Inscription
Connexion

05 avr. 2019, 16:02
 Laboratoir Monty, Amérique  Sssssss !
Début des vacances d'avril. 

J'ai attendu ça depuis si longtemps ! C'est la première fois que je peux aller chez tonton Monty ! J'ai attendu les vacances d'avril depuis que oncle Monty m'a annoncé que je pouvais venir dans mon hibou d'anniversaire ! Et le mieux: dans une île. On ne sera dérangé par personne ! C'est le rêve. 

J'ai passé le trajet avec quelques Serpentard qui rentraient chez eux pour les vacances. J'ai dévalisé la sorcière aux bonbon. Mais j'y pouvais rien ! Y'a pas de magasin sur l'île fallait bien que je fasse des réserves !  


Arrivé à la gare, il était là. Il m'attendait. Il était grand, une barbe bien taillée, un sac à dos un eu dans le style que porte les collégiens et une chemise bleue. Il me fixe d'un regard plein de bienveillance de son visage encore jeune. Il ne doit pas avoir plus de trente cinq ans. Je m'avance rapidement vers lui avec ma valise dans une main, le monstrueux livre des monstres dans l'autre. Je la pose et l'étreint de mes bras. 

Tonton ! Ça fait si longtemps ! J'ai attendu avec impatience les vacances !  

Il m'ébourifa les cheveux et dit plein d'énergie:

Mon Rufus ! Mais qu'est-ce que tu as grandi ! Moi aussi j'avais hâte que les vacances arrivent. Tu viens ? On ne va pas perdre de temps. On va aller pars là. On va prendre le magicobus jusqu'à chez toi. Ensuite, on ira sur les petites falaises et on prendra un portauloin jusqu'à chez moi qui nous attendra à 18h précise dans la forêt de Bowland.

Je souris puis demanda:

Le magicobus ?  J'adore ce truc ! Je me souviens que tu m'en avais parlé dans un de tes hiboux, résultat, maintenant je le prends quasiment tout les jours quand j'ai envie d'aller des les boutiques londoniennes, c'est beaucoup plus marrant que le métro. Et le portauloin c'es comment ? 

Il rigola un bref instant. Ce n'était pas un rire moqueur mais autre chose...

Tant mieux ! Pour le portauloin, on va dire que, quand tu en prends un, tu as l'impression qu'un fil de pêche viens de s'accorcher à ton ventre et te tire l'espace de quelques secondes jusqu'à ta destination finale où, quand tu y es un peu habitué, tu arrives à atterrir en douceur.

Je lui lança un regard amusé puis commença à marcher à ses côtés. Il prit ma valise tandis que nous sortons par le mur pour revenir du côté moldu de la gare tandis que quelques agents du ministère s'assuraient que les sorciers ne se fassent pas trop remarquer par les moldus en traversant un muret. Nous avons marché pendant quelques minutes jusqu'à nous retrouver dans une rue sombre où personne ne nous regardait, il leva sa baguette (Une baguette ondulé avec un manche représentant une tête de cobra) et l'agita. Un grand bus violet à double impérial apparaît à une vitesse démesurée avec des roues énormes et avec marqué magicobus en lettre d'or devant nous.. Nous somme montés dans le bus et assis dans les fauteuils dépareillés où on nous proposa des boissons pour quelques mornilles. 

Non merci, nous voudrions aller à BlackPool s'il vous plait.

Un jeune contrôleur qui lisait son journal Nous regarda par dessus les pages et dis: 

Dans deux arrêts  c'est à vous.

Le bus fit des bonds de quelques secondes pour des centaines de kilomètres. Il fit un arrêt au pays de Galle, un à Belfast puis s'arrêta net devant ma maison. Les verres et les chaises tremblaient encore. Nous somme sortis, avons parlé quelque peu avec mes parents que j'ai enlassé de mes bras puis récupéré quelques affaires et nous somme rendus dans une nouvelle ruelle sombre pour ne pas se faire voir par les moldus.

La forêt n'est pas très loin, prend ma main. 

Si il m'a demandé ça c'était pour transplaner, quoi d'autre sinon ? Enfin c'est pas parceque je suis né-moldu que je ne sais rien sur le monde magique. C'est quand même le moyen de transport le plus utilisé. Je saisis sa main et là. C'était bizarre. Pire que ce que j'ai jamais ressenti dans le plus mouvementé des grands 8. J'ai eu la sensation de tourbillonner à toute allure et d'être écrasé. Cet affreuse seconde s'est lentement terminée dans une paysage sombre. Ayant attérri, je me sentis pris de nausées. D'un air amusé, il me dit:

Tu t'en es bien sorti. La plupart des gens vomissent la première fois.

Je me demande bien pourquoi ! Et bien j'ai pas hâte de retransplaner. dis-je sur un ton amusé.

Après quelques secondes, l'impression de nausée s'évanouit.Cette nouvelle expérience était... spéciale. 
Devant nous, il homme, relativement vieux nous fixait. Devant lui, un vieux carton patientait. Il déclara: 

Départ dans deux minutes.

Les minutes étaient longues et silencieuses. Et puis c'était le décompte. Monty et moi avons saisi la boîte tandis que trois, deux et un passaient. Là, je ne pouvait affirmer le pire entre le portauloin et le transplanage. J'ai eu l'impression quand fil me tirait par le nombril pour m'emporter. Je ratterit face contre terre sur un sol de grés tandis que mon parrain semblait marcher lentement dans les airs jusqu'à atterrir avec class et délicatesse à côté de moi pour me relever. 

Ça y était. Enfant nous étions arrivés sur le domaine de mon parrain. Un grand portail ouvert menait sur un chemin de pierre qui remontait jusqu'à une fontaine d'où une sculpture de kelpy crachait de l'eau. Derrière cette fontaine, on pouvait voir la maison en briques rouges ornée de magnifiques rosier en fleur montant le long des murs.  Quand je tournais le regard, émerveillé, je pouvais voir une haie parfaitement taillée et ondulée débouchant sur un labyrinthe apparemment dont chaque entrée était entourée de rosiers en fleurs blanches et rouges. Juste à côté de ces haies, des grands des sculptures en formes de serpent taillés dans des haies plus grandes qu'un basilic donc ses fleurs ont poussés aux yeux

Le domaine était magnifique. Nous nous approchâmes de la porte ornée d'un heurtoir en or représentant une tête de serpent. Nous entrâmes et un elfe de maison vint nous rejoindre. L'air fier, il nous accueillit: 

Ravi de voir que monsieur Mongomery est rentré monsieur. Et vous devez être monsieur Williams ? Monsieur Mongomery m'a beaucoup parlé de vous. En bien, bien entendu. Dit-il en français

Merci Albert. Voudrez vous ensuite monter les affaires de Rufus dans sa chambre s'il vous plait ? Je vous en serai très reconnaissant. Répondit-il à son tour en Français également. Selon ce qu'il m'a raconté, la famille de son père vient de France' c'est sûrement pour ça que cet elfe de maison parle dans la langue de Molière.

Merci monsieur.. Albert ! Lui répondis-je dans la belle langue française parfaitement maîtrisé. Décidément la famille de ma mère craqué sur les français !

Tu n'as qu'à laisser tes affaire dans l'entrée. Je vais te montrer le laboratoire dit il tout excité. 

Je salua l'elfe de maison en me penchant pour lui serrer la main puis il claqua des doigts pour faire flotter ma valise et mon sac puis monta les escaliers de leur côté droit (il y en à deux qui  rejoignent le palier) Entre les première marches, une porte de bel ouvrage nous attendait. Oncle Monty s'avança et elle s'ouvrit. Il me lança un regard pétillant qui l'indiquait clairement de venir. Alors j'entra dans la pièce. C'était une grande, mais une TRÈS grande verrière. Tout au fond dans une endroit où le verre était coloré en vert assez opaque laissait voir un bureau en bois sombre avec derrière la chaise (À roulette) un Grande bibliothèque. Accroché au "plafond de verre", un grand squelette de serpent (d'un basilic sûrement) était accroché. 
Il suffisait de tourner la tête pour voir un serpent. Après avoir recompté au moins trois fois j'ai vu trois serpents à cornes et deux runespoors (et quelques autres dont je ne connais pas le nom mais j'ai vu deux ou trois tortues dans un vivarium et un gros serpent noir qui, par son ossature si particulière, donnait l'impression d'afficher un sourir mesquin, impression renforcée par ses petits yeux qui me fixaient dans un autre vivarium) . Ces serpents auraient pu faire frissonner bon nombre de personne mais pas mon oncle. Lui les laissait librement "serpenter" pour les runespoors et les serpents cornes librement dans le laboratoir. Dé qu'il posa le pied sur le carrelage de marbre blanc et noir du laboratoire, tout les reptiles se tournerent vers nous. Un des serpents à cornes s'approcha en premier et les deux runespoors suivirent. Il approcha une main ornée de quelques cicatrices déjà près du crâne du serpent cornu et caressa tendrement ses écailles. Cet homme voyait la beauté dans ces créatures à sang froid.

Je le regarda, l'air mis-étonné mis-émerveillé et dis:

Waw parain ! Mais c'est super cool ! Pourquoi les serpents n'attaquent pas ? 

Il me regarda avec bienveillance et fierté puis déclara:

Cool je sais .... J'ai élevé tout ces animaux depuis l'oeuf sauf celui qui est dans le vivarium que j'ai baptisé Mamba du mal en raison de son venin qui est le plus toxique de tout l'hémisphère sud et de son visage mesquin. Lui je l'ai capturé. Ils ne m'ont jamais attaqués. Peut être parce que je les élève depuis l'oeuf, je suis comme une sorte de père adoptif. Les serpents qui sont en liberté ne t'attaquerons pas, ils obéissent mais sont d'un naturel peu agressif sauf pour les runespoor qu'il ne faudra pas trop embêter. Tu peux rester dans le laboratoir si tu veux.

Il se releva et posa un sceau avec de gros pavets de viandes à l'intérieur.

Tu peux les nourir ? Je vais faire les courses pour le repas de ce soir, tu imagines la reaftion d'un moldu en voyant un elfe de maison avec un cadî. Ce soir on mange une soupe de concombre. Dans un dernier pas vers moi il ajouta:
Lundi nous allons recevoir des invités.

Le serpent cornu s'approcha de moi et me fixa. Il n'avait pas l'air aggresif et il n'y avait pas la mesquinerie dans ses yeux mais autre chose. Une espèce de sagesse, de fermeté. Quelque chose difficile à cerner. Oncle Monty se retourna vers moi et me regardant de ses yeux pétillants avec un sourir au coins des lèvres il m'a dis:

Je suis désolé si on doit avoir des personnes qui vont venir mais c'est pour le travail. Il vont loger dans les deux chambres en bout de couloir, donc ce seront en quelque sort tes voisins de chambre. Mais ils seront accompagnés d'un garçon qui va à Poudlard. Il doit être à Poufsouffle je crois. Je te promet qu'ils ne resteront qu'une semaine voir deux à trois jours..

Des invités ? Avec une Serpentard ? J'ai connu pire. Et puis tout ces livres dont je vais pouvoir parcourir les pages ! Je lui répond avec un sourir en coin.

Mais c'est pas grave ! Je suis ici et tu es là. Peut importe qu'il y'a ait des gens autour rien ne me fait plus plaisir ! En plus le serpent cornu à l'air de déjà m'aimer. Dis-je en rigolant. 

J'approcha ma main du serpent cornu. Je ne savais pas pourquoi. Je savais en revanche qu'il n'allait pas me mordre. Ma main s'approcha dangereusement de sa tête et se posa sur son crâne. Bizarre. Aucune douleur. Aucun crochet planté. Juste une sensation de toucher quelque chose d'écailleux. Nous avons passés la soirée à discuter des reptiles du laboratoir aux serpents et à observer les têtes du runespoor se chamailler entre elles. À la fin de la soirée, l'elfe de maison m'accompagna jusqu'à ma chambre, une pièce avec un lit à deux places une cheminée inactive. Au coin du mur un fauteuil en tissu qui venait d'un magasin de meublement moldu était occupé par un chat aux oreilles gigantesques et à l'air vieux du fait des ses grandes moustaches. Je partis me coucher, la nuit ne pouvant porter que sur des jours magnifiques.

information au lecteur, le parrain de Rufus et son domaine est tiré de la saga littéraire: les désastreuses aventures des Orphelin Beaudelair, je préfère préciser qu'il n'est pas l'oeuvre de mon imagination.
Dernière modification par Rufus Williams le 26 avr. 2019, 00:54, modifié 1 fois.

6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.

24 avr. 2019, 06:13
 Laboratoir Monty, Amérique  Sssssss !
Dayla Harrison

Reducio
Image




Ivelios Harrison



Reducio
Image





-Je n’y crois pas, ce n’est pas possible, n’y a-t-il donc que des incapables dans ce ministère !? Aucun de vous n’a les capacités cognitives de me dire à quelle heure est mon rendez-vous ni même de remplir les papiers pour la prochaine réunion ! Personne n’a non plus l’intelligence de faire venir ma fille dans mon bureau ! A quoi bon servez-vous ?! Un elfe de maison serez plus qualifié que vous tous réuni ! Il y’a une tonne de paperasse ! Je veux que tout soit fini avant la semaine prochaine sinon vous pouvez commencer à chercher un nouveau travail !

S’exclama Dayla Harrison en claquant la porte de son bureau derrière elle tout en marchant d’un pas frustré. Sa voix résonnait dans les couloirs étroits du ministère accompagné du claquement de ses talons contre le sol marbrés. Les dents et poing serrer, la Juge se fraya son chemin à travers ce bain de foules d’employés qu’elle avait elle-même qualifié d’incapable un peu plus tôt. La colère continuait de faire bouillonner son sang mais surtout elle devait cacher celle-ci avec son regard froid et indifférent dont elle avait l’habitude de porter le masque. Inutile de montrer un visage faible devant ses collègues qui en tirerait un avantage à coup sûr. Dayla avait réussi à se hisser dans les plus hautes sphères du gouvernement magique, ce n’était vraiment pas le moment de craquer sous la pression juste parce qu’on lui avait mise à disposition des incapables dans son équipe. Elle avait déjà connu bien pire.

Dayla, qui avait été élue Juge il n’y a pas si longtemps, dirigeait déjà cette partie du département d’une main de fer et n’hésitait pas à se salir les mains pour que le travail soit correctement fait. Meme si Dayla etait jugee comme etant impitoyable et ses decisions jugees tres voir trop dur, elle en restait pas moins impartial. Son travail consistait à definir le bien du mal, de faire en sorte que ses decisions servent le monde magique mais surtout que les lois instaurées par le ministère soient respectées. Elle était l’ombre qui planait sur le monde et qui faisait disparaître quiconque oserait mettre en péril la paix universelle et rien que pour ça, Dayla Harrison était déjà crainte et admiré par beaucoup.

Loin de toute cette politique et de ces cris, Carry Harrison attendait sa mère avec beaucoup de patience. Elle savait que sa mère avait beaucoup de travail et depuis qu’elle avait eu son poste de Juge, la pression ne faisait qu’augmenter. Mais tout ça allait changer avec ce Week end qu’elle avait prévu avec sa mère. Carry avait attendu ce moment avec impatience car elle aussi avait des choses à parler, surtout depuis que la jeune fille avait pris la décision d’habiter avec sa grande sœur.

-Mère, vous voilà ! Carry marcha avec sa petite valise dans la direction de sa mère qu’elle enlaça sans retenue. Je suis tellement pressée de partir avec vous, mais dites-moi père ne viens pas avec nous ?

Le regard indifférent de Dayla quitta son visage aussi naturellement que l’envol d’un oiseau, laissant place à un regard bienveillant et légèrement triste à la fois. C’est vrai que ce Week end devait être un Week end en famille...Mais évidemment qu’il y avait des problèmes pour contrecarrer les plans et c’était le cas pour Monsieur Harrison qui s’était mis à étudier pour lui aussi entrer au ministère de la magie plus tard.

-Malheureusement votre père à préférer rester au domaine familial pour étendre ses connaissances personnelles. Ce Week end sera vous et moi très chère. Par ailleurs, Je-

-Juge Harrison ! Interpella un homme marchant dans leur direction. Madame la juge, je voulais vous rappelez que vous devez vous occuper du cas de monsieur Monty avec ses serpents et-

Dayla leva la main d’un geste sec intimant le silence de son interlocuteur. Comment osait-il interrompre une conversation entre lui et sa fille.

-Nous en avons déjà parlé plus tôt cette semaine. C’est au département des créatures magiques de s’occuper de ce cas, pas à nous, point.

-Madame, avec tout le respect que je vous doit, le département des créatures magiques est débordé et a fait une demande officielle d’aide à notre département… Si nous refusons et que ce cas empire, nous serons ceux qui seront blâmés pour avoir refusé de leur prêter main forte.

Dayla grinça des dents intérieurement ; jamais elle n’aurait pensé que le département des créatures magiques leur jouerait ce genre de sale coup. Le pire dans tout ça c’est que la Juge ne pouvait pas envoyer quelqu’un de son équipe puisqu’elle avait ordonnée à ce que tous les papiers d’administration soient fait avant le début de la semaine prochaine. En vérité, elle était la seule disponible en ce moment. La jeune mère quitta son regard bienveillant pour foudroyer son assistant qui venait de lui faire part de la mauvaise nouvelle. Harrison ferma les yeux et poussa un long soupire en évitant de regarder sa fille qui venait d'être témoin de la destruction de son Week end avec sa mère.

-Je comprend, je m’en charge...dans ce cas, prévenez mon mari et fournissez lui de quoi nous rejoindre, comme tout le monde est déjà occupé, j’ai besoin d’une protection... Par ailleurs si on s’occupe du cas du département des créatures magiques, ils nous devront un servir en échange…

- C’est déjà fait et bien évidemment qu’ils nous en devront une... Un portoloin vous attend. Finit-il en tournant les talons et disparaissant dans le bain de foule.

Carry n’avait rien dit de toute la conversation. Bonne nouvelle c’est que finalement son père allait venir avec eux pour le Week end. La moins bonne nouvelle c’est que ce Week end allait être tout simplement un Week end de travail pour sa mère. Sans dire un mot, la jeune fille prit la main de sa mère et se dirigea vers le portoloin que le ministère avait préparé.

-Pardonnez-moi Carry… Finit par lâcher sa mère avant que toutes les deux se fasse happer par le portoloin qui distordu le monde autour d’eux et fit ressentir comme un sentiment de nausée à la petite Harrison qui atterrit sur ses pieds. C’était officielle, elle détestait les portoloin et même si ce n’était pas la première fois, Carry commençait à sentir son petit déjeuner remonter par la bouche. Mais heureusement rien en sortie.

-Eh bien eh bien, quand on m’a dit que je passerai mon Week end sur une île paradisiaque avec ma femme et ma fille, Je pensais vraiment passer mon Week end sur une ile paradisiaque… vous devriez dire à vos subalternes de revoir la définition du mot “paradisiaque” ma chère, si j’avais su, J’aurais amené mes maîtresses...

Cette voix amusante avec cette pointe d’ironie saupoudré d’amertume dans ces paroles. C’était sans aucun doute Ivelios Harrison qui attendait sa famille adossée à un tronc les bras croisés.

-Très drôle mon cher, à dire vrai, j’aurai aimé les rencontres tiens, pour pouvoir ensuite les noyer comme il se doit.

Les deux se mirent à rigoler de leur bêtise avant d’échanger un long baiser comme si cela faisait une éternité qu’ils ne s’étaient pas vus. Après cet échange langoureux, Ivelios s’approcha de sa fille , s’agenouilla et la serra très dans ses bras. Carry pouvait sentir l’odeur de son père se répandre sur elle ; une odeur légèrement rosée et mentheux, une odeur qui n’aurait pas laissé une femme indifférente à son égard.

-Bonjour ma petite lune du matin, votre mère adore tellement son travail qu’elle nous oblige tous les deux à participer, ne pensez-vous pas qu’on devrait lui demander une récompense quand tout sera fini ? Lui demanda-t-il avec un son regard interrogateur malicieux et taquineur. Carry lui répondit avec un petit rire et un hochement de tête affirmatif.

-ça suffit vous maintenant vous deux… Bon plus vite on aura fini et plus vite on pourra passer à notre vrai Week end.

La petite famille se déplaça en groupe et arriva devant un joli manoir au milieu de nulle part, aucun doute que des animaux devaient sûrement se cacher dans un endroit pareil. Dayla n’attendit pas plus longtemps et tapa à la grande porte.

-Dayla Harrison, Juge du département de la justice magique, ouvrez monsieur Monty...

Renvoyée de Poudlard
5ème Année RP (2047-2048)

Chasseuse de né-moldus professionnelle
Fiche Eleve

26 avr. 2019, 00:52
 Laboratoir Monty, Amérique  Sssssss !
Comment décrire cette semaine passée dans une maison remplie de serpent ? Plusieur mots et phrases conviendraient allant de merveilleux, en passant par "WHATTTT ?????"  et finissant par "On veut ma mort". 

Bon, déjà j'ai essayé de traverser le labyrinthe. Comment dire que même avec le plan je me suis rendu compte qu'il y avait des flèches de couleurs différentes accordées aux haies qui servaient de mur qui changeaient de couleur toutes les heures et même les murs du labirynte bouge. Résultat j'ai trouvé un joli étant, une crypte (très glauque), une petite maison en bout avecv une chambre et au moins 7 tortues qui le parcouraient donc est-ce que elles ont trouvées une entre secrète où elle vivent en société, personne ne sait. 
Luego, j'ai commencé à explorer un peu la maison et j'ai trouvé quelques trucs bizarres. Un tableau d'un homme qui se prétendait être mon grand-père, une pièce avec un piano qui joue tout seul et une porte qui mène à un couloir avec une vingtaine de chambre dont la porte de fait pas plus d'un bon mètre vingt. Sûrement les chambres des elfes de maison. 
Ha, et pour couronner le tout, j'ai trouvé dans six commodes sur treize un animal allant du cobra venimeux à l'épouvantard y compris dans mon tiroir à chaussette ! Je me demande si je vais ressortir vivant de cette île.

Là, on est vendredi. En fin de journée plus précisément et alors que moi, je nourrissait les Runespoors à la viande de dragon (il ne m'attaquent presque plus) le sifflement à retenti. 
Mon parain m'a expliqué qu'il se déclenche quand quelqu'un vient sur l'île. Lui étant à l'autre bout du labirynte en train de veiller à ce que les oeufs de moke soient à la bonne température pour éclore, je me décide donc à aller ouvrir le portail moi-même pour ne pas faire attendre ces invités inattendus. 

C'est vrai pourtant Dimanche que l'on attend le monsieur du département de contrôle et de régulation des créature magique, alors qui cela peut il bien être ? Je sors de la maison, et me dirige vers le grand portail fermé. Arrivé à un ou deux mètre je perçois des forme de l'autre côté et avant d'être arrivé pour les ouvrir l'une d'entre elles frappe au portail en s'annonçant. Harrison. HARRISON ????!!! Je dois déjà la supporter à l'école et maintenant je reçois sa mère ici ? Et pourquoi juge ? Les juges sont au département de la justice magique pas celui de contrôle et de régulation des créatures magiques pourtant. 

Je ne dis pas un mot. Aller, parain m' a déjà montré plein de fois comment faire. Je sors ma baguette et tape sur une brique jaune à côté du portail. Suite à ce mouvement, je range ma baguette tandis'que le portail s'ouvre. Ils sont là. Tout deux ont les traits de leur fille qui se tient à côté d'eux. 
Je leur dis, en me tenant droit, en adoptant toute la class imaginable en regardant les nouveaux arrivant'des mes yeux. Ils petillentnplus comme d'habitude. Je regarde les deux parents avec respect et pour Carry, je ne lui adresse qu'un regard indifférent, ne lui accordant pas plus d'importance à elle qu'aux mouches qui volent. Je dis avec un ton que je me forçait à être le plus stable possible les mots suivant:

Bonjour monsieur, madame, Carry. -difficile de les traiter avec respect quand on voit leur fille- Monty arrive dans cinq minutes. Que nous vaut l'honneur de cette visite ? Si je ne m'abuse nous attendons la visite certe, d'un agent du ministère mais du département de contrôle et de régulation des créatures magiques et cela pas avant lundi. 

À la fin de ma phrase, j'entends un crac et parain Monty se tient à présent à côté de moi. 

6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.

28 avr. 2019, 10:22
 Laboratoir Monty, Amérique  Sssssss !
Qu’est-ce que Rufus Williams faisait la ? Qu’est-ce que ce maudit né-moldu venait faire ici sur cette île sinistre ? Déjà que le Week end de Carry avait été ruiné par le travail de sa mère, voilà maintenant qu’elle devait supporter la présence irritante de ce sang de bourbe ? Pire encore, il se permettait un manque de respect envers sa personne sans même la saluer avec le sourire. Finalement qu'espérait-elle de plus de sa part ? Un né-moldu avec de bonnes manières et puis quoi encore ? En réponse à son manque de manière, Carry ne prit même pas la peine de se pencher pour le saluer ce qui ne fut pas le cas des parents de Carry qui lui sourirent chaleureusement avant de monter sur la marche suivante. Si seulement ils savaient à quel genre de personne horrible ils s'adressent, leur joli sourire fondrait surement comme de la glace au soleil pensa la jeune Serpentard.

-En effet, c’est le département de contrôle et de régulation des créatures magiques qui était supposé venir, mais aux vues de la gravité de la situation, c’est à nous le département de la justice de nous occuper du cas de Monsieur Monty. Est-il là ?

Des pas se firent entendre juste derrière Rufus dans ce qui semblait être la demeure de monsieur Monty. En effet, un homme avec une barbe plutôt bien rasée et qui devait avoir la trentaine fit son apparition. Il était plutôt grand, plus précisément il faisait environ la même la taille que Monsieur Harrison. Miss Harrison fouilla dans son sac pendant un instant et vérifie si la personne qui se tenait derrière l’enfant correspondait à la personne qu’elle devait contrôler le lieu d’habitation. Oui c'était bien lui, a moins que ce jeune monsieur ait un jumeau caché, L’homme qui se tenait devant eux correspondait à la description physique que le ministère le leur avait donné. Sans perdre un instant, Dayla engagea la conversation.

-Monsieur Monty je présume ? Je m’appelle Dayla Harrison, Juge au département de la justice magique. Je vous demande pardon de venir plus tôt que prévu mais il s'avère que le département de contrôle et de régulation des créatures magiques nous a fait comprendre que vous possédez des créatures magiques dont certaines qui seraient considérés comme étant dangereuses. Le département vous a envoyé plusieurs hiboux pour faire recenser vos animaux chose que vous n’avez pas faites en ignorant les hiboux du ministère. C’est pourquoi je vous demanderai de me présenter les animaux que vous avez, ensuite nous procéderons à une inspection de la maison. Refusez et je serai contrainte d’en faire part au ministère qui enverra des aurores se saisir de vos animaux, le choix est vôtre monsieur Monty.

Du Dayla tout craché, savoir se montrer gentille et froide en même temps. Le but ici n'était pas de se montrer menaçante mais plus de régler ce problème le plus vite possible pour pouvoir repartir. Plus vite Monty montrerait ses animaux et plus vite la famille Harrison aurait la possibilité de passer son vrai Week end en famille. Ivelios s’approcha à son tour et regarda monsieur Monty avec un sourire demi-sarcastique.

-Si comme le ministère le dit, vous avez des créatures considérées dangereuse chez vous, est-il vraiment sage d’amener un enfant chez vous ? Lui confia-t-il en lui souriant. Je veux dire, nous ne savons pas si le nom des animaux que vous allez nous donner est complète ou non et si cela se trouve vous mettez la vie en danger de monsieur….

-Williams. Finit par dire Carry en finissant la phrase de son père.
-Oooh, vous le connaissez très chère, un ami à vous ? Questionna-il a sa fille en se tournant vers elle. Il faut dire qu’il avait l’air de plus en plus intéressé par la situation surtout quand la personne en question concernait un garçon.

-On...se connaît, il va à Poudlard et appartient à Serpentard tout comme moi, père, c’est tout. Lança-t-elle sans quitter Rufus des yeux.

-Je vois, je vois, nous en parlerons plus tard très chère. Monsieur Harrison se tourna de nouveau vers le propriétaire de la maison. Monsieur Monty, serait-il possible d’entrer ? Que l’on parle des détails de tout ça a l’intérieur serait largement mieux pour tout le monde.

Renvoyée de Poudlard
5ème Année RP (2047-2048)

Chasseuse de né-moldus professionnelle
Fiche Eleve

30 avr. 2019, 20:31
 Laboratoir Monty, Amérique  Sssssss !
Désolé pour ce poste un peu long

Finalement c'est agréable d'avoir les Harrison. Surtout Carry. Cette expression de surprise quand elle me voit mêlée à une rage bouillonnante, ça me fait un bien fou  ! Le mien, comment je sens la colère monter en elle quand je l'ignore. J'adore ça. 

Mon parrain n'a même pas eu le temps d'ouvrir la bouche que Mrs Harrison engage la conversation avec des hiboux du ministère restés sans réponses, un recensement d'animaux. C'est étrange tout de même, l'île n'est pas Américaine ? Peut-être qu'il a la nationalité anglais et que de ce faut c'est le ministère de la magie anglais et non le M.A.C.U.S.A qui s'occupe de ses créatures.
Monty, tout à fait calme et souriant face à des propos qui ne donnent pas la moindre envie de sourire lui réponde avec amabilité:

Je vous souhaite le bonjour. Il s'avère donc que je n'ai pas besoin de me présenter. 
Figurez vous que je suis allé au ministère encore une fois le 16 avril. Je leur ai précisé pour la énième fois que les hiboux n'arrivaient jamais jusqu'à cette île ou qu'ils m'apportaient des morceaux de parchemin illisibles et c'est ce jour là et seulement ce jour là que j'ai appris cet avis de recensement de mes créatures dangereuses que j'aurais dû hélas faire renouveler il y a deux semaine et trois jours...
C'est d'ailleurs pour ça que monsieur... Rolf Dragonneau je crois devais passer.

Il ne met pas dans son ton cette minuscule touche de froideur comme l'a faite Mrs Harrison. Il fit apparaître une enveloppe verte pâle soigneusement pliée qu'il tend à miss Harrison.

Il y a là tout ce que vous me demandez. Albert ? Appela-t'il 

Un elfe de maison apparaît juste à côté de lui dans un crac sonore. 

Oui monsieur ? Demanda t'il en français

Je me demande si ces gens comprennent le français. Pour que Carry se prétende supérieure il faudrait qu'elle ait d'autres atouts que le statut de sang.

Voulez vous bien préparer le deuxième salon pour le thé ? Répondit mon parrain en parlant aussi bien la langue de Molière que l'un des habitant de ce pays

Bien monsieur. Le filleul de monsieur et son amie voudront-ils des sucreries ? Demanda t'il avec bienveillance (toujours en français)

Je ne sais quoi dire. Amie ? À moins qu'il empoisonne les siens... 

Et bien merci pour cette délicate attention. Je prendrais bien quelques patacitrouilles s'il vous plait. Et tu voudrais quelque chose Carry ? Lé début de ma phrase adressée à Albert était en français vu que l'elfe ne comprend pas l'anglais (enfin je suppose) et celle adressée à Carry en anglais.

Je finis ma phrase en adressant un petit sourire bienveillant à Carry qui n'orne mon visage que par pure politesse. Chose dont je n'ai pas fait preuve jusqu'à présent à son égard. Enfin, c'est juste parce qu'il y a ses parents et mon parrain sinon nous serions dans une autre ambiance. Après avoir entendu sa réponse, l'elfe repart en transplanant.

Cette fois c'est au tour de monsieur Harrison de s'avancer avec un demi sourire sarcastique. Avant qu'il puisse répondre, je réponds avant lui en imitant le sourire de monsieur Harrison:

C'est très gentil à vous de vous soucier de ma sécurité et je vous en remercie monsieur mais j'aurais plus à m'inquiéter de l'épouventard qui se trouve dans un des tiroirs de ma commode plutôt que des serpents  riddicules donc les têtes n'arrêtent pas de se chamailler entre elles comme des enfants. Finis-je avec amusement.

De plus croyez bien que je ne m'aviserais pas de le faire venir ici si il prenait des risques. Je sais parfaitement contrôler ces animaux. Répondit-il en fonçant légèrement les sourcils. 

Je ne sais pas si c'est le fait qu'on remette en cause son aptitude à contrôler les serpents ou sa capacité à me maintenir en sécurité qui l'a vexé mais même si il ne le laisse pas paraître le moins du monde je suis sûr qu'il l'a mal pris.

Il est vrai que je minimise peut-être le risque de ces Serpents mais je nourris  les jours matin et soir et c'est tout juste si je n'ai pas déjà plongé ma main dans la gorge du jeune runespoor qui avait avalé mon livre (On ne touche pas à mon exemplaire des sorts et enchantement oubliés ! C'est dedans que j'ai trouvé le sortilège anti-voleur !). Monsieur Harrison posa une question à Carry sur le fait que nous nous connaissons. Elle me fixe et je la fixe en retour.

Nous nous somme croisé au détour d'une salle de classe.

Voyant l'ambiance qu'il y a entre Carry et moi et nos yeux qui s'envoient des éclairs mutuellement, Monty répond à monsieur Harrison.

Vous avez raison monsieur Harrison. Suivez moi donc. 

Monty se tourne rapidement et avance à pas rapide vers sa maison. Passant sur le côté droit de la magnifique statue de Kelpy suivi de tout le monde qui admirait les magnifiques sculptures des haies qu'étaient le labirynte et les gigantesques  serpents. Il ouvre alors la porte pour laisser voir le hall d'entrée avec les double escalier qui monte vers l'étage et les elfes de maisons proposent aux Harrison de les débarrasser de leurs manteaux. 

Il se tourne vers les Harrison et leur demande: 

Peut-être voudrez vous que votre fille reste dans le salon de thé pendant que nous entrerons dans la pièce remplie de reptiles. Si vous avez peur pour la sécurité de mon filleul à je suppose qu'il serait inimaginable d'emmener votre fille dans une pièces où serpents à cornes et Runespoors Vagabondent librement. 

Il se regarde Carry avec un sourire bienveillant puis complète :

De l'autre côté de la haie, il y a des oeufs de Moke qui vont éclore d'une minute à l'autre. Si tu le souhaite - et si vous êtes d'accord- Rufus peut  t'y emmener, tu pourras en affubler un de ton nom.
Le département de contrôle et régulation des créatures magiques a renouvelé cette fois en temps et en heure mon autorisation d'élevage des animaux en nombre restreint pour leur étude. Ajouta t'il pour la mère de Carry.

6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.

22 mai 2019, 05:49
 Laboratoir Monty, Amérique  Sssssss !
Donner le nom de Carry à l’une de ses bestioles qui étaient bonnes qu’à résider dans un zoo et puis quoi encore ? Dayla tira sa fille derrière elle pour empêcher celle-ci d’entendre plus de bêtise qu’elle en avait déjà entendu. Amener son héritière dans un lieu qui cachait des animaux potentiellement dangereux ? Aucune chance que cela n’arrive. D’un simple geste de la tête, la jeune femme donna l’ordre à sa fille de rejoindre le jeune Rufus qui allait sans doute lui aussi resté dans le salon de thé. La deuxième année ne cacha pas sa frustration de ne pas pouvoir venir avec ses parents, pire encore de devoir attendre en compagnie de ce né-moldu qui allait sans aucun doute faire le clown une fois que les grandes personnes seraient parties faire ce qu’ils avaient à faire. 

Une fois aux côtés de Williams, Carry regarda ses parents partirent avec monsieur Monty qui allait avoir sans aucun doute beaucoup à expliquer mais aussi beaucoup à justifier auprès de ses parents. Une fois les adultes hors de vue, Carry enjamba le pas et n’attendit pas longtemps avant de partir en exploration dans cette fameuse maison qui promettait de donner des sueurs froides à quiconque avait le courage de la visiter. Même si Harrison savait que sa mère lui avait donné l’ordre de rester dans la salle de thé avec Williams, elle ne voulait en aucun cas rester avec celui qui se pensait au-dessus de tout le monde. Ah dès qu’elle aura rejoint sa mère et son père elle ne manquera pas de signaler que Rufus Williams est un né-moldu qui n’a aucune responsabilité, au moins Miss Harrison ne laissera plus jamais sa très chère fille avec la basse plèbe. Après avoir répété le circuit de la maison pendant cinq-dix minutes, Carry se retrouva à la case départ et trouva toujours au même endroit son Némésis qui n’avait pas l’air de faire attention à elle. Tant mieux d’un côté, moins il parlerait et mieux elle se porterait.  

Toujours en mode exploration, Carry faisait le tour de la pièce dans laquelle elle était entrée et s'adressa à Rufus sans le regarder particulièrement. 

-Sinon qu’est ce qui explique ta présence dans sa demeure ? Est-ce que Monsieur Monty à prévu de faire des expériences sur toi ?  Il m’a tout l’air d’être quelqu’un qui aime faire des expériences sur des animaux vu tout le matériel qu’il a dans sa maison.  

C’était de la provocation gratuite et méchante mais c’était la seule manière pour Carry de rejoindre ses parents le plus vite possible en Rufus à la faute. 

Renvoyée de Poudlard
5ème Année RP (2047-2048)

Chasseuse de né-moldus professionnelle
Fiche Eleve

05 juin 2019, 16:49
 Laboratoir Monty, Amérique  Sssssss !
Une fois dans le selon de thé, je prends une chocogrenouilles à grignoter et regarde la carte: Elladora Katerrige. La sorcière ayant découvert les propriétés de la branchieflore. 
Je la vois partir dans les couloirs de la maison. Je la laisse faire. Une fois que j'entends ses pas dans l'escalier, je parle à Albert, l'elfe de maison qui se tient près de moi, habillé dans une jolie chemise qui avait l'air d'être du "sur mesures" noire et d'un pantalon de costume bleu nuit dans un français irréprochable et sans l'accent anglais, comme me l'a appris Papa. 

Albert, voyez vous cette petite peste qui s'est mise en tête de visiter la maison ? Pourriez vous fermer les portes des pièces que cette ne devrait pas voir ? 

Je pense bien évidement à ma chambre, (qu'elle idée de laisser l'épouvantard qui est dans ma commode ! Je crois que je vais l'emporter) et toutes pièces où il y a un animal ! Qu'est-ce qui se passerait si elle se faisait mordre ? L'elfe me sourit et affiche un air serain. Il ouvre la bouche et affirme dans la langue de Molière:

Ne vous inquiétez pas monsieur, monsieur Monty à déjà pris ses précaution pour toutes les pièces dangereuse. 

Albert s'en va vers les cuisines et un autre elfe vient. Lui a l'air plus jeune et me salut en anglais. Il a il fait les poussières sur les meubles en prêtant une oreille attentive à ce que l'on dit. Je suis sûr que Monty lui a demandé de garder un oeil sur nous.

Si Monty a appliqué le même enchantement que la porte du deuxiem étage, elle aura la peur de sa vie. Quelques minutes passent pendant lequelles je lis "le mensuel de métamorphose" en mangeant quelques patacitrouilles. Quand elle revient enfin, elle lance ses premiers piques. Je lui réponds sur un ton froids sans la regarder:

C'est mon parain et t'a pas besoin d'en savoir plus. 

Après une autre petite remarque, je réplique sur un ton sarcastique:

Les deux personnes qui t'accompagnent ont l'air miopes, quand ils sont allés au zoo ils sont répartis avec un singe. Étonnant qu'ils n'ont pas encore remarqué. Ou alors ils sont justement venu pour remettre l'animal avec les animaux. Je te préviens je ne laverai pas ta cage. 

On n'entend pas encore l'éco des conversations de Mrs et Mr Harrison. Ils en ont pour un moment. Je suis persuadé d'avoir entendu l'elfe ricaner.

6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.

23 juin 2019, 09:31
 Laboratoir Monty, Amérique  Sssssss !
*Un singe ? Qu’est-ce que c’était que ça un singe ? * se questionna Carry en lançant une grimace à Rufus en guise de réponse. La repartie de Rufus était attendu de la part de la Serpentard et celle-ci fut un peu déçu de ne pas comprendre a quoi faisait référence le moldu. *Un singe ? * se questionna-t-elle de nouveau. Surement une bête moche et immonde pour que Williams l’utilise dans son insulte. Ça frustrait un peu Carry de ne pas savoir ce que c’était un singe, la preuve, la pauvre commençait à penser que cet animal était tout simplement le fruit de l’imagination du garçon. Finalement elle haussa les épaules et leva la tête d’un air hautain. Non elle n’allait pas poser la question a cet imbécile ce qu’était un singe car ça la ferait passer pour une ignorante, chose qu’elle refuserait catégoriquement de reconnaitre. Après avoir cogitée pendant quelques secondes, elle se ravisa et fit la conclusion que ça devait surement être une bête que seul les moldus et Ne-moldus connaissent et qu’il était tout à fait normale pour une personne telle qu’elle de ne pas connaitre ce genre d’animal.

-C’est toi le singe ! Lâcha Carry,toujours en faisant une petite grimace incrédule du coin de sa bouche. Tu parles de me mettre en cage alors que tu vies littéralement dans un zoo avec ton parrain qui doit fermer la moitié des pièces pour ta sécurité ! Oh pauvre petit moldu, commença-telle avec un ton ironique, que vas-tu faire si jamais ton parrain perd le control de tous ses animaux ? Quel animal s’occuperait de toi en premier ? Je me le demande bien ! Par ailleurs…

Carry marcha fermement vers Rufus et s’empara d’un geste vif des quelques pat citrouilles qu’il restait.

-Ce n'est pas de la nourriture pour animal ça voyons ! Carry goba sans tarder la première patacitrouille  et continua, bon sinon j’imagine que tu n’as pas l’intention de me montrer ta cage ? Oups pardon, s’arrêta-t-elle soudainement en mettant sa main devant la bouche, je voulais dire « ta chambre ».

Pour être honnête avec elle-même, Carry aimait bien la décoration de la maison de monsieur Monty. C’était assez simple et surtout il n’avait rien d’extravagant ce qui pouvait facilement traduire l’humilité dont le parrain moldu faisait preuve. En parlant de moldu, Carry fit rapidement un lien qu’elle n’avait pas prise en compte plutôt. Si monsieur Monty était le parrain de Rufus ça voulait surement dire que lui aussi était un Né-moldu. *Aille, Père et mère vont surement le manger tout cru s’ils font le liens…* C’était vrai puisque ni la mère, ni le père, ne portaient les moldus dans leur cœur. Carry se précipita aux escaliers et se pencha en avant pour essayer d’entendre ce que les adultes étaient en train de se dire. Mais impossible d’entendre quoi que ce soit, les murs étaient trop épais et en plus cet imbécile de Rufus continuait de mâcher ses bonbons avec frénésie ce qui donnait un bruit de mastication dégoutant que Carry ne pouvait s’empêcher d’entendre. Celle-ci se retourna et lanca un regard noir et amusee vers le moldu.

-Tiens je me demandais, qu’est ce qui se passerait si jamais monsieur Monty serait amené à aller à Azkaban à cause de ses animaux, qu’est-ce qu’il adviendrait de toi Williams ? Serais-tu a la rue ?

Carry sourit narquoisement à Rufus en montrant toutes ces petites dents blanches. Celle-ci avait un plan dans sa tête, un plan qui était apparu dans son esprit comme par magie. Un éclair de génie. Non seulement ça écourterait leur séjour ici mais en plus elle pourrait se débarrasserer de Rufus et son air supérieur.

Renvoyée de Poudlard
5ème Année RP (2047-2048)

Chasseuse de né-moldus professionnelle
Fiche Eleve

25 juin 2019, 10:36
 Laboratoir Monty, Amérique  Sssssss !
La petite peste. Bien qu'elle m'ait répondue par une grimace, je suis persuadé qu'elle ne sait même pas ce que c'est qu'un singe. Il lui a fallut un petit temps de réaction qu'elle n'aurait pas eu si je l'avais traité de Troll ou de verracrasse. C'est bien triste que les sorciers ne connaissent pas l'animal dont est issu l'homme. J'arrête avec les patacitrouilles. Ne jamais abuser des bonnes choses.



Elle réplique de plus belle. Je n'en peux plus de cette peste. Elle attaque sur les pièces fermées.



Que tu es naïve. Ces pièces ont été fermées pour ta sécuritée. Simplement parce que les serpents se glissent à peu près partout dans cette maison. J'aurais été ravi de te laisser vagabonder, avec un peu de chance tu aurais été mordue mais Monty ne veux pas de mort dans sa maison pour l'instant... Fini-je sur le ton de la conversation.

Elle ose ironiser sur la manière de Monty à les contrôler ? Elle ne manque pas de toupet!

Tu rigoles ? Si il ne les contrôlait pas tu aurais déjà été bouffée ! Soit plutôt heureuse que la plupart des reptiles sont enfermés pour aujourd'hui.

Elle s'avance pour chiper les dernières patacitrouilles. Qu'elle s'étouffe avec. Je prends quelques grenouilles à la menthe puis me lève, et me dirige vers la sortie de la maison, en sachant qu'elle me suivra. Dans le pire des cas Les elfes la surveilleront.

Ma chambre reste ma chambre et je suis libre de t'en interdire l'accès. Et de toute façon je n'ai pas réussi à déloger la vipère de mon tiroir à chaussettes alors dans le doute n'essaies pas.

La grande haie ondulante du labyrinthe borde le chemin de l'entrée. De grands serpents taillés dans une autre arbre avec des oses rouges dans les yeux ondulent le long de la haie. Dans la grande fontaine, la statue de kelpi plonge dans l'eau qui a l'air d'être bien plus profonde qu'elle ne le laisse paraître. Deux tortues avec une carapace ornée de petits cristaux rouges, bleus et verts pataugeaient dans le bassin. En s'approchant de plus prêt, on peut constater que ce sont des statues de pierre animées magiquement.
Je m’engouffre dans le labyrinthe. Sur le "mur" de haie, il y a des fleurs bleues. J'avance lentement avant de m'adresser à elle avec froideur.

Monty est mon parrain. Je ne serais pas à la rue pour ton plus grand déplaisir. Les haies bougent toutes les demies-heures alors suis moi si tu ne veux pas te perdre.

Je m'avance, une fois à gauche, une fois à droite, deux fois tout droit et deux fois à gauche jusqu'à arriver à un cul~de~sac devant lequel la terre est chaude, comme si un feu brûlait en dessous. Des œufs d'une couleur verdâtre remuent sur le sol et deux mokes d'un peu plus d'une vingtaine de centimètres sont blottis autour d'eux.

6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.

03 juil. 2019, 06:50
 Laboratoir Monty, Amérique  Sssssss !
*Suis-moi si tu ne veux pas te perdre* Singea Carry derrière Rufus qui s’enfonçait dans le labyrinthe. Comme l’avait dit le sorcier de troisième année, l’endroit où ils allaient était un labyrinthe qui bougeait toutes les demi-heures. *Pourquoi son maudit parrain avait-il ce genre d’endroit chez lui ? * La deuxième année ne put s’empêcher de soupirer d’exaspération quand elle se mit en marche juste derrière Rufus. Si la maison appartenait à quelqu’un qu’elle connaissait et appréciait, elle serait surement restée dans le salon à attendre ses parents, mais en ce moment précis cette maison appartenait à quelqu’un qu’elle n’appréciait guère et qui fallait absolument garder un œil sur.

-Pourquoi ton Parrain possède un labyrinthe ? Questionna Carry qui se tenait très proche de Rufus. Il y’a des bêtes dangereuses dedans ? et surtout pourquoi tu veux aller dedans ?

Tant de questions sans réponse et plus les deux Serpentard s’enfonçaient à l’intérieur du gigantesque labyrinthe et plus la petite Harrison en avait. Elle n’aimait pas ça du tout, être entrainer dans un endroit dont elle ne connaissait rien et qui avait pour seul guide l’une des personnes qu’elle appréciait le moins au monde. Ils prirent à gauche, ensuite à droite pour continuer tout droit, ils tournèrent de nouveaux à gauche pour tourner sans fin a gauche. Ces chemins étaient un vrai casse-tête et pourtant, Rufus avait l’air de savoir ou il allait. *Mais ou veut-il aller ?!*. Paniquer rien qu’a l’idée d’être perdue, Carry jeta un œil derrière elle et aperçu une petite bête remplit de sortes de pique sur le dos. Sans aucune méchanceté, Carry tira le bras de Rufus pour l’interpeller. Pas question qu’il parte sans elle.

-Rufus regarde ! Un noueux ! S'ecria Carry en s’approchant de lui doucement tout en s’accroupissant pour se mettre doucement à sa taille. Salut toi ! Qu’est ce que tu fais ici tout seul dans ce sinistre endroit ?

La petite bête se tenait à quatre pattes et avait le museau en l’air comme pour essayer de reconnaitre quelque chose ou quelqu’un a son odeur. Carry savait que le noueux se méfierait d’elle puis qu’elle ne l’eût jamais rencontré auparavant. Sans mouvement brusque, la jeune fille leva les mains en l’air et s’approcha tout doucement de la créature a pique. * Oooh, il est tout mignon*.  Pensa-t-elle en s’approchant d’avantage. Une fois à porter, Carry fouilla dans sa poche et sortie de celle-ci les quelques patacitrouille qu’elle avait piquée à Rufus un peu plus tôt.

-Tu dois mourir de faim à rester tout seul comme ça ! Tiens regarde, prend, c’est bon, ça s’appelle des patacitrouille !  Et si tu en veux plus, tu peux aller demander au garçon au cheveux ébouriffés, il est un peu bête mais pas bien méchant. Plaisanta-t-elle.

Mais dès que le bonbon s’approcha du noueux, il l’arracha des mains de la petite fille et le lui jeta au visage. L’expression de la minuscule petite bête venait de changer, elle était passée de curieuse a hostile. Ne comprenant d’où venait la violence de la bête et en voyant l’expression féroce de ses petits yeux, Carry tomba tenta de se relever mais retomba sur ses fesses et poussa sur ses jambes pour se diriger vers Rufus.

-RUFUS ! Pourquoi elle m’a attaqué ?! Je ne lui ai rien fait ! Je voulais juste lui donner à manger ! Dit à ta bestiole de me laisser tranquille ! Je voulais juste être gentille avec lui moi ! Finit-elle en reniflant péniblement et en retenant ses larmes. Je veux sortir d’ici !

Renvoyée de Poudlard
5ème Année RP (2047-2048)

Chasseuse de né-moldus professionnelle
Fiche Eleve