Privé avec @Rivers Robinson-Scott.

5 Octobre 2044

Un amour passionné : au commencement

Alice était caché derrière une haie. Son carnet de poème renommé :
Carnet de poème et d’espionnage

De derrière la haie elle voyait tout, du moins, elle voyait sa cible. Un garçon, la peau légèrement bronzé, les yeux marron et les cheveux blonds, petit (au moins 15cm de moins que Alice) se trouvaient dans le parc. Alice avait décidé de l’espionner car, contrairement aux autres garçons, il avait l’air intéressant. Mais bien sûr, Alice ne faisait pas exprès de l’espionner, c’est comme si une force l’obligeait, la poussait. Alice ouvrit son carnet et nota :

Cheveux blonds, yeux marrons, peau légèrement bronzé, petit

Puis elle marcha sur une branche qui se cassa en deux sous son poids, ce qui émit une petit craquement. Le garçon se retourna. Alice se bessa. L’avait-elle vu ?

Je ne crois pas... se dit Alice.

Alice continua son chemin en slalomant dans les hais. Le garçon s’assit sur un banc. Alice eu des haut-le-cœurs. Elle ressentit quelque chose, au fond d’elle. Serai-t-elle amoureuse ? Alice ne savait pas, ne comprenait pas. Elle avait bien eu des amourettes dans son ancienne école. Pourtant, jamais elle n’avait ressenti ça. Alice fit demi-tour et sortit des haies (d’une façon crédible, pour ne pas qu’il sache qu’elle l’avait espionné. Elle se leva puis marcha vers lui. Le garçon la regardait et Alice se sentit rougir et transpirer. Elle s’assit sur un autre banc. Puis elle cacha son carnet dans son dos de peur qu’il ne vois le nom. Elle regarda ses pieds.

Voilà ! À toi @Rivers Robinson-Scott

Rivers était assis sur un banc, dans le parc.
Il aimait cet endroit et passait souvent une heure ou deux ici, un petit coin calme et paisible.
Il n’y avait jamais grand monde et c’est ce que préférais Rivers.
Une légère brise faisait voler ses cheveux et lui caressait doucement la peau.

A un moment donné, il entendit un petit craquement non loin du banc sur lequel il était assis, mais il n’y prêta pas attention car il y avait souvent de petits rongeurs dans les buissons.

Peu de temps temps après, il appercu une jeune fille avancer dans sa direction. Il ne l’avait pas vu venir.
Rivers trouva la jeune fille très belle, et c’est vrai, elle était très belle. Les cheveux blonds, plutôt longs, les yeux bleus au regard très expressif.
Il la vit dissimuler quelque chose derrière son dos, mais il n’appercu Pas ce que c’etait.
La jeune fille s’approchait de plus en plus de Rivers tout en baissant les yeux, c’est à dire, en regardant ses pieds.
Quand elle ne fut plus qu’a Quelques mètres de lui, Rivers se décida à lui parler et lui dit
bonjour, je m’appelle Rivers, et toi, tu es ?
une réponse simple mais clair.

Il la regarda et attendit une réponse de la part de la jeune fille.


Maintenant, c’est à toi @Alice Le Roux

J’étais assise sur un banc à regarder mes pieds. Le garçon à côté me faisait stresser. Le pire qu’il puisse me faire c’est de me parler. Et bingo ! Le pire arriva :

-Bonjour, je m’appelle Rivers, et toi, tu es ? 

Je fesa comme si je n’avais rien entendu puis, au bout de 30 secondes, je me retourna vers lui et dit :

- Moi ? Tu me parles à moi ?

Le jeune homme prénommé Rivers hocha la tête. Je continua donc :

- Al... Alli...Alice.

Rivers me regarda d’un air bizarre. Je pris une grande inspiration et dit :

-Je m’appelle Alice Le Roux et je suis à Serdaigle en première année. Et toi ? Tu es aussi à Serdaigle ? En première année ?

Je m’approcha de Rivers pour bien l’entendre. Je m’en doutais bien, j’étais rouge comme une tomate. Il avait un regard plein de courage, de sagesse. Le reflet du soleil sur ces yeux étaient magnifiques. Waouh ! Puis je gratta le banc avec le bout de mes ongles. Un tic que je fais quand je suis stressé : je gratte. Puis je me dit qu’il fallait me ressaisir. Je n’étais pas assez intéressante pour lui. Je décida de lui détourner le regard. J’éspèrais juste qu’il allait me répondre. Juste une explication. Pour me rendre heureuse.
J’attrapa une feuille pour la gratter, histoire de ne pas défoncer le banc... En grattant la feuille, du vert apparu sur mes ongles. Je souffla et les petits bouts de vert partirent.

@Rivers Robinson-Scott

Le vent se mit à souffler et les cheveux de Rivers et de la fille se mirent à danser dans l’es air, comme des chevaux fougueux, libres et majestueux.

Rivers était très fier de ses paroles, lui qui était toujours très timide avec les autres, pour le coup, la, il avait l’air très à l’aise.
La fille lui repondit:

- Moi ? Tu me parles à moi ?

Rivers hocha donc la tête pour lui dire oui.
La jeune fille balbutia quelques mots incompréhensibles, puis elle repris:

-Je m’appelle Alice Le Roux et je suis à Serdaigle en première année. Et toi ? Tu es aussi à Serdaigle ? En première année ?


Elle n’avait vraiment pas l’air à l’aise et Semblait très stressé.
Rivers lui repondit donc:

Et bien, ravi de te rencontrer, Alice...Le...Roux? C’est bien ça? Désolé si j’ecorce un peu ton nom de famille.
Je crois que c’est Le Roux mais je suis pas sûr, peut-être pas... Enfin bref, peu importe, donc tu es en première année et à Serdaigle tout comme moi, c’est cool ça, on a du déjà se croiser. Moi j’aime beaucoup venir ici, d’habitude il n’y a personne, alors je réfléchis et ça me détend, mais ça me dérange pas que tu sois là... D’ailleurs j’ai remarqué que tu as caché quelque chose quand tu t’es approché de moi mais je n’ai pas vu ce que c’etait, tu peux me le montrer?

Rivers attendit une réponse de la part de la jeune fille nommé Alice qui semblait tout aussi stressé qu’avant qu’il ne lui parle, voir plus stressé.
Mais lui il ne stressé pas dut tout, et au contraire, il était plutôt bien là, et il était content de lui. Il était calme posé assis sur le banc, les jambe croisé, le dos appuyé au dossier

A toi @Alice Le Roux

Alice était debout, elle voulait sortir de ce corps et s’enfuir à toutes jambes mais c’était impossible. Elle trépignait sur place. Elle avait envie de s’enfoncer dans le sol et rester sous la terre. Elle voulait juste partir mais ces jambes restait immobile. Quand Rivers se mit à parler, le stress monta encore plus :

-Et bien, ravi de te rencontrer, Alice...Le...Roux? C’est bien ça? Désolé si j’ecorce un peu ton nom de famille.
Je crois que c’est Le Roux mais je suis pas sûr, peut-être pas... Enfin bref, peu importe, donc tu es en première année et à Serdaigle tout comme moi, c’est cool ça, on a du déjà se croiser. Moi j’aime beaucoup venir ici, d’habitude il n’y a personne, alors je réfléchis et ça me détend, mais ça me dérange pas que tu sois là... D’ailleurs j’ai remarqué que tu as caché quelque chose quand tu t’es approché de moi mais je n’ai pas vu ce que c’etait, tu peux me le montrer?

Son carnet ! Il veut voir son carnet ! Mais non ! Jamais de la vie ! En plus elle avait marqué des choses sur lui. C’est or de question ! Mais elle ne vas pas lui dire ça ! Il faut qu’elle garde son calme.

-Nn..non c’est personnel désolé.

Rivers fit une petite moue triste. Alice lui expliqua ce qu’elle avait déjà expliqué mainte fois au personne curieuse qui voulait savoir ce que c’était.

-C’est un carnet ou j’écris des poèmes.

Elle ne précisa pas que c’était aussi un carnet d’espionnage bien sûr. Puis elle continua :

-Ces poèmes c’est comme un journal intime. J’y réfère les secrets. J’y cache des mystères. C’est tout. Je ne vaux le montrer à personne.

Alice pensa qu’elle avait fini de parler de manière très agressive et peu agréable. Elle était très stressée. Elle voulait partir.

-Heu... Je suis désolée mais j’ai pleins de devoirs à rendre et il faut que je m’active. Ce n’est pas très sympa de te laisser comme ça. À bientôt dans la salle commune !

Alice partie donc. Du moins, elle s’éloigna de lui. Le stress bessa. Elle était soulagée. Était-elle amoureuse ? Ce qui est sur c’est que Rivers lui manquait déjà.

Rivers attendais la réponse de Alice avec impatience. Il ne savais pas comment serait sa réaction. Allait-elle lui montrer l’objet? Allait-elle essayer de tourner la discussion vers un autre sujet? Rivers ne le savais pas. Mais il allait bientôt découvrir la réponse à sa question.
Alice eu l’air encore plus stressé qu’au début de leur encontre, mais pris quand même la parole:
-Nn..non c’est personnel désolé

-C’est un carnet ou j’écris des poèmes.

-Ces poèmes c’est comme un journal intime. J’y réfère les secrets. J’y cache des mystères. C’est tout. Je ne vaux le montrer à personne.

-Heu... Je suis désolée mais j’ai pleins de devoirs à rendre et il faut que je m’active. Ce n’est pas très sympa de te laisser comme ça. À bientôt dans la salle commune !


A peine Alice avait-elle prononcer ces phrases qu’elle s’enfuit toujours l’air stressé et disparu dans les portes du château.
Rivers se sentit à son tour mal a l’aise. Il se sentait coupable. Il n’etait pas fier de ses paroles. « Peux-tu me le montrer? » lui avait-il dit. Il aurait plutôt dû lui dire plus délicatement: « Est-ce que c’est personnel? Si oui je ne te dérange pas plus avec ça. C’est que ça m’intrigue beaucoup. Je suis curieux »
Il voulais lui dire pardon, mais elle était déjà trop loin. Il n’eut juste le temps de lui glisser un petit:
Attends,!!! Désolé!!!
Il était très mal à l’aise et se sentait coupable. Il avait en quelque sorte fait fuire une jeune fille.

Après cette rencontre un peu spéciale, il rentra dans l’enceinte du château et termina sa journée. Après il alla se coucher, et n’arriva pas à dormir. Il voulais revoir cette Alice. Au moins pour s’excuser de ne pas s’y être bien pris et de l’avoir un peu brusqué.

Voici la fin de notre RP@Alice Le Roux