Jeudi 20 Juillet 2045, Fin de matinée
Dans les rues de Londres, Quartier de Chelsea

*Pourquoi ?*
*Pourquoi ! Pourquoi ! Pourquoi !*
En boucle.
Toujours plus.
Tu te le répètes sans arrêt.
Plus que tu ne poses la question, tu te le hurles.
Ce *Pourquoi !* incessant qui tourne en boucle.

Tu ne comprends toujours pas.
Tu ne comprends pas cette décision.
Pourquoi veulent-ils la vendre ?
Sa Vie qui va partir.
La Sienne aussi.
Ton enfance également.
Une partie de la Sienne.
De la Leur.

Ce n'est pas en quittant la maison.
Ce n'est pas en l'abandonnant que le choses vont changer.
Ce n'est pas ainsi que vous pouvez Lui faire honneur.
Aurait-Il souhaitait ça ?
Ce choix ?
Cette décision ?
Surement pas.

Mais Elle, elle a souffert.
Elle a souffert durant de long mois.
Et vivre encore, seule, dans cette maison est trop difficile.

Mais qu'en même.
Tu n'arrives pas à comprendre Leur décision.
Leur choix.
Elle aurait très bien put juste déménager.
Mais que vous gardiez la maison.
Qu'elle reste toujours là.
En souvenir.
En souvenir de cette Vie.
En souvenir de cette Homme.

Tu observes ta montre d'un rapide coup d’œil.
Onze heure passé.
Ça fait déjà plus de quinze minutes que tu cours.
Quinze minutes dans les rues de Londres.
Quinze minutes que tu ne regardes pas où tu vas.
Quinze minutes que tu te laisses guider par tes pas.
Quinze minutes que tu as appris le déménagement, la vente de la maison.
Et quinze minutes que tu te poses en boucle ce Pourquoi !.

- EH OH ! Faites attention !

Tu ne te retournes même pas.
Tu n'as pas la force d'affronter l'homme que tu as légèrement bousculer.
Tu n'as pas l'énergie.
Elle se concentre toute entière sur ta course.
Pour évacuer cette incompréhension.
Colère aussi peut-être.

Et puis, tu cours depuis suffisamment longtemps pour ne plus être dans ton quartier.
Pour connaitre personne.
Et de toute manière, ça fait suffisamment de temps que tu n'es pas venue à Londres.
Que tu n'as pas repris tes habituels déambulations dans la ville.
C'était il y a de nombreux mois.
Noël ?
Même pas.
Les vacances étaient trop courte pour que tu ais put de perdre dans les multiples rues.
Ça remonterait donc à un an ?
Oui, c'est ça.
Tu apprenais tout juste ta véritable appartenance à la Magie.

Ce matin-là, Alicia avait en quelque sorte envie de flâner. Elle avait prévenu Izaline qu'elle sortait un peu, et qu'elle se sortirait pas du quartier. Il faisait plutôt beau, et heureusement pour la jeune Poufsouffle, il ne faisait pas trop chaud. Le moment idéale pour continuer d'explorer la quartier de Chelsea, en quelque sorte.

Londres était vraiment une ville superbe, c'était le cas de le dire. Les monuments y sont magnifiques, et si elle le pouvait se baladerai dans cette ville pendant des heures.
Et quoi de mieux pour s'aérer l'esprit quand on se balade ? De la musique.

C'est pour cela qu'Alicia avait pris ses écouteurs.

Ecouter de la musique lui permettait de flâner, de s'aérer l'esprit. C'était agréable.
Mais alors qu'elle aillait se mettre l'un de ses titres préférés, elle retira d'un coup ses écouteurs pour regarder plus attentivement ce qu'elle venait de voir. Une fille était en train de longer la rue en courant, et Alicia la reconnut.

C'était Julie. Sa camarade de Poufsouffle. Elle avait passé sa journée d'anniversaire avec Alicia, en mai. Et pour être sûre de ne pas s'être trompé, elle continua de l'observer.

C'était bien elle.

Pourquoi courrait-elle, toute seule, dans la capitale Anglaise ? Est-ce qu'elle devait la rejoindre pour le lui demander ? Elle ne savait pas. Sur le coup, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle devait faire.
Mais si, un peu plus tard dans la journée, elle regrettait de ne pas l'avoir rattrapé pour lui demander ce qui n'allait pas.
Non, elle n'allait pas penser ça, car la voilà en train de suivre Julie, pour découvrir pourquoi cette dernière courrai s'en s'arrêter, comme si elle voulait échapper à quelque chose.

Alicia la suivit, longtemps. A un moment, elle crue qu'elle sortait du quartier , ce qu'elle avait promis de ne pas faire. Mais elle finit par la rattraper. Enfin, en quelque sorte.

Si elle ne l'avait pas interpeller, sa camarade n'aurait jamais ralenti la cadence :

- Julie ! Julie attend !

Elle a du être surprise, car elle ralenti légèrement ce qui laissa le temps à Alicia de l'attraper par le bras pour qu'elle ne reparte pas.
Alors qu'elle reprenait son souffle, la jeune Galloise dit à sa camarade :

- Pourquoi tu courais aussi vite ?

@Julie Jing désolée du retard

Ne jamais s'arrêter.
Ne pas se retourner.
Faire une chose.
Juste une seule.
Courir.
Courir pour toujours.
Courir le plus loin possible.
Jusqu'au bout du monde.
*Jusqu'à en mourir...*

Tes jambes commencent à te tirer.
Ça fait trop longtemps.
Trop longtemps que tu n'as pas autant couru.
*Compliqué à Poudlard.*
Mais tu t'en fiches. Complétement.

- J'veux en mourir !

Ton cris retentit dans les rues de la capital.
Il s’étalent.
Loin. Loin. Loin.
Il disparait. Dans la foule.

Les sanglots te rattrapent bien vite.
Ces larmes qui pointent le bout de leurs nez aux coins de tes yeux.
Ces larmes qui ne tiennent pas longtemps à la surface de ta peau.
Expulsées. Loin. Avec tes Mots.
Larmes. De Rages. De Tristesse. De Colère. De Désespoir.

Rien ne pourra t'arrêter dans cette course effrénée.
Course contres tes Sentiments.
Contre tes Émotions.
Pourtant, un Mot. Des Mots.
*C'est qui ?*
Tu paniques.
*Personne m'connait ici.*
Pourtant ces bien ton prénom qui retentit à tes oreilles.

Cette voix.
Tu blêmis un peu plus.
Alexa ? Alys ?
Tu ne saurais laquelle des deux c'est.
Pas dans cette course où le Vent siffle à tes oreilles.
Où le bourdonnement des Gens grondent dans ta tête.

Ton ventre se sert.
Tu ralentis légèrement.
Elle en profite pour attraper ton bras.
Pour te retenir. T'arrêter.
Impuissante face à cette situation tu t’exécutes.
Tu profites d'un moment de répit pour reprendre ton souffle.

Tu relèves enfin le visage.
Ce n'est pas Alexa. Ni Alys.
C'est Alicia.
Cette découverte te chamboule.
Perturbée par ce changement de situation tu n'arrives pas à répondre clairement à la Jaune.

- Je...

Seul ce mot sort de ta bouche.
La matinée à déjà était bien assez dur.

Julie avait l'air vraiment essoufflée. Elle avait du courir beaucoup plus de temps qu'Alicia ne le croyait. Elle avait l'air tellement épuisée qu'elle avait du mal à parler entre deux souffles. La jeune Galloise n'insista pas avec sa question.
Il fallait qu'elle laisse à sa camarade le temps de reprendre son souffle.
Elle la conduit alors vers un banc, pour qu'elle puisse se reposer.

- Assied-toi ça t'aideras à reprendre ton souffle

La jeune fille se demanda alors depuis combien de temps Julie avait couru. Vu son essoufflement, elle avait du parcourir un, voir plusieurs quartiers de la ville.
Elle ne connaissait pas très bien sa camarade. Les deux Poufsouffles étaient dans la même classe, donc avaient du se voir quelque instants durant les cours ou dans les couloirs. Alicia l'avait donc croisé le jour de son anniversaire, mais cela n'allait pas au delà. Cependant, la Galloise avait envie de plus la connaitre. Mais elle voyait que pour le moment, les questions pouvaient attendre, car Julie était vraiment épuisée.

Cependant, Alicia sentait qu'il fallait quand même qu'elle prenne la parole.

"Ne lui pose pas forcément de questions, parle-lui simplement"

Oui, ce serait une bonne idée. Mais qu'est-ce qu'elle pourrait dire ?
Elle ne savait pas trop, mais il fallait bien prendre la parole, alors elle le fit.

- Tu cours drôlement vite, dis donc !

"Remarque un peu idiote, mais au moins tu as dis quelque chose, c'est déjà ça"

Elle n'avait pas vraiment sue quoi dire d'autre. Et puis de toute manière, c'était trop tard, les mots étaient sortis.
il n'y avait plus qu'à attendre la réponse de sa camarade

Encore perturbée par cette rencontre, Alicia te propose de t'assoir.
Tu t'exécutes sans un mot.
Le contact du bois chaud contre tes cuisse te fait faire un léger mouvement de recul.
Mais qu'importe.
La transpiration coule te ton visage.
Tu te penches légèrement en avant. Tu attrapes le bas de ton tee-shirt.
Et tu essuies ton visage comme tu peux.

Doucement, la régularité de ton souffle revient.
Tes respirations ralentissent jusqu'à reprendre un rythme presque normal.
Mais au fond de toi, il y a autre chose.
Pas seulement la fatigue de cette longue course à une vitesse assez élevé.
Une toute nouvelle source d'énergie.
Énergie presque épuisée par l'ascension de tes pas sur le goudron de la ville.
Mais qui, après quelques instants de repos, se recharge à toute vitesse.
Boule de Colère. De Rage. De Désespoir.

- Tu cours drôlement vite, dis donc !

Ces mots te ramènent à la réalité. Au moment présent.
Tu n'es pas seule. Pas seule avec tes Émotions.
Il y a Alicia aussi.
Une Jaune comme toi.
Tu l'as connais un peu.
Une fille te ton âge, de ta maison.
Elle était venue aussi à ton anniversaire alors que tu étais seule.

- Je... merci, réponds-tu. J'pense que j'dois prendre ça comme un compliment.

Tu lui adresse un sourire qui ce veut chaleureux.
Mais l'es-tu seulement ?
Pas sûr.

- Heu... Tu fais quoi ici ?

A peine ces Mots sortent que déjà, tu les regrettes en partie.
*J'veux pas qu'elle l'prenne mal. J'crois qu'j'ai été dure.*
Aussi, tu t'empresses d'ajouter :

- Tu habites à Londres ?

Julie lui adressa un sourire.
Elle était vraiment à bout de souffle.
C'est vrai qu'elles ne se connaissaient pas beaucoup, donc sa camarade ne pouvait pas savoir qu'Alicia habitait au Pays de Galles, c'était donc normal qu'elle pose cette question.

- Non, je n'habite pas à Londres. En fait, j'habite au Pays de Galles, mais Izaline, je pense que tu vois qui c'est, m'a invité chez elle pour un petit séjour, et elle habite à Londres, dans ce quartier, alors me voilà !

La Galloise aimait bien parler un peu de manière humoristique, elle trouvait toujours qu'elle arrivait à faire sourire les gens avec ça. Et elle adorait donner le sourire aux gens.

- Du coup toi tu dois habiter à Londres. Dans quel quartier ?

Elle espérait que cette question n'était pas indiscrète, et malheureusement il était possible que le nom que lui donne sa camarade lui soit inconnu.
Et une autre question triturait ces lèvres, mais elle n'osait pas la poser.

"Tu l'as déjà posé toute à l'heure, tu vas pas la reposer, ça sert à rien."

C'était la question qu'elle avait posé pendant qu'elles reprenaient leurs souffles : pourquoi elle avait couru.
Mais là elle sentait que ce n'était pas vraiment le moment de la poser, mais elle ne put s'empêcher de se pincer légèrement les lèvres, pour se retenir.

La Poufsouffle espérait que Julie ne l'avait pas remarquer. Elle trouvait un peu gênant de poser la question, et ne voulait pas paraître trop curieuse.

*Izaline*
Oui, ce nom te dit quelque chose.
Tu en connais une, une Izaline.
Mais là, tout de suite, impossible de mettre un visage sur ce prénom.
Sur cette fille qui a invité Alicia à Londres pour une partie des vacances.
Et qui habite dans un quartier pas si loin du tiens en fin de compte même si ce n'est pas le même.

Tu souris donc en réponse à la phrase de la Jaune.
Par ce message, tu souhaites lui montrer que tu as compris et que tu penses savoir qui est cette Izaline même si son visage ne te revient pas.
Et, tu appuies ce mouvement du visage avec un léger hochement de tête.

Puis, la jeune fille te demande dans quel quartier tu habites.
Tu ne saurais dire pourquoi, mais tu n'as aucune envie de renter dans des explications complètes.
La fatigue de ta course peut-être.
Alors, tout en répondant, tu désignes les maisons au loin.
Montrant vers les rues par lesquelles tu es arrivée.

- Dans un quartier pas très loin... Par-là...

Après ces mots, le Silence s'installe.
Enfin, peut-on seulement parler du Silence ?
Non pas vraiment.
Il t'a toujours accompagné où que tu ailles depuis ta plus jeune enfance.
Mais, tu dois bien l'avouer, même lorsque aucuns sons ne sortent de ta bouche, il y a certain lieu où il est impossible pour lui d'Être en toute tranquillité.
Sans être déchiré, cassé et anéanti par des mots hurlé en tous sens.

Mais c'est alors qu'une question d'Alicia te revient à l'esprit.
"Pourquoi tu courais aussi vite ?"
Mais souhaites-tu seulement y répondre ?
Non.
*J'veux pas qu'elle s'mêle d'mes affaires*
Mais peux-tu lui en vouloir ? De poser cette question ?
Non.
C'est normale qu'elle veuille savoir.

- J'voulais m'défouler.

La vérité ?
Oui.
Ce n'est pas la raison entière mais une bonne partie malgré tout.
Et ta réponse devrait bien calmer la Curiosité de la jeune fille. En partie du moins.

Ce n'était pas très précis comme réponse. Mais Alicia ferait avec, elle ne voulait pas insister.
Après tout, si Julie ne voulait pas dire exactement où elle habitait, ce n'était pas très grave.
Si elle avait couru, c'était parce qu'elle avait eu envie de se défouler.

La Galloise n'est pas vraiment du genre à remarquer si une personne cache une partie de la vérité ou non, car il lui arrive souvent d'être légèrement naïve, mais là elle sentait que c'était bien la vérité, mais qu'elle n'avait pas tout dit.

Peut-être était-ce une histoire de famille. Si c'était le cas, il ne fallait probablement pas insister. Donc malgré sa curiosité, la jeune fille se contenta de la réponse.

Ah, ok. J'comprends, ça peut-être agréable de se défouler un peu. En général je ne le fais pas vraiment en courant à toute allure, mais ça peut être une technique. Moi, quand ça m'arrive, je danse plutôt.

La danse avait presque remède à tout pour elle. En même temps, c'était sa passion, malgré le fait qu'il est probable qu'elle ne prenne plus jamais de cours.
Et quand elle était en colère, qu'elle voulait quitter le monde et se réfugier dans le sien, elle se réfugiait dans la musique.
Elle mettait ses casques et fermait les yeux en écoutant la musique. Ou elle lisait, quand elle en avait envie.

Voir que la jeune fille se contente de ta réponse enlève un poids en ton corps.
Il y a parfois de ces choses qui, intérieurement, pèse en soi.
Ces choses si subtiles qu'on les remarque seulement le jour et elles s'envolent.
Alors, voir la conversation dévier de ta personne, te rassure.
Encore chamboulée par les derniers événements, tu te concentres malgré tout sur les paroles d'Alicia.

La danse.
Un sport de plus où tu ne sais pratiquement rien y faire.
Seul la course semble être dans tes capacités.
Monter aux arbres aussi.
Les deux seules choses que tu serais capable de faire.
Oui, semble-t-il.
Rien d'autre.
Et que représente cet art à tes yeux.
Qu'est-ce que la Danse pour toi ?
Une façon de s'exprimer. Nouvelle. Autre.
Bien différente de ce que tu as l'habitude de faire.
Mais pourquoi, alors, ne t'y essayes-tu pas ?
Jusqu'alors tu étais comblée par ces journées à l'air libre en train de *courir* et de *glisser entre les branches des arbres*.
Mais maintenant ? Pourquoi ne pas changer un peu ? Essayer du nouveau ?
*J'sais pas faire. J'sais pas danser.*

Et puis, Danse va bien souvent de pair avec Musique.
Elle. Tu l'aimes quand elle est naturelle.
Quand celui qui lui donne vie est en harmonie avec elle.
Qu'ils virevoltent ensemble.

- C'est beau la danse aussi...

Tu laisses ta phrase en suspens.
Une idée vient de germer dans ton cerveaux.
Mais va-t-elle seulement accepter ?
C'est là que Doute s'installe.
Pourtant, qui ne tente rien n'a rien comme.
Aussi, tu te lances.

- Tu voudras bien danser...

Tu voudrais ajouter ; pour moi.
Mais pourtant, c'est trop personnel à tes yeux.
Indiscret aussi d'aller jusque là.
Quoi que ça le soit, tu ajoutes finalement :

- Un jour ?

C'est vrai que la danse c'est beau.
Une de ses camarades de Serpentard lui avait dit une fois qu'elle dansait très bien.
La Galloise n'en savait trop rien, elle, elle dansait simplement pour se défouler et se lâcher.
Cela lui faisait toujours du bien.
Elle avait d'ailleurs pris la résolution d'essayer de faire du sport quotidiennement durant sa deuxième année à Poudlard.

Danser un jour ? Alicia ne savait pas trop ce que Julie voulait dire par là.
Peut-être qu'elle demandait simplement si elle pouvait danser un jour devant elle.
Si elle en avait le courage, oui pourquoi pas.
Mais la Poufsouffle était toujours stressée à l'idée de danser devant quelqu'un, surtout quand elle était seule.

Quand elle dansait avec d'autres personnes, comme par exemple ses camarades de danse pendant les cours qu'elle prenait avant d'aller à Poudlard, elle stressait moins, car elle était entourée.
Mais depuis son arrivée à l'école de Magie, le fait de danser devant quelqu'un la stressait.

Quand elle avait dansé dans le parc, un après-midi, avec deux camarades de Poufsouffle, personne ne les regardait, pareil pour Meg, quand elle se sont amusés à chanter sur Happy de Pharell Williams, elles n'avaient aucune public, c'était donc plus facile.

- Euh... Et bien si tu veux tu peux m'accompagner l'année prochaine dans le parc un matin, j'ai prévu d'y aller de temps en temps avant les cours, pour m'entraîner.

Elle ne savait toujours pas trop ce que sa camarade voulait dire par " Danser un jour " , mais elle avait répondu à sa question comme elle pouvait.

"Cette année est passée drôlement vite."

Alicia n'avait vraiment pas vu le temps passer.
Poudlard était vraiment un endroit incoyable.

C'était comme si ça s'était passé d'une traite.

- Dis, toi aussi tu trouves que cette année est passée vite ?

Désolée du petit retard