écailles, ailes et croc venimeux.
Rufus regarda Irisia supplier avec sa voix enfantine son père pour la boutique. Il se sentit un peu coupable d'avancer son père indirectement mais il n'y pouvait rien. Si celui si savait ce qu'ils avaient fait, Rufus était persuadé qu'il en tomberait raide. Déjà que, indirectement encore une fois, Rufus avait fait tomber Irisia dans l'eau boueuse du lac noir, puis qu'ils avaient ensemble somnolé l'un sur l'autre sous l'ambiance romantique des étoiles... Il y avait de quoi rire sur les fondations de leur amitiés.
Rufus eut un petit rire quand Irisia demanda pour goûter le verre de son père. Il parcourut la carte des boissons et tiqua sur quelque chose de drôle. Un soda de branchiflore ! Il fallait qu'il goûte à ça !
Je vais prendre un soda de branchiflore.
Monty commanda un whisky pur-feu et instantanément des verres apparurent dans un "pouf". Il remplissèrent à vitesse rapide. Deux grandes pailles -l'une rouge et blanche, l'autre bleue et blanche- sortirent des verres des "enfants" comme des serpent et s'etirèrent sur une dizaine de centimètre.
Rufus tiqua quand elle lui demanda la raison de ce choix de pays. Il ne savait quoi répondre: mensonge ou vérité ? Après tout c'était une amie. Il but une petite gorgée de son soda puis dit avec désinvolture:
Avec le conseil des sorciers et tout ce que ça implique... j'avais envie de changer d'air.
Il se força à sourire mais celui-ci était tout de même moins rayonnant, un peu plus diminué. Les shots de tequila (ou de Russkaya vodka) qu'il se prenait pendant les soirées auxquelles il était invité par le biais de ses amis moldus ne dominaient en rien les atrocités qu'il pouvait lire dans la presse de la résistance, l'édition de libre-parole. Du coup, et comme les cuites n'étaient en rien une chose agréable, il avait la main plus légère sur la bouteille sur le moment.
Pour répondre à Mr.MacLynn, Monty eut un ton on ne peut plus cordial, comme si Rufus n'avait pas parlé de ce gouvernement totalitaire.
Un peu des deux. Je suis Magizoologiste voyez-vous et j'ai un spécimen à relâcher dans les forêts des États-Unis. Et comme je voulais qu'il s'amuse un peu, nous avons fait un détour par le Pérou. Et vous ?
Les conversations étaient distinctes. C'était tout juste si Rufus les écoutait.
J'ai envie de m'acheter un dragon jouet miniature. Et puis, si tu commence si tôt ta carrière d'éleveuse de dragon, dans trois ans tu viens à l'école à dos de Pansdefer ukrainien !
6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.
Rufus eut un petit rire quand Irisia demanda pour goûter le verre de son père. Il parcourut la carte des boissons et tiqua sur quelque chose de drôle. Un soda de branchiflore ! Il fallait qu'il goûte à ça !
Je vais prendre un soda de branchiflore.
Monty commanda un whisky pur-feu et instantanément des verres apparurent dans un "pouf". Il remplissèrent à vitesse rapide. Deux grandes pailles -l'une rouge et blanche, l'autre bleue et blanche- sortirent des verres des "enfants" comme des serpent et s'etirèrent sur une dizaine de centimètre.
Rufus tiqua quand elle lui demanda la raison de ce choix de pays. Il ne savait quoi répondre: mensonge ou vérité ? Après tout c'était une amie. Il but une petite gorgée de son soda puis dit avec désinvolture:
Avec le conseil des sorciers et tout ce que ça implique... j'avais envie de changer d'air.
Il se força à sourire mais celui-ci était tout de même moins rayonnant, un peu plus diminué. Les shots de tequila (ou de Russkaya vodka) qu'il se prenait pendant les soirées auxquelles il était invité par le biais de ses amis moldus ne dominaient en rien les atrocités qu'il pouvait lire dans la presse de la résistance, l'édition de libre-parole. Du coup, et comme les cuites n'étaient en rien une chose agréable, il avait la main plus légère sur la bouteille sur le moment.
Pour répondre à Mr.MacLynn, Monty eut un ton on ne peut plus cordial, comme si Rufus n'avait pas parlé de ce gouvernement totalitaire.
Un peu des deux. Je suis Magizoologiste voyez-vous et j'ai un spécimen à relâcher dans les forêts des États-Unis. Et comme je voulais qu'il s'amuse un peu, nous avons fait un détour par le Pérou. Et vous ?
Les conversations étaient distinctes. C'était tout juste si Rufus les écoutait.
J'ai envie de m'acheter un dragon jouet miniature. Et puis, si tu commence si tôt ta carrière d'éleveuse de dragon, dans trois ans tu viens à l'école à dos de Pansdefer ukrainien !
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écailles, ailes et croc venimeux.
C’était de l’alcool, c’était clair que son père allait refuser. Mais qui ne tente rien n’a rien comme on dit ! Haussant les épaules en laissant tomber l’idée de boire dans le verre de son paternel, elle commanda sa propre boisson avant de hausser un sourcil de surprise suite à la commande de Rufus.
« Du soda de branchiflore ? Je pourrai goûter dans ton verre s’il te plaît ? »
Le regard pétillant de curiosité, Irisia fixait Rufus avant de se tourner vers son propre verre qui apparut dans un « pop » magique. En tout cas c’était coloré et ça sentait le sucre… Plissant le nez, elle prit une gorgée pour goûter avant d’avoir un sourire jusqu’aux oreilles : c’était léger, sucré, très frais et super bon en fait ! Levant les yeux vers son comparse, la rousse hocha la tête, comprenant très bien : l’ambiance n’était pas au beau fixe en Angleterre. Et son sourire voulait tout dire sur son moral…
Alors qu’il voyait sa fille devenir pensive quand le jeune garçon parla du « conseil des sorciers », Micha se tourna vers Monsieur Montgomery qui lui répondit, buvant une petite gorgée de son apéritif. Cet alcool péruviens était plutôt agréable… Un peu fort mais agréable en bouche quand même.
« Une très bonne raison. Je ne suis pas très animaux et créatures mais voici une très bonne raison. Pour ma part j’ai profité d’avoir un voyage d’affaire ici pour offrir un cadeau à ma fille. Ses excellentes notes méritaient récompenses et puisqu’elle apprécie grandement les dragons, la réserve naturelle de ce pays devrait la combler. »
Micha souriait tendrement en fixant son enfant, fière de sa petite fille. Une petite fille qui buvait les paroles de Rufus, des étoiles pleins les yeux.
« Un dragon jouet ? Remarque j’ai déjà le dragon peluche mais le dragon jouet agit comme un vrai dragon... »
Pensive, Irisia réfléchissait à comment faire en sorte de convaincre son père et Rufus avait raison : cela pourrait être intéressant pour s’entraîner, pour quand elle serait une grande magizoologiste spécialisée dans les dragons.
« J’suis pas sûr que Miss Loewy soit d’accord que je vienne à l’école à dos de dragon mais j’adore cette idée. J’ai hâte d’être plus grande pour pouvoir les étudier ! »
La rousse se mit à rire joyeusement, petite tornade pétillante qui buvait quelques gorgées de sa boisson au pitaya.
« Quand on sera là-bas, qu’est-ce qu’on aura le droit de faire ? Tu crois qu’on pourra aller voir les soigneurs ? Et les dresseurs ? J’aimerais tellement aller dans les couveuses aussi… »
Sa fille était si impatiente et heureuse… Micha gageait que ce ne serait pas sa seule visite de la semaine connaissant la volonté et la passion d’Irisia.
« J’espère que vous êtes patient et que vous n’avez rien prévu cet après-midi Monsieur Montgomery : j’ai l’impression que mon Irisia ait décidé de connaître la réserve jusqu’au moindre centimètre carré. »
Micha se mit à rire doucement, buvant tranquillement son apéritif avant de lever les yeux vers son comparse.
« Vous êtes ici encore longtemps ? Ou peut-être envisagez-vous un autre pays pour la suite des vacances d’été ? »
Curieux et serein, Monsieur MacLynn continua de discuter avec le parrain de ce Rufus tandis que ce dernier était observé par une Irisia pétillante et survoltée.
« Du soda de branchiflore ? Je pourrai goûter dans ton verre s’il te plaît ? »
Le regard pétillant de curiosité, Irisia fixait Rufus avant de se tourner vers son propre verre qui apparut dans un « pop » magique. En tout cas c’était coloré et ça sentait le sucre… Plissant le nez, elle prit une gorgée pour goûter avant d’avoir un sourire jusqu’aux oreilles : c’était léger, sucré, très frais et super bon en fait ! Levant les yeux vers son comparse, la rousse hocha la tête, comprenant très bien : l’ambiance n’était pas au beau fixe en Angleterre. Et son sourire voulait tout dire sur son moral…
Alors qu’il voyait sa fille devenir pensive quand le jeune garçon parla du « conseil des sorciers », Micha se tourna vers Monsieur Montgomery qui lui répondit, buvant une petite gorgée de son apéritif. Cet alcool péruviens était plutôt agréable… Un peu fort mais agréable en bouche quand même.
« Une très bonne raison. Je ne suis pas très animaux et créatures mais voici une très bonne raison. Pour ma part j’ai profité d’avoir un voyage d’affaire ici pour offrir un cadeau à ma fille. Ses excellentes notes méritaient récompenses et puisqu’elle apprécie grandement les dragons, la réserve naturelle de ce pays devrait la combler. »
Micha souriait tendrement en fixant son enfant, fière de sa petite fille. Une petite fille qui buvait les paroles de Rufus, des étoiles pleins les yeux.
« Un dragon jouet ? Remarque j’ai déjà le dragon peluche mais le dragon jouet agit comme un vrai dragon... »
Pensive, Irisia réfléchissait à comment faire en sorte de convaincre son père et Rufus avait raison : cela pourrait être intéressant pour s’entraîner, pour quand elle serait une grande magizoologiste spécialisée dans les dragons.
« J’suis pas sûr que Miss Loewy soit d’accord que je vienne à l’école à dos de dragon mais j’adore cette idée. J’ai hâte d’être plus grande pour pouvoir les étudier ! »
La rousse se mit à rire joyeusement, petite tornade pétillante qui buvait quelques gorgées de sa boisson au pitaya.
« Quand on sera là-bas, qu’est-ce qu’on aura le droit de faire ? Tu crois qu’on pourra aller voir les soigneurs ? Et les dresseurs ? J’aimerais tellement aller dans les couveuses aussi… »
Sa fille était si impatiente et heureuse… Micha gageait que ce ne serait pas sa seule visite de la semaine connaissant la volonté et la passion d’Irisia.
« J’espère que vous êtes patient et que vous n’avez rien prévu cet après-midi Monsieur Montgomery : j’ai l’impression que mon Irisia ait décidé de connaître la réserve jusqu’au moindre centimètre carré. »
Micha se mit à rire doucement, buvant tranquillement son apéritif avant de lever les yeux vers son comparse.
« Vous êtes ici encore longtemps ? Ou peut-être envisagez-vous un autre pays pour la suite des vacances d’été ? »
Curieux et serein, Monsieur MacLynn continua de discuter avec le parrain de ce Rufus tandis que ce dernier était observé par une Irisia pétillante et survoltée.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
écailles, ailes et croc venimeux.
Rufus but une gorgée du soda qui était dans son verre. Il sentait les bulles éclater dans sa gorge et chatouiller la peau de son cou, là où si il avait mangé la plante crue des branchies lui aurait poussés. C'était assez spécial, un peu comme un thé vert très sucré avec des bulles. Il sortit sa paille de sa bouche et poussa son verre dans la direction d'Irisia.
Je peux goûter le tiens alors ?
Rufus se concentra pour laisser le conseil sur le côté. Il allait visiter une réserve naturelle de dragon en compagnie d'une amie, il y avait de quoi sourire !
J'ai regardé une image du catalogue de la boutique. Il pourrait cracher des étincelles et serait en peau véritable. J'ai déjà un sombral en jouet comme ça, un dragon ce serait super aussi !
Rufus avaut déjà en tête l'image d'Irisia, sa chevelure flamboyante au vent, arrivant à l'école sur le dos d'un azuré du Népal, cette petite tornade de feu.
Rufus sortit de sa poche le dépliant publicitaire de la réserve, un morrceu de papier vert et noir chiffoné ayant pour page de garde une image de dragon crachant des torent de flammes.
Ils montrent aussi des vols de dragons et des attaques, j'ai hâte de voir ça !
Monty lâcha un petit rire.
Je crois que le miens ne repartira pas avant d'avoir récupéré un œuf.
Il eut un rire, les rires discrets qu'ont les grandes personnes, moins spontanés qu'un rire d'enfant.
Nous partirons samedi en balais, rien de mieux pour profiter de l'air frais, on ira jusqu'en Virginie où je compte relâcher mon animal - Et je ne parle pas de Rufus ricana t-il Et vous, quel merveilleux métier fait voyager dans ce genre de pays ?
6ème année RP
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Je peux goûter le tiens alors ?
Rufus se concentra pour laisser le conseil sur le côté. Il allait visiter une réserve naturelle de dragon en compagnie d'une amie, il y avait de quoi sourire !
J'ai regardé une image du catalogue de la boutique. Il pourrait cracher des étincelles et serait en peau véritable. J'ai déjà un sombral en jouet comme ça, un dragon ce serait super aussi !
Rufus avaut déjà en tête l'image d'Irisia, sa chevelure flamboyante au vent, arrivant à l'école sur le dos d'un azuré du Népal, cette petite tornade de feu.
Rufus sortit de sa poche le dépliant publicitaire de la réserve, un morrceu de papier vert et noir chiffoné ayant pour page de garde une image de dragon crachant des torent de flammes.
On pouvait assister aux éclosions, carresser les très jeunes spécimens et il y avait la présentation d'un homme dont le patronus était ce dragon ! Ce devait être très rare un patronus si spécial, mais en voir un en vrai, ça n'arrivait qu'une fois dans une vie !Vous avez toujours rêvé de voir un dragon ? Le Dent-de-vipère saura vous impressionner
Ils montrent aussi des vols de dragons et des attaques, j'ai hâte de voir ça !
Monty lâcha un petit rire.
Je crois que le miens ne repartira pas avant d'avoir récupéré un œuf.
Il eut un rire, les rires discrets qu'ont les grandes personnes, moins spontanés qu'un rire d'enfant.
Nous partirons samedi en balais, rien de mieux pour profiter de l'air frais, on ira jusqu'en Virginie où je compte relâcher mon animal - Et je ne parle pas de Rufus ricana t-il Et vous, quel merveilleux métier fait voyager dans ce genre de pays ?
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écailles, ailes et croc venimeux.
Hochant la tête en souriant, elle retira sa paille pour lui tendre son verre avant d’attraper celui de Rufus pour le goûter. C’était pétillant et sucrée, un autre genre que sa propre boisson mais très bonne quand même…
« La prochaine fois j’en prendrai aussi ! C’est super bon ! »
Elle rit doucement et récupéra son verre pour continuer à boire tranquillement, gigotant légèrement sur sa chaise alors que ses pensées pétillaient vers l’activité de l’après-midi.
« En véritable peau de dragon et crachant des flammes… Cela donne tellement envie ! J’ai hâte de regarder tout ce qui se fait dans la boutique. »
Son sourire immense lui zébrant le visage, Irisia se plaisait à imaginer le jouet voler dans sa chambre, crachant son feu féroce et faisant son nid sur le haut de son armoire. Est-ce qu’un jouet dragon serait capable de faire des œufs ? Bonne question… En tout cas, ce qui était écrit sur le document que Rufus sortit de sa poche était vraiment prometteur : des éclosions ? Un patronus dragon !
« Moi aussi ! Et dès que je rentre, je mets ça dans une Pensive pour pouvoir toujours me souvenir ! »
Il faudrait qu’elle pense à trouver des cadeaux pour ses amis et surtout Aliosus et sa famille d’ailleurs… Micha sourit en voyant l’air concentré de son enfant, hochant la tête en approuvant les paroles de l’autre adulte.
« Je pense que la mienne est dans la même optique. »
Cet après-midi ne risquait pas d’être de tout repos… Mais qu’à cela ne tienne : Micha MacLynn n’avait qu’une parole.
« La Virgine ? Intéressant. Je suis spécialisée dans l’import-export pour le Ministère de la Magie. Je suis habitué à voyager mais le Pérou c’est bien la première fois : c’est un pays vraiment très riche. Mais nous ne restons que jusqu’à dimanche puis nous rentrerons en Angleterre. »
Et Micha savait bien que d’y penser peinait Irisia. Mais ils ne pouvaient pas rester jusqu’à la fin de leur jour dans ce pays : déjà son épouse aurait du mal avec le climat, et puis la scolarité de ces trois enfants se faisaient à Poudlard… Sa fille y réfléchira beaucoup mieux quand il s’agira de faire des études supérieurs.
« Que dites-vous de commander le repas ? Je gage que l’impatience des enfants rendent le repas quelque peu épuisant : plus vite nous mangerons, plus vite ils se fatigueront à courir dans tous les sens. »
Serpentard jusqu’au bout des ongles, Micha rit doucement en fixant moqueusement son enfant en train de lire et relire et relire encore une fois le papier froissé, son imagination se trouvant déjà dans la réserve.
« La prochaine fois j’en prendrai aussi ! C’est super bon ! »
Elle rit doucement et récupéra son verre pour continuer à boire tranquillement, gigotant légèrement sur sa chaise alors que ses pensées pétillaient vers l’activité de l’après-midi.
« En véritable peau de dragon et crachant des flammes… Cela donne tellement envie ! J’ai hâte de regarder tout ce qui se fait dans la boutique. »
Son sourire immense lui zébrant le visage, Irisia se plaisait à imaginer le jouet voler dans sa chambre, crachant son feu féroce et faisant son nid sur le haut de son armoire. Est-ce qu’un jouet dragon serait capable de faire des œufs ? Bonne question… En tout cas, ce qui était écrit sur le document que Rufus sortit de sa poche était vraiment prometteur : des éclosions ? Un patronus dragon !
« Moi aussi ! Et dès que je rentre, je mets ça dans une Pensive pour pouvoir toujours me souvenir ! »
Il faudrait qu’elle pense à trouver des cadeaux pour ses amis et surtout Aliosus et sa famille d’ailleurs… Micha sourit en voyant l’air concentré de son enfant, hochant la tête en approuvant les paroles de l’autre adulte.
« Je pense que la mienne est dans la même optique. »
Cet après-midi ne risquait pas d’être de tout repos… Mais qu’à cela ne tienne : Micha MacLynn n’avait qu’une parole.
« La Virgine ? Intéressant. Je suis spécialisée dans l’import-export pour le Ministère de la Magie. Je suis habitué à voyager mais le Pérou c’est bien la première fois : c’est un pays vraiment très riche. Mais nous ne restons que jusqu’à dimanche puis nous rentrerons en Angleterre. »
Et Micha savait bien que d’y penser peinait Irisia. Mais ils ne pouvaient pas rester jusqu’à la fin de leur jour dans ce pays : déjà son épouse aurait du mal avec le climat, et puis la scolarité de ces trois enfants se faisaient à Poudlard… Sa fille y réfléchira beaucoup mieux quand il s’agira de faire des études supérieurs.
« Que dites-vous de commander le repas ? Je gage que l’impatience des enfants rendent le repas quelque peu épuisant : plus vite nous mangerons, plus vite ils se fatigueront à courir dans tous les sens. »
Serpentard jusqu’au bout des ongles, Micha rit doucement en fixant moqueusement son enfant en train de lire et relire et relire encore une fois le papier froissé, son imagination se trouvant déjà dans la réserve.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
écailles, ailes et croc venimeux.
Les cartes des menus s'ouvrirent toutes en même temps. Rufus se rendit à quel point il avait faim. Il décida de prendre une valeur sûre:
Steak frite !
Dans un "pop", son assiette apparut devant lui. Un beau pavet de bœuf accompagné d'une portion généreuse de frites. Il fallait bien se faire plaisir de temps en temps. Monty commanda un plat local qui avait l'air très épicé et, après que les MacLynn eurent commandés leur repas, les menues disparurent et un pichet d'eau en argent sortit de la table. Un serveur assez âgé portant un uniforme impeccable arriva et déboucha une bouteille de Vin de Montprinblanc de l'année 2026 puis en proposa un verre à chaque adulte avant de repartir en laissant la bouteille. Il revint plus tard avec une bouteille de jus de citrouille et une bouteille de bièraubeurre.
Rufus ne prit pas de dessert, il prendrait une glace à la reserve.
Ellipse.
Ils prirent une calèche soumise à un sortilège de désillusion survolant les bois de la forêt peruvienne tirée par des Gronian (eux aussi soumis à ce sortilège). C'était un des moyens les plus attractifs pour aller à cette réserve - et le plus sûr car sinon il fallait traverser la forêt remplies de créatures en tout genre et Monty ne voulait pas imposer à quelqu'un un moyen de transport non sécurisé. Il y avait eu jadis un irlandais qui avait déménagé dans la région et il avait lancé un élevage de chevaux ailés-d'où cette attraction. Il n'y avait pas beaucoup de quartiers sorciers aux Pérou mais il n'y avait quasiment pas de ville sorcière dans le pays. Ce village était assez petit, isolé dans une prairie non loin d'un marais qui délimitait les extrémités de la forêt. Si Rufus devait déménager quelque part, ça aurait été ici.
Après s'être posé au sol, la calèche continua sa route pendant cinq minutes environs -il y avait une distance de sécurité minimale entre le village et la réserve imposée par le gouvernement péruvien. Ils s'arretèrent devant l'entrée d'un grand bâtiment vert représentant un dragon. Plusieurs calèche étaient garées les unes à côté des autres. Ils entrèrent en même temps.
@Irisia MacLynn je te laisse le choix de la description de la réserve
6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.
Steak frite !
Dans un "pop", son assiette apparut devant lui. Un beau pavet de bœuf accompagné d'une portion généreuse de frites. Il fallait bien se faire plaisir de temps en temps. Monty commanda un plat local qui avait l'air très épicé et, après que les MacLynn eurent commandés leur repas, les menues disparurent et un pichet d'eau en argent sortit de la table. Un serveur assez âgé portant un uniforme impeccable arriva et déboucha une bouteille de Vin de Montprinblanc de l'année 2026 puis en proposa un verre à chaque adulte avant de repartir en laissant la bouteille. Il revint plus tard avec une bouteille de jus de citrouille et une bouteille de bièraubeurre.
Rufus ne prit pas de dessert, il prendrait une glace à la reserve.
Ellipse.
Ils prirent une calèche soumise à un sortilège de désillusion survolant les bois de la forêt peruvienne tirée par des Gronian (eux aussi soumis à ce sortilège). C'était un des moyens les plus attractifs pour aller à cette réserve - et le plus sûr car sinon il fallait traverser la forêt remplies de créatures en tout genre et Monty ne voulait pas imposer à quelqu'un un moyen de transport non sécurisé. Il y avait eu jadis un irlandais qui avait déménagé dans la région et il avait lancé un élevage de chevaux ailés-d'où cette attraction. Il n'y avait pas beaucoup de quartiers sorciers aux Pérou mais il n'y avait quasiment pas de ville sorcière dans le pays. Ce village était assez petit, isolé dans une prairie non loin d'un marais qui délimitait les extrémités de la forêt. Si Rufus devait déménager quelque part, ça aurait été ici.
Après s'être posé au sol, la calèche continua sa route pendant cinq minutes environs -il y avait une distance de sécurité minimale entre le village et la réserve imposée par le gouvernement péruvien. Ils s'arretèrent devant l'entrée d'un grand bâtiment vert représentant un dragon. Plusieurs calèche étaient garées les unes à côté des autres. Ils entrèrent en même temps.
@Irisia MacLynn je te laisse le choix de la description de la réserve
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écailles, ailes et croc venimeux.
Irisia, la moue aux lèvres, ouvrit aussi son menu pour regarder ce qu’elle allait pouvoir manger. Quitte à être dans un autre pays, autant sortir des sentiers battus et expérimenter de nouveaux plats ! Un peu d’aventure que diable ! Aussi dédaigna-t-elle les plats français et américains pour chercher de la nourriture typiquement péruvienne. Et elle n’était pas déçu… Toutes ces photos et ces aliments lui donnaient faim !
« Je vais prendre… Un ceviche de poissons et de crustacés. Et des… Des papas… Papas a la huancaina avec du bœuf au barbecue. S’il vous plaît. »
Des papas a la huancaina, des pommes de terres poêlées recouvertes d’une sauce à base de fromage frais et de piments jaunes. Elles avaient l’air drôlement bonnes ! Le regard brillant de gourmandise, la rousse ferma le menu et couina de plaisir en voyant son choix apparaître devant elle, sur la table. Humant les bonnes odeurs, Irisia souhaita un bon appétit à chacun avant de commencer par le ceviche qui était parfaitement assaisonné et pleins de saveurs, les légumes croquants et le poisson doux, les crustacés vraiment bon aussi. Et effectivement les papas a a huancaina avec le bœuf au barbecue était irrésistible… La petite tornade ne disait plus un mot, se contentant de manger avec gourmandise, dans un silence absolu, ne pensant qu’à son petit estomac qui se régalait.
Micha était impressionné et en même temps tellement blasé parce que sa petite fille était ainsi. Une vraie gourmande… Lui-même regarda son menu avec intérêt, tout aussi aventureux que son enfant : les chiens ne font pas des chats. Pensif et curieux, l’homme détailla les recettes et les propositions péruviennes avec grand intérêt, son appétit s’aiguisant.
« Je pencherai plutôt pour une sopa de quinoa. Accompagnée d’une trucha grillée avec du riz frit et une fricassée de légumes, s’il vous plaît. »
Il ajouta une bouteille de vin péruvien pour savourer sa soupe de quinoa et son poisson braisé, et posa sa serviette sur ses genoux avant de savourer les bonnes odeurs qui se dégageaient de ses assiettes. Proprement, Micha prit soin de savourer chacune des bouchées de ses plats, appréciant les épices et la cuisson du poisson et des légumes. La cuisine péruvienne valait le détour…
Pour le dessert, les MacLynn prirent des alfajores qu’ils dégustèrent avec autant d’appétit et de gourmandise que les précédents plats. Une couche de confiture de lait entre deux sablés, le tout recouvert de sucre glace, un véritable régal. Ils prirent aussi quelques glaces maisons de fruits frais : lucuma, açaï, pepino dulce, pitaya… Ils mangèrent à s’en exploser le ventre !
Le repas terminé, ils payèrent avant de prendre une calèche soumise à une sortilège de désillusion, direction la réserve des dragons. Si la digestion rendait Micha MacLynn encore plus calme et paisible, cela n’entamait en rien l’énergie débordante et explosive de sa petite fille qui regardait avidement par les fenêtres. Les paysages étaient à coupé le souffle… Et Irisia ne put s’empêcher de pousser des cris d’enthousiasme alors que la réserve se rapprochait d’eux de plus en plus ! Ils y étaient presque ! Enfin !
La calèche se garant aux côtés des autres, Micha descendit le premier et aida sa petite fille à faire de même, l’attrapant par le col alors qu’elle était sur le point de courir jusqu’aux portes.
« Ralentissez Irisia. Il n’est pas question que je vous perde dans la réserve alors efforcez-vous de rester à ns côtés. »
« Oui oui Père ! »
Même si elle écoutait que d’une seule oreille. Mais si elle voulait être sûr que son paternel soit coopératif, elle allait devoir vraiment rester à ses côtés… Soufflant boudeusement sur une boucle rebelle, Irisia se cramponna à sa main avant de le tirer vers les lourdes portes en bois, son regard pétillant. Du bois pour garder des dragons… Du bois protégé fort heureusement, sinon la réserve aurait flambé depuis bien longtemps !
Quand ils entrèrent, il y avait de grands baraquements : celle des soins, la cantine et les chambres du personnels, la boutique, la nursery, les réserves, les enclos avec des dômes pour de bonnes conditions de vie… Tellement de touristes ! Mais cela ne l’empêchera pas de profiter à fond de cette expérience ! Admirant les hautes murailles en bois, pépiant et couinant de bonheur, Irisia tirait sur la main de son père qui se laissait faire sans rien dire, souriant de bonheur de la voir aussi épanouie.
Cette dernière n’était nullement dérangée par la poussière et la chaleur, profitant de chacune des installations et des visites, son regard buvant la beauté et la puissance des dragons dans leur dôme. Les spectacles, les explications, les craquements des coquilles alors que les bébés dragons brisaient leur coquille pour découvrir le monde. C’était magnifique… Et Irisia n’en loupait pas une miette, soit silencieuse, soit aussi bavarde qu’une pie, vivant intensément cette journée au paradis.
« Père… On pourra revenir tous les jours ? »
« Je ferais ce que je peux pour ma chérie. Mais cette semaine est pour vous donc je ferai tout pour. Je vous le promets. »
« Merci Père... »
Irisia se pressa contre son père en souriant, ses yeux ne lâchant pas les bébés dragons criant et se débattant contre leurs coquilles, patauds et vacillant. Mais tellement beau...
« Je vais prendre… Un ceviche de poissons et de crustacés. Et des… Des papas… Papas a la huancaina avec du bœuf au barbecue. S’il vous plaît. »
Des papas a la huancaina, des pommes de terres poêlées recouvertes d’une sauce à base de fromage frais et de piments jaunes. Elles avaient l’air drôlement bonnes ! Le regard brillant de gourmandise, la rousse ferma le menu et couina de plaisir en voyant son choix apparaître devant elle, sur la table. Humant les bonnes odeurs, Irisia souhaita un bon appétit à chacun avant de commencer par le ceviche qui était parfaitement assaisonné et pleins de saveurs, les légumes croquants et le poisson doux, les crustacés vraiment bon aussi. Et effectivement les papas a a huancaina avec le bœuf au barbecue était irrésistible… La petite tornade ne disait plus un mot, se contentant de manger avec gourmandise, dans un silence absolu, ne pensant qu’à son petit estomac qui se régalait.
Micha était impressionné et en même temps tellement blasé parce que sa petite fille était ainsi. Une vraie gourmande… Lui-même regarda son menu avec intérêt, tout aussi aventureux que son enfant : les chiens ne font pas des chats. Pensif et curieux, l’homme détailla les recettes et les propositions péruviennes avec grand intérêt, son appétit s’aiguisant.
« Je pencherai plutôt pour une sopa de quinoa. Accompagnée d’une trucha grillée avec du riz frit et une fricassée de légumes, s’il vous plaît. »
Il ajouta une bouteille de vin péruvien pour savourer sa soupe de quinoa et son poisson braisé, et posa sa serviette sur ses genoux avant de savourer les bonnes odeurs qui se dégageaient de ses assiettes. Proprement, Micha prit soin de savourer chacune des bouchées de ses plats, appréciant les épices et la cuisson du poisson et des légumes. La cuisine péruvienne valait le détour…
Pour le dessert, les MacLynn prirent des alfajores qu’ils dégustèrent avec autant d’appétit et de gourmandise que les précédents plats. Une couche de confiture de lait entre deux sablés, le tout recouvert de sucre glace, un véritable régal. Ils prirent aussi quelques glaces maisons de fruits frais : lucuma, açaï, pepino dulce, pitaya… Ils mangèrent à s’en exploser le ventre !
Le repas terminé, ils payèrent avant de prendre une calèche soumise à une sortilège de désillusion, direction la réserve des dragons. Si la digestion rendait Micha MacLynn encore plus calme et paisible, cela n’entamait en rien l’énergie débordante et explosive de sa petite fille qui regardait avidement par les fenêtres. Les paysages étaient à coupé le souffle… Et Irisia ne put s’empêcher de pousser des cris d’enthousiasme alors que la réserve se rapprochait d’eux de plus en plus ! Ils y étaient presque ! Enfin !
La calèche se garant aux côtés des autres, Micha descendit le premier et aida sa petite fille à faire de même, l’attrapant par le col alors qu’elle était sur le point de courir jusqu’aux portes.
« Ralentissez Irisia. Il n’est pas question que je vous perde dans la réserve alors efforcez-vous de rester à ns côtés. »
« Oui oui Père ! »
Même si elle écoutait que d’une seule oreille. Mais si elle voulait être sûr que son paternel soit coopératif, elle allait devoir vraiment rester à ses côtés… Soufflant boudeusement sur une boucle rebelle, Irisia se cramponna à sa main avant de le tirer vers les lourdes portes en bois, son regard pétillant. Du bois pour garder des dragons… Du bois protégé fort heureusement, sinon la réserve aurait flambé depuis bien longtemps !
Quand ils entrèrent, il y avait de grands baraquements : celle des soins, la cantine et les chambres du personnels, la boutique, la nursery, les réserves, les enclos avec des dômes pour de bonnes conditions de vie… Tellement de touristes ! Mais cela ne l’empêchera pas de profiter à fond de cette expérience ! Admirant les hautes murailles en bois, pépiant et couinant de bonheur, Irisia tirait sur la main de son père qui se laissait faire sans rien dire, souriant de bonheur de la voir aussi épanouie.
Cette dernière n’était nullement dérangée par la poussière et la chaleur, profitant de chacune des installations et des visites, son regard buvant la beauté et la puissance des dragons dans leur dôme. Les spectacles, les explications, les craquements des coquilles alors que les bébés dragons brisaient leur coquille pour découvrir le monde. C’était magnifique… Et Irisia n’en loupait pas une miette, soit silencieuse, soit aussi bavarde qu’une pie, vivant intensément cette journée au paradis.
« Père… On pourra revenir tous les jours ? »
« Je ferais ce que je peux pour ma chérie. Mais cette semaine est pour vous donc je ferai tout pour. Je vous le promets. »
« Merci Père... »
Irisia se pressa contre son père en souriant, ses yeux ne lâchant pas les bébés dragons criant et se débattant contre leurs coquilles, patauds et vacillant. Mais tellement beau...
{hrp: désolée pour avoir mis le temps pour répondre}
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
écailles, ailes et croc venimeux.
Rufus prit quelques de photos de tout. Il s'attarda longuement devant la vitre de la nursery où un œuf de dragon fendit sa coquille pour laisser voir le petit museau vert pomme d'un jeune dent-de-vipère du Pérou prendre sa première respiration. Son museau avec une nuance verdâtre dégoulinait d'un liquide assez gélatineux, sûrement un liquide comme du blanc d'œuf. Comment faisaient-ils dans l'œuf pour respirer ? Ont-ils seulement besoin de respirer ? Ou est-ce que le blanc d'œuf contenait du dioxygène que le pouvait ingurgiter ? Tant de questions !
Après avoir visité plusieurs attractions du site -comme l'homme faisant apparaître un patronus corporel en forme de dragon- et avoir pris quelques autres photographies (dont un ou deux selfies avec Irisia qu'il ne manquerait pas de lui transmettre), Rufus alla à la boutique souvenir. Il sortit sa bourse en peau de moke qui était attachée à son cou, il jeta un œil dedans et en sortit plusieurs mornilles ainsi que deux galions. Il n'avait pu s'empêcher de craquer pour une réplique de dragon miniature, qui crachait des minuscules gerbes d'étincelles et qui pouvait voler. A cela il ajouta une paire de gants en cuir de dragon (cuir prélevé sur les dragon mort naturellement, garanti sans souffrance animale). Le dragon miniature restait sur son épaule gauche et s'envolait souvent pour au final se faire un nid dans la grande touffe de cheveux qu'il y avait sur sa tête.
Les dragons dent-de-vipère étaient les plus rapides de toutes les espèces. D'un diamètre d'environ cinq mètres, il possède des cornes courtes ainsi que des crochets venimeux. Si ils ne sont pas régulés par les humains, leur croissance démographique est très importante c'est pourquoi de nombreux substituts fait à partir de partie de corps de dragons sont souvent fait en dent-de-vipère. La couleur cuivrée de son cuir était plutôt jolie aux yeux de Rufus, mais étant donné que l'animal était très friand de chaire humaine, il était bien content que ces gens ne proposent pas de tentative de chevaucher de l'animal.
Une fois qu'ils furent tous sortit de la réserve, Monty acheta une glace à Rufus et en proposa une à ses invités. Sa glace parfum patacitrouille ne dura pas longtemps, tant elle était bonne que Rufus ne se gêna pas à la finir rapidement, il était avec Irisia, il n'y avait personne à impressionner alors il faisait fi des bonne manières les plus poussées. Il s'essuya les doigts avec délicatesse avant de prendre une dernière photo en compagnie d'Irisia. Il la salua elle et son père et ils se séparèrent pour la fin de cette belle journée. Vive les vacances !
FIN DU RP pour ma part
6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.
Après avoir visité plusieurs attractions du site -comme l'homme faisant apparaître un patronus corporel en forme de dragon- et avoir pris quelques autres photographies (dont un ou deux selfies avec Irisia qu'il ne manquerait pas de lui transmettre), Rufus alla à la boutique souvenir. Il sortit sa bourse en peau de moke qui était attachée à son cou, il jeta un œil dedans et en sortit plusieurs mornilles ainsi que deux galions. Il n'avait pu s'empêcher de craquer pour une réplique de dragon miniature, qui crachait des minuscules gerbes d'étincelles et qui pouvait voler. A cela il ajouta une paire de gants en cuir de dragon (cuir prélevé sur les dragon mort naturellement, garanti sans souffrance animale). Le dragon miniature restait sur son épaule gauche et s'envolait souvent pour au final se faire un nid dans la grande touffe de cheveux qu'il y avait sur sa tête.
Les dragons dent-de-vipère étaient les plus rapides de toutes les espèces. D'un diamètre d'environ cinq mètres, il possède des cornes courtes ainsi que des crochets venimeux. Si ils ne sont pas régulés par les humains, leur croissance démographique est très importante c'est pourquoi de nombreux substituts fait à partir de partie de corps de dragons sont souvent fait en dent-de-vipère. La couleur cuivrée de son cuir était plutôt jolie aux yeux de Rufus, mais étant donné que l'animal était très friand de chaire humaine, il était bien content que ces gens ne proposent pas de tentative de chevaucher de l'animal.
Une fois qu'ils furent tous sortit de la réserve, Monty acheta une glace à Rufus et en proposa une à ses invités. Sa glace parfum patacitrouille ne dura pas longtemps, tant elle était bonne que Rufus ne se gêna pas à la finir rapidement, il était avec Irisia, il n'y avait personne à impressionner alors il faisait fi des bonne manières les plus poussées. Il s'essuya les doigts avec délicatesse avant de prendre une dernière photo en compagnie d'Irisia. Il la salua elle et son père et ils se séparèrent pour la fin de cette belle journée. Vive les vacances !
FIN DU RP pour ma part
6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.