dut porter des lunettes. Assez petite pour son âge, Myrtle est studieuse, disciplinée, et veut toujours apprendre plus. Sa passion est d'ailleurs lire.
En étant née chez des sang-pur, elle est habituée a la Magie, qui fait parti de sa vie depuis sa naissance. Elle est très douée pour les sortilèges, et ses parents l'ont vu quand elle est née, car, dès qu'elle est sortit du ventre de sa mère, des confettis sont sortis de ses mains, et ont inondés la salle.
La mère de Myrtle se nomme Cassie Cold, et est une femme sage, qui travaille en tant qu'Auror au service du ministère. Elle ne ressemble pas a Myrtle, car elle est très grande et rousse. Son père, Edward Cold, est un riche sorcier bourgeois, qui ne travaille pas, mais qui est adorable. Il est blond, assez petit et très drôle (mais son humour est toujours très intellectuel). Tous deux étaient a Serdaigle.
Myrtle a habiter toute sa vie dans un manoir au bord de la Mer d'Irlande, en Angleterre. C'était une grande villa qu'elle adorait, mais qui lui faisait un peu peur toute petite. Elle est la la deuxième de la famille, car elle avait une grande sœur du nom de Mary, qui était irascible, mais qui a quand même eut une fille, et deux petits frères et sœurs, Tim et Tina
Myrtle, dans son berceau, a put faire apparaitre des confettis, mais ce n'est pas le seule chose magique qu'elle a put faire. A 3 ans, elle avait déjà transformé son canard en caoutchouc en véritable canard. Ce dernier mourut peu de temps après d'une pneumonie, car il n'avait pas de réels poumons. Ensuite, a 6 ans, Myrtle a réussi a jeté un sortilège a sa grande sœur pour la faire taire. C'est un des plus grands exploits de la jeune fille. Et finalement, a 10 ans, Myrtle, alors qu'elle voulait pleurer seule dans sa chambre, réussit a fermer sa porte temporairement. La porte se rouvrit de son propre chef quand la blondinette eut cesser de pleurer.
Myrtle avait le don pour se faire des amis, et en eut plein moldus. Sa meilleure amie s'appelait Katie et les deux jeunes filles s'entendaient a merveille. Comme Katie était moldue, quand Myrtle dut partir pour Poudlard, elle lui fit croire qu'elle allait dans un internat a Berlin, en Allemagne. Myrtle eut aussi un petit copain a l'âge de 9 ans, qui était sorcier lui aussi. Il s'appelait Blaise et était d'origine française, mais dut partir en France, se qui déchira le cœur de Myrtle, et suivit l'enseignement de Beauxbâtons.
Mary, âgée de 5 ans quand Myrtle naquit, alla a Poudlard 5 ans avant Myrtle, et en sortit alors que Myrtle était encore en deuxième année. Durant les cinq ans où Mary n'était pas là, les jumeaux Tim et Tina naquirent, au grand bonheur de Myrtle, qui les avait a elle toute seule.
Myrtle savait déjà qu'elle allait aller a Poudlard, donc, elle n'eut aucune surprise quand sa lettre d'admission arriva, portée par un hiboux au plumage blanc.
En recevant cette lettre, elle ne savait pas que 5 année plus tard, elle allait rencontrer une personne a laquelle elle s'attacherait vite...
Dernière modification par Kirsty Panglewood le 24 sept. 2018, 16:48, modifié 2 fois.

Troisième année RP (2044-2045) | Remplaçante Attrapeuse/Poursuiveuse des Griffes Ardentes.
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05 juil. 2018, 14:00
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CHAPITRE 3 : GEORGE PANGLEWOOD, LA LETTRE D'ADMISSION


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Un hululement. Presque rien. George se leva. Ce n'était pas courant un hiboux a Londres. Le garçon s'approcha de la fenêtre a la lueur de la Lune filtrant a travers les rideaux fins. Il les ouvrit. Le ciel était noir, plus noir que noir. L'arbre juste devant la fenêtre de la chambre de Georges bruissait au vent, lui cachant en partie la vue. La Lune allait bientôt disparaitre. Le garçon se tourna vers sa table de nuit et regarda son réveil. 6h40 du matin. Bientôt, il devrait se lever pour aller acheter ses fournitures pour l'année prochaine. Pour le collège. Il s'assit sur son lit et soupira. Une année venait de se terminer, pleine d'angoisse et de stress. Et une année allait bientôt commencer, pleine d'angoisse et de stress. Pourquoi fallait-il que sa vie se répète indéfiniment ? Inlassablement ?
Georges se recoucha, sans les couvertures. Alors, il entendit de nouveau ce hululement, mais cette fois-ci, accompagné par un fracas sur le toit. Puis plus rien. Georges se leva, soudain effrayé. Il entendit ses parents faire de même. Son père arriva une minute plus tard, accompagné de sa femme.
- C'est toi qui as fait ce boucan ? s'exclama-t-il.
- Non, père. Je te le jure ! murmura Georges
Son père le regarda d'un air douteux, puis se tourna vers sa femme. Ils échangèrent un regard plein de sous-entendus et Georges sut qu'ils ne le croyaient pas. Soudain, un grand "PAF" se fit entendre, et la fenêtre de la chambre de Georges se brisa. Il fut heurté par un boulet de canon avec des plumes. Le garçon tomba sur son lit. Sa mère hurla, et son père donna un coup de coussin a la chose. Georges se releva, et regarda.
C'était un hiboux.
Un hiboux gris, assez petit, terne. Quelconque. Il tenait quelque chose dans sa patte droite. Une lettre.
- Père ! Il a une lettre !
- Prends-là. fit son père, dégouté.
Georges attrapa avec douceur la patte et détacha la lettre. C'était une enveloppe en... parchemin. Un parchemin jauni, vieilli, avec une fine écriture a l'encre violette.
Collège Poudlard
Un collège ? Georges s'empressa de l'ouvrir. Il lut la lettre, sous les yeux impatients de ses parents. Il n'en croyait pas ses yeux ! Un collège de sorcellerie, du nom de Poudlard ! Où l'on apprenait surement la Magie, vu la liste de fournitures.
- Je... hum... c'est une lettre d'un collège de sorcellerie.
- Un collège de sorcellerie ? C'est quoi cette blague ? s'esclaffa Abey Panglewood.
Georges sut que son père avait raison. C'était un canular, rien de plus. Pourtant, l'espace d'une seconde, il y avait cru. Ç’aurait été tellement géniale si ça existait vraiment ! Abey lui arracha l'enveloppe et son contenu des mains, les déchira et on n'en reparla plus de la journée. Pourtant, Georges continuait d'y croire. Ne c'était-il pas passée des choses étranges et extraordinaires autour de lui ? Et si il était réellement sorcier ?
Le lendemain se passa tranquilement.
Le surlendemain aussi.
Ce fut le samedi où tout commença réellement. Le matin était pluvieux, étrange pour le mois de juin. En allant chercher le courier, Georges tomba sur des dizaines de lettres, les mêmes que la première. Toutes sur ce collège de sorcellerie étrange. Le garçon sentit l'excitation montée. Son père arriva et ricana :
- Ils devraient garder leur paperasse pour autre chose que ces bêtises ! Jette immédiatement ces lettres !
Mais Georges n'allait pas se laisser faire ! Il rétorqua, en essayant de garder son calme :
- Père, et si c'était vrai ? Et si j'étais un sorcier ? Tu n'as pas remarqué des choses bizarres autour de moi ? Il y a un endroit indiqué dans la lettre, le Chaudron Baveur, un pub. Ca vaut le coup d'y aller ! Pour avoir une preuve ! C'est a Londres !
- Non, non, et non ! Pauvre imbécile ! Tu crois sérieusement que tu va aller dans un collège de fous ?
Alors, la mère de George prit son mari par la manche et l'entraina dans la cuisine. Georges les entendit chuchoter, sans comprendre ce qu'ils disaient. Quand ils revinrent, Betty, la mère de Georges, dit :
- On va aller voir ton pub, mais je ne te promets rien... C'est surement un canular.
Georges sentit son coeur faire un bond dans sa poitrine.
Dernière modification par Kirsty Panglewood le 24 sept. 2018, 16:44, modifié 2 fois.

Troisième année RP (2044-2045) | Remplaçante Attrapeuse/Poursuiveuse des Griffes Ardentes.
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19 août 2018, 16:18
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CHAPITRE 4 : MYRTLE COLD, LA LETTRE D'ADMISSION.


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Ses parents lui avaient beaucoup parler de Poudlard, Et Myrtle connaissait tout sur tout. Elle feuilletait a longueur de journée des livres sur cette école de sorcellerie qui paraissait tellement géniale, d'après ses parents. Et la jeune fille posait beaucoup de questions dessus comme "Et on y mange quoi ?" ou "Quels y sont les matières enseignées?". Son père lui avait tout expliquer : les quatre maisons, les tenues vestimentaires... Myrtle savait qu'il y avait treize matières, que le collège possédait un parc gigantesque, une Forêt "Interdite", un lac et un terrain de quiddich, et qu'il y avait un village sorcier dans les environs.
Myrtle faisait répéter a sa mère tous les lieux sorciers géniaux un par un : le Chemin de Traverse, le Chaudron Baveur, et pleins d'autres. Son père lui avait raconté que la meilleure et la plus intelligente des maisons était Serdaigle. Toute sa famille y était allée, et les parents de Myrtle comptaient bien qu'elle y aille aussi. La jeune fille voulait y aller, coûte que coûte. C'est pour ça que, au fur et a mesure des années, elle essayait de devenir de plus en plus intelligente, curieuse et érudite. Elle était déjà aller sur le Chemin e Traverse, et ses parents avaient achetés un hiboux grand duc blanc et gris. Ils lui avaient expliqués :
- Ce sera pour envoyer des messages a toi et a ta soeur, quand vous serez a Poudlard.
La soeur de Myrtle, Mary était allée a Poudlard trois ans avant elle, et, quand la cadette y irait, Mary serait en troisième année. Cette dernière avait toujours dit que sa soeur n'irait jamais a Serdaigle, car elle était trop bête, et pas assez curieuse. Elle-même y était allée, mais le Choixpeau avait hésité a l'envoyer a Poufffsoufle, ce qu'elle avait avouer avec honte.
Un jour, c'était un lundi matin ensoleillé, un hiboux toqua a la fenêtre du salon du manoir de Myrtle. C'est Mary qui alla le chercher, et ouvrit l'enveloppe. Quand son père lui demanda ce que c'était, Mary répondit :
- De la pub pour un balai.
Mais Myrtle n'était pas dupe, et elle avait lu : "Collège Poudlard". Pourtant, elle ne dit rien quand Mary partit dans sa chambre avec la lettre. La jeune fille serra seulement les dents, en se promettant de la récupérer. Pourquoi sa soeur avait-elle menti ? Myrtle ne voyait qu'une seule raison : Mary ne voulait pas que qu'elle aille a Poudlard. Le coeur de la fillette se serra dans sa poitrine. Elle était triste et dégoûtée par le comportement de son aînée.
Le soir passa affreusement lentement, et Myrtle murmura rapidement qu'elle était fatiguée, et qu'elle voulait se coucher. Mais, dans le couloir qui allait de la cuisine a sa chambre, le fillette entendit ses parents discuter, et sa soeur ricaner :
- C'est inquiétant que Myrtle n'ait toujours pas reçut sa lettre d'admission ! chuchota sa mère, Cassie Cold.
- Peut être qu'elle n'est pas sorcière, gloussa Mary, entre deux fous rires.
Par la suite, Myrtle entendit un concert de protestations venus de ses parents, qui espéraient que sa lettre arriverait bientôt. La blondinette savait qu'elle l'avait reçu, mais que sa soeur l'avait récupérée. Myrtle, tandis que la discussion continuait dans la cuisine, se glissa dans la chambre de sa soeur. La porte grinça, et le fillette se figea en s'attendant a voir ses parents débarquer et lui demander ce qu'elle faisait ici. Pourtant, personne n'arrivait. Le grincement avait dut être couvert par les bruits de voix.
Myrtle rentra, sur la pointe des pieds, et fouilla la pièce du regard. Son regard tomba sur le bureau, où elle souleva cahier et livres, chaudron et baguette, pour trouver la lettre, qui n'était apparemment pas ici. Elle essaya de se mettre a la place de Mary, et de trouver un emplacement que personne ne trouverait. A sa place, elle cacherait la lettre sous son oreiller, une cachette basique, mais tellement évidente que personne nn'y penserait. Myrtle souleva l'oreiller et, comme prévu, trouva l'enveloppe. avide, elle l'ouvrit et la lut, le coeur battant. C'était bien elle !
Elle sortit précipitamment, et ferma la porte, puis ouvrit celle de la cuisine, en criant :
- Je l'ai trouvée ! Un hiboux l'a apporter !
La discussion s'arrêta nette, puis ce fut un concert de cris de joie. Bien entendu, Myrtle ne dit jamais a personne qu'elle avait trouvée la lettre sous l'oreiller de sa soeur, mais raconta a qui voulait l'entendre que c'était une chouette effraie qui le lui avait apporter.

Troisième année RP (2044-2045) | Remplaçante Attrapeuse/Poursuiveuse des Griffes Ardentes.
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08 févr. 2019, 18:33
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CHAPITRE 5 : GEORGE PANGLEWOOD, PREMIÈRE ANNÉE.


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Poudlard Express...
La séparation avec ses parents fut dure. Mais en même temps, Georges en fut soulagé. Il n'aurait plus ni son père anti-sorcellerie sur le dos, ni sa mère influençable. Et c'était un monde nouveau qu'il allait découvrir. Le voyage en train se passa bien, même si tout l'étonnait, des sucreries jusqu'aux animaux domestiques des autres élèves. Dans son compartiment, il était avec deux filles de cinquième année qui ne cessait de glousser et de caqueter telles des poules. Elles parlaient de garçons, en particulier d'un certain Gabriel, qui, d'après elles, était très séduisant. Georges ne s'ennuya pas une seconde. Pendant tout le trajet, il mangea les quelques sucreries que les filles lui avaient données en échange d'un caramel Moldu qu'elles apprécièrent. Le garçon apprit que les chocolats qui sautaient partout s'appelaient des Chocogrnouilles, que ceux en forme de chaudron avec un liquide délicieux à l'intérieur avaient pour nom Fondant du Chaudron et que ceux orange étaient des patacitrouilles. Mais ses préférés étaient les baguette de réglisse. Il adorait le réglisse, et ces bonbons étaient délicieux.
Quand il dut se mettre en uniforme, Georges crut qu'il fallait qu'il enlève ses vêtements Moldus. Les filles se moquèrent quand il commença. Il comrit alors qu'il fallait juste enfiler la robe, qu'il trouvait d'ailleurs très désagréable.

La répartition...
En rentrant dans la Grande Salle, Georges ne sut où il fallait regarder, tellement il y avait de choses à admirer. Ce qui le marqua en premier furent les chandelles flottant par milliers en dessous d'un ciel étoilé. On aurait dit que c'était le vrai ciel, mais le garçon ne recevait aucune gouttes de pluies. Ce spectacle le marqua à tout jamais. Puis se furent les tables qui le marquèrent. Il y en avait cinq, dont une au fond avec que des adultes. Les quatre autres étaient pleines d'élèves, et surtout, elles étaient de différentes couleurs. L'une était bleue, l'autre rouge, une autre était jaune et la dernière verte. Son regard s'attarda sur la table rouge et or, et, en son for intérieur, il se promit d'aller s'assoire à cette table, coûte que coûte, même s'il ne savait pas à qui elle appartenait.
Et cette promesse se réalisa. Il atterrit à Gryffondor. Quand il émergea de sous le Choixpeau noir qui avait crier le mot "Gryffondor", il sut que ce nom était associé à la table rouge. Il se dirigea vers elle, et alla s’assoir sous les applaudissements de ses camarades. Georges était tellement fier. C'est à cet instant qu'il bouscula une blondinette, qui, elle se dirigeait vers la table bleue. Il s'excusa, sans vraiment voir qui était cette fille, trop fier d'appartenir à une maison rouge et or.
Il ne savait pas encore que cette fille serait celle qui changerait sa vie.

Suite de l'année...
Georges rencontra Mickaël McGordon durant son premier cour de potion. Ce garçon de Gryffondor un peu farfelu devint son meilleur ami. Mike (comme aimait l'appeler Georges) était un garçonnet maigre comme un clou, avec une grosse mèche de cheveux blonds retombant sur ses yeux qui lui donnaient un air de poney triste. Mais il avait un humour à toute épreuve, même s'il était très susceptible quand on lui parlait de ses yeux vairons ou de ses origines obscures. Car Mickaël avait été élevé par sa grand-mère qui se révéla ne pas être de sa famille. Georges ne comprit jamais cette histoire.
Le jeune Panglewood se révéla être un mauvais élève très bavard et insolent. Il récoltait des mauvaise notes en même temps que des heures de colles. Grâce à ça, il devint la personne la plus populaire chez les élèves et la plus détestée chez les professeurs. En plus de son comportement insolent envers les professeurs qui lui donnait un air rebelle, il avait un physique avantageux, si bien qu'a la St-Valentin, il reçut au moins dix déclarations d'amour (dont la moitié était anonyme).
Que toutes les filles soient amoureuses de lui engendra une dispute entre lui et Mike. Ce dernier reprochait à son ami qu'il passait trop de temps avec ses fans et pas avec lui. Ils restèrent en froid pendant un mois. Georges retrouva rapidement des amis, mais aucun n'égalaient Mickaël en terme de blagues et de gentillesse. Le garçon se rendit compte plus tard que tous ceux qui faisaient semblant d'être ami avec lui était seulement des gens cherchant à être populaires, rien de plus. Si bien que un mois après leurs dispute, Georges revint vers Mickaël en lui jurant que jamais il ne parlerait plus avec une fille de sa vie.
Et il tint sa promesse pendant la fin de l'année. Il n'adresse pas la parole à une fille.

Troisième année RP (2044-2045) | Remplaçante Attrapeuse/Poursuiveuse des Griffes Ardentes.
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