Emelyne avait quitté la salle commune, emmitouflée dans sa cape d'hiver et son écharpe aux couleurs de sa maison. Elle voulait aller faire un tour du côté de la lisière de la Forêt Interdite. Bien sûr, elle n'irait pas dans la forêt, bien qu'elle en mourrait d'envie, elle ne souhaitait pas se faire expulser non plus pour avoir transgressé le règlement de l'école. Elle s'arrêta un instant pour regarder le lac. Il ne restait plus aucune des roses qu'elle avait eu l'occasion de dessiner lors de son arrivée à Poudlard. Elle soupira. C'était déjà mi-septembre...Que le temps passait vite. Elle avait déjà eu des devoirs en potion, en vol, en sortilège et en métamorphose. Ses notes étaient seulement passable... Il faudra qu'elle travaille plus fort encore si elle voulait réussir. Mais pour l'instant, elle voulait seulement se promener le long de la forêt, où le plus grand calme régnait. Elle frissonna. Le vent s'était levé, froid, annonçant l'arriver de l'automne. Perdu dans ses pensées, elle trébucha sur une des racines d'arbre qui ressortait de terre.

- Aïe ! Oh non ! Il manquait plus que ça...

Elle se relava en s'appuyant contre le tronc. Elle avait un peu mal à la cheville, mais se dit que cela allait passer. Elle se redressa et continua à avancer, observant la forêt et les alentours.

Klaus se promenait lui aussi près du lac, ce n'était pas la première fois qui se baladait ici, il venait souvent ici car, c'était pour lui un endroit calme qui lui était d'une grande aide, il observait l'horizon du lac et pensait à ses études, ses nouveaux amis ...

Comme à son habitude il était au bord de la Forêt Interdite, l'idée de pénétrer dans la forêt ne lui traversa même l'esprit, après tout il ne voulait pas être expulsé. Malgré tout il y avait un bruit qu'on entendait sortir de la forêt, ça devait être le bruit du vent glacial qui venait claquait contre les brindilles des arbres. Il marcha en se demandant comme se passerait ses cours de demain, notamment le cour de métamorphose auquel il était assez mauvais.

- Aïe ! Oh non ! Il manquait plus que ça...

Il entendit la voix de quelqu'un qui venait d'interrompre ses pensées sur la métamorphose. Il espérait que ce ne soit pas un professeur ou bien un préfet pour ne pas à avoir de problème. Après tout il ne voulait pas qu'on le questionne sur ce qu'il faisait ici ou pire qu'on le renvoie pour avoir quitté sa salle commune à une heure pareil. Il vit une jeune fille qui se releva et qui continua son chemin. Il ne savait pas quoi faire la laissait continuait son chemin ou bien lui demandant se quel faisait là. Mais en voyant son écharpe de Gryffondor il n'hésita pas.

Salut, qu'est ce tu fait ici ? Est ce que ça va ? Je t'ait entendu.

- Salut, qu'est-ce que tu fais ici ? Est-ce que ça va ? Je t'ai entendu.

Surprise par cette voix sortie de derrière elle, Emelyne se retourna vivement en sursautant. Mais sa cheville lui signifia qu'un geste aussi brusque n'était pas le bienvenue. Une douleur se répandit dans son pied, jusqu'en haut de sa cheville. Elle esquissa une grimace de douleur, qu'elle s'efforça de cacher au plus vite, pour que le nouveau venus ne le remarque pas. Elle ne voulait pas l'inquiéter pour si peu. D'ici un moment, elle ne sentirait surement plus rien. De taille plutôt normale, un garçon aux cheveux blonds avec une unique mèche blanche se tenait là. Il était super mignon ! Et ses yeux... D'un bleu-vert magnifique comme sa couleur préférée ! Il avait l'air très gentil aussi. Il arborait les mêmes couleurs de maison qu'elle, ce qui la rassura un peu. Elle se demanda ce qu'il faisait ici, puis se rappela qu'elle-même se promenait simplement. Et puis c'était assez irrespectueux d'être si curieuse. Elle se rendit compte qu'elle le regardait depuis bien trop longtemps. Emelyne se senti rougir légèrement. "Pourvu qu'il ne me prenne pas pour une idiote..." se dit-elle avant de lui répondre :

- Euh... Bonjour. Je me promène un peu, comme tu peux le voir. Et oui ça va, enfin je crois... Enfin je veux dire que ce n'est pas grand-chose. J'ai seulement trébuché sur une racine. Mais ça va. Merci de t'inquiéter, c'est gentil de ta part. Et toi ? Tu fais quoi ?

"Mince, je lui pose trop de questions et puis c'est malpoli d'être curieux il faut que je me calme" se dit-il.

Quand la jeune fille se retourna, Klaus fût absorbé par la beauté de la jeune fille, mais il était encore plus fasciné par ses yeux violets. Il resta immobile et le petit vent glacial ne l'affectait plus, il avait le coeur serré car, ce n'était pas tout les jours qu'il parlait à une fille, il n'avait jamais été aussi timide qu'aujourd'hui, même sa première entrée dans la Grande Salle il n'était pas aussi angoissé.

- Euh... Bonjour. Je me promène un peu, comme tu peux le voir. Et oui ça va, enfin je crois... Enfin je veux dire que ce n'est pas grand-chose. J'ai juste trébucher sur une racine. Mais ça va. Merci de t'inquiéter, c'est gentil de ta part. Et toi ? Tu fais quoi ?

En voyant la gentillesse de la jeune fille, Klaus était rassurait et sa timidité n'était plus. Mais il était encore plus rassurait que la jeune fille ne c'était pas fait mal, seulement il voulait en être sûr. Après quelques secondes de réflexion il lui répondit avec une voix plus relaxante :

- Je me promène, en vérité j'aime bien aller vers le lac et observer l'horizon, je viens ici souvent. Et toi tu vas-où ?

Ce n'était pas la peine de lui demander si elle s'était fait mal ou pas, peut-être qu'elle avait trébuché mais, ne s'était pas fait trop mal, son esprit était plus occupé à penser ce qu'elle faisait ici.

Le jeune garçon resta immobile un instant puis il lui répondit avec une voix posé :

- Je me promène, en vérité j'aime bien aller vers le lac et observer l'horizon, je viens ici souvent. Et toi tu vas-où ?

Emelyne se dit qu'en effet, il n'avait pas seulement l'air gentil : il l'était. C'était le troisième garçon à qui elle parlait depuis son arrivée ici. Sachant que le premier était son préfet et qu'elle avait discuter un peu avec lui lors de son deuxième jour dans l'école. Elle n'était pas sûr que ça comptait vraiment du coup... Elle ne savait même pas si le préfet la voyait comme une amie ou comme une simple première année qui s'interrogeait. Quand à l'autre garçon qu'elle avait vu... C'était par hasard, la nuit même de son arrivée, et elle aurait voulu disparaître six pied sous terre. Elle ne voulait en aucun cas se mettre à nouveau dans l'une ou l'autre des situations avec ce garçon là ! "Deux situations délicates me suffissent..." pensa-t-elle. Elle sortit de sa réflexion en se souvenant qu'il attendait toujours une réponse. Elle rougit de gêne, mais lui répondit en souriant timidement :

- Je me promène aussi très souvent dans le parc. Et comme toi, souvent du côté du lac. J'aime dessiner les beaux paysages... Les encrés sur le papier avant qu'il ne disparaissent... Mais aujourd'hui je voulait aller du côté de la forêt pour une fois. Pas pour y entrer, non, non. Juste la longée, par curiosité. Mais visiblement, il n'y a rien de bien particulièrement beau ici... Jusqu'à ce que tu arrives. Euh... Je veux dire... Je veux dire que tu est arrivé au moment ou j'allais continuer pour voir plus loin.

"Non mais quelle idiote je fais ! On ne dit pas ça à quelqu'un qu'on vient de rencontrer ! Oh la la... Il va me prendre pour une folle ou pire : pour une de ses filles super facile... C'est fichu..." se dit-elle, un peu inquiète et gênée. Elle baissa la tête, mal à l'aise d'avoir laissée ses pensées s'exprimer aussi librement.

En écoutant les paroles de la jeune fille, Klaus ne put s'empêchait de remarquer la timidité de la jeune fille. Comme lui, elle aimait souvent venir près du lac pour pouvoir dessiner les paysages. Mais aujourd'hui elle voulait juste longée la forêt interdite. Ne sachant pas quoi dire il se demanda ce qu'il allait bien dire.

"Mince qu'est ce que je doit dire. Je pourrait lui proposer de venir avec moi vers le lac, mais je ne sait pas si elle serait d'accord, après tout elle se balade" se dit t-il, un peu déconcerté.

Voyant que la jeune fille baisser la tête, il était encore plus gênée de lui demandait si elle voudrait l'accompagner au lac ou bien si il pouvait venir avec elle se promenait le long de la forêt interdite.
Il n'oser pas lui demandait, seulement il n'aimait pas non plus être seul. Il ne savait plus quoi faire, mais il devait lui donnait une réponse. Finalement il décida d'écouter ce que son coeur lui dicta.

- Eh bien si tu veux on peut aller ensemble au lac ou bien se promenaient le long de la forêt. Enfin ne t'en fait pas tu fait ce que tu veux. Excuse-moi c'est un peu direct, je suis désolée je ne parle pas souvent.

Il regarda la jeune fille en se disant : "Mince c'est un peu trop direct, elle doit me prendre pour un idiot".

- Eh bien si tu veux on peut aller ensemble au lac ou bien se promenaient le long de la forêt. Enfin ne t'en fait pas tu fait ce que tu veux. Excuse-moi c'est un peu direct, je suis désolée je ne parle pas souvent.

Emelyne releva la tête. Il la regardait droit dans les yeux. Il n'avait même pas relever ! Quel tact ! Quel gentillesse ! Elle était contente. En plus, il lui proposait d'aller du côté du lac ou de continuer le long de la forêt avec elle. Vraiment, plus elle restait avec lui, plus elle le trouvait bien. Aussi décida-t-elle de rester encore avec lui. En plus, le lac était son lieu préféré alors pourquoi refuser ? Ce serait une occasion en or de faire plus ample connaissance avec ce garçon si gentil.

- Volontiers. Allons du côté du lac puisque c'est ce que l'on préfères tout les deux. Et ne t'en fait pas, j'aime les personnes sincère et franche. Quand au fait de ne pas parler souvent... Je parle tellement peu avec ceux que je connais à peine que je ne m'arrête plus quand je suis avec des amis.

Elle lui dit cela avec un grand sourire, heureuse qu'il souhaite l'accompagner. Elle aimait vraiment beaucoup la couleur de ses yeux, qui la fascinait énormément... Tout comme cette mèche blanche si élégante qui lui donnait l'envie irrésistible de glisser ses doigts dans ses cheveux blonds pour jouer avec cette même mèche. Elle se demandait comment il pouvait bien s'appeler ? Soudain, elle se rendit compte qu'elle même ne s'était même pas présentée !

- Au fait, excuse-moi pour mon impolitesse. Je m'appelle Emelyne O'Brien, je suis en première année. Tu peux m’appeler Emy si tu le souhaite. C'est ainsi que mes amis m'appellent. Et toi ?

- Volontiers. Allons du côté du lac puisque c'est ce que l'on préfères tout les deux. Et ne t'en fait pas, j'aime les personnes sincère et franche. Quand au fait de ne pas parler souvent... Je parle tellement peu avec ceux que je connais à peine que je ne m'arrête plus quand je suis avec des amis.


C'est par ses paroles que Klaus fût ravi, il avait trouvait une ami qui partageait les mêmes choses que lui. Ils se mirent ensemble a aller vers le lac. Il se sentait de plus en plus a l'aise avec la jeune fille. Et c'est yeux violets étaient magnifique et fascinante. Il était tellement impressionnait par la jeune fille qu'il se mit a rougir, ça ne lui était pas arrivait depuis cinq ans quand un jour une fille lui avait dit qu'il était quelqu'un d'intéressant. Depuis ce jour il ne c'était pas autant mis a rougir que maintenant. Pendant qu'il tourner la tête, tellement ses joues étaient devenus rouges, la jeune fille se présenta.

- Au fait, excuse-moi pour mon impolitesse. Je m'appelle Emelyne O'Brien, je suis en première année. Tu peux m’appeler Emy si tu le souhaite. C'est ainsi que mes amis m'appellent. Et toi ?

En plus de partageait la même maison, ils s'étaient aussi en première année, ça faisait des points communs entre les deux élèves. Il avait sans doute du voir la jeune fille en cours. Sans plus tarder Klaus se mit a répondre lui aussi.

- Et moi je m'appelle Klaus Storm. Mais tu peux m'appeller Klaus.

Ils avaient avancer tout en discutant. Emelyne remarqua qu'il avait rougit légèrement. Mais comme s'il lisait dans ses pensées et ne voulait pas qu'elle le remarque, il tourna la tête de l'autre côté, pour qu'elle ne voit rien. Elle fit donc mine de ne rien remarquer. Le jeune garçon lui répondit tout de même :

- Et moi je m'appelle Klaus Storm. Mais tu peux m'appeller Klaus.

Emelyne le dévisagea... Ainsi, il s'appelait Klaus Storm. Klaus... C'était vraiment joli comme prénom. Et son nom était tellement classe... Tandis que le sien était vraiment banal... Ses yeux furent à nouveaux attiré par cette mèche blanche, si particulière.

- Très bien... Monsieur Klaus Storm. Je suis heureuse de t'avoir rencontrer. Tu es vraiment cool, tu sais ? Répondit-elle joyeusement, en lui faisant un clin d’œil complice.

En vérité, sa cheville lui faisait encore mal mais elle continua à marcher comme si rien n'était. Pour rien au monde elle ne voulait gâcher se moment. Pour une fois qu'elle n'était pas dans une situations délicates avec un garçon... Un garçon aussi gentil et sympa en plus. Bien que la douleur fut de plus en plus forte, elle garda son sourire joyeux et continua de marcher à côté du jeune homme. Elle ne le laissa pas répondre à sa première question car elle ajouta immédiatement :

- Dis-moi... On pourrait s'amuser à "une question, une réponse, chacun son tour". Non ? J'aimerais en apprendre plus sur toi, si ça ne te dérange pas évidement. Je commence, d'accord ? Tu aimes te promener et regarder le lac. Mais qu'aimes-tu d'autres encore ?

Elle espérait qu'il accepterait, afin d'en savoir plus sur lui. Tout chez lui lui semblait sincère, franc et amicale. Et elle se sentait très attirée par lui. Mais comme elle n'avait jamais eu d'ami garçon jusqu'à son arrivée à Poudlard, elle se dit que ce devait être tout à fait normal.

Emy était vraiment sympas aucune fille ne lui avait dit jusque là qu'il était cool, il était content.
Les deux jeunes gens s'avançaient en direction du lac mais n'ayant pu remarquer la petite grimace de douleur de la part de Emy, Klaus se questionna en se demandant qu'avait t'elle ? Bien quelle essayais de cacher le fait qu'elle avait mal il ne tarda pas à se souvenir qu'elle avait trébuché sur une racine. Il allait lui demander si elle voudrait retourner à la salle commune pour qu'elle n'ait plus mal car même si il connaissait certaines choses sur la magie il ne voulait pas utiliser un sortilège qui pourrait ne faire qu'aggraver la situation ou pire encore. Bien sûr pour le moment il se devait de réfléchir à se qu'il allait dire et de se prêter au petit jeu de Emy.

"Peut-être veut-elle en savoir plus sur moi" se demanda t-il. Sans plus réfléchir il lui répondit :

-Trés bien Miss O'Brien en lui adressant un sourire. J'aime beaucoup la littérature, d'abord les histoires moldue comme Sherlock Holmes, puis je me suis intéresser aux histoires de grands sorciers. J'aime aussi les friandises comme les Dragées surprise ou bien les Patacitrouilles. Et toi, qu'est ce que tu aimes d'autres ?

Pendant que Emy allait répondre les deux élèves étaient arrivaient ensemble au bord du lac.