Cher Journal,
Nous sommes le 25 Septembre, une journée bien normale,
Je m’intègre à Serpentard depuis quelques semaines. J’adore mon uniforme mais je ne le met pas tout le temps, je préfère ne mettre que la chemise quand je peux.
Puisque nous sommes dimanche, c’est journée détente, se balader ou lire.
J’étais comme à mon habitude, en chemise repassée, jean noir, mes chaussures blanches et ma crinière avec laquelle je me tue chaque matin pour quelle soit impeccable.

Cette ambiance de couloirs est agréable, surtout le dimanche, après avoir survécu à la semaine et prêt à survivre à une seconde, et ce, jusqu’à la fin de ma scolarité. La seule chose qui me déplaisais, il y avait beaucoup de monde, beaucoup trop, c’était donc impossible de ne jamais avoir d’interaction avec un humain dans ce château. J’essayais de passer le plus inaperçu possible, tête baissée, regard dans un cahier ou assis sur un banc à rien faire.

En ce moment j’avais la technique du regard dans le livre, je paraîtrais occupé, ne venez pas m’embêter.

Je me souviendrais toujours de mes caches caches avec mon père qui m’apprenait comment se cacher au mieux. Dommage qu’on ne puisse le faire à Poudlard.

Perdu dans mes pensées, mon épaule percute une autre.
Oh non, je vais devoir m’excuser.

Là, je me suis retourné avec un regard honteux vers une fille. J’avais la tête baissé et mon livre dans la main.

-Euh..je.. excuse moi..

@Sheryl Tony

Sheryl était de bonne humeur ce matin, un peu comme tous les dimanche, elle se dirigeait vers la volière pour envoyer son hibou hebdomadaire à sa famille pour leur raconter sa journée. Pensant à la joie qu'elle éprouvera quand elle recevra la réponse, elle fit pas la garçon qui fonçait droit sur elle. Quand leur épaules se percutèrent, une douleur lui transperça la bras. aïe, il n'y était pas aller de main morte.
Elle se retourna pour voir la tête de son agresseur et vit un adorable garçon des cheveux blonds un peu foncés, très bien soignés, toujours coiffés. il avait de très beaux yeux bleus aux quelques reflets de couleurs et des petites taches, de rousseur surement, sur le nez. Sheryl n'avait jamais vu un garçon aussi beau de sa vie. Elle pensa à sa mère qui lui avait expliquer ce que c'était l'amour. Elle avait rencontrer son père au travail et l'avait trouver très beau. Puis ils ont passer beaucoup de temps avec lui et ont finit par s'avouer leur sentiment. comme Sheryl trouva le Serpentard, son écusson était orné d'un serpent comme elle, très beau, elle pensa alors qu'elle était amoureuse. Le beau jeune homme lui dit :
-Euh..je.. excuse moi..
Il tenait un livre dans la main et Sheryl vit qu'il avait des taches d'encres et une cicatrice sur les main.
Elle lui répondit alors :
-Ce n'est pas grave. Tu t'appelle comment ?

Je me suis retourné pour voir qui m’avait percuté.
C’était une jeune fille,
Assez petite aux longs cheveux roux, des yeux à la couleur de l’émeraude, un vert qui allait avec ses taches de rousseurs.
Je me suis vite reculé pour ne pas paraître trop proche de cette inconnue.
Je lui avais souris avec un très joli sourire mais qui était purement nerveux et qui ne voulait pas montrer qu’il était plus que gêné de parler avec une fille.
Je ne sais pourquoi, un rire nerveux s’échappe de ma bouche quand elle me demande mon prénom.
Il fallait que je sorte de cette conversation, bien qu’elle avait l’air gentille et qu’elle voulait juste sympathiser comme des ados de notre âge le ferait, je n’ai pas envie de parler avec une fille, pas maintenant du moins, et je pense jamais.
La jeune fille ne semblait pas déterminée à partir, ça se voyait dans son regard, mais j’allais devoir partir moi même dans ce cas.
Si je lui donne mon nom, me laisserait elle en paix ? J’espère et c’est ce que je vais tenter :


-Euh.. je suis..je.. Aywann.. Je.. je vais aller dehors.. il fait beau.. je vais profiter.

Dis je, alors qu’a ce moment là, je ne savais même pas s’il faisait beau, mon seul objectif était d’éviter de parler avec quelqu’un, par tous les moyens possible, esquiver les conversations et s’échapper..

-Euh.. je suis..je.. Aywann.. Je.. je vais aller dehors.. il fait beau.. je vais profiter.
Alors comme ce bel inconnue s’appelle, Aywann. Original comme prénom se dit Sheryl
Sheryl le regarda et lui demanda :
-Oh toi aussi ? J'y allait justement.
Un petite mensonge ne fait de mal à personne. elle rangea sa lettre dans sa poche et se dirigea vers le parc, tout en regardant Aywann. Celui ci, étant un peu obliger, la suivit. Sheryl était aveugler par l'idée, d'être amoureuse, donc elle vit pas la tête du jeune garçon qui lui demandait de partir. Elle commença à parler toute seule de sa scolarité à Poudlard et lui raconta un peu sa vie. Quand elle se retourna vers lui, c'est là qu'elle vit que Aywann, n'avait pas vraiment envie d'être avec elle. Puis elle se rappela comment était sa grande sœur, il y a deux ans de cela. Elle était amoureuse d'un garçon qui ne l'aimait pas et quand elle la su, elle était bouleversée. Mais Sheryl ne fit pas attention. Elle continua dans son délire et continua son récit. au bout de plusieurs longue minutes, à parler seule, elle demanda à Aywann comment il avait vécu son arriver à Poudlard. Il ne parlait pas vraiment donc Sheryl du le fixé du regard. Quand il ouvrit la bouche, il lui dit simplement que c'était impressionnant et magique. Sheryl gloussa et repris le cour de son histoire. Mais après 10 minutes, Aywann, lui coupa la parole et lui une chose que Sheryl ne s'attendait pas du tout.

Ma frustration commençait à monter quand la jeune fille voulait me suivre à travers cette poursuite à la fuite de cette dernière.
Est elle si bête pour comprendre que je veux juste m’enfuir.
Fuir son regard plein de mauvaises attentions.
Fuir son aura féminine qui me mettait en transe.
Fuir ce couloir aux problèmes.
Fuir tout ce qui pouvait ressembler à des filles ou des humains en général.


Elle racontait sa vie, sa vie qui était intéressante à tes yeux. Je me fichais tout simplement de sa vie. Je voulais m’enfuir.

Sûrement cette aura qui m’énervait m’avait donnée le courage de lui parler encore une fois. Une chose que je ne pensais jamais faire..

D’une main, j’attrape la sienne en la faisant tourner vers moi, d’une force qui pourrait la faire glisser. Mais à ce moment là, je m’en fichais. Je la fait avancer vers moi en la tirant et en la fusillant avec un regard noir.

-Si tu as quelque chose à faire passer, dis le moi au lieu de faire ta pipelette.

Lui avais-je dis puis, la poussant d’une main et en croisant les bras sous mon torse. Un jour, une fille collante m’avait dit que j’étais beau quand je m’énervais, alors je pris un air satisfait, pour ne pas faire passer un mauvais message à cette fille.

Je passe une main dans mes cheveux avec un air hautain que je n’avais jamais pris auparavant.

-Si tu as quelque chose à faire passer, dis le moi au lieu de faire ta pipelette.
Sheryl était un peu choqué par son comportement. Est ce quil savait que sa famille etait une sang pure depjis des generations ? Est ce quil savait qur son pere lui aurai casser la tete en un coup de baguette ? Mais malgre ca, elle ne savait pas quoi répondre. Il fallait jouer la carte de la sincérité ou faire comme si de rien était ? Elle n'en savait rien. Après quelques que secondes d'hésitation, elle se dit qu'il fallait mieux avouer ses soit disant sentiment. Elle pris son courage à deux main et répondit d'une petite voix :
-Je crois que je suis amoureuse de toi
Mais a peine avait elle dit ces parole, quelle se souvient de ce que sa soeur lui avait dit il y a 1 an. "Personne ne tombe amoureux d'un seule regard, le coup de foudre n'existe pas". Elle regretta aussitôt ses paroles mais il était trop tard. Elle se dit qu'il fallait mieux le regader, garder la tête haute et assumer ses actes comme le ferait un menbre de la famille Tony. Et c'est ce quelle fit. Mais quand elle leva les yeux, elle vit que Aywann était très surpris. Elle ne savait pas si c'était une bonne pu une mauvaise chose mais quand il retourna le regard gêné, elle se coûta que s'en était une mauvaise. Elle repense à sa soeur qui avait raison. Le coup de foudre n'existe pas. Elle avait partir quand le garçon ouvrit la bouche et lui dit doucement.

J’étais choqué.
Je fixais la jeune fille avec un air surpris. J’avais envie de m’énerver.

Je la connais pas.
Elle me connaît pas.

Je pourrais être un psychopathe.
Elle m’aime comment ? Physiquement ? Amoureuse de mon prénom ?

Dans tous les cas, cette fille était bizarre. Mais à mon plus grand regret, je me mis à rougir.

Je ne voulais pas.
Je n’aimais pas cette fille.
C’était même pas que je l’aimais pas, c’était que je la connaissais pas.

Je ne sais pas ce qu’il m’a prit,
D’un mouvement de bras je pousse violemment la jeune fille au sol, croisant les bras en la regardant de haut.
Je m’avances vers elle avec un regard autoritaire.

Tu es une fausse fille ! Prouve le moi, prouve moi que tu m’aimes ! Quel est mon statut de sang ? Quel est ma ville où je suis né ? Quels sont les métiers de mes parents !

Après un temps de pause, où je savais que Sheryl n’aurait pas de réponse ouais en continuant :

-Voila.. Tu connais rien de moi.
Pourquoi tu m’aimes !? Prouve le moi !

Pour une fois,
Je pense que colère a surpassé timidité.
Ça s’améliorait avec le temps, peut être qu’être entouré d’autre personne me faisait du bien consciemment, ou non, mais dans les deux cas, j’étais plus serein..

Sheryl senti comme un poing dans son estomac. Elle ne savait rien de lui et maintenant elle en était consciente. Sa soeur avait raison. Le coup de foudre n'existe pas. Et il ne ferai pas d'exception pour elle. Elle senti des larmes sa.e lui piquer les yeux mais ne montra rien. Ne montre jamais tes faiblesse lui avait dit un jour son père. Elle ravalla ses larmes, et lui tourna le dos. C'est vrai que Aywann était très beau, mais ça ne se limite qu'a ça l'amour ? Non, elle en etait sûre maintenant. Elle lui tourna le dos et partit vers le lac. C'était un peu son refuge. Elle laissait son aimer tristesse se reprendre en elle et pleura pour de bon cette fois. Mais au bout de plusieur minutes à pleurer, elle se releva. Elle pensa à sa soeur, la douleur qu'elle avait éprouver. Elle ne voulais pas lui ressembler. Elle pris sa lettre dans sa poche et écrivit.

Maman,
Il vient de se passer quelques chose juste avant d'envoyer ta lettre. J'ai rencontrer un garçon. Il était très beau et j'ai cru être amoureuse de lui. En y repensant, c'était un peu débile de ma part. Je lui est dit et il m'a rejette. Ne t'inquiète pas. J'en parlerai à Louisa, elle pourra me consoler. Je voulais juste que tu le sache.
Gros bisous encore un fois

Écrit lui avait donné de l'espoire. Elle fit le chemin inverse en prenant soin de ne pas croiser Aywwan et se dirigea vers la volière.

Je m’en voulais d’avoir rigolé intérieurement. Cette fille ne devait pas être aussi mature que toi, en tout cas sur le point de l’amour.
Aimer.
C’est faux.
C’est pas possible.

Pas maintenant, surtout dans ces conditions, l’amour n’a pas sa place, je pense, mais de toute façon si elle voulait jouer physique, ça n’était pas mon style, elle aurait perdu sur n’importe quel point.

Elle part, c’est qu’une gamine, qui n’affronte rien. J’espère pour elle qu’elle ne me recroisera pas sous un autre angle de ma personnalité.

Si elle était « amoureuse » elle aurait pu m’expliquer mieux, pourquoi et comment ? Je ne sais pas, si elle voulait qu’on sorte ensemble, ce qui est stupide, on devrait avoir confiance en l’autre.

Je la suis du regard jusqu’à ne plus la voir du tout..
Pour la première fois, j’étais réellement énervé contre une enfant qui n’était pas de ma famille.

Une,

Une..

Toujours la faute des filles. C’était une des seules mauvaises choses de Poudlard.. Pourquoi il n’y a pas un Poudlard pour fille et un pour garçon.

Il y aurait moins de tension et on éviterait ce genre de problème que seules les filles provoquent de toute façon.

Quand j’étais seul dans mon dortoir ou avec d’autres garçons, là c’était parfait, Poudlard était un rêve.

Je tourne le dos à cette mauvaise scène en me jurant de ne jamais la recroiser.

Merci pour ce RP @Sheryl Tony