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08 sept. 2019, 13:22
∞ Fin de cycle ∞
•Mariage d'Évelyne MacMaulan et de Charles Brunn au Manoir Brunn•


Reducio
Personnes de la famille présente au mariage


Charles (le Marié) :                                 
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  Évelyne (la Mariée) :
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Alec (Frère ainé de Debra):
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Ciel (Grand frère de Debra):
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Baldi (Elfe de maison de la famille):
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Reducio
Habits de la famille



Robe d'Évelyne:
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Costume de Charles:
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Robe de Debra:
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Reducio
Manoir Brunn


Vue aérienne:
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Vue de face:
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Jardin aménagé pour l'occasion:
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18 août 2044, Matin du mariage

C'était le "grand jour"... Baldi était venu me réveiller à cinq heure trente du matin avec un petit déjeuné en espérant me mettre de bonne humeur. J'avais fais un grand effort pour me promettre a moi même devant le miroir de ma salle de bain que je serais, juste aujourd'hui, aimable avec Évelyne et que je ne la pousserais pas dans la pièce montée... Cette idée me fit sourire évidement, voir le tête d'Évelyne ressortir du gâteau les cheveux gras et blanc à cause de la crème.... ahhhh quelle fabuleuse image... Je me préparais rapidement avec l'aide de Baldi qui, malgré sa petite taille, arrivait à me coiffer à la perfection. Il devait être sept heure du matin quand je descendis l'escalier principal pour arriver dans le grand salon qui avait était aménagé pour le jour: tout avait été vidé et il ne restait que de longues tables portant des nappes blanches collées au murs. Des bouquets d'orchidées étaient éparpillés dessus et des flutes des champagnes ainsi que des amuses-gueules les accompagnaient. Tout avait été nettoyé à la perfection, pas le moindre grain de poussière n'apparaissait, un immense lustre pendait au plafond et une estrade était installé pour laisser place à un orchestre... Évelyne avait vu les choses en grands et c'était un peu trop chic à mon goût... mais bon, je n'avais pas vraiment mon mot à dire et de toute façon je m'étais fais la promesse de ne rien reprocher.... je regrettais déjà de mettre obliger à tenir parole et pourtant je n'avais pas encore vu la mariée...

Je me dirigea vers le jardin et manqua de m'étouffer en le voyant... il était... époustouflant. Vraiment magnifique. Aucune table n'avait était installée pour l'instant mais le jardin était plus fleuri que jamais. Des centaines et des centaines de fleures en touts genres toutes plus magnifiques les unes que les autres était disposées absolument partout... Les bassins d'eau était couvert de nénufars, évidement en fleurs.... Sur ce coup là, j'appréciais vraiment les goûts d'Évelyne, même si ce n'était que pour l'apparence qu'elle invitait toute ces personnes, elle avait mis tout son cœur à l'ouvrage pour faire bonne figure.

Ciel et Alec étaient assis sur les bancs au fond du parc, ils étaient arrivés il y a cinq jours. Je leur souris avant de retourner dans le manoir encore envouter par l'odeur et la présence des fleurs. Il devait désormais être midi trente et les invités allaient commencer à arriver. Mon père avait fait en sorte de pouvoir loger tout le monde dans le manoir ce qui relevait de l'exploit... Les invités, ou de moins ce qui le souhaitaient, repartiraient donc le lendemain matin... Cette journée s'annonçait longue. J'entendais déjà Évelyne glousser auprès des invités... Peut être qu'au final elle aimait mon père si elle était prête à l'épouser... Enfin bon... Je me tourna vers la porte, on allait dans très peu de temps être envahi par des inconnus...

Reducio
Les participants:

@Alexei Menkins
@Celia-Awena Fournier
@Wolfgang Ravenwood
@Maximilian Whitecastle
@Thalea Kisley
@Pansy Konowa
@Elisabeth Edwards
@Lili Cooper
@Théresa Tanz
@Jeanie Catanach
@Welmina MacMaulan
@Enora Horton
@Carry Harrison

@Julie Eragon

Personnes potentiellement présentes (à voir par hibou):

Attention: Si vous souhaitez participer, il n'y à aucun problème, venez juste m'en informer par hibou.





Dernière modification par Debra Brunn le 14 oct. 2019, 16:19, modifié 2 fois.

Ne pas parler de mon âge dans des RPs s'il vous plait.
~ Draco dormiens nunquam titillandus.~
Il ne faut jamais titiller un dragon qui dort

09 sept. 2019, 11:44
∞ Fin de cycle ∞
Le costume gris de Wolfgang le rendait maladroit. Certes, ce n'était pas la première fois qu'il en portait ou qu'il assistait à quelques cérémonies que ce soit mais la taille du manoir, les autres invités, et son costume lui donnait le sentiment d'être oppressé. Enfin. Il savait que cela passerait avec le temps et les petits gâteaux. Le jeune homme ne cessait de se poser des questions. D'après son père, Charles, le marié, était une connaissance à qui ils se devaient tout deux d'assister à son mariage. Wolfgang se fichait de qui était ce gens, il espérait juste secrètement ne pas être le seul "enfant".

Le chauffeur du père de Wolfgang fit atterrir la Audi R8 et la rendit visible une fois au sol. Il sortit ensuite de la voiture pour ouvrir à ses passagers. Le jeune homme et son père sortirent et quelques secondes après l'Audi R8 avait de nouveau disparue.

A la vue du manoir, Wolfgang eut le souffle coupé. La taille du domaine était telle qu'on ne pouvait en voir le bout sans qu'une grande battisse ou un aménagement de jardin bloque la vue et accentue l'effet gigantesque.

Comment pouvait-on vivre la dedans ? Le jeune homme tenta de desserrer son nœud papillon qui commençait à l'étrangler. Au coup d’œil sévère de son père, il arrêta et ils rejoignirent tout deux l'entrée de la battisse principale. Wolfgang marchait légèrement en arrière de son père pour éviter d'être vu en premier. Ce qui n'était pas très difficile vu la stature de son géniteur. Le jeune homme se demandait parfois si un jour il lui ressemblerait.

Lorsqu'ils traversèrent le jardin, il aperçu deux jeunes gens sur bancs. Sûrement des frères ou de très bon amis à la manière dont ils se comportaient entre eux. Wolfgang inspira profondément et prit son air habituel pour se genre de situation. Il avait apprit à le parfaire dans plein d'autre cérémonie de la sorte. Un air sérieux, réservé et bien élevé.

Le jardin était incroyable. La quantité de variété de fleurs et de parfums qu'elles émettaient était inimaginable. Tout était spécialement arrangé pour rendre l'endroit magnifique. Et pourtant Wolfgang n'était pas particulièrement intéressé par les fleur. Perdu dans ses pensée, il perdit son père de vue. Se morigénant tout bas, il accéléra le pas vers l'intérieur de la battisse centrale et aperçu les quelques personnes déjà présentent et il s’arrêta à la porte. Une jeune fille à la magnifique robe verte et aux yeux vairons l'air sévère s'était retournée vers lui.

Par automatisme il lança :

"Enchanté, je suis Wolfgang Ravenwood, le fils d'Otto Feuermann, un ami de Charles Brunn"
_________________

Otto Feuermann (père de Wolfgang) :

C'est un homme très grand et large d'épaule. Il parle avec un fort accent allemand et est très sociable et souriant. Étant chanteur, il a une voix grave et qui porte. Pour l'occasion, il porte un costume très noir aux boutons argentés et aux manchette brodés de métal rigide.






Wolfgang n'étant pas encore entré à Poudlard, lui et son père parleront en marron

W.R.
Première année à Poudlard 2044-2045
(Absence aléatoire en ce moment, désolé pour mes RP)

14 sept. 2019, 13:44
∞ Fin de cycle ∞
Et les premiers invités passèrent les grilles du parc. Je les voyais par les carreaux du salon et visiblement Alec et Ciel les virent aussi, ils se levèrent derrière eux et vinrent à leur rencontre. Ils étaient deux, un jeune garçon, blond, qui même à plus de cent mètres de distance, paraissait trop serré dans son costume gris. Et un grand homme, qui devait surement être le père du premier, et qui portait un costume noir qui le grandissait encore plus qu'il ne l'était déjà. Alec indiqua au père les portes de l'entrée et je me dirigea vers ces dernières pour les ouvrir. Bien qu'elle soit grandes et lourdent, un sortilège les rendait particulièrement légères et alors que je calais les battants contre les murs, la musique se lança automatiquement. J'entendis des bruits de pas dans l'escalier et Évelyne et mon père arrivèrent dans l'instant pour saluer les premiers arrivant. Mon père portait un costume tout juste splendide, et Évelyne, qui ne portait pas encore sa robe blanche, était alors ornée d'une robe longue, fendu, couleur bleu pastel comme ses cheveux.

- Bienvenue messieurs! dit-elle alors, le sourire jusqu'aux oreilles.

À l'entendre, elle paraissait presque charmante... enfin bref... Le jeune garçon ce dirigea lui, vers moi pendant que mon père accueillait l'autre homme que visiblement, il connaissait.

- Enchanté, je suis Wolfgang Ravenwood, le fils d'Otto Feuermann, un ami de Charles Brunn.

Ami... il ne m'en avait jamais parlé pourtant... j'arquais un sourcil avant de sourire.

- Enchantée, Debra Brunn, fille du marié.

Je passa une main dans mes cheveux pour les rabattre sur mon œil vert mais bon, de toute façon tout le monde verrait mon anomalie... Par contre je m'étonnais qu'il y ait des enfants. Peut-être que après tout, il y en aurait d'autre... peut-être même des que je connaissais... oh non... tout mais pas ça pitié...




N'hésitez pas à vous répondre entre vous, je ne répondrais pas forcement entre chaque post ^^
@Alexei Menkins
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@Jeanie Catanach
@Welmina MacMaulan
 @Carry Harrison
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~ Draco dormiens nunquam titillandus.~
Il ne faut jamais titiller un dragon qui dort

16 sept. 2019, 00:04
∞ Fin de cycle ∞
Après un mois de juillet inattendu et explosif, je fus heureux d'avoir été invité à cet évènement, même si je n'y connaissais rien.

Aujourd’hui était un jour spécial, je portais pour la première fois un costume noir, une cravate, un long foulard gris qui tombait jusqu’à mes hanches, quant-à mes cheveux, ils étaient étiré en arrière. Je me sentais comme quelqu’un d’autre avec cette chevelure, mais ma mère, qui m’accompagnait alors, m’avait obligé à arranger tout cela de cette manière. Notre arrivée en voiture volante semblait un peu triste devant les voitures et chauffeurs garées autour du manoir. Nous n’avions certes pas de chauffeur, mais ma mère était une excellente conductrice.

À notre arrivée je fus époustouflé de voir un tel endroit, l’on aurait dit un manoir à la française comme on peut voir dans certains domaines là-bas. Intimidé nous entamions notre marche pour atteindre le lieu du mariage. Pour être honnête j’étais si impatient et stressé que je n’eux le temps de remarquer le jardin qui semblait pourtant parfait. Est-ce que Debra habite vraiment ici ? me demandais-je alors abasourdit.

Nous marchâmes jusqu’à pousser les incroyables portes du manoir. Ma cravate noire était peut-être un peu trop détendue. Je mis donc les mains dessus pour tenter de la serrer un peu plus. Cette ambiance me rendait peu à peu nerveux, jusqu’à croiser dans sa fine et sophistiquée robe verte foncée, Debra, qui naviguait dans la salle. Ma mère, s’échappa très vite et regarda les alentours de la pièce, tout était splendide. Quant-à moi, ma légendaire manie m’obligea de regarder chaque yeux, chaque détails, chaque coupe d’alcool pendant quelques secondes. Ainsi je pouvais sembler bizarre à première vue, en restant debout comme un piquet à remuer ma vue dans tous les sens.

- Hmmm…j’aurais dû prendre de quoi noter ou autre…dis-je alors en murmurant, sans m’en rendre compte.

Puis après m’être perdu dans mes mots, je ne pouvais arrêter mon regard que sur Debra. Je pouvais voir son regard et sa chevelure avant la prochaine année scolaire et sans m’en rendre compte, mon sourire fendit mon visage, mon regard s’apaisa et mon stresse s’envolait. Je me remémorais une fois où j’étais avec elle à la bibliothèque.

Cette fois-ci l'océan est très vert...murmurais-je alors qu'un individu que je ne connaissais pas passa devant moi.

Mon observation fut obstrué par cette personne, me faisant l’effet d’un réveil. Ainsi je me mis à me déplacer lentement, les mains dans les poches, vers je ne sais où. Je ne connaissais pas beaucoup de monde, en fait je crois ne connaître que Debra dans cette salle. Je me mis à pouffer de rire face à ma situation. Au secours sauve-moi Debra…me dis-je ainsi avant de sourire à nouveau. Il faudrait ne pas trop l’embêter à mon avis toute sa famille sera très demander. Puis d’un coin de l’oeil, je vis ma mère m’observer, comme pour chercher à me comprendre à cet instant même. Ainsi je me sentis un peu gêné et espérais que seulement ma mère m’avait vu agir bizarrement.
Dernière modification par Maximilian Whitecastle le 23 sept. 2019, 15:44, modifié 1 fois.

RP 2ème année (2044 - 2045)
- Avatar commun avec Debra Brunn -

l'amour est l'argent du bonheur - Maximilian

17 sept. 2019, 16:46
∞ Fin de cycle ∞
Lorsque la famille Catanach pénétra dans les terres des Brunn, les quatre enfants passèrent un certain temps à observer silencieusement l’opulence et la beauté de la propriété. Les yeux se promenèrent ainsi, des jardins parfaitement entretenus jusqu’à la splendide demeure qui leur faisait face, sans perdre une miette de ce décor luxueux auquel ils n’étaient pas accoutumés. Trinity et Blaine, eux, avançaient dignement, posant un regard admiratif mais non envieux sur les choses, et saluaient déjà quelques têtes connues d’un large sourire. D’anciens clients. La famille Catanach ne faisait assurément pas partie de la haute société mais elle avait cependant réussi à gagner l’estime de certaines familles de collectionneurs et autres passionnés d’objets magiques. Trinity et Blaine étaient « les marchands d’Inverness », ou « les marchands de la blackhouse » pour les familiers, ceux qui rassemblaient dans leur boutique des objets ésotériques affiliés à la magie blanche (et peut-être grise) faisant le bonheur de ces familles qui aimaient dépenser leurs gallions dans des trésors occultes.

Lorsqu’ils entrèrent dans le manoir, Trinity et Blaine se trouvaient en tête de cortège. Morgad et Fergus marchaient à quelques mètre d’eux, regardant encore le jardin fleuri depuis les fenêtres, tandis que Keir et Jeanie, les derniers, contemplaient leurs pieds. Pour Keir, la raison était à chercher du côté d’un malaise général en présence d’inconnus, surtout de cette classe sociale. Pour Jeanie, sa mine déconfite, qui d’ailleurs contrastait beaucoup avec la gaieté de sa robe, trouvait sa source dans les remontrances de ses parents et des trois autres traîtres (ses frères). « Sois irréprochable. » lui avaient-ils dit en choeur pendant des jours entiers, avant le mariage. Conscients peut-être du peu de mémoire que Jeanie avait, ils s’étaient amusés à décliner et à répéter le sermon dans le but de débrayer les envies destructrices de la jeune adolescente. Mais au lieu de provoquer chez elle une remise en question de son attitude, cela lui avait causé un mal de crâne. Alors, dans un moment de faiblesse, elle avait juré de se tenir à carreau. Mais elle n’avait pas promis d’être sage toute la soirée ! Quand les adultes se mettraient à boire, Jeanie agirait. En attendant, l’ambiance trop lisse de la fête l’ennuyait déjà. A tel point qu'elle préférait regarder ses pieds.

Elle ne put donc remarquer que Morgad jetait un regard dans sa direction toutes les cinq secondes. La Gryffondor l’ignorait encore, mais elle allait avoir un grand frère sur le dos.

Pour revenir à l’entrée des Catanach, celle-ci se fit modestement. La plupart des invités ne se tournèrent même pas vers eux. Les esprits des autres étaient déjà occupés ; saluer un tel, saluer un autre, faire la conversation, complimenter Madame... Seuls quelques regards tombèrent sur les tenues et les visages de la famille écossaise.

Trinity fut celle qui fit lever le plus de paupières parmi le peu de curieux. Sa longue robe empire d’un bleu plus sombre que la nuit portait les constellations argentées de notre système solaire. Les astres se déplaçaient sur la soie de manière imperceptible sauf pour les regards les plus attentifs. La grande femme aux cheveux dorés dominait ainsi sur ses escarpins noirs une entrée peu remarquée malgré la beauté de sa robe. Son mari, plus discret, arborait le costume d’un parfait gentleman ; chemise blanche ajustée à poignets mousquetaires maintenus par des boutons de manchette en argent, gilet bleu marine assorti à la veste de costume ainsi qu’au pantalon à pinces, une cravate légèrement plus claire que le reste et des richelieu cap toe marron. Peut-être pouvait-on lui reprocher l’absence d’accessoire. Blaine n’était pas coquet contrairement à Fergus… Le jeune Serdaigle tirait sans arrêt sur sa montre à gousset héritée de son grand-père dans l’espoir de recevoir les compliments d’une fille qui l’aurait remarquée. En réalité, il donnait l’impression d’avoir un toc. Mais quand il cessait d’agir étrangement pour attirer l’attention des autres, l’adolescent était tout à fait plaisant à regarder ; chemise et veste blanches, nœud papillon et pantalon noirs assortis à ses mocassins, soit une tenue moins classique que celle des autres hommes de l’assemblée. Keir et Morgad s’étaient plutôt inspirés de leur père pour la leur. Le second avait choisi de porter un costume bleu marine similaire à celui de Blaine tandis que le premier avait misé sur la couleur noire. Quelle autre couleur porter de toute façon ? Depuis son arrivée, l’aîné broyait du noir avec sa petite sœur pendant que le reste de la famille rayonnait de bonheur. Keir balaya du regard la salle remplie de convives et soupira bruyamment dans le but d’attirer les regards désobligeants de ceux qu’il prenait pour des crétins. Il n’y avait rien de plus idiot que le mariage à part peut-être le souhait d’y assister. Comment ses parents avaient-ils pu accepter l’invitation ? Ils ne connaissaient personne ! A part quelques clients et souvent pas les plus aimables ! Pour se consoler, le grand adolescent chercha du regard la chaise qui lui servirait à montrer aux yeux de tous qu’il n’avait rien à faire ici ; celle sur laquelle il s’assiérait et lirait : « 1001 façons d’empoisonner un banquet ». Quant à Jeanie, elle profita d’un miroir pour regarder à nouveau sa robe ; une explosion de fleurs couleurs pastel délimitées par du fil doré faisant ressortir leurs pétales sur un tissu souple tombant jusqu’à ses mollets. La chipie aux cheveux courts ressemblait dans cette tenue à une adorable fée. D’habitude, la jeune fille portait des robes bien plus larges dans lesquelles elle profitait d’une totale liberté de mouvement. Mais le mariage imposait de s’habiller mieux que "d’habitude" et Jeanie fut obligée de porter une robe ajustée à sa petite taille quasi inexistante. Seule la jupe ample lui plaisait car elle tournoyait au moindre de ses gestes, ce qui la rendait accidentellement élégante. Quelques grands-mères dont le passe-temps favori était d'observer les nouveaux venus sourirent à la vue de la jeune adolescente et la qualifièrent même de « charmante ». Les oreilles de Fergus captèrent ce mot mais sa bouche profita de l’occasion pour cracher son venin quotidien. Il rejoignit sa soeurette pour lui chuchoter :

« Elles voulaient dire : "affreuse". »

Du talon de sa salomé en cuir verni, elle frappa le pied droit de son frère et l’abandonna innocemment à son triste sort pour rejoindre Morgad. Fergus s’efforça de rester digne malgré la douleur physique et mentale de voir sa nouvelle paire de chaussures ainsi maltraitée.

Soudain, la famille aperçut les futurs mariés. Chacun admira la robe bleue de Ms MacMaulan. Même Jeanie reconnut qu’elle était magnifique mais n’en dit mot à personne ; les compliments pour les autres étaient voués à demeurer pour toujours dans sa tête. Il était hors de question de paraître sympathique. Fergus, quant à lui, passa un certain temps à analyser le costume du mari, cherchant le moindre défaut, la plus petite faute de goût… Mais il dut s’y résoudre ; tout était parfait dans sa tenue… Surtout ses chaussures, qu’il regardait jalousement. Trinity et Blaine en profitèrent pour les saluer chaleureusement et les complimenter sur la beauté de leurs jardins. Les quatre adolescents les imitèrent rapidement avant de s’intéresser au reste de la population. Il y avait finalement de tous les âges, ce qui rassura Fergus. Mais quelques secondes après avoir fait cette constatation, il reconnut un professeur d’université réputé pour ses ouvrages de droit sorcier comparé et s’approcha discrètement du groupe d’individus qui s’était déjà formé autour de lui. Quant à Keir, il s’installa sur la chaise qu’il avait élue. Et Morgad et Jeanie restèrent plantés derrière leurs parents. Après quelques secondes de silence, le Serdaigle s’exclama :

« Tu n'as qu’à parler avec ces deux-là ! »

Il accompagna son propos d’un geste du menton visant un blondinet et une fille vêtue d’une incroyable robe verte. Jeanie passa un certain temps à les observer avant de répondre :

« Non.
- Et pourquoi donc ?
- C’est Debra. Elle cache toujours son œil gauche avec une mèche. ‘Faut se méfier des gens qui cachent toujours leur œil gauche avec une mèche. »


Morgad décida de ne pas relever et se contenta de réprimer tant bien que mal son sourire amusé.

« D’accord… Et ce garçon ? »

Jeanie posa des yeux inquisiteurs sur un élève de Serdaigle avec qui elle n’avait jamais parlé et le surprit en train de pouffer de rire tout seul.

« Bof, il a pas l’air net, se contenta-t-elle de répondre, les sourcils froncés d’incompréhension.
- Il faudra bien que tu parles avec quelqu’un, sinon tu vas vite t’ennuyer, répondit gentiment Morgad. Ou alors, tu peux rester avec moi, je suis sûr qu’on pourra... »

La petite sœur s’éclipsa sur-le-champ et se glissa dans la foule toujours plus grossissante des invités, sans but précis (à part celui de fuir son frère), jusqu’au moment où elle écrasa le pied de quelqu’un.

Reducio
Si vous voulez RP avec Jeanie ou l'un de ses frères ou les parents, ou faire interagir l'un de vos PNJ avec un membre de la famille Catanach : je vous en prie ! /Même si Jeanie semble réticente inRP !/
Dernière modification par Jeanie Catanach le 20 sept. 2019, 11:25, modifié 1 fois.

Insupportablement vôtre, J.
Deuxième année RP en 2044-2045

20 sept. 2019, 10:33
∞ Fin de cycle ∞
La famille Horton avait reçu il y a un mois de ça une invitation impromptue. En ces temps difficiles, aucun d’eux ne s’attendait à ce que l’on souhaite célébrer pareille occasion maintenant. Pourtant, Charlie Brunn ne semblait pas vouloir faire comme les autres. Il avait donc demandé à tous les sorciers de la haute de se déplacer pour fêter avec lui son remariage.
La réponse catégorique de Rhys Horton avait surpris sa femme. C’était non. Lui qui était toujours prêt à sortir, faisant même de son métier de voyager, ne voulait plus quitter le manoir sous aucun prétexte. On aurait pu penser que de se retrouver sans emploi ferait que ses escapades lui manqueraient mais ça l’avait en fait rendu casanier. Pourtant, ce ne fut pas cette exclamation qui surprit le plus la maisonnée ce jour là mais celle qui suivit. Alana Horton, elle, voulait y aller ! Elle qui devait se faire convaincre pour passer le pas de la porte voulait y aller d’elle-même. C’était le monde à l’envers !
Les époux ne semblant pas avoir le cœur de se battre à ce sujet, rangèrent la lettre soigneusement dans le bureau de Rhys. Ils avaient encore un mois pour y songer. Il ne servait donc à rien de se fâcher maintenant.

~

A l’arrivée d’Enora, trois semaines plus tard, la question pointa le bout de son nez à nouveau. Le temps pressait et il fallait donner une réponse au plus tôt pour ne pas paraître impoli. La scène se rejoua à l’identique sous le regard fatigué de la jeune fille. Elle qui venait de rentrer n’espérait que rejoindre une famille heureuse qui effacerait toutes les inquiétudes qu’elle avait pu avoir lors de son séjour forcé à Poudlard. Il n’en était rien et elle se retrouva au milieu d’une dispute. Le désappointement fut éreintant car elle s’endormit sur le canapé douillet du salon avant qu’une solution ne soit trouvée.



Ça faisait une semaine à présent et Enora n’était au courant de rien. Elle s’était réveillée dans sa chambre et le sujet n’avait plus été abordé. Si ce n’est pour son escapade avec sa mère au Chemin de Traverse, qui avait résulté en une longue dispute et un long silence, les dialogues avec ses parents étaient souvent courts. Son père s’affairait dans la maison pour disparaître pendant de longues heures voire journées enfermé au dernier étage. Sa mère écrivait un peu partout où la lumière le lui permettait, lançant des regards désolés à sa fille pour seule communication. L’aiglonne en vint à se demander pourquoi ils l’avaient fait revenir si c'était pour ça. A son plus grand regret, rien n’apporta réponse à sa question, ne confirma ou n’infirma les craintes développées dans sa solitude.
Les yeux encore à moitié clos, la jeune fille s’efforça de s’arracher à son lit et à ses pensées malsaines. Le soleil était déjà haut dans le ciel. Elle se réveillait plus tard de jour en jour à cause de ses insomnies et ses parents ne remarquaient rien. Son regard s’éclaircit à la vue d’une magnifique robe posée sur le fauteuil. Tout excitée, elle s’approcha pour jouer avec le tissu. D’une texture parfaitement douce, la robe avait une forme assez simple, un col rond, des manches flottantes scindées au milieu et une jupe évasée. Toute la complexité se trouvait dans le motif : un mélimélo de pivoine de toutes les couleurs dont le détail était exquis. Parcourant le bas de sa main, elle remarque que l’ourlet était doublé de dentelle fine. Ils allaient donc à ce mariage !
Souriant pour la première fois depuis bien longtemps, Enora enfila en toute hâte son habit de cérémonie et, négligeant d’en refermer la fermeture éclair, descendit dans le salon pour retrouver sa mère. Ses lèvres aussi se fendirent d’un sourire :

- Bonjour ma chérie. Comment trouves-tu la robe ?

A en juger par l’engouement de la jolie brune, Alana connaissait déjà la réponse à sa question. Remarquant l’oubli de son enfant, elle quitta un instant sa plume pour y remédier.

- Magnifique ! s’exclama Enora en détachant chaque syllabe. Ça veut dire que nous y allons, n’est-ce pas ?

Enora voulait seulement s’assurer de ne pas se faire une fausse joie. Ce fut son père qui lui répondit, sortant de son bureau dans un magnifique complet bleu gris. Seul détail qui ne collait pas : ses cheveux, qui ressemblaient à un pauvre hérisson malade.

- Oui, nous allons au mariage des Brunn. Vous êtes superbes, ajouta-t-il avec un baiser sur la joue de chacune des femmes de sa vie.

Un coup d’œil à sa montre et il les pressait déjà de sortir du manoir. L’employée de maison arrangea rapidement les cheveux d’Enora en une tresse africaine négligée où elle eu le temps de glisser une pivoine comme celles de sa robe. Pendant la coiffure, la jeune fille s’était délectée d’une brioche qui ferait office de petit déjeuner.
Elle retrouva ses parents pour partir et vit sa mère pour la première fois en tenue. Comment avait-elle réussi à se faire aussi belle le temps d’une tresse ? Sa robe jaune laissait ses épaules nues et descendait jusque dessous ses genoux en une coupe serrée. Le tissu reflétait la lumière agréablement, donnant des allures d’or liquide à l’habit qui tranchait parfaitement avec ses cheveux roux foncé. Son visage était dégagé par une couronne de natte qui laissait la plupart de sa chevelure libre. Son maquillage était léger et élégant. Elle ne portait que son alliance et des diamants aux oreilles en guise de parure.
Enora ne s’était jamais rendu compte d’à quel point ses parents pouvaient être beaux ensemble, une fois la situation capillaire de son père arrangée bien sûr. Elle prit une main à chacun d’eux et ils quittèrent le manoir.

~
 
Une petite demi heure de trajet sembla durer une éternité avec le silence pesant. Pourtant, quand les portières furent ouvertes, tout le monde souriait. Les Horton se dirigèrent vers l'entrée et Rhys, redevenu animal social, précéda la petite troupe en cherchant des yeux l'heureux couple. Il les repéra finalement et, devant la foule d'invité qui se pressait autour, se résolut à simplement faire un signe de tête aux mariés, espérant avoir l'occasion de leur souhaiter tout le bonheur du monde quand ils seraient moins occupés. 
Ce fut le signal pour Enora qui, ayant soif se rapprocha d'une table chargée de verres qu'elle avait repérée en rentrant. Son verre à moitié vide dans une main, elle scruta la foule, apercevant à son grand soulagement qu'elle n'était pas la seule enfant. Elle crut reconnaitre un visage familier. Peut être avait elle déjà vu cette sorcière aux cheveux courts à Poudlard ? Sa robe aussi fleurie que celle d'Enora avait attiré son regard mais trop peu sûre, elle préféra se détourner pour ne pas la fixer impoliment.
Dernière modification par Enora Horton le 03 déc. 2019, 12:45, modifié 1 fois.

~ 2 ème année RP ~

12 oct. 2019, 11:55
∞ Fin de cycle ∞
- Enchantée, Debra Brunn, fille du marié. répondit la jeune fille à la robe verte.

Ah ! Parfait ! La jeune fille à la robe magnifique n'était personne d'autre que la dame Brunn, fille du marié. 
Wolfgang salua sa réponse d'une petite courbette et lança un compliment sur sa robe. Autant par obligation que par franchise.

- Vous êtes magnifique Debra. 

Il avait réussi à parler d'un ton posé et il n'en était pas peu fier. Plus qu'a obtenir la voix grave de son père et il serait presque charismatique.
Les invités ne cessaient d'arriver et il observa une famille en majorité composée d'enfant à l'air tous aussi bizarre les uns que les autres. Finalement, peut-être que ce mariage promettait autre chose que de l'ennui et des belles choses.

Sans vouloir emcombrer la fille du marié plus que nécessaire, il lui adressa un hochement de tête pour signifier qu'il avait terminé. Après approbation, il s'éloigna les mains dans le dos. Elle n'avait pas l'air méchante malgré son air maussade. D'ailleurs il aperçu une autre jeune fille dont la visage exprimait des pulsions destructrices. Il en fut effrayé, non que ça l'étonnait mais surtout qu'il savait qu'il fallait bien se tenir et que la jeune fille avait l'air de le savoir aussi.
D'autant plus qu'elle finit par écraser le pied d'un invité.

Wolfgang s'approcha de la table des boissons et attrapa un verre. Il continua son analyse des invités. Beaucoup d'adultes, évidement. Quelques plus jeunes étaient quand même présent ce qui rassura le garçon, malgré l'air étrange d'à peu près 100% d'entre eux. Il grimaça au gout de la boisson inconnue qu'il avait prise puis décida de rejoindre son père qui devait sûrement disculter de chose bien ennuyeuses.

Point de vue d'Otto Feuermann

Wolfgang lui tirait la manche depuis bientôt cinq minutes et sa patience arriva à son terme.

- Qu'y a t-il ? demanda t-il calmement mais tout de même l'air ennuyé

- Quand est-ce que ça commence ?

- Commencer quoi ? ronchonna t-il 

- Je sais pas... Le mariage ? La cérémonie ?

- Il faut attendre que tout le monde soit la Wolf' ! C'est pour ça que tu es venu m'embéter ?!

Et le grand homme retourna à sa conversation. 
Derrière lui, son fils souffla d'ennui. 

- Va voir les autres enfants ! 

Et Wolfgang souffla de plus belle. Evidement, Otto savaiet très bien que son fils détestait qu'on lui parle comme à un gamin de 6 ans. Mais cela fonctionna et le petit s'éloigna enfin pour se rapprocher de la jeune fille à l'air de psychopathe pour engager la conversation.

(Jeanie)

W.R.
Première année à Poudlard 2044-2045
(Absence aléatoire en ce moment, désolé pour mes RP)

01 déc. 2019, 10:25
∞ Fin de cycle ∞
Il y a quelques jours, mes parents ont reçu un carton d'invitation parmi tant d'autres. Mais celui là annoncait un événement particulier à mes yeux : le père de Debra Brunn, une fille que je connais va se remarier. Et évidement, je suis également invitée.
C'est donc dans l'idée de me trouver une robe adéquate (je suis sûre qu'il y en a une qui ferait l'affaire dans mon placard, mais bon) que Mère m'a traînée dehors et que nous avons toutes les deux craqué sur une robe tout à fait appropriée : elle m'arrive aux genoux avec une jupe ample et un haut brodé avec des perles contrastant avec l'extreme simplicité de la jupe. Mes bras sont couverts jusqu'aux poignets par le tissu fin et léger qui compose la robe bleue pâle. J'ai de jolies sandales bleues, et en guise de bijou, je porte mon pendentif avec la clé bleue que Père m'a confié récemment. Quant à mes cheveux, sont délicatement relevés en une couronne de tresses dans la quelle nous avons glissé quelques boutons de roses blanches.
Mon père, lui, a décidé de faire simple (enfin, il l'espère) : un costume trois pièces bleu marine sans cravate, qui, il l'espère, lui permettra d'être elegant, sans pour autant faure de l'ombre au marié.
Mère, elle, a opté pour une robe aux longues manches vert pistache qui lui arrive aux genou et piur un chapeau large de la même couleur avec un ruban et une ceinture de ciuleur vanille. Elle a tressé ses cheveux aux reflets cuivrée en épi tout simple, mis des sandales et nous voilà partis, précédés de notre cadeau de mariage : une statue jolie en verre coloré représentant une muse, et un paravent en bois et papier chinois aux couleurs changeantes.
Nous arruvons pile a l'heure, au moment où peu de gens sont là. Mais je reconnaus déjà des camarades. Debra, dans un magnifique robe verte (j'ainerais bien une de ce genre pour Halloween) et Enora.
Mes parents vont se mélanger aux autres adultes et moi je me dirige vers la Serpentard.
«Bonjour Debra. C'est magnifique, chez toi. »
Je m'incline legèrement et la quitte ne voulant pas l'encombrer, puis ne durige vers mon amie. Un sourire immense aux lèvres, et me retenant de lui sauter dessus.
«Enora ! Ravie de te voir ici ! Tes parents sont là ?»

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Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

03 déc. 2019, 16:12
∞ Fin de cycle ∞
L'ennui commençait à pointer le bout de son nez et la jeune fille n'était arrivée que dix minutes plus tôt. Déjà, elle avait perdu ses parents dans la foule au profit de quoi se désaltérer. Le verre à présent vide dans sa main, elle observait discrètement deux jeunes sorciers de son âge, pensait-elle, faire connaissance. Elle aimerait pouvoir être capable d'être plus extravertie en cette occasion mais les derniers mois pesaient sur ses frêles épaules et elle avait du mal à s'exprimer. 
Quitter le manoir, même si ce n'était que pour un jour, faisait beaucoup de bien à Enora néanmoins. Le changement d'air et la perspective de rencontrer de nouvelles personnes lui plaisaient. Elle espérait seulement qu'elle n'aurait pas à attendre d'être assez désespérée pour devoir faire le premier pas. 
L'espace d'un instant, elle croisa le regard de son père. Il semblait heureux dans ce milieu mondain et pourtant c'était lui qui s'en isolait depuis les évènements de mai. Ou bien il était très doué pour jouer un rôle. Il lui fit un clin d'oeil avant de retourner à sa conversation. C'était la première véritable interaction qu'ils avaient eu depuis bien longtemps et l'aiglonne ne put s'empêcher de sourire. 
Merveilleuse surprise de plus, sa bonne amie Celia Awena s'approchait d'elle ! Cela n'étonnait pas Enora qu'elle et sa famille aient aussi été invitées. Leurs pères naviguaient dans les mêmes sphères, tout comme la famille Brunn. Tellement soulagée de voir un visage familier, la petite brune se prit d'un élan d'affection et donna une accolade à son amie. 

- Ravie aussi, dit elle. 

Sans doute le savait elle déjà au vu du sourire étirant ses lèvres et du geste peu commun de sa part. 

- Quelques parts en train de papoter. Les tiens aussi j'imagine ? l'interrogea-t-elle, les cherchant déjà des yeux. 

~ 2 ème année RP ~