Sorcière malgré elle
Le 31 août 2043: Cité de Londres
C'est après l'école que Naïda Mous une jeune enfant de tout juste onze année, entra dans la maison familial. Les Mous n'était pas des personne très connu appart par les professeurs de l'enfant et les commerçants avoisinant qui ne cessaient de ce plaindre en permanence de la rouquine aux cheveux bouclé. Elle est ni trop grande, ni trop petite pour son age, juste dans la moyenne et a des yeux verrons dans lequel on pouvais ce plaire à s'y plonger. Son poids est parfaitement proportionnelle à sa taille et elle a un sourire charmeur qui montre à quel point elle aime la vie.
Peut être un peut trop justement, Naïda fait partie de ces enfants dont on ne peu arrêter, ceux dont on peut qualifier d'attachiante. Ses parents désespéraient de chaque soir recevoir des appels téléphoniques parlant des nouveaux exploits de leurs fille ainée. La vérité c'est qu'elle aime attirer l'intention sur elle et de ce sentir admirer. Peut être voulait elle juste ce sentir aimée.
A l'inverse de Lalouna de cinq année sa cadette. Elle est tout son contraire, les cheveux brun, les yeux noisette, une petite fille calme, plutôt réserver mais qui accapare toute l'intention des parents. Naïda la jalouse beaucoup et si elle n'était pas une enfant odieuse, envers sa sœur, elle faisait l'exception, la persécutant chaque jours.
En entrant elle pensait que ses parents la sermonerait une fois de plus mais au lieu elle retrouva sa mère les larmes aux yeux et son père tentant de la consoler mais il était évident que lui aussi était complètement demunie.
Naïda jetta son sac à l'entrée et ce dirigea vers eux s'en voulant d'avoir ete sûrement beaucoup trop loin cette fois ci. Pourtant elle ce rememora ses dernières bêtises et elle ne voyait pas de gravité dans ses actes ou du moins de quoi mettre en larmes sa famille.
Alors oui d'accord elle avait voler en Art plastique un ballon ou deux pour en faire des bombes à eau et faire une bataille avec ses amis, mais rien de bien dramatique, ils avaient connu pire ce dit- elle.
Elle s'avanca vers eux et fit un bisous à sa mère en lui disant:
- Pardon Maman je ne recommencerai plus. des paroles dans le vent derrière un geste de tendresse, et d'une bonne attention.
Naïda banalisa la situation, bien que sa mère semblait bien plus affecter aujourd'hui. Après ses excuse elle courra vers la cuisine voulant boire et goûter.
- Naïda, cesse donc de faire l'enfant! Et viens donc écouter ce que nous avons à te dire. Il avait tenter de dire ceci sur un ton autoritaire mais il semblait plus être sur un ton paternel et inquiet.
C'est alors qu'elle est aller retourner près d'eux, bien plus sérieuse et apte à les écouter. Allait t'ils la menacer une nouvelle fois de l'envoyer en pensions.
- Je ne veut pas aller en pension Maman! (Naïda commença avoir le nez qui pique, cette fois ils allait vraiment ce débarrasser d'elle)
- Je craint pourtant que tu n'en est pas plus le choix que nous! Nous venons de recevoir ceci. (tendit une lettre déjà ouverte à Naïda)
La jeune rouquine sembla à la fois curieuse mais aussi angoissée de savoir ce qu'il ce trouvait dans cette enveloppe qui paraissait contenir un papier important.
L'enveloppe n'avait rien d'une enveloppe ordinaire, elle pesait lourd malgré la finesse du papier sûrement causer par la peinture rouge en plein milieu.
Elle sortit la lettre qui ce révélait être un parchemin et lis minutieusement ce qu'il le lui disait.
Elle avait beau lire et relire elle ne comprenait pas ce que cette Madame Loewy le lui disait. Semblerait quelle soit directrice d'une école de sorcellerie, Pourtant les professeur autant que ses parents avait catégoriquement dit que la magie n'existait pas.
Serait ce une blague mal avisé, une bonne farce mais alors comment des personne aussi saint d'esprit que sa mère et son père pouvait alors croire en ces mots poser sur une feuille de parchemin.
Ou alors c'est eux les investigateurs de cette plaisanterie loin de la faire rire, peut être n'avait t'il pas mieux à le lui sortir pour qu'elle accepte de partir.
- Vous auriez pu faire mieux pour vous débarrasser de moi. Je sais que je ne suis pas la plus sage mais ça c'était vraiment bas, c'est vous les sales sorcier.(cris Naïda avant de partir en pleurant)
En sortant elle bouscula sa soeur qui allait rentrée, après avoir jouer dans le jardin, la faisant tomber.
s'était réfugiée près de son arbre préférée, il le lui semblait que de toute manière elle n'avait nul part ou aller et que si ses parents voulaient la renvoyer de chez elle alors il en serait ainsi.
Peut être qu'elle ce ferai des amis dans cette internat qui sait? Des amis ici elle en avait pas non plus des masse. Elle commençait à s'amuser à arracher l'herbe sur le sol quand elle fut rejoint par son père qui s'accroupie à ses genoux ce qui convainc un peu plus la rouquine que ces parents avait à ce faire pardonner. Ils leurs étaient inhabituel de consacrer ainsi du temps à leurs aînée.
Naïda tourna le dos à son père croisant ses bras montrant quelle était fermer à toute discussion.
Pourtant son coeur lui batta anormalement, montrant que ce rapprochement la touchait tout autant que la destabilisait.
- Naïda regarde moi s'il te plait ! Ta mère et moi somme sincèrement désolé. Mais nous n'avons pas plus décidé de t'envoyer dans cette école que toi.
- Je ne vous crois pas ! Les écoles de sorcellerie ça n'existe pas ! Vous voulez juste me le faire croire pour vous débarrasser de moi! Parce que je vous cause que des problème. Il y a que Lalouna que vous aimez.
- C'est faux Naïda, nous vous aimons autant l'une que l'autre. Vous êtes nos deux petites filles.
- Alors pourquoi tu ne me lis plus d'histoire le soir? Tu à arrêter du moment où il y a us Lalouna ! Et pourquoi Maman ne me coiffe plus comme avant ?
- Ta mère à arrêter de te coiffer, parce que tu ne te laissait pas coiffer, elle a juste abandonner l'idée. Quant à moi j'ai pensé que tu était devenu grande pour dormir sans histoire.
- C'est vrai, je nai jamais aimé quelle me coiffe, mais maintenant ça me manque. Je veut apprendre à dessiner comme toi !Et si ce n'est pas vous qui avez écrit cette lettre alors pourquoi vous y croyez ?
Alors Mr. Maous expliqua les derniers événement à Naïda, du faite que il ne s'agissait pas de la première lettre concernant cette écoles mais les jeter ne servait à rien, Car d'étrange hiboux revenaient et plus nombreux avec d'autre lettres. Ils avaient du admettre qu'il était déjà étonnant de voir des hiboux rapporter le courrier, le reste n'a pas été plus compliquer à accepter.
C'est finalement après une étreinte entre père et fille que ces deux la sont finalement rentrer rejoindre le reste de la famille.
Le soir elle fut heureuse de voir son père venir le lui dire bonne nuit et le lui montrer ses derniers croquis.
C'est alors que une fois convaincu par la lettre Naïda pu vraiment ce projeter dans son futur proche. Sur la lettre il était indiquer que Naïda avait des pouvoir en elle et qu'elle avait été inscrite depuis sa naissance à étudier à l'âge de ses onze ans dans la plus grande école de sorcellerie "Poudlard".
C'est alors qu'elle ce posa les véritable question comme à quoi ressemble l'école? quel matière elle étudierait la bas? Aurait t'elle a s'habiller comme les sorcière dans les contes de fée ? Aurait t'elle une baguette? Un chaudron? Ce verrais telle apparaître sur son nez une verru? S'entendait elle avec ses camarades ?
Bien que angoissée à ce séparer de ses proches la jeune rouquine avait à présent hâte de ce rendre dans cette étrange endroit qui semblait lui promettre des années magique et plus que intéressante.
Dernière modification par Naïda Maous le 04 avr. 2019, 13:54, modifié 5 fois.
Votre fourbe amie Naïda Maous!