Elfie avait envie de retirer ce qu’elle avait dit. En disant que Noah avait aussi un problème, elle voyait bien à sa tête que ça le rendait triste et ça le ramenait à des souvenirs qu’il n’avait pas envie. Mais bon, pourquoi s’occuper du problème des autres alors qu’on a déjà le sien à s’occuper? Elfie ne savait pas, ne savait pas pourquoi il avait voulu l’aider.

Elfie commençait à avoir un peu de doute sur la fiabilité de Noah, peut-être essayait t’il de se rendre heureux en faisant aux autres ce qu’il avait voulu faire, c’est à dire qu’il voulait aider la jeune fille seulement pour lui.
Mais Elfie chassa cette idée de sa tête. Il avait trop de sincérité dans ses paroles. Il était blessé et il ne voulait rien faire pour que ça s’arrête.

Noah pris d’ailleurs la parole, avec un ton un peu colérique. Elfie avait touché un point sensible. Il était vraiment mal. Il disait qu’il ne pouvait rien faire. Elfie ne pouvait pas s’y opposer mais lui glissa quand même :

-Il y a un dicton qui dit qu’il n’y a jamais de problème, que des solutions. Donc à ton problème il doit forcément y avoir une solution mais que tu n’es pas encore prêt pour.

Elfie avait dit ça, elle ne savait pas si c’était vrai, mais elle avait parler sans réfléchir, ses mots avait coulé seul, la jeune fille leurs faisait confiance. Noah lui fit signaler que le problème de la jeune fille était plus récent que Noah et était donc prioritaire ce qui était un peu bizarre.

-Tu sais moi je ne peux pas faire grand chose à par attendre. Tant que je reste bloquer à Poudlard, je ne pourrais rien faire.

Elfie n’avait dit ça d’une petite voix pour ne pas qu’on l’entende mais Noah, son oreille à cinquante centimètres l’a forcément entendu.

Noah espérait qu’elle ne le prendrait pas comme de la fuite. En lui promettant ainsi, il ne la repoussait pas mais ne la laisser pas pour autant tout savoir de ses problèmes. Il ne savait pas si il pourrait en parler et pour le moment, il n’était pas sur de le vouloir. Face à cette accès de colère, la Gryffondor ouvrit la bouche pour lui sortir un dicton qu’elle avait probablement trouvé dans un paquet de bonbons mais qui fit entrer le doute dans l’esprit de Noah malgré tout.

En théorie, certes, tout problème avait une solution mais quant était-il en pratique? Il n’allait pas prendre un train direction la France pour aller parler à ses parents. Bien qu’il devrait déjà ouvrir les lettres qu’ils lui envoyaient, la solution était peut-être là. Arrêter de faire l’enfant et se montrer raisonnable. Noah ne voulait pas lire encore d’autres horreurs de la part de son père. Il en avait assez entendu la dernière fois qu’il l’avait vu et ne voulait pas souffrir encore plus. Qu’était-il à ses yeux ? Rien si il devait croire ce qu’il avait entendu.

Elfie avait peut-être raison, il n’était pas prêt à pour cela. C’est cela qui mis le doute à Noah, elle ne lui disait pas de trouver une décision tout de suite, il fallait parfois du temps pour cela. Il décida de se montrer un peu moins réticent à la conversation et l’échange et se promit d’essayer de s’ouvrir à elle. Mais il maintenant malgré tout ce qu’il venait de dire, c’était à elle de parler en premier, elle semblait être plus mal que lui étant donné que c’est elle qui pleurait avant qu’il n’arrive. C’est d’ailleurs ce qu’elle commença à faire en lui expliquant que de son côté elle ne pouvait rien faire non plus, du moins pas tant qu’elle serait à Poudlard. Noah réfléchit rapidement et essaya d’en tirer des conclusions. Il lui demanda alors:

« Si ce n’est pas à Poudlard, c’est que ça concerne ta famille c’est ça? Qu’est-ce qu’il se passe? C’est grave? »

Le Serpentard se rendit compte qu’il avait encore posé beaucoup de questions sans pour autant répondre aux questions d’Elfie. Il se montrait injuste mais il ne savait faire que ça et ne savait pas s’il pouvait redevenir le garçon joueur et toujours de bonne humeur. Il décida malgré tout de faire un effort et lui confia quelque chose en retour.

« Moi non plus je crois que je ne peux pas faire grand chose maintenant car cela concerne ma famille aussi.  »

C’était peu de choses mais Noah se tut aussitôt, il avait l’impression d’avoir dévoiler tous ses secrets et regarda rapidement autour de lui. Il ne voulait pas en dire plus, cela ne regardait personne. Il baissa les yeux et se tordit les mains l’une dans l’autre. Il avait fait sa part du compromis et c’était désormais à elle de le respecter.

Elfie avait sortit un dicton que sa mère disait souvent. Il était simple mais permettait souvent de régler des problèmes. Noah avait l’air de le prendre tout d’abord comme un dicton de grand mère vu sa tête, cette tête qui changea très vite. Il se mit en suite à réfléchir. Elfie voulait savoir de quoi mais il fallait le laisser, dans ces moments là pour ne pas qu’il se mette en colère, c’était sans doute un sujet très sensible dont il couvait.

Elfie, à regarder Noah en oublia presque son problème. Le fait qu’il change d’attitude comme ça, c’était surprenant. Il était d’habitude très rentre dedans, assez égoïste et solitaire. Il avait la tout d’abord été très doux et très sincère, avait ensuite été assez ferme, sûrement à cause de souvenir et la, il était comme un peu perdu mais sur à la fois, c’était assez compliqué et se qu’il cachait tout aussi dur surement.

Le Serpentard fit revenir la troisième année à la réalité. Il avait très vite deviné ce que c’était. La famille. Hors Poudlard on ne pouvait rien y faire, même si on n’en avait très envie. Elfie regarda Noah et lui fit un signe de la tête comme réponse, elle n’aurait pas pus ouvrir la bouche au risque d’éclater en sanglots , ce qu’elle n’avait pas envie.

Pendant que Noah parlait, elle arrivait à se retenir et pourrait parler sans trop crainte. Le troisième année avoua que lui aussi c’était à cause de la famille et qu’il ne pouvait rien faire. Il se tut juste après, sûrement comme si c’était un choc, un choc émotionnel. Comme Noah avait fait un effort, Elfie en fit un aussi:

-Tu as vu juste, c’est en rapport à mon père, ma mère et...

Elfie s’arrêta. Elle ne savait pas, elle ne pouvait pas, dire la troisième personne. Elle ne pouvait pas citer son petit frère qu’elle n’avait jamais connu, c’était une étape trop dur...

Avant même que Noah ait dévoilé à la Gryffondor que son secret concernait sa famille, cette dernière lui fit un rapide coup de tête pour confirmer qu’il avait vu juste. Une fois qu’il eut terminé ses aveux, elle sembla avoir retrouvé la parole et lui répondit à son tour. Elle lui expliqua alors que si elle pleurait c’était à cause de ses parents et d’une autre personne. Mais cela devait être trop dur pour elle car elle ne parvint pas à terminer sa phrase. Elle laissa en suspens ses mots et Noah ne pouvait deviner de qui elle voulait parler.

Ce sujet semblait être vraiment difficile pour Elfie, Noah avait l’impression qu’elle allait se mettre à pleurer si elle essayait de parler. Il ne savait pas quoi faire, il ne savait pas comment il devait faire pour rassurer les autres et n’imaginait même pas pouvoir faire un câlin à la Gryffondor pour la conforter. Ne sachant pas toute la situation, cela rendait les choses encore plus compliquée. Il réfléchissait à la manière dont il pouvait réagir mais c’était trop compliqué. Il repensa alors à sa mère qui lui disait que des fois il fallait outrepasser les mots. Il essaya alors d’aider Elfie à sa manière:

« Si tu n’arrives pas à le dire, peut-être que tu pourrais l’écrire. Il parait que c’est plus facile des fois. »

Le Serpentard regarda autour de lui pour voir si il y avait un bout de parchemin ou quelque chose sur lequel elle pouvait écrire. Par chance, ils se trouvaient dans une salle de cours et il y avait tout ce qu’il fallait pour cela. Il se leva rapidement et se dirigea vers une étagère où se trouvait le matériel. Il attrapa rapidement un bout de parchemin et une plume qu’il rapporta à Elfie. Il lui dit alors.

« Tiens essaye avec ça! Fin après, si c’est trop dur pour toi, on peut en reparler plus tard. C’est juste si ça peut t’aider. Comme tu veux.  »

Le mot resta bloqué à travers de sa gorge. Elle n’arrivait pas à le sortir au risque d’éclater en sanglots. Elle voulait pouvoir se lâcher, mais sans montrer cette faiblesse. Elle avait déjà essayé de se cacher, mais voila où cela l’avais mené, en train de parler de choses douloureuses qui pourraient lui faire pêter les plombs à tout moment. Elle voulait résister, partir, abandonner Noah, courir loin très loin, sans s’arrêter. Et se mettre à crier tous ce qu’elle avait en elle.

Elle voulait crier, pour faire s’échapper tous ce qui se cachait sous ce petit corps, encore jeune. Mais pour l’instant, elle ne pouvait pas s’enfuir, elle ne pouvait pas partir, ni pour aller voir sa mère, ni pour déambuler au hasard. Elle rester enfermé sur elle même à attendre. À attendre le moment où elle se libèrera. Elle en avait grand besoin, mais pour cela, il fallait déjà qu’elle connaisse la solution pour. Même si la jeune fille le voulais, son esprit était occupé à autre chose. Seul un miracle pourrait la délivrer.

Mais la, elle était en face de ce jeune garçon, qui lui avait fait parler un peu, chose qu’elle ne faisait jamais. C’est pourquoi la troisième année lui avait fait confiance et avait décidé de l’écouter et de répondre à ses questions le plus simplement possible. Le Serpentard lui tendit un parchemin et une plume. Elle regarda le garçon et lui dis:

-C’est avec maman, papa et...

Elle pris la plume, et la pointa vers le parchemin. Après un soupir elle posa le bout de la plume sur le parchemin et s’arrêta. Elle voulait marquer le prénom de sonde frère mais elle ne savait même pas, il était partit, avait qu’il soit nommé. C’était trop dur pour la jeune fille de marquer sur le papier, seulement petit frère, c’était lui manquer de respect. Après avoir bien réfléchi, elle inscrivit :

Et quelqu’un qui est partit avant de lui donner à un nom.

La troisième année regarda le parchemin que lui tendait le Serpentard et essaya une nouvelle fois de lui expliquer ce qui la rendait dans un tel état avec des mots. Mais comme quelques minutes plus tôt, sa gorge se contracta et elle ne parvint pas à terminer sa phrase et Noah se demandait ce qui pouvait être aussi dur à dire. Comprenant elle aussi qu’elle ne réussirait pas à finir sa phrase, elle s’empara du parchemin que le garçon lui tendait ainsi que la plume. Elle se pencha et posa la plume sur le parchemin et chercha la meilleure manière d’écrire ce qu’elle avait sur le cœur. L’effort qu’elle faisait était palpable, elle ne semblait pas savoir comment le faire. Cependant après une concentration non feinte, Noah vit la plume s’agiter et les mots apparurent sur le parchemin.

Il n’avait pas besoin de bouger pour pouvoir lire ce qu’elle écrivait. Son écriture était très lisible et même à l’envers, il arrivait à discerner les mots. Il ne comprit pas dans un premier temps ce qu’elle voulait dire. Il avait toujours été nul pour les énigmes et il avait l’impression que c’en était une. Que voulait-elle dire avec ces mots? Cela concernait ses parents et une personne à qui était partie avant d’avoir un nom. Le Serpentard mit quelques secondes à comprendre que parti signifiait dans cette situation, décédé. La voix d’Elfie, sa tristesse et sa difficulté à le dire l’avaient guidé vers cette voie. Ses lèvres formèrent un O de surprise. Il ne savait pas comment réagir autrement, il n’avait jamais été confronté à la mort et il ne savait pas ce qu’il devait dire dans ces situations.

D’autant plus qu’il n’était pas sur d’avoir très bien compris. D’après tous les indices qu’il avait eus, il avait compris que ses parents avaient perdu un bébé à la naissance ou pendant la grossesse mais il n’en était pas certain. Se rendant compte que le silence devenait de plus en plus long et qu’il devait réagir, il le souffla ces quelques mots.

« Oh Elfie, je suis désolé pour toi. Je ne savais pas que c’était aussi grave. » Il essayait de trouver une manière de rebondir et de l’aider mais les idées lui manquaient. Il ajouta alors: « Tu devrais peut-être en parler à M. Briggs. Il pourrait essayer de te laisser rentrer dans ta famille quelques jours non?  »

Elfe avait écris ses pauvres petits mots avec difficulté. Peut être qu’elle ne devait pas se mettre dans tous ses états, mais la troisième année gérait très mal ses sentiments. Souvent ils la dépassaient et elle ne pouvait plus gérer. Elle éprouvait en plus de cela, double sentiment, ceux de sa mer et les siens. Elle ressentait ce que sa mère pensait même si c’était pas l’alternative de mots écris sur un papier. Elfie était très sensible, ce qui avait du bon comme du mauvais.

Elle était là devant Noah à ne pas pouvoir parler. Elle ne savait pas comment Noah allait réagir, si il allait comprendre ce qu’elle voulait dire, si il allait lui poser des questions, si il l’a soutiendrais, elle ne le savais pas mais maintenant qu’elle avait commencé à se dévoiler un peu, elle ne pourrait s’arrêter brutalement. Elle alla devoir continuer un peu, il fallait qu’elle se prépare. Psychologiquement. Il fallait qu’elle puisse l’exprimer, peut être que cela allait la soulager. Mais la jeune fille était sur de rien et était en plein réflexion avé ça elle même.

Quand le Serpentard perçu les mots écris sur le papier, il fut comme bouche bée. Il fut un O de surprise comme si il ne s’y attendais pas du tout. A sa tête, il avait surment compris, ce qui prouva à Elfie qu’elle n’était pas en compagnie de n’importe qui. Noah n’essaya pas ensuite de lui poser plus de question mais il essaye de l’aider. Elfie pris son courage à deux mains et lui répondit;

-En faite, plus précisément, c’est ma maman qui a fait une fausse couche, il y a pas longtemps. Elle est seule à la maison car mon père n’est pas là et je voulais la voir pendant les vacances d’avril.

Noah lui proposa d’aller voir son directeur de maison, mais la troisième année qui ne faisait confiance a personne préférait enlever cette idée de sa tête de suite.

-Je ne peux pas rentrer, ça n’est pas possible, annuler des vacances, ce n’est pas rien!

Noah ne savait pas trop comment réagir face à ce qu’il venait d’apprendre et cela du se ressentir dans sa manière de répondre à la Gryffondor. Il n’avait jamais été confronté à des problèmes comme celui-ci et même si ça avait été le cas, il n’était pas très doué pour rassurer les autres en général. De son côté, Elfie semblait très touchée par cette révélation et elle avait encore du mal à en parler. Cependant, le fait de l’avoir mis sur écrit semblait l’avoir été un peu à s’exprimer. Après quelques secondes, elle releva la tête et regarda Noah pour lui répondre.

Sa mère avant donc fait une fausse couche et selon ses dires, elle se trouvait toute seule. Noah voyait bien que sa camarade souffrait mais il n’osait même pas imaginer comment sa mère devait se sentir. Seule face à cet évènement très triste, ce devait être une horreur. Il préféra ne pas s’attarder sur ces images qui apparaissaient dans sa tête et écouta Elfie parler. Elle ne pouvait pas rentrer mais Noah n’arrivait pas à comprendre pourquoi. Il savait qu’avec les évènements actuels dans le pays, il était certainement difficile de quitter Poudlard mais elle pouvait tout de même essayer d’en parler à son directeur de maison, voir même à la directrice. Étonnement, il se sentait même près à témoigner pour elle auprès de la direction pour qu’elle puisse revoir sa mère.

Il réfléchissait à la meilleure manière de leur présenter ça mais en réalité, il ne savait pas vraiment comment il pourrait s’y prendre. Il essaya une nouvelle fois de rassurer sa camarade de Gryffondor:

« J’imagine que ça doit être dur pour toi et ta maman. Et je suis sur que si tu leur expliques la situation, les profs seront d’accord pour essayer de faire quelque chose. Je ne comprends pas trop ce que tu veux dire par rapport aux vacances. »

Noah continuait de réfléchir en même temps qu’il parlait, il voulait rassurer le Gryffondor mais après plusieurs mois d’indifférence au monde qui l’entourait, Noah semblait rouillé et ne savait plus réellement comment il devait faire. Il tenta malgré tout quelque chose.

« Je ne suis peut-être pas celui à qui tu as envie de parler mais si tu as besoin d’en parler, je suis là si tu veux. »

Noah écoutait attentivement Elfie, sans la couper. Il la laissait parler et Elfie avait réussit à ce confier. C’était très rare et Noah devait donc avoir quelques choses de spécial. Elfie était d’habitude très fermée, et ne se laissait pas s’ouvrir aussi facile. C’est pourquoi, elle avait pris la décision de laisser Noah, essayer de l’aider, mais ce qui n’allait pas être facile.

Elle se sentait un peu moins que rien de ne pouvoir rien faire pour sa mère qui, était seule, avec dans la mémoire, un mort, elle voulait la voir et n’avait pas réussi à trouver un moyen faisable. Noah en avait trouvé un bien, mais le problème, c’est que si la directrice avait pris la décision de garder tous les élèves à Poudlard pendant les vacances, c’est qu’il devait ce passer un truc de grave. Elfie avait quelques idées, notamment de la part de Mael mais elle n’était sur de rien. Elle tentait de l’expliquer à Noah:

-Eh bien, je pense que si ils ont garder toutes les personnes ici à Poudlard pendant les vacances, ce n’est pas pour rien. Il doit se passer un truc de vraiment grave, je ne sais même pas si c’est déjà arrivée.

Elle était triste à cette idée, et espérait du fond du cœur qu’elle soit fausse, mais elle savait très bien, qu’elle avait raison, elle continua pour finir :
-Eh puis si il se passe un truc qui peut rendre en danger, je préfère rester ici, plutôt qu’il m’arrive un truc de grave, je crois que ma mère ne supporterait pas une deuxième mort.

Elfie s’arrêta. Elle était replongée dans ses souvenirs et tous cela la fatiguait. Elle avait besoin de repos. Tout était en train de se mélanger dans sa tête, elle ferma les yeux pour remettre en ordre, ce qui lui demanda pas mal de concentration . Elle entendit, de façon diminuée, la voix de Noah lui parler. Avait elle envie de lui parler? Évidemment que oui, c’était la seule personne qui l’écoutait, et c’était la seule personne qui réussissait à faire parler Elfie. Mais la troisième année n’en étai pas capable, elle ne pouvait pas entamer une discussion maintenant. Elle regarda dans les yeux le Serpentard et ouvrit la bouche:

-Je veux bien parler, tu le fais du bien, mais j’aimerais me reposer, on se retrouve dans le parc ? Je te transmettrais l’heure et le jour si tu veux!

Après ses paroles, Elfie pris la main de Noah et la relâcha, en signe de remerciement. Elle pris la porte et s’en alla ensuite rejoindre son lit, histoire de réfléchi à tous ce qui venait de se passer.

RP finis pour moi! Merci à toi de t’être proposé!