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11 juil. 2019, 01:02
 Pérou  écailles, ailes et croc venimeux.
1er août. 

Pour une partie des vacances, Rufus devait passer ses vacances avec son parrain Monty. Son père avait meuglé pour qu'il rende visite à son grand-père Eugène. Ce viel homme qui vivait dans le nord de la France, Rufus ne l'avait aperçu que deux fois durant sa tendre enfance. Il n'avait aucune envie de passer un mois entier en seule compagnie de ses parents, sont frère et un vieux crouton. Il en avait marre de vivre loin du monde de la magie. Quand il était chez lui, il lui arrivait de se sentir seul, déconnecté du monde, tel un Hermite. Ce sentiment n'était pas comblé par la nouvelle fibre installée dans le quartier, ni par les journées qu'il passait avec ses amis. Au contraire. Le lourd poids du secret qu'il se gardait de leur révéler était plus dur à porter chaque jour passé avec eux. Si bien que se trouver en leur présence, même si ils lui étaient très chers et très proches lui était devenu presque insupportable. Il ne pouvait se résoudre à les revoir que quand il se sentirait capable de leur avouer l'existence du monde de la magie. 

 Le hibou qu'il avait envoyé pour dissuader ses parents de se rendre à la gare neuf trois- quarts n'avait pas atteint ses destinataires et était mort de ses souffrances quelques heures après. Ils se sont rendus au quais et ont été oubliétés. Pouf. Plus aucun souvenir de magie. Monty avait jugé trop dangereux pour leur mémoire d'essayer de les faire se souvenir par le biais de magie de l'existence du monde de la magie. Ce n'était pas son domaine de médicomagie. Lui, à son école de magizoologie supérieure, il avait dû étudier le traitement des blessures par les créatures magiques, pour soigner n'importe qu'elle attaque et non les actes de magies à long-terme. Il préférait ne rien tenter qui pourrait endommager potentiellement leur mémoire. Résultat: Rufus n'ai plus le droit de se faire livrer la gazette du sorcier- bien que celle ci, avec les nouveaux projets de lois de Pustula Parkinson rendait ses journées les plus amères les unes que les autres- à cause des images animées -DEUX MOIS SANS LE MENSUEL DE MÉTAMORPHOSE ! Il n'en pouvait plus.

Rufus était sensé partir en Amérique avec Monty pour visiter l'une des nombreuses mines de pierres précieuses que possède sa famille qui se trouvait au Pérou et ce le 15 août. Cependant, Monty a décidé de lui faire une surprise et de partir plus tôt. À un mois de son anniversaire, Rufus supposait que c'était pour soulager sa conscience au cas où il ne pourrait-envoyer de cadeaux à Rufus par le biais de la poste. Il lui a donc fait parvenir un message (subtilement transformé en plume de hibou qu'il a mis dans le sur le hibou) lui indiquant de se rendre sur la côte. 

Tout ce qu'il y avait dans sa valise n'aurait pas pu tenir dans un camion. Il avait jeté plusieur sortilèges quand il était à Poudlard pour la rendre plus légère et extensible. Pour ses parents, il a versé une potion dans leur café. Pour eux, il était dans une colonie de vacance organisée par l'école. Il partit donc à 8h du soir dans la paisible nuit où coulait une fine pluie d'été. Il avait solidement calé sa valise sur son balai et avait revêtu une fine et soyeuse cape en poil de Demiguise de toute première qualité, cousu avec des fils d'or. Cette cape était celle de Monty, qu'il ne lui avait prêté que pour ce genre de situations désagréables où passer inaperçu était une priorité. Il enfourcha son balai,  mis sa cape solidement accrochée pour survivre aux vents puis donna un coup de pied dans le sol, et décolla. 
Dernière modification par Rufus Williams le 31 juil. 2019, 10:52, modifié 1 fois.

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12 juil. 2019, 23:31
 Pérou  écailles, ailes et croc venimeux.
Élevé à deux ou trois mètres du sol, le balai entre les jambes et la valise solidement accrochée à l'arrière, une brise légère ébourifait ses cheveux déjà en désordre. La ville de Blackpool était grande et le centre-ville abritait de hauts bâtiments. Il avait plusieur kilomètres à Parcourir en balai pour aller jusqu'au portauloin, sur la falaise juste à côté de l'eau. Sur un morceau de parchemin collé sur le manche, une flèche tracée sur un bout de parchemin lui indiquait la direction à suivre. Il était face à son premier dilemme: faire le tour du centre-ville ou passer au dessus. En faisant le tour il perdrait du temps mais il pourrait voler plus bas avec moins de vent ce qui limiterait les chances de faire tomber sa cape et ainsi de se faire voir en train de voler sur un balai en plein quartier moldu. Mais en passant par le centre ville, il gagnerait du temps et devrait voler haut ce qui lui donnerait plus de chance de perdre sa cape. Il regarda des deux côtés puis vit que dans le côté bon pour faire le tour du centre, les maisons de Nat' et de Jane. Il eut à nouveau le poids douloureux sur l'estomac de devoir leur cacher la vérité. C'était plus fort que lui, il devait éviter ce passage. 

Il se mit donc à voler assez en altitude et survolait bâtiments. Il virvoletait haut, loin du sol. Si il lâchait son balai c'était la mort assurée. Il filla à une vitesse impressionnante, comme si il courait ou plutôt volait après un vif d'or qu'il tenterait de saisir. Le seul détail qui vont perturber voyage avait été une Ou deux mouettes percutées.

Monty n'avait pas voulu transplaner pour aller devant la maison, il attendait près du portauloin sur la falaise. Monty n'avait pas quitté la grande Bretagne depuis mai et était censé déposer un dossier afin d'obtenir une autorisation de quitter le territoire, mais, Monty révulsait ce nouveau gouvernement et ne voulait pas ce rendre à Godric's Hollow. Ça le rendrait ... Plus vrai. 

Arrivé au bord de la falaise, Monty l'attendait, le dos droit habillé de vêtements légers de soie dont le mauve et le bleu nuit dominaient. Un cailloux blanc et rond flottait devant lui. Les main croisées derrière le dos, il redressa les yeux aux ciel vers moi, comme si il pouvait me voir bien que cela fût impossible. 
Rufus atterrit en douceur puis se dévoilà en enlèvant cette cape courant en poil de Demiguise. Il m'adresse un sourire bienveillant qui cachait, et ça ce voyait, bien des tourments avant de me saluer d'une courte étreinte. 

Comprenant trop bien le rôle du minéral, Rufus s'aggrippa à ses affaires et après un décompte, il toucha le cailloux.
Dernière modification par Rufus Williams le 27 sept. 2019, 17:58, modifié 1 fois.

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06 août 2019, 13:29
 Pérou  écailles, ailes et croc venimeux.
C'était toujours aussi désagréable d'utiliser un portauloin mais il commençait à avoir l'habitude. L'impression qu'un  fichait le tirait par le nombril, c'était affreux. L'impression d'être dans une centrifugeuse. Beurk. 

Puis l'atmosphère changea. Il faisait beaucoup plus chaud . Un climat de vacances étouffant ce qui lui faisait bien comprendre pourquoi il portait une tenue aussi peu couvrante qui faisait quand même très orientale mais sans une certaine distinction. Mais il faisait jour. Ce décalage horaire. Rufus sortit son téléphone portable pour avoir une idée de l'heure. 12h. Il était midi à cet endroit. 

Ils était dans une rue peu passante en lisière d'une forêt tropicale devant un hôtel avec un tapis rouge fait en marbre bien blanc dans un style français. Deux gros lion blanc en pierre de parts et d'autres de la porte s'inclinèrent à notre passage. J'étais hébaïsdevant un tel luxe. 

Reducio



Entré à l'intérieur, le style français imposait sa présence. Le marbre dominait. Le style si luxueux était impressionnant, comme l'hotel dans lequel allait tout le temps son père lorsque celui ci se rendait à Paname. Rufus appréciait les styles traditionnel comme celui-ci et ce serait une grande perte si tout était dans le style "vintage" ou Américain ou encore "loft". 

Arrivé au comptoir, un homme habillé avec une robe de sorcier très chic et une barbe taillée au millimètre nous sourit. À côté de lui, un homme très âgé habillé avec le même uniforme avait le visage lugubre.

Bonjour monsieur Montgomery, et bonjour à votre fils. Dit-il en français.

Bonjour monsieur Leblanc, c'est mon filleul. 

On aurait dit qu'ils jouaient à un jeu. Comme si ils voulais donner une étrange image d'eux. Le ciel homme avait salué Monty d'un geste de la tête puis s'en est allé voir d'autres client. L'atmosphère se détendit.

Bonjour monsieur. Dit Rufus, émerveillé par tout ce bâtiment. 

Le Penthouse je suppose ? Demanda t'il comme il l'aurait demandé à un ami de longue date

Oui  s'il te plaît. répondit Monty.

L'homme se pencha en avant et n'était plus qu'a une dizaine de centimètre de Monty, il lui chuchota:

J't'ai fait monté le Bordeaux, il prendra une bièraubeurre ton p'tit ? 

Le contraste entre le début de la discussion était comique. Il n'était pas très compliqué de faire le lien pour comprendre que le viel homme gérait d'une main de fer ses employés et qu'il n'acceptait pas de familiarité bien que les deux hommes semblaient être amis. 

Oui s'il vous plait. Dit poliment Rufus, ne sachant pas si il devait vouvoyez ou tutoyer l'homme. 

Un elfe de maison habillé d'un uniforme rouge vint prendre nos valises et les monta par l'escalier e  les faisant léviter. Monty et Rufus entrèrent dans l'ascenseur et à plein les portes se furent t'elle refermées qu'elles se rouvrirent sur un étage magnifique avec un sol en damier. L'elfe de maison était déjà présent fleurs tenaient la porte en chêne. 

On appelait pas ça un Penthouse pour rien. Un grand balcon donnait vu sur la forêt quand t'on regardait à l'est et sur une vaste plaine où Rufus était sûr d'avoir vu des flammes s'élever quand on regardait à l'ouest. En portant son regard vers le bas pour voir les autres balcons,  Rufus distingua même une piscine avec quelques tranzats ou des gens bronzaient.

Tadam ! Je t'emmène visiter la réserve naturelle de Dent-de-vipère du Pérou jeudi ! 

Mais c'est super ! Merci Monty ! Dis-je débordant de joie en le prenant dans mes bras. 

Il allait voir des vrais dragons ! Il y avait de quoi être émerveillé. Il pris une photo de la vue et passa le reste de l'après-midi (puisqu'avec le décalage horaire l'après midi ne faisait que commencer) à visiter le Penthouse et le reste de l'hôtel. 

Quand le soir fut enfin venu, il était exténué mais la visite qu'il allait bientôt effectuer allait selon lui intéresser quelqu'un. 
Chère @Irisia MacLynn,

J'espère que tes vacances se passent bien et que toi non plus n'a pas eu de problèmes avec le nouveau gouvernement.

De mon côté tout va bien. Mon parrain va m'emmener jeudi prochain visiter une réserve de dragon aux Pérou et en attendant je suis dans un hôtel de luxe appelé l'hôtel palace !  Comme je sais que ces créatures te passionnent je t'enverrai un truc cool dans le thème des dragons. 

Bien à toi,
Rufus.
Il aurait bien écris à Jane mais il ne captant pas de réseau et ne pouvait pas lui dire qu'il allait voir des dragons. Elle le prendrait pour un fou. Foutu code international du secret magique.
Dernière modification par Rufus Williams le 22 nov. 2019, 14:54, modifié 1 fois.

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08 sept. 2019, 01:09
 Pérou  écailles, ailes et croc venimeux.
{hrp: eh! désolée pour le retard... J'espère que ma réponse te plaira sinon n'hésite pas à me dire ^^}

Irisia était l’impatience incarnée. Quand ses parents eurent vent de son bulletin de notes qui étaient excellents, ils décidèrent de récompenser comme il se devait cette avalanche d’Optimals. Et au vu de la fascination et de la passion de leur enfant envers les dragons, le père décida… D’emmener sa fille avec lui pour un voyage d’affaire au Pérou ! Ce qui lui permettrait de visiter et explorer la réserve naturelle de Dent-de-vipère du Pérou ! Et elle était joie !

« C’est le plus beau cadeau du monde !!! Merci Père !!! Merci Mère !!! »

Sautant et hurlant sa joie, la rousse se dépêcha d’envoyer un hibou à Alice et Brett, mais surtout à Aliosus pour raconter cette nouvelle prodigieuse ! Le regard rêveur et la joue tâchée d’encre alors qu’elle fixait son hibou disparaître dans le ciel avec les missives, Irisia avait un sourire béat aux lèvres. Elle se posait tellement de questions, elle imaginait tellement de choses à présent… Combien étaient-ils ? Qu’aurait-elle le droit de faire ou de voir ? Y aurait-il des œufs ou des jeunes ? Quel temps ferait-il ?

« Trop de choses à faire ! »

Souriant de plus belle en tapant dans ses mains, la rousse délaissa sa fenêtre pour fouiller dans ses étagères à la recherche de ses livres parlant de cette race précise de dragons. Il fallait qu’elle sache tout sur le bout des doigts : elle partait dans un mois, début août, pour vivre cette aventure !

Et le mois passa à une vitesse folle. Pendant que son père prépara leur séjour et les documents allant avec, Irisia se documenta le plus possible sur les Dent-de-vipère du Pérou et le climat péruvien tout en partageant cela avec ses amis. Quand vint le moment de préparer sa valise, la rousse eut la surprise de recevoir un hibou auquel elle ne s’attendait pas…

« Rufus ? »

Haussant un sourcil de surprise, la rousse attrapa le message et le lit avec curiosité avant d’éclater de rire, le regard pétillant. Si c’était pas un hasard ça ! Un énorme sourire lui mangeant son visage, elle s’assit à son bureau avant de rédiger une réponse, le regard pétillant.
Coucou Rufus !

Mes vacances se passent super bien ! Mes parents étaient tellement contents de mes notes à Poudlard qu’ils m’ont fait un super cadeau ! Devine quoi… Je pars une semaine au Pérou visiter la réserve naturelle de Dent-de-vipère ! Si ce n’est pas un hasard ça ! J’espère qu’on aura l’occasion de se voir quand même !

A bientît Rufus !
Irisia.
Rufus au Pérou… Ca alors ! Si elle s’y était attendu ! C’était vraiment amusant comme hasard n’empêche. Peut-être que son père accepterait qu’elle voit son camarade. Ce serait bien… Sinon ils n’auront qu’à s’échanger des hiboux et puis c’est tout.

Se remettant à sa valise en vibrant d’impatience, Irisia eut beaucoup de mal à dormir le soir venu tant elle trépignait de joie et d’impatience. Fort heureusement, le matin vint assez rapidement et elle put s’accrocher à la main de son père, sa valide réduite et bien à l’abri dans sa poche. Le voyage fut aussi excitant que son arrivée dans le pays, la chaleur écrasante lui tombant durement sur les épaules. Bien vite les couleurs et les odeurs lui sautèrent au visage et si elle ne quittait pas d’une semelle son père, son regard ne cessait d’essayer de tout capter à la fois. Tellement de chose à faire, à voir ou à goûter…

« Venez Irisia. Allons déposer nos affaires à l’hôtel. »

« Père ? Hier j’ai reçu un message d’un ami qui est ici en même temps que nous. Est-ce que nous pourrons aller lui dire bonjour ? »

« Nous verrons ma chérie, nous verrons. Je ferais en sorte de ne pas être trop occupé pour qu’on puisse aller plusieurs fois dans cette réserve, d’accord ? »

« Oui père. »

C’était déjà pas mal et elle était vraiment heureuse. Suivant son père vers l’hôtel sorcier, elle le laissa parler aux adultes à l’accueil et regarda autour d’elle avec des yeux pétillants. C’était beau…

« Venez Irisia. »

Sautillant, la rousse le suivit avec enthousiasme pour atteindre leur chambre, courant et fouinant dans tous les coins et recoins. C’était drôlement chic n’empêche…

« Je vais envoyer un message à mon ami, Père ! »

« Faites Irisia, faites. »

Lui souriant, son père commença à vider les valises tranquillement tandis que la rousse s’assit sur une chaise, un parchemin et un crayon à la main.

« Espérons qu’il sera content lui aussi... »
Coucou Rufus !

Je sais que je t’ai envoyée un hibou hier mais on vient d’arriver et on est dans la chambre. Père a dit qu’il essaierait qu’on puisse se voir si ça te dit !

Je t’embrasse !
Irisia.
Mâchouillant le bout de sa plume, l’irlandaise attacha le message au hibou et le regarda s’envoler, un sourire fleurissant de nouveau sur ses lèvres. Elle était vraiment heureuse là, comme ça...

En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp

15 sept. 2019, 11:08
 Pérou  écailles, ailes et croc venimeux.
Lundi

Le sortilege d'allégresse avait cessé de faire de l'effet et Rufus ne s'en plaignait pas. Il arrivait maintenant à laisser ses émotions de côté et juste profiter du bon temps de sa propre initiative et sans l'utilisation de la magie. Il fallait juste ne pas être assez sot pour aborder un sujet politique en sa présence et encore plus si cela concernait le Royaume uni. 

Alors qu'il était à table en train de s'attaquer à un gros burrito épicé, une chouette arriva et se posa en renversant au passage une bouteille de bourbons sous le regard mauvais de Monty. Il donna un coup de baguette qui fit siffler l'air et à bouteille se redressa en récupérant la quasi-totalité de son contenu (la nappe avait bien absorbé vu la teinte mauve qu'elle avait pris). Sans lui adresser un regard, Rufus dénoua delicatement la ficelle qui maintenait la lettre accrochée et lut le texte. Il ne put s'empêcher de sourire. Il tendit la lettre à Monty qui la lut également. 

Qui est-ce ? demanda t'il en portant le verre ballon à ses lèvres.

Une deuxième année à Serpentard qui s'appelle Irisia MacLynn expliqua Rufus. Je l'ai aidé dans ses devoirs, et comme je sais qu'elle aime les dragons, je lui ai dit que je lui ramènerai un souvenir. 

Monty essayait de rassembler ses souvenirs sur ce Rufus lui avait dit de Poudlard. Ayant étudié à Castellobruxo, il n'avait pas connu le choixpeau ou les quatre maisons. À cet instant, Rufus se Demanda comment cela devait être d'avoir passé 7 ans à étudier dans une forêt. Rufus donna un peu de viande au hibou et le mit sur du papier journal pour qu'il se repose un peu. Il pensait plutôt à finir de manger, priviligeant son estomac à Irisia (avec le décalage horaire j'aurais dû manger y'a super longtemps ! J'suis pas un Poufsouffle Ok ?!  :cry2: ). 

Si tu veux on les invitera à déjeuner dit-il un journal écris en anglais avec des images animées devant les yeux. 

Ok je lui proposerait. Il se leva. Je vais à la poste pour prendre un oiseau de la région. Les hiboux s'est du vu et revu. 

Rufus, je me chargerait de les inviter. En général c'est mieux vu quand c'est une invitation en bon et du forme. 

Si tu le dis. Les bonnes manières des adultes ont le don de m'embrouiller. 

Rufus revint au Penthouse deux heures plus tard, ayant profité de cette sortie pour visiter la ville locale. Il portait sur son épaule un petit oiseau au belles couleurs tropicales qu'il avait loué à une poste locale. 

Reducio


Rufus le caressait avec fierté et se plaisait à être en sa compagnie. Quand il entra dans la pièce principale, Monty tenait une lettre rouge vif. Il scruta l'oiseau du regard. 

Un peu trop petit Songea t'il à haute voix. Il donna un coup de baguette et l'oiseau doubla de volume. Voilà qui est mieux. 

Rufus ne savait pas si Irisia était juste à côté ou à l'autre bout du pays alors il pensa que Monty avait peu être raison d'utiliser un sortilège de gavage. Il accrocha la lettre et Rufus se hata de marquer une réponse. 
Irisia, 

C'est vraiment drôle d'apprendre une telle coïncidence. Mon parrain qui m'accompagne ici envoie une lettre à tes parents pour les inviter à déjeuner j'espère que ça te fait plaisir. Pour ma part je vais me rendre à la réserve mardi et jeudi. On ne reste qu'une petite semaine au Pérou car il faudra du temps pour organiser le voyage retour avec les troubles politiques du pays.

Au quel cas si nous ne pouvons pas nous voir, j'espère te retrouver à la rentrée du premier septembre. 

Amitiés,
Rufus
Tandis que l'oiseau partait au loin, Rufus jeta un œil au brouillons de Monty. 
Cher Mr et Mrs MacLynn, 

Il semblerait que mon filleul Rufus et votre fille Irisia tienne une correspondance en vue d'une heureuse coïncidence. En effet, lui et moi sommes également au Pérou pour visiter la réserve naturelle de "Dent-de-vipère". En vue de leur relation amicale, je vous invite cordialement à vous joindre à nous pour déjeuner ce Mardi midi à l'hôtel-restaurant "le palace" si votre emploie du temps le permet. 

Avec mes salution distinguées,
K. Montgomery.

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Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.

23 sept. 2019, 00:31
 Pérou  écailles, ailes et croc venimeux.
Parfaitement à son aise dans ce nouveau pays, encore mieux qu’un petit poisson dans le grand océan du monde, Irisia dévorait avidement le paysage par la fenêtre. Son hibou avait disparu dans le ciel depuis un moment mais elle ne perdait pas une miette du spectacle des rues en contrebas.

« Ne vous penchez pas trop Irisia. »

« Oui oui Père… Vous avez vu toutes ses couleurs ? Qu’est-ce qu’on pourrait ramener à la maison ? »

« Certainement pas un dragon pour commencer. »

« Vous n’êtes vraiment pas amusant Père... »

« Non, je suis réaliste. Et certainement pas payé pour être amusant. »

« Je suis sûr qu’il serait très heureux dans notre landes... »

« Retirez-vous cette idée de la tête. Que dirait Dragan de se faire remplacer ainsi ? »

« Tsssk... »

Une moue boudeuse aux lèvres, Irisia oublia bien vite sa contrariété en se perdant dans ses pensées. Toutes ces odeurs de nourriture commençaient à lui donner faim en plus… Elle fut tirer de ses pensées par un drôle d’oiseau qui se percha à ses côtés.

« … Qu’est-ce que tu es toi… Père ? »

« Oui chérie ? »

« Y’a un drôle d’oiseau avec des lettres sur le balcon. »

Méfiante, la rousse l’observait pourtant avec curiosité alors que son père la rejoignit pour voir cela de plus près. Haussant un sourcil, il récupéra les deux lettres et en tendit une à Irisia avant de lire la sienne, silencieux et pensif.

Irisia était vraiment contente de lire le message de Rufus, souriant avant de lever des yeux pétillants vers lui.

« Père ! Dites oui ! Allez ! »

« Mardi midi... »

« Allez s’il vous plaît... »

Une moue tremblante aux lèvres, le regard suppliant, elle se pendit à son bras. Ce qui fonctionna puisque son père rit en caressant les boucles folles de son enfant, acceptant volontiers.

« Je vais lui répondre de ce pas. Allez ranger vos affaires et changez-vous d’accord ? Je vous emmène avec moi au bureau avant de se promener en ville. »

« Super ! »

Enthousiaste, la rousse sautilla avant d’aller répondre à Rufus de suite, toute impatiente et joyeuse.
Rufus,

Je viens de lire ta lettre et Père est d’accord donc nous viendrons vous voir mardi midi ! J’ai vraiment hâte de te voir ! Peut-être qu’on pourrait aller à la réserve ensemble après manger ? Ce serait super n’est-ce pas ? Essaie de convaincre ton parrain ! Nous aussi on ne reste pas longtemps mais j’ai bien l’intention d’en profiter de ce voyage : c’est un cadeau pour mon super bulletin de notes !

Je te dis à demain midi alors !
Je t’embrasse !
Irisia.
Toute guillerette, l’irlandaise cacheta sa lettre avant de revenir auprès de son père qui finissait la sienne et la relisait pour traquer les erreurs.
Monsieur Montgomery,

Au vu de l’enthousiasme de mon enfant, je ne peux que vous donnez raison. J’ai bien reçu votre invitation et je vous apprends que je l’accepte avec grand plaisir. Mon épouse aurait sûrement adoré venir mais je me trouve seulement en compagnie de ma fille pour ce voyage d’affaire. Je vous dis donc à mardi midi.

Sincères salutations,
Micha MacLynn
« Allez vous occuper de vos affaires Irisia. »

« Oui oui Père ! »

La rousse lui tendit sa lettre et alla vider sa valise avant de prendre une douche et se changer, tellement impatiente de partir en expédition pour le reste de la journée. Son père renvoya l’oiseau avec les lettres avant d’emmener sa fille prête avec lui. Et si le passage dans les ambassades et les entreprises fut particulièrement barbant, la rousse adora la promenade dans les rues. Écouter la langue chantante des péruviens, humant les épices et les plats de nourritures, s’amusant des animaux et des objets en tout genre. Irisia réussit même à faire acheter des pulls multicolores, des ponchos aux couleurs éclatantes pour elle et ses frères, même une nappe dans les teintes pastelles pour sa mère. Elle craqua pour des bijoux en argent, avec des opales roses et vertes, des dumortierites…

Les jambes fatigués, les pieds en compote, l’estomac plein de soupe de quinoa et de brochettes de viandes, Irisia avec des papillons pleins les yeux. C’était vraiment un premier jour formidable… Vivement demain !

En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp

25 sept. 2019, 15:35
 Pérou  écailles, ailes et croc venimeux.
Devant le miroir de la salle de bain, Rufus sortait d'une longue et agréable douche de quinze minutes. L'eau chaude dégoulinant sur sa nuque et ses épaules, descendant parle milieu du torse jusqu'au nombril, il s'ébouriffa légèrement les cheveux, s'arma de son plus beau sourire et posa devant le miroir en contractant sa musculature. Il n'était pas Apollon mais aller courir tout les matins et faire un peu attention à son alimentation commencer à avoir des effets non-négligeables, il hésitait un peu à exiber ce genre de photographies sur les différents réseaux sociaux. Depuis qu'il était à Poudlard, il était un peu déconnecté et n'avait plus les habitudes, les nuances de mode et les idées des moldus de son âge mais quand il scrollait sur ses réseaux, ce genre de photos apparaissaient souvent donc il s'y mettait un peu même si il n'y voyait pas grand intérêt. Un éclaire de lumière blanche aveuglante lui traversa les yeux. Il rajouta un petit filtre pour le mètre encore plus en valeur et la posta. 

Il lui arrivait assez peu souvent de poster des petits trucs de ce genre, une fois à peu près tout les mois grand maximum. Ses abonnés Instagram se résumant en grande partie par d'anciens amis d'école, des amies d'amis, et des amis d'amies, il collait un peu sur les autres concernant ses posts. La seule chose négative, c'est que Jane, sa petite amie ( T-) ), était d'une jalousie agaçante. Mais tout n'allait plus très bien entre-eux. Depuis que Rufus s'était rendu compte qu'elle "matait" plus de filles que lui, il était arrivé à la conclusion qu'ils ne partageaient pas la même "orientation". Leur petit couple était une éléphant qui essayait le funembulisme au dessus d'un volcan. Avec un petit pincement au cœur, il rangea son téléphone dans sa poche. 


Rufus enfila une chemise sur-mesure blanche à rayures bleues qui lui faisait une belle carrure. Il aurait trouvé amusant de mettre sa cravate de serpentard mais le vert et le bleus n'allaient pas très bien ensemble, alors, il a opté pour un petit badge épinglé au dessus de son cœur représentant un serpent sur le point de mordre. Il enfila une toute petite boucle d'oreille d'onyx noire, mit une belle chevalière en argent en forme de serpent (beau travail de goblin) avec de minuscules émeraudes aux fentes nestinées aux yeux. Son pantalon quant à lui, était d'une couleur nuit, en jean de grande marque, retenu par une ceinture en cuir noir avec une boucle argenté pour la fermer. Il avait fait son style lui-même et ce n'était pas parcequ'il était à un dîner avec des sorciers qu'il devait s'abstenir de s'habiller à sa façon.

 Assis sur son balcon, non loin du vide et de la douleur des os cassés, Rufus regardait avec affection les oiseaux exotiques voler de cette façon si singulières qu'on les oiseaux à grandes ailes, dans un balai gracieux. Rufus regarda sa belle montre. Il était midi et quelques. Il faudrait descendre pensa t'il.

Il avança d'un pas rapide jusqu'à l'ascenseur qui, après une seconde, réouvrit immédiatement ses portes sur le grand hall d'entrée. Il sortit et passa par la porte du restaurant d'un pas toujours aussi rapide. Arrivé à la table de bois, recouverte d'une nape rouge et blanche, Monty faisait négligemment léviter une plume de paon. Lorsqu'il le vit arriver, Rufus le coupa dans son élan en disant: 

Ce soir, je suis sang-mêlé. Je n'ai jamais vu son père et on se sait jamais. 

On ne sait jamais quoi Rufus ? Nous ne somme pas en grande Bretagne, et je suis sûr que si tu arrive à t'entendre avec ton amie, son père ne devait pas t'enquiquiner sur des sottises de ce genre. 

Mais... on ne peut pas prendre de risques c'est.. 

Non. Tu ne vas pas commencer à mentir à tout le monde.

D'accord...

Rufus entendit le bruit d'une porte s'ouvrant et se fermant. 
Dernière modification par Rufus Williams le 26 oct. 2019, 17:02, modifié 1 fois.

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21 oct. 2019, 22:26
 Pérou  écailles, ailes et croc venimeux.
Le soleil se déversant sur la ville comme une pluie dorée, Irisia roula paresseusement dans ses draps avant de se recroqueviller autour de son oreiller. Il faisait déjà bien chaud mais la rousse était comme un dragon : adorant se pâmer au soleil. Un sourire radieux ourla ses lèvres alors que le petit corps s’agita de nouveau, une main blanche bougeant quelques boucles pour laisser apercevoir un œil qui s’ouvrit timidement. Encore une belle journée qui s’annonçait… Son second jour commença vraiment bien.

« Debout Irisia, il est tard. »

« Hnnnjour Père... »

Micha passa une main tendre dans les boucles de sa petite fille et reprit son travail pour l’ambassade. Contrairement à son enfant, il était prêt depuis bien longtemps à cause de son travail mais il l’avait laissé dormir sans peine. Sauf qu’il allait être l’heure pour elle de se préparer si elle ne voulait pas louper le déjeuner avec ce fameux ami.

La rousse roula de nouveau sur son lit et s’étira en baillant avant de se relever, se frottant les yeux de ses petits poings. Il fallait se préparer maintenant… Descendant de son lit, elle alla embrasser son père avant de prendre son petit déjeuner, grignotant les salades de fruits et les galettes de maïs recouvert de fromage avec gourmandise. Le ventre plein, Irisia se glissa dans la salle de bain et prit une bonne douche pour se réveiller, sentant la pomme, avant de se sécher en essayant de dompter ses boucles. Merci Mère et ses sortilèges… Sa crinière remontée dans un chignon bien haut, la rousse alla enfiler un short qui s’arrêta à mi-cuisse, un short beige d’aventurière. Des chaussettes vertes dans des chaussures de randonnées marrons, l’irlandaise enfila un débardeur aussi vert forêt que ses chaussettes avant de rajouter un léger poncho dans les tons pastels.

« Dépêchez-vous Irisia. »

« J’arrive ! »

Elle s’amusa à glisser des perles et des plumes dans ses cheveux avant de rejoindre son père. Attrapant la main de l’autre, ils descendirent à l’accueil et prirent la cheminette pour atteindre l’hôtel de Rufus et son parrain, se dirigeant tranquillement jusqu’au restaurant. Son père lui ouvrant galamment la porte, Irisia entra dans l’établissement en sautillant avant de saluer avec beaucoup de gestes son comparse de Poudlard.

« Rufus ! »

Et ce n’était pas son père qui l’empêcherait d’être aussi spontanée et exubérante : c’était sa petite tornade de feu. Tous deux s’approchant des deux autres, Micha s’inclina poliment devant les deux hommes.

« Micha MacLynn. Enchanté de vous connaître. Et merci, pour cette invitation. »

« Irisia MacLynn ! Enchanté Monsieur ! Et bonjour Rufus ! »

Un sourire éblouissant aux lèvres, Irisia les regardait avec des yeux étincelants avant de s’asseoir sagement sur son siège que son père lui avait galamment avancée.

« Vous venez voir les dragons cet après-midi alors ? »

« Irisia ! »

Elle était intenable par Merlin !

En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp

27 oct. 2019, 11:17
 Pérou  écailles, ailes et croc venimeux.
Assis sur sa chaise en chêne, la vielle bouteille d'hydromel des trois balais (décidément, ce pub avait une renommée mondiale !)  n'arrêtait pas de harceler son verre pour le servir du liquide couleur miel. Ce nectar délicieux lui faisait pourtant envie, un verre, pas plus mais Rufus jugea qu'il serait mal vu pour un adolescent de 14 ans de boire une boisson alcoolisée. Ils avaient invité le père d'Irisia à déjeuner, autant faire bonne impression. 

Soudain, la tornade de cheveux roux pénétra dans le restaurant. Rufus eut un sourire amusé pour ses petits sauts et ses mouvements frénétiques, il eut une grande envie de l'imiter en pire mais se reteint. Il fit un geste plus discret mais arborait un grand sourire fraternel. Monty s'était déjà levé et serrait la main du l'homme, un sourire poli au visage.

Klaus Montgomery, ravi de vous connaître également. Ils ont l'air de bien s'entendre, c'était le moins que je puisse faire. 

Rufus Williams, enchanté de vous connaître également. Dis-Rufus en lui serrant la main avec politesse. Content de te revoir Irisia. Rajouta t-il avec un sourire rayonnant.

Il aurait bien tenté une "bise" comme d'habitude avec Irisia mais les sorciers avaient tendance à ce montrer légèrement arrièré - bien que si le père d'Irisia était aussi sympathique que sa fille, cela n'aurait pas posé de probleme. 

Ils s'asseyèrent et une carte apparut dans un "pouf" dans chaque assiette. Irisia attaqua directement le sujet tant attendu: les dragons ! Rufus posa son regard sur son père sans réaction le temps d'une seconde et le reporta sur le visage constellé de tâches de rousseur d'Irisia. 

Normalement oui. Paraît -t'il qu'il y a une boutique où l'on peut acheter les oeufs après l'éclosion. Dit-il avec une excitation non dissimulée. 

Il lança un regard d'ange à Monty pour le persuader qu'il était assez sage pour avoir le droit de s'y rendre. Celui-ci leva les yeux au ciel l'espace de quelques seconde avant d'aquiecer. Il regarda le père d'Irisia d'un air de dire : "Ha..... les enfants...." 

Ce serait un plaisir de nous y rendre ensemble monsieur MacLynn si cela ne vous dérange pas. 

La carte des boissons s'ouvrit toute seule, les invitants à commander des rafraîchissement.

6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.

09 nov. 2019, 23:02
 Pérou  écailles, ailes et croc venimeux.
Habillée et apprêtée comme une amazone, Irisia attrapa la main de son père pour le suivre sagement jusqu’à l’hôtel où l’attendait Rufus et son parrain, son regard pétillant de joie. Ce qu’elle avait hâte de le voir ! Toute pétillante comme le champagne, la rousse chercha son comparse du regard avant de lui faire de grands signes de la main pour attirer son attention avant de regarder l’homme à ses côtés. C’était donc son parrain ?

« Contente de te revoir Rufus ! C’est une super coïncidence de se retrouver tous les deux dans le même pays ! J’suis vraiment trop contente ! »

« Vous avez bien raison Monsieur Montgomery. »

Micha sourit à Klaus et les MacLynn prirent place à table, Irisia se mettant à côté de Rufus pour mieux discuter avec lui, l’impatience la rendant décidément très bavarde et bien loin de l’étiquette et de la bienséance.

« C’est vrai ?! Père ! Dites oui ! »

« Irisia calmez-vous. Nous verrons quand nous y serons cet après-midi c’est compris ? »

« Oui Père ! »

Un sourire éblouissant aux lèvres, la rousse était tellement joyeuse de savoir qu’en plus le parrain de Rufus était d’accord pour les accompagner ! C’était vraiment génial non ?! Micha avait un sourire indulgent aux lèvres alors qu’il rendit le même regard à Klaus, secouant la tête.

« Bien. Cela ne me dérange aucunement, bien au contraire. Et puis les enfants seront heureux d’être ensemble. »

Micha sourit et baissa les yeux vers la carte des boissons, réfléchissant tranquillement.

« Hmm je prendrai une pisco-pur-feu. Choisis Irisia. »

« Oui oui père ! J’imagine que je pourrai pas goûter votre boisson… ? »

Irisia leva ses yeux vers son père qui fronça le nez sévèrement avant de fixer la carte : elle n’avait pas arrêté de parler des dragons avec Rufus et en particulier de ceux qu’ils iraient voir après manger.

« Hmmm je vais prendre du jus de pitaya… Ca a l’air drôlement bon. »

La rousse sourit et se redressa sur sa chaise pour regarder Rufus.

« Pourquoi t’es au Pérou d’ailleurs ? Je sais plus si tu me l’as dit dans tes lettres… »

Ses yeux pétillaient de curiosité alors que Micha décortiquait la carte pour comprendre les spécialités locales. C’était son premier voyage diplomatique au Pérou, en général, il était plutôt envoyé dans les pays asiatiques donc c’était une vraie découverte que d’être ici avec son enfant.

« Alors Monsieur Montgomery, vous êtes ici pour affaires ou pour vacances avec votre filleul ? Oui peut-être les deux. »

Autant faire la conversation pendant que sa fille gazouillait avec son camarade de Poudlard.

En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp