Miles sortait de son cours d'Histoire de la Magie, ne sachant pas où se diriger. Il avait un mal fou à se repérer dans les couloirs de Poudlard, immense château labyrinthique dont les recoins et les cul de sacs semblaient infinis.
C'était sa deuxième journée de cours ici, et son ressenti était mitigé : quand il était en cours et qu'il découvrait une matière, il sentait tout un pan de sa réalité s'élargir, s'ouvrir à lui. Jusqu'ici il avait découvert les cours de Métamorphose, de Botanique et de Potions. À chaque fois, ça avait été effrayant mais aussi grisant, excitant. Miles commençait sérieusement à aimer ça.
Cependant, à chaque fois que la cloche sonnait et que venait l'heure de sortir de cours, l'angoisse reprenait le dessus : il se sentait de nouveau perdu, noyé dans la masse, dans un monde qu'il ne connaissait pas et où il ne se sentait pas accepté. Il s'y sentait... étranger. Ce sentiment finirait par passer un jour, c'était certain.
Il le fallait.

Perdu dans ses pensées, il ne vit pas arriver les deux élèves qui marchaient dans sa direction. Il les heurta avec un bruit sourd, ce qui le sortit de sa rêverie.

- Eh fais gaffe nabot !

Il sentit des mains le repousser sèchement. Il leva les yeux : les deux jeunes semblaient légèrement plus vieux que lui, peut-être un ou deux ans de plus que lui. Miles se sentit rapetisser. D'après la couleur des liserés de leurs robes de sorciers, il put reconnaitre leur maison. Vert. "Serpentard". L'un des deux avait une tête émaciée et un profil équin, et il le pointa du doigt.

- Regarde ça Tony, il tremble de partout !

Et c'était vrai. Miles se sentait défaillir. "Ca y est, j'ai fait une boulette." Il baissa les yeux, honteux.

- Attend je connais ce regard... poursuivit l'autre, un roux à la mine patibulaire et aux yeux exorbités. Je l'ai déjà vu, plein de fois même. C'est le regard que ces saleté de Moldus ont lorsqu'on les contrôle au Chemin de Traverse ! Je le sais bien, ca m'amuse de regarder quand je suis là bas.

Ils se mirent à rire de manière vicieuse. Piqué au vif, Miles leva les yeux, le rouge lui montant aux joues. Il n'était pas du genre agressif. Mais il refusait de se laisser faire. Sa colère dût se voir car le roux dénommé Tony reprit de plus belle :

- Oh mais si ! J'y crois pas, c'est bien un Sang-de-Bourbe ! Regarde le tout en colère, adorable.

"Sang-de-Bourbe..?"
Tête-de-Cheval s'approcha d'un air menaçant, le dominant avec sa taille.

- Et qu'est ce que tu crois que tu vas faire avec ton regard, avorton ? Ici si tu veux être intimidant, utilises ta baguette. Il esquissa un mouvement vers la poche de sa robe Mais comment pourrais-tu, un Sang-de-Bourbe comme toi doit avoir des pouvoirs insignifiants. Il se tourna vers son compagnon. À supposer que ces incapables aient de quelconques pouvoirs !

À nouveau ils se mirent à rire, comme des hyènes. Miles se sentait impuissant. Furieux mais impuissant. Il ne connaissait rien à rien ici, comment pouvait-il espérer réagir alors qu'il n'était rien. De nouveau, il baissa les yeux.

@Magdaleen Roseberg c'est à toi

Premier jours des cours. Magdaleen se sentait tout àfait à son aise, à Poudlard, et avait l’impression d’être chez elle. Elle avait assisté à la cérémonie de répartition, comme spectatrice, cette fois ci. Maintenant, elle avait ses marques au château, et était sûre d’elle même. Le moment d’hésitation, sa première année, était finit. Il était hors de question qu’elle s’êcrase ou rase les murs. Sa baguette à la plume de phénix était presque constamment dans sa mains. Elle avait tressê ses long cheveux, aujourd’hui, et elle avait beaucoup plus de liberté de mouvement. Aucune couleur ne relevait sa tenue noire. Mais c’était par choix. Elle aimait porter du noir, comme certains aiment porter du blanc.

Elle marchait dans le couloir, quant elle étendit une ćollisions. Un première année avait foncé dans quelqu’un
Pas très malin. Mais, se souvenant qu’elle avait le même air que lui, quant le château l’avait accueillis. Et puis, les deux garçons de son année n’avaient pas l’air très malins. Ils n’avaient qu’a se pousser, aussi. Elle eu un sourir. Ce premier anneelui ressemblait. Mais elle avait changé maintenant.
Elle entendis les phrases" Saletês de moldus ? Comment osaient il ? En plus, ce n’était même pas des moldus- c’etait Des sorciers ! Donc le seul tord était d’etre Née dans une famille moldus.

« Sang de Bourbe » ! Comment pouvaient il. Elle réalise fferlit La mains sur sa baguette et commença à s’avancer. La, ils insultaient le premier année. Il faisait peine à voir, mélange d’impuissance, de fureur, et d’incompréhension. Alors Magdaleen pris une décision. Elle ne laisserait pas faire cela.C’était à son échelle. Alors elle s’avança.

Lashlabask ! La baguette pointée vers eux elle leur parla, d’une voix où toute sa haine se deviner
- Salles petits ... Lâches ! A deux contre un ! Vous lnapeler Sang de Bourbe ? Ouvrer vous les veines, pour vérifier si votresang est aussi pur que cela ! Allez y ! Elle s’était mise à crier., sans s’en rendre compte.

Elle se tourna vers le premie année
- Ça va ? Ce sont des idiots, mais ne te laisse pas faire, tu aux dix fois mieux qu’eux Elle lui sourit

@Miles Ravenstormje corrige les fautes et la mise en page demain, mais tu peux répondre !

- Lashlabask !

Miles sursauta. "Mais qu'est ce que...?" pensa-t-il. Il tourna la tête et vit une fille arriver rapidement vers eux. Son visage était marqué d'une colère indescriptible, mais ce n'était rien à côté du son de sa voix.

- Salles petits ... Lâches ! A deux contre un ! Vous l'appelez Sang de Bourbe ? Ouvrez vous les veines, pour vérifier si votre sang est aussi pur que cela ! Allez y !

Miles se glaça sur place. Qui était cette fille ? Pourquoi venait-elle l'aider ? Ils ne se connaissaient même pas ! Il la regarda timidement, sans savoir quoi dire. Elle s'adressa à lui :

- Ça va ? Ce sont des idiots, mais ne te laisse pas faire, tu vaux dix fois mieux qu’eux.

"Je vaux mieux qu'eux" répéta-t-il dans son for intérieur. Depuis le jour où il avait découvert qu'il était sorcier, il s'était senti de trop. Il avait découvert qu'il était traqué par les Moldus, puis rabaissé par ceux qui étaient sensé être les siens. Il avait commencé à accepter ce simple fait que désormais il devrait vivre comme ça, une vie où il lutterait constamment pour prouver qu'il existait, prouver sa valeur. Mais cette fille, par son acte de bonté, venait de lui redonner un peu d'espoir. Il senti ses yeux s'embuer de larmes, la gratitude montant en lui, comme si les sentiments positifs qui s'était tari dans son coeur venait tout d'un coup de se deverser à torrents.

- Mais pour qui tu te prend toi ?

Miles les avait presque oublié ces deux là. Visiblement, ils n'avaient pas apprécié que quelqu'un se mêle de leur petite embrouille. Ils se tournèrent vers elle.

- Ptet' que t'es fan des Sang-de-Bourbe ? Ptet que c'est ton truc de te rouler dans la boue avec ces porcs ?

Quelque chose se déclencha en Miles, embrasant son être. C'était trop. Il pouvait accepter qu'on le maltraite, il était capable de l'encaisser. Difficilement, certes, mais il en était capable. Mais qu'on s'en prenne à quelqu'un d'autre à cause de lui... Cette idée lui était intolérable. Il refusait de causer des soucis à quelqu'un.
Serrant le poing, il se plaça aux côtés de la fille, et fixa son regard droit dans les yeux de Tête-de-Cheval.

- Je vaux mieux que vous... Je vaux mieux que vous !! J'ai pas peur de vous, alors allez vous en !

Il resta ainsi, son regard fixant stoïquement les deux Serpentard.

Visiblement, même son sortilège n’avait pas eu entièrement l’effet escompté. Les deux idiots était revenus. Ils en voulait plus ? pas de problème ! Au fil du temps- elle était devenue bonne avec sa baguette, et les sort qu’elles jetait avait toujours un effet. Elle s’apprêtait à leur j être un deuxième sortilège, quant ils prirent la parole :
- Mais pour qui tu te prend toi ?

Plusieurs réponse fusèrent dans la tête de Magdaleen. Parce que je suis plus intelligente que toi. Pour qulequ’un qui agit avec ses convictions.Pour quelqu’un qui vous a jeter un sort avec succès. Mais, avant qu’elle ai choisit sa formulation, les deux garçons reprirent.

- Ptet' que t'es fan des Sang-de-Bourbe ? Ptet que c'est ton truc de te rouler dans la boue avec ces porcs ?

Magdaleen pensait que des idées pareilles étaient passées. Qu’elle n’existaient plus que dans mes livres. Elle avait la preuve vivante que non. Elle ressentait un mélange de haine et de pitié, pour ces deux garçons incapables de comprendre ce qu’ils disaient. Et qui attaquaient à deux contre un" mais, cette fois ci, elle avait pu agir, et changer l’equation.

C’est là que le première anné fit quelque chose d’innntendu il prit la parole.

Serrant le poing, il se plaça à ses côtés, et fixa son regard droit dans les yeux du premier garçon. .

- Je vaux mieux que vous... Je vaux mieux que vous !! J'ai pas peur de vous, alors allez vous en !

C’ est bien, il a appris sa leçon, Songea t’elle. Elle était un peu triste pour lui que dès son arrivé à Poudlard, il soit confronté à cela- alors qu’il y avait peu d’idiots de ce genre au château. Mais, là, réalisait t’il qu’il ne pouvait rien faire ? Les premiers jours, les nouveau savaient à peine produire des étincelles ! Au moins, il agit. Toi, t’était même pas capable de faire cela. Merci mon cerveau de me soutenir, ce fait tellement du bien de s’estimer ! Râle pas, c’est la vérité ! Arrête ! Non ! Si ! Non ! Sî tu dois revenir à l’instant présent.
D’une voix méprisante, elle lança :

- Les seuls cochons que je vois actuellement, c’est vous ! Vous lui fichez la paix, OK ? Et il est trop fois plus intelligent que vous ! Cent fois plus ! Donc vous fermez votre clapet !

Sachant à quoi s’en tenir désormais, elle parti, les laissant planté la. Elle avait pris La mains du première année, et l’avais entraîner avec elle. Maîtriser la situation. Partir avec Panache. Elle marchait plutôt vite, d’un pas décidé. Ayant tourné déjà une ou deux fois, elle s’arreta Et lui lâcha la mains.

-Je suis désolée pour ce qui viens de se passer. Ce sont des idiots, il n’y en a pas beaucoup àPoudkard de ce genre, mais il y en a. Tout le monde n’est pas comme cela. Arrange toi pour les éviter, d’accord ? La, j’était Avec toi et on est parti, mais quant tu es tout seul ..... enfin bon, évites les . Je peux essayer de t’aider mais je n’ai pas le don d’ubiquité. Je peux pas me dédoublé, quoi. Ils ne t’ont pas fait mal ? Excuse moi si je t’ai pressé fort La mains.

Elle lui sourit. Il l’observait. Oui, elle n’était pas belle, et alors ? L’acné, cela arrive à tout le monde !

- J’imagine que tu dois être un premier année. Tu t’apelle Comment ? Moi, c’est Magdaleen, deuxième année, et contente de rencontrer, si on omet le contexte, bien sûr. C’était courageux, ce que tu a dis. Tu es à Griffondor ?

Elle ne savais pas trop comment ses paroles avaient était prises. Elle attendis la réponse du garçon

À peine avait-il pris position contre les caïds que la fille l'avait rejoint et les avait invectivé. Miles sourit. "Et toc!"
Soudainement, la fille l'attrapa par la main, manquant de le faire tomber, et l'éloigna. Elle marchait vite, d'un pas rapide et énervé, et Miles avait de la difficulté à la suivre sans manquer de s'étaler par terre. Où l'emmenait-elle ? Ils suivirent le couloir, tournèrent à plusieurs embranchements avant de finalement s'arrêter dans un coin tranquille. Elle lui lâcha la main.

- Je suis désolée pour ce qui viens de se passer. Ce sont des idiots, il n’y en a pas beaucoup à Poudlard de ce genre, mais il y en a. Tout le monde n’est pas comme cela. Arrange toi pour les éviter, d’accord ? La, j’était Avec toi et on est parti, mais quant tu es tout seul ..... enfin bon, évites les . Je peux essayer de t’aider mais je n’ai pas le don d’ubiquité. Je peux pas me dédoublé, quoi. Ils ne t’ont pas fait mal ? Excuse moi si je t’ai pressé fort La mains.

Elle lui adressa un sourire. Miles la regardait : c'était une brune, coiffée d'une tresse. Il réalisa que c'était la première fois qu'une fille lui prenait la main. Elle reprit :

- J’imagine que tu dois être un premier année. Tu t'apelle Comment ? Moi, c’est Magdaleen, deuxième année, et contente de rencontrer, si on omet le contexte, bien sûr. C’était courageux, ce que tu a dis. Tu es à Gryffondor ?

- Oui... À Gryffondor.

Il observa le liseré bleu de la robe de Magdaleen.

- Toi tu es à Serdaigle c'est ça ? J'm'appelle Miles...

Elle l'avait trouvé courageux. Il devait avouer que c'était la première fois qu'il tenait tête à quelqu'un comme ça, même si c'était aussi la première fois qu'il se retrouvait la cible de discriminations. Il était heureux de se sentir courageux. Cependant une ombre planait quand même sur son cœur.

- Magdaleen... Pourquoi ? Pourquoi ils ont dit tout ça ? Pourquoi les gens comme moi on les aime pas ? Qu'est ce qu'on à fait de mal...?

Il ne comprenait pas. Il voulait juste qu'on le laisse tranquille, mais cette escarmouche lui laissait l'impression que ce n'était pas la dernière fois qu'il se retrouverait confronté à cette haine la.

- Oui... À Gryffondor.


- Toi tu es à Serdaigle c'est ça ? J'm'appelle Miles...

Exact. 10 points pour Gryffondor ! Non, il ne fallait pas exagérer. De toute facon, cette année, c'était les Serdaigle qui devaient gagner. Miles. Donc miles ici présent était un né moldu. Et il était tombé sur les mauvaises personnes. Bad Luck. Sorry for you. Elle s'appretait a mettre un phrase de conclusion et partie, mais le premiere année ouvrit la bouche

- Magdaleen... Pourquoi ? Pourquoi ils ont dit tout ça ? Pourquoi les gens comme moi on les aime pas ? Qu'est ce qu'on à fait de mal...?

J'avais pas signé pour ça ! Bon, alons y. expliquons à ce premiere année innocent la discrimination chez les sorciers. C'est parti.

- Alors .... c'est vraiment stupide, à la base. Complétement idiot. Il y a que des sorcier pense que les sorcier issus de moldus sont moins puissant, on un sang moins bon. Stupide. Ces sorciers n'aiment pas les moldus, et comme vous viviez une vie parmis les moldus avec des parents moldus, il ne vous aiment pas . C'est compliqué à expliquer. Tu me suis ? c'est la discrimination chez les sorcier . Tu a des parents moldus donc tu vaux moins que moi. C'est ca, l'idée. Et la chef du gouvernement elle prononca ce mots, avec dégout, et paraissait hair le nom qui suivi Parkinson, ou plutot la dictatrice Parkinson, car c'est ce qu'elle est, pense aussi comme cela. Elle hais les moldus. Vous, les nés moldus, vous êtes tolérés.

Elle se baissa pour ce mettre à sa hauteur

- Ursula Parkinson est horrible, Miles. ne lui fait jamais confiance, quoi qu'il arrive.

Le discours de Magdaleen lui avait fait l'effet d'une claque en pleine figure. Même si du haut de ses 11 ans il n'avait jamais saisi la pleine portée de ces choses là, il savait que des choses similaires existaient chez les Moldus. Il n'y avait qu'à voir aux infos quand dans le monde on reportait ce qu'on appelait des "attentats", toujours associés à la haine d'un tel envers un tel. Diable, il n'y avait qu'à regarder les guerres féroces que se menaient les différents club de foot de Londres : seul une haine dépassant le sport pouvait motiver ce genre de conflit.

Mais même si sa visite au Chemin de Traverse et à la Tour Ténébreuse lui avaient donné un aperçu, il était loin d'imaginer qu'une telle ségrégation s'opérait au sein de la société sorcière. Il avait donc bien rejoint un endroit dangereux pour un autre. Sauf qu'il était la cible dans les deux. Génial.
Le plus choquant, c'était que selon les dires de Magdaleen, ces gens la ne représentaient pas une minorité, mais bien le gouvernement. Les gens au pouvoir. Les gens qui étaient sensés les guider et les protéger..!
"Ursula Parkinson...". Il répéta plusieurs fois ce mot dans son esprit. Il ferait en sorte de ne pas l'oublier.
La même colère qu'il avait ressenti devant les deux idiots plus tôt refit surface.

- Magdaleen... Si ces gens là sont au gouvernement, ça veut dire que tout les sorciers nous détestent ?

Il serra son poing.

- Pourquoi je devrais ne pas détester les sorciers alors...

Magdaleen... Si ces gens là sont au gouvernement, ça veut dire que tout les sorciers nous détestent ?

Et flute. Par la baguette de Morgane, qu'est ce que je veins de faire ?
Il serra son poing. Pas bon. pas bon de tout.

- Pourquoi je devrais ne pas détester les sorciers alors...

_ OK, Miles, STOP. Parkinson a fait un coup d'état. elle a usurpé le pouvoir, et tué la famille du premier ministre en poste. Alors dis toi bien qu'on l'a pas élue. De plus ... je suis une sorcière et je ne te deteste pas ! Et ma famille non plus ! et les professeur de Poudlard non plus ! y a que ..... certaines personnes idiotes qui te deteste. En plus, que cela te plaise ou non, tu est un sorcier ! et detester les sorcier à Poudlard ... y en a des gens comme cela, mais ils sont malheureux toutes leurs scolaritée ! les sorciers, ce n'est pas un ensemble de gens qui pense pareil ! pas du tout ! Les moldus detent les sorciers .... je dois hair les moldus, tu crois ? je dois les attaquer parce qu'a cause d'eux, je n'ai plus d'oncles, et mon grand père est mort ? Je dois les haïr, tu crois ?

J'avais tenté la psychologie, de renverser la situation. Si cela ne marchait pas ..... ce devait marcher, non ? Je n'était pas encore un experte. Mike était un sujet d'expérience. D'une certaine facon, je le trouvait tres ... extraverti. Arrivé depuis de jours à Poudlard, et déteste les sorciers le troisieme ? cela ne présagais rien de bon .... Mais enfin, y a plus l'feu au chaudron, attendons sa réaction

Un coup d'état ? Usurpé le pouvoir ? Miles ne comprenait pas tout. Sans surprise il n'était pas versé dans la politique. Il essayait déjà de comprendre trop de choses à la fois pour s'intéresser à ça. Tout ce qu'il savait c'est que des choses provoquaient la haine dans le monde, et ça le rendait triste et en colère.
Mais ce qu'elle disait faisait sens pour lui. Son raisonnement était le bon, il le savait. Si à son tour il se montrait haineux et intolérant, non seulement il ne se montrerait pas meilleur que les pauvres âmes qui le rabaissaient, leur donnant raison, mais en plus de ça il ne ferait jamais avancer la situation : il ne devait pas rentrer dans le cercle vicieux de la haine, il devait opérer en dehors de ça.
Les mots de Magdaleen s'encraient progressivement dans son esprit. Pour la première fois, il commençait à y voir clair dans tout ceci. De loin certes, mais le résultat était là. Il ne le réalisait pas encore, mais ces mots furent les premiers qui commencèrent à modeler son esprit : il serait plus fort que la violence et la tolérance. Et plus malin.

- Merci Magdaleen... T'es vachement maligne, d'ailleurs ton prénom rime avec, ça doit pas être pour rien ahah !

Il riait sincèrement, il en avait presque oublié l'échauffourée plus tôt. Les mots de la jeune fille avaient été comme le meilleur des onguents pour son petit cœur blessé.

- J'avais cru comprendre que les Serdaigle étaient les plus sage d'entre nous, j'crois que j'viens d'en avoir la confirmation. J'oublierai jamais ce que tu m'as dit, promis.

Réaction inattendue. Étrange. Mais pas mauvaise. Ce garçon changeait d’avis comme on changeait de chaussette. Ses mots firent naître un sourire sur les lèvres de la Serdaigle
- Merci Magdaleen... T'es vachement maligne, d'ailleurs ton prénom rime avec, ça doit pas être pour rien ahah !
Elle riait intérieurement. On ne lui avait jamais dit cela. Elle savait que ses yeux riaient. Miles .... la faisai rire. C’était la première fois que quelqu’un lui disait qu’elle ètait intelligente, pas comme cela. Miles riait. Et Magdaleen sourit. Elle n’avais Plus rit vraiment depuis de longs mois. Ce grand sourire était une avancée

- J'avais cru comprendre que les Serdaigle étaient les plus sage d'entre nous, j'crois que j'viens d'en avoir la confirmation. J'oublierai jamais ce que tu m'as dit, promis.

- Mais de rien, Miles. C'est bien ! tu sais, c'est pas tellement les Serdaigle qui sont le plus malin, t'es aussi très intelligent ! J'aime bien la rime, c'est marrant. Et ...si on t'embête, si tu es perdu ou si quoi que ce soit, tu viens me voir, d'accord ? Je serai disponible pour toi. C'est toujours un peu dur les premiers jours au chateau, j'ai vécu.

Elle commencait à s'attacher à ce petit garcon, qui représentait pour elle la naivetée, l'innocence des première année qui ne connaissais pas encore le coté sombre de Poudlard. maintenant, elle était prête à le protéger, comme lle venait de le faire. Miles était sous sa protection, désormais, qu'il le veuille ou non. Elle allait l'aider. Elle, elle n'avait eu personne. elle se rattrapait, en quelque sorte.