Après avoir déjeuné Philippine, eut envie d’aller se promener dans les couloirs. Mais, pour ne pas se faire remarquer il fallait qu’elle se cache ; soudain une pensée lui traversa l’esprit. Elle se souvint alors de son anniversaire quand son père lui avait offert une cape d’invisibilité et lui avait dit qu’elle lui servirait si elle voulait se cacher. Et, Philippine se dit qu’avec un peu de chance elle pourrait revenir dans les sous-sols ; à Serpentard pour aller chercher sa cape.

Mais elle ne pouvait se douter qu’il y aurait dans les couloirs beaucoup de professeurs qui la gênerait. Alors qu’elle s’apprêtait à revenir sur ses pas pour aller dans les sous-sols ; elle vit le professeur de métamorphose qui se rendait dans sa salle. Il la vit presque et, si elle n’avait pas eu le bon réflexe de se dissimuler dans une pièce qu’elle ne connaissait point, le professeur l’aurait vu ! Mais le problème, c’est qu’elle s’était caché dans une salle ou un professeur s’apprêtait à entrer ! Et, au moment même où le professeur allait entrer, elle se dissimula dans uns des placards qui meublait la salle. Mais, soudain elle entendit le professeur s’approcher du placard qui la cachait, comment allait-elle faire ? Elle regarda le fond du placard et, comme Philippine avait beaucoup d’imagination elle pensa que le placard cachait une porte. Et, au moment même où elle se dit cela la porte du placard s’ouvrit et une élève de Gryffondor aux yeux bleus et aux cheveux bruns la découvrit dans le placard à la recherche d’une petite porte (mais, cela elle l’ignorait encore).

Alaska avait pris la direction de sa salle commune. Elle monta quatre à quatre les escaliers, puis s’arrêta devant l’escalier des « rencontres non-prévu », voilà le nom qu’Alaska avait donné à ce couloir, car à chaque fois qu’elle marche dedans, elle rencontre quelqu’un ou quelque chose, et donc une nouvelle rencontre « non-prévu » se fait alors dans ce lieu.

Ce couloir était grand, avec de nombreuses fenêtres et des murs beiges clair, il y avait souvent beaucoup de personne. Un petit placard trônait dans ce vaste lieu : personne n’était entré dans ce petit endroit qui abritait beaucoup de toile d’araignée d’après le chat qui sortait du placard couvert de ces tissages.

Alaska voulait rentrer dedans depuis qu’elle l’avait vu pour la première fois, mais à chaque fois qu’elle s’en approchait, on lui disait que ce petit placard était trop dangereux, qu’il était maudit. Mais aujourd’hui ce n’était pas pareil, c’était différent : il n’y avait qu’elle dans ce grand couloir, et personne d’autre…

-C’est le moment d’y aller, pensa-t-elle en prenant son courage à deux mains

Elle agrippa la poignée et la tourna délicatement. Elle y trouva une jeune fille blonde, recroquevillée sur elle-même. Elle possédait une longue écharpe au couleur vert et argenté. La blonde leva les yeux vers Alaska.

-Que fait tu là si loin de ta salle commune ? lui demanda Alaska

-Bonjour je m’appelle Philippine je m’étais caché dans ce placard car je t’avais pris pour un professeur.
-Et d’ailleurs je suis soulagé que ce ne soit que toi !
La fillette qui venait de faire une de ses peurs a philippine était de Gryffondor, elle voulut absolument savoir ce qui était dans ce placard et elle m’expliquait tout et pourquoi elle était venue quand, soudain, il y eu un déclic !


Et, une porte s’ouvrit dans le placard. Philippine avait eu une bonne intuition ; la petite porte laisser la place à un grand passage souterrain. La fillette
de Gryffondor voulut absolument aller dans ce passage alors comme elle et philippine adorait les aventures elles s’aventurèrent dans le passage.
Puis, un peu plus loin il y avait un petit panneau avec écrit d’un côté avec une flèche dortoir des filles Gryffondor et de l’autre côté, dortoir des filles Serpentard. Alors les deux filles décidèrent de se séparer et de se retrouver le lendemain a la même heure dans ce passage où elles seraient bientôt comment en ressortir et, où la porte était si bien caché dans leurs dortoirs car elles n’avaient pas qu’un point en commun mais beaucoup lus dont un était qu’elles étaient très observatrices et se demandait bien où était la porte qui avait pu leurs échappe du regard.