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10 juin 2020, 03:58
Arrête moi si tu peux
25 Avril 2045
Début d'après midi, Couloirs.

Mes mouvements ont perdu de leur grâce au profit d'une fureur sans précédent pour moi. D'une fureur et d'une incompréhension.
Trouver Lexie. Lui poser quelques questions bien senties, à cette traitre et ingrate. Vouloir la destruction du monde de sa mère. Quelle indignité. J'ai mal pour ma tante, et pour la pauvre femme qui a porté cette ingrate, cette...les mots me manquent.
La trouver, et peut etre lui mettre ma main dans la figure. Cela devrait la reveiller. Et trouver Maxine ne serait qu'un plus.


25 avril 2045
Un peu plus tôt, QG du M.E.R.L.IN

Cela doit faire une bonne heure que je suis dans le quartier général, a m'entrainer avec un des mannequins que la salle sur demande nous fournit. Je répète les mouvements decrits dans un manuel encore et encore. Jusqu'à la perfection. J'ignore ma fatique et mes jambes douloureuses, je dois absolument realiser des mouvements parfaits. Pas de transitions inutiles. Juste les mouvements dont j'ai besoin.
Je finis par décider d'arrêter, stoppée par la faim. Et aussi le souvenir de ce devoir de métamorphose à rendre.
Regrettant ne pas pouvoir me rincer le visage dans l'immédiat, je defais ma queue de cheval et eponge la transpiration sur mon viasage avec la serviette bleue que j'ai achetée avant de monter. Je jette un rapide coup d'oeil a la salle de détente, mais je me décide a aller prendre une douche d'abord. De toute façon, les gargouillis de mon ventre ne me laissent guère le choix.
Je range ma serviettes dans mon sac posé sur une des chaises de la pièce princiaple et sors une barette bleue et argent pour attacher une partie de mes cheveux qui me tombaient dans les yeux. Il me faut absolument les faire couper, ils atteignent presque mes fesses. Mon sac a la main, ma crinière presqu'au vent, je me dirige vers la sortie avant de remarquer un papillon sur le tableau d'affichage.
Je le reconnais instantanément, il est de Rufus. Je change de direction et me dirige vers l'ensemble. J'apporte ma main près de l'origami et l'imagine posé sur ma main droite. Il s'y pose comme il y a un an.
Salut toi... je murmure.Voyons voir ce qu'il y a de marqué ici. Je poursuis sur le même ton, avant de parcourir la feuille. L'idée de Rufus était brillante bien que risquée. C'était prévisible, que des suprémasictes s'allient. Nous devrions avoir des membres qui inflitrent ces milieux la. Je vais en parler à Alice.
N'empêche, mon poing sans papillon se serre, tandis que les sentations du bal m'envahissent a nouveau. Le bruit, la fumée, la poussière, le sang, le desespoir, la douleur.
Je soupire et femme les yeux un instant, puis passe ma main gauche sur mon visage. Avoir essayé de réfléchir n'a pas empêché xes souvenirs de remonter.
Rester courtois avec eux, évidement. Mais s'en mefier comme de la peste. Je commence a parcourir les noms et grave dans mon esprit les visages.
Il y a des connaissances. Antonn, par exemple, rencontré en debut d'année. Une photo de Maxine Hargrove, rencontrée il y a quelques jours. Je soupire, cette fille n'est pas bien dans sa tête. Je passe en revue toutes les photos, et je ne remarque pas au premier abord son nom.
Mon sac et les photos me tombent des mains, sauf la sienne. Je recule de quelques pas précipités du tableau et porte une main outrée a ma bouche tout en fixant la photo. Pas de doute, c'est elle.
Ma cousine Lexie et sa fratrie sont pourtant nés d'une mère moldue. Et là, elle se retourne contre celle qui l'a portée 9 mois et a souffert pour elle.
L'idée qu'un membre de ma famille, que quelqu'un de mon sang vive avec elle me donne la nausée. Une nausée si violente de j'en ai le tournis, et ma main tenant la photo vient se plaquer avec force contre ma bouche. Si elle est prête a renier sa mère biologique, ma tante a du soucis a se faire.
L'idée qu'un membre de ma famille soit capable d'une telle trahison me donne la nausée, certes, mais me met dans une fureur que je n'ai jamais connue.
Je dois la trouver
Je dois la corriger.
Quelle trahison.
Une mère, c'est sacré. La famille est sacrée.ne comprend elle pas qu'elle met son frère en danger ?
Je ne sais pas ce qu'il est advenu du papillon, mais c'est ma baguette qui est dorénavant dans ma main droite. Je la regarde, et mes levres s'étirent dans un rictus mauvais. Non, elle se prendra une gifle d'abord. Je suis de sang plus pur qu'elle, mais je vais utiliser les méthodes de cette partie de sa famille qu'elle renie, cette espèce de Tom Jedusor. Juste pour lui remetrre les idées en place.
Je sors du QG, avec la ferme intention d'envoyer Lexie Grey à l'infirmerie.


@Rufus Williams navrée pour le retard ><

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Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

13 juin 2020, 12:38
Arrête moi si tu peux
Le pantalon de l'école pour le bas avec un peu de terre sèche datant du cour de botanique de la matinée, la chemise blanche bien rentrée dans la ceinture avec les trois boutons du haut retirés, je n'ai de Serpentard que ma cravate qui est desserrée. Pour agrémenter mon petit style, j'ai rajouté mes boucles d’oreilles avec de petites croix qui vont à merveille avec mes pointes blondes et bouclées. Pour faire simple, je suis des plus détendus.

Assis contre un des mur en coin de couloir, je suis toujours en train de m’embrouiller avec Anthony. Le problème, c’est qu’on est aussi têtu l’un que l’autre quand on pense avoir raison, et la je n’y peux rien, je suis sûr que j’ai raison.

« Mais dis pas n’importe quoi ! Tu as raté ta potion parce que ton achillé sternutatoire était mal coupée.Insistais-je »

« Non je te dis que je l’ai raté parce qu’elle était de mauvaise qualité. Répliqua-t-il avec agacement »

« Mais pas du tout tu sais juste pas manier le couteau ! D’ailleurs tu as pris un couteau en argent au lieux d’en prendre un en cuivre, pour des ingrédients non-magiques il faut choisir le bon matériaux pour révéler leurs propriétés. Répliquais-je une nouvelle fois  »

« Arrête avec tes conneries, c’est l’argent qui permet une meilleure homogénéisation de la magie pas le cuivre !  Insista-t-il»

La discussion ne faisait que tourner autour de ce sujet, elle est continuerait ainsi jusqu'à ce que l'un de nous décide de clouer le bec de l'autre en lui mettant sous le nez un des paragraphes détaillées du manuel moyen de préparation de potion de Beaullitron.
Tout en parlant avec lui pendant qu'il cherche son livre de potion pour essayer de prouver qu'il a raison, je regarde sans vraiment y prêter grande attention les gens qui partent et passent dans le couloir, cherchant à tuer les quelques que j'ai à attendre.

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21 juin 2020, 19:17
Arrête moi si tu peux
Je n'ai pas de plan précis sur comment retrouver Lexie. Je ne connais pas ses habitudes malheureusement. Mais bon, la gryfonne doit bien etre quelque part. Ou alors, son frere, si je le trouve m'aidera a la trouver. J'espère. Je ne sais pas si je préfère le voir, ou pas. Je ne sais pas comment je réagirais. Je doute qu'il puisse supporter cette idée, que sa soeur se soit retournée contre leur sang, contre celui de sa mère.
Cette idée m'énerve plus encore, je ne la comprends pas. Et cela m'agace. Et cela m'enferme dans un cercle vicieux de colère.
Je m'arrête un instant pour me repérer et jette un oeil a ce qui se passe par les fenêtres, peut être vais-je l'appercevoir ? Je ne récolte que du soleil plein les yeux qui m'eblouit. Je recule de quelques pas pour m'éloigner, écarte d'un mouvement rageur les cheveux qui étaient sur mon épaule et y retourne. Il y a bien des élèves dans le parc, mais je ne trouve pas Lexie, je ne sais pas si elle y est.
Je reprend mes recherches, avec mes mouvemenrs toujours aussi rageurs, et mes poings serrés tellement fort que je suis certaine que mes ongles, pourtant coupés relativement courts sont engoncés dans ma chair, me faisant peut être saigner. A cette pensée, un rictus mauvais etire mes lèvres, elle aura aussi du sang sur les joues, du sang exempt de gènes moldus, comme celui que chérissent les suprémacites. Une correction moldue et du sang sorcier. Je serre encore plus mes poings, impatiente de la confronter.
Je me fiche complètement du faite qu'il y ait d'autres eleves, plus grands que moi dans ce couloir, je me fiche d'être dans un étatdans lequel je ne devrais etre vue : les treaits de mon visage et ma posture hurlent fureur. Et incompréhension aussi. Mais Fureur a pris le dessus.
Soudain, j'appercois, assis au sol, Rufus Wiliams. Et une pensée cohérente se fraye un chemin dans mon esprit. Je devrais lui demander confirmation. Est-il certain ? Comment était elle au cours de la réunion ?
Il n'est pas seul. Mais n'empêche. Je m'approche de mui, et pour une fois, je baisse les yeux vers lui pour le regarder et lui parler, d'une voix vibrante de fureur au debut, puis de plus en plus controlée jusqu'à devenir presque etouffée:
_Eh, Rufus ! C'est vrai,ce qu'on raconte sur Lexie Grey ? Qu'elle supporte ceux qui ont distribué les tracts immondes sur les moldus ?
Et mpi qui avais promis ne plus prendre publiquement part pour ou contre un camp. Ma colère me l'a fait complètement oublier.

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Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

29 juin 2020, 17:38
Arrête moi si tu peux
Anthony, déterminé, feuilletait rapidement les pages de son manuel déterminé. Il s'arrêta sur une feuille avec un «HAHA» triomphant - j'ai une mauvaise influence sur lui - et commença à me lire le paragraphe. On pouvait clairement distinguer les traits de son visage et le ton de sa voix changer au fur et à mesure qu'il lisait le paragraphe, jusqu'à se rendre compte, dépité, que le paragraphe réfutait ses affirmations et me donnait raison. Je le regarde avec un regard satisfait, armant mon meilleur « je t'avais prév'nu».
Comme si je voyait sa barre de seum monter tout doucement à côté de sa tête.

«Alors il dit quoi le paragraphe ? Demandai-je d'une voix légère et désinvolte, bien que je fus certain de connaître la réponse à cette question. Parce c'est pas que je voudrais te dire «je t'avais prév'nu» mais.... tu sais à quel point j'adore dire «je t'avais prév'nu ». »

Il me lança un regard exaspéré avant d'imiter silencieusement avec dérision et mauvaise fois ma tête avec ce que je viens de dire. J'ai vraiment une mauvaise influence sur lui, il devient pire que moi. On se fait interrompre par Celia. J'échange un regard avec Anthony, légèrement plus sérieux. Lui a compris puisqu'il avait assisté à une réunion. Il persiste à dire et à penser que le Merlin est une cause perdue qui finira par se dissoudre d'elle-même quand les deuxièmes années qui le composent comprendront enfin qu'il essaient de vider l'océan avec un sceau troué. Mais le pire c'est qu'il est évident qu'il a raison. La seule utilité qu'on pourrait trouver au Merlin sera de lutter contre son homologue pro-conseil extrémiste.
N'a t-elle plus aucune notion de ce qu'est la confidentialité ? Et puis même, j'avais bien marqué de façon évidente «faites comme si vous ne saviez rien » mais il faut croire qu'elle étai trop petite pour lire les phrases les plus basses.

«Qu'est-ce tu veux qu'j'en sache Fournier ? T'as qu'à lui d'mander. Lançais-je avec désintérêt tandis que je faisait léviter mon livre à qui je portais manifestement plus d'importance que cette conversation»

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11 juil. 2020, 01:35
Arrête moi si tu peux
Je regarde Rufus assis au sol, et pour une fois, je n'ai pas a lever ma tête pour pouvoir maintenir le contact visuel, ou un semblant de contact visuel avec lui. Je jette rapidement un coup d’œil furieux à l'ami du 4ème année, mais je ne l'identifie pas. Je le vois à peine, autrement j'aurais compris qu'il est au courant pour le Merlin. J'aurais peut-être perdu le peu de discrétion qui me restais. Ce n'aurait pas forcément une bonne chose. C'aurait
Maléfice se met a faire léviter son livre, se fichant de ma présence. En temps normal, j'aurais souri et secoué la tête, amusée par cette capacité qu'il a à pouvoir être parfaitement désinvolte. Amusée, et fascinée. Mais là, ça m’énerve encore plus, si cela est seulement possible. Je fusille le pauvre livre du regard, et serre les poings plus fort, dans une tentative de ne pas taper dans le livre, me servant soit d'un de mes pieds, soit d'une main. Je ne savais pas que c'était possible, que je puisse avoir les poings plus crispés. Pour la première fois, il me tape franchement sur les nerfs.
Le Serpentard me propose d'aller demander à l'interessée directement. Un demi sourire mauvais, non, un demi-rictus se dessine sur mes lèvres
_Evidement que je vais parler à ma très chère cousine. Ma voix est pleine de sarcasme. Je me détourne rapidement pour repartir à la recherche de Lexie. Je veux comprendre. Je veux aussi lui remettre les idées en place.
Mais une idée me travers l'esprit. Je me retourne vers Rufus, et sans me re rapporcher de lui, je le regarde pensive. Puis, je refais les 8 pas qui nous séparais dans sa direction.
_Elle a de la famille moldue. Ces mots, que j'ai murmurés, de telle sorte à ce que l'ami de Rufus ne puisse m'ententdre distinctement. Et elle est aussi de ma... On peut pas en parler ici...
Il semble que je retrouve la raison et mon calme avec. Mes poings se desserrent doucement.
D'abord essaier d'en connaitre le plus. Puis aller la confronter.

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Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

12 juil. 2020, 21:13
Arrête moi si tu peux
Qu’est-ce qu’elle a à me regarder comme ça avec ses yeux de calamar frit. Je lève les yeux au ciel, souffle un bon coup et me lève en m’étirant. Je regarde Anthony.

« Allez bouge ton cul on se tire. Ai-je dit simplement »

Il se levant en lâchant:
« J’te préviens on r'tourne pas en salle commune, la flemme »

Je hausse les épaules. Ou aller ? J’irais bien dans une des salles inutilisées pour pouvoir finir mon devoir, pour pouvoir parler librement plutôt que dans la salle d’étude où on est obliger de chuchoter.
« On peut pas en parler ici ». J’échange un regard exaspéré avec Anthony avant un nouveau soupir.

« Viens avec nous c’est bon. De toute façon il a assisté la dernière fois à la scène du rat »

Alice Sangblanc en rat. Ça reste plutôt compréhensible. Une bestiole qui ne fait que se cacher. On marche jusqu’au cinquième étage en papotant -j’ai d’ailleurs lâché un nouveau « j’t’avais prevn’u », Celia-Awena sur nos talons. Nous entrons ensuite dans une salle de classe inoccupée, fermant la porte derrière nous.

« Installe toi Anthony, j’ai quelques mots à dire à la bleue lui ai-je dit. »
Anthony commence à déballer ses affaires de son sac tendit que, de quelques coups de baguettes, je dispose quatre tables qui étaient auparavant posées contre le mur, au centre de la pièce pour former un bon espace de travail.

« Alors, quoi ? »

Je reporte un regard ennuyé sur elle.

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07 août 2020, 03:52
Arrête moi si tu peux
Je suis du regard l'échange entre les deux Serpentard, la tête un peu ailleurs. Je ne comprends pas ce qui a pu pousser Lexie à faire ce qu'elle a fait. Se liguer contre les moldus. Et puis quoi encore ?
Je lève ma main gauche à mon visage et constate des demi lunes rouges dans la paume de ma main. Génial. Je me suis blessée. Mais je ne sens pas vraiment la douleur pour le moment. Je n'ose pas imaginer ce que sera, le soir, lorsque je vais prendre ma douche et laver mes cheveux. Et lors du prochain entrainement, je n'en parle même pas. J'espère que ça ne formera pas des croûtes qui m'embêteront dans 4 jours, je n'ai pas envie de voir Irene me reprimander pour de piètres performances.
Mais 'est entendre Rufus traiter Alice de rat qui me ramène à la réalité. Je le regarde, interdite. Ils me demancent un peu, mais je les ratrappe bien vite en secouant la tête, mi désespéré par la désinvolture de Malfice, mi admirative de cette dernière. Mais un coin de ma tête note la différence d'éductaion entre nous, ou plus simplement entre Teddy et lui. Ni mon cousin ni moi ne nous permettrions ce genre de commentaires, en présence ou nom de l'interssé. Ou du moins, pas comme cela.
Nous arrivons dans une salle de classe inocupée. Après un dernier truc lancé à son ami qui me fait grincer légèrement des dents (la bleue comme il dit si bien a un nom, mais passons), Rufus reporte son regard vers moi.
Je le regarde dans les yeux en cherchant mes mots, puis commence très vite :
Lexie est de sang-mêlé. Moldu par sa mère, et très très sorcier par son père. Je ne pense pas qu'il puisse lui même prétendre à un titre, mais les enfants qu'il aura avec ma tante, pourront définitivement, si Parkinson n'est pas tombée d'ici là. Qu'est ce qui pourrait l'amener à se retourner contre le monde de sa mère ? Pourrait-elle se retourner contre ma tante et ma famille, alors ? Je ne pose pas cette question à voix haute, mais elle résonne dans ma tête. J'ai peur qu'elle soit une éventuelle traitresse à notre famille. Je ne veux que rien arrive à ma famille, et bientôt, sa famille sera la mienne aussi. Donc je me soucie un peu d'eux, rien qu'à ce titre.
Malgré les questions qui me torturent l'esprit, je garde une posture droite et regarde le Serpentard dans les yeux, espérant qu'il ne voie pas les questions tourner dans mon regard.

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07 août 2020, 16:34
Arrête moi si tu peux
Je ne réagis pas à son regard outragé. Je continue de placer les tables et les chaises, sans ne sembler prêter beaucoup d'attention à ses propos. Une fois cela fait, je pose ma baguette sur la table et commence à déposer le contenu de mon sac.

« J'ai l'air de la connaître ? Elle y était et je l'ai vu, ça s'arrête là. Si tu veux les infos tu n'as qu'à lire le rapport. Lui ai-je dit d'un ton abrupt. »

Elle attend peut-être de moi que je lui dise que sa chère petite cousine chère n'est qu'une victime de ce onde cruelle et qu'elle reviendra sur le droit chemine après cette franche blague qu'était la L.A.M, mais je suis formateur, je ne suis pas psychologue. Je prends place sur une de chaises placée autour de la table, en posant sur la table un rouleau de parchemin.

«La L.A.M n'est qu'une stupide blague, ils ont mis dans les couloirs des dizaines d'affiches avec l'heure et le lieu de cette "réunion", à ce compte là ils auraient pu en déposer une directement dans le bureau de chaque professeur de cette école. Mais bon, une sang-mêlé qui veut se la jouer sang-pur, cette histoire manque cruellement d'originalité. Ai-je ajouté en grattant mon parchemin d'une plume de corneille fine. »

Pourquoi les gens qui ont des soucis se tournent vers moi ? C'est lassant. Mais on se rend bien vite compte que je ne suis pas une oreille très à l'écoute.Je sors de mon sac quelque livre ainsi qu'une bouteille de jus de citrouille.

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09 sept. 2020, 15:11
Arrête moi si tu peux
Le Serpentard finit de disposer ses tables, puis sort ses affaires de son sac, avant daigner me répondre. Piquée au vif par sa reaction, je lève les yeux aux ciel, et lui repond, sur le ton d'une evidence qu'on enonce a un idiot :
"Je te considère pas assez idiot pour devoir te révéler quelque chose d'aussi évident au sujet d'une personne que tu pourrais connaître. Je te prierais d'avoir la même politesse pour moi, et supposer que malgré le faite que je sois plus jeune, que je sache lire un rapport, merci bien."
Et puis quoi encore? Je souffle par le nez en l'entendant m'expliquer quelque chose qui reste assez évident. Bien que dans ma colère je n'y ai pas pensé. Voila donc pourquoi la colère est maivaise conseillère. Je m'etire un peu le cou pour faire partir la tension. Un tour complet, puis un second de la tête. Ah non, je ne le finis pas, et je regarde un coin du plafond, qui doit etre situé quelque part au dessus de son ami, pendant quelques secondes. Puis je reporte mon attention sur Maléfice.
"De mon point de vue de née sorcière, sans aucun vrai contacts avex les monde moldu, je ne peux pas comprendre pourquoi. Avant d'aller voir Lexie, aurais tu l'amabilité de m'expliquer pourquoi, puisque tu connais les deux mondes ?" Encore un peu piquée au vif, j'ajoute, le regardant de haut (le menton relevé dans une attitude de defi, j'entend, il est beaucoup plus élancé que moi) "A moins que je n'aie eu tord de te considérer depuis tout ce temps comme quelqu'un qui en sait assez pour que j'apprenne de lui ?"
Nous ne sommes pourtant pas sur un balai. Je suppose que son ton, son manque de consideration et la colère m'embrouillent l'esprit. La naïveté aussi, peut être. La fatigue aussi, sûrement. Je soupire, et fermant les yeux, je m'excuse : "Desolée. Je n'aurais pas dû te sortir ca comme ça. Je me sens trahie par Lexie, je veux avoir des éléments avant de lui remettre les idées en place. un peu plus bas, les yeux rouverts, les bras serrés comme pour me réchauffer, plus pour moi même "Je dois etre bien naïve pour penser que j'y arriverai. Fatiguée aussi.
Vivement que le match arrive, que je me repose un peu.

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09 sept. 2020, 15:52
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J'écoutai les paroles de Célia-Awena avec la même attention et la même satisfaction que quelqu'un écoutant les premiers crépitements d'un feu allumé en système D, un sentiment de réussite. Mon sourire semblant pousser et grandir sur mon visage comme une pâquerette au printemps exprimait voulait dire "j'avais raison". Après sa première tirade, j'avais commencé à l'écouter assis sur la table, ses yeux, plantés sur elle et Anthony ne cachait même plus son attention. Une jolie remarque tout ce qu'il y a de plus hautain et d'ironique.

« Mais c'est qu'elle sait enfin se défendre la petite ! Ont-ils dits à l'unisson. Tu progrèsses. Dit-il dans un ricanement. »

Nous nous regardâmes pendant quelques secondes avec un sourire complice avant de serrer dans une étreinte courte en maintenant un rire. Connectés. Je donnai une petite tape dans le dos de Célia-Awena. C'est que je commence à déteindre sur eux ! Quelle fierté. Il inspira à plein poumons un bain d'air tiède sentant la poussière. Il ouvrit la bouteille de jus de citrouille et but quelques gorgées à la bouteilles avant de lui en passer.

«Bon. Ai-je dit d'une voix forte comme pour chasser ses remarques bien qu'elles m'aient plus faire rire qu'autre chose. Détester le milieu moldu... Y a t'elle déjà été confrontée au moins ? Parce que le sang dans ses vaines ne veut strictement rien dire.»

La seule chose que j'aurais retenu, c'est que je commençais à l'influencer. Et c'était drôle. Jamais à Poudlard je n'avais trouvé quelqu'un qui se serrait permit une remarque tenue de cette façon pour moi. La politesse froide, ce ton d'évidence, prendre si facilement les gens pour des idiots. On dirait moi, je pourrais en verser une larme.

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