Aventurière

Ambroise Sejersted
▸ 30 ans, Professeur d'étude des runes ◂

⇨ Vous avez l'obligation d'utiliser la liste des sortilèges pour Aventures
⇨ Une aventure n'est pas un RPG. A ce titre, il ne vous est pas demandé d'écrire de long post. Une simple description de ce que votre personnage fait suffit
⇨ Vous être libre de réagir comme bon vous semble aux diverses situations. Mais n'oubliez pas que votre personnage est ce qu'il est, par son âge, ses compétences, son histoire, sa personnalité. Tout ce qui n'est pas cohérent se retournera forcément contre vous

Capacité de Gryffondor
✧ Acte de Bravoure ✧

Au tour suivant l'activation, le MJ vous permet de renverser la situation en réalisant une action déterminante pour la suite des évènements.

Bien que l'été ait commencé, que les activités estivales se soient multipliées, le Chemin de Traverse ne s'était pour autant pas désengorgé. *N'ont-ils que cela à faire, se promener ?* Quelque peu perdue dans ses pensées, Ambroise en fut sortie, lorsque son chemin rencontra celui d'un inconnu : un homme. Celui-ci semblait être respectable : mais, les apparences étaient parfois trompeuses. Celui-ci lui avait lancé quelques mots, de manière soutenue, lui demandant son aide afin d'analyser un objet : discussion relativement banal, lorsqu'un élément important fit percuter Ambroise : la mention de runes. *Runes ?! Ai-je bien entendu le mot : runes ? Qui était cet homme ?!* Etait-ce écrit sur son front qu'elle enseignait cette matière, se demanda-t-elle tout en se touchant le front discrètement : apparement, non. Elle le regarda alors l'homme, d'un air intrigué et dit : 

- Bonjour ! De quel genre d'objet s'agit-il ? Pourquoi vous êtes-vous dirigé vers moi ?

Que de flatteries, sûrement trop pour qu'il n'y ait pas anguille sous roche, mais l'annonce de l'objet avait tant attisé la curiosité de la jeune femme que celle-ci ne pouvait refuser. C'est pourquoi, elle ne réfléchit pas un instant avant de donner sa réponse à son interlocuteur. 

- Aimer à une telle découverte ne peut pas se refuser...  Dit-elle tout en étant fascinée rien qu'à l'annonce, s'imaginant en train de contempler un tel chef-d'oeuvre, sans doute, unique.

Sa fougue allait, inéluctablement, lui être fatal, car après tout elle ne connaissait rien de cette personne, si ce n'est quelques informations donnés rapidement, et sans aucun justificatif. C'est pourquoi, elle se cantonnait à boire les paroles de M. Harrison, et avoir les yeux remplis d'étoiles, tel un enfant recevant le cadeau tant espéré le jour de Noël. 

Elle souriait maintenant, un peu bêtement, attendant le déroulement des événements futurs. 

Une fois l'invitation acceptée, tous deux s'en allèrent en direction du Chaudron Baveur : quelle drôle de lieu de rendez-vous. Une fois les lieux pénetrés, Ambroise et l'individu se dirigèrent vers une salle privée. Une fois installée, deux jeunes femmes arrivèrent : toutes deux étaient d'un charme époustouflant, tout comme leur prénom, qui leur donnait encore davantage un certain charme.

- Enchantée, mesdames... je dois dire que je ne m'attendais pas à voir de si jeunes personnes, et si charmantes. Dit-elle en esquissant un léger rictus.

Cependant, Ambroise ne s'attarda pas davantage sur le visage angélique de chacune, elle était là dans un but précis : analyser une couronne, semblant être très rare, ce pourquoi, son regard se dirigea vers la boite que tenait l'une des femmes, et ce, de manière insistante.

- Puis-je vous demander comment avez-vous obtenu ce dont M. Harisson m'a parlée ? Ambroise n'aurait pas apprécié observer un objet volé...

L'objet était enroulé si soigneusement, et était si beau que l'atmosphère en était pesante : comment un tel objet avait-il pu attérir ici, entre les mains de si jeunes personnes. Elles prétendaient qu'il avait été acheté, et pourtant, Ambroise en doutait. Desrunes apparaissaient sur la couronne, et leur signification pouvaient laisser perplexe : en effet, une lourde menace pesait sur l'espèce humaine. Comme si celle-ci allait être sans coeur, sans âme. Avec aucune profondeur. Ambroise regarda alors Tempérance, quelque peu effrayée, et lui dit tout en grimacant : 

- Une lourde menace semble peser sur l'espèce humaine : comme si elle allait s'éteindre : notamment, si cet objet tomberait entre les mains de mauvaises personnes. On m'a dit qu'elle appartenait à un roi, non ?