Le sport amène-t-il a une relation ?
Dans une partie à l’abris des regards dans le parc.
Par une belle journée assez rare en c’est temps, tu décide d’aller au parc pour faire du skate en cachette. Tu avais pris soins de la cacher sous ta cape noire, qui te tenait beaucoup trop chaud, que tu enlèvera tout de suite après être arrivé. Tu n’étais pas sereine à l’idée d’en faire en cachette. La punition ne te faisais pas peur, c’était plus tôt le fait de se faire confisquer ton skate que tu avais peur.. le skate faisait un minimum de bruit pour qu’un préfet ou juste une balance l’entende et aille le rapporter. Tu arrives dans ton coin tranquille. C’était un peu derrière le parc, mais il y avait toujours le béton, ou les dalles, tu ne savais pas ce que c’était exactement, mais ça servait à faire du skate ça c’est sûr.. À quoi ça pouvait servir de plus ? A part de faire mal si on se ramasse par terre. Tu mets ton skate en position et commence à en faire. Le skate fait du bruit. Alors tu te colles au mur, car la partie est plus lisse sur le côté. Tu roules tranquillement, même si tu faisais vite demi tour. Quand tu enlèves ta cape, un élève s’approche vers toi.. mais tu ne l’as pas remarqué. Tu étais trop concentré à essayer une figure..
@Maximilian Volts
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Mots soulignés pour la Cabane de Cristal
Ça fait quelques temps que je pense à elle. Je ne lui ai pas vraiment parlé depuis novembre. Honnêtement, je ne l'avais pas vraiment remarqué avant qu'elle ne se coupe les cheveux. Depuis, j'ai envie de me faire remarquer par elle. Et je ne doute pas que j'y arriverais. Pas question de me prendre un rateau ! Ça ne me laisserait pas de marbre !
Je la cherche, ce qui est difficile car je ne lui ai jamais vraiment parlé... Quelques paroles dans les couloirs, et je l'ai abandonné pour aller courir. Mais je sais qu'elle fait du skate. Je suis allé dans les couloirs, persuadé qu'elle y serait. Elle n'y était pas. Puis, dans la bibliothèque. Toujours pas. Restait le parc. Je sais qu'il y a un endroit idéal pour le skate, là-bas, et je compte bien l'y retrouver pour lui poser ma question. Mon skate sous les pieds, je roule vers cet endroit, les mains dans les poches de mon blouson de cuir sans me soucier de la dangerosité de mon acte.
J'arrive devant elle et stoppe mon skate, avant de passer une main dans mes cheveux qui ont grandement besoin de voir un coiffeur. Je ne les ai pas coupés depuis Noël et ils flottent au-dessus de mes yeux bleus.
J'espère vraiment qu'elle ne m'a pas oublié, sinon j'aurai vraiment l'air d'un idiot. Je suis prêt à faire l'hurluberlu pour me faire remarquer par elle, ça ne me gêne pas. Je pose mon sac à dos par terre, et la gourde en métal se trouvant à l'intérieur résonne sur les dalles.
Je chasse une libellule qui s'était posés sur mon bras et attend sa réponse.
Ça fait quelques temps que je pense à elle. Je ne lui ai pas vraiment parlé depuis novembre. Honnêtement, je ne l'avais pas vraiment remarqué avant qu'elle ne se coupe les cheveux. Depuis, j'ai envie de me faire remarquer par elle. Et je ne doute pas que j'y arriverais. Pas question de me prendre un rateau ! Ça ne me laisserait pas de marbre !
Je la cherche, ce qui est difficile car je ne lui ai jamais vraiment parlé... Quelques paroles dans les couloirs, et je l'ai abandonné pour aller courir. Mais je sais qu'elle fait du skate. Je suis allé dans les couloirs, persuadé qu'elle y serait. Elle n'y était pas. Puis, dans la bibliothèque. Toujours pas. Restait le parc. Je sais qu'il y a un endroit idéal pour le skate, là-bas, et je compte bien l'y retrouver pour lui poser ma question. Mon skate sous les pieds, je roule vers cet endroit, les mains dans les poches de mon blouson de cuir sans me soucier de la dangerosité de mon acte.
J'arrive devant elle et stoppe mon skate, avant de passer une main dans mes cheveux qui ont grandement besoin de voir un coiffeur. Je ne les ai pas coupés depuis Noël et ils flottent au-dessus de mes yeux bleus.
-Hey Max ! Tu t'souvies d'moi ? J'peux t'parler deux minutes ou t'es trop occupée ?
J'espère vraiment qu'elle ne m'a pas oublié, sinon j'aurai vraiment l'air d'un idiot. Je suis prêt à faire l'hurluberlu pour me faire remarquer par elle, ça ne me gêne pas. Je pose mon sac à dos par terre, et la gourde en métal se trouvant à l'intérieur résonne sur les dalles.
Je chasse une libellule qui s'était posés sur mon bras et attend sa réponse.
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5ème année RP en 2048-2049, filière Sport et soins
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Tu étais concentrée pour faire une figure. Tu lèves le pied droit en levant le skate mais ton pied gauche trébuche alors tu te ramassa au sol. Bon rien de cassé, plus de peur que de mal. Mais tu bloquais toujours sur celle là. Soudain, tu entends une voie masculin derrière toi. Tu dois le connaître bien si il t’appelle Max. Tu te retournes en te levant du sol. C’était Max’, l’autre, celui qui te ressemble. Tu l’avais rencontré dans les couloirs, avec ses cheveux ébouriffés de couleur brune. Ils retombèrent vers des yeux bleus vifs. Il avait aussi un skate. Tu lui souris. Il pose son sac au sol. Quelque chose dedans résonne sur le sol tellement fortement que tu ressens les vibrations dans tes pieds.
Hey salut Max ! Bien sûr que je me souviens d’toi. Oui bien sûr qu’est ce qu’il y a ?
Le garçon avec un ton de voix étrange. Ça devait être la chaleur, en même temps il portait une veste en cuire. Toi tu étais en t-shirt, il faisait beaucoup trop chaud pour être en manche longue, surtout pour faire du skate. Tu fais sauter le skate dans ta main et tu t’approche de Max. Tu luis souris gentiment. Que voulait il me dire de si importe ? Pour qu’il vienne te cherche c’est que c’est important. Tu prends ta bouteille d’eau que tu avais laissé dans ton sac et tu bois une gorgée. Le soleil t’étouffait.
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Hey salut Max ! Bien sûr que je me souviens d’toi. Oui bien sûr qu’est ce qu’il y a ?
Le garçon avec un ton de voix étrange. Ça devait être la chaleur, en même temps il portait une veste en cuire. Toi tu étais en t-shirt, il faisait beaucoup trop chaud pour être en manche longue, surtout pour faire du skate. Tu fais sauter le skate dans ta main et tu t’approche de Max. Tu luis souris gentiment. Que voulait il me dire de si importe ? Pour qu’il vienne te cherche c’est que c’est important. Tu prends ta bouteille d’eau que tu avais laissé dans ton sac et tu bois une gorgée. Le soleil t’étouffait.
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Pourquoi suis-je aussi mal à l'aise ? Certes, ce que je m'apprête à lui demander est assez gênant, mais j'ai l'habitude. À trois ans déjà, je voyais mes grands frères draguer leurs amies sans gêne, même s'ils se prennaient souvent des râteaux de la part de celles-ci. Moi-même, il m'est arrivé d'accoster certaines filles de mon collège pour faire rire mes amis, et je n'avais jamais été mal à l'aise.
Peut-être que c'est le fait d'être seul, sans mes amis Moldus en arrière plan qui ricanent, qui me gêne. Mais il est hors de question de lui montrer que je suis mal à l'aise.
J'ai soif, je sors ma gourde pour boire quelques gorgées d'eau. Quelle idée d'avoir mis ce blouson, je ne savais pas qu'il faisait si chaud. Moi qui, habituellement, me promène en tee-shirt lorsque les autres grelottent de froid, je dois avoir l'air assez stupide.
Tu commences mal, Volts. Je toussote dans mon poingt avant de reprendre d'une voix plus ferme, mon sourire habituel retrouvant sa place sur mon visage.
Mais quel idiot... Je suis vraiment stupide, quelle idée de dire ça !
Mais comment ça se fait ? Moi, habituellement si bavard et à l'aise avec les autres, je n'arrive plus à parler ! Je poursuis en allemand, ayant perdu toute envie de lui dire ce que je pensais dire.
Merci, Père, qui m'a toujours obligé à apprendre l'allemand. Mais il va falloir que je trouve un moyen de ne pas paraître idiot devant elle. Parler en allemand, elle va croire que j'ai problème ! Mais ces paroles sont sorties toutes seules, comme lorsque je suis gêné.
Je suis de plus en plus gêné, pourquoi lui ai-je dit ça, elle va comprendre que j'ai dit quelque chose d'important dans cette langue...
Peut-être que c'est le fait d'être seul, sans mes amis Moldus en arrière plan qui ricanent, qui me gêne. Mais il est hors de question de lui montrer que je suis mal à l'aise.
J'ai soif, je sors ma gourde pour boire quelques gorgées d'eau. Quelle idée d'avoir mis ce blouson, je ne savais pas qu'il faisait si chaud. Moi qui, habituellement, me promène en tee-shirt lorsque les autres grelottent de froid, je dois avoir l'air assez stupide.
-Euh... en fait j'voulais t'parler d'un truc plutôt important... et euh...
Tu commences mal, Volts. Je toussote dans mon poingt avant de reprendre d'une voix plus ferme, mon sourire habituel retrouvant sa place sur mon visage.
-J'trouve que ça t'va bien tes cheveux courts.
Mais quel idiot... Je suis vraiment stupide, quelle idée de dire ça !
Mais comment ça se fait ? Moi, habituellement si bavard et à l'aise avec les autres, je n'arrive plus à parler ! Je poursuis en allemand, ayant perdu toute envie de lui dire ce que je pensais dire.
-Ich bin in dich verliebt.
Merci, Père, qui m'a toujours obligé à apprendre l'allemand. Mais il va falloir que je trouve un moyen de ne pas paraître idiot devant elle. Parler en allemand, elle va croire que j'ai problème ! Mais ces paroles sont sorties toutes seules, comme lorsque je suis gêné.
-Tu comprend pas l'allemand j'espère ?
Je suis de plus en plus gêné, pourquoi lui ai-je dit ça, elle va comprendre que j'ai dit quelque chose d'important dans cette langue...
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5ème année RP en 2048-2049, filière Sport et soins
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Le jeune garçon était étrange, il ne voulait donc pas dire ce qu’il y a avait d’important. Il buvait, logique. Il était hésitant. Comme ci, il n’était pas honnête. Il te dis qu’il aimait ta nouvelle coupe. Tu lui souris, mais si c’est logique qu’il voulait dire autre chose. Tu rigoles nerveusement
Merci. t’es bien le premier à me le dire..
Personne n’osait te dire que c’était moche.. Ils le disaient de manière polie. Comme des gens courtois. Alors que certaines préfèrent te dévisager dans les couloirs en te lançant des regards noirs. C’était la version méchante. Max commença à parler dans une langue étrange que tu ne connaissais pas ou alors que tu ne comprenais pas. Il avait un ton de phrase étrange. Comme ci il avait dit ce qu’il avait à dire à travers ça. Ça te paraissait bizarre. Tu le regarde dans les yeux avec un sourire de l’incompréhension. Un petit rire nerveux sortit aussi. Tu passes ta main dans les cheveux pour te les remettre droit après que Max ai dit que c’était de l’allemand.. j’espère.. C’était donc sur qu’il me l’avait dit dans se langage. Tu hoche la tête à l’horizontale pour désapprouver la question de Max. Il faisait trop chaud et le soleil tapait.
Tu veux pas qu’on aille à l’ombre ? Y a un arbre là bas.
Tu marches avec ton skate à la main et ton sac, en direction d’un grand arbre qui faisait beaucoup d’ombre.
Il y faisait plus frais qu’au soleil. Pour ne pas s’asseoir sur les dalles, tu t’assois sur ton skate. Tu te tournes vers Max.
Max.. dit moi la vérité.. dis tu avec un ton désespérée. je ne vais pas te manger.
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Merci. t’es bien le premier à me le dire..
Personne n’osait te dire que c’était moche.. Ils le disaient de manière polie. Comme des gens courtois. Alors que certaines préfèrent te dévisager dans les couloirs en te lançant des regards noirs. C’était la version méchante. Max commença à parler dans une langue étrange que tu ne connaissais pas ou alors que tu ne comprenais pas. Il avait un ton de phrase étrange. Comme ci il avait dit ce qu’il avait à dire à travers ça. Ça te paraissait bizarre. Tu le regarde dans les yeux avec un sourire de l’incompréhension. Un petit rire nerveux sortit aussi. Tu passes ta main dans les cheveux pour te les remettre droit après que Max ai dit que c’était de l’allemand.. j’espère.. C’était donc sur qu’il me l’avait dit dans se langage. Tu hoche la tête à l’horizontale pour désapprouver la question de Max. Il faisait trop chaud et le soleil tapait.
Tu veux pas qu’on aille à l’ombre ? Y a un arbre là bas.
Tu marches avec ton skate à la main et ton sac, en direction d’un grand arbre qui faisait beaucoup d’ombre.
Il y faisait plus frais qu’au soleil. Pour ne pas s’asseoir sur les dalles, tu t’assois sur ton skate. Tu te tournes vers Max.
Max.. dit moi la vérité.. dis tu avec un ton désespérée. je ne vais pas te manger.
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Maxine doit croire que je suis complétement fou. Elle n'a pas compris ce que je lui ai dit en allemand, ce qui ne m'aide pas en fait, car je dois désormais lui avouer en anglais.
Ne change pas de sujet, Volts. Il faut que je lui avoue, mais je n'ose pas. Je bascule d'avant en arrière sur mon skate de plus en plus gêné, au mépris de toute prudence car mes mains sont toujours dans mes poches de manteau.
Je ma suis quand elle me propose d'aller dans l'ombre du grand arbre. Je m'adosse contre le tronc et l'écoute me demander de lui dire la verité. Elle a compris que je lui cache ce que je veux dire, et j'hésite à lui avouer la raison pour laquelle je la cherche depuis le début de la journée.
Je suis persuadé qu'elle va rire. Après tout, je lui ai parlé environ dix minutes en novembre, mais après nous ne nous sommes plus recroisés. Et nous sommes en avril. Je lui adresse un sourire gêné. Au pire, si elle se moque de moi et me met un râteau, je fairais semblant que c'était une blague. Une excuse stupide, mais qui peut être vraie. Et qui peut m'éviter d'avoir la honte.
-Ah personne te l'a dit ? C'est bizarre moi j'trouve que ça t'va mieux...
Ne change pas de sujet, Volts. Il faut que je lui avoue, mais je n'ose pas. Je bascule d'avant en arrière sur mon skate de plus en plus gêné, au mépris de toute prudence car mes mains sont toujours dans mes poches de manteau.
Je ma suis quand elle me propose d'aller dans l'ombre du grand arbre. Je m'adosse contre le tronc et l'écoute me demander de lui dire la verité. Elle a compris que je lui cache ce que je veux dire, et j'hésite à lui avouer la raison pour laquelle je la cherche depuis le début de la journée.
-Ben en fait... Euh j't'aime Max. Je sais que ça peut paraître bizarre parce qu'on s'est pas beaucoup parler, mais bon, voilà quoi. Tu peux t'moquer d'moi si ça te fait plaisir.
Je suis persuadé qu'elle va rire. Après tout, je lui ai parlé environ dix minutes en novembre, mais après nous ne nous sommes plus recroisés. Et nous sommes en avril. Je lui adresse un sourire gêné. Au pire, si elle se moque de moi et me met un râteau, je fairais semblant que c'était une blague. Une excuse stupide, mais qui peut être vraie. Et qui peut m'éviter d'avoir la honte.
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5ème année RP en 2048-2049, filière Sport et soins
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Max te suis quand tu vas vers l’arbre. Il marche d’un pas stressé, on dirait. Il s’assoit contre le tronc de l’arbre, à côté de toi. Il faisait beaucoup plus frais. De là, on voyait un arbre-géant, aussi haut que la plus haute des tours de Poudlard, se trouvait là, au beau milieu du parc et jettait une ombre massive sur une bonne partie du domaine, de quoi être à l'abri du soleil, mais de nombreux élèves avait eu l’idée de mettre en dessous. Max dis qu’ils ont tord de rien dire. Il a pas tord, mais tu préfères qu’on ne te dise rien plutôt qu’on se moque de toi. T’es cheveux étaient important pour toi. Mais tu ne l’avais pas encore dis à ta mère.. tu avais très peur de sa réaction, plus que des élèves. Quand tu lui demande de dire la vérité, il l’a dit. Tu ne dis rien. Tu reste bouche bée. M’aimer ? M’aimer sérieusement ? C’est la première fois qu’un garçon, hors de ma famille, me le dit. C’est vrai que vous vous êtes parlés que deux fois. Mais Max était gentil. Il ne mérite pas de la souffrance. C’est pas comme ci vous vous étiez jamais parlé. Vous aviez pleins de points communs, mêmes trop. Tu te tournes vers lui puis te retournes aussitôt. Tu étais stressée. Beaucoup.. Tu trembles. Première fois que quelqu’un ressente de l’amour pour toi.. Je n’ai rien pourtant.. d’attirant. Tu te tournes vers lui une bonne fois pour toute.
Moi.. au..aussi. On peut essayer.. si tu veux..
Oh non, espérons que ce ne soit pas une blague. Tu attends sa réponse totalement stressée. Tu n’avais jamais ressentie ça. Quelle impression bizarre. Comme ci des papillons volaient dans ton ventre.
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Moi.. au..aussi. On peut essayer.. si tu veux..
Oh non, espérons que ce ne soit pas une blague. Tu attends sa réponse totalement stressée. Tu n’avais jamais ressentie ça. Quelle impression bizarre. Comme ci des papillons volaient dans ton ventre.
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Yes ! Je ne me suis pas pris de râteau. Et ma foi en moi-même est revenu. Tout le stress et la honte qui s'accumulait depuis que je la cherche, depuis ce matin, est parti. Max Volts, celui qui est sûr de lui, est de retour !
C'est génial.
Je ne pense pas qu'elle me fasse une blague (elle a l'air assez gênée de me dire ça). Je lui souris.
Je ne sais plus trop quoi dire et passe une main dans mes cheveux en bataille pour tenter de les recoiffer légèrement, afin d'avoir le temps de trouver quelque chose à lui dire. Les mèches qui tombent sur mes yeux sont assez gênantes pour voir devant moi. Après avoir emmêlé encore plus mes cheveux noirs, je garde le silence, ne trouvant rien d'intéressant à dire. J'ai passé une partie de mon enfance à regarder Peter draguer ses amies. Je sais très bien ce qu'il fait lorsqu'il est persuadé que la fille qu'il aime éprouve les mêmes sentiments pour lui. Il l'embrasse. Mais je n'ose pas. Pourquoi suis-je timide alors que je n'ai rien à perdre ? Je ne sais pas. Mais je n'ose toujours pas.
Je prend alors mon courage à deux mains. J'ai été réparti à Gryffondor, et même si je n'aime pas cette maison, je dois être courageux. Alors avec un sourire plein d'innocence, je dépose mes lèvres sur les siennes.
C'est génial.
Je ne pense pas qu'elle me fasse une blague (elle a l'air assez gênée de me dire ça). Je lui souris.
-Sérieux ? Habituellement toutes les filles me mettent des râteaux parce que j'suis trop bête apparemment ! Bon j'me plains pas hein.
Je ne sais plus trop quoi dire et passe une main dans mes cheveux en bataille pour tenter de les recoiffer légèrement, afin d'avoir le temps de trouver quelque chose à lui dire. Les mèches qui tombent sur mes yeux sont assez gênantes pour voir devant moi. Après avoir emmêlé encore plus mes cheveux noirs, je garde le silence, ne trouvant rien d'intéressant à dire. J'ai passé une partie de mon enfance à regarder Peter draguer ses amies. Je sais très bien ce qu'il fait lorsqu'il est persuadé que la fille qu'il aime éprouve les mêmes sentiments pour lui. Il l'embrasse. Mais je n'ose pas. Pourquoi suis-je timide alors que je n'ai rien à perdre ? Je ne sais pas. Mais je n'ose toujours pas.
Je prend alors mon courage à deux mains. J'ai été réparti à Gryffondor, et même si je n'aime pas cette maison, je dois être courageux. Alors avec un sourire plein d'innocence, je dépose mes lèvres sur les siennes.
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Tu sentais que Max étais moins en stresse. Le pauvre, il a du porter se fardeau toute la mâtinée. Il a énormément de courage, je n’aurais pas osée dire un mot à la personne concernée. J’aurais juste espérée qu’il vienne me le dire. J’aurais longuement attendue. Max te dis que ne nombreuse fille ne voulait pas de lui car il était trop bête.. Ce sont elle qui sont bête.. où nous deux
-Soyons bêtes à deux alors.
Tu ris doucement et nerveusement. C’était tout nouveau pour toi. Et puis, tu étais contente mais à la fois stressée, tu tremblais des jambes, et tu avais des crampes aux ventres. Tu regardais au loins. Les arbres, les élèves qui couraient, qui se chamaillaient. Soudain, tu sentis quelque chose sur tes lèvres. Les siennes. C’était bizarre. Tu ne connaissais pas ça. Tu savais que les grands le faisaient. T’es parents, ton frère. Tu ne fais rien tu es paralysée. Ton ventre se nouait. Quand Max se détacha de toi, tu te tournes vers lui en souriant. Tu t’allonges contre son épaules.
Merci.
Tu respires un bon coup. L’information n’était peut être pas assez clair.
D’avoir fait le premier pas. Je n’aurais jamais eu autant de courage.
Cest vrai, sans lui rien ne serait arrivé. Tu serais sûrement rentré dans ton dortoir après avoir passé la matinée à faire du skate. Ou alors à l’infirmerie après avoir fait une figure loupée. Tu souris même si il ne peut pas le voir. La joie se voyait sur ton visage.
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-Soyons bêtes à deux alors.
Tu ris doucement et nerveusement. C’était tout nouveau pour toi. Et puis, tu étais contente mais à la fois stressée, tu tremblais des jambes, et tu avais des crampes aux ventres. Tu regardais au loins. Les arbres, les élèves qui couraient, qui se chamaillaient. Soudain, tu sentis quelque chose sur tes lèvres. Les siennes. C’était bizarre. Tu ne connaissais pas ça. Tu savais que les grands le faisaient. T’es parents, ton frère. Tu ne fais rien tu es paralysée. Ton ventre se nouait. Quand Max se détacha de toi, tu te tournes vers lui en souriant. Tu t’allonges contre son épaules.
Merci.
Tu respires un bon coup. L’information n’était peut être pas assez clair.
D’avoir fait le premier pas. Je n’aurais jamais eu autant de courage.
Cest vrai, sans lui rien ne serait arrivé. Tu serais sûrement rentré dans ton dortoir après avoir passé la matinée à faire du skate. Ou alors à l’infirmerie après avoir fait une figure loupée. Tu souris même si il ne peut pas le voir. La joie se voyait sur ton visage.
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Je souris lorsque Max dit que nous serons bêtes à deux. En réalité, c'est moi qui ai toujours été un peu stupide... Lorsque je draguais des filles et qu'elles se moquaient de moi, disaient que j'étais bête, quelques fois me giflaient quand je les énervait trop, c'était parce qu'avec mes amis, nous nous donnions toujours des défis de plus en plus... étonnants. Courir dans les couloirs en chantant alors que ces deux actions sont interdites. Jeter des pommes depuis le premier étage du collège alors que nous savons parfaitement que nous allons nous faite punir. Et, bien évidemment, aller voir une fille inconnue et lui proposer de sortir avec l'un de nous, tandis que le reste du groupe se tient derrière nous et ricane.
Un grand sourire se dessine sur mon visage lorsqu'elle met sa tête sur mon épaule, bien qu'elle ne puisse pas le voir. C'est tout nouveau pour moi. Max me remercie d'avoir "fait le premier pas". Ça me paraissait logique, je pensais même ne pas être gêné de tout lui avoué. J'ai été plus stressé que ce que j'avais prévu. Mais j'ai quand même fini par oser lui parler. Et j'ai bien fait.
C'est de l'ironie, car je sais qu'elle n'aime pas sa maison et qu'elle se promène même avec une écharpe de Serpentard lorsque le temps le lui permet.
-Nan, elles ont raison quand elles disent que je suis bête... Mais j'te dirais pas pourquoi, sinon tu vas te moquer de moi !
Un grand sourire se dessine sur mon visage lorsqu'elle met sa tête sur mon épaule, bien qu'elle ne puisse pas le voir. C'est tout nouveau pour moi. Max me remercie d'avoir "fait le premier pas". Ça me paraissait logique, je pensais même ne pas être gêné de tout lui avoué. J'ai été plus stressé que ce que j'avais prévu. Mais j'ai quand même fini par oser lui parler. Et j'ai bien fait.
-Ben de rien ! C'est bizarre pour une Gryffondor de ne pas avoir de courage...
C'est de l'ironie, car je sais qu'elle n'aime pas sa maison et qu'elle se promène même avec une écharpe de Serpentard lorsque le temps le lui permet.
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