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28 févr. 2019, 21:54
Abort Mission  privé 
Février 2044

Il y a une heure ou un moment pour tout à Poudlard. Tout est cadré et cédulé pour chaque élève et pour chaque année d’étude. Par exemple, il y avait l’heure paisible entre le petit déjeuner et le début des cours que certains choisissent pour finir de se réveiller et d’autre pour relire leurs leçon. Le quart d’heure pour prendre un bol d’air frais avant de devoir descendre au cachot pour le cours de potion. Celui pour monter les insupportables escaliers en regardant le paysage au travers des fins vitraux du château, passage obligé pour aller faire un peu d'astronomie. Et même celui pour taper la causette aux tableaux quand on avait pas fait le devoir de la classe suivante pour retarder au maximum l’inévitable.

Et enfin, il y avait les heures réservés aux repas.

On ne trouve jamais la grande salle aussi pleine, et les couloirs aussi vides, qu’à ces heures là. Et c’est précisément la raison pour laquelle Chems attendait maintenant au milieu de l’immense corridor fermé du deuxième étage à l’heure où il aurait dû être attablé avec sa maison et ses amis devant milles et un mets. Pas plus tard que ce matin, en plein cours de sortilège en commun avec les serdaigles, le garçon avait fait la connaissance d’une âme aussi intéressé que lui par la leçon du jour et s’était laissé aller à une discussion sur les trésors de la boutique Weasley. Très vite pendant l’échange, Chems avait comprit que son acolyte de bavardage était en la possession d’un article de la boutique “super-méga trop intéressant” et, de fil en aiguille, ils s’étaient ensemble convenu de se retrouver dans les couloirs à l’heure du déjeuner pour une présentation express des preuves réelles de ce qui avait été tant glorifier pendant l’heure de sortilège.

Avec soixante-six sur cent pas de fait, le garçon commençait à être impatient. Il était passé sur toutes les  jointures de dalle sur le sol de la zone, avait tourné en rond à s’en donner le tournis et avait zigzagué entre les armures exposés dans le couloirs jusqu’à pouvoir refaire le parcours les yeux fermés. Se refusant de poser ses fesses par-terre pour attendre calmement, l'irlandais laissa son regard se balader dans le large corridor une énième fois, à la recherche de quelques chose à faire. Mais malheureusement, à part les armures et quelques torches, il n’y avait pas grand chose... Chems s’approcha finalement d’un des mannequin de métal en soupirant, lassé et de plus en plus affamé. Poussé par son ennui, le garçon toqua sur le plastron en soufflant un abattu : « Y’a quelqu’un? » vite répondu par une résonance creuse, soulignant une fois de plus son insupportable et malvenu solitude. Il souffla fortement par le nez en laissant son front taper sur l’armure froide, blasé. Il était vraiment à deux doigt de prendre la décision de partir quand le gantelet droit de l’armure glissa soudainement par terre dans un bruit tintamarresque. Mordant sa lèvre, prit par l'effroyable sensation qu'il avait fait une bourde du style de faire tomber de la vaisselle dans un magasin, Chems se baissa immédiatement pour replacer la pièce. Ou du moins, il aurait dû…  Parce qu'il était de plus en plus gagner par la curiosité maintenant qu'il avait le gant dans les mains, commençant à se demander si il y avait moyen de revêtir cette armure factice. Pas moins d’une minute plus tard, il glissait précautionneusement sa propre main dans la pièce de métal. Le fait de voir qu’il arrivait à enfiler cette partie de l’armure le laissa aussi stupéfait que plus qu'enthousiaste. Regardant rapidement à droite et à gauche pour voir s'il était toujours seul, Chems continua son petit jeu en remontant le bras droit du mannequin, défaisant une à une les pièces jusqu’à avoir presque tout enfilé ...Et que c’était lourd! Comment on peut courir, et esquiver et..et juste se battre avec ça ? se disait-il en peinant à garder le dos droit. Chems se sentait plus entravé qu’autre chose, et encore  il n’avait pas mit toutes les pièces ! Le canon-d’avant bras uniquement lui faisait presque tout son bras à lui, sans rajouter les protections pour le coude. C'était clairement pas sa taille, grave désagréable à porter, et surtout, bien inutile si on ne cherchait pas à aller se mettre devant une épée ou pour foutre les jetons à quelqu’un. Mais il s’ennuyait alors…

Le poufsouffle se figea, clignant bêtement des yeux quelques secondes avant de revérifier une nouvelle fois les alentours. Toujours personne en vue. « Mmmh » Un sourire perfide écrasa sa moue d’ennui. Peut être que son petit emportement pour passer le temps n’allait pas être aussi inutile que prévu finalement.

C'était un classique. La mère des blagues. L’incontournable guet-apens. Chems n’aurait besoin que d’un bon timing maintenant qu’il s’était trouvé une cachette de choix en cette armure pour prendre au dépourvu le serdaigle. Il s'en frottait mentalement les mains. Cachant hâtivement les pièces restantes qu'il n'avait pas réussit à enfiler derrière les autres armures complètes, le garçon s’installa à la place de celle qu’il avait démantelé et tendit l’oreille, le casque sous le bras. Ça ne sera qu’à l’entente d’un bruit de pas qu’il enfilera la dernière pièce, en prenant bien soin de ne pas rabaisser l’espèce de grille devant ses yeux pour garder un minimum de visibilité (parce que bien sur, le casque était lui aussi de trois taille au dessus). Soit par un coup de vent, soit par malchance, au moment ou le garçon se mit en position pour ne plus bouger, le dit grillage bascula sur son visage, se refermant dans un claquement épouvantable, résonnant dans le corridor et glaçant totalement l'irlandais. Se prendre un morceau de ferraille dans le visage passe encore, mais l'opportunité de voir un aussi beau piège gâché ainsi était outrageant. Du mieux qu'il le put, il s'immobilisa, empêchant difficilement son impatience de le faire trépigner sur place.

In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On

07 avr. 2019, 00:26
Abort Mission  privé 
Il arpente les couloirs en silence apparent seulement ; ses neurones s'entrechoquent et débattent au sujet de l'activité qui l'occupera pour cet après-midi à venir étant donnée l'absence de cours jusqu'à une certaine heure le pas un peu bancal du fait de son sac bien rempli bande-dessinée ou maths ? mais le dos toujours plat, droit est-ce qu'il y a du monde au terrain de quidditch ? parce qu'il ne veut pas paraître courbé et faible il fait trop froid dans le parc. L'estomac peu rempli pas faim il se sent assez léger, quoique fatigué par sa dernière nuit passée à lire - pas de vrais livres hein, de la bande-dessinée. Et il a mal au dos à force de se tenir droit comme un piquet, mais ça, il ne l'admettra pas.

Donc il traverse, toujours en silence, le couloir. Son esprit s'agite, ses méninges et rouages courent d'un bout à l'autre de son cerveau, transmettant en l'espace de millisecondes des centaines de milliers de messages. Un pied, puis l'autre, et il papillote après avoir vérifié que le couloir était bel et bien vide de tout individu autre que lui de dalle en dalle, talon et pointes se succèdent et dansent sur le carrelage. Ce n'est ni gracieux, ni hideux, simplement un peu déséquilibré, un peu maladroit, mais attendrissant. Il reproduit, à moitié concentré, les pas qu'il examinés dans la dernière aventure de Malicio parue il y a trois jours, parvenue hier, lue cette nuit. En étant l'artisan, il s'amuse de ses propres échecs, balancements, chutes.

Il ne regarde pas vraiment où il va, simplement se laisse emporter par les pas gracieux du sorcier Malicio par le poids de sa sacoche qui l'attire vers le sol, qui tourne atour de son corps frêle et l'étouffe dans sa sangle large et le mur s'offre à lui sans consentement à l'avance, la lourde sacoche rebondit contre le sol et le petit sorcier n'a plus qu'une vue en panorama sur le bas de la paroi rocheuse. Il se relève, couinant, larme à l'œil, genoux et poignet (gauche) douloureux, et se redresse tant bien que mal. Il s'écarte autant qu'il peut, jusqu'à se rapprocher du mur opposé. Si son état physique et son apparence il y a quelques minutes encore étaient antagoniques à ce qui circulait entre les quatre coins de son crâne, désormais, tous se sont mis d'accord : il a un peu mal.

Il tangue, d'un pied sur l'autre, et continue son chemin tant bien que mal du côté de la rangée d'armures est-ce qu'il y a encore des cadavres à l'intérieur ? à moitié serein seulement, mais déjà certain de s'auto-limiter dans ses mouvements brusques et larges du fait de la présence d'objets potentiellement cassables.

Il progresse à travers le couloir à un rythme modéré, moyennant pour un rythme entre ni trop rapide air suspect ni trop lent air stupide.

Après une demi-douzaine de minutes, il s'approche calmement - genoux déjà moins douloureux qu'avant - d'un des paladins ornant le couloir est-ce qu'il y a encore un cadavre à l'intérieur ?, et se tourne face à lui, prêt à s'asseoir aux pieds du défunt gentilhomme, lorsque surgit un bras ganté de fer, prêt à s'abattre sur lui avec un cri pourtant pas si terrifiant qui glace le sang du garçonnet, hurlant à son tour, d'épouvante et de terreur cette-fois. Il bondit en arrière à peine un mètre, il est grand mais n'a que très peu de force dans les jambes, affolé, et atterrit sur tout sauf ses pieds contre le sol dur comme la pierre c'est de la pierre du couloir.

Détenteur de l'information vraie, spécialiste en volatiles. Elfe crasseux vouant son existence au maître Sjöstedt disparu.

21 avr. 2019, 15:26
Abort Mission  privé 
Si Chems n'était pas aussi effroyablement immobile dans la lourde armure, il n'aurait jamais entendu les pas feutrés résonnant dans le couloir. Derrière la visière de fer, un rictus mauvais s'étirait sur le visage du poufsouffle. Pas trop tôt, il ferait manger ses minutes de retard au Serdaigle avec ce costume. 

Le garçon avait un peu de mal à voir correctement le couloir à cause du casque trop grand, mais la couleur de la robe du nouvel arrivant, qu'il arrivait tout juste à distinguer d'ailleurs, était une confirmation suffisante pour Chems. Un élève de Serdaigle, en dehors de la grande salle à l'heure du déjeuné? Bah bien sur que c'était celui qu'il attendait !  Il rassemblait tout les critères, pas besoin d'aller chercher plus loin. Ses mains gantés se serrèrent, s'élevant en l'air dans un effroyable « BRRAHHH !! » très très effrayant et très très réaliste, à n'en pas douter vu le cri d'horreur qui suivit. Le guet-apens avait magnifiquement bien fonctionné oui... 

Mais quelques chose était devenu bien plus préoccupant.... Comme le fait que la voix qui avait hurlé d'effroi ne ressemblait pas du tout à celle avec qui il avait discuté pendant 2h. 

'C'est pas la même voix, c'est pas la même voix, c'est pas la même-' La réalisation le percuta comme un camion et son rire n'eut même pas l'occasion de sortir qu'il sécha aussitôt dans sa gorge, laissant la place au silence pesant du couloir. 'C'est quelqu'un d'autre...' Ses bras retombèrent le long de son corps sous le poids de l’armure, de la gravité et de la gêne. Planté comme un poireau, Chems hésitait fortement entre rester immobile et faire semblant de ne pas être là ou s'excuser. En y réfléchissant, peut être que la voix changeait quand on avait peur. Peut être qu'il ne s'était pas trompé.... Fort de ses suppositions, le garçon inspira, fébrile, et baissa légèrement la tête vers la figure à terre pour vérifier. L'armure grinça horriblement du frottement entre le casque et le plastron et ses yeux repérèrent laborieusement, à travers la grille de la visière, le visage de l'élève qu'il avait piégé. Cheveux châtains, traits assez fins, et une carnation qui ressemblait presque à la sienne... 

Et merde... 

Non seulement c'était pas le bon visage, mais en plus, c'était même pas un visage qu'il se souvenait avoir vu dans le groupe des deuxième année de serdaigle. Sans réfléchir, sa main droite voulu frapper son front. C'est le gantelet qui frappa le casque à la place, envoyant une vibration dans toute la pièce de métal qui le fit serrer les dents d'inconfort, multipliant son embarras par 1000. Il avait pensé à enlever le casque, mais maintenant, il préférait autant le garder. 

« Euh… s’cuse. Je voulais pas faire ça... » [...] « Enfin si je voulais faire ça, mais c'était pas toi que je voulais piégé j'te jure »

Mon dieu, le garçon avait l'air terrifié. Il en aurait été fier si il connaissait un minimum la personne, mais pour l'heure, il était tout sauf satisfait. Et pire, il avait une crainte, une seule, dont il se méfiait plus que tout dans cette position. « T-tu es en première année ? » Sa logique avait déjà la réponse à sa question, mais sa conscience se fatiguait à cultiver des espoirs. Il allait se faire allumer si le sablier jaune perdait des points pour cause de bizutage involontaire...

In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On

01 juil. 2019, 16:33
Abort Mission  privé 
Yeux écarquillés, tremblant de peur, poisson hors de l'eau peinant à rester en vie - inspire, expire, calme. Les deux mains en arrière aïe légèrement sonné aïe toujours mal au genou aïe mais surtout aux fesses aïe il fixe en silence la grande armure qui vient de s'animer exclusivement pour rugir.

Il n'a pas grand chose dans les bras sinon rien, ça commence à lui faire mal, et pourtant il reste immobile est-ce que si j'bouge elle va bouger encore ? il tremble toujours, et la peur ne l'aide pas à réfléchir, cerveau lâche déguerpit au moindre cri. Il inspire, expire, encore et encore, si bien que l'armure n'attend pas pour bouger à nouveau et ranimer la terreur presque éteinte. Il déglutit il n'y arrive pas, il renifle il n'y arrive pas et se lève il titube. Il n'est pas courageux, il n'est pas brave, alors il ne s'approche pas. Il envisage toutes les possibilités quelle idée de mettre des armures dans le couloir et, fébrile, détaille de haut en bas le chevalier casqué qui lui fait face. Qu'est-ce qu'il peut y avoir dedans ? Est-ce qu'elle est animée normalement ? Pourquoi il n'en a jamais vu de comme ça alors ? Pourquoi elle est plus petite que les autres ? Comment des bouts de métal aussi lourds à vue d'œil peuvent bouger aussi facilement ? Il conserve sa position, toujours assis, toujours les mains appuyées sur le sol glacé, toujours à fixer, terrifié, le chevalier. Alors quand celui-ci prend la parole, il sursaute, son poignet craque, et il réprime un cri de douleur. Larme à l'œil et joues gonflées, il continue de fixer l'amure sans vraiment comprendre les mots qui s'en échappent.

Seule la question l'atteint, et il lui faut plusieurs secondes pour réaliser qu'il ne s'agit pas d'un esprit monstrueux enfermé dans une armure qui chercherait à le dévorer pour calmer sa faim. C'est une voix d'enfant, jamais entendue puisque inconnue au registre mémoriel d'Eliott, section individus.

L'armure grince encore cavalier rouillé, les dents d'Eliott aussi c'est un enfant. Certain, ses épaules s'affaissent, son souffle se calme et son petit cœur rentre se mettre au chaud dans sa poitrine. Il ne voit toujours pas de visage, déglutit il a la gorge trop sèche et se redresse péniblement, tentant de ne pas laisser transparaître la peur toujours présente s'il voit que j'ai pas peur, il ne m'embêtera plus. Alors il montre clairement son visage d'enfant au chevalier-au-casque-et-à-l'enfant-dessous, et avance, pas à pas, sa sacoche heurtant à chaque avancée sa jambe droite. Il conserve une certaine distance - plus d'un mètre - entre lui et l'armure, ferme les yeux, coupe sa respiration vire au rose puis relâche tout, physiquement calmé. Il toussote, s'éclaircit la voix c'est vrai qu'il a vraiment une voix de bonhomme et articule, sans certitude :

- J'... j'suis en première année... ouais.

Contre sa volonté, une larme puis une autre glissent le long de sa joue, jusqu'au bas de son visage, où elles disparaissent sous son menton pleurnichard. Il renifle bruyamment, hoche la tête monde de fous et reprend, stabilisant au mieux sa voix.

- Je...

Jamais deux sans trois et les larmes dévalent une à une le visage d'Eliott, innombrables gouttes punaise quel débile j'veux pas pleurer j'pleure pas.

Détenteur de l'information vraie, spécialiste en volatiles. Elfe crasseux vouant son existence au maître Sjöstedt disparu.

28 juil. 2019, 14:42
Abort Mission  privé 
Il se voyait déjà devoir expliquer au professeur pourquoi il avait fait ça avant même que le garçon lui rende la réponse. Combien cela allait-il couté en après-midi enfermé dans une salle de cours au lieu de flânage dans le parc? Combien cela allait-il en ligne de parchemin grattés ? Et pire que tout, combien cela allait-il couté à poufsouffle?

Perdu dans ses pronostics douteux, Chems tourne la tête, à gauche, à droite, toujours personne, et revient sur le serdaigle ensuite. Il reste étonné de voir que le garçon s'est redressé de lui même, s'est même approché, le dos trop droit pour que son attitude paraisse naturel et le visage relevé malgré ses lèvres crispés. Sa réponse se veut nonchalante mais une larme le trahit, puis plusieurs. Chems n'est plus aussi tétanisé maintenant en constatant que le première année ne veut pas avoir l'air effrayé devant lui. Il sourit même derrière le masque de fer. Il savait bien que la préconception ramenée aux valeurs sur les maisons étaient poussiéreuses. La bravoure n'est pas réservé qu'à gryffondor autrement petit serdaigle serait déjà partit en courant. 

L'égard nouvellement acquit par cette démonstration change l'état d'esprit de Chems qui oublie l'éventuelle punition que lui accorderait irrévocablement son comportement. Il a plus envie de se concentrer sur ce première année au caractère si intéressant, toujours debout, immobile, avec un visage pourtant ruisselant de larmes qui criait qu'il voulait être n'importe où sauf ici. 

Chems a envie de jouer. 

Penchant le buste vers le plus jeune pour se rapprocher de son oreiller droite, il plaça une seule main gantée en coupe autours de là où était censé être sa bouche si il n'avait eu pas le casque sur la tête.

« Moi aussi, intima-t-il avec le ton du secret. J'ai été enfermer dans cette armure pour ma première année et ça fais 13 ans que je suis bloqué dedans. Je guette ce couloir depuis, chaque jour, à la recherche d'un autre pour prendre ma place. C'est le seul moyen pour me séparer du maléfice qui me tiens là dedans  »

Puis il se redresse en plaçant ses deux mains sur ses hanches, derrière le casque, il se mord la lèvre inférieur pour étouffer le départ d'un gloussement avant de se forcer à continuer. « Peeve est un sacré plaisantin, je ne sais pas où tu vas, mais méfie toi des longs couloirs seul comme ça, on ne sait jamais sur quoi on pourrait atterrir... ou dans quoi ». Voila de quoi solidifier son invention, la réputation du fantôme le précédait, certains le craignait sans même l'avoir croiser. « Moi naturellement, je n'ai plus rien à craindre, mais toi... »

In my defense, I was left unsupervised
7ème année RP - Game On