RP simple (mais les réponses peuvent être + ou ++ en fonction des idées)
En cours.
Avec @Celestia Moon et @Celia-Awena Fournier



Lassée et ennuyée par ce magnifique temps qui planait depuis quelques jours dans le quartier de Brooklyn, la jeune Bagholmes essayait de se convaincre que ceci n'était qu'une phase éphémère, voir même une simple illusion. Son goût pour le beau temps l'avait quitté dès sa sortie de Poudlard, comme si elle préférait que le temps soit en accord avec ses états d'esprit. Ses amis lui manquaient, alors pourquoi devait-elle être heureuse loin d'eux, alors qu'elle ne savait pas comment ces derniers allaient, car aucunes lettres n'eurent été échangées depuis leur séparation ? Une sensation horrible, l'impression d'avoir été abandonnée, la mettant ainsi dans ses propres retranchements, voir même, la laissant côtoyer une nouvelle fois ses anciens démons. Une situation hors de contrôle.
Pourtant, cela l'ennuyait guère moins que les remarques constantes de sa famille sur la manière dont se déroulaient ses différents trimestres. Elle avait réussit à avoir une moyenne Optimal, malgré quelques Efforts Exceptionnels, surtout ceux dans le cours d'Histoire de la Magie, ce pour quoi elle avait reçu quelques remontrances de la part de sa famille, cela déshonorait en partie la mémoire de son défunt grand-père, historien et chercheur, mais, devait-elle les écouter ? Aucunement.

Laissant donc planer les remarques sur sa réussite scolaire, la jeune élève de Gryffondor arpenta un bon nombre de rues avant de voir ce Stade qu'elle appréciait tant : le Stade de Gangpots de Brooklyn, le stade de la meilleure équipe des états-unis, selon elle. Elle n'avait donc qu'une seule hâte, y entrer et les voir jouer, car en réalité, c'était ce sport qui lui avait manqué, et voir le petit frère du sport de nation, ne lui donnait qu'une seule envie : enfreindre les règles et monter sur un balai et y jouer, bien qu'elle savait parfaitement que sa peur de la hauteur ne ferait qu'une chose, la ramener tout droit au sol.

Un grand oncle de maman est décédé début Avril, et il a légué une maison à maman. Enfin, une maison dans un ranch, ranch à partager entre elle et ses frères et soeurs. C'est la raison première de notre voyage au pays de l'oiseau tonnerre. La seconde, c'est papa qui nous l'a fournie grâce à son entreprise. Il est venu négocier un contrat giga important, et il est excité comme une puce. Ils devaient tous les deux s'absenter durant les vacances de pâques et il était hors de question que nous ne profizions pas de ce voyage ensemble. Nous voici donc partis aux états-unis à la façon moldue.
Le lendemain de notre arrivée, ce qui fait donc aujourd'hui, nous avons décidé de visiter la ville, et le bruit des supporteurs devant un match nous a attirés lorsque nous passions devant un stade. Nous sommes donc entrés. Je lève les yeux pour tenter d'apercevoir un vif ou un viffet, et qui est visé pas le dur cognard. Mais je ne peux voir aucune de ces balles ! Juste un seul Souafle. Souafle que se passent les joueurs un peu comme on se passerait une patate chaude.
Soudain, à mon immense surprise, le souafle explose dans les mains d'un joueur que je trouve assez beau. Ce joueur sort du terrain, la mine déconfite. Je me tourne et ne retourne, essayant de voir qui a fait exploser la balle de cuir, mais je ne peux rien voir. Rien d'étonnant, il y a une foule.
Voyant que je ne comprends rien, papa pose sa main sur mon épaule et me mururune tout en gardant un oeil sur le terrain :
«Les américains ne joeuent pas qu'au quid. Apparament, le fait que le balle explose est normal, et que ce jeune homme soit sorti aussi. Après, je n'en sais pas plus. »
Puis, se redressant, île demande à maman si elle connaît le jeu, et elle répond par la négative. Elle dit que c'est tout ce qu'elle en sait. Et qu'en tant que Serdaigles, avec papa, nous devrions connaître ce sport qui est assez populaire ici, ce à qui papa répond en retiranant une épingle de son chignon qui ne se défaut pas pour autant.
«'Sont fous, ces américains »
Je me mets en quête d'une personne qui voudrait bien nous expliquer les règles. Idéalement un ou une anglaise de mon âge. D'ailleurs, je crois reconnaître une fille de Gryffondor , je crois, un peu plus loin. J'avertis papa et maman que j'ai reconnu une fille de mon école et m'avance vers elle, en espérant qu'elle puisse m'aider.
Etant plus près d'elle je peux voir ses yeux pers. Oui, elle est bien une Gryfgond de mon année, car je l'ai assez souvent vue en cours, parée du rouge de sa maison. Mais impossible de mettre un nom sur son visage.
«Bonjour. Désolée de te déranger, mais je crois t'avoir déjà vue à Poudlard. Tu es une gryfonne de première année, n'est-ce pas ? Je suis une Serdaigle, aussi en première année, je suis Celia-Awena Fournier. Je ne connais pas ce jeu, tu pourrais tu m'expliquer le principe ? »
Je me suis adressée à elle d'une voix calme et posée, puis je lui ai fait un petit sourire

C'était les vacances d'avril et Celestia était rentré chez elle à Oxford. Cependant, elle n'y resterait pas longtemps. Dans deux heures, elle serait dans un avion, au dessus de l'Atlantique, en direction des Etats-Unis, plus précisément New York, aussi appelé "Big Apple". Ils n'y étaient jamais allés encore, préférant l'Europe, continent plus proche que l'Amérique. Ils avaient réservés des billets pour changer un peu et visiter cette ville qui avait l'air magnifique. Sa valise était prête, à côté de son lit, la jeune Pouffy était en train de lire, quand elle dû arrêter pour partir.

Celestia se baladait maintenant dans la ville de New York avec ses parents et son grand frère. Ils étaient en ce moment dans le quartier de Brooklyn, marchaient dans les rues sans vraiment savoir où aller, juste marcher et admirer. Soudain, ils arrivèrent devant un stade d'où sortait des bruits. Ils y entrèrent, cependant la jeune fille ne vit rien à cause de la foule. Elle décida d'avancer le plus proche possible du terrain.

"Je vais voir devant !"dit-elle à ses parents.

Arrivé au bord du terrain, elle observa. Elle n'était pas très sportive mais était curieuse. Des joueurs volant sur des balais se passait une balle ressemblant à un souafle, cette balle du quidditch. Même avec ses si petites connaissances sur ce sport sorciers, elle se demandait bien où était passer les autres balles, les cognards et le vif d'or. Elle se gratta la tête quand elle vit cette unique balle exploser dans les mains d'un joueur, qui partit immédiatement. Celestia regarda autour d'elle dans la foule et vit deux jeunes sorcières seules qu'elle avait déjà vu à Poudlard. Elle décida de s'approcher d'elles, elles en sauraient peut-être plus. Elle se racla la gorge et commença à parler.

"Hmm, bonjour. Vous êtes à Poudlard aussi, n'est-ce pas ? Je suis Celestia Moon, à Poufsouffle, en première année. Je me demandais juste quel était ce sport. Vous en savez plus que moi ?"

Elle regardait les deux jeunes filles, intriguée, en attente d'une réponse.

Émerveillée par ce qu’elle pouvait voir, Taylor gravait cette vision dans son esprit ; l’élimination de Drake Baldwin, capitaine des Rapquod de Manhattan, tandis, qu’il détenait le Quod dans les mains au moment de son explosion. Elle ne pouvait dire combien elle aimait ce sport où tout ne se passait jamais comme prévu, où la stratégie est plus que reine qu’il fallait être sûr de ses coups, quitte à se sacrifier. Oui, c’étaient les dures règles du Quodpot et il s’agissait là en quelque sorte du meilleur moyen d’adorer ce divertissement.

Pourtant, pour Taylor, le temps de contemplation face au spectacle se rompus brutalement. Quelqu’un l’interpellait, non, deux personnes l’appelaient. Deux individus dont les voix ne lui paraissaient pas anonymes, comme si elle les connaissait, mais d’où ? Où les avaient-elles entendues la dernière fois ? Elle cherchait donc à comprendre, à explorer les réponses à ses questions avant de les imaginer entrer dans son champ de vision. Elle savait.

— Bonjour. Désolée de te déranger, mais je crois t’avoir déjà vue à Poudlard. Tu es une griffonne de premières années, n’est-ce pas ? Je suis une Serdaigle, aussi en première année, je suis Celia-Awena Fournier. Je ne connais pas ce jeu, pourrais-tu m’en expliquer le principe ?
— Hmm, bonjour. Vous êtes à Poudlard aussi, n’est-ce pas ? Je suis Celestia Moon, à Poufsouffle, en première année. Je me demandais juste quel était ce sport. Vous en savez plus que moi ?

Poudlard ! Je vois maintenant… Elles sont respectivement de Serdaigle et de Poufsouffle, difficile de les reconnaître sans leurs uniformes.

Hochement de tête, elle leur faisait découvrir qu’elle les avait en quelque sorte identifiées, mais que faisaient-elles ici ? La question enivrait le cœur de l’adolescente, bien qu’elle dut faire avec. Les interrogations s’enchaînaient sans qu’elle ne puisse dire la moindre règle, pourtant, elle pouvait comprendre ; le Quodpot n’était pas aussi connu, voire totalement inconnu en Angleterre, et ce, même s’il avait bien plus d’avantages que le Quidditch. Ses yeux pers se posèrent sur ceux de ses compagnons de travail, désignant l’attente de leur propriétaire pour ainsi parler.

— Oui, je suis de Poudlard aussi, maison Gryffondor. Mon nom Taylor Bagholmes, et, je suis contente de vous rencontrer, après tout, ce n’est pas tous les jours que l’on rencontre des camarades d’école en vacances loin du pays. Alors, pour ce que vous voyez ici comme sport porte le nom de Quodpod. Il s’agit du sport national des États-Unis ; et le but c’est de mettre le plus de Quod, le ballon ressemblant à un souafle dans le gros chaudron que vous voyez sur le terrain avant que ce dernier n’explose ; éliminant un joueur de manière définitive pour le restant de la partie. Pour ce qui est de la victoire, l’équipe qui a marqué le plus de Quod gagne ; et ce, même si tous ses équipiers sont sortis du terrain, car la partie se termine justement quand l’une des équipes est totalement décimée. Et cela crée tellement de possibilités de stratégie.

Sa passion pour ce sport se voyait dans ses mots, et elle en était fière. Elle avait pu en parler sans se faire juger pour sa préférence sportive, car oui, le sport de Sang est plus fort que le sport de naissance. Et rien ne pourrait la faire changer d’avis, pas même la coupe des quatre maisons.

La jeune fille hoche la tête. Je savais que je l'avais déjà vue !
Et toc dans vos dents, papa et Granny. Je sais reconnaître les visages comme maman ! J'affiche un grand sourire heureux. Un point de plus de ressemblance avec maman !
Je salue la Poufsouffle d'un «Bonjour Celestia» sans me départir de mon sourire, puis j'avoue à mes camarades que je n'attendais pas vraiment à croiser des camarades ici, mais je suis contente de les voir ici.
Taylor entreprend de nous expliquer les règles du jeu. Je me retourne vers le terrain en relevant un peu mon chapeau blanc à bords larges et aperçois son fameux chaudron. Puis, je ne retourne vers elle, deux questions au lèvres.
«Comment font-ils pour compter les quodes (c'est comme ca que l'on dit ?) si ils explosent ? Et aussi, que se passe-il si un joueur laisse tomber le quode, quode qui explose sans être dans ses mains ?»
Je me retourne vers le terrain, observant le ballet aérien de ces joueurs. Je me demande quelle est leur équipe et à quel point ce match est important pour eux. Les sacrera-il champions de cet état ? Ou des Usa entiers ?
N'empêche, ce jeu est dangereux. Plus que le quid. Meme si au quid, on peut finir chez un Médicomage à cause d'un cognard, on ne risque pas de perdre sa tête ou un doigt. Alors qu'ici, ce Souafle américain étrange explose.
«C'est tout de meme très dangereux. » je soufle.
Je me souviens brusquement que Taylor a semblé extrêmement fière en parlant de ce sport. Peut être est-elle américaine ? Enfin, de moitié, elle est à Poudlard. Je me tourne vers elle et lui demande
«Dis, Taylor. Si ce n'est pas indiscret, est tu originaire de ce pays ? Tu m'a semblé très fière de parler de ce sport. Un peu comme je le serais en parlant de Poudlard, de l'histoire anglaise ou du domaine de mes parents.

La certaine Taylor Bagholmes leur présenta les règles de ce sport qui était inconnu à Celestia et à l'autre élève. Pendant ces explications, la jeune blairelle alternait son regard entre la Gryffondor et le terrain. Quand elle eut fini, la Serdaigle lui posa quelques questions, qu'elle trouva aussi intéressantes. Elle écouta la réponse, en penchant la tête sur le côté, signe qu'elle écoutait avec attention, et qu'elle était intriguée. Soudain, Celia-Awena dit d'une voix faible, que c'était tout de même dangereux. Celestia ne pu s'empêcher de répondre, même si elle n'attendait pas forcément de réponse.

"Hum... peut-être... mais j'espère que c'est sécurisé. Enfin, le Quidditch est quand même dangereux, avec les cognards. Moi qui ne suis pas très sportive, j'aime encore moins les sports dangereux. Enfin bon, certains aiment ça, notamment toi, Taylor, qui connait le jeu, donc je me dis que tu l'aime bien, et je ne veux pas m'embrouiller pour des choses aussi futiles. Soyons plutôt amies, toutes les trois."

D'ailleurs, Celia-Awena, parla de la fierté qu'avait la jeune lionne à parler de ce sport. Celestia était d'accord avec elle et acquiesça silencieusement de la tête.

"Oui, tu m'as l'air bien fière. C'est pour ça que je précise que je respecte les goûts de chacun. Je donne juste mon opinion. Je ne suis pas venue ici en vacances pour me créer des ennemies."

Elle ponctua ses paroles par un petit sourire en coin, espérant qu'elle ne soit pas énervé par ce qu'elle avait dit.

Écoutant les discours de ses deux différentes camarades, la jeune Bagholmes hochait discrètement la tête. Si elle était fière de parler de ce sport ? Certainement ! Si elle était originaire des États-Unis ? Bien entendu, bien que les circonstances fissent qu'elle était bien plus anglaise qu'américaine, même si, tout ce qu'elle ressentait pour son pays d'origine était d'une satisfaction plus que naturelle à ses yeux.

Toutefois, elle préférait encore les écouter, sans comprendre ; après tout, qu'est-ce qui les empêchaient de profiter d'un moment loin de Poudlard et de sa compétition des quatre maisons pour tenter de se connaître au mieux ? Pour cette question, Taylor sut parfaitement ce qu'elle devait tenter de faire, comme une unique chance.
Son regard alterna entre le terrain et les deux filles à ces côtés, elle devait approuver certains de leur dire, mais tous n'étaient qu'une facette restreinte de leur peur, la peur de l'inconnu et du danger qui pouvait être une de ses conséquences.

― Permettez-moi de vous rassurer dans vos dires, les filles. Effectivement, ce sport semble, en toute logique, un sport très dangereux comme le Quidditch. Et pour cela, je ne peux pas vous donner tort, cependant, le Quodpot est sécurisé, on ne va pas laisser des joueurs mourir au sein d'une explosion de cette ampleur. Il y a un sortilège qui empêche la matière métallique du Quod de blesser quelqu'un ; il y a ainsi juste la traînée de poudre atteint le joueur et l'élimine, ce qui contrairement aux cognards du Quidditch n'amène pas à la blessure, vous comprenez ? Et puis si je semble aussi fière de parler de ce sport, c'est parce qu'il fait parti de mes origines. Mes huit arrière-grands-parents sont natifs d'ici, avant d'avoir pris leurs affaires pour l'Angleterre afin qu'y naissent mes grands-parents, mes parents, et moi-même... On peut dire que je reste Américaine dans une vie Anglaise.

Un rire léger, plein d'amusement sortit de sa bouche. Elle prenait plaisir à parler, c'était changeant, différent de ses discussions avec ses amis, mais il y avait là, une saveur qu'elle ne pouvait maîtriser ; comme de l'amusement ; elle s'était construit une amitié sur une discussion qu'elle n'aurait pu croire possible dès l'instant où elle les avait vues à Poudlard. En attendant, elle préféra reposer un regard sympathique, remplit de gentillesse, loin du regard qu'elle affichait naturellement, elle y mettait un masque, car oui, peut-être que de nouvelles amitiés se posaient devant, étaient-elles pour autant dans la confiance ? Nullement.

― En attendant, j'accepte ta proposition de camaraderie, Celestia. Et toi, Celia-Awena, l'acceptes-tu également ?

C'est avec une très grande attention que j'écoute Taylor répondre à mes questions, tout en hochant la tête de temps de temps pour montrer que je comprends. Une fois qu'elle a finu de nous edpliquer les règles du jeu, je me tourner vers le terrain.
«C'est vrai que le quidditch est très dangereux à cause du cognard. Mais ce n'est pas le sport le plus dangereux. Par exemple, les moldus ont un sport de voiture, ils font des courses avec des woitures prévues pour. C'est plus dangereux que le quidditch, je trouve. Mais bon, n'est-ce pas le danger du jeu qui en fait l'attrait ? Les frissons que ressentent les spectateurs sont autant pour les joueurs que pour la partie elle même. »
Je détache mon regard des joueurs pour regarder des deux camardes, un sourire d'excuse sur les lèvres. «Désolée de commencer un débat philosophique, ça doit être ma nature de Serdaigle qui ressort.
Puisque tu as des origines américaines,
Taylor, passes-tu tes toutes tes vacances ici ?»
Après avoir eu ma réponse, je me tourne vers Celestia, une expression amusée sur le visage tout en enfonçant un peu mon chapeau à larges bords blanc sur mon crâne.
«Tu es en train de mettre l'accent sur ton envie de ne pas te disputer,
aurais-tu croisé des personnes aussi soupes-au-lait que cela ? »
Je marque une petite pause pendant lauquelle je chasse une brindille venue se poser sur ma jupe midi plissée rose saumon avant de reprendre avec un grand sourire vers mes deux nouvelles amies
«J'accepte. Même si cette demande d'amitié est si formelle qu'elle ressemble à une demande de mariage»
Je redonne mon attention au match, regardant lea joueurs évoluer, et un autre joueur sortir tout en restant aussi droite que d'habitude. Sans tourner complètement ma tête vers Taylors, je lui demande :
«Quelles sont les equipes qui jouent ? Quel genre de tournoi est-ce ? Et pour qui es-tu ?


Désolée du retard

Taylor répondit à toutes les questions de Celestia et de Celia-Awena, et cette dernière commença un débat philosophique, comme elle le dit après, sur le danger des autres sports. La blondinette acquiesça et lui répondit quand même.

"-Oui, c'est pas faux, je n'y avais pas pensé, à ces autres sports. Et ne t'inquiète pas, ça m'arrive de faire des débats philosophiques aussi parfois, même si c'est souvent sur des trucs idiots."

Elle rit. Puis, la Serdaigle lui demanda si elle avait rencontré des personnes soupes-au-lait. Celestia réfléchit un instant.

"-Eh bien... peut-être pas non, mais on sait jamais. Je ne dis pas que vous aviez l'air d'être soupe-au-lait, mais on m'a souvent dit que les apparences sont trompeuses. Et puis, j'aime préciser les choses, qu'elles soient claires, pour qu'il n'y ait pas de sous-entendus. Voilà tout."

La lionne et l'aigle acceptèrent ensuite sa demande d'amitié, avec une autre remarque de la part de l'oiseau, comme quoi cela ressemblait à une demande de mariage. Puis celle-ci posa d'autres questions sur ce sport. Celestia, qui en avait un peu marre de parler sport, déconnecta son cerveau un instant. Elle pensa soudain à ses parents, et regarda dans leur direction. Ils n'étaient plus là, mais la blondinette ne s'inquiéta pas. Elle avait l'habitude, et savait qu'ils ne devaient pas être loin. D'ailleurs, elle les vit un peu plus loin, caché par la foule. Voyant qu'ils n'avaient pas l'air de trop s'inquiéter, elle retourna la tête vers les deux autres filles et essaya de reprendre le fil de la conversation.