Inscription
Connexion
14 janv. 2019, 19:50
 Théâtre  Amour sincère
CLUB DE THÉÂTRE
(IMPROVISATION)
Image
Distribution : Arwen O'Sullivan (garçon) et Sigmund Charleston (fille)

☆ Un garçon donne un philtre d'amour à une fille pour faire le roi devant ses amis. La potion n'a rien changé aux sentiments de la fille, de nature folle amoureuse du jeune homme. Un réel dialogue s'instaure, laissant place à un quiproquo.
TOUR I
14.01.19

L'amour, l'amour... qu'est-ce que l'amour ? Nous espérons tous comprendre cette notion en vous voyant jouer dans la peau de deux jeunes adolescents, l'un plus méchant que l'autre.
Que vos illusions d'amour parfois s'effacent, que vos yeux tendres deviennent soucieux : les décors n'ont rien de romantiques ! Vous retrouverez une pluie diluvienne s'abattant à l'extérieur, visible depuis une fenêtre. L'elfe chargé des effets spéciaux a bien fait son travail puisqu'il a également ajouté un sol en pierre sur la scène.


Ordre d'apparition :
1. Sigmund Charleston
2. Arwen O'Sullivan

Accessoires disponibles :
- La fille : Une broche à cheveux, un mouchoir et un livre.
- Le garçon : Un magazine de sport et un bonnet.

Contraintes :
- Les deux postes se font sans paroles puisque la rencontre n'a pas encore eût lieu.
- Sigmund Charleston doit évoquer trois noms de couleur dans son post.
- Arwen O'Sullivan doit évoquer un souvenir amoureux.

Décors particuliers :
Ce sont les mêmes qu'évoqués précédemment bien qu'un mur ait été installé entre les deux personnages pour que l'ambiance soit divisée.
Dernière modification par Jules Circinus le 14 janv. 2019, 22:38, modifié 2 fois.

Hier tout s'effaçait mais demain tout recommencera, au revoir.
14 janv. 2019, 21:52
 Théâtre  Amour sincère
Pour la première fois de sa vie, Sigmund s'essayait au théâtre. Il n'était pas tout à fait exact de parler de première fois : en fait, adolescent, il jouait déjà avec son meilleur ami dans le parc de Poudlard, l'un incarnant un mage noir, l'autre, un valeureux héros, le tout entrecoupé de scènes dramatiques et de dialogues déchirants. Mais Sigmund était désormais un adulte de quarante-sept ans, et il montait sur une petite scène de théâtre pour la première fois.

Il allait jouer le rôle d'une jeune adolescente ; du haut de son un mètre quatre vingt douze,  et arborant tant une jolie moustache bien fournie qu'une calvitie avancée, il n'avait pas peur de manquer de crédibilité. Et pour cause : il portait une magnifique robe rose, ample, avec des motifs de fleurs. Celle-ci, un peu courte pour un homme de sa taille, s'arrêtait à mi-mollet, dévoilant des jambes bien poilues. 

Il monta sur scène, le regard faussement perdu vers l'horizon et vers la pluie qui s'abattait à l'extérieur, visible derrière la fenêtre. Le temps était bien gris. D'un pas léger, il se rendit vers le milieu de la scène, là où un mur séparait l'espace en deux parties. Il se tourna vers le public, le livre serré contre son cœur, la larme à l’œil -il avait épluché un oignon juste avant de monter sur scène. Dramatiquement, il poussa un soupir tout en secouant la tête d'un air résigné, faisant voler par la même occasion la petite épingle à cheveux bleue qui était accrochée à sa moustache -de toute façon bien plus fournie que sa chevelure. 

Faisant mine de penser à la personne qui faisait battre le cœur de la demoiselle qu'il jouait, il laissa tomber contre lui le bras qui tenait fermement le livre et il posa sa main libre sur son cœur, comme si celui-ci lui faisait vivre les premiers tourments de l'amour.  

#783f04 - DDM de Poufsouffle à partir de mars 2049 - Tutoyez-moi !
27 janv. 2019, 16:10
 Théâtre  Amour sincère
Arwen était ravie d'appartenir à ce club, elle savait qu'elle apprendrait beaucoup notamment sur elle-même. De plus, s'entrainer à jouer c'était aussi s'entrainer à être une bonne professeure car enseigner c'était un peu comme monter sur scène. Il fallait entrainer son public, ses élèves dans son univers, monde. Elle était excitée car cette fois-ci, elle jouerait avec son collègue Sigmund. Ils avaient choisi ensemble une pièce et avaient décidé pour rigoler d'intervertir les rôles. Lui jouerait la demoiselle, tandis qu'elle se glisserait dans la peau du jeune homme.

Elle regarda son collègue et elle ne put s'empêcher de sourire. Son costume était à la fois génial et comique. Il faut dire que la robe rose détonnait avec la moustache et ses mollets garnis d'un épais rideaux de poils. Elle ne put s'empêcher de rire, avant d'enfiler à son tour son costume. C'était un trois pièce et elle avait bien sûre pensé à la moustache, clin d’œil à son partenaire de jeu.

Elle se plaça de son côté de la scène. Elle était séparée de son partenaire par un mur. Au fond, on apercevait une pluie diluvienne, était-ce le signe de son état amoureux du moment. Depuis Benjamin, son cœur avait bien morflé, il n'était pas près à s'attacher de nouveau, enfin c'est ce qu'elle pensait. Jouer l'amour aujourd'hui serait difficile mais bon elle avait les épaules solides pour tenir le coup. Elle regarda les deux objets qu'elle avait pris à la hâte, un magazine de sport et un bonnet gris-bleu. Le bonnet la frappa en plein cœur, il était semblable à celui qu'elle avait offert à son amour passé, cela la prit au tripes. Elle se perdit un instant dans ses pensées, puis revient à elle, il était hors de question que ce morceau du passé lui gâche son interprétation, elle fit quelques pas vers les coulisses, le jeta loin de la scène, de toute façon il n'allait pas avec sa tenue, fit quelques respirations qu'elle avait apprises et se replaça sur la scène, face au public prête à jouer avec son binôme.

"La vie ce n'est pas attendre que les orages passent, c'est d'apprendre à danser sous la pluie sans penser."
"La gentillesse est la noblesse de l'intelligence.
"La vengeance est le plaisir des âmes faibles, étroites et mesquines."
27 janv. 2019, 16:48
 Théâtre  Amour sincère
TOUR 2
27.01.19

Jules, vous voyant jouer la comédie ne put s'empêcher de rigoler : c'était le but. Etant désigné comme votre metteur en scène, il vous expliqua ce que vous allez devoir faire en cette deuxième scène bien qu'avant, il prit le temps de vous féliciter :
- Monsieur Charleston, j'ai adoré votre jeu d'acteur bien qu'il semble un peu trop timide. Essayez donc de vous imposer sur la scène, tout en respectant le critère primordial de la fille : son manque d'assurance. Quant à vous Miss O'Sullivan, c'était parfait : j'ai adoré le côté racaille du jeune homme.
Reprenant son sérieux, le garçon vous expliqua les aspects de la scène suivante : vous devrez faire en sorte de vous diriger vers la tour d'Astronomie, en cette veillée nocturne. 
Les deux enfants vont alors se percuter et la fille sera sous le choc et ne se réveillera pas tout de suite : le garçon en profitera donc pour lui faire avaler un philtre d'amour.

Ordre d'apparition :
1. Sigmund Charleston
2. Arwen O'Sullivan

Accessoires disponibles :
- La fille : Un livre d'Astronomie, une écharpe et une cape.
- Le garçon : Un philtre d'amour et des friandises.

Contraintes :
- Vous devez chacun votre tour décrire l'ambiance du château (calme, froide, mouvementée...)
- Sigmund Charleston ne peut s'empêcher de répéter au moins deux fois un mot de chacune de ses phrases de dialogue.
- Arwen O'Sullivan doit prendre un ton hautain quand elle parle.

Décors particuliers :
La scène prend place dans un couloir du château de Poudlard : l'elfe s'occupant des effets spéciaux a donc laissé le sol et les murs en pierre.
En revanche, un escalier est apparu dans le fond, menant à la tour d'Astronomie.

Hier tout s'effaçait mais demain tout recommencera, au revoir.
27 janv. 2019, 22:57
 Théâtre  Amour sincère
Sigmund écouta les directives du jeune garçon d'une oreille distraite. S'imposer, manquer d'assurance ? Il avait du mal à imaginer comment associer les deux. De plus, il ne voyait pas en quoi son jeu était timide mais soit. Allons, imposons-nous ! La scène suivante se déroulait dans ce qui ressemblait aux couloirs de Poudlard. Sigmund avait revêtu une cape et une écharpe par dessus sa ridicule robe, et tenait contre lui un livre d'astronomie. Le château était calme et tranquille. Puisque la fille qu'il jouait était pour l'instant seule dans ce grand couloir, Sigmund entreprit, d'une manière totalement ridicule, de se déplacer en tournant sur lui-même et en secouant les bras, tout en se dirigeant maladroitement vers l'escalier censé mener à la tour d'Astronomie.
LA FILLE, d'une voix qui se veut aiguë

Lalalala ! Ohlala, aujourd'hui, j'ai eu un cours d'étude des moldus, oui, un cours ! C'est mon cours préféré, préféré ! Et là, là je vais observer les étoiles ! Youpi youpi haha !
Tout en agitant les bras -mais en évitant de trop chantonner, on va dire que le manque d'assurance s'exprimait ici, Sigmund marchait jusqu'à la "tour" en tâchant de ne pas faire attention à Arwen. Puisqu'il fallait la percuter, il supposait qu'il n'était pas censé l'apercevoir avant cela. C'était assez amusant de jouer un rôle, et Sigmund commençait à se prendre au jeu. Enfin, arrivé au niveau d'Arwen, le sorcier ralentit et fit semblant de la heurter, tout en douceur. Ce qui, vraiment, n'avait rien de crédible, mais s'il le faisait vraiment, c'était elle qui risquait de finir par terre, pas lui. Alors, il porta la main à son front tout en secouant ses cheveux (qui ne s'envolèrent pas dans le vent, faute de vent et de cheveux) et prit un air dramatique.
LA FILLE

Oh ! Mais, mais quel choc ! Oh ! Diantre, non, je défaille, NON ! 
Alors, il posa son livre par terre, prit le temps d'enlever sa cape parce qu'il avait un peu chaud à force de jouer la comédie, puis il s'allongea par terre, en étoile, et resta ainsi immobile. 

#783f04 - DDM de Poufsouffle à partir de mars 2049 - Tutoyez-moi !
10 févr. 2019, 20:32
 Théâtre  Amour sincère
*Le côté racaille ?* pensa-t-elle mais elle n'avait pas voulu donner ce côté à son personnage, ce n'était pas grave l'important était que cela lui plaise. Maintenant c'était le moment de la rencontre, elle devait jouer un jeune homme hautain qui allait droguer une jeune fille à son insu, plaisant personnage.

Elle eut d'ailleurs beaucoup de mal à garder son sérieux tant la prestation de son collègue était pleine d'autodérision. Mais elle ne pouvait sourire, cela l'aurait fait sortir de son rôle. Elle commença à se déplacer sur la scène, en prenant le soin de rallonger son chemin jusqu'au point d'impact. Tout en marchant, elle décida de prendre la parole au moment où Sigmund arrêta de parler après avoir surinterprété la joie.

Le garçon d'une voix hautaine :

Ces couloirs bien qu'anciens sont vraiment bien triste. Il faut dire qu'ils sont parsemés d'élèves sans intérêts, n'apportant rien au château. La froideur des lieux contraste parfaitement avec l'ennui que me provoque ces moins-que-rien. Heureusement, j'ai comme toujours la brillante idée, celle qui mettra du piquant à ce sinistre endroit. Une idée lumineuse, dès que je croiserais une fille digne de son nom physiquement, je lui donnerais une friandise parfum philtre d'amour.


Arwen montre aux spectateurs les chocolats et le philtre. Elle se rapproche de son partenaire, jusqu'à ce qu'il imite l'impact et la chute. Une fois qu'il fut bien allongé au sol, elle s'accroupit à ses côtés, et fit mine de lui faire boire à son insu le "poison".

Le garçon d'un air malicieux :
Belle demoiselle, tu as enfin trouvé ton prince. A ton réveil, tu comprendras la chance que tu as de m'avoir renversé et d'être tombé sur moi. A tout jamais, tu m'aimeras, du moins tant que je ne trouverais pas une autre mieux pour moi.



Désolée pour le retard...

"La vie ce n'est pas attendre que les orages passent, c'est d'apprendre à danser sous la pluie sans penser."
"La gentillesse est la noblesse de l'intelligence.
"La vengeance est le plaisir des âmes faibles, étroites et mesquines."
14 févr. 2019, 00:55
 Théâtre  Amour sincère
TOUR 3
14.02.19

Cette scène était parfaite : vous avez su répondre aux attentes du jeune garçon. Vous savez la rendre humoristique et plaisante à regarder et Jules vous félicita pour cela.
Ne perdant pas un instant, il commença à vous expliquer la prochaine scène :
- Cette troisième scène va être plus difficile que les deux premières, sachez le. Cette dernière ne sera que le fruit du rêve de la fille, vous Monsieur Charleston, lors de son "coma". Le filtre commence à faire effet, ce qui influence la structure du rêve. Vous êtes libres sur le contenu de celui-ci, surprenez-moi.

Ordre d'apparition :
1. Sigmund Charleston
2. Arwen O'Sullivan

Accessoires disponibles :
Libre à vous d'utiliser ce que vous avez besoin, dans la limite du raisonnable.

Contraintes :
- Mettez-vous d'accord au préalable par hibou sur le contenu du rêve.
- Trois noms de sorciers doivent être évoqués (célèbres ou imaginaires).
- Vous devrez placer une phrase ne comprenant pas la lettre "a" dans le dialogue de votre personnage, chacun. Celle-ci devra faire un minimum de sept mots.

Décors particuliers :
Libre à vous de diriger l'elfe de la régie.

Hier tout s'effaçait mais demain tout recommencera, au revoir.
14 févr. 2019, 15:38
 Théâtre  Amour sincère
Pour cette scène, Sigmund et Arwen devaient se plonger dans le rêve de la jeune fille. Le professeur demanda aux elfes de mettre dans un premier temps les décors d'un couloir, qui différaient peu de ceux qu'il y avait précédemment. La scène se déroulait donc dans le rêve de la jeune fille. Pour marquer cette différence notable par rapport aux deux scènes précédentes, Sigmund avait changé de tenue pour revêtir une grande et large robe de chambre rose en coton. Puisque c'était le pays des rêves, autant s'habiller en conséquence. Seul sur la scène ; il avait convenu avec sa collègue qu'elle n'interviendrait qu'un peu plus tard, il prit une démarche lente et un air pensif.
LA FILLE, pensive

Aujourd'hui, c'est le jour de l'amour. Moi, je m'ennuie, les cours sont longs, comme cette journée qui n'en finit point.* Partout autour de moi ; nulle lumière, nul événement heureux. Ce rêve est d'un ennui !
Tout en marchant, Sigmund prit un air désespéré, en passant les mains sur les décors, regardant partout autour de lui comme pour chercher une issue. Il tournoie sur lui-même et commence à chanter, comme une princesse Disney. A tue-tête, il reprend "La solitude" de Barbara dans un français très hésitant. Après tout c'est son rêve, il fait ce qu'il veut.
LA FILLE, en entonnant les dernières paroles

Elle m'attend devant ma porte. 
Elle est revenue, elle est là,
La solitude, la solitude...
Là, sur ces dernières notes, il s'arrête. C'est comme si la scène était figée. Il adresse alors un discret signe aux elfes de la régie, qui font alors apparaître de multiples fleurs partout. Là, Sigmund se déplace alors vivement sur la scène, tout en désignant plusieurs points imaginaires.
LA FILLE, enjouée

Mais l'amour est là ! Regardez ! Regardez toutes ces fleurs, ces amoureux qui se pavanent, et partout, l'amour est plus fort que tout ! Et qui vois-je ? N'est-ce pas Christian Louvi, le grand Directeur de Poudlard ? Il tient à la main un magnifique bouquet de fleurs, probablement destiné à l'élu(e) de son coeur. Et là, c'est Amien Heulô-ouais  ! Il est au beau milieu des préparations pour son mariage, avec la jolie moldue... Qu'il est beau, il rayonne d'amour ! Oh, Narcisse Chaussette est là ! Elle semble bien solitaire, elle qui est pourtant si belle...
Arrêt. Arwen est montée sur scène, endossant à nouveau le rôle du garçon. Là, Sigmund pose ses deux mains sur ses joues, comme pour marquer son étonnement de la voir dans ce rêve où règne l'amour. Alors, il s'élance vers elle tout en s'exclamant d'une voix aiguë :
LA FILLE, étonnée

ENGUERRAND ? Enguerrand, ce beau Sixième année qui ne quitte jamais mes pensées ? Le voilà dans mon rêve ! Mais que fais-tu, fou ! dans ce rêve où l'amour domine. Enguerrand !
Sigmund pose ses mains sur son cœur. Puis, après un petit temps de latence, après avoir échangé un bref regard avec Arwen comme pour demander son accord, il pose ses deux mains sur sa taille, la soulève comme s'il s'agissait d'une petite plume, et la fait tournoyer dans les airs tout en riant aux éclats.
LA FILLE

Enguerrand, quand es-tu devenu si beau, si charmant ? Tu es resplendissant !
*Phrase ne contenant pas la lettre "a"

#783f04 - DDM de Poufsouffle à partir de mars 2049 - Tutoyez-moi !
19 mars 2019, 17:25
 Théâtre  Amour sincère
Le début de cette scène commençait dans les coulisses pour Miss O'Sullivan, lui donnant la possibilité de se changer pour enfiler un pyjama en soie noire et lui donnant loisir d'observer son collègue en robe de chambre. Décidément cette pièce était très loufoque et sympa à jouer, parfaite pour la professeure.
Elle fut surprise de l'entendre chanter en français.... Quel esprit.... Elle était fan de son jeu.
Il continua sa tirade en transformant les noms de ses collaborateurs à Poudlard, quel humour.
Elle était tellement prise par son jeu d'acteur qu'à peu plus elle loupait son entrée sur scène.

Arwen entra sur scène et commença à marcher, se pavanant comme un paon. Un coup de tête à gauche, un coup de tête à droite, une main passée dans ses cheveux, rien n'était assez pour se donner un style de mec arrogant et sûr de lui à son personnage. Elle s'approcha de Sigmund et d'un regard, elle comprit son attention et le laissa la soulever au sol comme une plume. Ce geste d'affection bien que joué lui pinça le cœur, mais pas le temps de laisser ses ténèbres ressurgir, elle écouta la dernière tirade de son partenaire puis prit la parole :

Enguerrand d'un ton hautain :

Par la barbe de Merlin, j'ai toujours été charmant Cunéguonde. Ton cœur était emprisonné par un terrible sortilège digne des pires sorciers du style de Voldemort, tes yeux aveugles comme pouvait l'être Ronald Weasley avant de comprendre ses sentiments pour Hermione Granger.


Enguerrand (prenant la main de la "jeune fille").

Cunéguonde, trop de temps perdu, trop de moments envolés, nous ne pouvons continuer sur cette voie. Profitons de ce que la vie nous offre, un amour unique.


Arwen tira l'enseignant d'étude des moldus, l'entraînant vers le fond de la scène.

Enguerrand (susurrant sa dernière tirade) :

Viens ma merveille, ma douce, allons vivre notre passion ! Embarque avec moi vers un voyage magnifique, où la fin ne viendra jamais. Partons là où nos rêves deviendront réalité.


Elle quitta la scène emportant son collègue avec elle. En attendant le retour sur scène, elle réfléchit à ce qu'elle avait donné et convient qu'elle était en dessous, elle devrait mieux faire sur la prochaine scène.



En souligné, les contraintes (sorciers célèbres, phrase ne contenant pas de A)
Désolée pour le retard ! :(

"La vie ce n'est pas attendre que les orages passent, c'est d'apprendre à danser sous la pluie sans penser."
"La gentillesse est la noblesse de l'intelligence.
"La vengeance est le plaisir des âmes faibles, étroites et mesquines."
19 mars 2019, 17:46
 Théâtre  Amour sincère
TOUR 4
19.03.19

Le rêve, le rêve... que c'est beau de rêver ! Seulement, tout n'est pas rêve, tout n'est pas si rose, à notre grand malheur : que serait un monde sans cauchemars ? -Un monde parfait !
Cette prochaine scène de la continuité de celle que vous venez de réaliser. Seulement, un problème vient tout chambouler : ce rêve se termine en cauchemar...
Peut-être un rêve prémonitoire me direz-vous ? C'est exactement cela : le metteur en scène vous donne les rennes de la pièce pour cette scène !

Ordre d'apparition :
1. Arwen O'Sullivan
2. Sigmund Charleston

Accessoires disponibles :
Libre à vous d'utiliser ce que vous avez besoin, dans la limite du raisonnable.

Contraintes :
- Cette scène déterminera le futur de la pièce donc attention au sens que vous voulez lui donner.
- Le garçon doit commettre une erreur en parlant de la fille.
- La fille doit donne une gifle au garçon.
- Les deux doivent enchaîner maladresse sur maladresse.

Décors particuliers :
Libre à vous de diriger l'elfe de la régie.

Hier tout s'effaçait mais demain tout recommencera, au revoir.